Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Bon Anniversaire !
Bon Anniversaire à ceux passés (désolé pour le retard) Ceux du jour : 5 membres fêtent leur anniversaire ce jour La_grosse_catalane_66(34), mikik(30), bbeto(27), burton62(30), niddoche(70) et ceux à venir...
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Les gares de TOURS et ST PIERRE DES CORPS paralysées...
Faudrait déjà que j'arrive à sortir de chez moi... De la neige dans le Finistère...on aura tout vu Je compatis bigbisous
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Les gares de TOURS et ST PIERRE DES CORPS paralysées...
Quelque part ailleurs il y a quelques années, la Direction avait oublié de payer la facture de gaz... L'hiver venu ... Gaz coupé... Mais comment faisait les anciens... dans le temps ?
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Copenhague : tout ce fric pour une arnaque
... Taxé carbone ... ?
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Actualités Politiques
Joyeux Noël du côté de Neuilly sur Seine Prime de Noël supprimée pour les RMIstes du 92: "C'est vraiment lamentable de faire ça" Le Post Cette année, et pour la première fois depuis 1999, les bénéficiaires des minima sociaux ne toucheront pas de prime de Noël dans les Hauts-de-Seine. Pourquoi ? Parce que le Conseil Général du département, présidé par Patrick Devedjian, le ministre de la Relance, a estimé vendredi que cette aide n'a plus lieu d'être. Elle "est rendue caduque par la refonte des aides sociales effectuée par l’État autour du revenu de solidarité active (RSA)" justifie le Conseil général du 92 sur son site Internet. L'année dernière, 25 000 personnes en avait bénéficié dans le département, soit un budget de 3,4 millions d'euros. Sur Le Post, Marie Brannens, la secrétaire de la section PS de Neuilly, estime que "l'économie réalisée sera ridicule par rapport à d'autres pôles de dépenses". "C'est vraiment lamentable de faire ça", explique-t-elle. "Dans un hiver comme on a en ce moment, avec en plus, le contexte de crise économique, ce n'est vraiment pas une bonne chose." "Ce n'est pas sur ce pôle là qu'il faut faire des économies. Supprimer cette prime, c'est faire des économies de bouts de chandelles", estime la secrétaire de la section PS de Neuilly. "Ce pôle de dépense, ce n'est rien du tout par rapport aux frais du mode de fonctionnement de l'Elysée, par exemple", ajoute-t-elle. Les conseillers généraux du groupe communiste des Hauts-de-Seine ont, eux, dénoncé sur le site Internet d'un des élus PC, une mesure "inadmissible". Ils évoquent un "choix d'économie sur une action sociale alors que dans le même temps des millions d'euros sont dilapidés dans la confection d'un nouveau logo".
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panne au tunel sous la manche
Les Eurostar suspendus jusqu'à dimanche S.L. (lefigaro.fr) avec AP 19/12/2009 | Quatre rames ont été victimes d'avaries à cause de la météo. Des milliers de passagers ont été bloqués toute la nuit dans le Tunnel sous la Manche. Le trafic entre France et Angleterre sera perturbé tout le weekend. Nuit sous la mer pour plus de 2.000 passagers de quatre Eurostar. Les trains ont été victimes de pannes, apparemment dûes à la différence de températures entre l'extérieur glacial et l'air plus chaud à l'intérieur, et se sont retrouvés coincés dans le Tunnel sous la Manche. «Tous les passagers sont sains et saufs. Nous n'avons aucun blessé», selon le porte-parole d'Eurostar, Bram Smets. Mais le service des Eurostar devrait être très limité pour le reste du week-end, a-t-il précisé, exhortant les passagers à reporter leurs déplacements, dans la mesure du possible. «C'est un problème endémique aux trains Eurostar alors que la neige n'arrête pas nos navettes», affirme Pascal Sainson, directeur des opérations d'Eurotunnel, qui a géré la situation de crise toute la nuit.Selon lui,«la neige entre dans le système de ventilation et court-circuite le système électrique des moteurs de traction des locomotives Eurostar qui disjonctent dans un tunnel où règne une forte chaleur. Les moteurs s'arrêtent et n'arrivent pas a redémarrer». Mais grâce un système de tunnel avec deux tubes séparés - l'un pour la circulation des trains et l'autre pour le service avec une porte de secours tous les 375 mètres -, l'évacuation des passagers pris au piège a pu se dérouler en bon ordre, affirme Eurotunnel, même si le transfert à la gare de Saint-Pancras à Londres a pris plusieurs heures. Une situation «sans précédent» Dans la nuit, le tunnel a dû être fermé, une situation «sans précédent». Trois rames étaient en panne au milieu de l'ouvrage de 50 km qui relie le Pas-de-Calais au Kent. Deux trains ont dû être poussés jusqu'à la gare londonienne de Saint-Pancras, tandis que les passagers d'un troisième train, évacués par une navette d'Eurotunnel jusqu'à Folkestone, doivent ensuite gagner Saint-Pancras à bord d'un autre Eurostar. Enfin, les personnes qui se trouvaient à bord du quatrième train ont elles fait demi-tour, également à bord d'une navette Eurotunnel, vers le terminal côté français du tunnel. De nombreux passagers se sont retrouvés à attendre la nuit entière, parfois plus de 16 heures, dans des wagons sans chauffage, sans éclairage et sans eau, certains décrivant une évacuation chaotique et mal organisée. D'autres fustigent le manque de communication dont a fait preuve Eurostar face à cette crise. «Des altercations ont opposé des personnels d'Eurostar et des passagers qui n'en pouvaient plus d'être enfermés. La gestion humaine a été catastrophique», raconte un passager. Samedi matin, Eurostar annonce une reprise du trafic marchandises, mais confirme que les services seront perturbés jusqu'à dimanche ou lundi. Devant les guichets Eurostar, au premier étage de la gare, la file de voyageurs était samedi matin «deux à trois fois plus longue que d'habitude», selon une agent commerciale. «Les gens sont vraiment excédés. Ils ne comprennent pas comment la SNCF n'arrive pas à gérer les intempéries», a-t-elle rapporté à l'AFP.
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Actualités Politiques
Copenhague...Le Fiasco... Les écologistes français furieux contre les politiques Reuters Les écologistes français dénoncent l'échec et les mensonges des politiques après l'accord a minima de Copenhague sur la lutte contre le réchauffement climatique, signé par une minorité d'Etats. Le projet, dont les participants à la réunion organisée par les Nations unies ont simplement "pris note", fait l'impasse pour l'heure sur toute contrainte de réduire les émissions de gaz à effet de serre, renvoyant les objectifs chiffrés et l'adoption d'un traité international à 2010. Pour Djamila Sonzogni, porte-parole des Verts, "La conférence de Copenhague s'achève sur un fiasco". "Le résultat est aussi désespérant que les enjeux étaient d'importance. La Chine et Obama sont les coupables numéro un, mais l'Europe a péché par sa désunion et son absence de leadership", dit-elle dans un communiqué. "Nous avons eu la preuve éclatante durant ces jours passés que nombre de nos responsables sont en fait des irresponsables", a-t-elle ajouté. Des responsables de Greenpeace France et du Réseau action climat (RAC) ont reproché à Barack Obama et à Nicolas Sarkozy d'avoir "tenté de passer en force un accord qui n'en était pas un", provoquant l'irritation de pays en développement. "Alors que Copenhague devait rassembler par un contrat de confiance l'ensemble des pays autour de la cause climatique, l'arrogance de quelques chefs d'État ébranle le processus même des négociations", dit Morgane Créach, directrice du pôle international du RAC-France, dans un communiqué. "LA HONTE AU FRONT" Pour Karine Gavand, de Greenpeace France, qui parle de "forfaiture", le texte de l'accord entraîne sur une trajectoire d'augmentation des températures d'au moins 3° C, ce qui revient à jouer à la roulette russe avec le chargeur à moitié plein." Pascal Husting, le directeur général de l'organisation, estime que cette déclaration "ne vaut pas la feuille de papier sur laquelle elle est écrite". "Et les coupables le savent bien, qui se sont vite enfuis en avion, chez eux, la honte au front", insiste-t-il, en se demandant si le temps n'est pas venu de "changer d'hommes politiques". Yannick Jadot, au nom des députés européens Europe Ecologie présents à Copenhague, raille également l'attitude des dirigeants des grands pays. "Plutôt que d'assumer leur échec devant les pays les plus vulnérables qui n'ont pas pris part aux discussions finales, ils sont partis par la petite porte", écrit-il dans un communiqué. Il reproche également à Nicolas Sarkozy d'avoir parlé de "succès" et évoqué lors de sa conférence de presse un accord "juridiquement contraignant", ce qui est faux, dit-il. "Comment espérer mobiliser les citoyens en juin quand les négociateurs de l'Onu se retrouveront à Bonn ? Comme leur faire croire que les chefs d'Etat peuvent prendre des décisions courageuses après tous ces mensonges ?" L'écologiste Nicolas Hulot a également dénoncé sur France info un "fiasco". "Ce qui est consternant, c'est qu'on a bradé l'avenir de nos enfants et on injurie le futur", a-t-il dit. Mais contrairement à d'autres responsables écologistes, Nicolas Hulot estime que "la France a fait son job" et que "l'Europe a été plutôt offensive" alors que la Chine et les Etats-Unis ont "verrouillé le processus".
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Mireille Faugère, directrice des grandes lignes ... virée ?
On devrait dresser le liste des "hauts dirigeants" depuis 30 ans et voir d'où ils venaient, ce qu'ils ont fait et ce qu'ils sont devenus... mais peut être cela existe-t-il déjà quelque part... Objet : Une responsable de France Télécom prend la tête de SNCF Voyages - > Lead > > > > Mots-clés : sncf, tgv, ferroviaire, fret, pepy > > Une responsable de France Télécom prend la tête de SNCF Voyages - Lead > > PARIS, 16 décembre 2009 (AFP) - Après 30 ans de carrière chez France > Télécom, Barbara Dalibard va quitter ses fonctions de directrice exécutive > d'une division d'Orange pour prendre la tête de la branche Voyages de la > SNCF, ont indiqué mercredi les deux groupes. > "Le président Guillaume Pepy a annoncé ce matin en conseil > d'administration que Mme Barbara Dalibard allait succéder à Mireille > Faugère et devenir directrice générale de la branche SNCF Voyages", a > déclaré à l'AFP un porte-parole de la SNCF, confirmant une information de > Challenges.fr. > "France Télécom confirme le départ de Mme Dalibard (...) pour la SNCF en > début d'année 2010", a également indiqué à l'AFP un porte-parole de > l'opérateur télécoms. > Barbara Dalibard, 51 ans, dirigeait la division services aux entreprises > d'Orange (Orange Business services). > Durant sa carrière chez France Telecom, elle a successivement occupé > pendant sept ans des postes opérationnels de production, notamment en > banlieue parisienne, puis pendant huit ans des missions de développement > de nouveaux services dans l'internet et la téléphonie mobile. > Depuis douze ans, elle avait la responsabilité de l'offre globale aux > entreprises d'Orange, d'abord pour la France, puis au niveau mondial. > Mme Dalibard est ancienne élève de l'Ecole normale supérieure et agrégée > de mathématiques. Elle avait débuté sa carrière professionnelle au Centre > national d'études des télécommunications (Cnet). > La SNCF souligne son "expérience internationale" et dans la "définition de > nouvelles offres pour les clients". > D'autre part, la SNCF explique que durant ses trente ans à France Telecom, > Mme Dalibard a connu la libéralisation du secteur des télécommunications > et acquis l'expérience du fonctionnement avec un régulateur, l'Arcep. > "Cette expérience sera très utile" alors que le secteur ferroviaire est à > son tour confronté à l'ouverture à la concurrence et à l'arrivée d'une > autorité de régulation du secteur, l'Araf, note-t-on à la SNCF. > Dans ses nouvelles fonctions, Mme Dalibard va être appelée à "consolider > ce qui fonctionne bien": le TGV comme "produit populaire et innovant" qui > connaît un "fort développement en France et un leadership international", > a-t-on expliqué à la SNCF. > Elle aura aussi pour mission de répondre à de "nouveaux défis", comme "les > enjeux de rentabilité, de concurrence, de régulation" et "d'inventer un > nouveau TGV d'après crise". > De son côté, France Télécom, confronté à une grave crise après la vague de > suicides qui a ébranlé le groupe, assiste au renouvellement progressif de > sa direction. > "En parallèle du nouveau contrat social et de l'annonce du nouveau projet > d'entreprise prévus pour fin février, le comité exécutif du groupe (dont > Mme Dalibard faisait partie, ndlr) sera adapté en faisant notamment appel > à de nouveaux profils", a précisé mercredi la porte-parole de France > Télécom, sans plus de précisions. > La branche SNCF Voyages comprend les trains à réservation, dont les TGV, > et le site voyages-sncf.com. C'est l'une des cinq directions qui compose > le groupe, avec Proximités (services régionaux), Geodis (fret), Infra > (entretien des voies) et Gares et Connexions (gestion des gares). > len-sbo/but/al > > > DIRIGEANTS-TÉLÉCOMS-TRANSPORT-RAIL - 16/12/2009 15h30 - AFP
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Actualités Politiques
ET oui c'est un manuel ... Main droite ou main gauche... J'te dis pas si je me cassai l'index de la main droite... Vous seriez tranquille pendant un p'tit moment... :Smiley_06:
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Actualités Politiques
Le nombre de fonctionnaires a augmenté de 36 % depuis 1980 LEMONDE 1,4 million de fonctionnaires en plus depuis 1980. Les effectifs de l'ensemble de la fonction publique française ont augmenté de 36 % entre 1980 et 2008, alors que l'emploi total en France progressait deux fois moins vite (18 %), selon un rapport de la Cour des comptes qui déplore la rigidité et l'absence de vision stratégique de l'Etat dans ce domaine. Début 2008, les trois fonctions publiques (Etat, collectivités territoriales et hôpitaux) employaient au total 5,3 millions d'agents, dont près de la moitié (2,5 millions) pour l'Etat. Cela représente un peu plus de 20 % de l'emploi total en France, a souligné mercredi 16 décembre le premier président de la Cour des comptes, Philippe Séguin. Ces chiffres masquent toutefois d'importantes disparités : la progression de l'emploi public résulte essentiellement des collectivités territoriales (+71 %) et, dans une moindre mesure, des hôpitaux (+ 54 %). UNE PROGRESSION MODÉRÉE EN TROMPE-L'ŒIL Avec une progression de seulement 14 %, "l'Etat a été très loin d'être exemplaire (...) parce que sa progression en apparence modérée masque son incapacité à s'adapter aux réformes de l'action publique qu'il a lui-même décidées", a jugé M. Séguin. L'Etat "aurait dû pourtant réduire sensiblement ses effectifs du fait de la décentralisation et de la montée en puissance des opérateurs publics [agences, offices et autres organismes publics autonomes]". Malgré d'importants transferts de compétences aux collectivités, la décentralisation n'a entraîné aucune baisse ni même stabilisation des effectifs de l'Etat, a relevé M. Séguin. En 1980, la fonction publique d'Etat comptait 2,1 millions d'agents et 400 000 de plus fin 2007. Le rapport s'inquiète aussi du recours accru aux "opérateurs" pour assurer des missions de service public. En 2007, ces opérateurs ont perçu 21 milliards d'euros de subventions de l'Etat et 6,5 milliards de ressources fiscales. "ON EMBAUCHE À TOUR DE BRAS" "La progression modérée des emplois de l'Etat n'est donc qu'optique, puisque ses missions sont désormais accomplies par d'autres structures mais à ses frais, déplore M. Séguin. Les effectifs s'ajustent très peu à la baisse de la demande ou des besoins mais sont au contraire très réactifs aux nouvelles sollicitations. C'est comme un yo-yo qui ne cesserait de monter et ne descendrait jamais." Ainsi, les effectifs du ministère de l'agriculture et de ses opérateurs ont doublé, alors que le poids de l'agriculture dans l'emploi et la richesse nationale était divisé par deux. "Comment montrer à nos concitoyens qu'une politique est devenue prioritaire ? En embauchant des fonctionnaires à tour de bras", regrette M. Séguin, citant l'exemple de la police, où les effectifs ont progressé de 20 % entre 1989 et 2006, sans conduire à des résultats probants sur le terrain. La France compte un policier pour environ 250 habitants, contre un pour 303 en Italie et un pour 380 au Royaume-Uni. "Plus que le nombre de policiers, c'est bien la manière d'affecter, de gérer et d'organiser les missions des policiers qui est aujourd'hui déterminante", a conclu le président de la Cour des comptes. PRIME AUX MAUVAIS ÉLÈVES Quant à la règle de non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant à la retraite appliquée par l'Etat, c'est une "récompense aux mauvais élèves", selon M. Séguin, qui ne constitue pas une solution à long terme. Cette règle forfaitaire, en vertu de laquelle 34 000 postes seront supprimés dans la fonction publique d'Etat en 2010, "résulte d'une démarche purement quantitative", qui n'évalue pas la qualité des missions de service public. Cette méthode profite en outre aux "administrations pléthoriques et sous-productives". Les dépenses de personnel (pensions civiles et militaires comprises) ont représenté près de 300 milliards d'euros en 2007. Des dépenses de personnel qui représentent pour l'Etat près de la moitié des dépenses nettes de son budget, a souligné le premier président de la Cour. Lorsqu'il titularise un agent, l'Etat s'engage en moyenne à le rémunérer durant cinquante ans (salaires et retraites). Le coût moyen pour l'Etat d'un fonctionnaire tout au long de sa vie est estimé à environ 3,5 millions d'euros, selon la Cour des comptes.
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Est-ce qu'on peut faire de la politique si on est en arrêt de travail ? Besancenot veut porter plainte contre la gendarmerie L'Express Le porte-parole du NPA, hospitalisé pour une fracture au doigt suite à une interpellation devant l'Assemblée, envisage "sérieusement" de porter plainte contre les forces de l'ordre. Il ne laissera pas faire. Mardi 15 décembre, Oliver Besancenot a été interpellé par la gendarmerie alors qu'il venait d'escalader les grilles de l'Assemblée nationale. Avec les syndicalistes de Sud PTT, il voulait protester contre la réforme du statut de la Poste. Vite relâché, le porte-parole du NPA affirme toutefois victime de violences de la part des gendarmes. "Plusieurs personnes ont été interpellées, mais trois, dont moi, avons été emmenées dans des locaux, à l'intérieur de l'Assemblée par des gendarmes qui nous ont pris de manière musclée", a-t-il déclaré à l'AFP. Un gendarme "particulièrement zélé" "Des gendarmes nous ont emmenés avec une clé de bras en prenant la moitié d'un bras et en remontant très très fort, il y en avait un qui était particulièrement zélé avec moi, - je le lui ai fait remarquer d'ailleurs", a-t-il poursuivi. C'est là qu'Olivier Besancenot aurait entendu "un petit craquemement" de son doigt. Ensuite, a poursuivi le postier, "malgré le fait que j'avais mal, [le gendarme] m'a descendu avec la clé de bras au sous-sol". Puis "un gradé est descendu et l'a appelé à la retenue", a ajouté le porte-parole du NPA. Le postier de Neuilly-sur-Seine sorti mercredi de l'hôpital, s'est vu signifier 45 jours d'arrêt de travail. "C'est beaucoup. On se pose sérieusement la question de porter plainte pour violence au moment de l'interpellation", a-t-il dit.
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Vos avis, conseils et propositions afin d'améliorer le site et le forum ?
Et j'étais passé à côté de cette fonction... Toujours aussi nul en informatique le Dom... Merci Kata J'me coucherai moins bête ce soir... lotrela
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Vos avis, conseils et propositions afin d'améliorer le site et le forum ?
Salut Kata. Une nouvelle fois merci et félicitations pour mettre à disposition ce forum. Une idée : Faire en sorte que la date de création d'un fil apparaisse systématiquement à côté du titre, par exemple quand on utilise la fonction "Voir les nouveaux messages" ce qui nous permettrait de faire une recherche sur une date ou une période ? Sinon améliorer la fonction "recherche" que je trouve un peu limite. Serait-il possible techniquement d'avoir une fonction recherche qui se positionne sur un membre soit au niveau des titres de ses fils de discussions, soit au niveau du corps de ses messages. ( exemple je recherche dans les fils de Dom-Trappeur si l'un de ses fils de discussion ou l'un de ses messages comporte le mot "xxxxx") Bon courage Dom
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Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A
Le titre semble être en adéquation avec la première ligne qui cite une déclaration de L'Agence Française... "Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)."
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Actualités Politiques
Reçu par e-mail ce jour... A faire circuler. Objet : une information à faire circuler Mon fils Léo (18 ans) et trois de ses camarades ont été interpellés jeudi, placés 24 heures en garde à vue et condamnés à trois mois de prison avec sursis pour avoir participé à la manifestation devant le lycée Roosevelt Jeudi 19., lors de la visite de F. Fillion, venu présenter la réforme des lycées. Ci dessous un lien vers le site de FR3 qui donne l'info avec un premier commentaire laissé par le père de Léo . http://lorraine-champagne-ardenne.france3....s-59049714.html Si vous souhaitez soutenir Léo et ses camarades , sans aucune obligation bien sûr, rien d'autre à faire que faire circuler à votre tour ce message à votre carnet d'adresses. Mardi matin à 10 heures a lieu à Reims devant la maison des syndicats une manifestation organisée pour le jour de grève dans l'éduc nationale. les étudiants que nous avons rencontrés hier vont s'y joindre pour protester contre la répression policière dont les 4 jeunes innocents ont été victimes, c'est pour ceux qui le souhaitent et le peuvent une autre manière de montrer sa solidarité... Merci à tous , amitiés Marie-Paule et Georges Belenguier Récit d’une bavure policière. bonjour j'apporte ce jour le témoignage d'un père de famille dont le fils est passé en comparution immédiate suite à cette manifestation et a été condamné à 3 mois de prison avec sursis après avoir passé 24h en garde à vue. Mon fils Léo Belenguier a 18 ans donc majeur et il est étudiant en fac d'histoire à Reims. Il n'est pas inscrit à un parti politique et s'est rendu à la manif par solidarité avec ses camarades et amis du lycée Roosevelt. Il a un casier judiciaire vierge, un attachement profond aux valeurs de justice et de solidarité doublé d'un tempérament doux et pacifiste. Il s'intéresse à l'actualité politique en tant que personne majeure porteur d'un droit de vote particulièrement en ce qui concerne ses pairs. Mon fils a déjà participé à des manifestations et n'a jamais commis aucune violence ni exaction d'aucune sorte allant même jusqu'à redresser des containers de poubelles en déplorant ces actes susceptibles selon lui de discréditer les actions menées. C'est ce même jeune garçon qui s'est fait interpeler et menotter jeudi après la manifestation au cours d'une rafle commise par la BAC alors qu'il attendait assis sur un plot pour reprendre son vélo garé devant le lycée, alors que la manifestation était terminée et qu'il avait demandé aux CRS à quel moment son vélo serait accessible. Cette arrestation brutale est motivée par l' accusation d'avoir jeté des pierres sur les policiers pendant la manifestation avec soi disant pour preuve une vidéo le montrant distinctement. Mon fils fort de son innocence a demandé aussitôt à voir la vidéo qui le mettait en cause. Il a été placé en garde à vue pour 24 heures, sans jamais pouvoir visionner ce document qui était sensé l'accabler. La raison en était, d'après la police que la vidéo était sous scellés pour le tribunal. Après 24 heures de garde à vue traumatisantes (refus de l'informer de notre connaissance de sa situation, annonce que sa garde à vue pouvait être prolongée s'il niait, refus de nous contacter pour que nous communiquions aux forces de l'ordre les coordonnées de notre avocat...),il a été jugé en comparution immédiate qu'il a acceptée pour éviter de se retrouver en "préventive" chantage odieux qui ne lui laissait d'autres choix que le procès expéditif ou la prison. Il n'a rencontré son avocat commis d'office que quelques minutes avant d'entrer dans le prétoire ce qui laisse perplexe sur le temps accordé pour préparer sa défense . Malgré la demande des avocats et des inculpés, malgré l'absence complète de preuves (le seul témoignage écrit est celui du policier blessé qui disait n'avoir reconnu personne et expliquait que les jets de pierre venant de l'arrière de la manifestation ne leur étaient pas imputables puisqu'ils étaient sur l'avant )et malgré les dénégations des quatre inculpés, cette bande vidéo n'a jamais été présentée à quiconque et le procès s'est conclu par une peine de sursis de trois mois pour chacun alors même qu'aucun témoin n'avait été entendu et qu'aucune preuve n'existait. La conclusion de tout cela dépasse ce qu'un citoyen français peut imaginer: la condamnation sans preuve d'un innocent pour l'exemple, un traumatisme psychologique évident provoqué par une garde à vue visant prioritairement à faire d'un innocent un coupable à coup d'intimidation et de brimades de toutes sortes : autorisation d'aller aux toilettes plus d' une demie heure après la demande, nuit passée dans des conditions d'hygiène épouvantables , refus d'appeler les parents pour le choix de l'avocat, refus des policiers du commissariat de Reims alors que je me suis rendu sur place sur leur conseil ,de me donner les informations sur les suites de la garde à vue jusqu'à la comparution immédiate après avoir soufflé le chaud et le froid et m'avoir donné des informations erronées ou contradictoires, refus du tribunal de prendre en compte l'absence de preuves et au final une condamnation avec sursis mettant directement en péril l'accès à la vie professionnelle de mon fils au terme de ses études. J'espère que beaucoup de parents auront accès à cette information pour s'alarmer des conséquences désastreuses d'une politique sécuritaire et paranoïaque capables de briser la vie d'un jeune homme jusque là libre et heureux. Georges Belenguier lien direct pour la vérification de l'information : http://lorraine-champagne-ardenne.france3....s-59049714.html
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Frais de déplacement non versés
Tu devrais recevoir un papier administratif à signer (on appelait ça un 621 ...) pour ta mutation et ta nouvelle affectation administrative Attention à la date d'application figurant sur ce formulaire surtout si c'est avec effet rétroactif... Avant de signer regardes y à deux fois (Évite de le signer et de le rendre immédiatement si il t'est présenté par ton Dpx) et n'oublie pas de faire une photocopie de ce document avant de le retourner et de conserver cette photocopie dans tes archives perso... Les paroles s'envolent, les écrits restent...
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Avenir de la Ligne Paris Bâle et du Fret en Haute Saône Usagers – Citoyens -Tous Concernés
Avenir de la Ligne Paris Bâle et du Fret en Haute Saône Usagers – Citoyens -Tous Concernés Tract et Pétition en ligne CGT Dijon http://www.cheminotcgtbfc.fr/petitions/?petition=4
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Menaces à bord d'un train de banlieue
Les 4 cheminots : en ou hors service ? Bravo à eux et à leur courage...
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Mais qu'est ce qu'il leur a pris ?
Le Français est un peu bordélique... donc vive la diversité... Après les goûts et les couleurs...
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délegués syndicaux et salaire
...et fusillés sans autre procès...
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délegués syndicaux et salaire
Ouai mais y'a des risques dans le militantisme ... et des crapules partout... Ouest france aujourd'hui ... Il escroquait le comité d'entreprise samedi 12 décembre 2009 L'argent a été remboursé, mais la CFDT, qui s'estime atteinte dans son image, a porté plainte au tribunal de Rennes. Le pot aux roses a été découvert fin 2005, lors de la liquidation de Transpac installée à Rennes. Les liquidateurs relèvent des anomalies dans les comptes du comité d'entreprise. En décembre 2008, l'expert rend son rapport : il manque 230 747 € dans les caisses. Des investigations bancaires permettent de désigner un cadre de l'entreprise qui assurait la fonction de trésorier du CE. Les détournements auraient eu lieu sur plusieurs années et permis à son auteur de mener un joli train de vie. Des investissements importants ont eu lieu dans la propriété de ce dernier, dans la région de Rennes. Le parquet de Rennes est informé des malversations par la section financière de la police judiciaire de Rennes. Contre toute attente, le procureur ne poursuit pas. Le magistrat privilégie un règlement en interne. Il faudra attendre juin 2009 avant que la personne suspectée des détournements rembourse l'argent au comité d'entreprise et les frais occasionnés par la procédure. En octobre, nouveau rebondissement. La CFDT, majoritaire au CE, décide de porte plainte au pénal pour « détournements de fonds et atteinte à l'image du syndicat ». Le cadre soupçonné s'était présenté sous l'étiquette de la CFDT aux élections des représentants du personnel. « Nous avons porté plainte pour que la justice statue sur cette affaire, explique un responsable de la CFDT. Pas pour provoquer des ennuis supplémentaires à la personne concernée. » Le salarié, qui aurait reconnu les vols, a été exclu de l'entreprise sans indemnités pour faute lourde.
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Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A
Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A Reuters Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). "Les éléments disponibles à ce jour ne permettent pas d'établir l'origine du décès", ni un lien éventuel avec la vaccination, écrit l'Afssaps dans un communiqué. Une autopsie a été pratiquée jeudi à la demande du parquet du Puy-en-Velay (Haute-Loire), poursuit l'agence, ainsi que des analyses virologiques et bactériennes, dont les résultats ne sont pas encore disponibles. L'enfant a été vacciné le 4 décembre avec le Panenza, vaccin sans adjuvant produit par Sanofi-Pasteur. La France a commandé 28 millions de doses au laboratoire. Selon l'Afssaps, l'enfant a présenté "48 heures après la vaccination de la fièvre et des troubles digestifs importants". Il a été victime d'un "malaise sévère", mardi, et il est décédé deux heures après sa prise en charge par le Samu. Au 11 décembre, l'épidémie de grippe A a causé 139 décès, selon le bulletin de l'Institut de veille sanitaire. Près de quatre millions de personnes ont été infectées depuis début août et plus de 2,5 millions ont été vaccinées. Selon la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, l'épidémie est en phase de stabilisation mais la campagne de vaccination s'accélère dans tout le pays, où 834 centres sont ouverts ce samedi, soit 69 de plus que samedi dernier. Dimanche, ce sont 229 centres de vaccination qui devraient accueillir le public sur tout le territoire, un nombre également en hausse, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Grégory Blachier, édité par Jean-Philippe Lefief
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En CM1, elle veut "botter les fesses" de Nicolas Sarkozy sur le blog de sa classe http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/18...as-sarkozy.html
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Actualités Politiques
Brown et Sarkozy bientôt adhérents d’Attac ? On croirait un scénario de politique-fiction. Gordon Brown, depuis treize ans gardien de l’orthodoxie financière au Royaume-Uni, et Nicolas Sarkozy, le président le plus à droite que la France ait jamais connu, décident de taxer les bonus des banquiers. Ils se prononcent pour une taxation des transactions financières, et les vingt-sept chefs d’État ou de gouvernement européens demandent au FMI « d’examiner toutes les options disponibles », y compris « une taxe globale sur les transactions financières ». L’invraisemblable décalage n’est donc plus tenable entre les discours creux sur la « moralisation » et la « régulation » du capitalisme, et l’exaspération populaire devant les nouveaux records de profits bancaires. Effrayés devant l’ampleur abyssale des déficits publics provoqués par le sauvetage des banques et la récession, et les craquements qui annoncent de nouvelles catastrophes (Dubaï, Grèce…), nos dirigeants s’interrogent : comment faire accepter aux populations, dans ces conditions, de nouvelles réductions des dépenses publiques ? Attac ne peut évidemment que se réjouir de la taxation annoncée des bonus bancaires, et surtout de la montée en puissance du débat sur la taxation des transactions financières. Pourtant les vrais responsables de la crise financière ne sont pas les traders : ce sont les gros actionnaires des banques, qui leur ont fixé des objectifs de rentabilité absurdes et insoutenables. C’est la rémunération des actionnaires (et de tous les très riches) qu’il faut en priorité plafonner par la fiscalité directe, si on veut leur retirer la tentation de trop payer leurs traders. Le vrai problème n’est pas dans les bonus, mais dans les profits des banques, de l’ensemble de l’industrie financière et aussi des principales multinationales. C’est pourquoi une taxe Tobin sur les transactions financières est indispensable : elle permettrait de dissuader les opérations les plus spéculatives, qui se jouent à très court terme et font appel à un fort endettement (« effet de levier »). Elle réduirait ainsi l’instabilité de la finance ainsi que son pouvoir social. Elle permettrait en outre de trouver des fonds pour éviter l’échec dramatique qui se profile à l’horizon, aussi bien pour les objectifs du Millénaire pour le développement que pour la lutte contre le réchauffement climatique. Au taux extrêmement modéré de 0,1%, la taxe rapporterait plus de 400 milliards de dollars par an. L’Union européenne peut parfaitement la mettre en place sans les États-Unis, et cela rapporterait encore 180 milliards. Après les paroles, il faut des actes. Nous demandons la mise en place par l’Union européenne d’une taxe sur l’ensemble des transactions financières, y compris les produits dérivés, à un taux significatif. Nous demandons la hausse du taux marginal de l’impôt direct à 90% - comme l’avait fait Roosevelt - sur les revenus les plus élevés. Alors seulement nous accepterons les adhésions de MM. Brown et Sarkozy. Attac France, Montreuil, le 11 décembre 2009 http://www.france.attac.org/spip.php?article10580
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SUD perd le nord ?
Les routiers lèvent leur menace de blocus après un accord Reuters 12-12-2009 La signature d'un accord vendredi entre les syndicats des chauffeurs routiers et une organisation patronale a levé la menace d'une grève et de blocus d'entrepôts en France à partir de dimanche. Deux jours de négociations sous l'égide de médiateurs désignés par le gouvernement ont été nécessaires pour éviter un conflit qui aurait eu de lourdes conséquences pour l'économie et aurait perturbé les fêtes de fin d'année des Français. Pour y parvenir, le gouvernement a mis dans la balance un allègement des charges des entreprises du secteur de 100 millions d'euros, grâce à une disposition législative votée dans la nuit de jeudi à vendredi par les députés. Les syndicats ont obtenu du syndicat patronal TLF (Transport et logistique de France), seul signataire de l'accord, une revalorisation salariale moyenne de 3,56% (4% pour le bas de grille, 2,9% sur le haut de grille) et une augmentation de 3% des frais des salariés du secteur des transports, notamment. Le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, qui a assisté à la signature de l'accord au ministère devant les caméras, s'est réjoui de ce dénouement devant la presse. "Le gouvernement a souhaité que ce conflit soit évité à tout prix", en raison des conséquences qu'il pouvait avoir sur l'économie et les fêtes de fin d'année, a-t-il dit. Bien que signé par une seule organisation patronale, l'accord a vocation à s'étendre à l'ensemble de la profession au terme d'une procédure mise en oeuvre par les pouvoirs publics. "Le gouvernement veillera à ce que son extension se fasse dans les plus brefs délais", a assuré Dominique Bussereau. APPLICATION EN JANVIER 2010 Il suffirait que deux des quatre syndicats patronaux fassent opposition pour bloquer l'extension pendant près de six mois. Une hypothèse que les syndicats de salariés refusaient d'envisager vendredi soir. TLF représente 40% de la profession et 60% des salariés de la branche, selon les syndicats. Dans un communiqué, le syndicat patronal a annoncé que l'accord ferait l'objet d'un avenant conventionnel dès la semaine prochaine. "Il s'appliquera à l'ensemble des entreprises après la parution de l'arrêté d'extension, en janvier 2010." L'intersyndicale des chauffeurs (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO et CFTC), qui avait montré depuis le début des discussions une forte détermination, s'est également félicitée de cet accord, qui apparaît comme un compromis. Sur les salaires, les syndicats réclamaient une revalorisation de 4% en moyenne. Ils ont finalement obtenu 3,56%. "C'est un compromis qui nous semble acceptable dans la situation où se trouve la profession", a déclaré Richard Jaubert, secrétaire général de la CGT Transports. Maxime Dumont, le chef de file de la CFDT, a estimé qu'il s'agissait d'un "accord du bons sens et du respect des salariés". "Grâce à l'implication d'une seule organisation patronale, nous avons pu sortir de l'impasse", a-t-il dit. Le bras de fer entre l'intersyndicale et une partie du patronat s'était poursuivi jusqu'au bout de la nuit de jeudi à vendredi, trois organisations patronales ayant quitté la table des négociations. Sur lepoint.fr, Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de l'une des trois organisations, de la FNTR, a dénoncé "un accord unilatéral". "Nous dénonçons cet accord signé avec une organisation qui ne représente que des grands groupes", a-t-il dit. Interrompus à 06h00 (05h00 GMT) ce vendredi, les pourparlers ont repris vers 11h00 (10h00 GMT) avec la seule organisation TLF. Elles ont longuement buté sur une revalorisation des plus hauts salaires, ceux des chauffeurs qui effectuent de longs trajets, qui ont obtenu une revalorisation de 2,9%. Mais en restant à la table des négociations, "TLF a réussi l'exercice difficile de défendre les intérêts des entreprises tout en maintenant un dialogue social valorisant pour le secteur", a dit son président, Philippe Grillot. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse