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Y'a pas de sous... Vivendi rachète la totalité de SFR Le groupe français a payé 8 milliards d'euros pour les 44% de l'opérateur détenu par le britannique Vodafone. Le groupe de médias et de télécoms Vivendi est désormais seul maître à bord de l'opérateur téléphonique SFR, dont il détient la totalité du capital après le rachat pour près de 8 milliards d'euros de la part du britannique Vodafone, qu'il guignait depuis des années. Vivendi a annoncé dimanche soir dans un communiqué avoir signé un accord avec Vodafone pour lui racheter sa participation de 44% dans l'opérateur téléphonique français, dont il détenait déjà 56%. La transaction porte sur un montant de 7,95 milliards d'euros. "L’accord est sujet à l’approbation des autorités de la Concurrence. La transaction devrait être finalisée à la fin du mois de juin 2011", a précisé Vivendi. "Nous sommes très heureux de réaliser notre objectif stratégique de détenir 100% de SFR. Grâce à cet accord, Vivendi pourra encore mieux se concentrer sur la croissance rentable et sur l’innovation", a commenté Jean-Bernard Lévy, président du directoire de Vivendi. "Cette opération va bénéficier au développement industriel du groupe et à nos millions d’abonnés et de consommateurs dans le monde. Cette transaction va entraîner une progression importante du résultat net ajusté de Vivendi et un relèvement du dividende pour nos actionnaires", a-t-il souligné. Le communiqué précise que SFR et Vodafone "vont prolonger leur coopération commerciale pendant les trois prochaines années". Les dirigeants de Vivendi n'avaient jamais caché leur souhait de monter à 100% au capital de cette filiale stratégique: en avril 2007 déjà, M. Lévy avait officialisé son intérêt pour un rachat de parts minoritaires dans SFR. Fin 2010, il avait émis le souhait d'une transaction au cours de l'année 2011. Vivendi s'était donné ces derniers mois les moyens de satisfaire son ambition: il a cédé en deux fois - septembre puis janvier - l'ensemble de la participation de 20% qu’il détenait dans le groupe de médias NBC Universal, dégageant ainsi un montant en numéraire de 5,8 milliards de dollars hors dividendes (390 millions de dollars entre janvier 2010 et janvier 2011). Le groupe avait également reçu en janvier dernier 1,254 milliard d’euros de l'opérateur téléphonique allemand Deutsche Telekom, pour régler un différend de onze ans pour le contrôle du troisième opérateur mobile polonais PTC. Le mois dernier, Vivendi avait fait état en mars d'un bénéfice net 2010 de 2,2 milliards d'euros pour un chiffre d’affaires de 28,9 milliards d’euros, en hausse de 6,4%. Lors de la publication de ces résultats, M. Levy avait affiché pour "objectif de racheter les (intérêts) minoritaires de nos filiales françaises à un prix raisonnable", assurant "qu'un jour (Vivendi) pourrait détenir 100% de ses filiales françaises", à savoir SFR mais aussi le groupe de télévision payante Canal+, qu'il détient à 80%. Reste donc à Vivendi ce deuxième souhait à réaliser: racheter les 20% restants de Canal+ au groupe de médias français Lagardère. Lagardère a annoncé le 16 mars reporter "de quelques semaines probablement" l'introduction en Bourse de ces 20% en raison de la volatilité des marchés après le séisme au Japon. Il a valorisé le 1er avril à 1,507 milliard d'euros cette participation dans Canal+ France, et indiqué que le processus d'introduction en Bourse sera relancé "dès lors que la situation des marchés permettra d'offrir les conditions attendues". (source AFP)
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Après les primaires au sein d'Europe-Ecologie-Les Verts EELV "Primaires au Parti socialiste"... "Primaires à gauche"... toujours le flou artistique médiatique entretenu pour mieux leurrer les gens... où on mélange allègrement sympathisants du PS et sympathisants de gauche (mais quelle gauche ?) Strauss-Kahn en tête à gauche, Hollande remonte, selon Ifop Reuters Dominique Strauss-Kahn éclipse toujours ses concurrents aux primaires pour désigner le candidat du Parti socialiste en 2012 mais François Hollande regagne du terrain, selon un sondage Ifop à paraître lundi dans France Soir. Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), qui n'est pour l'instant pas candidat, est cité par 37% des sympathisants de gauche, en baisse de trois points depuis un mois, et 41% des sympathisants du PS, contre 49% en février. Chez les sympathisants de gauche, François Hollande (22%), qui s'est déclaré candidat la semaine dernière, devance désormais Martine Aubry (18%) et gagne sept points. Ségolène Royal arrive en quatrième position avec 12%. Les sympathisants PS placent également François Hollande (25%) devant Martine Aubry (15%) et Ségolène Royal (9%). L'ancien Premier secrétaire du PS gagne 10 points en un mois. Les candidatures pour cette élection doivent en principe être déposées en juin et le scrutin avoir lieu à l'automne. Le sondage a été réalisé du 31 mars au 1er avril auprès d'un échantillon de 577 sympathisants de gauche issu d'un échantillon de 1.016 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Gérard Bon, édité par Pierre Sérisier
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Et pendant ce temps Estrosi s'offre 4.600 euros de blanchissement gratuit au frais du contribuable... une paille... de quoi se faire tailler un costard ! Et dire que la Direction SNCF pendant des décennies à refuser de prendre en charge le nettoyage des tenues de travail du personnel commercial...
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Présidentielle 2012. Voici les principaux points du projet socialiste ou plus exactement ce qu'on en sait à ce jour puisqu'il sera présenté mardi... http://www.letelegra...011-1256062.php http://www.ouest-fra...750936_actu.Htm http://www.lemonde.f...#ens_id=1402952 http://www.liberatio...-emplois-jeunes http://www.liberatio...ojet-socialiste http://fr.news.yahoo...me-ca02f96.html http://www.rue89.com...our-2012-198301 Sur le site du PS... http://www.parti-socialiste.fr/projet
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Les cheminots incités à rouler plus vite
Dom Le Trappeur a répondu à Chartrain situé dans Actualité ferroviaire générale
Message reçu par e-mail de la part d'un conducteur qui assure la liaison Paris Montparnasse - mantes très régulièrement... Si vous avez un peu de temps en ce beau week-end, je vais vous compter une petite histoire ...... de train. Je viens de lire un article sur le Parisien qui m'a quelque peu énervé, d'où ce petit mail. Modification des horaires sur la relation Mantes la Jolie - Paris Montparnasse et retour pour cadencement. Trains assurés depuis 4 ans environs par des 27300 et 7 caisses de VB. Certes les 27300 sont bien plus puissantes que leurs vaillantes aînées les 25600, sauf que ces 27300 ont aussi leurs limites et jusqu'à preuve du contraire c'est pas des fusées interplanétaire. A noter que la compo des VB est passée de 6 à 7 caisses mais les 27300 les tirent sans problème. Ces nouveaux horaires sont irréalisables. Un 10 km/h à respecter du point de départ au franchissement du signal de sortie de Mantes (sinon prise en charge KVB; en partant à l'heure ça vous plombe d'1 mn facile), ensuite un 30 km/h à respecter sur une bonne distance car pancarte R entre les établissements de Mantes et de Mantes Station si bien que lorsque vous avez dégagé la pancarte R, vous êtes déjà pratiquement arrivé en bout de quai de Mantes Station. Autrement dit, comme le profil est en légère pente, après être libéré du 10 km/h au signal de sortie de Mantes, il faut se lancer à 25 km/h et couper la traction ce qui évite de donner un (ou deux) coup de frein afin de respecter le 30. C'est ce que je faisais et que bon nombre de mes collègues doivent faire. Mais y a les nouveaux horaires !! Et ça fait pas l'heure. Qu'à cela ne tienne, il est décidé de supprimé l'arrêt à Mantes Station pour tous les trains assurant cette mission, afin de dégager au plus vite la zone de Mantes, du moins le croivent-ils car le 30 est toujours là lui. Et s'ils le croivent, c'est que ça doit être vrai. Eh ben, je vous le donne en mille : ça ne le fait toujours pas sauf ........ sur le recueil horaire. Comment résoudre cet épineux problème d'horaire irrésolvable ? L'ultime solution trouvée est d'inciter les conducteurs à faire le trait au travers d'une note interne. Or, les conducteurs n'ont pas de frein électrique de maintien (de toute façon interdit car zone à 30 même si l'engin est en queue) et pas non plus de FEP. Il serait intéressant que les auteurs de la note en question, nous démontre leur pratique et surtout le gain de temps qu'ils sont capables de réaliser à cet endroit sans se faire prendre en charge et tout en respectant la vitesse. Celà me rappelle le coup de la démonstration d'un d'eux pour s'arrêter sur un seul coup de frein à Laval .... ça ne l'a pas fait !!!! Mais le pompon sur le bonnet, lorsque vous lirez l'article ci dessous, c'est la réflexion du cadre bien intentionné et surtout bien piqué. Si la CGT dénonce cette note ubuesque à la presse c'est pour faire des voix aux prochaines élections..................... Bon Dieu ! mais c'est bien sûr ! Pendant ce temps là, les horaires sont toujours irréalisables et c'est la faute des mauvais conducteurs qui ne font rien que faire exprêt pour dire qu'ils ont raison, incité en celà par la méchante CGT. http://www.leparisien.fr/yvelines-78/les-cheminots-incites-a-rouler-plus-vite-25-03-2011-1375710.php?xtor=EREC-109 Quand je vous dis qu'on marche sur la tête !!!!!! Vivement le transport par téléportage. Y aura plus de 10 ni de 30 à respecter. J'espère que l'on va avoir dans un proche avenir une brillante démonstration ..... ça nous fera bien rigoler ..... pour une fois qu'ils vont être rigolos, ça serait dommage de s'en priver ! Si ce mail parvient à(aux) intéressé(s)....... prévoir des marches d'essais de nuit !!!! -
Encore un sondage qui ne sert à pas grand chose... mais qui est significatif... Les Français sympathisants de droite choisissent Hulot mais voteront à droite... Les Français sympathisants de gauche préfèrent Joly mais voteront en grande partie ailleurs... Nicolas Hulot, candidat écologiste préféré des Français, selon un sondage http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/04/02/nicolas-hulot-candidat-ecologiste-prefere-des-francais-selon-un-sondage_1502233_823448.html Nicolas Hulot apparaît comme le candidat préféré des Français pour représenterEurope Ecologie-Les Verts (EELV) à l'élection présidentielle de 2012, loin devant sa concurrente Eva Joly qui ne recueille que 28 % de soutiens, selon un sondage IFOP à paraître dans Sud Ouest Dimanche. Ce choix en faveur du présentateur d'Ushuaïa est massif parmi les sympathisants écologistes, 66 % d'entre eux le préférant à Eva Joly, qui recueille 32 % d'opinions. L'institut IFOP souligne que "le profil des soutiens des deux candidats varie assez nettement". La candidature de Nicolas Hulot apparaît davantage souhaitée par les femmes (65 % contre 55 % des hommes) et les plus jeunes (70 % des 18-24 ans, 66 % des 25-34 ans contre 57 % des plus de 35 ans). Le créateur de l'émission Ushuaïa mobilise davantage les sympathisants de droite puisque 69 % d'entre eux se prononcent pour sa candidature, et plus particulièrement des sympathisants UMP (71 %). Eva Joly, elle, séduit davantage l'électorat de gauche : 36 % des sympathisants de gauche la choisissent (contre seulement 16 % à droite). Elle plaît également davantage aux sympathisants PS (37 %) qu'à ceux d'EELV (32 %). Nicolas Hulot doit se prononcer en avril sur une éventuelle candidature à la primaire d'Europe Ecologie-Les Verts pour la présidentielle de 2012. Ce sondage a été réalisé par téléphone du 31 mars au 1er avril, auprès d'un échantillon représentatif de 1 016 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
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sans parler de tous les trous perdus entre Brest, Chateaulin et Quimper... même pas de réseau pour le téléphone portable... mais que les paysages sont beaux...
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Petites nouvelles du matin en Sarkozie... Angers : la grosse tête de "zozo" de Nicolas Sarkozy défilera au Carnaval Renault veut construire des moteurs en Roumanie Le parquet veut balayer le nuage de Tchernobyl ET... Une information passée inaperçue hier... Sarkozy change d'avis sur le nucléaire : il prône l'installation d' éoliennes dans tous les jardins ?
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Et après le second trour...l'analyse du Parti de Gauche (PG)... La Dynamique du Front de Gauche (FDG) s'amplifie http://www.lepartidegauche.fr/front-de-gauche/actualites-du-front-de-gauche/3643-dynamique-amplifie En obtenant 50,2% des voix au second tour des cantonales, la gauche est en mesure de diriger 60 départements contre 58 jusqu'à présent. Les départements du Jura, des Pyrénées-Atlantiques et de Mayotte basculent à gauche. Une dynamique nationale à laquelle le Front de gauche contribue très largement. +11% d'élus Le Front de gauche amplifie ses bons résultats du 1er tour. Fort de ses 10,5% des voix dans les quelque 1600 cantons où il se présentait au 1er tour, le Front de Gauche avait alors obtenu 300 000 voix de plus dans ces cantons que lors des élections européennes de 2009, qui avaient suivi sa fondation et 250000 de plus qu'au moment des régionales. Dans les 131 cantons où il était encore en lice au second tour dimanche, le Front de gauche obtient 60,6% des voix. Il l'emporte dans 103 cantons, c'est à dire dans 77% des cas. Ajoutés à ses 18 élus du 1er tour, le Front de gauche obtient ainsi 121 élus au total. Comparés aux 108 élus de 2004, cela représente une progression du nombre de sièges de 11%. Le Front de gauche conforte ainsi largement sa place de 2ème force à gauche, avec 4 fois plus d'élus qu'Europe Ecologie (27 élus dimanche sur 84 candidats). Des bons résultats du Front de gauche qui vont permettre au PCF de conserver les présidences des départements de l'Allier et du Val de Marne qui leur étaient vivement disputées par le PS et Europe Ecologie. Une force rassembleuse Comme nous l'avions noté au 1er tour, le rééquilibrage de la gauche se poursuit. Le Front de gauche bénéficie d'une forte dynamique unitaire au sein de la gauche. L'ampleur des reports de voix dont ont bénéficié ses candidats illustre la capacité du Front de gauche à représenter largement toute la gauche et à porter une alternative majoritaire. En effet dans les 131 cantons où il était en lice au second tour, le Front de gauche passe de 36% des voix en moyenne au 1er tour à 60% au second. Cette dynamique est particulièrement forte dans le Limousin mais aussi dans le Nord où le Front de gauche gagne 2 élus. En Haute Vienne, fief du PS, l'alliance du Front de gauche et du NPA prend 2 sièges au PS. Le Front de gauche gagne la plupart de ses duels avec le PS ou/et Europe Ecologie. C'est particulièrement édifiant face à Europe Ecologie dont la stratégie opportuniste de maintien au second tour face à des candidats Front de gauche a été laminée par les électeurs. Un PS en demi-teinte Même s'il va encore améliorer son nombre de présidences de départements, le PS obtient des résultats en demi-teinte. Il perd le département du Val-d'Oise, fief de Dominique Strauss-Kahn, où le Conseil général était dirigé par des socialistes de sa sensibilité. Au sein de la gauche, le PS ne connait pas de progression particulière et recule même légèrement par rapport aux précédentes cantonales en passant de 38% à 35%. Compte tenu d'une abstention beaucoup plus forte, ce résultat traduit un important recul du PS en voix puisqu'il passe de 4 millions de voix en 2004 à 2,8 millions aujourd'hui. Pas de quoi manifester une dynamique en vue de 2012 comme certains leaders socialistes le prétendent pourtant. Le PS profite surtout de l'effondrement de la droite, et, comme aux présidentielles, d'un vote par défaut. Par exemple, dans les Bouches-du-Rhône, où la direction socialiste avait renouvelé sa confiance à Jean-Noël Guérini, le PS conserve certains cantons marseillais dans des conditions acrobatiques, avec à peine quelques dizaines de voix d'avance face au FN. Le vote PS s'étant écroulé au 1er tour dans ces cantons, ils n'ont été sauvés que grâce à un sursaut de mobilisation d'électeurs voulant barrer la route du FN au second tour. C'est encore là, dans des cantons réputés socialistes qu'ont été enregistrées les quelques rares progressions du FN en voix par rapport à 2004. Ainsi c'est dans le canton d'Allauch, ville PS depuis 30 ans, qui compte une des plus importantes sections socialistes de France avec prés de 800 adhérents, que le FN a réalisé au 1er tour sa plus forte progression en voix des Bouches-du-Rhône (+482 voix par rapport à 2004, soit +17%, alors que l'abstention a augmenté de 20 points). Et c'est aussi là que Jean-Noël Guérini avait pourtant organisé son grand meeting départemental de fin de campagne avant le 1er tour ! Le FdG résiste au FN Le Front de gauche affrontait quant à lui le Front National dans 38 cantons. Il résiste y compris dans des bastions du FN, dans le Vaucluse ou les Alpes-Maritimes. Le Front de gauche conserve ainsi ses cantons d'Avignon Est et de Nice 3. La seule exception, le canton de Brignoles dans le Var est perdu par le sortant communiste à 5 voix près. En 2004 il avait été remporté dans une triangulaire, rendue cette fois impossible par la réforme votée par la droite. Plus largement, les résultats de ces duels Front de gauche / FN démontent complètement la thèse médiatique selon laquelle le Front national progresserait dans les milieux populaires, en prenant d'anciennes voix communistes. Dans les bassins miniers et industriels du Nord, du Pas-de-Calais ou du Gard à Alès, le Front de gauche gagne tous ses duels avec le FN, en remportant le plus souvent de larges majorités qui montrent que le cœur de la classe ouvrière n'est pas capté par le FN. De nouveaux élus PG Après l'élection de Jean-Pierre Poirot à Gérardmer dans les Vosges dés le premier tour, le PG obtient 4 élus supplémentaires dimanche 27 mars. Présent dans 10 cantons au second tour, les candidats PG du Front de gauche ont partout amélioré nettement leurs scores du 1er tour, avec des progressions comprises entre 14 et 31 points. Présents dans plusieurs cantons difficiles et n'étant pas pour la plupart sortants, les candidats PG ont remporté une moyenne de 49,7% des voix, ce qui les place devant les 46,5% obtenus par les candidats d'Europe Ecologie. Dans le Jura, département qui bascule à gauche, le candidat PG Patrick Viverge passe de 26% au 1er tour (face à un candidat PS et un PCF) à 57,6% au second tour, après avoir été soutenu par Jean-Luc Mélenchon et Arnaud Montebourg entre les deux tours. En Savoie, Jean-Louis Portaz est élu à La Chambre. Dans le Puy-de-Dôme sont élus Annie Chevaldonné à Thiers et Jean-Pierre Buche à Billom, ce dernier dans un duel face à un candidat PS.
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Blup, Blup, Blup... J'espère que je suis retenu dans la liste des 50...
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Economie et Front national: le grand tête-à-queue http://resultat-exploitations.blogs.liberation.fr/finances/2011/03/eco-fn.html
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A l'anniversaire de Sarkozy, Carla chante : « N'y retourne pas » http://www.rue89.com/confidentiels/2011/03/31/a-lanniversaire-de-sarkozy-carla-bruni-chante-ny-retourne-pas-197935
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Il sera chargé également des relations sociales avec les syndicats dans l'entreprise, comme c'est une tête à claque, les poissons vont voler bas...
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Pisté par son portable, un politicien allemand se rebelle http://eco.rue89.com/2011/03/31/piste-par-son-portable-un-politicien-allemand-se-rebelle-197948
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Le Monde La CFDT est à son tour confrontée au Front National http://social.blog.lemonde.fr/2011/03/29/la-cfdt-est-a-son-tour-confrontee-au-front-national/
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Au Pays de Sarko, certains apprennent vite... Au Front national, la méthode «bien bien démago» pour les «clients-électeurs» http://www.liberation.fr/politiques/06013326-fn-les-portugais-ca-vote-aussi
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Cantonales : le Front de Gauche 2e force à gauche Analyse du Parti de gauche après le 1er tour des cantonales http://www.lepartidegauche.fr/front-de-gauche/actualites-du-front-de-gauche/3618-cantonales--le-front-de-gauche-2e-force-a-gauche Dans les quelques 1600 cantons où il présentait des candidats avec des titulaires PCF ou PG, le Front de Gauche réalise un score de 10,5% en remportant près de 850 000 voix. Ramené à l'ensemble des cantons renouvelables, cela représente un score national de près de 9 %. Le Front de Gauche est ainsi la deuxième force de gauche, devant les Verts-Europe-Ecologie qui totalisent 8%. Ces résultats marquent un rééquilibrage au sein de la gauche. Par rapport aux Régionales le Front de Gauche progresse considérablement. Vis-à-vis des cantonales de 2004, l'autre gauche est en nette progression et le PS se tasse, en passant de 26 à 25%, ou de 33 à 31% si on élargit à ses alliés PRG et MRC. Une alternative Le Front de Gauche arrive en tête de la gauche dans près de 200 cantons, alors qu'il ne comptait qu'une centaine de sortants. Le Front de Gauche est ainsi en mesure de se maintenir au second tour dans 138 cantons contre 84 pour Europe-Ecologie. Et il l'emporte dès le 1er tour dans 32 cantons contre 0 pour Europe-Ecologie. Cette présence significative au second tour illustre la capacité croissante du Front de Gauche à incarner l'ensemble de la gauche. Le NPA totalise quant à lui moins de 0,6% des voix, score qui regroupe non seulement les voix obtenues par ses candidats isolés mais aussi ceux de LO et du POI. Ce n'est finalement que là où le NPA avait accepté de participer à des candidatures de rassemblement avec le Front de Gauche qu'il a pu continuer à exister politiquement. Les rassemblements Front de Gauche - NPA bénéficient ainsi d'une dynamique notable. C'est, comme lors des régionales, le cas dans le Limousin où dans le canton de Bellac (Haute-Vienne) le candidat Limousin Terre de Gauche arrive en tête à l’issue du premier tour, reléguant le sortant socialiste à la 3ème place. Mais aussi en Seine-Saint-Denis à Aubervilliers et Noisy-le-Grand. Ou encore dans les Hautes-Alpes et les Alpes-Maritimes où l'autre gauche rassemblée parvient à dépasser les 8% là où ses composantes ne collectaient que des poussières de voix en dessous de 5%, en étant divisées auparavant. A Gap, elle voit son candidat Jean-Claude Eyraud accéder au 2ème tour avec des chances de victoire. Preuve de sa capacité à être une alternative de masse à la social-démocratie, le Front de Gauche est passé devant le PS dans 120 cantons. Et à l'inverse la stratégie agressive du PS et d'Europe-Ecologie pour faire tomber des sortants du Front de Gauche n’a pas été suivie par les électeurs. En Seine-Saint-Denis comme dans le Val-de-Marne, dans l'Allier ou en Essonne, les sortants Front de Gauche ont fortement amélioré le résultat Front de Gauche. Là où ils sont en tête ils ont creusé l'écart face aux candidats PS-Europe-Ecologie. Et la situation s'est même retournée contre ces derniers dans plusieurs cantons où les candidats Front de Gauche sont arrivés à passer devant des sortants PS comme à Villeneuve Saint Georges (94) ou à Aubervilliers (93). L'analyse géographique des scores montre aussi une percée du Front de Gauche dans les départements les plus ouvriers et populaires avec plus de 14 % dans le Nord, le Pas-de-Calais et le Gard, ainsi que dans les départements les plus ancrés à gauche. Le Front de Gauche dépasse même les 15 % des voix dans une dizaine de départements traditionnellement socialistes, comme la Creuse, le Puy-de-Dôme, les Hautes-Pyrénées ou la Haute-Vienne. Dans l'Hérault, dans le canton populaire de la Paillade à Montpellier, le candidat Front de Gauche Mohamed Bouklit passe devant le FN et réalise prés de 22 % face au Président socialiste du Conseil général et député PS de la circonscription. Une forte progression Pour sa troisième présence électorale depuis son lancement en 2009, le Front de Gauche accélère sa progression par rapport aux régionales de 2010 où il était déjà en hausse par rapport aux européennes de 2009. Comparés aux 6,94% obtenus dans les 17 régions où le Front de Gauche se présentait en 2010, les 10,5% obtenus au 1er tour des cantonales représentent une progression de 50%. Alors que le progrès du Front de Gauche entre les européennes et les régionales n'était que de 7,5%. Cette hausse est nationale puisque le Front de Gauche progresse dans plus de 80 départements. Cette percée est même supérieure à 5 points dans une vingtaine de départements, tel le Val-de-Marne où le Front de Gauche passe de 11% aux régionales à 21% aux cantonales. L'analyse géographique des progressions montre que la poussée du Front national ne fait nullement reculer le Front de Gauche. Au contraire, là où le FN gagne du terrain le Front de Gauche progresse aussi. Dans le Vaucluse, le Front de Gauche passe de 5 à 10% et dans les Bouches du Rhône il grimpe de 8 à 10,6%. Tout comme dans l'Hérault où le Front de Gauche passe de 8,2 à 10,2%. Ou encore le Nord où il se hisse de 12 à 14%. Dans le Pas-de-Calais, la progression spectaculaire du Front de Gauche, de 8,9% à 14,2%, dans un fief du PS montre aussi une radicalisation à gauche des électeurs socialistes. La dynamique PG Les 243 candidats titulaires PG recensés par le ministère de l'intérieur réalisent un score moyen de 7,91% ce qui est remarquable pour la première participation du PG à des cantonales, souvent avec des candidats qui ne s'étaient jamais présentés auparavant à cette élection. Dans les Vosges, Gérard Poirot, conseiller général PG sortant est réélu dès le 1er tour avec le soutien du Front de Gauche et du NPA. En Essonne, Marie-Pierre Oprandi et Patrice Finel doublent le score du Front de Gauche par rapport aux régionales, en obtenant respectivement 18% et 16%. Dans la ville de Thiers (Puy de Dôme), notre sortante Annie Chevaldonné sera seule en lice au 2ème tour puisque c’est un candidat communiste qui est arrivé derrière elle. Deux autres de nos candidats sont en capacité de se maintenir au 2nd tour, signe de la solidité de l'implantation du PG dans ce département. Dans l'Aveyron, à Entraygues, Guilhem Serieys remporte 22% des voix et distance largement le candidat PS. Dans le Tarn à Castelnau de Montmirail, le candidat PG arrive en tête de la gauche alors même qu'il était concurrencé par un candidat communiste. A Marseille centre, Marie Batoux obtient 11,1% dans une candidature Front de Gauche-NPA. En Gironde, à Sauveterre de Guyenne, Christophe Miqueu remporte 10,2% des voix là où le PCF parvenait à peine à 4% en 2004. A Lille Sud-Est, Ugo Bernacilis recueille 9% des voix contre 6,4% en 2004 pour le candidat PCF. Les candidats qui avaient récemment quitté le PS pour rejoindre le PG voient aussi leur choix plébiscité par les électeurs comme à Dole dans le Jura (Patrick Viverge en tête avec 26% soit 700 voix de plus que le candidat PS) ou à Mamers dans la Sarthe (19,4% pour Luc-Marie Faburel qualifié pour le second tour). Enfin, dans des cantons réputés difficiles, les candidats PG ont aussi réussi à franchir la barre des 5% là où le PCF et l'autre gauche n'y parvenaient pas jusqu'ici. C'est par exemple le cas à Vanves dans les Hauts-de-Seine ou à Saint-Maur dans le Val de Marne.
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oudumalt ====> pur
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Les retraites augmenteront de 2,1% le 1er avril http://fr.news.yahoo.com/4/20110329/tts-france-inflation-top-ca02f96.html reuters Le gouvernement a revu à la hausse mardi, à 1,8% contre 1,5% jusqu'à présent, sa prévision d'inflation pour cette année, ce qui entraînera une revalorisation de 2,1% des pensions de retraite. La nouvelle prévision d'inflation a été arrêtée par la Commission économique de la Nation, qui regroupe 28 économistes et personnalités qualifiées et se réunit quatre fois par an, notamment au printemps pour étudier les prévisions économiques. Le relèvement de la prévision d'inflation a un effet mécanique sur la revalorisation des retraites. Et la hausse qui interviendra vendredi, avec effet sur les pensions versées début mai, est amplifiée par un effet retard de l'inflation de 2010. À la nouvelle prévision 2011 de 1,8% s'ajoute en effet 0,3 point de rattrapage correspondant à la différence entre l'inflation 2010 désormais constatée (1,5%) et celle prévue à la même époque l'année dernière (1,2%), explique le ministère de l'Economie. L'an dernier, la revalorisation des retraites du régime général au 1er avril n'avait été que de 0,9%. Le régime général concernait fin 2010 près de 12,9 millions de retraités, dont la pension moyenne relevant du régime général était de 609 euros. Le minimum vieillesse, appellation commune de l'allocation de solidarité aux personnes âgées, augmentera quant à lui de 4,7% le 1er avril, a précisé le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, Xavier Bertrand. Cette allocation, que le gouvernement s'est engagé à revaloriser de 25% sur cinq ans, est actuellement fixée à 708,95 euros par mois pour une personne seule et 1 157,46 euros pour un couple. GAZ ET ELECTRICITÉ VONT CONTINUER D'AUGMENTER Les prix à la consommation en France ont augmenté de 1,7% en rythme annuel en février, décélérant légèrement après un pic à 1,8% en janvier, en raison principalement de l'accélération des prix de l'énergie et des produits alimentaires. Cette accélération des prix a conduit plusieurs organisations de défense des consommateurs à réclamer ces dernières semaines une surveillance voire un encadrement accru des prix. Mais le débat sur le pouvoir d'achat s'est concentré ces derniers jours sur les tarifs réglementés de l'électricité et sur ceux du gaz. Le prix du gaz domestique augmentera ainsi de 5,2% vendredi, a confirmé lundi la Commission de régulation de l'énergie. Quant à ceux de l'électricité, leur progression, qui intervient traditionnellement en août, dépendra notamment du prix qui sera retenu pour la revente aux concurrents d'EDF du quart de sa production, imposée par la récente réforme du marché français. Alors qu'un scénario élaboré par EDF qu'a pu consulter Reuters évoque une hausse moyenne de 4,7% par an des tarifs, le ministre de l'Energie, Eric Besson, a assuré mardi que le gouvernement s'opposerait à toute hausse "importante" des tarifs réglementés d'EDF au cours de l'année qui vient. Marc Angrand, édité par Patrick Vignal
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Japon : une catastrophe planétaire.
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Fukushima : un taux d'iode 3.355 fois supérieur à la norme dans le Pacifique http://www.maxisciences.com/catastrophe-nucl%e9aire-au-japon/fukushima-un-taux-d-039-iode-3-355-fois-superieur-a-la-norme-dans-le-pacifique_art13544.html -
La religion n’est pas un service public Par HENRI PENA-RUIZ philosophe, écrivain, ancien membre de la commission Stasi http://www.liberation.fr/societe/01012328412-la-religion-n-est-pas-un-service-public
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Pépy n'aurait-il pas "promis" de remettre 3.000 cadres des directions centrales sur le terrain... il y a quelques années ? Les promesses n'engagent que ceux qui les croient... Cceci dit concernant la SNCF, j'attends toujours une information sur l'utilisation des cadres ...pour y voir clair... - cadres en 3x8 à la production (postes d'aiguillages, CRO-CNO, régul sous-sta, etc... ? - cadres dit de management - Cadres techniques - Cadres du service médical etc... etc...
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http://www.leparisien.fr/societe/laicite-les-six-religions-se-prononcent-ensemble-contre-le-debat-29-03-2011-1383927.php «Débat sur la laïcité ? Sérénité, attention et réflexion appliquées, recommandent les responsables de culte ! La Conférence des Responsables de Culte en France a été créée le 23 novembre dernier et elle regroupe six instances responsables du Bouddhisme, des Églises chrétiennes (Catholique, Orthodoxe, Protestante), de l’Islam et du Judaïsme. Cette initiative est justifiée par la volonté d’approfondir notre connaissance mutuelle, par le sentiment de contribuer ensemble à la cohésion de notre société dans le respect des autres courants de pensée, et par la reconnaissance de la laïcité comme faisant partie du bien commun de notre société. La laïcité est un des piliers de notre pacte républicain, un des supports de notre démocratie, un des fondements de notre vouloir vivre ensemble. Veillons à ne pas dilapider ce précieux acquis. Il nous parait capital, pendant cette période pré-électorale, de bien garder sereinement le cap en évitant amalgames et risques de stigmatisation. Nous signons ensemble cette tribune sans aucun esprit polémique ou partisan. Une parole commune nous semble néanmoins nécessaire. Notre cohésion au sein de la Conférence que nous avons fondée, est significative dans notre société française. Elle a été rendue possible grâce notamment au climat de coopération instauré entre les religions, que la "laïcité à la française" et ses évolutions depuis plus d'un siècle ont permis. Mais cette cohésion ne signifie pas pour autant uniformité ! Elle ne nous engage nullement en faveur d'un quelconque amalgame syncrétiste ou d’un nivellement de nos positions individuelles et celles des cultes que nous représentons. Nous travaillons ensemble dans la confiance, en intégrant nos histoires et identités respectives. Nous continuons à avoir des approches différenciées sur telle ou telle question, sans pour autant faire de nos différences des facteurs d'opposition. Nous sommes déterminés à réfléchir et à œuvrer ensemble sur la durée, en relation avec les autorités et les forces vives de notre pays, afin que le facteur religieux y soit un élément de paix et de progrès. L'accélération des agendas politiques risque, à la veille de rendez-vous électoraux importants pour l’avenir de notre pays, de brouiller cette perspective et de susciter des confusions qui ne peuvent qu'être préjudiciables. Nous en sommes conscients. Cela ne doit pas nous dissuader pour autant de rappeler l'essentiel quand il le faut. Nous restons très attentifs aux évolutions profondes de notre société, notamment celles qui concernent les religions, dans le respect du cadre de la République. Ces évolutions appellent parfois des adaptations voire des améliorations du cadre juridique et règlementaire de l’expression et de la vie des cultes en France. Nous ne manquerons pas d’être une force positive de propositions dans ce sens. Faut-il dans le contexte actuel un débat sur la laïcité ? Le débat est toujours signe de santé et de vitalité. Le dialogue est toujours une nécessité. Il a un rôle majeur dans une société libre, démocratique et respectueuse de la personne humaine. Mais un parti politique, fût-il majoritaire, est-il la bonne instance pour le conduire seul ? Ce ne sont ni les débats, ni les travaux qui manquent dans ce domaine ! La Loi 1905 est déjà plus que centenaire. Elle a permis d’apporter depuis lors des solutions à des questions nées de nouvelles situations et des évolutions de notre société dans un monde de plus en plus rapide. Tous les cultes adhèrent sans réserve à ses principes fondamentaux tels qu’ils s’expriment en particulier dans ses deux premiers articles. Mais les modalités d’application de ces principes restent toujours perfectibles. Faut-il recenser tous les colloques et autres séminaires qui ont abordé en long et en large la question de la laïcité et de ses applications dans notre pays depuis des années? Faut-il rappeler, dans la période récente, les travaux étendus et exhaustifs de la Commission présidée par le Professeur Jean Pierre MACHELON qui ont donné lieu à un rapport sur les « relations des cultes avec les pouvoirs publics » remis au ministre de l’intérieur le 20 septembre 2006 ? Ce rapport avait abordé d’une manière approfondie les différents aspects liés à l’exercice du culte en France dont celui du « support institutionnel » de son exercice dans notre pays. Faut-il rappeler de même les travaux du « Groupe juridique inter-cultes » qui travaille depuis 2007, dans le prolongement des recommandations du Groupe MACHELON, au sein du Ministère de l’intérieur, et où siègent des représentants des principaux cultes ? Ce groupe a bien fonctionné et a permis la publication de plusieurs circulaires dont la dernière, du 23 juin 2010, conjointe aux Ministères de l’intérieur et des finances, aborde d’une manière détaillée à l’attention des préfets, des directeurs départementaux des finances publiques et des trésoriers payeurs généraux, les différents aspects liés au « support institutionnel de l’exercice du culte en France » ? Faut-il rappeler aussi la production intellectuelle abondante d’articles et d’écrits divers, ainsi que les nombreux ouvrages qui paraissent sur l’histoire, les fondements, la pratique et les perspectives de la laïcité en France ? La liste en sera longue. Elle illustre parfaitement toute la richesse et la profondeur de notre expérience française de la laïcité. Nous y reviendrons lors de la rencontre publique que nous comptons organiser en octobre prochain. Secouée par des crises à répétition, politique, économique, financière et morale, la période actuelle manque de lisibilité mais sans doute pas d’espérance ! Le devoir de ceux qui sont « en responsabilité » consiste à éclairer le chemin et à élaborer des solutions conformes au bien de tous. N'ajoutons pas de la confusion dans la période trouble que nous traversons. Nous militons ensemble pour une laïcité de bonne intelligence. La laïcité n’est pas séparable des valeurs fondamentales que nous partageons, en particulier de la dignité et du respect de la personne humaine et de sa liberté inaliénable. Ces valeurs qui ne peuvent s’épanouir que dans la confiance mutuelle source de paix pour notre société.» SIGNATAIRES : Cardinal André VINGT-TROIS, président de la Conférence des Évêques de France Avec Mgr Laurent ULRICH, vice-président de la Conférence des Évêques de France Pasteur Claude BATY, président de la Fédération protestante de France Avec le pasteur Laurent SCHLUMBERGER, membre du Conseil de la Fédération protestante de France, président du Conseil national de l’Église réformée de France Métropolite EMMANUEL, président de l’Assemblée des Évêques orthodoxes de France Avec le Métropolite Joseph, secrétaire de l’Assemblée des Evêques orthodoxes de France Et Mr. Carol SABA, porte-parole de l’Assemblée des Évêques orthodoxes de France Grand Rabbin Gilles BERNHEIM, Grand Rabbin de France Avec le rabbin Moshé LEWIN, porte-parole du Grand Rabbin de France M. Mohammed MOUSSAOUI, président du Conseil français du culte musulman Avec M. Anouar KBIBECH, secrétaire général du Conseil français du culte musulman Révérend Olivier WANG-GENH, président de l’Union bouddhiste de France LeParisien.fr