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Tenue Vestimentaire d'un Controleur
Dom Le Trappeur a répondu à Koots situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
Et encore ici ce n'est rien à côté de ce qui t'attend avec la Direction SNCF et le Service Après Vente... "mode humour vache" -
De jolies petites phrases La candidature de Nicolas Hulot interroge la presse française http://www.20minutes.fr/article/706557/politique-la-candidature-nicolas-hulot-interroge-presse-francaise «La politique, une affaire trop sérieuse pour être confiée à un animateur de télévision ; l'écologie, une affaire trop grave pour être laissée aux politiques»
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Au tour de Villepin (ex-1er ministre de Chirac... que n'en a-t-il profité à l'épôque pour mettre ses idées en oeuvre... Villepin présente son projet "citoyen" pour 2012 http://www.lemonde.f...257_823448.html Les principales propositions de Villepin http://www.liberation.fr/politiques/01012331721-les-principales-propositions-de-villepin
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De la poudre aux yeux ? Salaires: à qui profite la prime «d'au moins 1000 euros»? http://www.liberation.fr/economie/01012331493-salaires-a-qui-profite-la-prime-d-au-moins-1000-euros
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Un bilan positif mais il y a encore du boulot... et sûrement quelque chose à faire (encore et toujours) en matière de formation et d'éducation. Vingt-cinq personnes ont perdu la vie en 2010 à un passage à niveau, contre 36 en 2009 et 51 en 2000. En 2010, 110 collisions ont été dénombrées, comparées à 128 en 2009.
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Nicolas Hulot se lance dans la course présidentielle Reuters http://www.lemonde.f...#ens_id=1318702 Décryptage Le Monde http://www.lemonde.fr/politique/portfolio/2011/04/13/nicolas-hulot-insiste-sur-le-social-mais-oublie-le-nucleaire_1506851_823448.html#ens_id=1318702 Les Soutiens de Nicolas Hulot http://www.lemonde.fr/politique/portfolio/2011/04/13/qui-sont-les-soutiens-de-nicolas-hulot_1506794_823448.html#ens_id=1318702
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Et si "l'opinion publique" commençait (enfin) à se poser de vraies questions et à chercher de vraies solutions et ce bien au-delà des jeux (et des institutions, des structures...) économiques, politiques, idéologiques ? C'est le cas pour les transports, comme pour le nucléaire, l'énergie, l'eau, l'environnement, l'alimentation, la santé... De toute façon c'est toujours "le citoyen lambda" qui finira par payer soit comme utilisateur, soit comme contribuable (et tout le monde paie des impôts et des taxes...) et ça chacun le sait. Mais le citoyen lambda, tout compte fait, il a le droit de faire des choix, il a le droit d'avoir des exigences qu'elles soient individuelles ou collectives.
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Les Français pour la fin du nucléaire mais sans hausse de prix Reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20110413/tts-france-electricite-sondage-ca02f96.html Les Français sont pour l'arrêt de la production d'énergie nucléaire mais sans hausse de prix, ce qui est souvent présenté comme un corollaire, selon un sondage OpinonWay pour L'Express et SIA Conseil diffusé mercredi. Selon cette étude, 20% des Français sont tout à fait favorables et 37% plutôt favorables "à ce que la France arrête de produire de l'électricité à partir de centrales nucléaires", soit un total de 57%. A l'inverse, 12% y sont tout à fait opposés et 30% plutôt opposés. L'opposition au nucléaire est majoritaire dans toutes les tranches d'âge, sauf les 60 ans et plus où elle est minoritaire, et dans toutes les catégories socioprofessionnelles, sauf les inactifs où elle est à égalité avec le soutien au nucléaire. Par proximité partisane, les personnes proches de la droite et du Mouvement démocrate sont majoritairement opposées à l'arrêt du nucléaire, les proches de la gauche, des écologistes et du Front national étant majoritairement favorables. Les Français sont d'autre part majoritairement opposés à ce que la fin du nucléaire s'accompagne d'une hausse du prix de l'électricité, 27% acceptant cette possibilité contre 72%. Au Japon, la gravité de l'accident nucléaire de Fukushima a été portée au niveau 7, soit le niveau maximal et le même que celui de Tchernobyl en 1986. Le sondage a été réalisé les 30 et 31 mars auprès d'un échantillon de 1.035 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse
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Point de vue Nicolas Hulot : "J'ai décidé d'être candidat à la présidentielle" LEMONDE.FR| 13.04.11 L'animateur et producteur de télévision a annoncé, mercredi 13 avril à Sevran, son intention de se présenter à l'élection présidentielle. Il explique sa démarche dans une tribune au Monde. Depuis trente-cinq ans, je parcours le monde et je l'ai vu changer. J'ai exploré ses beautés, j'ai partagé ses bonheurs. En même temps, j'ai mesuré l'aggravation simultanée des inégalités et des destructions de la nature. L'humanité est devenue la proie d'une épidémie de crises qui accable le plus grand nombre. Les équilibres sociaux chancellent, ceux du climat et du vivant s'effondrent. Les hommes et les femmes de ce temps sont désemparés. Ils craignent pour leur emploi, leur sécurité, leur environnement, leur santé et l'avenir de leurs enfants. La marche triomphante du progrès prend les allures d'un immense malentendu. En France aussi les conditions de vie se dégradent. Les difficultés s'accumulent. La précarité devient un sentiment prégnant. C'est, pour beaucoup de nos compatriotes, la peur quotidienne du chômage, du déclassement, de l'exclusion, c'est l'angoisse des factures et des fins de mois difficiles, le piège de l'endettement, le stress de la compétition, le mal être récurrent, la perte des repères, la dissolution du lien collectif et des solidarités. L'urgence et le devoir nous obligent à changer de cap. Un autre monde est non seulement possible, il est nécessaire. La créativité humaine ne fait pas défaut. Fixons lui des priorités sans confondre progrès et performance. L'économie, la technologie, l'argent lui-même, ne sont pas des fins mais des moyens. Leur donner du sens, c'est la seule expression de la modernité. La volonté, les compétences, la citoyenneté, la générosité, l'envie d'agir et le désir de changer sont partout. Je le sais, j'y puise mon énergie. Le changement est déjà en marche dans la société civile. Il faut l'encourager, le légitimer, l'accompagner par la cohérence de l'action publique en fixant ensemble de nouvelles priorités qui rompent avec le capitalisme sauvage. Ouvrons maintenant la porte de l'avenir en engageant la transformation écologique et sociale de la société. J'ai pour ma part franchi un cap. Jusqu'ici je crois que mon mode d'engagement a été utile. En conscience, j'estime qu'il doit passer maintenant à une autre étape. J'ai donc décidé d'être candidat à l'élection présidentielle et de mettre au service du changement le capital de confiance que j'ai pu accumuler auprès des Françaises et des Français. Dans ce moment de gravité et de complexité que traverse notre pays, je n'ai pas d'autre ambition que de contribuer à ouvrir la voie d'une société nouvelle, écologique et sociale. Je le ferai avec modestie mais détermination, sans arrogance mais avec toute ma volonté et mon énergie. L'heure est maintenant au changement de cap pour refonder l'espoir. Changer de cap, c'est d'abord s'appuyer sur le meilleur de l'humanité : la solidarité, le partage, la justice, la démocratie, la tolérance, la modération, la sobriété, la diversité, le juste échange. Changer de cap, c'est libérer la société et les esprits des diktats d'un mode production et de consommation contaminé par l'illusion de la croissance quantitative, s'émanciper d'un monde happé par la frénésie du toujours plus et par la compétition agressive, s'affranchir du profit et du marché sans limite, réhabiliter l'esprit public. Changer de cap, c'est engager dès maintenant une transition vers la société nouvelle, écologique et sociale, à travers un train de mesures clés et concrètes que je développerai au cours de ma campagne. Je proposerai au débat, pour que chacun s'en empare et en devienne l'acteur, une transformation progressive des activités et des comportements. Les solutions existent pour améliorer l'emploi, mieux redistribuer les richesses, installer une croissance qualitative et sélective. Des leviers existent pour engager d'autres manières de produire, de s'alimenter, de se loger, de se déplacer, pour encourager les innovations et les investissements, économiser l'énergie et les ressources naturelles, déployer la fiscalité plus équitablement et plus efficacement. Des moyens existent pour faire décroître l'empreinte écologique, protéger la santé, soustraire les biens communs à la spéculation, remettre la finance à sa place, tisser les solidarités ici et avec les pays du Sud, fortifier la démocratie. Changer de cap, c'est enfin concourir à l'apaisement de la société en rassemblant les énergies plutôt qu'en encourageant les affrontements. Les postures de division chronique sont désormais un luxe indécent face à l'urgence et à la complexité des enjeux. La société est fatiguée des idéologies creuses. J'invite chacun à prendre sa part dans la mutation en veillant évidemment à une répartition juste et équitable des efforts. Aux peurs et aux pulsions identitaires qui désagrègent les liens du vivre ensemble, il faut opposer un projet de société constructif et partagé. Le meilleur atout pour réussir le changement, c'est la diversité. Dans ce défi majeur, je sais que la France ne détient qu'une partie des solutions. Mais je sais aussi qu'elle a les moyens de se montrer novatrice et audacieuse, notamment dans l'espace européen qui est devenu notre biotope commun. Le France et l'Europe peuvent devenir le centre d'émergence d'un nouveau modèle de développement et retrouver ainsi un éclat de référence et de fierté dans le monde. L'élection présidentielle va mettre nos concitoyens et nos concitoyennes en situation de responsabilité. Dans un an, il s'agira de choisir : prolonger le statu quo d'un système périmé en s'entêtant dans un modèle de développement qui n'est plus la solution mais le problème ou engager la dynamique du changement vers une société nouvelle, écologique et sociale. Soyons clairs : je le dis sans dogmatisme ni agressivité, le projet d'un nouveau modèle de développement est de mon point de vue incompatible avec les politiques que le pouvoir en place et sa majorité développent en France. Ma candidature s'inscrit dans le sens de l'intérêt général. Elle se situe donc à l'opposé des choix qui privilégient inégalités et exacerbation des peurs et qui sacrifient les priorités écologiques et sociales. Cela ne vaut pas pour autant blanc-seing pour ceux qui, à gauche ou au centre, se proposent de diriger le pays. Dans mon esprit, il n'y aura aucun soutien automatique à qui que ce soit. L'exigence écologique et sociale ne peut plus s'accommoder de quelques corrections à la marge ou de compromis politiciens, elle suppose de la part des partenaires la prise en compte sincère des nouveaux paramètres et un niveau de réponse approprié. Seule compte à mes yeux une volonté indéfectible de partager l'immense chantier écologique et social. C'est à cette unique condition de cohérence politique que nous pourrons engager avec d'autres le contrat de la métamorphose. Répondre aux crises et aux angoisses, c'est proposer un modèle de développement qui bâtisse l'avenir et retrouve l'espoir. Pour le porter, je sollicite le soutien de l'ensemble des écologistes et notamment de mes amis d'Europe Ecologie-Les Verts, mais aussi plus largement de toutes celles et de tous ceux qui ne se résignent pas au déclin conjoint de l'humanité et de la nature. J'en appelle à celles et ceux qui savent qu'on ne peut plus s'exonérer de toute limite, notamment des limites physiques de la planète. J'en appelle à celles et à ceux qui refusent de s'abandonner à la fuite en avant productiviste et aux délires ultra-libéraux, de consentir aux inégalités et à la régression sociale, de subir un endettement massif, d'exacerber les tensions entre les peuples, les cultures et les religions. J'en appelle aux citoyens et aux citoyennes pour qu'ils se rassemblent et se mobilisent afin de transformer une volonté individuelle en énergie collective. Au service d'un mouvement tourné vers l'avenir, je souhaite que ma candidature devienne un levier pour agréger les énergies autour d'un nouveau modèle de développement dont les impératifs écologiques et sociaux soient le moteur. Je souhaite ainsi favoriser l'émergence d'une nouvelle majorité politique pour mettre en oeuvre ce changement de cap et cette refondation de l'espoir. Ensemble, décidons du monde que nous voulons dans les champs du possible. Ensemble, construisons l'alternative qui ne soit pas seulement une alternance de pouvoir. Ensemble, bâtissons l'avenir.
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Le PDG de Total juge inéluctable un super à deux euros le litre reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20110412/tts-france-total-de-margerie-ca02f96.html Le PDG de Total juge que le prix à la pompe atteindra inéluctablement la barre des deux euros le litre de super, mais sans pouvoir dire à quel horizon. Interrogé dans l'édition de mardi du Parisien pour savoir si un super à deux euros le litre était inéluctable, Christophe de Margerie a répondu: "Cela ne fait aucun doute." "La vraie question, c'est quand ? Il faut espérer que cela n'arrive pas trop vite, sinon les conséquences seraient dramatiques", a-t-il ajouté. Le baril de pétrole atteint depuis le début de l'année des plus hauts de près de trois ans. En France, le litre de super sans plomb 95 a inscrit la semaine dernière un nouveau record historique à plus de 1,53 euro le litre. Gilles Guillaume, édité par Benoît Van Overstraeten Rappel TIPP http://fr.wikipedia.org/wiki/Taxe_intérieure_sur_les_produits_pétroliers http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/25/1043496-La-TIPP-une-taxe-injuste.html La décomposition du prix du litre d'essence et de gazole : http://www.richeidee.com/la-decomposition-du-prix-du-litre-dessence-et-de-gazole/
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La Grande Vitesse et le concept TGV a trente ans. Avec les lignes nouvelles il a bouleversé le paysage des déplacements (en vitesse, en temps, en lieux de destination) Il a répondu également à des besoins et accompagne aussi un bouleversement de la société française. Il est aussi au cœur de choix stratégique économiques, environnementaux, sociaux et politiques Il est dommage que l'article s'attache plus "à l'anecdote" qu'à la question de fond concernant le transport ferroviaire (TGV Trafic Grandes Lignes) "Plus de sept Français sur 10 (72%) souhaitent que le TGV desserve à l'avenir davantage de destinations, loin devant la rapidité des trains (45%) ou l'augmentation des fréquences (42%)" ce qui me semble relever d'une demande de transport d'un point A à un point B sans rupture de charge, ni correspondance. Je regarde autour de moi, les gens qui prennent (ou veulent prendre) le train (souvent occasionnellement) recherchent souvent une solution "confortable" en choisissant date et horaires de voyage, ce qui n'est pas le cas de ceux qui veulent (exigent) une solution efficace du fait d'un besoin de transport quasi quotidien ou contraint par le travail ou une obligation. Cette demande est quand même fort intéressante et pertinente et mériterait à elle seule une bonne enquête journalistique.
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Japon : une catastrophe planétaire.
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Le Japon élève au niveau 7 l’accident nucléaire de Fukushima http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-Japon-eleve-au-niveau-7-l’accident-nucleaire-de-Fukushima_39382-1761466_actu.Htm -
Les Français veulent plus de destinations desservies par le TGV
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Les Français veulent plus de destinations desservies par le TGV http://fr.news.yahoo.com/82/20110407/tbs-les-franais-veulent-plus-de-destinat-2c03cd1.html 20 minutes - 7 avril 2011 Plus de sept Français sur 10 (72%) souhaitent que le TGV desserve à l'avenir davantage de destinations, loin devant la rapidité des trains (45%) ou l'augmentation des fréquences (42%), selon une étude de la SNCF en partenariat avec la radio RTL, révélée jeudi. TGV du futur Selon cette étude réalisée par l'institut Ipsos auprès d'un échantillon représentatif de 1.032 personnes âgées de 16 ans et plus du 25 au 29 mars, les Français s'inspirent également des vols long-courriers pour concevoir leur TGV du futur: 55% aimeraient un écran individuel sur tous les sièges. Ils sont 40% à vouloir un espace de détente, 34% un espace de jeux pour les enfants, 33% un restaurant ou encore 32% une voiture-cinéma, selon cette étude réalisée à l'occasion des 30 ans du TGV. 83% des personnes interrogées ont déjà voyagé au moins une fois à bord du TGV. 30 ans Le train le plus rapide du monde, entré en service sur la ligne Paris-Lyon en 1981, est considéré avant tout par les Français comme un moyen de rapprocher les familles (84%). Et il a changé les perceptions de l'espace et du temps pour 78% des personnes interrogées. C'est également un espace de sociabilité: 76% des personnes interrogées ont indiqué avoir engagé la conversation avec un autre voyageur. 22% ont reconnu avoir cherché à séduire quelqu'un (ou quelqu'un a cherché à les séduire), 19% ont retrouvé une personne perdue de vue et 9% ont gardé le contact avec un voyageur rencontré à bord. Mais le voyage n'est pas toujours une sinécure à cause des nuisances des autres voyageurs. Le téléphone et les gens qui parlent fort arrivent en tête des désagréments subis lors d'un voyage (81% chacun), devant des rires forts (55%), des voyageurs qui racontent des choses intimes (52%) ou encore un voisin qui sent mauvais (51%). -
Interview : B. Emsellem, dirigeant sncf, dans le 20 minutes :
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Bernard Emsellem: «Il faudra être prêt à accueillir les clients qui se reportent de la voiture vers le train» http://www.20minutes...ture-vers-train 20 Minutes - 11 avril 2011 Le directeur général Ecomobilité de la SNCF détaille la nouvelle politique environnementale du groupe… La SNCF a réitéré au début de l'année 2011 son engagement environnemental. En quoi se traduit-il exactement? L'environnement est une préoccupation globale au sein du groupe. Il touche des sujets beaucoup plus vastes que la mobilité, comme le sociétal. Mais les priorités sont de travailler à améliorer notre bilan carbone, et le premier levier c'est la consommation d'énergie de nos machines. Nous pouvons gagner 5% de consommation de carburant grâce à l'éco-conduite, et au développement de matériels hybrides (électrique/diesel). C'est pourquoi nous avons mis en place un programme de formation des conducteurs. Ensuite, nous travaillons avec les constructeurs pour trouver des possibilités de réduction d'énergie de leur matériel. Pour l'instant, la réflexion n'est pas aussi avancée que chez les constructeurs automobiles, il faut se fixer des objectifs annuels plus lourds. Autre initiative: nous allons permettre à nos clients de calculer leur bilan carbone de mobilité grâce à une calculatrice de poche automatique, développée avec le MIT. La SNCF est aussi un très gros consommateur de matériaux, parfois difficile à recycler. Quelles sont vos actions dans ce domaine? Il y a un travail de sensibilisation en interne, qui a permis par exemple de cesser tout rejet d'huile à même le sol. Après se pose la question des matériels anciens. A ce jour 500 matériels roulants sont recyclés chaque année, soit plus de 20.000 tonnes. Mais il y a une réflexion pour mettre en place un processus de destruction-récupération encore plus vertueux. Il y a aussi la question des traverses de chemin de fer, qui représentent des quantités astronomiques. Nous avons en projet avec RFF (Réseau ferré de France) de mettre en place un système pour les brûler, ce qui règlera le problème de la créosote, une huile utilisée pour protéger les traverses, et dont la partie dangereuse disparaît une fois brûlée. La chaleur de la combustion pourrait être récupérée pour faire fonctionner une usine. Sur la partie mobilité, on a vu la SNCF prendre des parts ces dernières années dans des sociétés de covoiturage, d'autopartage… Pourquoi cette politique? Notre philosophie est qu'il faut désormais assurer la totalité du voyage pour attirer les voyageurs, notamment ceux qui prennent aujourd'hui la voiture, vers le train. Nous devons être un facilitateur de transport, avant et après le train. Cela peut passer par plusieurs offres, dont le covoiturage ou l'autopartage. Mais pas seulement; nous n'oublions pas non plus les transports en commun urbains, à condition qu'ils soient bien connectés à la gare. Le maître-mot, c'est la facilité. Malgré tout, le covoiturage ne décolle pas. Où en est l'expérience que vous menez en Ile-de-France? Le retour n'est pour l'instant pas très bon. Cela ne veut pas dire qu'il faut tout arrêter pour autant. Le covoiturage, tout le monde dit que c'est faisable, mais personne ne le fait. Il faut comprendre pourquoi. Nous travaillons sur une application mobile qui donnera la disponibilité des voitures pour une destination donnée, et qui permettra de la réserver dans son train avant d'arriver en gare. Je reste très intéressé par les projets de covoiturage, mais communautaires, c'est-à-dire qui se passent entre des personnes qui se connaissent, ce qui règle le problème de la confiance. Vous dites vouloir capter la clientèle qui utilise sa voiture. Mais les réseaux SNCF, particulièrement en Ile-de-France, sont saturés… C'est un paradoxe, mais de court terme. Il est certain qu'à ce jour on ne peut pas créer de nouveau grand flux, mais le programme de travaux qui est engagé, notamment en Ile-de-France, aura des effets dans quelques années, à ce moment là il faudra être prêt à accueillir du report modal de la voiture vers le train, d'où l'importance d'identifier dès maintenant les besoins des voyageurs. Vous êtes confiants dans la capacité du projet du Grand Paris à régler les problèmes de saturation du réseau francilien? Je suis relativement optimiste, s'il se met en place. Il doit pouvoir rendre les circulations plus fluides. Après la question que pose aussi le Grand Paris, c'est son impact sur la mobilité des Franciliens. Pendant des siècles le temps de parcours des voyageurs est resté à peu près le même, mais la distance parcourue a elle augmenté. Les temps de parcours vont-ils se mettre à augmenter? Personnellement, je ne crois pas que la mobilité va se réduire… Les autres grands transporteurs mondiaux suivent-ils la même voie que la SNCF? C'est un sujet que tout le monde regarde avec attention. Je pense que dans quelques années il y aura quelques grands opérateurs de mobilité, et certainement que des marques qui ne sont pas dans le transport investiront ce terrain. Regardez Google avec sa «Google car», qui se conduit automatiquement sans chauffeur grâce à un système GPS. Google ne va certes pas devenir un fabricant de voitures, mais peut-être va-t-il piloter des systèmes de transports… Propos recueillis par Mickaël Bosredon -
Intox-Désintox Les «oublis» de Claude Guéant sur le droit d’asile en France http://www.liberation.fr/politiques/01012330909-les-oublis-de-claude-gueant-sur-le-droit-d-asile-en-france Dans son interview du 8 avril au Figaro Magazine, le ministre de l'Intérieur affirme que la France est plus généreuse en matière d'asile que l'Allemagne ou le Royaume Uni. Vite dit.
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Collision train-camion près de Rennes 26 novembre 2007
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Collision train-camion près de Rennes : jugement le 30 mai Ouest-France - 11 avril 2011 Le tribunal correctionnel de Rennes rendra son jugement le lundi 30 mai, dans l'affaire de la collision entre un train et un camion, qui avait fait 27 blessés, le 26 novembre 2007 au passage à niveau de Saint-Médard-sur-Ille (Ille-et-Vilaine). Un camion et sa benne s'étaient immobilisés sur la voie ferrée, rendant le choc inévitable. Âgé de 55 ans, le conducteur de ce camion était poursuivi pour mise en danger de la vie d'autrui, ainsi que pour blessures involontaires, cet après-midi devant le tribunal de Rennes. Il a plaidé sa relaxe, affirmant n'avoir ni vu les signaux lumineux, ni entendu le signal sonore indiquant que les barrières du passage à niveau allaient s'abaisser. La procureure a requis un an de prison avec sursis à l'encontre du prévenu, ainsi que l'annulation de ses permis poids lourds. La SNCF demande 650 000 €, tous dégâts, réparations et préjudices commerciaux confonfus, aux deux assureurs de l'employeur du chauffeur de camion. Le lien sur Ouest-France http://www.ouest-fra...-bre_filDMA.Htm Le lien sur le forum -
Le 1er mai 2011 Solidarité internationale et progrès social lundi 11 avril 2011COMMUNIQUE COMMUN CFDT - CGT – FSU – Solidaires – UNSA Le 1er mai, journée de solidarité internationale du monde du travail, prend un relief particulier dans un monde marqué par des évolutions majeures. Les organisations CFDT - CGT – FSU – Solidaires – UNSA expriment leur soutien aux peuples des pays arabes qui se soulèvent pour la dignité et la liberté. Partout dans le monde, cette onde de choc salutaire bouscule les dictatures et porte un message d’espoir de liberté, de démocratie et de progrès social. Elles font aussi du 1er mai une journée de solidarité européenne en dénonçant les politiques d’austérité imposées par les Etats membres de l’Union et les Institutions européennes pour « assainir » les dépenses publiques. Les salarié(e)s ne doivent pas payer le coût d’une crise dont ils ne sont pas responsables. En France, le 1er mai 2011 se déroule dans un contexte de crise économique et sociale qui creuse les inégalités et mine la cohésion sociale, un contexte de tension sociale toujours forte liée aux préoccupations des salariés en matière d’emploi, de salaires et de conditions de travail qui se sont exprimées fortement dans les mobilisations de 2009 et 2010 face à la crise et à la réforme des retraites. Partout participons aux manifestations unitaires pour : • Donner la priorité à l’emploi par des politiques économiques et sociales prenant appui sur une réelle politique industrielle qui réponde aux impératifs écologiques et des services publics de qualité, favorisant la réduction des inégalités. Prioriser des mesures en faveur des jeunes. Mettre fin au non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. • Améliorer les salaires, les pensions et le pouvoir d’achat, permettre à chacun de vivre dans la dignité en garantissant le droit pour toutes et tous à une protection sociale solidaire et de haut niveau tout au long de la vie ; Faire reculer les inégalités entre les femmes et les hommes • Améliorer les conditions de travail et faire reconnaître la pénibilité ; • Lutter pour l’égalité des droits et contre toutes les discriminations, notamment concernant tous les travailleurs migrants. L’exigence d’une vie meilleure faite de justice sociale, du respect des droits fondamentaux, d’un travail décent, reconnu et valorisé doit se faire entendre. Mobilisons-nous pour le « vivre ensemble », la solidarité entre les salariés et l’égalité des droits, le choix de la paix, le choix du social. C’est de cette façon que reculeront l’exclusion, le racisme, le rejet de l’autre. Nos organisations appellent tous les salariés, les chômeurs et les retraités à participer aux manifestations unitaires organisées dans toute la France.
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Gbagbo a été arrêté à Abidjan Gbagbo aurait été arrêté par les militaires français... Gbagbo aurait été arrêté par les pro-Ouattara ... Selon une source diplomatique française, les forces spéciales françaises n'ont pas arrêté Laurent Gbagbo, contrairement à ce qu'a affirmé un conseiller du président sortant. L'ambassade de France en Côte d'Ivoire affirme que ce sont les forces d'Alassane Ouattara qui ont arrêté Laurent Gbagbo. "Laurent Gbagbo a été arrêté par les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, pro-Ouattara) et conduit à l'Hôtel du Golf par les FRCI".
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Culture politique... Les 8 familles de la droite et du centre http://www.lefigaro.fr/politique/2011/04/10/01002-20110410ARTFIG00242-les-8-familles-de-la-droite-et-du-centre.php
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Appel syndical à un 1er mai unitaire Reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20110411/tts-france-1er-mai-syndicats-ca02f96.html Les syndicats CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa, qui avaient défilé ensemble le 1er mai 2010, appellent à de nouvelles manifestations unitaires lors de la prochaine Fête du Travail. Les organisations entendent notamment exprimer leur soutien aux peuples arabes "qui se soulèvent pour la dignité et la liberté", et dénoncer "les politiques imposées par les Etats membres de l'Union et les institutions européennes pour 'assainir' les dépenses publiques". "En France, le 1er mai 2011 se déroule dans un contexte de crise économique et sociale qui creuse les inégalités et mine la cohésion sociale", ajoutent les syndicats dans un communiqué. Ils renouvellent leur appel à mettre fin au non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite, à privilégier des mesures en faveur des jeunes, à améliorer les salaires, les pensions et le pouvoir d'achat, et à lutter contre les discriminations visant les travailleurs migrants. Sophie Louet, édité par Yves Clarisse