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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Aucun problème pour moi. Je te mets le texte... Pour moi : C'est du brassage d'air... FRANCE TV A DIT À LAURENT RUQUIER : "SOIT TU INVITES MARINE LE PEN SOIT TU ARRETES TON ÉMISSION" Plus les jours avancent et plus la campagne de l'élection présidentielle de 2012 se fait sentir. En effet le CSA a convoqué tous les médias pour mettre en place le programme de la répartition de parole a fin qu'il y ait une équité parfaite. Dès le 20 mars il y aura une égalité parfaite pour les candidats à l'élection présidentielle. Et à partir du 1er Janvier, la parole des soutient des candidats à la radio et à la télé sera aussi décompté. Une tache qui ne va pas être évidente à réaliser pour les directions des médias. En effet ils vont devoir jongler entre les candidats déclarés, les candidats présumés. Il va être aussi difficile d'accorder le même temps de parole aux petits candidats que le candidat du Parti Socialiste par exemple, étant donné que l'actualité de ce candidat est beaucoup plus importante qu'un petit candidat comme Hervé Morin pour ne citer que lui. Le CSA incite aux petits partis et candidats de créer l'événément avec des meetings, de nombreux déplacement pour qu'ils soient audible. Le CSA a également traiter la question concernant Nicolas Sarkozy. Etant donné que c'est un candidat présumé certaines de ses déclarations lui seront décomptées de sont temps de parole au même titre que ses adversaires. Néanmoins les rédactions devront faire attention en dissociant les prises de paroles "en tant que président" (par exemple lorsqu'il y a une conférence de presse pour parler de la crise au sommet européen) et les prises de paroles "en tant que candidat" (par exemple lorsqu'il rend visite à l'usine de fabrication des skis Rossignol). Toute cette pression à eu pour conséquence qu'en début de semaine Laurent Ruquier a été convoqué à la rédaction de France Télévision pour lui annoncé que désormais il va devoir arrêter de boycotter Marine Le Pen. Les choses ont été dites très clairement: "S'il veut continuer à recevoir des invités politiques, il doit se conformer aux règles du pluralisme. Par conséquent, il devra recevoir Marine Le Pen". C'est un réel dilemme pour l'animateur de France 2: Soit il se plie aux nouvelle règle de Rémy Pflimlin ou alors il continue son émission en faisant comme si elle n'existait pas au risque d'avoir des sanctions. Il faut dire que ce dernier ce n'est pas qu'il ne veut pas inviter la candidate frontiste c'est qu'il fait aussi du militantisme contre elle dans son émission. La dernière fois pour faire de "l'humour" il avait montré un arbre généalogique de la famille Le Pen en forme de croix gammée. Elle avait par la suite porté plainte contre lui.
  2. Ou comme ça... Je sors je sors ... :jesuisdehors:
  3. Paranoïa en Sarkozy... reçu par e-mail... Bordeaux Sarko en campagne à la Caf, l’envers du décor Nous avons appris le jeudi 10/11/2011 que Sarkozy viendrait à la Caf de Bordeaux le mardi 15/11/2011. Un préavis de grève doit être de 5 jours ouvrés. Nous n’avons donc pas pu en poser un. Quoiqu’il en soit, sans pouvoir faire grève et manifester en grand nombre, on pouvait malgré tout prévoir un mouvement entre syndicalistes, c’est déjà pas si mal ! Le dimanche soir une journaliste de sud ouest m’appelle pour savoir ce que nous préparons, je lui réponds que nous sommes pris un peu de court et que nous ne savons pas déjà ce que nous organiserons mais nous écrivons une lettre à Sarkozy pour lui exposer notre point de vue sur la lutte contre la fraude aux prestations sociales. Dès le lendemain matin, apparaissait un petit encart dans sud ouest précisant que la Cgt à la Caf de bordeaux préparait sa lettre à Sarkozy. Je pense que ces deux lignes ont suffit à générer l’inquiétude et/ou la curiosité du service d’ordre de Sarkozy. Du coup, j’ai été convoquée 5 ou 6 fois dans la journée du lundi (veille de la visite) dans le bureau du directeur de la Caf pour y rencontrer le sous préfet de région, le chef de la sécurité présidentielle, le directeur de cabinet de je-ne-sais-plus-quel ministre etc. Incroyable, ils ont essayé à peu près toutes les approches, cordiales, autoritaires, méprisantes, puis à nouveau de bon ton en espérant que l’on puisse s’entendre et surtout en espérant qu’on leur dise ce que nous préparions. Honnêtement, au début j’étais un peu amusée par ce spectacle et puis peu à peu, en plus d’être en colère, je me suis trouvée un peu intimidée craignant je ne sais quel excès de leur part durant notre manif du lendemain. Alors, sans rien dévoiler de ce que nous ferions, j’ai quand même calmé le jeu en rappelant que nous n’avions pas pu poser de préavis de grève, qu’il n’y avait donc pas de mot d’ordre de la Cgt vis à vis des collègues. A la Caf, nous sommes une majorité de femmes, nous sommes dans un secteur d’activité où les gens sont souvent plus calmes que des métalos ou des cheminots ! J’ai rappelé au directeur qu’à la Cgt nous sommes responsables et légalistes et que du même coup il n’y avait pas à craindre de nous quoique ce soit de dangereux ou d’irrespectueux. A partir de là, il m’était plus facile de leur rappeler que le droit syndical existe et doit être respecté. C’est notre droit d’exprimer nos contestations et de choisir nos modes d’expression pour les porter. Au fil des entretiens, ils essayaient de trouver un compromis. Jusqu’à me dire que si je leur disais ce qui était prévu le lendemain, on pourrait s’arranger pour que ça se fasse dans les meilleures conditions. Du coup, je les ai pris au mot en leur demandant alors de nous laisser faire une manif de 150 personnes devant l’entrée de la Caf. A quoi, il m’a été répondu que ce serait impossible ! (ça je m’en doutais). Donc, j’ai laissé un peu ma colère s’exprimer pour leur rétorquer, durant le dernier entretien (lundi vers 18h), que je comprenais que ces entretiens servaient juste à intimider la Cgt pour lui interdire de s’exprimer ! Ce que je trouvais condamnable et inacceptable dans une démocratie ! Le chef de je ne sais quoi, me redis qu’il voulait juste savoir ce que nous ferons le lendemain. A quoi je lui ai répondu : vous verrez demain ! Et là, une idée de génie lui vient, à la place de faire une manif, il me propose de rencontrer Sarkozy lors « d’un entretien informel », comprendre que lors de son passage dans les bureaux de la Caf, il me croiserait dans un couloir pendant 20 secondes. J’ai évidemment refusé. Et c’est reparti avec les questions et le mépris. Et pourquoi vous préférez agiter une banderole plutôt que de développer vos arguments ? C’est pourtant des propositions que d’autres acceptent (là, c’est notamment FO qui a accepté à la Caf). Pourquoi vous vous entêtez etc. Je suis rentrée chez moi le lundi soir, j’étais crevée Le mardi matin 7h30. Avec les collègues de la Cfdt puisque c’est un mouvement que nous avons porté ensemble, nous nous sommes retrouvés devant l’entrée du personnel avec la lettre que nous avions rédigée et décidé de remettre à Sarkozy par l’intermédiaire du directeur de la Caf. Nous l’avions tirée sous forme de tract et on la distribuait aux collègues au fur et à mesure de leur arrivée au bureau. (pour info l’arrivée de Sarkozy était prévue à 11h). J’ai été à nouveau « alpaguée » par le sous préfet qui m’a retenue encore un quart d’heure pour savoir ce que nous allions faire après et pour me reproposer la rencontre informelle. Une nouvelle fois j’ai dû batailler pour qu’il me lâche et me laisse rejoindre mes collègues. Vers 10h, on avançait (un petit groupes de 25 personnes juste des élus syndicalistes sur leurs heures syndicales) avec des drapeaux de la Cgt et de la Cfdt vers l’entrée principale de la Caf. Evidemment, on a été stoppés bien avant l’entrée, donc bien avant d’être visible du public. En revanche, les collègues pouvaient nous voir des fenêtres des bureaux. (plusieurs ont pris des photos). Une cohorte de flics s’est avancée, on nous a demandé de nous installer plus loin sur le parking des salariés (toujours visible des fenêtres des bureaux). Puis, vers 10h45, 30 flics nous ont entourés, et demandés de les suivre. On n’avait pas d’autre choix que de les suivre ! Ils nous ont alors parqués derrière le bâtiment du self, invisibles de tous, près des poubelles des cuisines, sur un espace d’environ 15 ou 20 m² où nous avons été retenus pendant 2 heures. Nous n’avons pas eu le droit de regagner nos locaux syndicaux (qui sont à 10 m de cet endroit là) ni d’aller aux toilettes, ou chercher un verre d’eau…On nous a relâchés 10 mn après le départ de Sarkozy. Durant ces 2 h, on a vu à un moment un journaliste de France 3 s’approcher puis repartir aussitôt après avoir parlé quelques secondes avec un flic. Heureusement, c’est celui là qui est revenu vers 15 h pour faire l’interview. Pour conclure, nous avons vécu un moment unique, qui nous a scandalisés par certains aspects mais aussi regonflés. On en sort renforcés. Depuis, nous avons fait un tract commun avec la Cfdt pour raconter cette journée et un diaporama sur l’intranet de la Caf (chaque syndicat à un portail intranet) avec nos photos. Beaucoup de collègues depuis nous ont félicité d’avoir fait ce mouvement et sont contents de nous avoir vu à la télé. Ce que je retiens aussi, c’est les collègues qui parlent avec Sarkozy du bébé et d’allaitement pendant que nous étions « gardés à vue ». Il m’apparaît évident que l’absence de conscience politique facilite la vie des politiciens les plus « tyranniques ». ça m’aide à recentrer le débat et le combat autour des sujets essentiels, et mes collègues de la Cgt sont plein d’idées et d’énergie pour retrouver un vrai militantisme de terrain. Peut-être qu’à force de rencontres dans les instances (délégués du personnel, comité d’entreprise, conseil d’administration…) on oublie une partie du terrain, c’est bien de s’y être retrouvés. Derniers points, la pression que j’ai subie est à la hauteur de la paranoïa de Sarkozy mais aussi à la hauteur de la force de la Cgt. Ils ont appelé le secrétaire de région et la secrétaire de l’union départementale pour leur demander de me dissuader de faire une manif ou tout autre chose. En retour l’ud va écrire une lettre à notre directeur pour lui faire part de leur colère de voir comment on a traité la déléguée syndicale de la Caf. Et les administrateurs Cgt des conseil d’administration de la Caf, de la Cpam, de la Carsat (retraites) et de l’Urssaf, vont faire une déclaration commune pour dénoncer ces pratiques policières et liberticides. Bon, c’est vrai qu’elle est forte la Cgt !
  4. En plus avec le Sénat à gauche et à moins de 4 mois du premier tour des présidentielles...(21 avril 2012) encore du brassage d'air...
  5. DÉCONNECTÉ Dernière activité jan 23 2007 15:13 Dès que tu perds la connection... t'es plus branché...
  6. En poursuivant mes recherches je suis tombé sur ce site un relevé des monuments aux morts. http://www.memorial-genweb.org/~memorial2/html/fr/index.php
  7. (36) La_grosse_catalane_66 Gloire à l'Ancien...
  8. 20 DÉCEMBRE 2011 Célébration(s) du jour Hommage (36) La_grosse_catalane_66 (32) mikik (29) bbeto (32) burton62 (72) niddoche (20) Metaknight (48) sur2rails
  9. Binaire plutôt entre Cheminots d'un côté et Direction-pouvoir de l'autre Encore qu'avant il y avait 8 syndicats (CGT - CFDT - FGAAC - UNSA(ex FMC) - SUD - CFTC - CGC - FO) C'est vrai qu'aujourd'hui le choix s'est sérieusement rétréci... mais beaucoup se positionnent "neutre" "sans opinion"... Enfin chacun voit le monde au travers de son propre prisme, moi en tête...
  10. Je mets en lien le site où j'ai trouvé les informations ci-dessus. C'est une source importante à conserver. http://railetmemoire...dex-203016.html Rail et Mémoire La deuxième guerre mondiale a coûté la vie à 8.938 cheminots. 15.977 ont été blessés « Simples et humains, ils ont donné volontairement leur vie pour qu'au­-delà de la victoire des armes, un sens nouveau et jeune soit donné aux idées de liberté et de démocratie »
  11. Merci Marc pour ces infos. Je suis parti à la recherche d'informations supplémentaires sur le net : http://railetmemoire...ux_raymond.html PAGEAUX Raymond Ajusteur à DIJON PERRIGNY (21) Date de naissance : 21 septembre 1911 Lieu de naissance : MONT LES SEURRE (71) Date de décès : 19 avril 1944 Lieu de décès : STUTTGART Circonstances : exécuté en Allemagne Méthode de recherche rail & mémoire pour cette notice : Echange de courrier avec la famille Extrait article de Christian Bachelier, in Revue d’Histoire des Chemins de FER 1996 Le 31 août, 7 cheminots de Dijon-Perrigny , Raymond Pageaux, André Dubois, Raymond Gaspard, Maxime Perreau, Maurice Thuringer, Jean-Paul Tamigi et Jean Ridet sont arrêtés. L'affaire est suivie par la direction générale de la SNCF et le ministre: - le 13 septembre, lors de la conférence ferroviaire hebdomadaire: "Point 2. Incidents à Oullins et à Perrigny. M. Berthelot met au courant des incidents qui se sont passés ces derniers jours [septembre 1943] à Oullins et à Perrigny. […] à Perrigny, sept cheminots qui avaient été arrêtés récemment par les autorités allemandes pour des causes extérieures au service. Ces arrestations ont créé une effervescence parmi les autres cheminots de Perrigny qui ont décidé de se mettre en grève. Sur intervention du préfet, les cheminots ont repris le travail, mais ils ont menacé de déclarer la grève pour le lendemain, si leurs camarades n'étaient pas relâchés entre temps. Les autorités allemandes ayant fait connaître à la suite que les agents arrêtés auraient fait des aveux, le préfet est intervenu à nouveau auprès des cheminots et ceux-ci n'ont pas arrêté le travail." Le 27 novembre, les cheminots de Perrigny sont condamnés à mort. En protestation, le 29, leurs collègues se mettent durant 2 heures en grève, qui reprendra deux jours plus tard, et s'étendra sur la ligne Paris-Lyon. - le 29, dans une note de la direction des Chemins de fer: "Les motifs de l'incarcération et de la condamnation à mort ne sont pas exactement connus. La Région Sud-Est est très mal renseignée et croyait que les arrestations avaient été provoquées par certains actes de sabotage qui se sont produits en août au dépôt de Dijon-Perrigny. Le chef de ce dépôt, auquel cette Région aurait téléphoné hier au sujet des condamnations à mort, n'a pu donner aucune précision sur les motifs de la condamnation à mort. M. Santot, chef du Syndicat, m'a fait part de certains bruits selon lesquels les condamnations auraient été motivées par des actes d'intelligence avec l'ennemi, réception d'armes déposées par parachutes, distribution de ces armes et attentats terroristes. Mais il n'a pu me donner aucune précision sur la réalité de ces motifs." - le même jour, lors de la conférence ferroviaire hebdomadaire: "Point 12. Condamnation à mort de 7 agents de Dijon-Pérrigny. Le ministre, avisé de cette condamnation, vient de faire une démarche pressante auprès du président Münzer pour le prier d'intervenir afin que les agents soient graciés." - toujours le 29 novembre: "Dans la soirée du 29 novembre, le ministre accompagné de M. Fournier, président, et de M. Le Besnerais, directeur général de la SNCF, a été reçu par M. le président Münzer, délégué du ministre des Communications du Reich. Il a exposé que le gouvernement français ne demandait pas une révision du jugement rendu par le tribunal militaire allemand de Dijon, mais souhaitait obtenir la grâce des condamnés. […] Il a particulièrement insisté sur le point suivant, si une décision dans ce sens et pour ces motifs était prise par les hautes autorités allemandes: elle aurait le plus grand effet psychologique sur tout le personnel de la région de Dijon, région dont la sensibilité s'est manifestée à plusieurs reprises. M. Le président Münzer a bien voulu promettre au ministre d'intervenir dans toute la mesure que comportaient ses attributions en l'espèce." - le 7 décembre, lors de la conférence ferroviaire: "Point 1. Incidents au dépôt de Dijon. M. Le Besnerais a été mis au courant qu'une délégation des agents du dépôts de Dijon a été reçue par le président Laval. Il tient d'autre part le ministre au courant d'une démarche que la SNCF a faite auprès du préfet de la Côte-d'Or pour lui demander de faire évacuer le dépôt en cas d'incident. Le préfet a toutefois déclaré qu'il n'en avait pas la possibilité, mais M. Le Besnerais insiste pour qu'on prenne les mesures utiles pour éviter la grève sur le tas." Le 9, une délégation des cheminots en grève est convoquée à Paris. Le lendemain, est annoncée la grâce des 8 condamnés. La peine de mort est commuée en déportation, ils sont déportés le 22 décembre. le 27, lors de la conférence hebdomadaire: "Point 8. Correspondance au sujet des 7 cheminots de Dijon condamnés à mort. M. Bichelonne demande à M. Morane d'écrire à M. de Brinon pour lui demander de faire modifier la lettre des Allemands, dont le libellé actuel met des conditions inacceptables à la non-exécution de la sentence." - le 29, Bichelonne rencontre Münzer: "Point 7. Condamnation à mort de 7 cheminots de Dijon-Perrigny. Dans cette affaire, le ministre avait préparé une lettre à la SNCF dont il avait soumis le projet au président Münzer. Celui-ci, tout en étant d'accord avec le sens de la lettre prie le ministre d'y apporter quelques modifications de détail. Le ministre et le président Münzer se mettent d'accord sur le libellé définitif. La nouvelle rédaction sera soumise encore cet après-midi par la HVD à M. Morane. à cette occasion, le président Münzer signale que lors d'une récente entrevue à Dijon, les autorités compétentes allemandes ont invité les dirigeants de la SNCF d'user de toute leur influence sur le personnel pour les inviter à ne plus se laisser aller à des actes irréfléchis et inconsidérés. Car, en cas d'une nouvelle grève, il serait impossible d'intervenir à nouveau au profit de ces sept agents." - le 24 janvier 1944, lors de la conférence hebdomadaire: "Point 15. Réponse de M. de Brinon dans l'affaire de la condamnation des 7 cheminots de Dijon-Pérrigny. Dans sa réponse, M. de Brinon ne voit pas de contradiction entre ce qu'il a dit lui-même et ce qu'ont dit les Allemands. M. Bichelonne demande à M. Morane de préparer une nouvelle lettre à l'adresse de M. de Brinon." Le tribunal militaire de Karlsruhe juge de nouveau les 8 graciés et les condamne de nouveau à mort. Le 19 avril 1944, ils sont tous décapités à la hache.
  12. Vous pouvez me rappeler le salaire moyen en Chine... Ceci dit dans tous les pays du monde même en chine, les salariés paient des impôts et des taxes ... (sauf erreur de ma part...)
  13. Oui... dans un poste d'aiguillage tenu en 3*8 par exemple alors que la gare n'est ouverte aux voyageurs que de 5h du matin à 23h le soir Est-ce bien le sens de ta question ?
  14. Plus que 10 jours (moins les samedis dimanches...)
  15. Et il me semble qu'un nouveau scandale est en cours avec la vente à Vinci de terrains qui n'ont rien à voir avec le nouvel aéroport mais en sont très proche à la limite même sans que personne ne s'explique sur leur affectation ultérieure... et évidemment vente à prix d'amis...
  16. En tout cas ça va plus vite pour ce gouvernement umpiste d'envoyer les CRS devant les grévistes que d'obliger les patrons à se mettre à la table des négociations
  17. L'Humanité Aéroport : quatrième jour de grève, le conflit dans l'impasse http://www.humanite....limpasse-486225 Les agents aéroportuaires poursuivaient lundi leur grève où aucune issue au conflit ne se dessinait après l'annulation de la réunion de négociation, par le patronat, prévue lundi après-midi. Nice et Mulhouse rejoignent le mouvement mardi. L'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry, le quatrième du pays, restait lundi le plus affecté par le mouvement de grève nationale inter-entreprises entamé vendredi par des agents de sûreté, chargés du contrôle des bagages et passagers avant l'embarquement. Les syndicats des sociétés de sûreté des aéroports, qui emploient environ 10.000 personnes (ICTS France, Securitas, Brink's, Alyzia Sûreté, ISec, Vigimark, Samsic, Serris, Securus), demandent des hausses de salaires et l'amélioration des conditions de travail. Selon Jean-Paul Horville, délégué CGT Securitas Les syndicats réclament "des propositions salariales concrètes". "Nous demandons une négociation de branche. S'il y a une augmentation à avoir, c'est pour l'ensemble de la branche, pas pour un aéroport en particulier". Mais aucune sortie de conflit ne se dessinait lundi à la mi-journée. Après avoir annoncé une réunion de négociation, lundi à 14H30, le patronat l'a annulée. Des agents de sûreté aéroportuaire vont poursuivre mardi leur mouvement de grève, faute d'avoir obtenu l'ouverture de négociations sur les salaires, et vont l'étendre à d'autres villes, dont Nice et Mulhouse, ont indiqué la CGT et la CFDT. Thierry Mariani, vendredi, et Nathalie Kosciusko-Morizet, dimanche, ont estimé que ce mouvement justifiait la mise en place d'un service minimum dans le secteur aérien. Le président du groupe de la majorité à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, a ainsi confirmé que l'UMP s'efforcerait de faire voter avant l'élection présidentielle une proposition de loi visant à encadrer le droit de grève dans le transport aérien. Il a précisé que l'Assemblée devrait examiner fin janvier ce texte qui imposerait notamment de déposer un préavis de grève 48 heures avant le lancement du mouvement. Selon Thierry Menard, secrétaire fédéral CGT Commerce et Services, le préavis de grève a été envoyé le 8 décembre. Le gouvernement et les entreprises avaient donc sept jours pour ouvrir les négociations "ils avaient non pas cinq jours comme le prévoit la loi mais sept jours pour ouvrir les négociations et ils ne l'ont pas fait", précise t-il sur TF1.fr. Eva Joly, la candidate EELV à la présidentielle, interrogée lundi par i-Télé sur les débrayages dans les aéroports, a préconisé d'obliger à négocier avant d'avoir recours à la grève. Questionnée sur un service minimum dans l'aérien, l'ex-magistrate a observé: "Il y a une chose plus urgente à faire en France: instaurer l'obligation de négocier avant d'utiliser l'arme constitutionnelle qui est la grève". On croit rêver...
  18. Cinquième jour de grève dans les aéroports http://www.liberation.fr/societe/01012378667-cinquieme-jour-de-greve-dans-les-aeroports Le gouvernement a durci le ton et nommé deux médiateurs pour tenter de mettre fin d’ici la mi-journée à la grève des agents de sûreté qui perturbe depuis vendredi le trafic aérien et menace de s’étendre notamment à Nice. La ministre des Transports, Kosciusko-Morizet, a souligné qu’il n’était«pas question de laisser les Français pris en otage par ce conflit à l’occasion des vacances de Noël». «Si la situation ne s’améliore pas, nous aurons recours à une solution appropriée», a-t-elle mis en garde. Parmi les solutions possibles, l’Etat peut aller jusqu’à la réquisition s’il estime qu’il y a atteinte au bon ordre et à la sécurité publique. Aéroports concernés Outre Lyon, Roissy et Toulouse, affectés depuis vendredi par la grève, ceux de Nice, Bâle-Mulhouse et Rennes pourraient rejoindre le mouvement de grève interentreprises, ont indiqué la CGT et la CFDT. La direction de l’aéroport de Bâle-Mulhouse ne s’attend toutefois à aucune perturbation mardi: un préavis de grève a bien été déposé mais pour le 24 décembre par des salariés contrôlant les marchandises, le personnel, et pas les passagers. A Nice, la direction se dit «dans le flou» pour la journée de mardi. Malgré des retards, la direction de l’aéroport de Lyon, la plate-forme la plus touchée, a déclaré que l’ensemble des vols prévus mardi seraient assurés. Les départs se dérouleront «en mode dégradé, avec retards et attente», grâce au renfort d’agents venus d’autres aéroports. Pour faciliter le rétablissement du trafic, l'aéroport de Lyon demande aux voyageurs de renoncer aux «bagages "hors format" de type ski, surf, caddy de golf, poussettes imposantes». C’est aussi le cas à Roissy où aucune annulation n’a été enregistrée lundi. «Sur 630 vols programmés, 450 ont décollé avec un retard moyen de 40 minutes», essentiellement au terminal 2F, a indiqué Aéroports de Paris à 18h00. Orly n’est pas touché par cette grève des agents de sûreté qui exigent des négociations au niveau de la branche pour une revalorisation des salaires et des conditions de travail. «Si on cède aujourd’hui, on restera dans la même spirale» Le Syndicat (patronal) des entreprises de sûreté aérienne et aéroportuaire (Sesa) avait proposé aux syndicats une négociation lundi, conditionnée à la reprise du travail, avant de l’annuler faute de levée du préavis. Pour Christine Hamiani, déléguée CGT Brink’s, «on sait très bien que, si on cède aujourd’hui, on restera dans la même spirale, on n’obtiendra rien et on continuera à nous traiter comme si nous étions du bétail». Exiger la levée du préavis pour négocier, «c’est du chantage», a réagi Mohamed El Ammari, délégué syndical CFDT chez ICTS à Roissy. Les grévistes ont dénoncé le recours à des agents extérieurs recrutés pour «briser la grève» et qui, selon eux, n’ont pas la formation requise. «Tous les personnels mobilisés sont bien habilités», a garanti un porte-parole de la DGAC (direction générale de l’aviation civile), reconnaissant que ces salariés «peuvent venir d’autres plates-formes aéroportuaires». Le gouvernement a relancé l’idée d’encadrer le droit de grève dans l’aérien, comme dans les transports terrestres, en obligeant les parties à négocier et les grévistes à se déclarer 48h à l’avance. «Le préavis a été déposé 8 jours avant et ni le patronat, ni les pouvoirs publics n’ont bougé, il n’y a eu aucune négociation», a rétorqué sur BFMTV Jean-Paul Horville, délégué CGT Securitas. Les agents de sûreté, remplissant une mission de service public, ont l’obligation de déposer un préavis de grève cinq jours avant le début de leur mouvement. (AFP)
  19. Agents de sûreté Entreprises privées On a droit à un déferlement médiatico-politico-Umpiste-intoxication anti-grévistes Et pourtant ce sont des boîtes privées : ICTS France, Securitas, Brink's, Alyzia Sûreté, I Sec, Vigimark, Samsic, Serris, Securus Le pire sur LCP ce matin : pitoyable ! D'ailleurs rien que le titre dans Le Monde en dit long... La grève dans les aéroports se poursuit à Roissy et Lyon mardi http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/12/20/la-greve-dans-les-aeroports-se-poursuit-a-roissy-et-lyon-mardi_1620664_3224.html Des temps d'attente étaient toujours à prévoir mardi 20 décembre dans deux terminaux de l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle (2E et 2F), malgré une amélioration de la situation au cinquième jour de grève des agents de sûreté. "Nous attendons 75 000 passagers aujourd'hui, contre 85 000 hier", a déclaré un porte-parole d'Aéroport de Paris (ADP), qui recommande aux voyageurs de venir plus tôt. A l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry, l'ensemble des 150 vols prévus au départ devaient décoller, selon la direction de l'aéroport. "Mardi, l'ensemble du programme devrait être assuré", a annoncé l'aéroport, tout en rappelant que ces départs se déroulaient "en mode dégradé, avec retards et attente", grâce au renfort d'agents venus d'autres aéroports. Pour faciliter le rétablissement du trafic, le quatrième aéroport de France (après Roissy, Orly et Nice), le plus touché par la grève ces derniers jours, demande aux voyageurs de renoncer aux "bagages hors format de type ski, surf, caddy de golf, poussettes imposantes". A l'aéroport d'Orly la situation est normale, selon ADP. L'aéroport de Nice ne faisait état d'aucune perturbation du trafic non plus, mardi en début de matinée. "Pour l'instant, les prises de poste des salariés des entreprises de sûreté se sont déroulées de façon normale, a déclaré un porte-parole de la direction. A priori nous n'attendons pas trop de perturbations." Après Lyon, Roissy et Toulouse, les aéroports de Nice, Bâle-Mulhouse et Rennes pourraient rejoindre le mouvement, avaient pourtant indiqué lundi la CGT et la CFDT. ULTIMATUM AUX GRÉVISTES Lundi soir, le gouvernement a durci le ton et nommé deux médiateurs pour tenterde mettre fin, d'ici à mardi à la mi-journée, à la grève des agents de sûreté, qui se poursuit depuis vendredi. Nathalie Kosciusko-Morizet, la ministre des transports, a souligné qu'il n'était "pas question de laisser les Français pris en otage par ce conflit à l'occasion des vacances de Noël". "Si la situation ne s'améliore pas, nous aurons recours à une solution appropriée", a-t-elle averti, en posant aux grévistes un ultimatum de facto. Parmi les solutions possibles, l'Etat peut aller jusqu'à la réquisition s'il estime qu'il y a atteinte à l'ordre et à la sécurité publique. Les syndicats des entreprises de sûreté, qui emploient 10 000 salariés (ICTS France, Securitas, Brink's, Alyzia Sûreté, I Sec, Vigimark, Samsic, Serris, Securus) réclament l'ouverture de négociations "sérieuses" sur les conditions de travail et les salaires.
  20. Il se passe des choses zarbi dans ce fil... Ce doit être une histoire de méga-bits... ou alors c'est moi qui suis fatigué ou qui devient P'tit Vieux... Chérie une camomille
  21. Tout est bon pour en rajouter une couche antisociale...
  22. Bienvenu Parcours le forum, il y a un fil ouvert à ce sujet...
  23. Journée avec Repos des SA-DI , 2x8 ou 3x8 : tout dépend du poste de travail dans lequel tu es affecté... de la qualif A aux maîtrsies D ou E autant qu'aux cadres de la qualif H ... !
  24. et des ava tartares... Ah ventards !
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