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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Borloo le retour... Pour une Union Nationale : comme un appel du pied à Hollande, Bayrou et Villepin... au centre toute ! Jean-Louis Borloo appelle à l'"union nationale" en 2012 http://fr.news.yahoo.com/jean-louis-borloo-appelle-à-l-union-nationale-175114420.html;_ylt=AmOoNTKibLLJEXXrfD3xdZL.fcl_;_ylu=X3oDMTNsa2Y1djIwBG1pdANUb3BTdG9yeSBGUARwa2cDNjMwNzI3YmQtZWRlOS0zNmE4LTkwNzYtODIzYzQzOTEzMDVhBHBvcwMyBHNlYwN0b3Bfc3RvcnkEdmVyAzAzZTY4ODQwLTFiN2MtMTFlMS1iNWVkLWRjNGZhNWJkNDE0Mg--;_ylg=X3oDMTFyaHV1cGw5BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25zBHRlc3QD;_ylv=3
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T'inquiètes...Ils vont aussi taxer la partie féminine de la chose...
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Royaume-Uni : vers la plus grande grève depuis 30 ans dans la fonction publique http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/29/royaume-uni-vers-la-plus-grande-greve-depuis-30-ans-dans-la-fonction-publique_1610662_3214.html#ens_id=1569464 Extrait ... L'ampleur de la colère est donc inédite depuis une génération. L'explication vient de la réforme des retraites de la fonction publique. Le gouvernement négocie depuis neuf mois un changement radical : les salariés devront augmenter de 50 % leur contribution (qui passe de 6 % de leur salaire à 9 %) ; ils toucheront une pension plus faible, basée sur la moyenne des salaires plutôt que sur les dernières années ; et l'âge de la retraite, qui s'étale actuellement entre 60 et 65 ans, va être augmenté à 65 ans pour tous en 2018, puis 66 ans dès 2020 et progressivement jusqu'à 68 ans d'ici une trentaine d'années.
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Politis : dossier sncf...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
L'un des articles reçu par mail.... Les premiers trains privés conduits par des retraités L’opérateur ferroviaire privé Thello innove dans tous les domaines. Les premiers trains de passagers privés Paris-Rome et Paris-Venise ont été confiés à des retraités. Le 11 décembre, date du big bang des horaires à la SNCF (voir notre dossier de cette semaine), sera aussi celle des nouveautés pour le transport privé de passagers. Thello a confié à des cheminots retraités les premiers trains privés transportant des passagers entre Paris et Rome, ainsi qu’entre Paris et Venise. La filiale de Veolia Transdev, première entreprise se lançant dans le transport de voyageurs en concurrence avec la SNCF, casse les prix pour ses premiers trains privés entre Paris et Rome et Paris et Venise. Et les salaires… Les nouveaux salariés de Thello sont en fait des retraités que Jehan (le prénom a été modifié), contrôleur à la SNCF, a rencontré à Vallorbe, en Suisse. Ce témoignage confirme ce que l’opérateur privé n’a pas voulu aborder dans les questions qui lui ont été posées sur l’embauche des cheminots. « Ces conducteurs aptes à tirer les trains ont été contactés parce que Veolia n’a pas réussi à débaucher des conducteurs à la SNCF ». Les raisons ? Veolia propose des rémunérations et des droits sociaux des cheminots revus à la baisse. Et économise sur la formation des conducteurs en recrutant des retraités dont les compétences ne sont pas mises en doute. « Les conducteurs retraités sont formés à la signalisation, très complexe, notamment en Suisse », explique le contrôleur. Quid des effets de la pénibilité sur les cheminots retraités ? Et sur la sécurité des trains ? On attend la réponse de Thello. -
Politis : dossier sncf...
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Dans le dernier N° 1178 de Politis : http://www.politis.fr/Des-horaires-qui-changent-tout%2c16138.html Un dossier sur la SNCF Voir les différents articles à partir du lien ci-dessus... Si quelqu'un peut nous faire un Pdf ? Merci d'avance -
Et pour la petite graine... elle sera taxée aussi en cas de ré-ensemencement... de génération en génération ça va en faire des taxes...! Je crois qu'il faudrait aussi penser à taxer la connerie humaine enfin celle des umpistes... Ils se contrefoutent de l'intérêt général, seul leur portefeuille les intéresse...
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Faut quand même faire une recherche pour tomber dessus... Hollande tend la main à Bayrou, sous conditions http://fr.news.yahoo.com/hollande-tend-la-main-à-bayrou-sous-conditions-121626738.html Hollande prêt à accueillir Bayrou dans son gouvernement en cas de victoire http://fr.news.yahoo.com/hollande-prêt-à-accueillir-bayrou-gouvernement-cas-victoire-081557493.html et dans le même temps... François Hollande prend ses distances avec l'accord PS-EELV http://fr.news.yahoo.com/françois-hollande-prend-ses-distances-avec-laccord-ps-142455550.html
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C'est marrant, il n'y a rien sur Le Monde, Libération, Yahoo à ce sujet pour l'instant ? C'est quand même une bombe cette déclaration... Réaction d'Eric Coquerel, conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon, aux propos de F. Hollande http://www.humanite....-de-f.-hollande Hollande tire une balle dans le pied de la gauche En déclarant que François Bayrou pourrait devenir son ministre, François Hollande tire une balle dans le pied de la gauche en vue de l'élection présidentielle. François Hollande n'a rien appris des défaites précédentes du PS et notamment de celle de 2007. La gauche ne peut pas gagner les élections sur le seul ressort de l’anti-sarkozysme. Elle doit proposer un projet qui soit une alternative claire au système qui entraîne aujourd’hui les peuples dans la faillite. Un tel projet est absolument incompatible avec celui de François Bayrou qui propose notamment une hausse de deux points de la TVA et un plan de rigueur de 100 milliards d'euros dont 50 milliards d'euros de coupes dans les dépenses de l'Etat et de la Sécurité Sociale. Aucune majorité de gauche n'est possible sur une telle base. Et la promesse d'une austérité de gauche est l'assurance d'une nouvelle défaite. Face à cette sinistre "danse du centre", François Hollande doit répondre au Front de Gauche. Au lieu de sommer tout le monde de se rallier à lui, il doit dire clairement s'il veut discuter avec le Modem ou le Front de Gauche. Car c'est l'un ou l'autre. Ce ne sera en aucun cas les deux. Tribord et bâbord en même temps cela ne donne pas un cap mais l’échouage assuré. Face à cette dérive centriste, le seul bulletin assurant une politique de gauche le 22 avril et le 6 mai sera celui de Jean-Luc Mélenchon. Eric Coquerel conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon animateur du Front de gauche
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Un noeud de 147 sociétés au coeur de l'économie mondiale http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/11/28/un-noeud-de-147-societes-au-coeur-de-l-economie-mondiale_1609929_3234.html Qui contrôle l'économie mondiale ? Trois ans après le déclenchement de la crise consécutive à la faillite de Lehman Brothers, au moment où Etats et marchés s'affrontent autour des dettes souveraines et où les opinions désignent le système financier comme coupable de tous leurs maux, la question mérite d'être posée. Trois chercheurs suisses, Stefania Vitali, James B. Glattfelder et Stefano Battiston(Ecole polytechnique fédérale de Zurich), spécialistes des réseaux complexes, ont entrepris d'y répondre par une étude pluridisciplinaire - physique, mathématique et économie - de la détention du capital des 43 000 plus grandes entreprises mondiales. Les résultats ont été publiés le 26 octobre par la revue scientifique en ligne américaine PlosOne. Mais leur papier, qui circule sur le Net depuis juillet, a déjà suscité une forte polémique. 147 FIRMES CONTRÔLENT 40% DE LA VALEUR TOTALE L'une de leurs conclusions est en effet que les participations de 737 firmes dans les autres entreprises du réseau leur permettent de contrôler 80 % de la valeur (mesurée par le chiffre d'affaires) de la totalité du réseau. Et que 147 firmes contrôlent 40 % de cette valeur totale. De plus, l'ampleur des participations croisées entre ces 147 firmes, dont les trois quarts appartiennent au secteur financier, leur permet de se contrôlermutuellement, ce qui en fait une "super-entité économique dans le réseau global des grandes sociétés", disent les auteurs. Il n'en a pas fallu plus pour que nombre de médias et de blogueurs voient dans ces travaux la preuve scientifique de l'existence d'un "syndicat caché" de la finance, contrôlant l'ensemble de l'économie. Mais certains économistes estiment que les auteurs confondent détention d'actions et contrôle, ce qui ne se vérifie que dans le cas d'une détention majoritaire. Ils affirment aussi que les établissements financiers montrés du doigt ne sont que des intermédiaires, gérants, et non propriétaires, des actions qui appartiennent aux simples épargnants. Ce à quoi les auteurs rétorquent qu'ils ne dénoncent aucun complot, mais le risque systémique et le potentiel de collusion représentés par la forte concentration des détentions d'actions. OBJECTIONS Les objections des économistes portent sur plusieurs points. David Thesmar, professeur de finance à HEC, ou Eric Savitz, éditorialiste au journal Forbes, rappellent que nombre de grandes firmes sont contrôlées par les Etats ou par les familles fondatrices. L'étude "Corporate Ownership around the World" (The Journal of Finance, R. La Porta, F. Lopez-de-Silanes et A. Shleifer, avril 1999) montre que ces deux schémas de détention sont majoritaires dans les vingt plus grandes sociétés des vingt-sept pays les plus riches. Même minoritaires, les dynasties entrepreneuriales s'assurent le contrôle via une pyramide de holdings ou des droits de vote multiples. En revanche, les gérants de fonds mutuels et de fonds d'épargne ne participent pas, la plupart du temps, à la gestion des sociétés, sauf éventuellement là où ils sont majoritaires ou lorsqu'une crise grave se produit. Les auteurs répondent avoir fait "tourner" trois modèles affectant des poids plus ou moins importants à la détention de participations minoritaires ou indirectes, et obtiennent dans tous les cas des résultats proches quant au poids des 147 firmes "centrales" qu'ils ont détecté. Ce résultat global est d'ailleurs confirmé, expliquent-ils, par nombre d'exemples où des actionnaires indirects ou minoritaires exercent une forte influence sur les décisions de gestion au sein des firmes, l'influence étant la capacité, même sans droits de vote ou sans majorité, à s'opposer à la coalition d'autres partenaires au sein des conseils d'administration. POUVOIR D'INFLUENCE PLUS QUE COMPLOT Ils assurent avoir mis en évidence, avec la forte interconnexion des principaux détenteurs de capitaux, non pas un complot destiné à s'assurer le contrôle des entreprises, mais un pouvoir d'influence potentiel qui peut être ou non exercé par le représentant des actionnaires, selon leur choix. "Notre principal message est le suivant, explique James Glattfelder : nous ne pouvons pas exclure que les principaux détenteurs de capitaux que nous avons identifiés à l'échelle mondiale exercent leur pouvoir potentiel, formellement ou de façon informelle." Autre objection des économistes, les fonds de pension mutualisés, les banques et institutions gestionnaires de fonds d'épargne "hébergent" les actions détenues par les fonctionnaires californiens ou la veuve de Carpentras, et les placent le plus souvent dans des fonds indiciels dont la composition favorise, par construction, l'investissement des grandes entreprises. La forte concentration du réseau de détention ne reflète donc pas le contrôle des entreprises par la finance, mais le fonctionnement des marchés financiers : les investisseurs, pour minimiser le risque, préfèrent suivre le flux des investissements déjà réalisés. La concentration de l'activité financière autour de quelques acteurs est donc "naturelle", puisqu'elle permet de limiter les coûts de transaction, de renforcer la confiance mutuelle et les intérêts communs, de partager les risques et de bloquerles prises de contrôle "inamicales". "Il est normal que les flux financiers passent tous par un petit nombre d'établissements, dans la mesure où ceux-ci détiennent les instruments de financement que tous les investisseurs utilisent", note aussi Carlo Altomonte, professeur d'économie à l'université Bocconi. Même si le fonctionnement "naturel" du marché a conduit à une telle concentration,"ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'économie et pour la société", répond Stefano Battiston, pour qui les conséquences réelles de la concentration qu'ils ont mise en évidence restent à examiner. "Notre travail a montré, pour la première fois à l'échelle mondiale, l'existence d'une "super-entité" au sein du réseau mondial des grandes entreprises (...). Cette découverte soulève au moins deux questions (...) fondamentales pour la compréhension du fonctionnement de notre économie : premièrement, quelles sont les implications pour la stabilité financière mondiale ? (...) Deuxièmement, quelles sont les implications pour la concurrence sur les marchés ?", écrivent les auteurs. De nombreuses études ont montré le risque que fait peser sur un système la défaillance d'un de ses "points-clés", et la faillite de Lehman Brothers en a été l'illustration la plus forte. Le propos des auteurs est ainsi d'élargir, explique James Glattfelder, la problématique du too big to fail (trop gros pour faire faillite) à celle detoo connected to fail (trop connecté pour faire faillite). "Dans une économie où la chaîne d'approvisionnement est mondialisée, la défaillance d'une usine japonaise noyée par le tsunami a bloqué la production mondiale d'automobiles, observe Carlo Altomonte. Nous devons penser ce système non plus sous le signe du "just in time" (juste à temps), mais sous celui du "just in case" (au cas où)." Les travaux de Vitali, Glattfelder et Battiston montrent qu'il en est de même pour l'ensemble de l'économie mondiale : celle-ci présente, en particulier au sein de l'industrie financière, des "points-clés" dont il serait imprudent de méconnaîtrel'importance. "96 % du marché des produits dérivés est contrôlé par trois institutions bancaires. Dans l'industrie, cela suffirait à déclencher une enquête de la Commission européenne sur les risques de collusion. L'interconnexion entre les acteurs interdit de croire que les marchés dérivés n'étant qu'une petite partie des marchés financiers, cela n'aurait guère d'importance", poursuit M. Altamonte. John Drifill, professeur de macroéconomie à l'université de Londres, cité par The New Scientist, note que le nombre de 147 firmes au coeur du système suffit àgarantir l'absence de collusion. "Il est tout à fait possible que l'existence d'un tel réseau crée de la compétition et de la stabilité financière, reconnaît Stefano Battiston. Nous ne disons pas que ce n'est certainement pas le cas. Mais nous disons seulement que, étant donné ce que l'on sait désormais, il serait bien de le vérifier..." Antoine Reverchon
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Pétition en ligne http://www.cheminotcgt.fr/new_site/petition/pensions_241011.php NON : > à la mensualisation des pensions ; > au décalage du versement des pensions du 30/12/2011 au 02/01/2012 Sous couvert de crise financière, les banques refusent d’avancer la trésorerie permettant à la CPRP SNCF de payer les pensions de retraites des cheminots au 31 décembre 2011. C’est inadmissible ! De ce fait, le Gouvernement et la Direction de la CPRP SNCF envisagent de se substituer aux banques pour financer les pensions et dans le même temps, veulent imposer un décalage du versement du 30/12/2011 au 02/01/2012 et mettre fin au versement trimestriel pour aller vers la mensualisation des pensions. Nous refusons de subir les conséquences d’une crise dont nous ne sommes en rien responsables et nous condamnons les orientations du Gouvernement et de la CPRP SNCF, visant à réduire les droits des cheminots et à attaquer le Régime Spécial SNCF. Montreuil, le 25 octobre 2011 Texte d'un e-mail circulant sur le net reçu ce jour à ce sujet Voici un lien pour accéder à une pétition concernant directement les retraité(e)s cheminot(e)s, veuves et veufs de cheminot(e)s que nous sommes > http://www.cheminotcgt.fr/new_site/petition/pensions_241011.php Pour la validation de cette pétition, respecter les minuscules et les majuscules. La mensualisation, ce n'est pas seulement toucher sa pension tous les mois au lieu de tous les trois mois. C'est l'alignement sur le régime général avec le versement à terme échu au lieu de terme à échoir. Ainsi la pension du 1er trimestre pour la période du 1er janvier au 30 avril, si elle était mensualisée et à terme échu, serait versée le 9 février pour la période du 1er au 31 janvier, le 9 mars pour la période du 1er au 28 février et ainsi de suite. Si la mesure était appliquée au 1er trimestre par exemple, vous aurez noté que pendant la période de transition du 1er janvier au 9 février, le retraité n'aura rien touché. En cas de décès du ou (de la) retraité (e) en début de trimestre, le conjoint gardait la pension trimestrielle à échoir correspondant au trimestre commencé. Avec cette régression maquillée en réforme comme d'habitude, ce serait une perte sèche de près de 3 mois de pension pour le conjoint et ce, dans une période où les besoins sont énormes du fait des funérailles. Il n'y a pas petites économies pour ce gouvernement. Pour les retaités et surtout ceux "flirtant" avec le minimum de pension, non plus mais ils perdront la possibilité de placer les 2/3 de leur pension sur leur livret A ou tout autre produit dépargne. J'ai ces informations et ces propositions d'action parce que, retraité, je suis resté syndiqué à la Fédération CGT des Cheminots, première organisation de retraités de la SNCF. Je les partage avec vous car nos intérets sont communs, que vous soyez syndiqués ou non. Ce n'est pas par générosité mais c'est parce que je crois que la prise de conscience la plus large rencontre et aide à la défense de mes intérêts et des vôtres donc, si vous le voulez. Ce que je fais est tout-à-fait personnel et ne tient donc qu'à peu de choses comme ma bonne volonté, ma bonne santé ou ma disponibilité qui sont de plus en plus aléatoires avec l'âge. L'idéal serait que chacun d'entre vous, si ce n'était pas déjà fait, se rapproche d'une organisation de retraités et pourquoi pas de la mienne pour conserver ces acquis, ce qui commence par l'accès à l'information et à son partage comme je le fais ici avec mes modestes moyens. AmitiésFaites circuler
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Brest. Un train spécial et Miss France pour le Téléthon 28 novembre 2011 À l'occasion des 25 ans du Téléthon, le conseil régional de Bretagne a décidé de soutenir cette action de solidarité en lui permettant d'utiliser un nouveau vecteur d'information, contribuant ainsi à sa visibilité sur la région. Des TER seront ainsi mis à disposition sur le réseau SNCF breton. Dans le Finistère, le train partira de Brest samedi à 10 h 20 pour arriver à Quimper à 11 h 57. Des malades atteints de maladies neuromusculaires accompagnés de leurs familles voyageront dans ce train, ainsi que des bénévoles. Des animations au profit du téléthon auront lieu dans les gares et dans le train. Le comité Miss France a également accepté de soutenir cette action. Laury Thilleman, Miss France 2011, sera présente à la gare de Brest dès 9 h 30 pour rencontrer les familles de malades, les bénévoles et le public présent. Elle remettra à un enfant malade son costume de super-héros (comme Raphaël le petit garçon de l'affiche téléthon de cette année), et donnera le départ du train. http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-un-train-special-et-miss-france-pour-le-telethon-28-11-2011-1515067.php
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9a fait du bien de lire parfois...
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Bon Anniversaire !
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Un courrier à Pépy... Convergence nationale des collectifs pour un service public ferroviaire de qualité convergence.rail@hotmail.fr Mairie de Villeneuve St Georges – 20 place Pierre Semard – 94 190 Villeneuve St Georges Paris, le 18 novembre 2011 Monsieur Guillaume PEPY Président de la SNCF 34, rue du Commandant Mouchotte 75699 PARIS Cedex 14 Monsieur le Président, Vous l’aurez remarqué, l’utilisateur du train, qu’il soit voyageur ou chargeur que vous appelez au gré des circonstances usager ou client, est de plus en plus exigeant quant à la qualité de service fourni au quotidien par l’entreprise publique de Service Public que demeure encore la SNCF. Louis Armand disait : « Le chemin de fer sera le moyen de transport du XXIe siècle, s’il parvient à survivre au XXe siècle ». Aujourd’hui, sous le coup des politiques nationales de casse des services publics et des directives européennes de libéralisation, le réseau se dégrade plus vite qu’on ne peut l’entretenir (2700 kms de ralentissements…), la qualité de service se détériore au quotidien (30% des usagers sont mécontents…), les tarifs augmentent, la casse de Fret SNCF continue, la grande vitesse ne serait plus rentable, les TER seraient trop coûteux, les cheminots trop chers… Face à cette situation, produit des politiques libérales, et au regard de l’attachement que portent les Français à leur entreprise publique de chemin de fer, nombre d’usagers/citoyens/contribuables et d’élus s’organisent en associations, comités et autres collectifs de défense du Service Public ferroviaire. A la demande de plusieurs d’entre eux, une structure, un outil de coordination et d’impulsion au plan national se met en place sous l’appellation : CONVERGENCE NATIONALE DES COLLECTIFS POUR UN SERVICE PUBLIC FERROVIAIRE DE QUALITÉ. C’est au nom de celle-ci que nous nous adressons à vous aujourd’hui. Il est peu de dire que la période que nous vivons suscite beaucoup d’interrogations, d’inquiétudes, de mécontentement de la part des utilisateurs du rail (voyageurs/chargeurs…) quant aux conditions de transport qui leur sont proposées, au moment même où une très large majorité d’entre eux souhaite « le maintien de la dimension de Service Public du rail » (sondage IFOP). Nous voulons transformer ce climat d’incertitudes et d’inquiétudes légitimes en une démarche offensive afin d’exiger et d’imposer une autre politique de transport, plus axée sur le développement du Service Public. Parmi les sujets d’inquiétude se trouvent être les changements d’horaires des trains devant intervenir le 11 décembre prochain et la mise en service de façon concomitante du « cadencement » des circulations. Les nouvelles grilles horaires se traduisent bien souvent par un allongement de la durée des parcours, des suppressions de trains, la disparition de correspondances et des horaires qui ne répondent pas forcément aux besoins des populations. Le cadencement va se mettre en place alors que les investissements sur le réseau n’ont pas été réalisés. On voudrait faire en cinq ans (2011-2016) ce que la Suisse a réalisé en 20 ans (1984-2004) sur un réseau plus petit, porté par des investissements massifs (cinq milliards de Francs suisses) dans les infrastructures et le matériel roulant ! ? Il faudra donc plus que les millions d’euros engloutis dans la campagne de Com pour faire passer la « pilule » et la nomination d’une médiatrice pour répondre concrètement aux besoins exprimés par les usagers du rail ! Des informations en provenance des syndicats de la SNCF ne sont pas faites non plus pour rassurer les usagers et leurs associations. Il en est ainsi de l’annonce qui a été faite aux représentants des salariés par la direction que la vente « Grandes Lignes » en Ile de France ne serait assurée que dans 80 à 100 gares transiliennes sur les 380 et uniquement pour la France. Cette disposition viendrait s’ajouter aux 600 emplois qui sont menacés d’être supprimés en I.D.F. par la mise en oeuvre principalement pour 2012 d’une mesure de la convention entre le STIF et la SNCF (Annexe B8) pour adapter le niveau de service des gares à leur fréquentation, simplement par mesure d’économie. De même, il y a lieu de s’alarmer quand des indiscrétions savamment distillées font état que sur les 4600 vendeurs/guichetiers grandes lignes actuels, il n’en resterait que 2000 début 2015. C’est ce que la direction de SNCF Voyages appelle pudiquement la « transformation de la relation clients ». Nous y voyons plutôt une nouvelle attaque contre le Service Public au nom certainement de la sacro-sainte réduction des coûts ! ? Si ce sont les mêmes recettes en vigueur dans l’activité Fret qui sont appliquées aux services voyageurs, les usagers de la SNCF avec leurs associations ont tout intérêt à joindre leurs efforts et à porter leurs exigences de concert avec les actions des cheminots et de leurs syndicats. D’après ce que nous percevons, le chantier de démolition de l’activité de transport de marchandises semble se poursuivre. L’épisode estival relatif au transport de la paille par train pour aider les agriculteurs frappés par la sécheresse est révélateur de l’état de délabrement dans lequel se trouve Fret SNCF, lié à des choix stratégiques mortifères mais assumés. En effet, en raison des conséquences désastreuses des plans successifs de casse, Fret SNCF n’a pu transporter que 10% des volumes de paille concernés (22 trains sur 150 prévus). 90% l’ont été par la route, 2000 camions se sont croisés chaque jour sur les routes de France ! Que dire des entreprises qui sont embranchées au ferroviaire à qui on interdit de faire transporter leur Fret par le rail et les centaines de locomotives Fret en bon état de marche qui pourrissent dans les triages ! ? Ce qui est inacceptable, ce sont bien les orientations imprimées au transport ferroviaire de marchandises qui tournent le dos aux engagements du Grenelle de l’Environnement. Comme le déclarent les syndicats de cheminots, cette stratégie d’abandon est délibérée, organisée comme l’est le transfert de trafics à la concurrence privée. Contrairement à vos propos tenus au séminaire industriel de Tanger du 20 septembre 2011, nous vous citons : « Nous avons obtenu de vraies victoires : les trains d’équilibre du territoire, le schéma directeur Fret …» !? Nous considérons que c’est là à notre sens un gâchis social, économique, écologique et industriel sans précédent au moment où les transports routier et fluvial se développent. Eurotunnel ne vient-il pas d’annoncer une hausse de son chiffre d’affaires de 16% sur les 9 premiers mois de l’année et déclare que le trafic de navettes de camions a évolué de 10% pour les trois derniers mois !? Dans la mesure où plus de 80% des utilisateurs du train empruntent des circulations ferroviaires autres que les TGV, la situation des Trains d’Equilibre du Territoire (TET), trains Corail, Intercités, Teoz et Lunéa retient l’attention des associations et autres collectifs d’usagers et nourrit par la même occasion nombre d’inquiétudes qui nous paraissent justifiées au regard de l’existant. En attestent les marches de protestation organisées actuellement dans l’Avesnois pour maintenir les circulations Corail. Le sentiment qui se dégage majoritairement, c’est que ces trains ne semblent pas être le souci prioritaire de la SNCF. Composition non conforme, voitures non numérotées, pannes fréquentes de chauffage, prises électriques défectueuses, WC hors-service ou insalubres… conduisent à penser que l’on attend tranquillement la fin de la convention Etat/SNCF fin 2013 pour se débarrasser de ces 40 relations ferroviaires, fortes de 340 trains/jour, reliant 360 gares et transportant plus de 100 000 voyageurs. La situation de ces trains « TET » semble tellement précaire et dégradée qu’elle a même poussé Dominique Bussereau, ancien secrétaire d’Etat aux transports, à bloquer des trains avec d’autres manifestants en gare de Pons (17) samedi 12 novembre 2011, dans le but de réclamer une meilleure desserte des trains inter-régions à partir du 11 décembre 2011 !!? Pour conclure, nous ne souhaitons pas que ces « TET » représentent la gamme « low cost » du ferroviaire, à l’instar de ce que nous avons constaté dans les trains Artesia (Paris-Italie A/R) dont l’exploitation va d’ailleurs être arrêtée le mois prochain pour laisser la place à la concurrence privée. Manifestement les « Assises du Ferroviaire » que le Gouvernement a lancées depuis le 15 novembre confirment que cette opération vise plus à faire avaliser des décisions stratégiques déjà prises, notamment l’ouverture à la concurrence, que de répondre aux enjeux fondamentaux qui se posent au système ferroviaire. Ce n’est donc pas, et pour cause, le débat public attendu, a fortiori que dans le cadre des travaux proposés, les plus concernés, à savoir les usagers et les salariés, sont très faiblement représentés. Comme l’indique votre numéro 2, M. David Azema, dans La Vie du Rail et des Transports du 21 septembre 2011 : « Il est temps de s’interroger sur les vertus de l’ouverture à la concurrence… En quoi la concurrence serait profitable aux voyageurs, aux chargeurs, aux contribuables ? » Au regard de ce qui a été réalisé de ce point de vue (concurrence/filialisation/privatisation) dans d’autres secteurs, nous avons déjà quelques réponses. GDF, privatisé en 2005 au nom et dans l’intérêt suprême des usagers, n’a-t-il pas vu depuis ses tarifs augmenter de plus de 60% ? Alors que rien ne l’impose, les velléités affichées pour ouvrir à la concurrence les TER relèvent du dogme et visent à positionner les opérateurs privés sur les relations les plus « rentables » entraînant l’augmentation des tarifs, le dumping social et la casse du statut des salariés de la SNCF ! Nul doute que les usagers/citoyens devront se mobiliser avec les populations, les élus, les cheminots et leurs syndicats contre les préconisations attendues des « Assises du Ferroviaire » consacrant encore plus de place à la libéralisation du secteur, en clair au démantèlement progressif de l’entreprise publique de Service Public. A fortiori au moment où un rapport en provenance de l’Angleterre de Sir McNulty propose un retour en arrière de ce qui a été fait en termes d’éclatement/privatisation de British-Rail. Vous l’avez compris, Monsieur le Président, notre association se situe clairement dans le camp du Service Public pour lequel nous avançons des exigences et propositions fortes, porteuses d’avenir, avec entre autres : La mise en oeuvre d’une tarification de Service Public, accessible à tous, préservant l’égalité de traitement et favorisant le droit au transport pour tous ! Le maintien, l’entretien, la modernisation des lignes ferroviaires dites « classiques » ainsi que des trains Corail (intercités, Teoz, Lunéa…) au-delà de la convention « TET (Trains d’Equilibre du Territoire) signée jusqu’en 2013 entre l’Etat et la SNCF. L’arrêt de la fermeture des guichets et la possibilité d’obtenir auprès de ceux-ci l’ensemble des services offerts par la SNCF. La relance des embauches de cheminots au statut pour une meilleure qualité de service et un renforcement de la sûreté dans les trains et dans les gares. L’arrêt du schéma directeur Fret de la SNCF qui s’avère être un outil de casse de l’activité transport de marchandises. La reprise du tri à « la gravité » dans les triages passés au tri « à plat », car seul le tri à la gravité peut permettre de répondre à l’ensemble des besoins et d’augmenter les volumes de wagons traités en développant « le wagon isolé » comme cela se pratique dans nombre de pays en Europe. L’évaluation sérieuse et contradictoire des libéralisations intervenues notamment dans le Fret SNCF du point de vue économique, social, environnemental, de la qualité de service, du niveau de la sécurité, de la tarification, de la réponse aux besoins de transport… La non-mise en concurrence des TER que rien n’impose. Le retour à l’unicité du système ferroviaire avec l’abrogation des dispositions législatives ayant créé RFF et la DCF (Direction des Circulations Ferroviaires…) Une maîtrise publique nationale des infrastructures, que ce soit dans sa réalisation, son exploitation ou sa maintenance par le Service Public SNCF et dont le financement soit assuré par un Pôle Public Financier en lieu et place des P.P.P. (Partenariats Public Privé). Cette maîtrise doit promouvoir une politique multimodale qui prenne en compte les besoins de transport, les enjeux sociaux de sécurité, d’aménagement du territoire, environnementaux et énergétiques. Voilà exposé, Monsieur le Président, un certain nombre d’appréciations et d’exigences en résonance avec ce qu’expriment quotidiennement les usagers de la SNCF, sur lesquelles nous attendons de connaître vos analyses et réponses. En vous remerciant de l’intérêt que vous porterez à notre démarche et dans l’attente de vos nouvelles, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments respectueux. Philippe RICHERT Membre des Associations Urgence POLT, Collectif de défense et de développement des Services Publics de la Creuse et du OUI POLT non LGV Bernard DEFAIX Président de la Convergence des Collectifs de défense et de développement des Services Publics Pierre MENARD Luc DELESTRE Porte parole et Membres du Collectif de défense du triage de Sotteville les Rouen Gérard MAZET Cheminot Responsable Transports du PCF Eric DAVILLERD Vincent JOUILLE Membres du collectif de Gevrey (Bourgogne) Didier LE RESTE Secrétaire Général de la Fédération CGT des Cheminots de 2000 à 2010 Marc THIBERVILLE Vice président du Conseil Général du Val de Marne Président du Collectif Triage de Villeneuve St Georges (94) André PEREZ Collectif / Section de Millau Patrick DELFOSSE Porte-parole Comité Nord / Pas de Calais de développement du Fret Ferroviaire du Wagon Isolé et du Triage de Somain (59) Jacky TELLO Comité de Réhabilitation, de Défense et de Promotion de la ligne SNCF Béziers / Neussargues / Clermont / Paris – Axe ferroviaire Europe du Sud – Europe du Nord
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Des plans de métro libres sur les rails - 23 novembre 2011
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Et la Direction de la RATP de se prendre une claque médiatique...et de passer pour vraiment ringard...y'a pas loin ! Des plans de métro libres sur les rails http://www.ecrans.fr/Concours-de-plans-de-metro,13593.html Au mois de juin, on racontait sur Ecrans.fr les mésaventures de l’application CheckMyMetro, subitement privée de carte et d’horaires du métro parisien quand la RATP a revendiqué des droits de propriété intellectuelle sur ces données. Mais Benjamin Suchar, le concepteur de l’application, a su rebondir immédiatement en profitant de la médiatisation de l’affaire pour lancer un concours : « Check My Map ». Le principe était simple : puisque personne d’autre que la RATP n’a le droit d’utiliser le plan officiel du métro, dessinons notre propre carte ! Tous les internautes motivés étaient invités à prendre leurs plus beaux pinceaux pour redessiner l’enchevêtrement des lignes parisiennes. Le résultat devait être publié sous une licence libre, de façon à autoriser sa libre redistribution. Près d’une centaine de plans ont été proposés, et le nom des finalistes a été dévoilé aujourd’hui. Il sont 10, classés en trois catégories, dont le travail en termes de clarté et d’originalité (les règles du concours exigeaient que« l’apparence esthétique soit bien différente du plan de métro original de la RATP » est assez bluffant : suite sur le lien avec les plans... -
je suis bien d'accord avec toi Marc mais cela fait 50 ans que j'entends ça... que faits divers après faits divers, crimes après crimes les politicards de droite et les médias nous râbaches le même discours sauf qu'il est de plus en plus fascisant, extrémiste sans jamais apporter la bonne solution et qu'il y a toujours pire que l'évènement précédent pourquoi ? pour faire peur, et mener une politique de la peur car dans le même temps, ils continuent de casser, de détruire les services de l'Etat de pressurer les personnels : police, gendarmerie, justice, éducateurs spécialisés, services pénitenciers, Education nationale, hôpitaux, etc... mais à priorir ça marche puisque 53% des citoyens votent pour eux et si ce ne sont pas eux ce sont leurs sosies de la gauche sociale-démocrate (la gauche molle quoi...) Et là c'est encore bien parti pour un tour comme en 2002 ou 2007 le moindre faits divers, crimes et hop la droite saute à deux pieds dedans comme si ils n'étaient pas au pouvoir depuis dix ans, comme si les gens n'avaient aucune mémoire confondant la réalité et les fictions qu'ils ingurgitent jour après jour. Absence de sens critique... Manifestement ça fonctionne encore et toujours ! et pas seulement pour les crimes de sang...
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Implosion atomique... ?
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D'après La Fontaine -d'après Anne Roumanoff - Un renard rusé prénommé Nicolas sur une basse-cour régnait. Mais il était contesté : «Il ne fait pas rentrer assez de blé, Nous n’avons plus de grains à picorer, se lamentaient les animaux affamés. — Je fais de mon mieux, répondait Nicolas. Sans moi, ça serait pire, croyez-moi. Il y a une énorme crise mondiale Ne l’oubliez pas, c’est infernal. » Beaucoup d’animaux voraces rêvaient pourtant de prendre sa place. A gauche, la vache Martine et la pintade Ségolène Crurent, un temps, pouvoir devenir reines. Mais ce fut le pigeon François qui leur fit la nique. Aidé, malgré lui, par le cochon Dominique, Qui manqua d’aller à l’abattoir, Pour avoir culbuté une grande poule noire. Mais la pire ennemie du roi Nicolas et du pigeon François Était la fille d’un loup borgne qui avait échoué à devenir roi. Cette louve à la voix rauque et à la chevelure blonde Se faisait passer pour une brebis aux yeux du monde. Elle répétait comme une litanie : «Il faut plus de poulets Pour renvoyer chez eux les animaux étrangers, Sans eux, nous serions tellement plus heureux.» Certains moutons l’écoutaient béats : «Bêê, elle dit tout haut ce que nous pensons tout bas.» Poutou l'Ourson, Le Cheval de labours Mélenchon et la taupe Eva Faisaient de leur mieux pour éradiquer la terrible maladie Répandue par la louve déguisée en brebis Qui avait pour nom haine et démagogie. Hélas ! à six mois des élections, Personne ne sait encore pour de bon Qui de la farce sera le dindon.
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Entretien avec Laurent Mucchielli Affaire Agnès : "Les annonces politiques qui suivent les faits sont déconnectées de la réalité" http://www.humanite.fr/societe/affaire-agnes-les-annonces-politiques-qui-suivent-les-faits-sont-deconnectees-de-la-realite- Sociologue, chercheur au CNRS, Laurent Mucchielli est un spécialiste des questions de délinquance et de sécurité. Il vient de publier chez Fayard « L’invention de la violence » (octobre 2011, 340 p., 20 euros). Et décrypte pour l’Humanité les réactions politiques suscitées par l’affaire Agnès. Comment jugez-vous les déclarations qui ont suivi la révélation du meurtre de la jeune Agnès, en Haute-Loire ? Laurent Mucchielli. Il s’agit d’une récupération politique très classique. Plusieurs fois par an en effet, surviennent des faits divers qui dépassent les colonnes de la presse régionale et s’imposent dans l’actualité, avec un niveau d’audience médiatique très important. C’est là que le politique s’enclenche. C’est ce qui s’est passé lundi, mais cela avait déjà été le cas, en avril dernier, après un passage à tabac dans la gare RER de Noisy-le-Sec, ou encore, bien sûr, au début de l’année 2011, avec l’affaire Laëtitia, à Pornic. Et comme souvent en pareil cas, les annonces politiques qui suivent ces faits sont totalement déconnectées de la réalité. C’est-à-dire ? Laurent Mucchielli. On peut dresser une sorte de typologie de ces réactions, qui prennent trois formes principales. Il y a d’abord les déclarations de principe, comme celle de François Fillon lundi, qui a dit vouloir faire de la lutte contre la récidive « une priorité » - comme si ce n’était pas déjà le cas. Deuxième rhétorique : le discours sur les « dysfonctionnements » de la justice et, en l’espèce aussi, de l’Education nationale, tenu cette fois par Claude Guéant, au 20 Heures de TF1. Enfin, troisième type d’intervention : le discours décalé, la proposition avancée parce qu’il faut bien dire quelque chose, mais qui ne s’avère pas du tout pertinente. Sur ce terrain, se sont retrouvés lundi le ministre de la Justice, Michel Mercier, mais aussi le parti socialiste, qui ont proposé une utilisation accrue des centres éducatifs fermés. Or, ces centres ne répondent en rien à la problématique éventuellement soulevée par l’affaire Agnès. Ce sont des lieux de prise en charge, foncièrement éducatifs, qui visent à raccrocher des jeunes délinquants (poursuivis pour des vols ou des dégradations, par exemple) à la socialisation scolaire. Là, on n’est pas du tout dans ce contexte. Il s’agit d’une affaire criminelle rarissime, à forte dimension psychiatrique. Des cas comme celui du Chambon-sur-Lignon - de viol et meurtre d’un mineur sur un autre mineur -, il en existe entre 0 et 1 par an. C’est tout à fait exceptionnel. Le gouvernement promet néanmoins d’améliorer « l’évaluation de la dangerosité des criminels violents »… Laurent Mucchielli. Là aussi, on est dans l’incantation. Car le problème n’est pas un manque d’outils techniques, mais bien de moyens humains. C’est ce qu’avait déjà montré l’affaire Laëtitia au début de l’année. Lorsqu’un psychiatre ou un éducateur travaillant dans un service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP) doit suivre 100, 120 voire 150 dossiers, le niveau de suivi et de contrôle est forcément très léger. Ce n’est pas leur compétence technique ou professionnelle qui est en cause, c’est un problème de moyens. Et puis, n’oublions pas que, quel que soit le niveau professionnel des magistrats, des éducateurs, des psychiatres, le risque zéro n’existe pas. Ça n’a jamais existé, et ça n’existera jamais. Ce n’est pas la peine de mentir aux gens là-dessus. Les humains ne sont pas des machines, on ne peut pas prévoir leurs actes. Quand les médias jouent sur les pleurs et les peurs (SNJ-CGT) Le fait divers du Chambon-sur-Lignon a une nouvelle fois été utilisé par de nombreux medias audiovisuels pour faire du « sang à la une ». Audimat oblige, mais pas seulement. Les journaux télévisés de ce week-end ont battu tous les records dans la dérive sensationnaliste en ouvrant les journaux télévisés, pendant 10 longues minutes, sur un fait divers. Pour qui ? Pour quoi ? Les détails les plus macabres ont été dévoilés au grand public ; un reportage dans le village d’où est originaire le meurtrier présumé est venu clore ce grand déballage sordide. Les affirmations des responsables du collège-lycée Cévenol ont été livrées sans aucune réserve alors que les faits semblent plus nuancés. Comme par hasard, on remarquera que ce matraquage honteux qui joue sur les peurs et les douleurs, a également été utilisé avec avidité par Sarkozy et son entourage pour s'en prendre à la magistrature, aux psychiatres. C’est une nouvelle fois un prétexte pour la politique « sécuritaire ». Il s’agit de faire passer l’idée que tout mis en examen serait un récidiviste en puissance. Fait sans précédent, une réunion interministérielle a été convoquée ce lundi. En pleine crise économique et financière un fait divers, aussi dramatique soit-il, retient toute l’attention d’un gouvernement aux abois. S’il doit se réunir après chaque fait divers, il devra bientôt siéger en permanence, laissant aux agences de notation, aux traders et aux fonds d’investissement la gouvernance du pays. Cette dérive médiatique est pour le SNJ-CGT d'une gravité extrême niant le rôle social du journaliste et la hiérarchisation de l'information. Nulle volonté pour nous d'occulter une information même un fait divers, mais de là à ouvrir des journaux radio et télé pendant 48 heures, n'est-ce pas faire le lit des forces les plus rétrogrades, du parti de la haine ? Le rôle des journalistes est de traiter l’information avec le recul nécessaire et suffisant, mais sûrement pas de tomber dans le sensationnalisme le plus morbide. Aujourd’hui, pour le SNJ-CGT, plus que jamais, il faut imposer aux directions une véritable hiérarchie de l’information, plutôt que de rejoindre le camp de la « psychose » de Sarkozy. En un mot, les journalistes doivent entrer en résistance. En 2002, nous dénoncions déjà ces graves dérives auxquelles se prêtent certains patrons de médias, chaînes de télévision et radios. Le 1er tour d'avril 2002 avec Le Pen en 2ème position n’a-t-il pas servi de leçon aux apprentis sorciers de tout poil? Vous avez dit irresponsable? Communiqué du SNJ CGT Montreuil, le 22/11/2011 http://www.humanite.fr/fil-rouge/quand-les-medias-jouent-sur-les-pleurs-et-les-peurs-snj-cgt
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ça fait quand même dix ans que l'Ump est au pouvoir sans interrution...
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Le Parlement Européen accentue la libéralisation du Chemin de fer !
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Refonte du 1er paquet ferroviaire - Directives européennes De mauvaises nouvelles pour les Entreprises Ferroviaires Publiques intégrées : Le Parlement Européen accentue la libéralisation du Chemin de fer ! 16 Novembre 2011 Parlement Européen Le vote des députés européens Les résultats du vote sont : 538 POUR / 82 CONTRE / 41 ABSTENTIONS Seul le groupe GUE/NGL (Gauche Unie Européenne), dont les députés français communistes / Front de Gauche ont voté contre. Les députés français de droite et ceux du Parti socialiste ont voté pour, les députés Verts se sont abstenus. Information groupe GUE/NGL (Gauche - Radicale - Unie Européenne), 2011-11-16-FDG-VoteParlementEuropeen-Refonte1erPaquetFerroviaire16nov2011.pdf -
Danielle Mitterrand est décédée à l'age de 87 ans
Dom Le Trappeur a répondu à Pascal 45 situé dans Brin de causette
Respects. -
A quasiment 2 meurtres par jour en France et même si leur nombre est à la baisse tendancielle les médias ont encore de l'avenir... «En fait, la volonté de passer à l'acte, qui est dans la nature humaine, est toujours aussi forte. Mais le risque de se faire confondre dans les jours ou les semaines suivantes est tellement fort que nombre de criminels en puissance ne suivent pas leur dessein jusqu'au bout», décrypte un policier qui précise «seul le crime passionnel, qui représente les deux tiers des affaires, ne pourra par essence jamais être endigué… ». Meurtres et assassinats en net recul en France http://www.lefigaro....l-en-france.php Entre 2000 et 2009, le nombre des homicides a chuté de plus de 35%, passant de 1051 à 682 l'année dernière. On savait déjà que les crimes de sang ne paient guère. On apprend aujourd'hui qu'ils sont en chute libre dans les statistiques. C'est en tout cas ce qu'établit une note confidentielle de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ), en date du 15 juillet dernier et que Le Figaro s'est procurée. Quelques précisions sur le vocabulaire utilisé... meurtres homicides homicides involontaires... http://www.planetoscope.com/Criminalite/1201-nombres-de-meurtres-homicides-commis-en-france.html ...
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algorithmes génétiques et réseaux de neurones Ces machines qui rendent folles la Bourse http://www.humanite.fr/social-eco/ces-machines-qui-rendent-folles-la-bourse-484239 Plus de la moitié des transactions financières dans le monde sont automatisées, faites par des machines aptes à lancer plusieurs milliers d’opérations par seconde. Plus que les traders, ce sont des intelligences artificielles qui spéculent aujourd’hui. Ces robots sont derrière 70% des transactions du marché américain, 50% du boursier et déjà plus de 40 % du marché européen. Ils sont capables d’apprendre, de réagir à la nanoseconde près pour acheter ou vendre et même de ruser pour tromper les machines des concurrents. De telles intelligences artificielles représentent un investissement énorme et seuls les grands groupes en tirent profit, ce que l’on appelle également le trading haute fréquence (HFT). La vitesse est la clé de cette absurdité galopante. Les grandes banques tentent de louer des bâtiments au plus près des plateformes boursières pour y placer leurs machines et bénéficier du plus faible temps de latence possible. Car ces intelligences artificielles rusent et s’attaquent entre elles. Entre 90 et 99% des transactions qu’elles effectuent sont ainsi annulées dans la microseconde suivante. Le but : ralentir les machines de la concurrence qui analysent tout ce qui se passe avant de passer leurs propres actions. Concrètement, cela peut donner de belles absurdités, comme ce que l’on a appelé le « flash crach » de Wall Street qui a plongé de manière vertigineuse à 14h42 le 6 mai 2010. Selon Nanex (1), une machine plus puissante que les autres a passé plus de 2000 ordres de vente ou d’achat en moins de 100 millisecondes, les annulant encore plus vite, mais créant un mouvement chez les autres réseaux de neurones (27000 opérations dans les 14 secondes qui ont suivi) provoquant un mini-crash boursier. Tout cela sans aucune raison, juste pour « piéger » la concurrence automatique, la faire temporairement saturer et avoir de l’avance pour la suite. On peut comparer cela à une forme de spam massif pour saturer une boite mail, ou d’attaque en déni de service, deux choses illégales par ailleurs. L’intelligence artificielle derrière tout cela Les ingénieurs qui ont pensé ces machines l’ont fait en grande partie sur le modèle de l’intelligence humaine, s’inspirant de théories de l’évolution : il y a les réseaux de neurones et les algorithmes génétiques. Ces intelligences artificielles intègrent en premier lieu une vaste base de données, qu’elles sont capables d’actualiser en quasi-temps réel. Elles connaissent ainsi les taux de chômage de chaque pays, l’évolution des prix des obligations, l’inflation, les cours de chaque plateforme boursière, mais aussi PIB des pays, le poids des dettes, les taux d’emprunts… De là arrive le stimulus. Par exemple : acheter ou vendre telle action ou matière première. Ce qui crée une réaction. Selon cette réaction (gagner ou perdre X argent) et l’évolution du contexte (inflation, chute d’un cours…) qu’elle observe, l’intelligence artificielle pondère son stimulus. Ainsi, elle apprend réellement. Au début, le processus est assez long et réclame beaucoup de ressources, mais une fois qu’il a appris, ajusté ses paramètres, le robot peut se lancer dans plusieurs milliers d’opérations à la seconde. La lutte des classes à la Bourse Ce qui est étonnant avec le trading haute fréquence, c’est qu’à part les grandes institutions spéculatives qui ont les moyens d’investir dans la technique et dans les salaires des programmeurs d’algorithmes, tout le monde est contre. Sans pour autant que personne ne se risque à faire quoi que ce soit de peur de faire s’effondrer le système. Car on peut considérer le HFT comme de la concurrence déloyale : à ce jeu, les petits porteurs perdent forcément. Autrement dit, gagner à la bourse coûte de plus en plus cher. Il ya a aujourd’hui plus de 10 fois plus de cotations (estimation de la valeur d’une action) avant transaction qu’il y a 4 ans. Et lorsqu’une machine fait 10000 cotations à la seconde, l’humain est perdant. Les marchés deviennent de plus en plus fous, surréalistes et inhumains, mais rapportent aussi de moins en moins d’argent, à de moins en moins de personnes. Et si les ordinateurs étaient en train de tuer la finance ? C’est en tout cas la thèse de Paul Jorion, qui disait dansun article récent : « À la Bourse de New York, ces jours-ci, la loi de la baisse tendancielle du taux de profit dont parlait Karl Marx est en pleine forme. Faut-il fermer les Bourses ? Pas la peine de se gratter la tête : les ordinateurs sont en train de régler le problème, et à toute allure ! » (1) Nanex est une société américaine forte utile pour étudier le fonctionnement des marchés, puisqu’elle a développé un programme permettant d’analyser jusqu’à 8 milliards d’opérations boursières par jour. Leurs études permettent de se rendre compte de l’influence des machines dans le jeu financier. Il y a deux types d’intelligences artificielles qu’on retrouve dans les salles de marché. Les algorithmes génétiques et les réseaux de neurones. Ces derniers sont les plus simples à comprendre mais aussi les plus directement brutaux. Leur but est de trouver les meilleures solutions pour survivre puis gagner de l’argent. Ils réclament régulièrement l’intervention d’analystes, principalement pour ajuster leurs fonctions prédictives. Les algorithmes génétiques sont plus complexes, autonomes et évolués. Comme chez Darwin, ces intelligences lancent des actions (stimuli) plus ou moins au hasard, permettant de faire évoluer en temps réel leurs paramètres. Ceux produisant de bons résultats survivent et se reproduisent et mutent lorsque nécessaire. Les autres disparaissent.
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Austérité. Journée nationale de mobilisation le 13 décembre 18 novembre 2011 Ce vendredi, l'intersyndicale a appelé à une "journée nationale de mobilisations interprofessionnelles, notamment avec des rassemblements" le 13 décembre, afin de protester contre les plans d'austérité du gouvernement. Réunis au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis), cinq syndicats (CGT, CFDT, FSU, Solidaires et Unsa) ont également lancé un "appel commun" aux salariés pour "interpeller le gouvernement, les élus et les responsables d'entreprises dans la période du 1er au 15 décembre". FO, qui participait pour la première fois depuis deux ans à cette intersyndicale, a indiqué qu'il ne signerait pas cet appel commun, mais s'associerait à la journée du 13 décembre. La centrale de Jean-Claude Mailly revendiquera, dans le cadre de cette journée, un appel à la grève, option qui n'a pas été retenue par les autres organisations. De nouvelles initiatives en janvier ? L'intersyndicale a prévu de se réunir à nouveau le 15 décembre, afin de "tirer le bilan" de la journée du 13 décembre et d'envisager "de nouvelles initiatives en janvier". Dans leur communiqué commun, les cinq confédérations déplorent que "le gouvernement décide de mesures dans le domaine social sans rencontrer, ni entendre les organisations syndicales". "Il fait porter les efforts sur les salariés, ce qui creuse les inégalités et plonge des milliers de familles dans les difficultés sociales", ajoute le texte.