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Lucien Midol 1883-1979 http://fr.wikipedia.org/wiki/Lucien_Midol Fédération des travailleurs cadres et techniciens des chemins de fer CGT http://fr.wikipedia.org/wiki/Fédération_des_travailleurs_cadres_et_techniciens_des_chemins_de_fer_CGT
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La TVA à 7% refusée par le Senat, elle reste donc à 5,5% ...
Dom Le Trappeur a répondu à Pascal 45 situé dans Brin de causette
Et au peuple de trancher en avril-mai 2012 aux présidentielles et en juin aux législatives... -
Cheminot est une commune française située dans le département de la Moselle en Lorraine http://fr.wikipedia....eminot_(Moselle) La Gare TGV Lorraine a été construite sur le territoire de la commune
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Un illustre méconnu...enfin inconnu
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17 DÉCEMBRE 2011 L'avatar du jour... Bon Anniversaire Marc (33) marcarrick
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Bon Anniversaire 17 DÉCEMBRE 2011 Célébration(s) du jour (33) marcarrick ... Bon anniversaire Marc (51) Patachon69 (21) Alu_ (38) olivier87 (27) noufoun (43) Patrick.T (67) thibault
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confirmation compte "hotmail - Windowslive"
Dom Le Trappeur a répondu à CRL COOL situé dans Informatique
Hotmail... Direct poubelle ! -
Louis Armand http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Armand_(ingénieur)
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Jean-Claude Gayssot... http://fr.wikipedia.org/wiki/Gayssot
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Georges Séguy http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Séguy Bernard Thibault http://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Thibault Didier LeReste http://fr.wikipedia.org/wiki/Didier_Le_Reste
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Rien lu à ce sujet. http://www.letelegra...011-1537577.php Trafic des trains. La circulation perturbée par la tempête Ce matin, la situation était assez tendue sur les lignes SNCF. Particulièrement en Bretagne et dans les pays de la Loire. La circulation des trains a été fortement perturbée en raison d’arbres tombés sur les voies mais aussi de rupture de tension électrique sur les lignes. En milieu de matinée, la ligne Quimper-Auray était toujours coupée par manque d’électricité. La rupture d’alimentation ayant été localisée à Bannalec. Des cars prenaient en charge la clientèle entre ces deux gares. Les installations ont été remises en état de fonctionnement sur l’ensemble de la Bretagne sauf à Bannalec. A 12h, le trafic était quasiment normal en Bretagne sauf entre Quimper et Lorient (aucune circulation ferroviaire pour l’instant). Sur tout le réseau breton, une trentaine d’équipes travaillaient d’arrache-pied pour que la situation soit rétablie au plus vite. Le trafic devrait reprendre à 14 h. En gare de Brest, le téléphone n’arrêtait pas de sonner. "La ligne Brest-Paris n’a pas été perturbée. Tous les trains sont partis et arrivés comme prévu". Pas de problème sur la ligne Paris-Brest, plus compliqué vers Quimper Seule demeurait problématique la ligne du sud. "Les gens sont compréhensifs. Ils font preuve de patience", soulignait-on au bureau des renseignements. "Nous avons demandé aux gens qui devaient aller au-delà de Quimper, de reporter au lendemain leur voyage. La plupart ont accepté". À situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles: la SNCF a décidé d’instaurer un remboursement intégral en cas d’annulation. De même les échanges de billets ne subiront pas de surcoût en cas de réservation pour la période blanche qui démarre demain. Dans les Pays de la Loire la situation était plus critique. En fin de matinée, alors que la circulation des trains reprenait progressivement entre Nantes et Angers, celle entre Le Mans et Angers demeurait bloquée.
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http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/12/16/pourquoi-certains-electeurs-doutent-de-m-hollande_1619697_1471069.html#ens_id=1590109 Pourquoi certains électeurs doutent de M. Hollande Pourquoi un électeur décide-t-il, un beau jour, de se détourner d'un candidat pourenvisager de voter pour un autre ? Pour répondre à cette question, Le Monde, le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation pour l'innovation politique se sont associés à Ipsos et Logica Business Consulting pour mettre en place un instrument de mesure exceptionnel. Celui-ci consiste, d'ici à la présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, à suivre un groupe de plusieurs milliers d'électeurs représentatifs de la population en âge devoter, à identifier ceux qui, d'un mois sur l'autre, ont changé d'avis, puis à lesinterroger sur les raisons de ce changement. Dans la dernière vague de notre baromètre mensuel d'intentions de vote, publiée le 7 décembre, M. Hollande apparaissait, pour le huitième mois consécutif, comme le favori de la présidentielle. Mais, de tous les candidats, il était aussi celui dont le score, en l'espace d'un mois, avait le plus varié: – 3 points. Etant d'amplitude plus importante que la baisse enregistrée dans le même temps par Marine Le Pen (– 2 points) ou que la progression affichée par Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou(+1,5 point chacun), ce mouvement mérite qu'on s'y attarde. TRANSFERTS DE VOTE ET DÉMOBILISATION Entre début novembre et début décembre, M. Hollande est donc passé, selon Ipsos, de 35 % à 32 % d'intentions de vote au premier tour. Cette baisse est liée à un double phénomène. Le premier est dû à des transferts de vote. Ainsi, des électeurs qui, début novembre, déclaraient vouloir voter pour M. Hollande, affichent désormais leur préférence pour un autre candidat. 2 % des électeurs sont dans ce cas. Parmi eux, la moitié s'est reportée sur M. Mélenchon, l'autre moitié se répartissant, à part égale, sur MM. Bayrou et Sarkozy. Le second phénomène est lié à une forme de démobilisation. 1 % des sondés sont dans ce cas. Il s'agit d'électeurs qui, désormais, ne sont plus certains de voter. Certes, ceux-ci n'envisagent pas, à ce jour, de voter pour un autre candidat que M. Hollande. Mais en menaçant de s'abstenir, ils font potentiellement baisser son score. Voilà pour la répartition des flux. Reste à l'expliquer. Sans surprise, les électeurs qui se sont éloignés de M. Hollande continuent de le préférer largement à M. Sarkozy. Mais, sur certains points, la très forte avance dont bénéficiait le candidat du PS début novembre s'est nettement érodée. Parmi ces électeurs, environ 60 % estiment que M. Hollande est dynamique, capable de mieux faire fonctionner l'Europe, et peut faire face à la crise économique et financière. Ils étaient 75 % à le penser début novembre. Les entretiens qu'a réalisés l'institut Ipsos du 9 au 14 décembre avec une quinzaine de ces électeurs ayant changé d'avis permettent d'éclairer davantage les raisons de leur déception vis-à-vis de François Hollande. Ceux qui se sont détournés du candidat socialiste au profit de Jean-Luc Mélenchon ne sont pas des électeurs traditionnels du PS. Venus du Parti communiste ou de l'extrême gauche, ils avaient participé à la primaire organisée en octobre par les socialistes et les radicaux de gauche. A l'époque, leur choix s'était porté sur Martine Aubry ou Arnaud Montebourg, perçus comme plus à gauche que François Hollande. Mais la victoire de ce dernier, le 16 octobre, les avait conduits à le soutenir : interrogés par Ipsos début novembre, ils déclaraient alors leur intention de voter pour le député de la Corrèze. Aujourd'hui, que lui reprochent-ils ? Sa personnalité ("il ne sait pas dire non"), le manque de mordant de son programme ("pas de réponses assez fortes"), et enfin son management ("il a trop de monde autour de lui", "il a du mal à réunir son équipe"). Pour ces électeurs, qui louent la "grande gueule" de M. Mélenchon, M. Hollande pâtit aussi de l'image du PS, perçu comme une "auberge espagnole" dont les alliances avec les autres partis de gauche sont jugées peu claires. Demeurant prêts à voter pour le candidat socialiste au second tour, ces électeurs veulent faire "pression" sur lui pour qu'il rompe avec un certain "attentisme". UNE ATTITUDE PLUS COMBATIVE Les électeurs qui se déclarent dorénavant pour M. Bayrou ont, eux aussi, participé à la primaire. Mais à la différence de ceux qui se reportent sur M. Mélenchon, ils avaient alors voté pour M. Hollande, perçu comme "le plus crédible", "le plus rassembleur" et "le seul qui pouvait battre Nicolas Sarkozy". Ces électeurs estiment que, depuis son investiture, M. Hollande a été trop timide, trop effacé, trop peu offensif. "Il manque de charisme", dit l'un. "On a l'impression qu'il court après les choses ; qu'il s'engage au moins !", ajoute un autre. Se définissant comme des héritiers de la "deuxième gauche", ces électeurs – dont certains ont déjà, en 2007, voté pour M. Bayrou – sont très attentifs à la crédibilité des propositions avancées par le candidat socialiste. Deux sont volontiers qualifiées d'"irréalistes" : la réduction de 75 % à 50 % de la part du nucléaire dans la production d'électricité et l'embauche de 60 000 enseignants. Qu'ils envisagent de voter pour un autre candidat ou de s'abstenir, tous réclament la même chose de M. Hollande : une attitude plus combative et des idées plus précises. Sur le premier point, l'intéressé a tout à gagner : face à un Nicolas Sarkozy qui tire profit de la crise de l'euro pour recouvrer une "stature présidentielle" jusque-là très écornée, le candidat socialiste ne peut laisser à son adversaire le monopole du leadership. Sur le second point, en revanche, sa situation est plus délicate : s'il ne sort pas du flou, M. Hollande peut continuer à perdre des électeurs. Mais s'il précise ses intentions, il court le risque de s'aliéner des électeurs qui, dès lors, le jugeront trop à gauche ou trop centriste. C'est dire l'enjeu de la séquence qui attend M. Hollande après les fêtes de fin d'année.Rapport panel électoral 2012
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La durée du Repos Périodique (l'intérrution entre deux GPT succéssives ) se calcule depuis la fin de la journée de service précédent le RP jusqu'à la prise de service de nuit dans l'exemple: exemple matinée : 6/14 = 10h 1er RP.............= 24h 2ème RP.........= 22h Prise de nuit sur le deuxième RP à 22h Soit une durée de Repos Périodiques de 56 h (10h+24h+22h) inférieure à la durée du Rp double prévue dans la réglementation de 4h (60h - 56h). La durée du repos périodique réduit (soit 4h dans l'exemple) sera récupérée sur le 1er Repos Périodique suivant ou le deuxième ce qui est le cas dans un roulement deux huit (matinée-nuit) ou dans un roulement 3x8 ( matinée - nuit- soirée ) Exemple GPT soirée 14 /22 RP RP : réduit de 4h (56 h pour 60h GPT matinée 6/14 RP RP : réduit de 4h (56h pour 60h) GPT nuit RP RP : allongé de 20h (80 h pour 60h donc récupération des 2 RP réduits précédents 4h+4h) Le RU ajoute 24 h à la durée du repos total (RP +RU) (idem pour un RQ, un RCF ...) mais le RU à la différence du RP fait partie intégrante de la durée de la GPT... La prise de nuit sur un RU est tout à fait possible. Et tout ça se trouve dans la réglementation du travail ex-P4S ou RH0077...
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CGT et CFDT coupent l'herbe sous les pieds des détracteurs !
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Vous en avez entendu parler ? En toute transparence, la CGT publie ses comptes certifiés Le 14 novembre 2011, la CGT a donc rendus donc publics ses comptes certifiés au cours d’une conférence de presse. Michel Doneddu, trésorier de la CGT en fait ici une présentation http://www.cgt.fr/En-toute-transparence-la-CGT.html -
Nouvelle carte d’identité: l’usurpation prétexte au fichage http://www.humanite.fr/societe/nouvelle-carte-d’identite-l’usurpation-pretexte-au-fichage-485935 Lutter contre un « crime », avec des chiffres douteux à l'appui, pour imposer une nouvelle privation des libertés, voilà un crédo bien de droite. Preuve en est l’adoption de la nouvelle carte nationale d’identité biométrique, ce mardi à l’Assemblée. Cette nouvelle carte d’identité, qui sera en place à partir de 2012 et concerne donc les 45 millions de Français de plus de 15 ans, contiendra deux puces électronique. La première, obligatoire car régalienne, intègre l’Etat civil complet du citoyen, couplé à sa photo, mais aussi ses empreintes digitales numérisées. La seconde est, elle, optionnelle et purement commerciale. Elle à pour but de s’assurer de l’identité de l’acheteur en cas de transaction en ligne. Avec un lecteur de carte approprié dans l’ordinateur, celui-ci assurera que l’identité de l’acquéreur est bel-et-bien la bonne. Toutes ces informations seront concentrées dans la base TES. Une belle quantité de données sur chaque citoyen accessible en un clic, à tel point que la CNIL, qui n’est clairement pas un organe progressiste, s’en est inquiétée. Et sous l’impulsion de Claude Guéant, cette base d’informations va permettre d’alimenter les opérations judiciaires. De fait, ce fichier normalement purement administratif sera accessible aux employés du ministère de l’Intérieur et deviendra donc fichier policier. Pour justifier ce douteux mélange des genres, la proposition de loi relative à l’usurpation d’identité évoque 210 000 cas par an en France, soit plus que les cambriolages. Problème, l’observatoire national de la délinquance évoque de son côté 13900 cas, soit plus de 15 fois moins tout de même. Les députés de gauche ont donc tenté de s'opposer à la création de ce dispositif, qui selon Marc Dolez (Parti de gauche) "équivaut à un fichage général de la population française, disproportionné au regard de l'objectif poursuivi". Claude Guéant veut même aller plus loin, et ajouter à l’empreinte digitale la reconnaissance faciale. Amendement qui a été massivement rejeté au Sénat (seulement 4 voix pour) mais que le ministre ne compte pas enterrer pour autant, alors qu’il reconnait lui-même que la technologie n’est pour l’instant pas fiable. En plus d’être inquiétante, puisque c’est la porte ouverte aux pires fantasmes dont nous a abreuvés la science fiction. Sous couvert de sécurité, une mesure pas très sûre Techniquement, les composants électroniques contenant toutes ces informations sont des puces RFID. Des outils pratiques, qu’on peut « lire» à distance par magnétisme (40 cm environ), comme les passes Navigo de la RATP, que les Franciliens connaissent bien. C’est déjà assez peu rassurant qu’on puisse lire une carte d’identité sans rien demander, et à distance, mais il faut savoir que ces puces RFID sont assez facilement copiables. Avec un peu de matériel, un pirate pourrait donc dupliquer une carte d’identité, sans même toucher sa victime. Certes, on peut espérer que les données contenues dans la puce seront correctement cryptées. Rappelons-nous de ces hackers qui avaient publié les donnés confidentielles de plus de 1000 cadres et élus UMP, hébergés sur des serveurs non protégés et non cryptées, en mettant en avant : c’est ceux-là qui veulent ficher informatiquement 45 millions de français… Enfin, et pour être complet, il faut savoir qu’il y a un lobby industriel derrière cette décision. Ce qui fut justement pointé en séance par la sénatrice communiste Eliane Assassi : « Comment ignorer (…) que le passage au biométrique est une formidable opportunité de créer un marché lucratif pour les quelques entreprises spécialisées dans ce domaine ? ». Cette loi fait en effet suite à une énorme campagne de lobbying des industriels spécialisés, et en particulier de Morpho, ex Sagem Sécurité et filiale de Safran, qui sont déjà derrière les passeports biométriques.
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Tempêtes... Bon ça souffle un peu, sans plus... Demain matin ça devrait être sympa sur le littoral avec la houle... Hier soir... Par contre deux éclairs et deux coups de tonnerre dans le lointain et hop la foudre qui tombe sur une cheminée , qui se propage dans un petit immeuble moderne plein d'ordi et d'électronique, disjonction foudroyante, et panne d'électricité qui plante trois communes pendant trois heures. Merci aux gars d'EDF et au service public pour la réparation rapide... Avec ma p'tite femme on a sortit les bougies et hop repas aux chandelles... Cool le retour du bon vieux temps sans électricité ni télé, ni ordi...!
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Si le 1er jour du trimestre civil est un jour férié ou un dimanche la pension est normalement versée la veille donc le denier jour du trimestre précédent... et je le rappelle le versement d'avance du trimestre au 1er jour du trimestre est un acquis que nous payons durant toute notre activité au travers de nos cotisations sociales...
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J'adore le titre... "partenaires"... Mais alors pourquoi refuse-t-il un vrai débat contradictoire sur le fond des programmes...? Ceci étant reste à savoir si il y a réellement un programme... Bon ça ne vaut pas sarkozy qui repousse à la ...mi-Février sa déclaration de candidature alors qu'il mène déjà campagne sur le dos du citoyen-contribuable ! Hollande trouble ses partenaires sur la retraite à 60 ans En laissant entendre qu'il ne reviendrait pas sur l'âge de départ à la retraite, le candidat PS s'est attiré les reproches d'EE-LV, du Front de gauche et, plus inattendu, de Fillon, qui l'accuse d'avoir menti. Ses proches calment le jeu. http://www.liberation.fr/politiques/01012377413-hollande-trouble-ses-partenaires-sur-la-retraite-a-60-ans
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CGT et CFDT coupent l'herbe sous les pieds des détracteurs !
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Je note qu'il s'agit d'un rapport sur le Financement des syndicats... d'EMPLOYEURS et de salariés... -
Désolé je ne parviens pas à retrouver le fil ouvert à ce sujet... Contraint d'enterrer "sauvagement" son collègue, il touche 45.000 euros de la SNCF http://fr.news.yahoo.com/contraint-denterrer-collègue-sauvagement-touche-45-000-euros-155918295.html C'est la fin d'un long combat contre la SNCF pour Pascal Prou. Ce cheminot d'Angers aurait finalement signé un accord de conciliation avec son employeur, quatorze ans après un drame qui a bouleversé sa vie. Selon les informations de RTL, il aurait donc touché 45.000 euros d'indemnisations, et prévoirait de donner une partie de la somme à l'orphelinat de la SNCF. Rappel des faits L'affaire remonte à 1997. Un agent de la SNCF est percuté et déchiqueté par un TGV à Bouchemaine (Maine-et-Loire) près d'Angers. Des collègues, dont Pascal Prou, découvrent les restes de la victime, oubliés après la récupération officielle du corps, "éparpillés autour des rails". "Mon chef d'équipe a voulu qu'on les ramasse. J'ai refusé. L'après-midi, il m'a donné le sac poubelle avec plusieurs kilos de tous ces lambeaux. Il m'a ordonné de les enterrer dans un terrain vague ("sauvagement"). À partir de ce moment-là, je suis parti en vrille", racontait le cheminot sur France Info le 13 juillet dernier. C'est ensuite la descente aux enfers : culpabilité dévorante, cauchemars, dépression, tentatives de suicides... Il a fini par saisir le conseil des Prud'hommes de Paris (en 2010) pour "manquement à l'obligation de loyauté” . Reconnaissance du traumatisme Toujours selon RTL, l'accord de conciliation marque la reconnaissance du traumatisme par la SNCF. Pascal Prou, père de trois enfants, est toujours employé à la SNCF. A l'époque, il travaillait à la brigade "équipement" (les ouvriers d'entretien du rail), rappelle RTL. Il est aujourd'hui conducteur de trains spéciaux. Le cheminot veut à présent tourner la page de cette histoire. Son don aux orphelins de la SNCF en est peut-être la meilleure preuve.
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sourions : interview de Hollande sur rtl : mèche ?
Dom Le Trappeur a répondu à dav1077 situé dans Brin de causette
La mèche ou la lêche ? -
Thello arrive: la libéralisation du rail pointe son nez http://www.humanite....-son-nez-485744 Plusieurs centaines de cheminots ont manifesté ce lundi sur les quais de la Gare de Lyon à l'arrivée de Thello, le premier train privé en provenance d'Italie, pour dénoncer l'ouverture du rail à la concurrence. Quelque 500 cheminots, venus à l'appel de la CGT et SUD-Rail, ont ainsi accueilli l'arrivée du train et de ses rares voyageurs par des huées et des coups de sifflets. "Nous sommes venus interpeller les voyageurs sur les trains privés et leur dire que l'ouverture à la concurrence se fera au détriment des usagers, des missions de service public, des conditions de travail des salariés et de la sécurité ferroviaire", a dit à l'AFP Eric Santinelli, secrétaire régional SUD. "C'est un retour en arrière de plus de 70 ans auquel nous assistons... En plus ce sont les vieux trains de chez nous qu'on leur loue", affirmait de son côté Patrick Beaugendre de la CGT. Le service public diminué Pour les cheminots, la concurrence se traduira par "une diminution des missions de service public, les opérateurs se concentrant sur les trains les plus rentables, abandonnant les autres avec comme conséquence une augmentation des tarifs et une baisse de qualité". L'"unique objectif reste et demeure la rentabilité à tout prix au mépris des conditions de transport des voyageurs et des conditions sociales des salariés", estiment-ils, assurant que l'ouverture à la concurrence du fret en 2006 était un "vrai désastre" qui "bénéficie surtout aux camions".
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2012 : combien de candidats sur la ligne de départ ? http://www.liberation.fr/politiques/01012377139-2012-combien-de-candidats-sur-la-ligne-de-depart En 2007, douze candidats étaient présents au premier tour de l'élection présidentielle, soit quatre moins qu'en 2002. Pour la cuvée 2012, seul Nicolas Sarkozy, le président sortant, ne s'est pas encore déclaré. Parmi la vingtaine de postulants à sa succession lancés dans la chasse aux signatures, tous n'obtiendront pas les 500 parrainages nécessaires pour participer au premier tour du 22 avril. Petite revue des forces en présence à un peu plus de quatre mois du scrutin. Juste une question de temps... Nicolas Sarkozy Le suspense est proche de zéro, mais le Président sortant n'est pour l'instant pas officiellement candidat à sa réélection. Selon les infos de Libération, il devrait officialiser son entrée en campagne au plus tôt mi-février. Pour l'instant dauphin du premier tour dans les sondages, il serait largement battu par François Hollande en finale. Mais la campagne n'a pas encore commencé. Candidats quoi qu'il arrive... François Hollande Pour la première fois, le député et président du conseil général de Corrèze portera les couleurs des socialistes et des radicaux de gauche à l'élection présidentielle. En tête du premier tour dans toutes les études d'opinion réalisées depuis sa désignation lors de la primaire citoyenne organisée par le PS et le PRG, il battrait très largement Nicolas Sarkozy au second tour. L'actuelle majorité pointe son inexpérience gouvernementale, lui ne nie pas l'évidence en ambitionnant d'être un président «normal». En l'état actuel des choses, l'Elysée lui semble promis. Mais la campagne sera longue. Marine Le Pen Pour elle aussi c'est une première. La présidente du Front national, qui a succédé à son père à la tête du parti d'extrême droite, espère faire aussi bien que lui en 2002, en figurant au second tour de la présidentielle. A priori, elle devrait disposer des parrainages suffisants même si, comme c'est l'usage au FN, elle crie au complot en affirmant qu'on tente de l'empêcher de se présenter, elle la candidate antisystème. En troisième position dans tous les sondages avec un peu moins de 20% des intentions de vote, elle navigue à un niveau supérieur à celui de son père à la même époque. Si elle rate le coche et échoue aux portes du deuxième tour, elle renverra dos à dos les deux finalistes, quels qu'ils soient. François Bayrou Troisième tentative pour le troisième homme de 2007 (18,57% des voix). Le président du Modem n'a jamais fait mystère de sa volonté de concourir une nouvelle fois, c'est chose faite depuis le 7 décembre. Considérant qu'il a été le premier à alerter l'opinion sur la question de la dette et de la nécessaire maîtrise des finances publiques, il fait montre d'optimisme pour la prochaine échéance présidentielle. Longtemps à la traîne dans les sondages avant de connaître ces derniers temps un vrai frémissement, il compte bien lui aussi figurer au second tour. Et, pourquoi pas, l'emporter. S'il n'est de nouveau pas qualifié pour la finale, il s'est engagé à donner cette fois une consigne de vote. Jean-Luc Mélenchon En portant les couleurs du Front de gauche à la présidentielle, l'ancien ministre socialiste a réussi un premier pari. Labourant la France, il entend incarner une gauche de gouvernement bien à la gauche du PS. Du coup, il n'hésite pas à tacler François Hollande, le «capitaine de pédalo» et à dénoncer une possible alliance du PS et du centre. Dans les sondages, Mélenchon pointe pour l'instant en cinquième position (autour de 7%), derrière Marine Le Pen et François Bayrou. Pour lui, qui s'appuie sur les réseaux d'élus du Parti communiste français, obtenir les 500 parrainages devrait être une formalité. Il compte sur sa radicalité et ses talents oratoires pour réussir sa campagne. Au deuxième tour, s'il n'en n'est pas, il appellera à voter pour le candidat de gauche à même de faire barrage à Nicolas Sarkozy. Eva Joly Trois ans après son entrée dans la vie politique, la candidate franco-norvégienne porte les couleurs d'Europe Ecologie-Les Verts à la présidentielle. Désignée candidate au terme d'une primaire qui l'a vue affronter le très médiatique Nicolas Hulot, elle a eu du mal à enclencher la seconde depuis. Le pataquès autour de l'accord de mandature signé entre Cécile Duflot, la patronne d'EE-LV, et Martine Aubry, celle du PS, ne lui a pas facilité les choses ces derniers temps. Bien décidée à reprendre la main et à s'affirmer telle qu'elle est, elle doit encore verdir son discours tout en cultivant sa différence. Faute d'argent, sa campagne s'annonce aussi modeste que ses scores actuels dans les sondages (au mieux 5% pour l'instant). Au deuxième tour, même si elle a eu un peu de mal à le dire clairement, elle appellera à voter pour François Hollande si celui-ci se qualifie. Nathalie Arthaud Arlette Laguiller (1,33% en 2007) à la retraite et Olivier Besancenot en retrait, la candidate de Lutte ouvrière finit par être la plus connue des représentantes de la mouvance trotskiste. Pour l'instant très peu audible, elle sillonne pourtant la France à longueur de semaines pour des réunions qui ne rassemblent pas les foules. Elle qui ne dépasse pas 2% dans les sondages compte sur le début de la campagne officielle pour profiter d'une vraie exposition médiatique. Pour elle, l'essentiel est bien là: faire entendre sa voix au-delà des cercles de l'extrême gauche. Concernant les 500 signatures, elle devrait profiter des contacts établis depuis 1974 par LO avec de nombreux maires ruraux. En 2007, Arlette Laguiller avait appelé à voter Ségolène Royal contre Nicolas Sarkozy, Nathalie Arthaud devrait logiquement faire de même avec le candidat PS s'il est présent au second tour. A quoi jouent-ils ? Dominique de Villepin Il a pris tout le monde par suprise en se déclarant candidat dimanche 11 novembre au 20h de TF1. Le fondateur de République solidaire, ancien Premier ministre de Jacques Chirac mais jamais élu à une élection, revendique une démarche gaullienne qui le placerait au-dessus des partis dans un dialogue direct avec les Français. Se présentant à l'extérieur de l'UMP, Villepin n'a pas de moyens financiers et pourrait avoir du mal à récolter les 500 signatures permettant d'être présent au premier tour. Alors qu'il pèse moins de 2% des intentions de vote, la majorité présidentielle minimise son initiative en regrettant une «candidature de posture» et appelle ce «membre de la famille» à faire machine arrière. En vain, pour l'instant. Lui qui pensait en avoir fini avec les juges est cité dans plusieurs affaires. Les mauvaises langues y voient une des raisons de sa candidature ou plutôt du report de l'annonce de sa non candidature... Jean-Pierre Chevènement Candidat en 2002 (5,33% des voix) mais pas en 2007, le «Che»s'est lancé le 5 novembre pour «faire bouger les lignes» à gauche. A 72 ans, il est bien capable d'aller au bout de sa démarche présidentielle s'il considère que François Hollande ne prend pas assez en compte les valeurs qu'il porte. Difficile de dire si le sénateur du Territoire de Belfort et président d'honneur du MRC est en mesure de réunir 500 parrainages. Au PS, où le 21 avril reste un traumatisme, on croise les doigts pour que l'ancien ministre, crédité de moins de 2% des intentions de votes, jette l'éponge avant le premier tour. Hervé Morin Le président du Nouveau centres'est lancé contre l'avis de beaucoup de ses proches. Profitant de ce qu'il considère être l'espace laissé vacant par Jean-Louis Borloo, il compte bien incarner aux côtés de l'UMP le deuxième pôle de la majorité présidentielle. Ministre de la Défense dans la première partie du quinquennat, il a du mal à faire entendre sa différence. Convaincu de la légitimité de sa démarche, il a bien l'intention d'aller jusqu'au bout. A l'Elysée, on espère encore le voir renoncer. Auront-ils les 500 signatures? Nicolas Dupont-Aignan En 2007, il avait raté le coche pour une cinquantaine de signatures. Le président de Debout la République est bien décidé à obtenir cette fois les 500 parrainages nécessaires à sa candidature à la présidentielle. Il se dit «confiant mais vigilant». Mettant l'UMP et le PS dans le même sac, il se voit comme un nécessaire recours républicain faisant barrage au Front national, partisan comme lui d'un abandon de l'euro. Un message qui ne séduit pour l'instant qu'un petit nombre de Français. Philippe Poutou Le NPA orphelin du candidat Besancenot (4,08% des voix en 2007), Philippe Poutou s'est jeté dans la bataille. Parce qu'il le faut bien. Pour l'instant inconnu du grand publicmalgré un passage compliqué dans l'émission de Laurent Ruquier sur France 2, il ne donne pas le sentiment de croire en sa propre candidature. Ouvrier et syndicaliste chez Ford, où il a mené la lutte sociale, il rame à obtenir ses parrainages. Autour de 1% dans les sondages, il n'est pour l'instant pas du tout assuré de concourir en 2012. Corinne Lepage Déjà candidate en 2002 (1,88% des voix), la présidente de Cap 21, ancienne ministre de l'environnement de Jacques Chirac et un temps adhérente du Modem, s'est lancée un peu par surprise le 4 octobre. Il ne semble pas impossible qu'elle obtienne assez de signatures pour figurer au premier tour. On l'imagine mal appeler ensuite à voter pour Nicolas Sarkozy au second tour. Christine Boutin Candidate en 2002 (1,19% des suffrages), la présidente du Parti chrétien-démocrate (PCD) avait renoncé en 2007 après avoir dealé avec Nicolas Sarkozy. Ministre au début du quinquennat, elle a depuis pris ses distances avec la politique du gouvernement mais son mouvement est un «parti associé» à l'UMP. A l'écouter évoquer la difficulté de sa recherche de parrainages, «beaucoup plus dure qu'en 2002», son absence au premier tour est tout à fait possible. Jacques Cheminade Candidat en 1995 (0.27% des voix), l'actuel président du parti Solidarité et Progrès espère bien figurer au premier tour de l'édition 2012. Son entourage, comme c'est l'usage, se dit «confiant» dans sa capacité à récolter les 500 parrainages. En 2007, il avait pourtant plafonné à 250 signatures et s'était reporté dès le premier tour sur la candidate socialiste Ségolène Royal. Frédéric Nihous Le président de Chasse, Pêche, Nature et Traditions (CPNT), a annoncé sa candidature dès le 17 juin. Assurant qu'il n'agit«pas contre le président de la République» mais pour la ruralité, il aura du mal à rééditer son score, pourtant modeste, de 2007 (1,15% des suffrages). Dans une récente étude portant sur le vote des chasseurs, pourtant sa base électorale, il est largement devancé par Marine Le Pen. Sur le plan des parrainages, il fait partie de ceux pour qui l'incertitude est totale, ce qui a un impact direct sur sa difficulté à obtenir les prêtsnécessaires au financement de sa campagne. Preuve de son inébranlable motivation, il a contracté un crédit en son nom propre. Patrick Lozès L'ancien président-fondateur du Conseil représentatif des associations noires (Cran), candidat depuis fin septembre, est à la pêche aux signatures. S'il affirme avoir dépassé les 200 promesses, il semble toutefois peu probable qu'il en réunisse 500 en temps et en heure. Fin novembre, le Journal du dimanche a révélé qu'il est soupçonné par la justice d'abus de confiance et de blanchiment d'argent. Maxime Verner C'est le benjamin de la cuvée 2012. A 22 ans et du culot à revendre, le président de l'Association des jeunes de France s'est fait connaître en étant l'initiateur du projet visant à abaisser l'âge de l'éligibilité à toutes les élections à 18 ans. Un texte voté par l'Assemblée nationale en décembre 2010. Portant une candidature de témoignage au service de la jeunesse, son unique crédo, Maxime Verner ne devrait logiquement pas être en mesure de concourir en 2012 malgré les 200 promesses de parraingaes qu'il revendiquait mi-novembre. Finalement pas candidat... Jean-Louis Borloo Il est pour l'instant le seul à avoir officiellement jeté l'éponge. Le président du Parti radical assure avoir jugé qu'en cette période de crise majeure, il ne souhaitait pas ajouter de la division à la division. Il semblait pourtant dans les starting blocks et a surpris ses principaux soutiens en renonçant à se présenter. Il a repoussé au début de l'année 2012 son choix de soutenir, ou pas, Nicolas Sarkozy au premier tour.