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Le CE de la RATP dans le collimateur de la Cour des comptes
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Brin de causette
Surtout que les comptes du CRE RATP sont positifs... Voir la réponse (salée) du secrétaire Du CRE à la Cour des comptes dans le rapport de cette dernière... Allez bientôt le tour du CCE SNCF et de ses CER... Ceci étant, peut-on trouver les résultats financiers quelque part ? -
Le big bang du rail - le Monde 6 décembre 2011
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Le Monde 6 décembre 2011 http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/12/06/le-big-bang-du-rail_1613919_3234.html#ens_id=1613329 Le big bang du rail Alphonse Allais rêvait de construire les villes à la campagne parce que l'air y est meilleur... S'il avait été ingénieur ferroviaire, il aurait peut-être imaginé le moyen de transport ad hoc : un train à la fois ultrarapide et qui... s'arrête partout. L'impossible prototype serait aujourd'hui d'un grand secours à la SNCF, alors que se profile la mise en place de son nouveau plan de circulation : 85 % des horaires seront modifiés dimanche 11 décembre. Concilier vitesse et accessibilité, satisfaire les besoins des grandes villes et ceux des plus petites : la grande équation ferroviaire a beau être vieille comme la vapeur, il est beaucoup question de cette somme d'exigences contradictoires, partout où la réforme dite du "cadencement" a du mal à passer. A BLOIS, "LA DOUBLE PEINE" A Blois, la colère monte graduellement. A la gare, une centaine d'élus locaux et d'usagers ont envahi les voies, lundi 5 décembre, comme ils l'avaient déjà fait fin octobre. Sur la carte de France des mécontentements, Blois est probablement moins un cas critique que le cas type d'une ville moyenne (50 000 habitants), située dans un entre-deux géographique, à égale distance d'une capitale régionale (Orléans) et d'une desserte TGV (Tours). Blois est aussi une ville qui n'a pas cru à la grande vitesse quand on la lui a proposée, au contraire de Vendôme, à 30 km plus au nord. "C'est la double peine, estime le maire, Marc Gricourt (PS). Non seulement on a raté le TGV il y a vingt ans, mais on s'achemine aujourd'hui vers une détérioration des dessertes classiques." Perçue comme une "catastrophe" par les édiles locaux, la nouvelle offre ferroviaire illustre surtout l'art de la SNCF de brouiller les pistes. Le trajet Blois-Paris est un cas d'école. D'un côté, le nombre de trains rapides (1 h 24 de trajet) va passer de un à quatre par jour, ce qui est un progrès indéniable au vu du temps moyen de parcours actuel (1 h 57). Surtout pour une ligne diagnostiquée comme "malade" par la SNCF - avec deux noeuds ferroviaires, beaucoup de montées et de descentes de voyageurs et d'indispensables travaux. De l'autre côté, à l'exception d'un train à 7 heures, ces express sont placés à des horaires (midi, 16 heures, 18 heures) qui ne conviennent guère à ceux qui "montent" travailler quotidiennement à la capitale. "On voulait des rapides, on les a eus, est bien obligé de constater Eric Boileau, le président de l'Association d'usagers Blois-Paris Illico (500 adhérents). Le problème est qu'ils ne sont pas aux bons moments de la journée." Mais encore ont-ils l'avantage d'être directs. Car les dix autres allers quotidiens nécessiteront tous désormais une "rupture de charge" à Orléans - comprenez une correspondance. La perspective de changer de train après trente minutes de voyage est vécue comme un traumatisme à Blois. Les uns auront à peine le temps d'allumer leur ordinateur. Les autres devront interrompre leur sommeil. Et, fatalement, la garantie de poursuivre son voyage à la place de son choix sera plus faible - juste retour des choses diront les Orléanais, qui étaient parfois obligés devoyager debout "à cause" des Blésois montés avant eux... Que dire, enfin, du stress supplémentaire induit par cette nouvelle règle ferroviaire : les trains à l'heure n'attendront plus ceux qui sont en retard. "IL FAUT RÂLER, RÂLER ET CONTINUER DE RÂLER !" A quelques jours de l'application de la réforme, envahir des voies pour réclamertrois trains supplémentaires semblerait vain si les négociations n'étaient toujours en cours. Une médiatrice, Nicole Notat, a été nommée par la SNCF et Réseau ferré de France (RFF) afin de régler les cas litigieux, dans la perspective de possibles aménagements courant 2012. Faire du bruit apparaît du coup comme le seul moyen de se faire entendre, explique en substance Christophe Degruelle, le président (PS) d'Agglopolys, la communauté d'agglomération : "Il faut râler, râler etcontinuer de râler !" En la matière, Blois peut se prévaloir d'une certaine expérience. Ses premières revendications remontent à 2009, bien avant que le cadencement ne soit lancé sur les rails. Les élus locaux avaient alors obtenu audience auprès de Guillaume Pepy, le président de la SNCF, afin de réclamer une meilleure desserte, dans le but deredynamiser le quartier autour de la gare de Blois. LE SENTIMENT DE " S'ÊTRE FAIT BALADER" Avoir établi un dialogue en amont avec la régie a-t-il fait croire à Blois que ses demandes seraient entièrement satisfaites ? "On a le sentiment de s'être faitbalader, poursuit Christophe Degruelle. Mais la SNCF est comme ça. Il faut du temps avant que l'impulsion qui part de la tête n'arrive à destination." Le maire, Marc Gricourt, n'est pas plus tendre : "Pendant deux ans, SNCF et RFF ont eu un discours rassurant à notre égard et semblaient avoir écouté nos attentes. Au final, les actes ne correspondent pas aux paroles. On a été grugés." Grugés ? Ou peu conscients que le grand jeu de construction des nouveaux horaires était, d'abord, un "projet global" à entrées multiples ? Pour les autorités de transport, l'objectif de la réforme est pluriel. Il s'agit à la fois de faire des travaux sur un réseau en mauvais état, de libérer de nouveaux sillons pour le fret, de clarifier la politique d'horaires - tout ceci au nom d'un "intérêt général" qui, automatiquement, se heurte à une somme d'"intérêts particuliers", martèle-t-on au siège de la SNCF. "On est sur du transport de masse et non pas sur du transport individuel, appuie la directrice régionale, Laurence Eymieu. A un moment donné, on ne peut passatisfaire toutes les demandes. Il ne faut pas perdre de vue l'ambition qui est projetée : l'amélioration du réseau." Ce que Laurence Eymieu résume d'une formule : "Des ennuis aujourd'hui pour du mieux demain. Sans ennuis, plus de réseau demain." PRESSIONS ET CONCESSIONS Des ajustements ont pourtant été effectués depuis l'annonce des nouveaux horaires. La suppression d'un TER partant de Tours à 7 heures avait créé un certain émoi, notamment à l'IUT de Blois, dont un bâtiment, tout neuf, est situé juste en face de la gare. Certains enseignants n'auraient pas pu assurer leurs cours à 8 heures "Nous en étions à imaginer des cours à 8 h 30 pour les profs venant de Tours et à 8 heures pour les profs habitant Blois", raconte la directrice de l'établissement, Isabelle Laffez. Une pluie de courriers plus tard, le train a finalement été reprogrammé... mais au grand dam des petites communes situées sur le tracé qui auraient aimé que le train en question s'arrête également chez elles. "Bref, on se fait engueuler des deux côtés", soupire Jean-Michel Bodin, le vice-président (PC) de la région Centre,"autorité organisatrice" sur son territoire. Dans certains villages des environs, comme Chissay-en-Touraine (1 000 habitants), la grogne a également conduit les habitants sur les voies, la semaine dernière. Comme souvent, évaluer la proportion des mécontents et celle des satisfaits est un exercice complexe, les premiers ayant tendance à donner de la voix et les seconds à se taire. Chaque cas est particulier. Prenez Marine d'Epinay, une étudiante en science et génie des matériaux qui effectue tous les jours le trajet Orléans-Blois :"Pour moi, le cadencement c'est du donnant-donnant", dit-elle. Un nouvel horaire lui permettra d'arriver plus confortablement pour les journées commençant à 10 heures. Un autre, à l'inverse, l'obligera à se "lever vingt minutes plus tôt" pour les cours de 8 heures. Sonder les opinions de manière fiable revient souvent à mettre dans la balance des contingences personnelles - nounou à libérer, bus à attraper, atelier yoga à ne pasrater... "Les gens sont enferrés dans des contraintes de temps qui se jouent à la minute près. C'est le lancement d'Ariane au quotidien", analyse Jean-Michel Bodin à la région Centre. "LA RENTABILITÉ NE PEUT PAS GOUVERNER LES CHOIX DE LA SNCF" Les désagréments prennent une tout autre ampleur lorsque le dernier train du soir est supprimé. A Blois, la "grande affaire" est précisément la disparition, en semaine, du 22 h 52 au départ de Paris-Austerlitz. Souvent présenté comme la"roue de secours" des provinciaux qui ne veulent pas dormir à l'hôtel à Paris, cet Intercités ne transporte pas plus de 50 passagers certains jours. De là à penserqu'il n'est pas assez "rentable" pour la SNCF, le pas est vite franchi. Ce que confirme à demi-mot Laurence Eymieu. "Le train, ça coûte de l'argent. Celui-ci n'est pas plein. Il lui faut un financement", estime la directrice régionale en renvoyant la question de sa sauvegarde dans le jardin des collectivités, Etat et région. "La rentabilité ne peut pas gouverner les choix de la SNCF, s'offusque Eric Boileau, président de l'association des usagers blésois et ingénieur en semaine à Paris. Qu'on ne me parle de rentabilité à propos d'un train qui roule sur des voies construites il y a 110 ans et dont les voitures datent de 1984 !" La suppression du 22 h 52 devrait en tout cas toucher une population particulièrement sensible pour les décideurs locaux : les cadres en transit dans la capitale - en provenance de Bruxelles, Lyon et ailleurs. Ne pas pouvoir rentrer à Blois après 20 h 30, nouvel horaire du dernier train au départ de Paris, est d'ailleurs impensable pour eux. "Ceux qui le pourront quitteront leurs réunions plus tôt. Les autres reprendront la voiture", se désole Marie-Christine Lebert, une salariée du groupe Atos, qui emploie 500 personnes à Blois. Pour cette habituée, ce train est synonyme de "service public". Voir les routes se remplir "en raison de la dégradation de l'offre ferroviaire" est aussi la grande crainte d'Isabelle Laffez, la directrice de l'IUT : "La vocation d'un établissement comme le nôtre est de participer à l'aménagement du territoire. Un IUT à Blois, entre Orléans et Tours, se justifie pleinement. Mais encore faut-il que nous ayons les infrastructures qui vont avec." Elle pousse le raisonnement jusqu'à l'absurde : "On ne va quand même pas faire tous les cours en visioconférences !"Et encore moins mettre les villes à la campagne. Frédéric Potet -
Le CE de la RATP dans le collimateur de la Cour des comptes
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Brin de causette
Au fait...y'a des élections bientôt à la RATP ? ça fait longtemps qu'on n'a rien entendu sur le CE D'EDF ni sur le notre d'ailleurs... ! A moins qu'il n'y ait un nouveau projet de loi umpiste dans les cartons... -
Le CE de la RATP dans le collimateur de la Cour des comptes
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Brin de causette
Pour tout savoir ou presque http://www.ccomptes.fr/fr/CC/Theme-278.html Dans la note de synthèse... http://www.ccomptes.fr/fr/CC/documents/Syntheses/Synthese_rapport_thematique_comite_entreprise_RATP.pdf " Rapportée au nombre de salariés de la RATP (45 861 agents), la subvention représentait en 2009 environ 1 150 € par salarié." Soit 96 euros par mois et par salarié... (Intervention économique et activités sociales) -
Le CE de la RATP dans le collimateur de la Cour des comptes
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Brin de causette
On pourrait même en souligner un peu plus... " Le CE est contrôlé par la CGT, syndicat majoritaire à la RATP, depuis les élections professionnelles de décembre 2010 avec près de 34% des voix" et 34% ça ne fait qu'une majorité relative donc nécessité d'un accord intersyndical... CGT, UNSA, CFDT, FO, CFE/CGC Sur le site internet du CRE RATP 6 décembre 2011... Cour des Comptes: le Comité Régie d’Entreprise de la RATP communique La Cour des Comptes vient de publier un rapport sur la gestion du Comité Régie d’Entreprise de la RATP. Loin d’être un document objectif et impartial mesurant la bonne qualité de gestion et les éventuelles améliorations à apporter, celui-ci s’avère être un véritable réquisitoire à charge. A l’instar de nombreux autres Comités d’Entreprise des secteurs public et privé actuellement dans le collimateur de cette juridiction administrative supposée « indépendante », le CRE RATP n’a pas échappé à l’offensive de ses magistrats. Force est de constater que la Cour des Comptes ne supporte pas que des salariés - démocratiquement élus - assurent des prérogatives importantes de gestion des activités sociales existantes ou à créer, allant même jusqu’à remettre en cause les moyens alloués au CRE RATP qu’elle juge « démesurés ». Afin d’étayer sa charge, la Cour des Comptes a, dans son rapport, « oublié » de préciser que l’action du CRE RATP, portée par les organisations syndicales gestionnaires (CGT, UNSA, CFDT, FO, CFE/CGC qui représentent plus de 85% sur la période 2004/2010 objet du contrôle) c’est : * Organiser chaque année le séjour de 38 000 personnes dans l’un des centres de vacances familiales * Accueillir tous les ans près de 8000 jeunes dans ses centres de vacances enfance/jeunesse * Gérer un patrimoine immobilier important constitué de 14 centres familles, 20 centres enfance/jeunesse et assumer sa participation dans 10 Sociétés Civiles Immobilières ; * Servir 1 567 000 repas par an dans 27 restaurants * Permettre à 45 000 agents d’utiliser les différentes activités proposées par l’action culturelle * Distribuer 30 000 jouets et accueillir 45 000 personnes lors de la journée de l’Arbre de Noël du CRE * Rassembler plus de 10 000 visiteurs à la Fête annuelle du CRE RATP * Permettre à 2 000 agents de participer aux différentes manifestations sportives * Se positionner sur l’ensemble des dossiers stratégiques et économiques transversaux de l’entreprise. Pour autant, les élus du CRE RATP sont les premiers à œuvrer à une amélioration constante des procédures en vigueur au sein du CRE pour une plus grande efficacité de son action au service de ses bénéficiaires : cela passe par l’amélioration du fonctionnement de la gouvernance du CRE et des relations entre la direction élue et la direction technique. Cela passe aussi par un renforcement des procédures de contrôle de gestion et la maîtrise des dépenses. Ils récusent en revanche avec la plus grande fermeté les insinuations de malversations destinées à tenter de jeter le discrédit sur l’action du CRE, lui-même. Depuis janvier 2011, une nouvelle équipe élue a mis en place une équipe technique renouvelée. Le CRE RATP s’est doté d'outils de gestion efficaces et performants qui seront adaptés afin de garantir la maîtrise de l'exécution budgétaire dans la nouvelle organisation : un budget en coûts complet sera élaboré dès avril 2012. Pour tenir compte de la nouvelle gouvernance voulue par les dirigeants élus, l'organisation des services et les procédures internes seront revues afin de systématiser l'existence d'un contrôle interne garantissant le bon usage des fonds du CRE RATP. Les instances syndicales du CRE RATP ont adopté le 16 novembre un projet qui répond à cette orientation et qui sera mis en œuvre sans délais. La systématisation de la démarche de contrôle interne concernera tous les secteurs du CRE RATP. Elle conduira à une refonte de l'organisation des fonctions de contrôle – comptabilité, ressources humaines, contrôle de gestion et audit – et à la réaffirmation de leurs missions dans la supervision de l'exécution budgétaire. A ces actions s’ajoute un développement important des prestations de vacances, de loisirs, culturelles et de restauration. Les agents RATP, en plus grand nombre, bénéficieront ainsi des prestations de qualité qu’ils attendent de leur comité d’entreprise. -
Un nouveau syndicat à la SNCF ....le First ?
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Bernard Aubin c'est l'ex-secrétaire général de la CFTC cheminot peut être bien exclu par la confédération CFTC...si j'ai bonne mémoire on devrait même en trouver trace sur le forum... Tiens j'suis bonhomme ce matin... http://aubin.blogs.nouvelobs.com/ et l'ex-blog fermé aujourd'hui mais articles accessibles http://bernardaubin.blogs.nouvelobs.com/ -
6 DÉCEMBRE 2011 Célébration(s) du jour Bon Anniversaire ! (23) Tecsomane (27) Gizmo (24) maxaquillion (27) Lolinette-34 (53) rail76 (36) ducatiste (65) x2426 (23) Alexis60
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SNCF: préavis de grève CFDT-Fgaac pour quatre week-end
Dom Le Trappeur a répondu à ADC01 situé dans Actualité ferroviaire générale
Sur le site de la Canaille... ça déménage Une analyse lucide qui en vaut bien d'autres... http://canaille-le-rouge.over-blog.com/article-pour-la-cfgaacdt-cognez-au-juda-n-attendez-pas-qu-on-vous-reponde-91355530.html Le moins qu'on puisse dire, c'est louche. Avant même d'avoir une expression officielle des syndicats de la SNCF, permettez à un vieux briscard qui s'est coltiné le Zozotonomes de la boite de pointer deux choses à partir de la déclaration du porte parole de la CFgaacDT. "Le porte-parole de la CFDT-Fgaac, Fabien Tosolini, a souligné avoir obtenu l'ouverture d'une concertation sur les spécificités des métiers de la conduite, et (...) l'ouverture de négociations sur les rémunérations". Donc, l'organisation qui a signé une "augmentation" des salaires et par ricochet des pensions de 0.4% pour tous les cheminots pour 2011 alors que l'inflation s'envole, exige des négociations pour une partie seulement d'entre eux. Ensuite, le gugusse en question ne parle pas salaires mais rémunérations. Pas pareil. Les primes ne cotisent pas pour l'équivalent sécu et pour la retraite (la caisse de prévoyance) c'est la grille conventionnelle qui est attaqué de plein fouet. Traduction la CFgaacDT annonce qu'elle accompagne le gouvernement dans le démantèlement du statut des cheminots. Nous sommes devant une trahison ...qui ne surprendra que les naïfs. Je pense que dans les dépôts et plus largement dans les centres ferroviaires, la réaction des cheminots va être à l'aune de cette trahison. Cela risque d'être chaud. C'est le ministre des sports qui va être content : Vraisemblable que quelques dirigeants de ce croupion de la direction vont être fin prêts pour les J.O. de Londres. Ils auront acquis la célérité nécessaires pour battre des records tant il va falloir leur apprendre à courir vite. J'allais oublier mais cela peut aider à comprendre la situation : Dans les années 80, la feuille de chou de la FGAAC (mensuel intitulée le "bulletin de traction") était imprimé (ours et dépôt légal en témoignent) par l'imprimerie de l'UNR puis RPR de Haute Garonne. -
Tampon + vodka + anus = méthode dangereuse pour se saouler
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Et la gendarmette on l'appelera... "Pète qu'un coup..." -
SNCF: préavis de grève CFDT-Fgaac pour quatre week-end
Dom Le Trappeur a répondu à ADC01 situé dans Actualité ferroviaire générale
SNCF. Week-ends de décembre : le préavis de grève levé http://www.letelegra...011-1523617.php Le syndicat des conducteurs CFDT-Fgaac avait déposé un préavis de grève pour les week-ends de décembre à partir du vendredi 9. Ils entendaient protester contre le manque de reconnaissance de la SNCF à la veille du changement des horaires le 11 décembre. La direction avait indiqué qu'elle avait bon espoir que ce préavis soit rapidement levé. C'est chose faite, ce lundi soir. Grève + changement d'horaires : un beau bazar en perspective. Les fêtes de fin d'année auraient pu relever du parcours du combattant, avec ces annonces. Le patron de la SNCF avait voulu désamorcer les inquiétudes, dès dimanche : "Les trains circuleront pendant les fêtes de fin d'année, il y aura tous les trains prévus". C'est la CFDT ou la Fgaac qui a levé le préavis ? Un rendez-vous était prévu ce lundi soir entre la CFDT-Fgaac, qui a déposé le préavis à la surprise générale, et la direction. Le préavis a donc été levé. -
Le sourire du requin... TSarkozy cajole les salariés de la SNCF et de la RATP
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Le sourire du requin... TSarkozy "cajole" les salariés de la SNCF et de la RATP Pour mieux les bouffer tout cru... La brosse à reluire et le tube de vaseline sont de sortie Reuters : Nicolas Sarkozy cajole les salariés de la SNCF et de la RATP http://fr.news.yahoo.com/nicolas-sarkozy-cajole-les-salariés-la-sncf-et-142351003.html PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy s'est livré lundi à un numéro de charme à destination des salariés de la SNCF et de la RATP et s'est érigé en défenseur du service public, à cinq mois de l'élection présidentielle de 2012. Après l'inauguration de nouvelles rames à deux étages du RER A - une ligne du transport ferroviaire francilien - le chef de l'Etat a évoqué la modernisation des réseaux de banlieue de la région parisienne à grand renfort de chiffres. Il a ainsi rappelé que l'accord du 26 janvier sur le Grand Paris avec les collectivités locales prévoit une enveloppe de 12,5 milliards d'euros pour la modernisation du réseau. "La crise doit nous conduire à diminuer nos dépenses de fonctionnement mais à augmenter nos dépenses d'investissement. La crise ne peut pas être un prétexte à l'abaissement de la qualité du service public", a-t-il déclaré. Ces décisions d'investissement, a-t-il assuré, visent aussi à améliorer les conditions de travail des salariés des transports en commun franciliens. "En tant que chef de l'Etat, je dois vous défendre lorsque vous êtes injustement attaqués. On vous a demandé beaucoup", a-t-il poursuivi en citant la mise en place d'un service minimum en cas de grève et la double réforme des retraites - celle des régimes spéciaux et celle du régime général. "Le service minimum n'est pas pour nous une façon de faire moins de dialogue social", a soutenu le chef de l'Etat. "Ce n'est pas l'un ou l'autre, c'est les deux." "Je n'ignore rien de la difficulté de votre travail, simplement, c'est le service public, c'est sa grandeur : il ne s'arrête pas", a-t-il ajouté. Il a dit vouloir rendre hommage aux salariés de la SNCF et de la RATP, dont il a assuré comprendre qu'ils pouvaient parfois ressentir de l'ingratitude de la part des usagers. "On ne parle que des trains qui ont du retard et pas des trésors de patience qu'il vous faut pour accueillir ces millions de passagers aux heures de pointe chaque jour. Vous faites un travail irremplaçable et vous le faites bien", a-t-il souligné. Nicolas Sarkozy a par ailleurs invité les élus à être "raisonnables" et à surmonter les clivages politiques quand il s'agit des transports collectifs. "Il n'y a pas un métro de gauche et un métro de droite (...) Nous avons le devoir de nous hisser au-dessus de nos différences pour prendre des décisions qui amélioreront le quotidien des Français", a déclaré le président de la République, qui devrait briguer un second mandat au printemps. Emmanuel Jarry, édité par Gilles Trequesser -
et les retards, et les incidents, et les dysfonctionnements... et les directives européennes... et les choix politiques, stratégiques, économiques, financiers et sociaux de la Direction SNCF... Le chemin de fer, ses usagers et les cheminots nbe souffrent pas d'un trop syndical, voir même d'un trop de démocratie citoyenne, mais d'un trop de libéralisation...
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Petit rappel sur le Fret Ferroviaire tract CGT http://www.cheminots...2-decembre-2012 ouverture à la concurrence et exemple du FRET SNCF: A ne pas suivre. Le marché du fret ferroviaire en France est ouvert à la concurrence depuis le 15 mars2003. ouverture à laconcurrence dans le transport ferroviaire devait, selon les libéraux, permettre son développement. Aujourd'hui, les chiffres parlent d'eux- mêmes en France, de 2000 à 2009, ' le transport ferroviaire de marchandise a cessé de régresser, passant de 58 à 33milliards de tonnes kilomètre(GTK). La part modale du Fret ferroviaire a reculé de 22% en 2000 à 14% en 2009. En clair, depuis l'ouverture de la concurrence au FRET, il y a moins de trains et par conséquence plus de camions sur les routes. C’était pourtant l’objectif exactement inverse que s’était fixé le Grenelle de l'environnement Aujourd’hui, le FRET SNCF ne transporte plus que 21 GTK ! Pourtant, 17 entreprises ferroviaires exploitent des trains de FRET. Si cette démultiplication du nombre d’entreprises n’a pas permis de mettre plus de marchandises sur les trains, en revanche elle a : Permis à la SNCF de réduire son activité FRET Mis en place une convention collective au rabais Permis l’augmentation du nombre d’incidents ferroviaires. * (soit 64% du ferroviaire fret ) Soit environ... En 2000 : Fret Tous transports :264 MMTkm Fret ferroviaire : 58 MM/Tkm soit 22% SNCF : 58 MM/TKm soit 22% du transport Fret total Fret route : 206 MM/tkm soit 78% du transport Fret total En 2009 Fret Tous transports :235 MMTkm Fret ferroviaire : 33 MM/Tkm soit 14% SNCF : 21 MM/TKm soit 64% du Fret Ferroviaire et 9% du Transport Fret total Opérateurs ferroviaire privés : 11 MM/Tkmsoit 34% du Fret Ferroviaire et 4,7% du Transport Fret total Fret route : 202 MM/tkm soit 86% du transport Fret total
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Sur le Blog de JL Mélenchon : le paquet ferroviaire...
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Extraits du blog de Jean-Luc Mélenchon sur le paquet ferroviaire adopté par la majorité du Parlement Européen http://www.jean-luc-melenchon.fr/2011/12/04/a-propos-dallemagne/#comments ... " Puis je viens sur le paquet ferroviaire adopté par le Parlement Européen. Histoire de rappeler que le principal problème dont souffre le rail ce n’est pas l’action syndicale mais la libéralisation. Une illustration à faire connaître de cette révolution libérale qui continue sans désemparer, quoiqu’il advienne. Avec l’appui des députés socialistes et Verts européens ! "... ..." Le Parlement européen se penchait il y a quinze jours sur la « refonte du premier paquet ferroviaire». Moi, j’étais au lit du fait d’une grippe. Pour autant je n’en ai pas perdu une miette. Car derrière la « refonte », cette formulation abstraite, se cache la première phase du démantèlement du service public du chemin de fer. Il s’agit en fait de déstructurer les entreprises ferroviaires en commençant par séparer la gestion des différentes activités de l’entreprise. Puis de les ouvrir à la concurrence. Cette façon de faire montre bien comment la naissance d’un marché ne résulte nullement d’un mécanisme spontané. C’est le résultat d’une organisation voulue, mise en place et protégée par un arsenal de lois et règlements. Et bien sûr le mécanisme de création est perfectionné à mesure qu’il s’implante. C’est le cas ici. En vérité ce n’est pas tant du perfectionnement qu’une tactique. Le plus dur pour les libéraux est d’abord de faire passer l’idée la première fois. Puis dès le premier cap franchi, le reste suit rapidement en comptant sur l’habitude prise et la résignation. Le premier « paquet » de directive adoptée dans ce sens date de 2001. Il sépare la gestion des infrastructures de chemin de fer de la gestion du service de transport et ouvre le service à la concurrence. Mais la Commission européenne estime qu’il n’est pas appliqué de façon satisfaisante. C’est pourquoi elle propose de le « refondre ». Un nouveau texte a été présenté. Il renforce les obligations de séparations des activités. Il interdit toute limitation à la concurrence. Il interdit même aux Etats d’aider les entreprises ferroviaires publiques endettées. Les amendements de la commission des transports du Parlement européen ne valent pas mieux. S’ils ont mis un terme aux prétentions de la Commission d’imposer un service minimum en cas de grève, ils n’ont rien remis en cause de la logique de liquidation du service public du chemin de fer. Pire, ils demandent aux Etats-membres de "garantir le développement de la concurrence" dans ce secteur et demande à la Commission de présenter avant la fin 2012 une proposition visant à « ouvrir le marché intérieur du transport ferroviaire de voyageurs". Le texte a été adopté à une très large majorité. Sourds aux mises en gardes des cheminots européens, la droite, les libéraux et les sociaux-démocrates n’ont eu aucun scrupule à l’adopter. Inclus les socialistes français. Les Verts, eux, étaient partagés entre le pour et l’abstention. Bové s’est abstenu avec Besset, Cohn Bendit et Jadot. Dans le contexte, c’est un bon point pour eux."... Note : Les députés "Front de Gauche" (PCF PG) au parlement européen ont voté contre ainsi que les député de gauche radicale des autres pays au Parlement européen. -
Accident pn dans le rhône.
Dom Le Trappeur a répondu à Rail cassé situé dans Actualité ferroviaire générale
Un TER percute une voiture dans le Rhône, quatre morts http://fr.news.yahoo.com/un-ter-percute-une-voiture-dans-le-rhône-192256542.html;_ylt=AjVCGvhZKN29qV7eTbkuAEX.fcl_;_ylu=X3oDMTNycWlkZ212BG1pdANKdW1ib3Ryb24gRlAEcGtnAzcxM2ZmZmY2LTRjNTQtMzc2Ny04NDNjLWNhYjVkMGQxM2YzNwRwb3MDMQRzZWMDanVtYm90cm9uX2Nva2UEdmVyAzU0M2ViYTYwLTFlYjAtMTFlMS1iNWZkLTlmNjhiNmIyODc5ZQ--;_ylg=X3oDMTFyaHV1cGw5BGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25zBHRlc3QD;_ylv=3 reuters LYON (Reuters) - Un Train express régional (TER) a percuté dimanche une voiture qui franchissait une voie ferrée à Chessy-les-Mines (Rhône) faisant quatre morts et un blessé grave d'une même famille, a-t-on appris auprès de la préfecture. Le conducteur, ainsi que les trois enfants du couple, un bébé, une fillette de cinq ans et un garçon de sept ans, sont morts dans l'accident, a-t-on précisé. La mère de famille a été grièvement blessée. Pour une raison encore indéterminée, la voiture s'est engagée vers 18 heures sur un passage à niveau signalé, mais non protégé, situé au lieu dit Le Breuil. Le TER effectuant la liaison Lyon-Paray-le-Monial, qui circulait à vide, a percuté la véhicule par l'arrière, a-t-on précisé. Le père de famille était capitaine des pompiers à la caserne de Saint-Priest (Rhône). Catherine Lagrange et Gérard Bon -
Voir le Statut des relations collectives entre la SNCF et son Personnel (Le Statut des Cheminots) Référentiel RH 0001 que tu devrais trouver sur le net d'ailleurs, sinon sur intranet (internet interne à la SNCF...) Normalement le Statut doit être remis à tout nouvel embauché... La période d'essai d'un agent du Cadre Permanent est normalement d'une année à l'issue de laquelle il est commissionné... Concernant la période d'essai comme il est dit plus haut, tu es soumis à des évaluations. par tes chefs directs et le Chef d'Etablissement (directeur) La direction doit bien évidemment respecter des procédures pour ce qui est des avertissements et d'une éventuelle procédure de licenciement pendant la période d'essai. Il faut savoir qu'environ 95% des cheminots recrutés sont commissionnés. Dans les 5% il y a les démissions, les problèmes médicaux et malheureusement des décès, et bien sur quelques licenciements. Ceci étant après avoir été commissionné tu peux toujours être l'objet d'une procédure disciplinaire (avec licenciement, radiation, révocation) en cas de faute grave... Sinon je rappelle que pour assurer ses arrières : toujours faire des photocopies ou des photos (téléphone portable, APN...)de tout ce qui passe entre vos mains même si vous le devez rendre immédiatement et que votre dossier administratif est accessible. conservez le tout dans un dossier...* Si vous êtes convoqué à un entretien avec le chef d'établissement surtout dans le cadre d'une sanction disciplinaire, faites vous accompagner par un représentant du personnel et demander lui un compte-rendu écrit de la l'entretien avec son avis. Si un jour vous devez aller devant un tribunal, cela vous sera fort utile car la direction arrivera avec un gros tas de papiers dont vous n'aurez jamais entendu parler... Enfin vous pouvez vous syndiquer même si vous n'êtes pas commissionnés (et même si on vous dit le contraire, c'est une légende...) ça me rappelle qu'à la suite d'un incident d'exploitation, j'avais reçu de l'adjoint de Chef d'Etablissement de l'époque (aux alentours de 75) une lettre avec une trentaine de questions sur l'incident... j'avais répondu par une lettre de 7 pages... Deux mois plus tard l'adjoint déboule dans la gare où je bossais et commence à me raconter des bobards sur l'incident en me disant que j'avais écrit ces dits bobards dans ma réponse. Je le regarde droit dans les yeux et je dis " j'ai écris ça moi, voyons ça et je sors de ma sacoche la copie de la lettre écrite à la main du dit rapport (les photocopieuses n'existaient pas à l'épôque...) et je luis lance : c'est sur quelle page... car en plus elles étaient numérotées...) Il a fait une gueule de cake et il est parti sans dire au revoir... J'lai jamais revu... j'dois toujours avoir le rapport dans mes archives... Allez bonne soirée les d'jeunes et soyez forts ne lâcher rien !