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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Merci à Toutes et à Tous... ...15 jours sans penser à rien... pas d'horaires, pas d'obligations et ...pas de petits chéfaillons... Le bonheur... et en plus le soleil et pas une goutte de pluie sur le Finistère...
  2. Merci à Toutes et à Tous. Biz Dom
  3. Et celui de la CFDT-FGAAC : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=17784
  4. Cinq pistes pour pousser les ménages à acheter à nouveau LE MONDE | 13.02.09 Comment relancer la consommation ? Comment, dans un climat économique morose et incertain, inciter des ménages à acheter une nouvelle voiture, une machine à laver, des vêtements ? Si les économistes s'accordent de plus en plus sur l'extrême nécessité de donner un coup de fouet à l'économie en stimulant la consommation, les conseils pour y parvenir sont disparates. "Aucune solution n'est magique", admet André Sapir, économiste au centre Bruegel. Distribuer des bons d'achat. Il s'agit de la mesure la plus évidente à mettre en place. L'Etat offre aux citoyens des sortes de "chèques cadeaux" valables pendant une durée déterminée. Taïwan l'a mis en place avec succès en 2008, tandis que les Etats-Unis prévoient d'élargir la distribution de bons d'alimentation (food stamps) aux plus démunis. Ce dispositif est "forcément efficace, car les ménages concernés n'ont d'autres options que de consommer. La mesure est aussi sociale, mais elle ne peut être que transitoire", juge Jean-Louis Mourier, économiste chez Aurel BGC. En outre, le système, faisant intervenir l'administration publique et les acteurs privés, est complexe à mettre en oeuvre. Baisser la TVA. C'est l'option prise par le Royaume-Uni en novembre 2008. En diminuant la taxe sur tout ou partie des produits commercialisés, l'Etat espère provoquer une baisse des prix et inciter le consommateur à acheter. "Si la mesure est temporaire, de six mois à un an, et annoncée comme telle, le consommateur est d'autant plus alléché", estime l'économiste André Sapir. Selon lui, l'effet est mécanique. "Réduire de 2 % la TVA ajoute un point de croissance", calcule-t-il. L'avantage est que la mesure peut être immédiate, générale et coordonnée entre les Etats. Le risque est que cette baisse ne se traduise pas par une diminution des prix, mais soit utilisée par les distributeurs pour améliorer leurs marges. Réduire les impôts directs. Aux Etats-Unis, où ce débat est le plus vif, Barack Obama a promis des baisses d'impôts de l'ordre de 500 dollars par contribuable (387 euros), et de 1 000 dollars pour un couple. Avant lui, en janvier 2008, George Bush avait employé la même méthode pour stimuler la demande en offrant 800 à 1 600 dollars de réduction d'impôt. Mais, compte tenu des craintes des consommateurs, ce bonus fiscal peut inciter les contribuables à épargner plutôt qu'à dépenser. Les trois quarts des sommes rendues aux contribuables américains en 2008 ont ainsi été mises de côté et l'efficacité de la mesure n'a duré qu'un trimestre. Le dispositif est recommandé par le Fonds monétaire international (FMI), mais pour être optimal, il doit "être vaste, généralisé, opportun, durable et soutenable", indique l'organisation dans un rapport publié en décembre 2008. "Vaste, car le déclin de la demande est généralisé, opportun, car il faut une action immédiate, durable, car la crise va durer quelque temps, contenu car, pour apaiser les craintes de voir s'installer une grande dépression, il faut être en mesure de faire plus, et tenable pour ne pas provoquer d'explosion des déficits publics", précise le FMI. Améliorer l'assurance-chômage. La plupart des économistes estiment que l'atonie de la consommation est décuplée par la progression du chômage. La perte d'emploi se traduit par une réduction brutale des revenus et une montée de l'inquiétude des ménages, en particulier dans les pays anglo-saxons, où les assurances-chômage sont réduites et très limitées dans le temps. La réduction de la consommation est d'autant plus radicale que le chômage touche d'abord les salariés peu qualifiés qui disposent de peu d'épargne. Améliorer la couverture du chômage, en augmentant les sommes reçues et en allongeant les durées d'indemnisations, endigue ce cercle vicieux. "Pour relancer la consommation, il est impératif de soutenir en priorité les victimes du chômage", estime Christian Menegatti, économiste chez RGE Monitor à New York. En France, Jacques Attali est lui aussi favorable à une telle mesure, "plus juste socialement" qu'une relance de la consommation qu'il juge inefficace. Augmenter les salaires. Il s'agit du cheval de bataille des syndicats. En France, notamment. Fin janvier, La CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA ont ainsi "appelé l'Etat à ses responsabilités" pour améliorer le pouvoir d'achat des salariés. La CGT réclame une hausse du salaire minimum de 1 300 euros brut à 1 600 euros brut. "Il s'agit non seulement de relancer la consommation, mais aussi d'assainir le système en rééquilibrant le partage des revenus", estime Maryse Dumas, déléguée CGT. Reste que les entreprises, en difficulté, n'ont pas toujours les moyens de le faire et la plupart ont, au contraire, tendance à réduire leurs coûts salariaux. Claire Gatinois
  5. Deux syndicats de police (FO et UNSA) dénoncent une discrimination Deux syndicats de police déjà en conflit avec le ministère de l'Intérieur sur la question des effectifs annoncent leur intention de saisir la Halde pour "discrimination syndicale." Dans un communiqué, le SGP-FO et l'Unsa police reprochent à la direction d'avoir convoqué un seul syndicat, Alliance, proche de la droite, pour débattre de la question de la fidélisation des policiers en zone difficile. Les deux organisations, qui disent représenter 60% des effectifs, estiment que le choix par l'administration de son seul "syndicat favori" relève de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité. "Il semble que l'administration recherche le 'clash' pour liquider les droits démocratiques", écrivent les dirigeants des deux syndicats, Nicolas Comte et Henri Martini. Le SGP-FO et l'Unsa-police, classée à gauche, avaient déjà reproché au ministère de s'être appuyé sur Alliance pour faire passer la suppression de 4.829 emplois dans la police d'ici 2011. Ils dénoncent également la "course aux chiffres et aux résultats" voulue par Nicolas Sarkozy. "C'est un passage en force car une majorité de policiers ne veut pas d'une réduction d'effectifs et de la perte d'une semaine de congés", avait alors déclaré Nicolas Comte. En conséquence, les deux syndicats prévoient d'organiser une "manifestation monstre" de plusieurs dizaines de milliers de policiers le 21 mars à Paris. Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
  6. Dividende ou prime exceptionnelle Au sujet des salaires... http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=17841&hl=
  7. Au sujet des salaires, de la GEXCI, de la Prime et du dividende ... CGT http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=17841&hl= CFDT-FGAAC http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=17784
  8. Information CGT Après la prime exceptionnelle Parlons salaires 13 février 2009 2009_02_13_CGT_fede_13_02_09_Tract_Apres_la_prime_exceptionnelle__si_on_parlait_salaire_DL.NG.pdf
  9. Et hop Dom a fait le grand bon (en avant bien entendu...) Dernière journée de boulot dans un poste d'aiguillages (j'vous passe les péripéties parce que ça aura quand même duré jusqu'à la fin les emm...) Merci à tous les potes qui sont venus m'accompagner dans l'effort...HiHiHi à toutes celles et tous ceux qui m'ont appelé (le standart a explosé...) ou qui m'ont adressé un message merci A Mon Amvette du jour qui a joué la petite téléphoniste Merci pour vos messages votre gentillesse et votre amitié. et maintenant vive la retraite, le cidre et le Chouchen quelque part dans un trou perdu du Finistère... Dom Heureux
  10. Gardons les avantages et supprimons les inconvénients...
  11. Pour 2008 je viens de calculer les dépenses de santé à la maison : pour ma femme : 10.000 euros (trois interventions chirurgicales - maladie prise en charge à 100%- , suivi médical par spécialistes, médecins et médicaments...) Pour moi : 1000 euros (dentiste, médecin, médicaments...) Au total : 9.500 euros pris en charge par la CP et la CPAM 1.400 euros par la mutuelle 100 euros à notre charge Pour 2008 mes cotisations sociales (ma femme ne travaille plus vue sa maladie...mais elle est prise en charge par la sécu et non par la CP au titre d'ayant droit)) part ouvrière 3000 euros / an part entreprise :3600 euros /an (salaire différé : fruit de MON/NOTRE travail collectif) Heureusement que nous sommes dans un système solidaire... (Liberté, égalité, fraternité...) Alors oui j'ai sûrement cotisé quand j'étais plus jeune, largement plus que je n'ai touché à l'époque mais aujourd'hui je suis bien content de ce système de sécurité sociale solidaire et j'espère vieillir heureux et ma femme aussi malgré ses soucis de santé.
  12. Yves Jego présente 39 propositions pour la Martinique LEMONDE.FR 13.02.09 Le comité LKP a rompu les négociations en Guadeloupe jeudi 12 février, après vingt-trois jours de grève générale. Il appelle à manifester samedi. La crise aux Antilles menace de s'étendre. En Guadeloupe, le comité LKP a rompu les négociations dans la soirée de jeudi 12 février. Yves Jégo, le secrétaire d'Etat à l'outre-mer avait installé la veille les deux médiateurs dépêchés mardi par le premier ministre, François Fillon. Mais après quelques heures, les négociateurs du LKP ont affirmé qu'ils ne reprendraient pas la discussion avant que l'Etat co-signe le pré-accord élaboré dimanche avec le patronat. Ils "ne reprendront les discussions que sur la base du pré-accord" prévoyant 200 euros d'augmentations salariales et 108 millions d'allègement de charges pour les entreprises. Une manifestation est en préparation pour samedi à l'appel du LKP. De son côté, le Mouvement des entrepreneurs de Guadeloupe (MEG) a rendu publiques jeudi soir cinq propositions dont "une prime trimestrielle de pouvoir d'achat" de 150 euros nets, "non soumise à cotisations salariales et patronales". Cette proposition requiert l'accord de l'Etat, qui devrait en assumer le coût. Mais elle risque de se heurter à un refus du gouvernement qui a maintes fois répété que ce n'était pas à lui de "financer les hausses de salaire" du privé. 39 PROPOSITIONS POUR LA MARTINIQUE En visite éclair en Martinique, où la grève dure depuis huit jours, M. Jégo a présenté trente-neuf propositions qu'il a soumis au collectif intersyndical "du 5 février", qui proteste "contre la vie chère et pour l'emploi". Parmi celles-ci, il propose une baisse "immédiate" des prix du carburant de 8 centimes pour l'essence et de 10 centimes pour le gazole. Il a confirmé la baisse de 20 % "avant la fin du mois de février" des prix de cent produits de première nécessité, comme l'avait obtenu le collectif mardi lors de négociations en préfecture. Autre mesure "pour répondre aux attentes en matière de pouvoir d'achat": le versement d'une prime exceptionnelle de 200 euros "dès le mois d'avril" aux cinquante mille50 000 foyers martiniquais aux plus bas revenus, soit une enveloppe de 10 millions d'euros. En revanche concernant l'augmentation de tous les bas salaires réclamée par le collectif, M. Jégo a renvoyé la balle aux partenaires sociaux. A la Réunion, un collectif a appelé jeudi à à la grève générale. Les principales revendications s'inspirent du mouvement aux Antilles : augmentation de 200 euros des bas salaires et des minima sociaux, baisse de 20 % sur les prix des produits de consommation courante, gel des loyers sociaux et baisse de 5 euros du prix de la bouteille de gaz. "Une grève générale ne se décrète pas, elle se construit", a déclaré vendredi matin à Radio Réunion, Eric Soret, porte-parole du collectif.
  13. Ne serait-ce pas un certain OBAMA aux USA qui a promit d'instaurer une "sécurité sociale" obligatoire pour tous les salariés américains ? ET oui elle existe pas la bas... pourtant le salaire moyen net est bien plus élevé aux USA qu'en France... Allez comprendre
  14. Les négociations avec les médiateurs débutent mal en Guadeloupe Reuters Les discussions entre le Collectif contre l'exploitation (LKP), à l'origine de la grève générale affectant la Guadeloupe, et les deux médiateurs désignés par le gouvernement ont été interrompues jeudi après quelques minutes, a-t-on appris de source syndicale. Les deux médiateurs, Jean Bessière et Serge Lopez, devaient rencontrer séparément le LKP et le patronat local. Mais le collectif est arrivé à la table des négociations mécontent, en contestant l'existence d'un document diffusé par le gouvernement comportant "131 points d'accord". "On ne peut pas parler de rupture de négociations, il n'y a pas eu de négociations. La rencontre avec les deux médiateurs a duré à peine cinq minutes", a dit jeudi par téléphone à Reuters Jean-Marie Nomertin, secrétaire général de la CGTG (Confédération générale du travail de la Guadeloupe), l'une des 49 organisations syndicales qui composent le LKP. "Nous sommes arrivés pour discuter, nous ne sommes pas restés, ils ne connaissent pas le dossier. Ils ne sont même pas au courant du nombre de points d'accord ni de leur contenu", a-t-il précisé. "Ici, il y a des gens davantage compétents, des spécialistes de la Guadeloupe. Ce n'est pas la peine de faire venir des Parisiens pour régler le conflit", a-t-il ajouté. Les organisations réunies au sein du LPK en sont à leur 23e jour de grève contre la vie chère dans l'île. Le gouvernement a refusé de céder sur la principale revendication des grévistes, la garantie d'une augmentation salariale. Gérard Bon et Marine Pennetier, édité par Sophie Louet
  15. Merci à tous Vendredi 13 De la neige ...
  16. Pour les nuits il y a aussi une indemnité et une allocation. De plus pour le calcul de l'allocation pour travail de nuit : il faut sortir de polytechnique Il y avait un fil consacré à ce sujet sur le forum. Bonne recherche.
  17. Up : plus qu'une, la der des der ... demain vendredi 13 HiHiHi Down : encore une à tirer... Dur Dur
  18. Je crois qu'il y a au moins quelques questions qui se posent auxquelles vous rajouterez les votres : - un syndicalisme éclaté en dizaines d'organisations (nationales, professionnelles, catégorielles...) - un taux de syndicalisation extrêmement faible en particulier dans le privé et les petites et moyennes entreprises - un déchirement entre OS quasi permanent - le non respect de l'indépendance syndicale par les partis de tout bord et militants politiques (vieux réflexe...) - une (ré)pression anti-syndicale de la part du patronat, de la droite, du gouvernement y compris au plus haut niveau - un dénigrement quasi systématique des positions que prennent les syndicats par une grosse majorité des salariés malheureusement ... Et même comme c'est le cas en ce moment, quand les 8 plus grandes OS (CGT CFDT FO CFTC UNSA CGC Solidaires FSU) ont une démarche unitaire il y en a qui critique ... P'têt bien qu'il ne faudrait qu'un seul syndicat... avec 100% de salariés adhérents pour être en accord avec nous même...
  19. Hola Titisse tu vas tourner révolutionnaire si tu t'en prends à la hiérarchie... :Smiley_15:
  20. ...400 euros :ça fait petit bras aurait pu rajouter un zéro... et remplacer le 4 par un 5 1 million 500.000 euros ça ça aurait eu un peu plus de gueule (second degré je précise au cas où...=
  21. Bon ben si tu es si bien informé que ça : qu'est-ce que tu fais toi ?
  22. 16 jours sur 365 ...au prorata de ton temps de présence comme la PFA ?
  23. 7 millions de salariés en France touchent un système d'intéressement / participation Sur le Bénéfice des entreprises en France en 2007 : 35 % est réservé à l'investissement réalisé par l'entreprise 53% revient sous forme de versement aux actionnaires 12% est versé aux salariés 2 millions de salariés sont actionnaires-salariés particulièrement parmi l'encadrement Le versement d'un intéressement/participation s'est surtout réalisé au détriment des augmentations générales, collectives ou individuelles de la rémunération de base ce qui a augmenté les marges et bénéfices et donc augmenté les dividendes versés aux actionnaires
  24. Il y a déjà eu sur le forum plusieurs discussions ouvertes à ce sujet et des informations tant de la direction que des syndicats circulent sur le net et sur les chantiers.
  25. 12/02/2009 Le Point.fr 58 % des Français jugent que Sarkozy "parle beaucoup mais ne fait pas grand-chose" lepoint.fr (avec agence) Les mauvais sondages s'accumulent pour Nicolas Sarkozy. Dans le dernier baromètre Ipsos (1), qui paraît ce jeudi dans Le Point , le président chute de 9 points en février, à 36 % de perceptions positives, son plus bas score depuis son arrivée à l'Élysée. Dans le détail, 6 % des personnes interrogées ont un jugement "très favorable" de l'action du chef de l'État, et 30 % "plutôt favorable" (- 9). 35 % des sondés ont une opinion "plutôt défavorable" et 26 % "très défavorable". Au total, le locataire de l'Élysée concentre 61 % d'avis défavorables. Dans le même temps, un autre sondage réalisé par Sofres-Logica pour le Nouvel Observateur (2) révèle que 58 % des Français jugent que Nicolas Sarkozy "parle beaucoup mais ne fait pas grand-chose". Ils ne sont que 34 % à penser qu'il "agit en profondeur pour changer la société française". Ce sondage, à paraître jeudi, a été réalisé après la journée de grève du 29 janvier mais, à la différence de l'enquête Ipsos- Le Point , avant la prestation télévisée du chef de l'État consacrée à la crise, le 5 février. 55 % des personnes estiment que depuis son élection, Nicolas Sarkozy a "beaucoup" ou "un peu" réformé la France. 42 % pensent qu'il a "très peu" ou "pas du tout" réformé le pays. Dans le détail des "engagements" pris par le chef de l'État avant ou depuis son élection, 57 % des sondés croient que Nicolas Sarkozy "s'emploie plutôt" à "assurer le service minimum dans les transports publics". 55 % pensent qu'il "s'emploie plutôt" à "maîtriser l'immigration". À l'inverse, 77 % croient que le président de la République ne s'est "plutôt pas" employé à "augmenter le pouvoir d'achat des Français". 74 % considèrent qu'il ne s'est "plutôt pas" employé à "baisser les impôts". 1. Sondage réalisé par téléphone les 6 et 7 février auprès de 940 personnes selon la méthode des quotas. Notice disponible à la commission des sondages. 2. Sondage réalisé du 30 janvier au 2 février sur un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, interrogées à leur domicile. Notice détaillée disponible auprès de la Commission nationale des sondages.
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