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astéroide ==>> étoile filante
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Elections Prud'Homales
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
C'est pour ça que je suis contre les Réformes Libérales et que je suis pour le Progrès Social... koiquesse -
Ce sont surtout des accords locaux qui sont à l'origine de cette situation car il n'y a rien d'écrit dans le règlement PS4-RH077. Sur mon établissement nous avons obtenu en 1975 après une grève de 24h "que tout agent qui le demande puisse obtenir au moins l'une des deux périodes de fêtes de fin d'année incluant soit les 24 et 25 décembre soit les 31 décembre et 1er janvier. La Commande du personnel pouvant attribuer les deux périodes si cela est possible." Donc dans ton cas rien n'empêche la CPS de t'accorder le 31 décembre si elle en a la possibilité. Rappelons que les congés 2008 doivent être réglementairement/ statutairement accordés et pris entre le 1er janvier et le 31 décembre 2008. Au mois d'octobre 2008, conformément au Statut, la CPS aurait du "programmer" les reliquats" de congés 2008 en tenant compte autant que de possible des demandes d'absence exprimées par les agents ce qui veut dire qu'en septembre 2008 le service aurait du demander aux agents de faire part de leurs demandes d'absence d'ici fin 2008.... En clair également celui qui n'avait pas exprimé de demandes d'absence pourrait se voir imposer ses congés restants... Ce n'est qu'en cas d'impossibilité d'attribuer les congés 2008 avant fin 2008 qu'il est possible pour le service (mais pas pour l'agent...)de repousser leur attribution dans le courant du 1er trimestre 2008. Dans ce cas les congés sont programmés, accordés et pris obligatoirement aux dates indiquées... Bon dans les faits c'est un peuy plus souple que ça mais il faut savoir que les congés 2008 non pris en 2008 sont budgétés dans les comptes de l'entreprise 2008 et que ça coûte cher à la Direction donc depuis quelques années il y a une tendance de la direction nationale à mettre la pression sur ses directions d'établissement à ce sujet...... Impossibilité cela veut dire surtout : formation, accident et maladie, maternité... C'est au service de tout mettre en oeuvre pour attribuer les congés demandés par l'agent ... qui se doit de faire respecter le STATUT du Cheminot...
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vidage ==>> videur
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Services à la personne: 2 millions de particuliers employeurs fin 2007 Plus de 2 millions de particuliers employaient un salarié à leur domicile fin 2007, soit une hausse de 4,3% en un an, dans un secteur toujours marqué par des volumes horaires assez faibles, selon une étude de l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) publiée samedi. Le rythme de croissance du nombre de particuliers-employeurs, qui ont recours à ce type d'employé pour garder leurs enfants, faire le ménage ou aider par exemple une personnes âgée, a ralenti, puisqu'il était de de 6,1% en 2006, précise l'étude. L'augmentation des employeurs à domicile est "étroitement" liée au développement du Chèque emploi service universel (Cesu). Ce dispositif qui simplifie les démarches administratives, en partiuclier le calcul des charges sociales, a été utilisé par 72% des employeurs directs en 2007, soit une augmentation de +10,4% en un an. Au total 600 millions d'heures (+2,9% sur un an), et près de 4,9 milliards d'euros de masse salariale nette (+6,6%) ont été déclarés dans ce secteur l'année dernière. La progression des heures déclarées est moins importante que celle du nombre d'employeurs car "les nouveaux utilisateurs déclarent des volumes horaires relativement faibles", souligne l'Acoss. Au quatrième trimestre 2007, 736.000 et 52.000 salariés ont été déclarés respectivement au titre du Cesu et au titre de la Paje ou de l'Aged, deux dispositifs réservés à la garde de jeunes enfants à domicile. Sur 2007, la moitié des salariés du Cesu ont eu une rémunération annuelle inférieure à 1.419 euros (2.752 euros pour la Paje-Aged). Les 10% les mieux payés ont perçu à l'année plus de 8.001 euros nets, alors que les 10% les moins rémunérés ont eu un salaire net annuel inférieur à 144 euros, soit 56 fois moins. Cette disparité est liée au nombre limité d'heures déclarées: 10% des salariés ont été rémunérés sur une base annuelle inférieure à 17 heures, alors que pour 10% des salariés, cette base dépasse 968 heures, soit 59 fois plus. Les salaires horaires varient un peu moins: 10% des salariés ont une rémunération horaire supérieure à 10,9 euros, alors que 10% ont une rémunération horaire inférieure à 6,5 euros. Fin 2007, près de 81% des employeurs bénéficiaient d'un allègement de cotisations de sécurité sociale, soit un montant total d'exonération de 1,15 milliard pour l'année, en hausse de 7,6% sur un an.
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oh sombre heros de la mer ==>> d'huile
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Poil de Carotte ==>> rapée bigbisous
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Courriers de Service
Dom Le Trappeur a répondu à FreeFly situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Il est toujours possible d'apposer sur l'enveloppe la mention : "confidentiel" sur un courrier interne acheminé par pli de service à une personne nominativement désignée. C'est le cas si vous écrivez par exemple directement au DET, à votre Dpx, au médecin d'Etablissement, à un représentant du personnel ou à un autre agent ... et que vous désirez que seul le destinataire prenne connaissance de votre courrier (encore que pour un DET, il y a sûrement un secrétariat qui fait le tri...) Faut pas non plus tomber dans la parano complète. En règle générale le courrier adressé à un Bureau administratif ou une commande du personnel sera ouvert systématiquement (si il ne porte pas la mention "confidentiel") et ce pour la simple raison que le courrier peut être urgent (arrêt maladie, demande de document, de renseignements etc...) et que l'agent gérant votre dossier ou la solde est absent... -
Elections Prud'Homales
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
social - économie Un record absolu d’abstention Seulement 25,5 % des électeurs se sont déplacés pour voter. Les syndicats reprochent au gouvernement l’absence de campagne. Alors que FO considère que le taux d’abstention pose un « problème d’interprétation des résultats », L’UNSA affirme que l’élection prud’homale reste celle qui « mobilise le plus grand nombre de salariés, près de 5 millions, bien plus que les élections aux comités d’entreprises ». Le fait que les trois quarts des électeurs du secteur privé ne se soient pas rendus aux urnes mercredi soulèvent déjà la polémique. La participation électorale s’est effondrée cette année avec 74,5 % d’abstentions (déjà forte en 2002, 68 %), dans le collège salariés. L’élargissement du vote par correspondance n’a, semble-t-il, pas suffi à enrayer la désaffection. Le collège de l’industrie semble avoir d’avantage mobilisé que les autres secteurs du fait, pour l’essentiel, que s’y trouvent des grandes entreprises qui ont permis aux salariés de voter sur place. Xavier Bertrand, ministre du Travail a dit, hier, étudier « la piste très concrète » de la généralisation de l’installation des bureaux de vote dans les entreprises et a annoncé une « étude sur les motivations des électeurs et les raisons de cette abstention ». Pour le reste, les syndicats s’accordent pour dénoncer les conditions d’organisation du scrutin et accuse le gouvernement de n’avoir pas suffisamment incité à voter. « Vous avez vu un débat dans les radios sur les élections ? », a ironisé François Chérèque, secrétaire général de la CFDT. Dans un communiqué, la CFTC « s’insurge contre l’absence de campagne officielle nécessaire à l’expression de la démocratie. (…) Imagine-t-on une élection présidentielle sans véritable campagne ? », interroge la confédération. La CGT se fait encore plus dure, en parlant de « conditions déplorables d’organisation du scrutin ». Reste que le taux de participation décline depuis que ces élections existent passant de près de 60 % en 1982 à moins de 30 % aujourd’hui. Cela dit aussi quelque chose sur l’inadéquation de l’offre syndicale par rapport aux attentes des salariés. P. M. ************************************************************************ social - économie L’hégémonie du MEDEF contestée Chez les employeurs, la coalition MEDEF-CGPME-UPA recule de 8 points. En lançant sa campagne pour les prud’homales, le MEDEF, qui présentait des listes communes avec ses alliés de la CGPME, de l’UPA (artisanat), de la FNSEA (agriculteurs) et de l’UNAPL (professions libérales), n’avait pas caché sa crainte de voir son hégémonie remise en question. Les résultats du scrutin montrent qu’il avait raison. Sur l’ensemble du collège employeurs, les listes du MEDEF et de ses alliés obtiennent 72 % des suffrages, soit 8 points de moins qu’en 2002. Les listes présentées par l’Association des employeurs de l’économie sociale (AEES) améliorent leur score d’à peu près autant, passant de 11,32 % à 19,07 %. Dans la seule section des « activités diverses », où l’AEES présentait l’essentiel de ses candidats, la tendance est plus spectaculaire puisqu’elle y obtient 34,4 % (contre 25,9 % en 2002), le MEDEF et ses alliés dépassant tout juste la barre des 50 %. Cette section, qui compte 190 000 inscrits et a enregistré un taux de participation plutôt élevé (46,18 %), regroupe des activités très variées, des services à la personne aux cabinets de professions libérales (médecins, kinés, architectes, etc.) employant des salariés en passant par les particuliers employeurs et les mutuelles de santé. Leurs statuts sont eux-mêmes divers : associations, coopératives, petites entreprises… Les listes de l’économie sociale ont donc transformé l’essai qu’elles avaient réalisé en 2002, date de leur première franche percée électorale. « Il y a aujourd’hui un certain nombre de dirigeants qui ne se reconnaissent plus dans le modèle dominant des chefs d’entreprises, qui sont en rupture avec ce que propose l’alliance MEDEF-CGPME-UPA », analyse Robert Baron, porte-parole de l’AEES. « Ils ont été intéressés par le message que l’on a diffusé », message réclamant de « replacer l’individu au centre » et posant que « l’entreprise n’est pas uniquement liée à la possession de capitaux ou au résultat par distribution de dividendes ». Sans doute, note Robert Baron, le contexte de la crise financière et l’affaire de la caisse noire de l’UIMM (branche métallurgie du MEDEF) ont-ils pesé sur le choix des électeurs employeurs. Les représentants de l’économie sociale prennent appui sur ce test de représentativité pour demander aux pouvoirs publics et au MEDEF d’en tirer les conséquences et de leur faire place dans un dialogue social où ils ont été, jusqu’alors, superbement ignorés. Yves Housson -
Elections Prud'Homales
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
social - économie Les prud’homales secouent la hiérarchie syndicale Élections . Net progrès de la CGT, sérieux revers pour la CFDT et FO, l’écart entre les « grandes confédérations » se creuse. Ceux qui ne passent par la barre des 10 % sont en difficulté. Même perturbés par un taux d’abstention record, les résultats des élections prud’homales s’apparentent à un big bang syndical. Sans la bouleverser totalement, le vote bouscule la hiérarchie dans une élection ou, normalement, les changements ne sont jamais spectaculaires. La CGT, si souvent accusée d’être un syndicat « trop contestataire », arrive largement en tête avec 33,8 % des voix, progresse de 1,6 point et creuse l’écart avec toutes les autres. Depuis que cette élection existe, en 1979, c’est la première fois que la première des confédérations françaises n’enregistre pas de baisse. Son score progresse dans tous les collèges électoraux, dans l’industrie où elle est traditionnellement forte à 41,8 % (+ 2,3) mais aussi dans le commerce à 34,9 % (+ 1,8) ou encore dans l’agriculture avec 26,3 % (+ 2,4 %). Stratégie claire La CGT gagne 5 points dans le Calvados, plus de 6 % dans le Puy-de-Dôme et la Mayenne. Elle totalise 40 % des voix dans les Bouches-du-Rhône (+ 2,3) et passe en tête en Loire-Atlantique, un département jusque-là dominé par la CFDT. Bernard Thibault, secrétaire général, salue un « inversement de tendance » (voir ci-contre) qu’il attribue à « une stratégie syndicale claire, offensive, qui sait être critique mais aussi force de propositions ». La CFDT, organisation dite « raisonnable », sort grande perdante du scrutin, même si elle reste en seconde position avec 22,1 % des voix. La centrale, qui, depuis la crise interne qui l’a secouée après son acceptation de la réforme des retraites de 2003, a perdu beaucoup de militants, recule de 3 points et se rapproche dangereusement de la barre des 20 %. Ses résultats sont mauvais dans ses fiefs bretons. Elle perd près de 6 % en Ille-et-Vilaine et près de 5 % dans le Morbihan. Le recul est palpable dans toutes les sections et spectaculaire dans l’encadrement. La CFDT y perd la 1re place qu’elle avait gagnée sur la CFE-CGC en 1997. En recueillant 23 % des suffrages des cadres, elle doit céder - 5,6 %. François Chérèque, secrétaire général de la confédération, ne cache pas qu’il est « déçu » mais dit « assumer le résultat » et appelle à ne pas focaliser sur ce scrutin qui « ne constitue pas le bon outil pour apprécier sans contestation le poids réel des organisations dans les entreprises ». C’est aussi l’argument de FO, qui pourtant s’est battu pour que les prud’homales deviennent l’élection de représentativité. Cette confédération, qui, ces derniers temps manie l’ambivalence, signant des accords contestés jusque dans ses rangs (modernisation du marché du travail), se tenant à l’écart des initiatives unitaires tout en multipliant les appels à la grève, recule sensiblement. Pour la seconde fois. Terrain des luttes En 2002, FO avait déjà accusé le coup en perdant 2 points. Cette fois-ci, la centrale en cède trois. Avec 15,9 % des voix, sa position de « troisième grande confédération » s’en trouve fragilisée. Cette place est même déjà contestée par le duo UNSA/CFE-CGC, dont les organisations sont en cours de fusion. L’UNSA continue sa progression. Après la percée de 2002 (5 %), elle gagne 1,2 %. La CFE-CGC passe de 7 à 8,2 % en reprenant la première place dans le collège encadrement. Alain Olive, secrétaire général de l’UNSA, militant de « la constitution d’un pôle syndical réformiste dont le rapprochement avec la CFE-CGC est la première ébauche », n’hésite pas à mettre l’addition des deux scores (14,4 %) en concurrence avec les 15,9 points de FO. C’est compter sans les déperditions de forces, en général inéluctables, quand interviennent des mouvements de démissions collectives, rapprochements entre plusieurs organisations, etc. Les autres syndicats n’obtiennent pas 10 % des suffrages, barre fatidique dorénavant fixée dans les entreprises pour obtenir sa représentativité. La CFTC, qui se donnait l’objectif de réaliser 15 %, recule et ne passe pas la barre des 9 points (8,9 %). Menacée par la mise en oeuvre des nouveaux critères de représentativité, la centrale chrétienne a conscience qu’elle doit « conquérir et séduire au-delà de ce noyau dur », que constitue son électorat. Quand à l’Union syndicale Solidaires, qui est parvenue à présenter trois fois plus de listes qu’en 2002, le progrès est au rendez-vous puisque la dernière-née du mouvement syndical passe de 1,5 % à 3,8 %. Mais le résultat n’est pas au niveau des espérances, fixées à 5 %, seuil en deçà duquel le syndicat n’est pas assuré de continuer à trouver place sous cette forme dans le paysage syndical. Pour Annick Coupé, sa porte-parole, « les résultats marquent clairement que le syndicalisme qui progresse le plus est celui qui se situe sur le terrain des luttes ». Et qui porte une conception unitaire du syndicalisme. P. M. -
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Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
social - économie 5 Décembre 2008 Interview L'Humanité Bernard Thibault « Le résultat du vote gêne beaucoup de monde » Pour Bernard Thibault de la CGT, le vote n’exprime pas un divorce avec les syndicats mais un besoin d’agir sans tarder pour faire entendre la voix des salariés. Vous avez répété pendant la campagne électorale que le vote de la CGT serait le plus observé. Votre syndicat progresse en voix et en sièges. Quelles conclusions en tirez-vous ? Bernard Thibault. Nous sommes dans un inversement de tendance notable. Pour la première fois dans un scrutin prud’homal, la CGT progresse, et elle le fait dans la grande majorité des départements et tous collèges électoraux confondus. Un mouvement en notre faveur s’exprime comme il existe un mouvement en défaveur d’autres organisations, singulièrement des deux autres grandes confédérations, la CFDT et FO. Outre le fait que le résultat est proportionnel à un investissement important des militants, il témoigne aussi que la CGT est perçue comme portant une démarche claire, revendicative, fidèle à ses valeurs. Ce scrutin montre que la crise ne doit pas être un prétexte pour mettre au second plan les revendications. Notre influence grandissante confirme que de fortes critiques sur la politique du gouvernement s’expriment et qu’il existe des alternatives. Les résultats que nous avons récemment obtenus dans d’autres élections, dans la fonction publique territoriale, à GRDF ou avec les retraités cheminots, font progresser la CGT. Cela montre qu’il s’agit d’une tendance, d’un mouvement de fond. S’agit-il aussi d’une prime au rassemblement, à l’unité syndicale ? Bernard Thibault. Oui. Nous n’avons cessé de répéter pendant la campagne que le vote CGT exprimerait une volonté d’unité. Voter CGT ce n’est pas voter contre d’autres, mais promouvoir un syndicalisme plus uni. Les forces syndicales ont maintenant le devoir d’écouter le message délivré. Une partie de la campagne de FO portait le discrédit sur la CGT. Cela a été contre-productif. Le record d’abstention n’impose-t-il pas un bémol à votre satisfaction ? Bernard Thibault. Nous ne sommes absolument pas satisfaits du taux de participation. Mais il faut remettre les choses à leur place. Deux acteurs principaux organisent l’élection. Les employeurs d’abord, qui sont chargés de l’inscription des salariés sur les listes. Les défaillances ont été énormes. Les intérimaires ont, par exemple, été systématiquement écartés. L’administration ensuite. Jamais une élection politique n’aura été traitée avec autant d’impréparation et de désinvolture. Des électeurs ont reçu les bulletins de vote d’une autre section que la leur. Dans certains départements, le matériel de vote par correspondance est arrivé quatre jours avant le scrutin. Certains n’ont même pas reçu la carte d’électeur. Sans parler de l’absence d’espaces médiatiques pour évoquer un rendez-vous qui concerne plus de 18 millions de personnes… N’y a-t-il, dans ce taux d’abstention, aucun signe de prise de distance des salariés avec les syndicats ? Bernard Thibault. On aurait tort de l’interpréter comme un divorce. Dans la centaine de bureaux de vote existant directement sur les lieux de travail, la participation a été supérieure à 50 %. C’est la raison pour laquelle j’ai demandé, dès mercredi soir, au ministre du Travail d’organiser les prochaines élections dans les entreprises. C’est possible pour toutes celles qui possèdent déjà des élections de délégués du personnel ou de comité d’entreprise. Il n’est pas compliqué de travailler à une solution pour les petites entreprises. Ceux qui analysent cette élection seulement à travers le taux d’abstention cherchent à en minorer le verdict. Le résultat gêne beaucoup de monde, les déçus au plan syndical, le gouvernement et évidemment les employeurs. On ne peut pas faire comme si 5 millions de salariés ne s’étaient pas exprimés. Le minorer, c’est emboîter le pas à ceux qui expliquent que 200 000 manifestants, ça compte pour du beurre. Il va y avoir des réveils douloureux pour ceux qui tiennent ce type de raisonnement, des mobilisations que certains ne vont pas voir venir. Après ce résultat, comment concevez-vous votre rôle et votre place dans le paysage syndical ? Bernard Thibault. Le scrutin confirme des attentes très fortes vis-à-vis de la CGT, qui nous confèrent des responsabilités nouvelles. Un des enjeux consiste à transformer les soutiens obtenus en forces constituées, et à mener à bien notre réflexion en interne concernant nos formes d’organisations. Nous devons aussi continuer d’être très présents sur le terrain revendicatif et unitaire. De ce point de vue, deux réunions sont programmées au niveau national avec les autres syndicats. La CGT considère qu’il faut agir sans tarder pour faire entendre la voix des salariés dans la crise. Le vote montre qu’il y a urgence. Nous allons donc pousser plus précisément cette perspective d’action unitaire pour début 2009. Entretien réalisé par Paule Masson -
Elections Prud'Homales
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Les résultats définitifs des élections prud'homales Voici les résultats définitifs du scrutin 2008 des élections prud'homales, communiqués vendredi par le ministère du Travail : La participation s'est élevé à 25,65%, avec 4.917.456 votants qui se sont rendu aux urnes sur 19.169.827 d'inscrits. Salariés : - CGT (33,97%) - CFDT (21,8%) - FO (15,81%) - CFTC (8,7%) - CFE-CGC (8,2%) - UNSA (6,25%) - Solidaires (3,82%) - Autres (1,42%) Employeurs : - UDE (72,09%) - AEES (19,05) - Autres (8,85%) AP Les résultats par villes et conseils : http://www.resultats.prudhommes.gouv.fr/ -
Les résultats définitifs des élections prud'homales Voici les résultats définitifs du scrutin 2008 des élections prud'homales, communiqués vendredi par le ministère du Travail : La participation s'est élevé à 25,65%, avec 4.917.456 votants qui se sont rendu aux urnes sur 19.169.827 d'inscrits. Salariés : - CGT (33,97%) - CFDT (21,8%) - FO (15,81%) - CFTC (8,7%) - CFE-CGC (8,2%) - UNSA (6,25%) - Solidaires (3,82%) - Autres (1,42%) Employeurs : - UDE (72,09%) - AEES (19,05) - Autres (8,85%) AP Les résultats par villes et conseils : http://www.resultats.prudhommes.gouv.fr/
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Le bonheur est contagieux...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Les rognons c'est bon...J'adore... Alors personne ne baigne dans le bonheur sur ce forum...? -
Tiens en parlant des logements sociaux : dans ma ville un F4 HLM est actuellement à 550 euros (environs 70m2) dont 350 euros de loyers principal et 200 euros de charges locatives... Le locataire (45 ans) libère le logement au bout disons de 15/20 ans d'occupation. Durant ce laps de temps il aura vu sa situation personnelle s'améliorer (qualification, rémunération ) c'est d'ailleurs pour ça qu'il quitte son logement pour acheter un petit lopin de terre. Le logement va être relouer à une famille plus jeune mais aux revenus plus bas. Pour autant le logement va être relouer plus cher pour adapter le prix aux réalités du marché soit 600 euros (400+200)... L'office HLM demande une couverture de salaires de trois fois le montant du loyer soit 1800 euros net de base... Et pourquoi l'Etat ne ferait-il pas quelque chose pour baisser le prix du loyer de base pour ramener le loyer à 400 euros par exemple (200+200) ce qui permettrait de louer un logement (quasiment amorti) à un jeune couple ayant entre 1200 et 1500 euros de revenus......(avec l'APL le loyer réel payer par le couple serait de 250 à 300 euros) ça se serait une mesure sociale efficace... et avec un système bien organisé le locataire sortant pourrait récupérer une partie de son loyer de base pour investir dans un achat immobilier privé (50 euros pendant 20 ans = 12.000 euros)
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Balkany ??? ==>> balkanisation
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cannibals ==>> bals canins... koiquesse
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sabots ==>> Jeannette...
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chaussures ==>> grolles
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Le bonheur est contagieux...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Allez, je suis heureux et je vous transmets un petit bout de mon bonheur... Dom qui vous aime tous... même les grognons... :blush: -
Le bonheur est contagieux...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Quand je vous dit que c'est contagieux le bonheur, même les agences de presse s'y mettent... Le bonheur serait contagieux, selon une étude Maria Cheng LONDRES -- Ce sourire sur votre visage, et ce bonheur dans votre vie, il vous faut peut-être en remercier de parfaits inconnus: car le bonheur est contagieux, et plus vous êtes entourés de gens heureux, même à votre insu, plus vous l'êtes vous-même, selon une étude publiée vendredi dans le très sérieux "British Medical Journal". Des chercheurs américains ont suivi plus de 4.700 habitants de Framingham, Massachusetts, dans le cadre d'une étude menée de 1983 à 2003. Et à la lecture des résultats sur les tendances au bonheur, les scientifiques ont découvert que non seulement les gens heureux transmettent leur joie à des gens qu'ils ne connaissent pas personnellement, mais que cette 'contamination' peut durer une année. "Le bonheur, c'est comme une onde de choc", a déclaré le Pr Nicholas Christakis, professeur en sociologie de l'Université de Harvard, un des auteurs de l'étude. "Etre heureux ne dépend pas juste de vos propres actions, comportements et pensées, mais de ceux et celles de personnes que vous ne connaissez même pas". Christakis et James Fowler, professeur associé de science politique, de l'Université de San Diego (Californie), avaient déjà démontré que l'obésité et la consommation de cigarettes se propageaient socialement de cette manière. Pour cette étude, ils ont étudié des questionnaires demandant aux gens d'évaluer leur bonheur et ont pu repérer un groupe de gens heureux et un autre groupe de gens malheureux plus distincts l'un de l'autre que ce à quoi ils se seraient attendus s'il ne s'était agi que du simple hasard. Le bonheur se propage sur trois cycles, jusqu'aux amis des amis des amis. Les gens heureux avaient tendance à se trouver au centre de réseaux sociaux et avaient de nombreux amis qui étaient, eux aussi, heureux. Avoir des amis ou des parents qui habitent à côté augmentaient les chances d'être joyeux. Les conjoints heureux représentent aussi un facteur positif, mais pas autant que les amis de même sexe. En revanche, aucun effet n'a pu être observé avec les collègues de travail. Christakis et Fowler estiment que chaque ami heureux augmente de 9% votre probabilité d'être heureux. Avoir des amis grognons la diminue de 7%. Etre heureux a d'autres avantages: "Le bonheur a un effet protecteur sur votre système immunitaire et sur le fait que vous fabriquez moins d'hormones du stress", a déclaré Andrew Steptoe, professeur de psychologie à l'University College de Londres, qui est extérieur à l'étude. Mais pour d'autres experts, les gens ne devraient pas partir du principe qu'il suffit d'avoir les bons amis pour être heureux: "La santé psychologique de vos amis est un indicateur de votre propre santé mentale, mais dire que vous pouvez décider de qui sont vos amis pour devenir plus heureux serait aller trop loin", estime Stanley Wasserman, statisticien Université de l'Indiana, qui étudie les réseaux sociaux. L'étude ayant été menée dans une seule communauté, d'autres recherches sont nécessaires pour confirmer ces résultats. L'étude a par ailleurs été conduite avant la flambée des sites de réseaux sociaux en ligne, notamment Facebook et MySpace. "Ces technologies améliorent les contacts amicaux. Elles pourraient donc favoriser la forme de contagion émotionnelle que nous observons", a déclaré Christakis. Bien qu'il ne puisse pas dire si être sur Facebook rendrait plus heureux. Pour Fowler en tous cas, cette étude est la première tentative d'analyse du karma: "Le fait que le bonheur se propage de personne en personne laisse penser que notre propre rayonnement puisse au final nous revenir". AP Sur le Net: http://www.bmj.com -
Un petit dessin du jour ...