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Les cheminots en grève après l'accident de train en Belgique Par Flore Galaud 16/02/2010 | Les conducteurs de train dénoncent une dégradation de leurs conditions de travail au lendemain de la collision entre deux trains qui a fait 18 morts près de Bruxelles. De nombreux cheminots belges se sont mis en grève, mardi, après la collision mortelle entre deux trains de voyageurs qui a eu lieu, la veille, à Buizingen, au sud-ouest de Bruxelles. Le dernier bilan fait état d'au moins dix-huit victimes, dont un des deux chauffeurs de trains et 80 blessés. Selon la compagnie ferroviaire belge, la grève est très suivie, et de nombreux retards et annulations sont à prévoir dans la journée. Les grévistes dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail, qui peut mener selon eux à des accidents tels que la collision frontale survenue lundi. Ils déplorent notamment le fait que la compagnie n'ait pas équipé son réseau d'un système de freinage automatique en cas de passage à un feu rouge. Car bien que l'enquête n'en soit qu'à ses débuts, l'hypothèse d'un non-respect d'un feu rouge par l'un des deux conducteurs a été rapidement évoquée par les autorités. L'examen des boîtes noires des deux trains dans les jours qui viennent devraient confirmer où non cette théorie. Déjà un problème de feu rouge en 2001 Le trafic, particulièrement entre Paris et Bruxelles, continue à être perturbé mardi et le sera également mercredi. Aucun TGV, Eurostar (Bruxelles-Londres), Thalys (Paris-Bruxelles-Amsterdam ou Cologne) ou TER ne devrait circuler. La SNCF recommande donc aux voyageurs d'annuler ou de reporter leurs déplacements et signale que tous les billets, quelle que soit leur tarification (remboursable ou non), seront remboursés. Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, s'est dit lundi soir «choqué et attristé» par cet accident. Le roi Albert II et le premier ministre belge Yves Leterme se sont rendus sur place pour manifester leur soutien. C'est la pire catastrophe ferroviaire qu'ait connue la Belgique depuis celle de 1954, près de Louvain, qui avait fait 20 morts (des supporters allemands de football) et 40 blessés graves. Le 28 mars 2001, huit personnes avaient également péri dans la collision entre un train de passagers bondé et une rame vide. A l'origine du drame : un feu rouge brûlé et un problème de linguistique entre un conducteur, parlant néerlandais, et un technicien, parlant français.
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TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Bon maintenant on attend avec impatience les excuses de la direction sncf et le démenti du Figaro et autres médias... -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
La fiche train puisqu'elle circule par e-mail... Comparer les lignes Le Mans, Laval, Vitré -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Pour un train qui circule TOUS LES JOURS et avec la même desserte (semblerait-il...) Alors d'où vient ce problème de fiche train ? -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Tu prends une photo du panneau d'affichage... -
Bon Anniversaire à tous ceux de la semaine... Pour aujourd'hui 1 membre(s) fête(nt) son/leur anniversaire aujourd'hui Mélanie-34(25) bigbisous
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Y'a encore de l'espoir en ce bas monde... France : chercheur au CNRS, un homme refuse une prime de 15.000 euros Zigonet.com Montpellier, France - Afin de protester contre la politique de différenciation salariale du gouvernement, un chercheur du CNRS (Centre national de la recherche scientifique) a refusé une prime de 15.000 euros au titre d'excellence scientifique. François Bonhomme est biologiste et également directeur de recherche à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier. En 1996, pour ses différents travaux scientifiques, il a reçu la médaille d'argent du CNRS, et a reçu en décembre dernier une lettre lui faisant savoir qu'à ce titre, il allait recevoir une prime de 15.000 euros. Mais l'homme a refusé. Il explique à l'AFP : "Je ne suis pas du tout partisan de la politique de différenciation salariale qui est en train de se mettre en place dans la recherche publique française". L'homme ne souhaite pas voir une certaine concurrence s'installer entre les scientifiques. Ainsi, il a demandé à ce que cette prime, étalée sur quatre années, soit reversée à la Fondation de France. Et l'AFP de rappeler que Didier Chatenay, lui aussi récompensé de la médaille d'argent du CNRS, a fait savoir à l'automne dernier qu'il refusait sa prime également.
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Entre 10 et 20 morts dans une collision de trains en Belgique 12h00 Reuters Antonia van de Velde Une collision entre deux trains à l'heure de pointe a fait entre 10 et 20 morts près de Bruxelles. L'accident s'est produit vers 8h30 du matin près de Halle, à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest de la capitale, alors que la neige tombait dans la région. La chaîne de télévision VRT, citant le maire de Halle, a parlé d'au moins vingt morts, tandis que le gouverneur de la province estimait qu'au moins dix personnes étaient décédées. De leur côté, les responsables de la compagnie ferroviaire ont refusé de fournir un bilan . "Il y a des morts, mais il est difficile à ce stade de donner un chiffre précis", a déclaré un porte-parole de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB). "Il y a des gens bloqués à l'intérieur", a-t-il ajouté. La télévision a montré les locomotives des deux trains projetées en l'air par le choc frontal. "Les deux premières voitures ont été complètement écrasées. J'étais dans la voiture suivante. le train s'est couché sur le côté, les gens sont tombés les uns sur les autres, on ne pouvait plus respirer et les femmes et les enfants criaient", a raconté Hambaoui Mounir, un passager âgé de 37 ans. L'ensemble du trafic, y compris les TGV reliant Paris à Bruxelles, a été suspendu. Eurostar a précisé que ses liaisons avec la Grande-Bretagne étaient également interrompues. Avec Philip Blenkinsop et Bate Felix, version française Pascal Liétout
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Retraites : La CFDT veut rapprocher les régimes public et privés
Dom Le Trappeur a répondu à Jay17 situé dans Brin de causette
Dessin du jour... -
Retraites : La CFDT veut rapprocher les régimes public et privés
Dom Le Trappeur a répondu à Jay17 situé dans Brin de causette
Retraites: un retour à 37,5 ans de cotisation n'est pas "réaliste", selon Pierre Moscovici AP Le député socialiste du Doubs Pierre Moscovici a estimé lundi que la proposition du porte-parole de NPA Olivier Besancenot de revenir à 37,5 années de cotisation n'était pas "réaliste". "Je ne crois pas que ce soit réaliste. (...) La question n'est plus de revenir en arrière. La question c'est de définir la bonne durée de cotisation et de le faire pour longtemps, c'est-à-dire de le faire de façon stable", a-t-il affirmé sur Canal+. "Le retour à 37 annuités et demi, il pourrait être souhaitable (...), il y a des gens pour qui il serait souhaitable, mais comme règle, non", a ajouté M. Moscovici. Le porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot a déclaré dimanche qu'il était possible de revenir à 37,5 annuités. "Si on faisait cotiser les dividendes des actionnaires, on aurait les moyens aujourd'hui d'avoir une retraite à 60 ans et à 37 annuités et demi pour tous", a-t-il soutenu lors du Grand Rendez-Vous Europe 1-"Le Parisien/Aujourd'hui en France". AP -
Et allez hop ça continue... http://www.lepost.fr/article/2010/02/14/19...tml#xtor=AL-235 La suppléante de Noël Mamère lui demande de cesser de la qualifier de "musulmane" Post. Il est devenu de plus en plus courant, tant dans le milieu politique que parmi la population, de faire l'amalgame, conscient ou inconscient, entre les personnes originaires d'Afrique ou d'Afrique du nord et les fidèles de la religion musulmane. Cet amalgame, outre qu'il met en évidence un replis identitaire très fort de certaines catégories de la population française, démontre la baisse du niveau de culture générale de cette population. Il est, depuis quelques mois, à l'origine de nombreuses et vives controverses dans le microcosme politique. Il fait même parfois, relayé par les grands médias nationaux, office d'unique débat politique. Mais, Noël Mamère,au cours d'une émission de la Chaîne parlementaire du 28 janvier dernier, ( à partir de la 14 ème minute) a fait monter d'un cran "l'exercice de style". Non seulement il fait l'amalgame entre l'origine réelle de sa suppléante et son appartenance présumée à la communauté musulmane, mais il se permet d'affirmer que sa suppléante Naïma Charaï est "opposée à une loi sur l'interdiction du voile intégral". Ce qui est totalement faux! Naïma Charaï n'est pas musulmane et elle a "toujours milité pour une loi pour l’interdiction de la Burqa en France. ". C'est ce qu'elle a tenu à préciser samedi, sur son blog, dans un communiqué . "Militante féministe, laïque et socialiste, je n'accepte pas que mon député titulaire me présente comme une élue musulmane... Laïque et agnostique, je refuse qu’une élue - en l’espèce moi-même - soit présentée, réduite à une appartenance religieuse, bafouant ainsi le principe de la laïcité." écrit-elle. Quand à sa position sur une loi pour l'interdiction de la burqa, elle précise: "Féministe et militante associative, j’ai toujours milité pour une loi pour l’interdiction de la Burqa en France. " En conclusion, Naïma Charaï considère que les propos de Noël Mamère "sont du même ordre que le dérapage de Nicolas Sarkozy lorsqu'il présentait un préfet comme musulman et que j'avais vivement dénoncé à cette époque" . Par conséquent, elle demande à Noël Mamère de "retirer ses propos" et l’invite à ne plus parler à sa place. Comment Noël Mamère peut-il imaginer que cette titulaire d'un DESS (bac+5) en psychologie, présidente de la commission nationale de lutte contre les discriminations et pour l’égalité, qui ne cache pas que "l’idée d’être dominé jusqu’à la fin de mes jours hantait mes jours et mes nuits», puisse être opposée "à une loi sur l'interdiction du voile intégral"? Comment, à part dans une optique politicienne de renforcement de ses arguments, de sa conviction, au cours du débat avec le professeur Debré, Noël Mamère a-t-il pu se permettre de parler au nom d'une personne qu'il ne connait visiblement pas et déformer ainsi l'opinion de cette personne? Il y a là, de mon point de vue un irrespect caractérisée de la personne et une instrumentalisation honteuse. Quand je pense que c'est le même Noël Mamère qui, sur Radio J d'après son propre site, a qualifié Georges Frêche de "vieil homme ...symbole de ce que pouvait être la décadence de l’empire romain. » et qui a osé dire, toujours selon son site, que Georges Frêche "est depuis plusieurs années en train d’opérer un glissement progressif vers le lepénisme"! En lisant le communiqué de Naïma Charaï, je me demande si Noël Mamère ne souffrirait pas du même mal...qu'il diagnostique si généreusement chez d'autres. Que Maître Mamère enfonce le clou en prétendant que " Georges Frêche est un universitaire. Il devrait savoir que les mots ont un sens. Je ne peux pas imaginer qu’il n’ait pas mesuré la portée et la connotation de ses propos ", me fait doucement sourire. Et pour un avocat, les mots n'ont ils pas un sens ? Lui est-il interdit de mesurer la portée et la connotation de ses propos? N'est-il pas encore plus grave pour un homme ou une femme politique dit de gauche, de se servir d'une autre personne, de ses origines, pour défendre, en déformant les opinions de cette personne, une posture politique? Personnellement, je pense que Noël Mamère a commis une grave faute politique en confondant "originaire de" et "fidèle" d'une religion. Il a aussi commis une faute morale, éthique, en parlant à la place de Naïma Charaï . Finalement, entre Martine Aubry , représentante du PS, et Noël Mamère,représentant d'Europe Écologie, l'éthique et les valeurs de gauche sont cruellement mises à mal en ce moment....et je comprend mieux que, si ils on marché main dans la main pour tenter d'abattre médiatiquement Georges Frêche, c'était pour tout autre chose que des questions de Morale, d'Éthique et de "Valeurs de gauche". Car à eux deux, et en quelques jours, ils ont fait bien pire que n'a pu faire Georges Frêche en quelques décennies de pseudo-dérapages! P.S.: Ah que j'aurais aimé que Laurent Fabius dise à ses "camarades indignés" du PS " je refuse d'être présenté, réduit à une appartenance religieuse"! Malheureusement il a manqué de cette dignité élémentaire...
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TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Au fait les voyageurs qui devaient monter au Mans pour Rennes et la Bretagne ? Y-z-ont fait comment pour ramener les rillettes ? Le code de déontologie est un document pondu par la seule direction sncf y a bien longtemps qui est loin de faire l'unanimité dans l'entreprise... A sa parution, la direction a refusé de diffuser ce doc aux cheminots... -
Retraites : La CFDT veut rapprocher les régimes public et privés
Dom Le Trappeur a répondu à Jay17 situé dans Brin de causette
Tiens y'en a un qui a des choses à faire oublier... Olivier Besancenot propose un "collectif unitaire" à gauche pour défendre la retraite à 60 ans AP Olivier Besancenot, porte-parole du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), a lancé dimanche un appel aux autres formations de gauche pour créer, pendant la campagne des élections régionales, un "collectif unitaire" sur la question des retraites, qui sera au centre lundi du "sommet social" réuni à l'Elysée. "Je m'adresse aujourd'hui à tous les responsables politiques de gauche, Martine Aubry (PS), Marie-George Buffet (PCF), Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche), Cécile Duflot (Verts), Arlette Laguiller (Lutte ouvrière), tous ceux qui se reconnaissent dans ce combat-là: voyons-nous au plus vite pour monter un collectif unitaire, qui aura des collectifs locaux, pour défendre la retraite à 60 ans", a-t-il déclaré au cours du Grand Rendez-Vous Europe 1-"Le Parisien/Aujourd'hui en France". Pour le chef de file du NPA en Ile-de-France, "l'élection ne doit pas être une parenthèse, mais au contraire doit être l'occasion que cette campagne sociale et politique s'invite en pleine campagne électorale". Favorable à ce que des discussions s'ouvrent "au plus vite", si possible "dès cette semaine", entre partis de gauche, Olivier Besancenot estime que le "sommet libéral" de lundi permettra à "ceux qui avaient encore des illusions" d'y voir "plus clair". "Je dis à la gauche, ne capitulons pas avant que la bataille soit menée, prenons nos responsabilités", a-t-il poursuivi, reprochant à Martine Aubry d'avoir un temps avancé l'idée d'un recul de l'âge de la retraite à 61 voire 62 ans, un "message", selon lui, bien reçu par Nicolas Sarkozy. La première secrétaire du PS avait ensuite expliqué qu'elle ne parlait pas de l'âge légal mais de l'âge effectif. "On a des réponses alternatives qui sont différentes à gauche sur la question des retraites. En revanche, si on est tous d'accord pour s'opposer à la réforme du gouvernement et pour défendre la retraite à 60 ans, faisons-le ensemble", a-t-il encore plaidé, en se disant prêt à parler avec le PS "sur ça comme sur d'autres questions". Pour Olivier Besancenot, ce doit être l'occasion d'une "riposte du mouvement ouvrier, comme on l'a fait au moment du Contrat de première embauche (CPE)", sous le gouvernement de Dominique de Villepin. Il compte pour cela sur une forte mobilisation de la "gauche sociale et politique", mais aussi sur des "dissensions au sommet de l'Etat". A ses yeux, le maintien de l'âge de départ à la retraite "ce n'est pas d'abord une question démographique, c'est d'abord une question de répartition des richesses". En effet, a-t-il soutenu, "si on faisait cotiser les dividendes des actionnaires, on aurait les moyens aujourd'hui d'avoir une retraite à 60 ans et à 37 annuités et demi pour tous". AP -
Deux articles de Libération... 13 février 2010 Les Beaux-Arts priés de raccrocher l'œuvre censurée Le directeur est sommé par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand de faire machine arrière. Il avait cru bon de faire décrocher l'installation d'une artiste chinoise qui détournait le slogan sarkozyste «travailler plus pour gagner plus». Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand a demandé à l'Ecole des beaux-arts de raccrocher l'oeuvre de l'artiste chinoise Ko Siu Lan, décrochée mercredi par l'établissement car elle détournait un slogan du candidat Sarkozy, a-t-on appris samedi auprès du ministère de la Culture. L'Ecole des Beaux-arts a décroché mercredi une oeuvre de cette artiste de 32 ans détournant le slogan du candidat Nicolas Sarkozy "travailler plus pour gagner plus", estimant que cela pouvait porter "atteinte à la neutralité du service public". "Le ministre de la Culture a demandé au directeur des beaux-arts Henry-Claude Cousseau de raccrocher tout de suite l'oeuvre de Ko Siu Lan", a déclaré à l'AFP Tony Brown, professeur aux Beaux-arts et responsable du programme de recherche "La Seine" auquel participe l'artiste chinoise. "Je suis d'accord pour remettre les bannières. Je suis très contente", a déclaré l'artiste Ko Siu Lan. L'oeuvre de l'artiste se compose de deux grandes bannières noires sur lesquelles sont inscrits en blanc les mots "gagner", "moins", "plus" et "travailler". Le passant doit pouvoir lire "gagner plus" ou "travailler moins". (Source AFP) *************************************** 12 février 2010 Aux Beaux-Arts, pas d’expo lèse-Sarko Censure. Jugée provocante envers le Président, une installation de Siu-lan Ko a été retirée de la façade. Par PHILIPPE GRANGEREAU Siu-lan Ko, une artiste chinoise, a été censurée pour une œuvre jugée trop provocatrice à l’encontre de Nicolas Sarkozy. Son installation, composée de banderoles géantes, avait été mise en place mercredi matin sur la façade de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, qui donne sur le quai Malaquais. Elle a été retirée d’autorité pendant la journée. On pouvait y lire quatre mots : «travailler», «gagner», «plus», «moins». Démission.«Selon l’angle de vision, ce slogan de Sarkozy peut être vu différemment, explique l’artiste, qui a conçu et réalisé son œuvre à Pékin. Les Beaux-Arts avaient donné sans ambiguïté leur accord à l’installation, qui était prévue depuis décembre, selon l’artiste, qui exposait dans le cadre d’un projet artistique intitulé «Week-end de sept jours» - réunissant des étudiants du programme de recherche La Seine, du Royal College of Art de Londres et du Lassalle College of the Arts de Singapour. Bien que la commissaire de l’exposition se soit opposée à l’enlèvement de l’installation, et sans que l’artiste ait été consultée, la décision de décrocher les banderoles a été prise dans l’après-midi de mercredi. La censure a été décidée par le directeur des Beaux-Arts, Henry-Claude Cousseau, rapporte la commissaire, Clare Carolin, du Royal College of Art de Londres. «Pour toute explication, il m’a dit que cette œuvre se moquait du président français.» En quinze ans de carrière, Carolin dit n’avoir jamais été confrontée à ce genre de «censure». Pour protester, elle a décidé de remettre sa démission et de repartir à Londres samedi. «Je me sens insultée, et je ne veux pas être associée avec cette censure». Selon Ko, «l’œuvre gênait des personnalités du ministère de l’Education, ce qui est malvenu car ce ministère doit bientôt décider du budget annuel de l’Ecole des beaux-arts.» Contacté hier par Libération afin d’obtenir une explication, le secrétariat de Cousseau s’est contenté de promettre un communiqué. La direction justifierait son geste en faisant passer Siu-lan Ko pour «une étudiante»… Propagande. Siu-lan Ko, 33 ans, qui vit entre Hong-kong et Pékin, est pourtant une routière des expositions internationales. Ko s’intéresse au phénomène de la propagande, elle a d’ailleurs récemment réalisé une installation en Chine. «Ne pensez pas trop», disait une de ses banderoles. «Venant de Chine, je ne comprends pas cette censure brutale en France, et surtout dans l’une de ses écoles d’art les plus anciennes, qui est supposée encourager la liberté d’expression. Cela montre le degré de conservatisme du climat politique et le degré de peur qu’inspire Sarkozy», proteste l’artiste, qui dit envisager un recours en justice si son œuvre n’est pas restaurée avant le vernissage de «Week-end de sept jours», prévu vendredi.
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La SNCF veut améliorer sa ponctualité
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=23021&hl= -
L'œuvre censurée flotte à nouveau sur les Beaux-Arts http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-L...263589_actu.Htm
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Retraites : La CFDT veut rapprocher les régimes public et privés
Dom Le Trappeur a répondu à Jay17 situé dans Brin de causette
bigbisous La Baronne Parisot du Médef : "comment imaginer trente ou quarante ans sans travailler, et les financer en restant inactif?" http://www.lepost.fr/article/2010/02/14/19...tml#xtor=AL-235 http://fr.news.yahoo.com/64/20100214/tfr-p...-d-a2f96e4.html -
La SNCF veut améliorer sa ponctualité
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
La SNCF veut améliorer sa ponctualité lefigaro.fr 13/02/2010 L'an dernier, environ un train sur cinq sur les grandes lignes est arrivé en retard. Elle vise les 90% de trains à l'heure en 2010, selon le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, après un résultat qualifié de «moyen» en 2009. En 2010, les trains devraient arriver plus souvent à l'heure. «L'objectif de la SNCF est de revenir à 90% de régularité», a indiqué le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, interrogé samedi matin par Europe 1, au lendemain de la publication d'un résultat qualifié de «moyen» pour l'année 2009. L'an dernier, environ un train sur cinq sur les grandes lignes est arrivé avec plus de cinq minutes de retard sur l'horaire prévu. Le taux de régularité des TGV et des trains grandes lignes Téoz et Corail est tombé de 82,6% en 2008 à 81,2% en 2009, selon la SNCF. Il était de 84,2% en 2005. De même, celui des trains Intercités, qui font des trajets interprovince, avait reculé de 84,84% en 2008 à 83,93% en 2009. Seule satisfaction, la régularité a été plus grande sur les courtes distances (transiliens et TER) et le fret. Modernisation du réseau Selon Dominique Bussereau, il existe deux causes à cette mauvaise performance : l'augmentation du trafic et «l'effort sans précédent pour renouveler les parties les plus anciennes du réseau». Les causes des retards internes à la SNCF, comme du matériel défaillant ou des erreurs humaines, ne sont à l'origine que de 35% des problèmes, précisaient vendredi Les Echos . «La plus grande part (environ 45%) vient de l'infrastructure, qui représente de surcroît près de 80% des retards supplémentaires entre 2008 et 2009», ajoutait le quotidien économique. La modernisation des lignes peut en effet nécessiter des ralentissements de trains sur certaines portions en travaux. Or, en dépit de la promesse des 90% de régularité, ces travaux ne vont pas s'arrêter durant les prochaines années. Jusqu'en 2013, 900 kilomètres de lignes doivent être rénovées tous les ans, contre seulement 400 kilomètres en 2006. D'où quelques largesses avec les modes de calcul. Pour les trajets de plus de 3h30, «l'objectif sera d'avoir neuf trains sur dix ayant moins de quinze minutes de retard», expliquent Les Echos. Et dix minutes pour les trajets entre 1h30 et 3h30. -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Où ? quand ? comment ? sources ? Vérification de l'information ?... Tu ouvres un autre sujet de discussion pour justement en parler... -
Sotteville, son cimetière.
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Sotteville - Garage de Locs Bon Etat... Photo 30 janvier 2010 Photo reçue par e-mail par transfert sur liste de diffusion... -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
A priori le train TGV 8017 de 11h05 Paris Brest avec arrêt au Mans 11h59 circule TOUS LES JOURS (source horaires sncf sur internet...) Il ne s'agit pas là du premier conducteur qui rate un arrêt dans une gare. C'estr effectivement un fait assez rare. Pour l'ASCT : y-a-t-il une annonce type prévue pour ce genre de situation ? On peut imaginer que le collègue s'est trouvé dans une situation stressante : interrogation des voyageurs surpris voir mécontents appel au conducteur recherche d'une solution efficace sans parler des correspondances etc... informations à donner aux voyageurs utilisation de la sono, parler dans un micro... etc... je me rappelle du temps où j'étais chef de service sur un quai de gare avoir vu un train me passer sous le nez sans s'arrêter... Il y avait une vingtaine de personnes à attendre ce train Situation pas facile à gérer aller tout le monde dans une banlieue pour rattraper le GL arrêté à la gare suivante... et tant pis pour les retards Une autre fois : opération refoulement, le train s'était arrêté en pleine voie après la gare... 10 minutes de retard... mais tous les voyageurs dans le train... Le problème c'est la réactivité des cheminots sur le terrain et la priorité c'est de trouver une solution pour les voyageurs... et c'est vrai que dans un tel moment on ne s'embarrasse pas de fioritures et tans pis pour les dégâts collatéraux... Ne pas confondre la faute (acte volontaire donc inexcusable) et l'erreur humaine (acte involontaire) Qui n'a fait de connerie au boulot... Moi j'en ai fait peut être bien plus que d'autres... -
TGV 8617 : arrêt manqué au Mans
Dom Le Trappeur a répondu à ada situé dans Actualité ferroviaire générale
Pour Le Mans ce sera un grand pot de rillettes... :blush: