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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. En cherchant sur le forum tu devrais bien trouver le RH077 pour la SNCF... Il n'a rien d'imbuvable il suffit de le décortiquer... et iul y a pas mal de sujets particuliers abordés sur le forum... Pour le régime général (et non le privé ...) le code du travail prévoit le repos hebdomadaires les samedis et dimanches, c'est la règle de basqe après branche par branche, entreprise par entreprise, il faut prendre les conventions collectives ou les accords d'entreprise...
  2. Sylvie François organisatrice de l'apéro géant exist-t-elle vraiment ? http://777socrate.blogspot.com/2010/06/de-lapero-geant-saucisson-pinard-de.html
  3. L'apéro "Saucisson et pinard" interdit par la préfecture de police de Paris L'apéro "Saucisson et pinard" prévu vendredi dans le quartier multiethnique de la Goutte-d'Or, n'aura finalement pas lieu. Redoutant des troubles à l'ordre public, la préfecture de police de Paris a annoncé mardi après-midi, à l'issue d'une rencontre avec les organisateurs, qu'elle interdisait cet événement trop controversé La perspective de cette manifestation, soutenue par des associations d'extrême droite, était considérée comme une provocation dans ce quartier où habitent de nombreux musulmans. La Grande mosquée de Paris avait même fait savoir qu'elle ouvrirait ses portes aux fidèles qui se sentiraient "provoqués par une telle manifestation d'hostilité". "En raison de ses conditions d'organisation, du lieu, du jour et de l'horaire retenu, ainsi que des projets de contre-manifestations qui sont apparus en réaction, cet événement de voie publique est créateur de risques graves de troubles à l'ordre public", a expliqué la préfecture de police dans un communiqué, en notant que cette manifestation avait "reçu le soutien de plusieurs associations ou mouvements, dont certains membres ont été récemment associés à des troubles à l'ordre public". Le préfet de police a donc pris un arrêté interdisant cette manifestation mais aussi "tout projet de contre-manifestation prévu pour se tenir dans ce quartier" vendredi soir, précisait-on de même source. SOS racisme s'est félicité "que sa demande d'interdiction ait été prise en compte". "Il est manifeste que ce rassemblement d'appel à la haine était de nature à créer des troubles à l'ordre public, au regard des antécédents des organisateurs", a précisé l'association dans un communiqué. Bertrand Delanoë avait exprimé son "inquiétude" et sa "préoccupation" par rapport à cet événement "visiblement inspiré par des mouvements d'extrême droite". "Et la manifestation doit se tenir quelques heures après les prières musulmanes du vendredi à la Goutte d'Or, et juste avant le coup d'envoi du match de football Angleterre-Algérie", avait déploré le maire de Paris dans un communiqué. "Tout semble donc conçu pour donner lieu à des dérives, à des dérapages, voire à des violences", avait-il souligné. Dalil Boubakeur, recteur de l'Institut musulman de la Grande mosquée de Paris, avait relevé pour sa part "l'émotion" soulevée par la perspective de cette manifestation qui devait se tenir au moment de la grande prière de vendredi aux abords de la mosquée de la rue Myrha. Et de proposer d'ouvrir les portes de la Grande mosquée aux fidèles du XVIIIe arrondissement "qui se sentiraient gênés ou provoqués par une telle manifestation d'hostilité". La secrétaire d'Etat à la Politique de la ville, Fadela Amara, avait qualifié quant à elle ce projet de "scandaleux". "Je n'étais pas pour l'interdiction. Moi, je suis pour que tout le monde se réunisse, boive un coup et rigole ensemble, voilà. Mais quand c'est monté comme ça et quand c'est porté et soutenu par des structures qui sont liées directement à l'extrême droite, avec tout ce que ça suppose comme haine derrière, c'est extrêmement dangereux", avait-elle affirmé sur RTL. Dans un entretien accordé au quotidien gratuit "Metro", Sylvie François, une habitante du quartier de la Goutte-d'Or qui était à l'origine de cette initiative lancée sur le réseau social Facebook, avait affirmé que cet apéro était "l'expression d'un ras-le-bol". "L'islamisation du XVIIIe est de plus en plus ostentatoire, avec plusieurs prières le vendredi. Cela heurte ma conception républicaine de la laïcité, je me sens de plus en plus exclue dans ce quartier", avait-elle affirmé. AP
  4. Oui certes, mais la réglementation a été modifié le 1er janvier 2001... Dans le cas présent il semble que ce soit des cheminots d'un établissement fret interrrogional qui soient concernés. Donc un établissement créer il n'y a que deux ou trois ans ? Si quelqu'un peut confirmer ou infirmer...? où en est le rapport de force pour faire appliquer le réglement et les taquets minimum ? Là le problème c'est qu'on finit devant la justice (prud'hommes) qui condamne l'infraction... Le risque c'est la dérive de voir l'infraction s'étendre pour obtenir du pognon ... la direction fera ses comptes... Je suppose qu'elle a fait appel de la décision du tribunal...
  5. 120 cheminots (du titre II semble-t-il) 180 euros par repos doubles non attribués 380.000 euros au total soit 2111 Repos Périodiques doubles non attribués soit 17,6 RPD par cheminots concernés sachant que chaque cheminot doit obtenir au minimum 52 RPD par an cela veut dire qu'en moyenbne ils n'ont obtenu que 35 RPD (en moyenne) dans l'année... Bravo la Direction SNCF...ça c'est du Management
  6. Comme quoi un syndicat ça sert (aussi) à quelque chose... La Tribune.fr La SNCF condamnée aux Prud'hommes pour non respect des jours de repos Le conseil des Prud'hommes de Paris a condamné la SNCF à indemniser 120 cheminots à hauteur de 380.000 euros Le conseil des Prud'hommes de Paris a condamné ce lundi la SNCF à indemniser, à hauteur de 380.000 euros, 120 cheminots pour ne pas leur avoir accordé le nombre de jours de repos consécutifs par an prévus par la réglementation, a-t-on appris auprès du syndicat SUD-Rail. "Le conseil des Prud'hommes condamne l'entreprise publique à dédommager les agents pour le non respect de la réglementation du travail et à verser 1 euro symbolique à SUD-Rail", indique le syndicat dans un communiqué. Frédéric Michel, délégué SUD-Rail, a précisé à l'AFP que l'entreprise publique avait été condamnée à payer 180 euros par "repos périodique double" non attribué, soit environ 380.000 euros aux 120 plaignants issus d'une dizaine de régions SNCF. Interrogée, la SNCF a indiqué ne pas commenter une décision de justice. "Ce n'est que la partie immergée de l'iceberg, car évidemment le problème s'est posé pour un nombre beaucoup plus important de cheminots qui n'ont pas eu les 52 repos doubles par an prévus par la réglementation de la SNCF", a commenté Frédéric Michel. "Cette situation illustre un vrai problème d'effectifs à la SNCF, notre but étant d'obtenir des compensations financières pour les cheminots mais aussi de forcer l'entreprise à procéder aux embauches nécessaires pour pouvoir respecter la réglementation", a ajouté le délégué SUD-Rail. Par ailleurs, 57 salariés de deux sous-traitants de la SNCF dans le nettoyage ont lancé ce lundi une procédure aux poursuivent aux Prud'hommes afin d'obtenir de meilleures conditions de travail. Ils réclament également que leur soit appliquée la Convention manutention ferroviaire et travaux connexes, et non celle s'appliquant aux salariés du nettoyage.
  7. ça bouge Du côté du Front de Gauche... PCF, Parti de Gauche PG, Gauche Unitaire (Ex-LCR) Sur le Blog de Jean-Luc Mélenchon sommet du Front de Gauche Jean qui flippe et Jean qui rit Et un article dans l'Humanité... Le Front de gauche veut s'engager dans une nouvelle dynamique La rencontre entre les dirigeants du PCF, du PG et de la Gauche unitaire s’est conclue sur d’importantes décisions et une volonté de continuer ensemble . Au terme d’une rencontre de deux heures, mercredi en fin d’après-midi au siège du Parti de gauche, les dirigeants de trois composantes fondatrices du Front de gauche ont confirmé devant la presse leur volonté non seulement de continuer ensemble, mais de développer leur engagement commun dans la lutte contre l’offensive libérale qui provoque « tant de souffrances sociales », selon les mots de Marie-George Buffet. Les trois délégations , conduites respectivement par Marie-George Buffet (PCF), Jean-Luc Mélenchon (PG) et Christian Picquet (Gauche unitaire) sont convenues d’élaborer dans le cadre d’un grand débat public de plusieurs mois un « programme partagé » dont le projet sera rendu public dans ses grandes lignes au cours du grand rassemblement politique qu’est la fête de l’Humanité à la mi-septembre. C’est Marie-George Buffet qui a présenté les résultats d’une rencontre que chacun a qualifiée de fructueuse. Le Front de gauche, qui a déjà passé les épreuves de deux consultations électorales ( les élections européennes de juin 2009 et les régionales de mars 2010) est désormais une composante de la vie politique française. Le comité de liaison qui existe déjà est appelé à intervenir davantage afin d’impulser des campagnes communes dans le cadre de la résistance à la politique de Nicolas Sarkozy. Les communistes peuvent être satisfaits que leur volonté ait été partagée de voir le Front s’élargir à des forces sociales, des responsables syndicaux, des intellectuels , qui deviendront des partenaires de plein droit. Mais le Front n’a pas vocation à devenir un parti politique. Il n’y aura donc pas d’adhésions directes, mais les hommes et les femmes qui veulent s’engager sans adhérer à l’un des partis composant le Front pourront faire partie d’une structure regroupant « les partisans du Front de gauche. » Les nuages qui avaient projeté un peu d’ombre sur les relations entre le PG et ses partenaires se sont dissipés « La température était un peu montée » convenait hier Jean-Luc Mélenchon, « mais nous sommes repartis » ajoutait-il, soulignant « la gravité du moment » qui exige d’« être à la hauteur ». Le président du PG n’a pas hésité à parler, à propos du nouvel engagement du Front de gauche, d’un « événement historique ». Christian Picquet, porte-parole de la Gauche unitaire, a lui aussi invité à mesurer le progrès que constitue le Front de gauche qui « réunit des militants et des formations de traditions différentes qui dans le passé se sont parfois durement affrontées. « En toute responsabilité, nos trois composantes ont fermement décidé de poursuivre l’espoir du Front de gauche » s’est félicité l’ancien dirigeant de la LCR. Alors dans ce contexte, les débats et les crispations autour des candidatures et notamment à la présidentielle ne doivent pas prévaloir sur la résistance. « On n’attend pas 20212, c’est maintenant qu’il stopper Sarkozy », a expliqué Marie-George Buffet en annonçant que le Front de gauche allait engager des actions communes pour la défense des retraites, sur l’école, les dépenses publiques, la paix… Une nouvelle réunion des leaders du Front de gauche se tiendra après la journée de mobilisation syndicale du 24 juin. Jean-Paul Piérot
  8. Intégrisme politique ... Un apéro "saucisson et pinard" suscite l'émoi à Paris Un projet d'apéritif géant prévu vendredi dans un quartier multiethnique de Paris avec alcool et charcuterie, ce qui exclut tout participant de confession juive ou musulmane, suscite l'émoi d'une partie de la gauche. Dans le sillage de SOS-Racisme, des élus du Parti de gauche et du Parti communiste ont dénoncé lundi cet apéritif "saucisson et pinard" dans le quartier de la Goutte d'or. Des organisations proches de l'extrême droite avaient utilisé les mêmes ressorts pour organiser des soupes populaires au cochon, à Paris et Strasbourg -- des opérations discriminatoires selon le conseil d'Etat. A l'instar d'autres "apéros géants", l'invitation pour la soirée "saucisson et pinard" a été lancée fin mai sur le réseau social Facebook par son initiatrice, Sylvie François. La page comptait lundi plus de 3.650 membres, selon Sylvie François, qui dénonce l'islamisation du quartier parisien où sont situées plusieurs mosquées. Hasard du calendrier ou opération médiatique rondement menée, la soirée doit se dérouler un vendredi, jour de prière pour les musulmans, au moment où se déroulera le match de Coupe du monde Angleterre-Algérie et 70 ans jour pour jour après l'Appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle. Pour le Parti de gauche, derrière l'appellation "saucisson et pinard a priori inoffensive, se cache une grossière provocation visant à créer des incidents avec les habitants et les commerçants du quartier". "Ni populaire, ni festif, ni laïc ni républicain, ce rassemblement s'annonce comme haineux, violent et raciste. Il ne doit pas être toléré", écrivent les élus parisiens du PG. Le Parti communiste dénonce dans un communiqué une "manoeuvre grossière aux relents racistes", qui a pour but de "dresser les communautés les unes contre les autres". LA PRÉFECTURE DE PARIS PRÉPARE SA RÉPONSE Sur Europe 1, Dominique Sopo, président de SOS Racisme, a dénoncé par avance un événement "haineux, très nettement connoté antiarabes, antimusulmans". Le Parti de gauche et SOS Racisme et le PCF demandent à la préfecture de Paris d'interdire le rassemblement. La préfecture a fait savoir que la décision était en préparation et serait communiquée mercredi soir ou jeudi matin. Sur Facebook, Sylvie François, qui se présente comme Française de souche, non politisée et habitante du quartier, précise que les "négociations sont en cours avec les autorités". Le PG estime aussi que l'affiche de l'événement colle les deux "s" du mot saucisson avec la même typographie que celle utilisée par les troupes de choc nazies, les Waffen-SS. "Cette banalisation du nazisme est absolument abjecte et, selon nous, devrait être l'objet d'une sanction pénale", soulignent les conseillers de Paris. Plusieurs groupes proches de l'extrême droite, comme Riposte laïque ou Bloc identitaire, soutiennent le projet de rassemblement de Sylvie François. Elle précise vouloir organiser une "protestation joyeuse, festive, conviviale contre la privatisation à des fins religieuses" de certaines rues du quartier qui "sont bloquées à la circulation à chaque prière du vendredi". Il s'agit, dit-elle, de se mobiliser face aux "adversaires résolus de nos vins de terroir et de nos produits charcutiers". Dans la nuit de dimanche à lundi, un groupe Facebook concurrent s'est créé pour appeler à un "apéro géant halal et thé à la menthe" à la Goutte d'or, sans date pour l'instant. Laure Bretton, édité par Yves Clarisse
  9. Il y a comme une part de vérité... Le centre-Finistère est le centre du monde et le nombril de l'univers... helpsoso
  10. Inculquer ou inculper... Marrant ...pas grand chose dans la presse du jour...
  11. Il se passe des choses zarbi sur le site... Nouvel essai... http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/24109-trimestre-apprentissage-sncf-pour-retraite/page__pid__307277__st__0&#entry307277
  12. 54 + 4 = 58... CFDT: François Chérèque réélu pour 4 ans JeanMarie Godard François Chérèque, 54 ans, a été réélu jeudi soir secrétaire général de la CFDT pour un troisième et dernier mandat de quatre ans, au cours du 47e congrès de la confédération à Tours. Il a succédé à ce poste en mai 2002 à Nicole Notat. Selon des résultats communiqués par la CFDT, M. Chérèque a été désigné par le bureau national, après avoir été réélu dans cette instance dirigeante par 95,32% des voix exprimées au congrès réuni depuis lundi dernier. Né le 1er juin 1956 à Nancy, François Chérèque, éducateur spécialisé en milieu psychiatrique, a fait ses premières armes à la CFDT lorsqu'il y a adhéré en 1978. En 1986, il devient secrétaire général de l'union départementale CFDT des Alpes-de-Haute-Provence et entre au bureau régional interprofessionnel CFDT de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA). Secrétaire national de la fédération santé-sociaux puis secrétaire général de cette branche en 1996, il négociera à ce titre avec le gouvernement et les directions plusieurs dossiers sensibles, dont celui de l'application des 35 heures dans les hôpitaux publics. En octobre 2001, il franchit un grade supplémentaire en entrant au secrétariat national de la CFDT et à la commission exécutive, dernière étape avant l'accession au secrétariat général de la confédération. Solide gaillard barbu, amateur de rugby, François Chérèque, inconnu de bon nombre de militants de base sauf de ceux de la fédération dont il était issu lors de son accession au poste de secrétaire général en mai 2002, a montré depuis qu'il avait les épaules assez solides pour porter cette responsabilité. Car depuis, M. Chérèque a dû affronter une tempête. En mai 2003, en plein mouvement social, lorsque la direction de la CFDT approuve seule la réforme Fillon des retraites, elle provoque la rupture d'une intersyndicale fragile et, au sein de la confédération, une violente réplique du séisme vécu par Nicole Notat en décembre 1995 lors du soutien au plan de réforme Juppé. Le soutien de M. Chérèque à la réforme Fillon -en contrepartie de la possibilité pour les salariés ayant commencé à travailler très jeunes de partir avant 60 ans- provoquera le départ de plusieurs dizaines de milliers de militants, et des relations glaciales avec la CGT dont le secrétaire général Bernard Thibault analysera la décision de la CFDT comme une trahison. Les deux secrétaires généraux ne commenceront à se rapprocher et à se reparler qu'en 2006, à l'occasion du mouvement social contre le Contrat première embauche (CPE). C'est aussi en 2006, au mois de juin, lors du 46e congrès de la CFDT à Grenoble, que les militants et la direction syndicale solderont les comptes de cet épisode douloureux, au sujet duquel François Chérèque reconnaît aujourd'hui une erreur de forme, mais pas de fond. Le rapport d'activité, bilan de l'action de l'actuelle direction depuis le congrès de Grenoble, a d'ailleurs été approuvé mercredi par 86,8% des délégués à Tours. La page est donc bel et bien tournée et Bernard Thibault, invité à Tours, a été accueilli sous les applaudissements, jeudi, appelant avec M. Chérèque à la mobilisation contre la réforme des retraites 2010, le 24 juin prochain. Le gouvernement "a décidé de tirer les premières salves. En attaquant les 60 ans, il veut prouver qu'il est capable de faire tomber un symbole. Il se moque des inégalités, il ne les regarde pas, les voit-il seulement?", a dit François Chérèque lundi dernier lors de l'ouverture du congrès. Le gouvernement "fait le choix de mener cette réforme, que chacun sait indispensable, sur des bases injustes, inacceptables qui frapperont les plus modestes déjà lourdement touchés par la crise. Nous n'acceptons pas la remise en cause des 60 ans!", a-t-il lancé, provoquant près d'une minute d'applaudissements et d'ovation des délégués CFDT. AP
  13. Retraites: la CFDT vote l'allongement de la durée de cotisation La CFDT, qui reste ferme sur le maintien du départ à la retraite à 60 ans, s'est prononcée jeudi lors de son congrès à Tours (Indre-et-Loire) pour un allongement de la durée de cotisation sous conditions. Ce vote renforce la position du secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, déjà plébiscité mercredi pour sa gestion passée de la première organisation syndicale française par le nombre d'adhérents. Une partie des congressistes refusaient en effet d'adhérer à l'idée du bureau national de laisser la porte ouverte dans son projet à une augmentation de la durée de cotisation pour toute réforme des retraites. Le syndicat Interco de Seine-Maritime avait donc déposé un amendement visant à supprimer la résolution contestée de la direction. Cet amendement a été rejeté par 58,9% des suffrages exprimés, a-t-on appris auprès de la direction. "L'augmentation de la durée de cotisation n'est acceptable pour la CFDT qu'à la condition d'un partage des gains d'espérance de vie et d'une possibilité de choix renforcée (...) Les gains d'espérance de vie doivent faire l'objet d'un partage équilibré entre durée de cotisation supplémentaire ouvrant le droit à une retraite à taux plein et temps de retraite supplémentaire", dit le texte adopté. L'amendement ayant été rejeté, ce texte à valeur de résolution sur cette question d'augmentation de la durée de cotisation retraites, a-t-on précisé de même source. Jean-Louis Malys, le secrétaire national chargé du dossier des retraites, a réaffirmé à l'issue du vote l'opposition de l'organisation à la remise en cause du départ à 60 ans. "Nous ne voulons pas d'une réforme baclée, injuste. Les 60 ans ne sont ni négociables, ni amendables", a-t-il dit à la tribune. Le gouvernement devrait envoyer le 15 juin son pré-projet de réforme des retraites aux organisations syndicales, selon une source syndicale. Les syndicats ont appelé à une nouvelle journée de mobilisation le 24 juin, à l'exception de Force ouvrière, qui organise une journée de grève et une manifestation à Paris le 15 juin. Mourad Guichard, avec Gérard Bon à Paris, édité par Yves Clarisse
  14. ça doit bien faire cinq six ans que ce texte circule sur internet... D'ailleurs http://www.hoaxteam....52&idMess=83025 et aussi : http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/hoax.php?idArticle=47302
  15. Et ouai, ... les pauvres ...ils ont pas beaucoup de sous, mais ils sont nombreux les pauvres... Franchement un compteur électrique intelligent... je rêve... je vais finir par vivre dans une grotte...
  16. Le 27 mai dernier ... j'ai vu quelques drapeaux FO dans la manif...
  17. Et puis qui s'est qui financent les régions sinon le contribuable, le consommateur et le salarié...
  18. Bah...Y'a qu'à supprimer les trains en heures de pointes ... Vive le capitalisme, le libéralisme et les privatisations... Vive Bruxelles , l'Europe et les directives européennes
  19. Les médecins de La Poste sonnent le tocsin http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/06/03/les-medecins-de-la-poste-sonnent-le-tocsin_1366948_3224.html#xtor=AL-32280184
  20. Communiqué commun CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA Appel à une nouvelle journée de mobilisation le 24 juin Les organisations syndicales CFDT, CFTC , CGT, FSU, Solidaires, UNSA se sont réunies le lundi 31 mai 2010 pour faire l’analyse de la journée de mobilisation du 27 mai pour l’emploi, les salaires et les retraites et pour envisager les suites. Elles portent une appréciation positive sur la dynamique de mobilisation qui a rassemblé les salariés du public et du privé, les retraités, les privés d’emploi, les jeunes alors que les annonces gouvernementales, notamment de reporter l’âge légal de départ en retraite, ont été faites 3 jours avant cette journée. Les organisations syndicales rappellent que : • la remise en cause de l’âge légal à 60 ans est inacceptable et injuste, en particulier elle fait porter les efforts sur les salariés qui ont commencé à travailler tôt et les travailleurs et travailleuses les plus précaires ; • la reconnaissance de la pénibilité est incontournable et ne peut se concevoir à partir d’un examen médical ; • la question des nouvelles ressources reste pleine et entière ; • La situation de l’emploi se dégrade, notamment pour les jeunes et les seniors, nécessitant une autre politique de l’emploi. Les orientations du gouvernement ignorent l’essentiel des exigences formulées par les organisations syndicales. Le gouvernement, avec mépris, a affirmé vouloir maintenir le cap sans prendre en compte la mobilisation des salarié(e)s. Il écarte toute idée d’un véritable débat et distille son projet au fil de l’eau. C’est inacceptable. Le gouvernement reste campé sur l’allongement de la durée de cotisations et le report de l’âge légal de départ à la retraite. Taxation des hauts revenus et des revenus du capital, harmonisation éventuelle entre le public et le privé… autant d’incertitudes et d’inquiétudes sur ses véritables intentions ! Rien n’est joué ! Le projet de loi devrait être présenté autour du 18 juin. L’intersyndicale se retrouvera régulièrement tout au long du processus qui court jusqu’à l’automne. Elle précisera ses analyses, continuera à faire connaître ses propositions et affinera ses mots d’ordre. Elle continuera à convaincre les salarié(e)s que leur intervention est indispensable. Elles décident et appellent les salarié(e)s du public et du privé, les retraités, les privés d’emploi, les jeunes à une nouvelle journée de mobilisation le 24 juin 2010. Le 31 mai 2010
  21. Retraites : nouvelle mobilisation le 24 juin L'intersyndicale appelle à une nouvelle "journée de mobilisation" le 24 juin. L'intersyndicale CFDT-CGT-FSU-Solidaires-Unsa a appelé lundi à une nouvelle journée de mobilisation sur les retraites le 24 juin prochain. A l'issue d'une réunion à Montreuil (Seine-Saint-Denis), les organisations ont estimé que "rien n'était joué", le gouvernement devant présenter son projet de loi de réforme des retraites autour du 18 juin. Les responsables de l'intersyndicale ont précisé par la suite lors d'un point de presse qu'ils décideraient le 14 juin, à l'occasion d'une prochaine réunion, des modalités précises - grèves, manifestations… - de cette nouvelle mobilisation. Bien qu'ils n'aient pas réussi à mobiliser massivement lors de la journée de manifestations et de grèves du 27 mai, les syndicats portent, dans une déclaration commune, "une appréciation positive sur la dynamique de mobilisation".
  22. Y'en a un qui s'est tordu le petit doigt de la main gauche ?
  23. Le Medef s'occupe de nous... Parisot souhaite le report de l'âge de la retraite à 65 ans La présidente du Medef, Laurence Parisot, a souhaité mercredi que l'âge légal du départ à la retraite soit porté à 65 ans, contre 60 ans actuellement. "Si rien n'est fait, le déficit du régime général sera de 40 milliards d'euros en 2030 et de 100 milliards en 2040. Aujourd'hui, pour une année de pension versée, savez-vous qu'un mois et demi est financé par l'endettement ? C'est pour cela qu'il faut remettre l'âge légal de départ à 65 ans", a-t-elle dit lors d'une rencontre à Cannes avec des chefs d'entreprise des Alpes-Maritimes, rapporte le quotidien Nice-Matin dans son édition de jeudi."Si nous en étions restés à 65 ans, comme c'était le cas avant 1983, nous n'aurions pas besoin de cette réforme et les caisses seraient aujourd'hui bénéficiaires. Le débat porterait sur l'augmentation des pensions ou sur la baisse des cotisations", a-t-elle ajouté. "Le Medef va donc se battre jusqu'au bout pour une vraie réforme. Pour un retour à l'équilibre, nous proposons d'allonger la durée des cotisations d'un semestre plutôt qu'un trimestre par année", a-t-elle poursuivi. Guy Kerivel
  24. L’année 2009 aurait vu le montant des dépenses militaires battre tous les records Si on en croit l'Institut international de recherches sur la paix (Sipri), les dépenses militaires mondiales en 2009 ont atteint la somme record de 1.500 milliards de dollars. Selon le Nouvel Obs, c'est un record que constate l'Institut Spiri en termes de dépenses militaires, puisqu'il s'agit de 1.500 milliards de dollars qui ont été dépensés en ce sens, soit 5.9% de plus que les dépenses de 2008. Et l'Institut de préciser que la moitié de cette hausse est due aux États-Unis, ce qui n'en reste pas moins étonnant en raison de la crise économique. L'Institut explique alors : "Les effets considérables de la crise financière internationale et de la récession économique semblent avoir eu peu d'impact sur les dépenses militaires internationales. Si les États-Unis sont à la pointe de cette augmentation, ils ne sont pas les seuls. Soixante-cinq pour cent des pays pour lesquels nous avons des statistiques ont accru leurs dépenses militaires en termes réels en 2009". Et un responsable du Sipri d'ajouter : "Nombre de pays ont accru leurs dépenses publiques de façon générale en 2009, comme moyen pour relancer la demande et de combattre la récession. Même si les dépenses militaires n'ont pas été une part essentielle des plans de relance économique, elles n'ont pas non plus été réduites".
  25. Villepin dénonce les "lunettes sécuritaires" de Sarkozy Elizabeth Pineau Dominique de Villepin a dénoncé lors d'un déplacement en banlieue parisienne les "lunettes sécuritaires" de Nicolas Sarkozy, qui l'empêchent selon lui de voir les vrais problèmes des quartiers. A moins de trois semaines de la création de son mouvement qui pourrait le conduire jusqu'à l'élection présidentielle de 2012, l'ancien Premier ministre a endossé l'habit d'opposant au président français sans dire s'il sera ou non candidat."Le président ne voit les choses qu'à travers une seule lunette qui sont les lunettes sécuritaires et ces lunettes-là ne rendent pas compte de la réalité", a-t-il dit au Val-Fourré, quartier défavorisé de Mantes-la-Jolie (Yvelines). Pour l'ancien Premier ministre, "on ne peut pas réduire les banlieues à un problème de sécurité". "Trop d'hommes politiques parlent de la banlieue sans jamais y venir, ou alors derrière des CRS", a-t-il dit à l'adresse du chef de l'Etat, qui ne s'est pas rendu dans les quartiers difficiles depuis des mois. "Il y a des énergies, des talents, des appétits qui ne peuvent être qu'encouragés", a-t-il insisté devant la presse, soulignant l'"enthousiasme" des habitants. Poursuivant par le Val-Fourré une tournée des régions entamée il y a plusieurs mois, il a notamment visité une antenne de police, la mairie, un gymnase et un marché. ( mode interrogatif : a-t-il été jusqu'à visiter un immeuble hlm, une cage d'escalier, un logement locatif...?... fermeture mode dubitatif...) "Bravo", "Villepin président", lui ont lancé des habitants. "Passez le bonjour à Sarkozy, vous êtes le bienvenu", lui a dit une dame. "Monsieur de Villepin, je le verrais bien président, mieux que Sarkozy, il a plus de charisme", a estimé un passant. "C'EST QUAND QUE VOUS ALLEZ VOUS PRÉSENTER ?" "C'est quand que vous allez vous présenter à la présidentielle ?", lui a demandé un jeune homme. "On va voir, on a encore un peu de temps", a répondu Dominique de Villepin, continuant à entretenir le doute. A un homme qui lui demandait ce qu'il ferait s'il arrivait "au pouvoir un jour", l'ancien locataire de Matignon a répondu : "Il n'y a pas besoin d'arriver au pouvoir pour s'occuper de la banlieue et s'occuper des autres d'une manière générale". Etonnée par la présence de très nombreux journalistes autour du visiteur, une habitante, Zaïra Idyassine, a souligné les limites de l'exercice : "Il ne voit rien, il ne fait que serrer des mains, et pourtant ici les gens ont des choses à dire". Le 19 juin, Dominique de Villepin lancera à Paris son mouvement politique, dont les contours sont encore flous. Entre 2.000 et 3.000 personnes sont attendues pour ce rendez-vous organisé par le Club Villepin, qui revendique selon son animatrice, l'ancienne ministre chiraquienne Brigitte Girardin, plus de 15.000 membres. "C'est un rendez-vous qui veut offrir une alternative, une autre façon de faire de la politique", a expliqué mardi Dominique de Villepin, raillant "la politique du haut des estrades, la politique qui est souvent le jeu des combinaisons". "Je n'ai pas peur des Françaises et des Français, je suis avec le peuple, et c'est bien eux qui vont m'accompagner." Prenant de nouveau pour cible le président Nicolas Sarkozy, il s'est dit "triste de constater que des promesses qui ont été faites ne sont pas tenues". "Il est temps que la politique retrouve le goût du résultat", a-t-il ajouté, se félicitant au passage d'avoir "créé 600.000 emplois" lors de ses deux ans à Matignon. Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse
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