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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Guillaume Pépy "Manager de l'année"
Dom Le Trappeur a répondu à kerguel situé dans Actualité ferroviaire générale
C'est vrai que d'après ce même Pépy , les cheminots n'étaient pas concernés par la réforme des retraites... Souvenir, souvenir... -
Mon Oeil.... Pour une fois qu'il se passe quelque chose sur France 2... http://13h15-le-samedi.france2.fr/?page=accueil&rubrique=monoeil&video=manuel_13h15_oeil_20110205_218_05022011135705_F2
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Sarkozy, la justice en boomerangLa guerre personnelle que le chef de l'Etat mène contre les juges pourrait se retourner contre lui.http://www.slate.fr/story/33689/sarkozy-justice-boomerang
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Les Cheminots : Effectifs de la SNCF
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Effectif Réel des Cheminots du Cadre Permanent au 31 Décembre 2010 : 147.117 Document par qualification, niveau, positions Cadre permanent (CP), Cadres Médicaux (CM) Cadres Supérieurs (CS) Attachés, Agents de conduite (Reprise d'un document mis par Pepe dans le sous-forum "documents") 2011-02-05-cgt-EffectifReel-SNCF-31-12-2010.pdf -
Recensement tout numérique au Brésil Le Point http://www.lepoint.f...1-135790_47.php En quelques semaines, l'Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE) s'est forgé une réputation dans le monde du high-tech. Il est le premier à avoir réussi un recensement national entièrement numérique, entre août et novembre 2010. "Nous n'avons pas imprimé le moindre formulaire, rien n'a été fait sur papier", s'est félicité son président, Eduardo Nunes, vendredi à l'Unesco au cours du forum Netexplorateur. Près de 200 000 personnes ont participé au projet, nommé Censo, dans 7 000 centres autonomes répartis à travers le pays, pour étudier les 190 millions de Brésiliens. Les enquêteurs ont été dotés de PDA (assistants électroniques) et de netbooks afin de récolter et de transmettre les informations de façon cryptée. Lorsque le réseau mobile était indisponible - et c'est le cas sur une partie non négligeable du territoire brésilien -, les enquêteurs ont utilisé des clés USB pour stocker les données. Tout cela a eu un coût : 800 millions de dollars, soit environ 4 dollars par habitant recensé. Mais c'est moins cher que le dernier recensement papier. Le prix sera réduit pour les prochaines échéances, puisqu'une partie du travail de recherche et d'organisation numérique sera réutilisable. D'autres pays intéressés L'ensemble du recensement n'a pris que trois mois, plus vingt-cinq jours de traitement des données. Une rapidité qui pourrait faire rêver, en France bien sûr, mais aussi aux États-Unis, où l'on a récemment renoncé à un tel défi technologique. Pour le Brésil, il ne s'agissait pas seulement de compter les habitants : il fallait aussi les géolocaliser, grâce aux coordonnées GPS des maisons. Des informations démographiques étendues ont été recueillies et permettent, par exemple, au pays d'anticiper une évolution de sa pyramide des âges. "Il y a quelques années, notre population ressemblait à celle de certains pays africains, mais dans 40 ans, nous rencontrerons les mêmes problèmes que la France aujourd'hui : nous aurons moins d'enfants et plus de personnes âgées", explique Eduardo Nunes. "Nous avons donc 40 ans pour nous préparer", ironise-t-il. D'autres pays sont intéressés par Censo. Les îles du Cap-Vert ont utilisé le même système, tout comme São Tomé et Principe. Certains voisins du Brésil, comme le Venezuela et le Paraguay, ont aussi exprimé leur intérêt auprès de l'IBGE.
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Philippe Roquette nous remercie
Dom Le Trappeur a répondu à fby situé dans Actualité ferroviaire générale
C'est pour cela que tout est écrit dans ton dossier par ton "manager" de Dpx ... les dates de formations, les contrôles, les rappels à l'ordre, les sanctions éventuelles... en cas de pépin, la direction sort le parapluie... et hop elle désigne le responsable : l'agent ou son Dpx qui aurait mal évaluer l'agent, le Duo qui n'aurait pas atteint ses résultats... -
Guillaume Pépy "Manager de l'année"
Dom Le Trappeur a répondu à kerguel situé dans Actualité ferroviaire générale
MdR... Manager de la concurrence libre et non faussée Ah si il pouvait faire éclater le statut des cheminots et voler en éclat le code du travail pour les salariés du privé travaillant dans le groupe SNCF... -
Philippe Roquette nous remercie
Dom Le Trappeur a répondu à fby situé dans Actualité ferroviaire générale
Non Non ça n'a rien d'injuste. L'employeur est (pénalement et moralement) responsable de ses salariés. Il a autorité sur eux et il est soumis à des obligations légales qui sont issues justement des enquêtes sur les accidents du travail et des mesures de prévention à mettre en oeuvre. Il y a des salariés ( à tous les niveaux et pas que des représentants du personnel...) qui se sont battus toute leur vie (et qui continuent) pour l'amélioration des conditions de vie et de travail, de santé et de sécurité dans et hors entreprise. Les obligations légales leur doivent beaucoup. -
Les Français ne travaillent pas davantage le dimanche Votée en 2009, la loi Maillé n'aura pas changé grand-chose au repos dominical des Français. La part des personnes qui travaille le dimanche est restée stable, selon des données publiées vendredi par le ministère du Travail. Chiffres stables Fin 2009, 12% des 22,5 millions de salariés, soit 2,7 millions de personnes, disaient travailler régulièrement la dimanche. Ils étaient 2,8 millions fin 2008, soit 12,1% des salariés. Les professions qui travaillent le plus le dimanche sont les ouvriers de la boulangerie, les employés et professions intermédiaires du commerce alimentaire, de la santé, de la surveillance et les ouvriers et employés des transports, les cadres et professions intermédiaires de la culture, les policiers et les militaires. Ils représentent 17% des salariés mais assurent 60% du travail dominical habituel. Régularisation des situations La loi Maillé semble donc avoir surtout régularisé des situations déjà existantes. Avec la création de «périmètres urbains d'usage de consommation exceptionnelle» (PUCE), les centres commerciaux de Plan de Campagne (Bouches-du-Rhône) ou de Gonesse (Val d'Oise) peuvent ainsi ouvrir légalement le dimanche sous réserve de payer davantage leurs salariés. Dérives dominicale Mais si le travail le dimanche ne s'est pas généralisé, les syndicats en critiquent toujours les dérives. Difficile souvent de refuser le travail dominical à son employeur alors qu'il est censé se faire sur la base du volontariat. Les travailleurs du dimanche subissent aussi davantage des horaires atypiques. 63% d'entre eux travaillent habituellement aussi le soir et 95% le samedi, selon les données du ministère.
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En fait maintenant je me demande qui est encore content de lui... C'est marrant d'un coup plus personne n'a voté Sarkozy en 2007... Les policiers non plus ne sont pas contents de Sarkozy http://www.liberation.fr/societe/01012318006-les-policiers-non-plus-ne-sont-pas-contents-de-sarkozy
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"Va y avoir du soui" : le clip mayennais qui fâche l'Église Allez participons au Buzz... C'est Gnafron qui va être content... http://www.lepost.fr/article/2011/02/04/2394740_va-y-avoir-du-soui-le-clip-mayennais-qui-fache-l-eglise.html#xtor=AL-235
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avec les révoltés de tunisie, d'algérie
Dom Le Trappeur a répondu à levdav situé dans Brin de causette
http://crisdegypte.blogs.liberation.fr/cairote/ Cris d'Egypte Un Cairote raconte la crise du régime sur son blog -
Magistrats, personnels pénitentiers et policiers nantais solidaires face à Sarkozy http://fr.news.yahoo.com/4/20110203/tts-france-justice-nantes-ca02f96.html Reuters Des Magistrats de Nantes ont décidé jeudi de suspendre pour une semaine leurs audiences pénales et civiles pour dire leur colère contre les "sanctions" promises par Nicolas Sarkozy après l'affaire Laëtitia. Dans le fil de cette initiative rarissime, la quasi totalité des syndicats de magistrats et la CGT pénitentiaire ont appelé tous les professionnels à se joindre "aux initiatives qui seront organisées" en France. Selon l'Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), qui a appelé à des assemblées générales dans les juridictions, les magistrats de Bayonne et de Créteil se sont déjà mis en grève, comme à Nantes. Le président français a promis des sanctions pour ce qu'il considère comme des dysfonctionnements dans le suivi judiciaire et policier de Tony Meilhon, soupçonné du meurtre de Laëtitia Perrais dans la région nantaise. Peu après le discours de Nicolas Sarkozy à Orléans, les magistrats du Tribunal de grande instance (TGI) de Nantes ont annoncé "une semaine sans audience". Seules les audiences urgentes sont maintenues. "Nous n'accepterons pas que des agents soient sanctionnés, alors qu'ils sont les premiers à devoir subir les conséquences d'une inflation législative conjuguée à une indigence budgétaire", déclarent une quinzaine de syndicats pénitentiaires et de magistrats dans un texte commun. "Le chef de l'Etat recherche des boucs émissaires mais ces dysfonctionnements sont en lien avec le manque de personnels pénitentiaires et de juges d'application des peines", a dit Jacky Coulon, secrétaire à Nantes de l'USM. "Nous ressentons un sentiment d'injustice profond", a ajouté ce juge d'instruction. "C'est une mise en cause blessante, alors que chacun d'entre nous essaie de remplir sa mission du mieux qu'il peut, avec le peu de moyens qui nous est alloué." "CHASSE AUX SORCIÈRES" Faute d'effectifs, et avec l'accord écrit de leur hiérarchie, les agents du Service pénitentiaire d'insertion et de probation (Spip) de Loire-Atlantique avaient abandonné en 2010 le suivi socio-judiciaire de plus de 800 détenus condamnés pour des délits mineurs. Le service de probation ne comptait que 17 agents pour suivre 3.300 personnes et Tony Meilhon, mis à l'épreuve dans le cadre d'un outrage à magistrat, n'était pas considéré comme dangereux. La police est, elle, mise en cause pour ne pas avoir porté à la connaissance de la justice sept plaintes déposées contre Tony Meilhon, dont une pour viol. Selon Jacky Coulon, la suspension des audiences a été décidée par un "mouvement spontané, en dehors des organisations syndicales". "Il y a une solidarité entre magistrats et policiers", a ajouté à ses côtés José Lhinares, secrétaire régional du syndicat de policiers Synergie Officiers. "Nous déplorons cette chasse aux sorcières: à chaque fois qu'il se passe quelque chose en France, il faudrait trouver un responsable." "Dans un monde parfait, avec des moyens pour tout le monde, le dossier Meilhon aurait pu être traité différemment", a ajouté le syndicaliste. "Mais après avoir voté des lois, il faut donner les moyens de les appliquer, ce qui n'est pas le cas." Le Syndicat de la magistrature accuse le ministère de la Justice d'avoir sciemment décidé de ne pas pourvoir le poste manquant de juge d'application des peines, citant plusieurs courriers entre les services et leur hiérarchie. Un quatrième juge d'application des peines a finalement été affecté une semaine après la disparition de Laëtitia Perrais, dont le corps démembré a été retrouvé mardi. Edité par Gérard Bon
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Tout n'est pas si simple pour Sarkozy et l'UMP... L'extension de déchéance de nationalité rejetée au Sénat (par la Gauche et le Centre) Reuters Jeudi 3 Janvier 2011 - 19h http://fr.news.yahoo.com/4/20110203/tts-france-immigration-senat-ca02f96.html Le Sénat a rejeté jeudi, contre l'avis du gouvernement, l'extension de la déchéance de la nationalité française aux citoyens naturalisés depuis moins de dix ans et ayant causé la mort d'une personne dépositaire de l'autorité publique. La Chambre haute, qui examinait le projet de loi "immigration, intégration et nationalité" voté le 12 octobre par l'Assemblée nationale, a adopté par 182 voix contre 156 une série d'amendements supprimant l'article relatif à l'extension des motifs de déchéance de la nationalité. La gauche et le groupe de l'Union du centre (UC) ont rejeté à l'unanimité cette mesure reprenant une proposition faite par Nicolas Sarkozy dans un discours prononcé à Grenoble le 30 juillet, où le président avait établi un lien entre immigration et délinquance. "C'est une mesure d'affichage nauséabonde", a commenté Nicole Borvo Cohen-Seat, présidente du groupe PC et apparentés au Sénat. Dans un communiqué, le groupe UC dit s'alarmer "d'une telle disposition qui créerait des différences de traitement entre personnes ayant la même nationalité". Philippe Richert, ministre chargé des Collectivités territoriales, a défendu la mesure en son "âme et conscience". "Les cas de déchéance de nationalité ne concernent qu'un tout petit nombre, des gens en défiance par rapport à la communauté nationale", a-t-il fait valoir. "Ces personnes, qui ont commis un acte de grande gravité, doivent pouvoir être déchues de leur nationalité. Tuer un préfet, tuer un gendarme, un policier est aussi grave que ce qui justifie déjà la déchéance de nationalité", a-t-il ajouté. L'examen du projet de loi d'une centaine d'articles présenté par le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, se poursuivra la semaine prochaine au Sénat. Il fera l'objet d'une seconde lecture à l'Assemblée au printemps. Le groupe UMP ne dispose pas à lui seul de la majorité absolue au Sénat, comme c'est le cas à l'Assemblée. Le gouvernement doit donc composer avec les centristes pour y faire adopter un texte. A l'Assemblée nationale, le 30 septembre, les députés avaient adopté l'article par 75 voix contre 57. A l'instar de la gauche, les centristes et plusieurs élus UMP, comme Etienne Pinte, avaient voté contre. Emile Picy, édité par Elizabeth Pineau
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Violences de gendarmes à Anduze : la version longue de la vidéo http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/02/03/violences-de-gendarmes-a-anduze-la-version-longue-de-la-video_1474902_823448.html#xtor=AL-32280184 23 minutes de vidéo...
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Le Monde... Pointe les responsabilités du Gouvernement ... Les problèmes du service chargé du suivi de Tony Meilhon connus de la chancellerie http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/02/02/les-problemes-du-service-charge-du-suivi-de-tony-meilhon-connus-de-la-chancellerie_1473890_3224.html
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Et encore, ils n'avaient pas sorti les chameaux... Interpellation musclée à Anduze : "Le gendarme nous a gazé sans sommation" http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/02/02/interpellation-musclee-a-anduze-le-gendarme-nous-a-gaze-sans-sommation_1474241_823448.html#xtor=AL-32280184
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Et si cette affaire d'espionnage n'était qu'un leurre pour cacher autre chose... Renault: la CGT dénonce baisse d'effectifs et culture du secret Reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20110202/tts-renault-plan-emploi-ca02f96.html L'espionnage industriel présumé chez Renault ne doit pas masquer les réductions d'effectifs que le groupe prépare en France estime la CGT, qui dénonce la culture du secret du constructeur. Le futur plan stratégique de Renault s'accompagnera sur la période 2011-2013 d'une baisse nette de l'effectif français du groupe, a déclaré mercredi la deuxième organisation syndicale du groupe au losange derrière la CFE-CGC. "L'affaire d'espionnage industriel permet à la direction de présenter Renault comme une entreprise de pointe faisant l'objet de piratage, voire d'une opération de déstabilisation", a déclaré Fabien Gache, délégué central de la CGT Renault au cours d'une conférence de presse. "Mais cette présentation d'une guerre économique permet surtout à la direction de justifier la culture du secret et de la confidentialité qui devrait désormais s'appliquer à tous les champs de l'entreprise, y compris au champ social". Renault, qui se dit victime d'une affaire d'espionnage industriel, doit présenter le 10 février sa nouvelle stratégie pour le moyen terme. Le groupe a annoncé la semaine dernière son intention d'embaucher 4.700 personnes à l'horizon 2013, un chiffrage que la CGT conteste. "Au nom précisément de l'espionnage industriel, la direction demande aux organisations syndicales de ne plus du tout s'exprimer sur le plan médiatique, y compris auprès des salariés, sur la stratégie qu'elle entend poursuivre", a ajouté Fabien Gache. Cette stratégie vise notamment à diminuer de manière "très sensible" les emplois, poursuit-il. La CGT estime que les 400 recrutements industriels prévus pour les trois années de l'accord sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) que la direction a proposé aux organisations syndicales restent hypothétiques car soumis à des objectifs de compétitivité que Renault n'a pas communiqués à ce jour. Le syndicat juge aussi que les 1.600 embauches envisagées dans l'ingénierie tertiaire et le projet de 2.700 contrats d'alternance, sans obligation d'embauche, seront très loin de compenser les 3.000 dispenses d'activité et les milliers de départs naturels prévisibles au sein du groupe. L'accord de GPEC sera présenté jeudi en Comité central d'entreprise (CCE) et soumis vendredi à la signature des organisations syndicales. La CGT a prévenu qu'elle ne le signerait pas. Gilles Guillaume, édité par Marc Joanny
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Les choix budgétaires pris au plus haut niveau de l'Etat... Comme la suppression de 100.000 fonctionnaires... Enseignants, policiers, gendarmes, infirmières, médecins, psys..., Magistrats, Educateurs sociaux, Pompiers.... Et Oui c'est pas du virtuel... Le gouvernement accusé de négligence dans l'affaire Laëtitia http://fr.news.yahoo...ce-ca02f96.html Reuters Le ministère de la Justice avait décidé fin 2010 de ne pas pourvoir le poste manquant dans le service qui a renoncé au suivi du meurtrier présumé de Laëtitia Perrais, dit mercredi le Syndicat de la magistrature. Tony Meilhon, soupçonné d'avoir tué près de Nantes la jeune fille dont le corps démembré a été retrouvé mardi, a purgé plusieurs peines de prison et était soumis à une "mise à l'épreuve" en vigueur lorsque le crime a été commis. En raison de problèmes d'effectifs, le Service pénitentiaire d'insertion et de probation (Spip) avait cependant décidé avec l'accord de la hiérarchie administrative et judiciaire d'abandonner le suivi. Répondant à un communiqué commun lundi des ministères de l'Intérieur et de la Justice, qui dénonçaient "une défaillance de la chaîne pénale", le Syndicat de la magistrature (SM, classé à gauche) rappelle les nombreux échanges de courriers entre ce service et la hiérarchie. "Par des rapports des 19 janvier et 22 octobre 2010, les juges de l'application des peines du tribunal de Nantes ont averti leur hiérarchie que l'absence, depuis un an, d'un quatrième juge de l'application des peines les obligeait à effectuer des choix de priorités", écrit-il dans un communiqué. "Il nous semble être un leurre de croire et de faire croire que nous pouvons à trois gérer de façon consciencieuse et responsable l'intégralité des mesures relevant du service de l'application des peines de Nantes", écrivaient-ils, selon le SM. Le Spip avait également écrit aux magistrats de Nantes le 24 mai dernier. Le Syndicat de la magistrature affirme surtout que ces problèmes locaux étaient connus "au plus haut niveau". Le 4 novembre 2010, "le premier président de la Cour d'appel de Rennes a répondu que 'malgré de multiples rapports et mises en garde' de sa part, la Chancellerie avait décidé de ne pas pouvoir le poste manquant de juge de l'application des peines de Nantes, qu'il n'était dès lors 'pas illégitime que les magistrats établissent des priorités de traitement des affaires' et que 'leurs choix n'étaient pas inopportuns'." Le 27 janvier, une semaine après la disparition de Laëtitia, le nouveau premier président de la Cour d'appel de Rennes, dit le SM, a décidé d'affecter à Nantes, entre le 1er avril et le 1er septembre, un quatrième juge d'application des peines. Clément Guillou, édité par Gilles Trequesser
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100.000 euros ? En liquide...? Une enveloppe kraft ? Franchement ça en devient risible...
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Comme l'impression que cette affaire se rapproche à grand pas du cercle restreint du pouvoir... (Un salarié de) la société Geos impliqué(e) dans l'affaire Renault Reuters http://fr.news.yahoo...tp-ca02f96.html La société privée de renseignement Geos a confirmé mardi soir l'implication d'un de ses salariés dans l'affaire d'espionnage présumé visant le groupe Renault. L'annonce intervient après la publication d'un article du Canard Enchaîné qui écrit qu'un salarié de Geos a travaillé avec d'autres personnes qui disent avoir piraté des comptes bancaires et a présenté le résultat de son travail à la direction de Renault par téléphone, sans produire la moindre preuve ou le moindre "justificatif présentable". "Un salarié de Geos International a fait l'objet, au début de l'été 2010, d'une demande de la part de membres du groupe Renault pour effectuer une étude de solvabilité concernant une entreprise", déclare le président du directoire de Geos, Jean Heinrich, dans un communiqué adressé par mail à l'agence Reuters. "Ce salarié a pris l'initiative, à titre personnel et sans en référer à sa hiérarchie, de servir d'intermédiaire entre ses contacts chez Renault et un tiers investigateur", ajoute-t-il. "Le salarié ayant reconnu les faits, s'est engagé à présenter sa démission à compter de ce jour. Le Groupe Geos, considérant avoir subi un préjudice, se réserve le droit d'exercer toute action en justice contre les acteurs de cette opération", ajoute-t-il. LETTRE ANONYMES Personne n'a pu être joint dans l'immédiat chez Geos pour donner des détails sur cette affaire et une porte-parole de Renault n'a pas fait de commentaire dans l'immédiat sur les éléments apportés par la société de renseignement. Selon Le Canard enchaîné, Renault, alerté par des lettres anonymes à l'été 2010, a fait mener une enquête par un correspondant à Alger de Geos, pour 100.000 euros. Renault a licencié ensuite les trois cadres soupçonnés d'avoir transmis à l'extérieur des informations sur les véhicules électriques et porté plainte auprès du parquet de Paris, qui a ouvert une enquête préliminaire officielle confiée à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Les médias s'étant fait l'écho d'une piste chinoise, la France refuse de son côté de faire un lien avec Pékin, qui a officiellement démenti toute implication dans ce dossier touchant une technologie jugée stratégique par les deux pays. Le président de Geos, le général Jean Heinrich a fait sa carrière dans les opérations spéciales et le renseignement. Il a dirigé le Service Action puis la Direction des Opérations de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Il a fondé, puis dirigé la Direction du Renseignement Militaire (DRM). Il a également occupé les fonctions de conseiller auprès de trois ministres de la Défense, lit-on sur le site de Geos. Nicolas Delame et Thierry Levêque, édité par Jean-Michel Bélot http://fr.wikipedia....i/Jean_Heinrich http://www.groupegeos.com/
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Pour en faire un bon film d'espionnage, il va falloir en améliorer le scénario... Renault ne disposerait pas de documents sur l'espionnage Reuters Alerté par des lettres anonymes à l'été 2010, le constructeur automobile a fait mener l'enquête à titre privé par un seul homme, payé 100.000 euros, correspondant à Alger d'une société privée de renseignement, Geos, selon l'hebdomadaire. Renault ne souhaite faire aucun commentaire, déclare à Reuters son avocat Jean Reinhart. Le détective a travaillé avec d'autres personnes qui disent avoir piraté des comptes bancaires et a présenté le résultat de son travail à la direction de Renault par téléphone, sans produire la moindre preuve ou le moindre "justificatif présentable", explique l'hebdomadaire satirique. Renault a licencié ensuite les trois cadres et porté plainte auprès du parquet de Paris, qui a ouvert une enquête préliminaire officielle confiée à la Direction centrale du renseignement intérieur. Le détective a été licencié par Geos qui lui reproche d'avoir fait cavalier seul. Selon une source proche du dossier, les enquêteurs de la DCRI ont multiplié ces derniers jours les auditions au sein de Renault et du centre de Guyancourt (Yvelines), où travaillaient les trois cadres mis en cause. La DCRI a demandé à Renault de livrer le nom de son détective, sans succès, car les témoins interrogés s'y refusent. Des demandes d'aides ont été envoyées au Luxembourg et en Suissepour vérifier les accusations faisant état de comptes bancaires off-shore, alimentés par des sociétés chinoises, dit le Canard. A en croire Renault, l'opération d'espionnage aurait porté sur le projet de voiture électrique, dans lequel la société a investi quatre milliards d'euros. Le gouvernement chinois a démenti catégoriquement toute implication dans l'affaire et les trois cadres licenciés se disent innocents. Ils se disent abasourdis et ont déposé des plaintes pour diffamation ou dénonciation calomnieuse. Thierry Lévêque
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Et Hop c'est reparti du côté des affaires... Wildenstein... L'UMP et Sarkozy n'en sont jamais bien loin... Trente œuvres "disparues ou volées" saisies à l'Institut Wildenstein http://www.lemonde.fr/culture/article/2011/02/01/trente-uvres-disparues-ou-volees-saisies-a-l-institut-wildenstein_1473779_3246.html
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Un vrai raté de fermeture ?
Dom Le Trappeur a répondu à mikado74 situé dans Actualité ferroviaire générale
Les faits divers : 600 assassinats par an, on en prend un au hasard et on en a pour 8 jours à la télé et la une des journaux avec même le Président de la République qui s'en occupe..."personnellement"... agressions, vols, escroqueries, délinquances en tout genre au quotidien SNCF averc 15.000 trains par jour, quelques retards et incidents sans oublier les ...grèves aucun problème pour avoir une actualité quotidienne au top... et si en plus il y a une révolution par mois à l'étranger... heureusement il y a quelques résultats sportifs favorable aux français (hand, ski...) Bon ceci dit dans toute ma carrière j'ai eu deux ratés de fermeture sur des PN (sans accident heureusement), des vrais, des purs, des durs... Le risque zéro n'existe pas... -
Le Social... Dans Ouest-France et Le Télégramme du jour... Grève : la moitié des crèches de la ville de Paris fermées http://www.ouest-fra...tous_filDMA.Htm Ports. La CGT appelle à poursuivre la grève http://www.letelegra...011-1193891.php Porc. A Paris, les éleveurs crient leur désespoir http://www.letelegra...011-1187543.php Fonction publique. 100.000 emplois supprimés d'ici 2013 http://www.letelegra...011-1177598.php Les pages de ces deux journaux sont mieux remplis en faits divers...