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Le Web des Cheminots

Thierry80

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Tout ce qui a été posté par Thierry80

  1. Source : La Dépeche Date : 25/10/2008 Le Conseil Général du Lot participera à hauteur de 11,5 millions d'euros aux travaux de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse. On dit bien garder le meilleur pour la fin. Le président Gérard Miquel a voulu conclure la séance d'hier du conseil général par le rapport sur le développement ferroviaire et le projet de ligne à grande vitesse Sud-Europe-Atlantique. Un dossier majeur pour le désenclavement du département mais qui arrive à un moment particulier, alors, que des « résistants » se démènent à Gourdon et Souillac pour le rétablissement des arrêts en gare. « Ne liez pas les deux choses » avait prévenu le président du conseil général. Le Lot embarque sur la LGV. Danielle Deviers, vice-présidente en charge de l'économie a décrit l'enjeu qui se chiffre en millions d'euros : « Une participation aux travaux de construction de la liaison à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse intégrant l'aménagement de la future gare LGV sur la ligne Cahors-Toulouse dans le secteur de Bressols près de Montauban ». Le projet permettra de relier Toulouse à Paris en un peu plus de 3 heures contre 5 heures actuellement. Le tronçon Poitiers-Limoges dont dépendra le désenclavement du Nord du Lot, mettra le Limousin à 120 minutes de la capitale. Les conseillers généraux ont donné leur feu vert à une participation du Lot à ce chantier de 11,5 millions d'euros. Seuls, Yves Périé, Etienne Bonnefond et André Bargues se sont abstenus. Certains élus signent sans réserve pour monter dans le TGV. « Le TGV nous permettra de préserver nos voies » dit Christian Delrieu. « Dans le Nord, lance Jean-Claude Requier, on est très favorable au TGV Bernadette (le tronçon Limoges-Poitiers-Paris). Marc Baldy l'affirme : « On ne doit pas louper le train à grande vitesse ! » D'autres conseillers généraux sont plus nuancés. Dominique Orliac sans être hostile au progrés note une incohérence : « Pourquoi gêner aujourd'hui les populations en supprimant des arrêts en gare pour aller soi-disant plus vite alors que s'ébauche une LGV entre Bordeaux et Toulouse ? ». A fond pour le rail, Serge Despeyroux craint « une vision un peu trop cadurcienne ». Certains sont franchement réservés, Etienne Bonnefond est revenu sur les arrêts supprimés, l'absence de véritable débat avec la SNCF s'indignant de l'envoi des gendarmes pour interdire l'accès au quai de la gare lors de la dernière manifestation Gourdonnaise. Tous plaident pour le retour des arrêts du vendredi avec cependant des variantes. Gérard Miquel, solidaire avec l'action des associations se refuse à médiatiser le dossier « en l'absence de réponse ferme des autorités ». La députée Dominique Orliac assurait après avoir rencontré le préfet de Région que ce dernier « était prêt à recevoir un argumentaire sur les arrêts en gare afin de renégocier avec la SNCF ».
  2. Source : Sud-Ouest Date : 25/10/2008 BAYONNE. Des collégiennes, âgées de 12 ans, s’amusaient à frôler la mort à un passage à niveau en se couchant sur la voie ferrée juste avant l’arrivée du TGV. Six collégiennes d’une classe de cinquième se sont adonnées à un jeu qui entre, sans nul doute, dans la catégorie des jeux dangereux. Chacune à leur tour, les adolescentes s’allongeaient sur la voie ferrée à l’approche du train, se prenant en photo pour immortaliser leur « acte de bravoure». Le conducteur du TGV (qui, à l’endroit où les faits se sont produits, roule à une vitesse modérée) a signalé avoir vu, le 16 octobre, vers 8 heures, une jeune fille se coucher sur la voie, à hauteur d’un passage à niveau dont les barrières étaient baissées puisque le train arrivait. L’avertissement par sifflet a fini par faire relever l’adolescente, qui s’est écartée des rails. Les photos circulaient. La plainte déposée quelques jours plus tard par la SNCF a été confiée à la brigade de sûreté urbaine du commissariat de Bayonne. Les policiers ont découvert que des photos circulaient sur des téléphones portables d’adolescents. Elles montraient une scène, chaque fois identique, d’une jeune fille allongée sur une voie ferrée. Six adolescentes ont ainsi posé, chacune à leur tour. Ces clichés ont permis d’identifier le groupe de collégiennes, scolarisées dans la même classe de cinquième du collège Marracq. Elles ont été entendues par la brigade des mineurs en compagnie de leurs parents. Il semble qu’il n’y ait pas eu de comportement suicidaire de la part des adolescentes, qui ont en substance expliqué qu’elles « jouaient à se faire peur ». Les faits se sont déroulés à un passage à niveau proche du collège et ne se seraient produits qu’une seule fois. Afin d’éviter leur réitération, l’établissement et la SNCF ont prévu d’organiser une réunion avec les parents. L’interrogation en matière de jeux dangereux réside dans les questions de prévention : comment diffuser l’information sur ces pratiques sans déclencher l’incitation ? La pratique du jeu du foulard (qui consiste à atteindre, par strangulation, un état second) dans les cours de récréation et aux abords des établissements scolaires est longtemps restée taboue, malgré son issue parfois fatale. L’Éducation nationale a attiré l’attention des responsables éducatifs sur ces pratiques, demandant que ces conduites à risques fassent l’objet de prévention, sans surexposition, sans moralisation. Le but est d’appréhender les motivations des adolescents tout en ouvrant les yeux des parents.
  3. Encore une machine qui fini sa carrière avant l'heure ! Je ne pense pas que la SNCF répare la 72000 après un feu, cette machine va donc finir sous les chalumeau d'un ferrailleur "agréé SNCF" Mais bon! si elle fini chez un ferrailleur, les pompiers aurai pu laisser le feu avancé le travail des ferrailleurs, mais les pompiers n'avait pas prévu les grillades avec ce méga barbecue offert par la SNCF. Pour une fois qu'ils avait un vrai feu de train, c'était une belle ocassion de faire un exercice ORSEC. Bref! l'essentiel c'est que le personnel SNCF et les voyageurs sont sain et sauf, le reste ce n'est que de la ferraille ce qui est moins important qu'une vie.
  4. Source : L'Union Date : 23/10/2008 Mardi vers 20 heures, un train express régional assurant une liaison Dijon-Reims a dû stopper en rase campagne, entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, à cause d'un incendie sous les roues de la motrice diesel (l'union d'hier [voir en dessous de la photo]). La voie a été dégagée au cours de la nuit, à 0 h 45, mais selon la SNCF, l'incident n'a eu aucune répercussion sur le trafic (il n'y avait plus de train prévu sur la ligne à ces heures-là). Les 38 passagers ont été acheminés en car jusqu'à la gare de Reims. Quelques-uns d'entre eux, qui ont loupé une correspondance vers Charleville-Mézières ou Mourmelon-le-Grand, ont fait le reste du voyage dans un taxi affrété par la SNCF. Le Ter (composé de la motrice et de quatre voitures) a été tracté jusqu'à Reims par une autre locomotive. L'origine de l'incendie, qui a pris au niveau des roues arrière avant de se communiquer au moteur, reste indéterminée. Une enquête technique est en cours. Source : L'Union Date : 22/10/2008 La loco prend feu : 38 passagers débarqués en rase campagne Parti de Dijon à 15 h 53, le train express régional attendu hier soir en gare de Reims à 19 h 51 n'est jamais arrivé à destination. Alors qu'il filait dans la campagne entre Sept-Saulx et Val-de-Vesle, de la fumée est apparue sous la locomotive : un incendie d'origine indéterminée venait de se déclarer au niveau des roues de la motrice.Le conducteur a aussitôt engagé l'arrêt du train pendant que les contrôleurs procédaient au déplacement des 38 passagers en queue de convoi, dans la quatrième et dernière voiture. A l'arrivée des secours, « les flammes s'élevaient à mi-hauteur de la locomotive », indique un pompier. Deux lances - dont une à mousse - ont été mises en batterie pour éteindre le sinistre. Aucun blessé n'a été déploré parmi les voyageurs. Légèrement incommodé par la fumée, le conducteur du train a été transporté au CHU de Reims par les sapeurs-pompiers de Verzenay. Informée des faits, la gendarmerie a demandé à la mairie de Val-de-Vesle d'ouvrir la salle des fêtes pour accueillir si besoin était les naufragés du rail. Le personnel municipal a fait le nécessaire mais la salle n'a finalement pas servi. La SNCF a affrété un autocar pour venir récupérer les voyageurs, restés au chaud à bord du train en attendant son arrivée. Le top départ fut donné vers 21 h 30. Bagages en main, les voyageurs ont parcouru à pied les quelque 300 mètres qui les séparaient du passage à niveau de Val-de-Vesle où stationnait l'autocar. « Il ne pouvait pas approcher plus près. Le chemin longeant la voie ferrée est impraticable », explique le capitaine Jean-Christophe Philippe, commandant de la compagnie de gendarmerie de Reims. « Les personnes qui avaient des difficultés à marcher ont été transportées dans un véhicule des pompiers. » L'incident a provoqué l'arrêt complet de la circulation ferroviaire sur l'axe Châlons/Reims, dans les deux sens. A l'heure où nous écrivions ces lignes (23 heures), il n'avait toujours pas été possible de joindre un responsable de la SNCF. On ignorait donc les répercussions sur le trafic. La locomotive se trouvait toujours sur les rails. Seul le panache de fumée commençait à s'estomper dans la nuit.
  5. On se connait pas, avec un peu de retard, bon anniversaire !

  6. lol ! c'est vrai ! j'ch't'ai point reconnu sur ch'cou ;)
  7. Source : Ouest France Date : 23/10/2008 Un Train express régional, reliant Rennes à Lorient, a percuté ce jeudi une camionnette sur un passage à niveau protégé à Questembert. Légèrement blessé, le conducteur du véhicule est un véritable miraculé. Un véritable miraculé. Aussi incroyable que cela paraisse, le conducteur de la camionnette percuté ce jeudi après-midi par un TER ne souffre, selon les médecins de l'hôpital de Vannes, où il a été pris en charge, que de quelques contusions et d'une fracture à l'omoplate. Le train expresse régional, qui circulait entre Lorient et Rennes, qui transportait 51 passagers, est entré en collision avec la camionnette vers 14h30. Barrières baissées Selon le parquet de Vannes, des témoins "ont vu les barrières de sécurité se baisser de part et d'autre du passage à niveau mais le fourgon s'est tout de même engagé". Le trafic ferroviaire a été légèrement perturbé, un seul TER à destination de Redon ayant été supprimé et ses passagers reportés sur un TGV. La SNCF a indiqué un retour à la normale de la circulation sur la ligne depuis 16h15.
  8. Source : NeoRestauration Date : 23/10/2008 Alors que le personnel des Wagons-lits était en grève, la SNCF annonçait qu’elle attribuait le contrat de restauration à bord des TGV à l’entreprise italienne Cremonini pour la période 2009-2012. Une concession qui prendra effet le 1er mars 2009. Il s’agit du service de restauration à bord des TGV, excepté le TGV Est. Quant au contrat d’approvisionnement des trains, il n’a pas encore été attribué. Du côté de Cremonini, Jean-Philippe Molinari, administrateur délégué et responsable du marché français se réjouit de cette victoire. « Elle constitue une nouvelle étape dans le développement du groupe en France qui y réalise un CA de 40 M€ avec 650 personnes", confie-t-il à Néorestauration. Le CA prévisionnel sur la période approche les 280 M€. Le personnel de Wagons-Lits, filiale d’Accor avait déjà débrayé le 16 octobre, craignant de perdre ce contrat. L’intersyndicale qui avait d’ailleurs annoncé l’attribution probable du contrat au groupe italien jugeait « l’offre de Cremonini, certes moins chère, mais pas crédible économiquement et basée sur une gestion sociale dégradée ». Côté Wagons-Lits, la direction s’est dite « très déçue. Seuls les critères financiers prévalent au détriment de la qualité du service rendu ». Ce à quoi Jean-Philippe Molinari répond que Cremonini est une entreprise sérieuse très attachée aux résultats et qui n’a pas l’habitude de casser le marché. Elle qui est déjà présente sur Thalys et Eurostar.
  9. Ben figure toi qu'actuellement la Gare du Nord d'Amiens est en pleine mutation, la voie 1 (sens Paris/Boulogne) va être fermé au public (autant par la gare que l'accès par la rue Riolan) à compter du 6/11 pour refection totale. Je présume que les voie 2/3 et 4/5 vont subir une refection totale par la suite. De plus, un parking de 800 places ouvrira prochainement rue Paul Tellier. Une gare TGV, je ne voit pas ou il peuvent la mettre actuellement, car à l'Est d'Amiens (Longueau/Amiens), outre la gare de triage et les marais, l'emplacement me parait improbable. Je pense que la ligne GV arrivera au niveau de Boves, la ligne peut très bien être en parallèle de la ligne actuelle Paris // Boulogne, là ou de nombreuses voies ont était démonté, ensuite, je ne sais pas trop surtout au niveau de la bifurcation Amiens/Paris - Amiens/Lille/St Quentin/Laon (au niveau du Pont du Bois de Boulogne) ou je pense que le TGV emprunterai la ligne classique pour arrivée en gare d'Amiens. De l'autre côté, ligne classique jusqu'au environ d'Ailly Sur Somme, là ou le TGV pourrait reprendre la ligne nouvelle. Voilà ce que j'imagine, mais hélàs, je ne suis pas un ingénieur de la SNCF
  10. il y a 4 ans, on parlait déjà de cette ligne sur ce forum http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=260
  11. Cela me fait pensé à une de mes aventures récentes ! Comme d'habitude, prendre un titre de transport le matin entre 7h00 et 9h00 dans ma gare se révèle d'un parcours de combattant et une sacrée dose de patience. Un week-end chargé professionnellement, je n'ai pu acheter mon abo de travail pendant le week-end donc, j'arrive en gare à 7h45 (mon train est à 8h30). Comme de nombreuses personnes devant et derrière moi, chacun attend son tour en papotant, en téléphone, en écoutant ses mp3 etc etc. 8h00...8h10...8h20, 8h23 zut! encore 5 personnes devant moi. Du brin, j'abandonne et je cours vite fait jusqu'à la voie 8. Evidemment, le reflexe d'aller voir le chef de bord, je lui explique ma situation et lui fesant montrer mes titres de voyages antérieur en guise de bonne foi et que je ne suis aucunement fraudeur, je lui propose d'acheter un titre de transport. Je pense qu'à mon avis, il pense que je suis de bonne foi et que mon travail est plus que sacré pour moi, il m'invite à aller m'installer et qu'il me ferait mon titre au moment du passage. Le train quitte la gare, 30mn plus tard j'arrive à destination, pas de contrôle, je me dit que c'est cool, je descend de la rame et en apercevant le controleur, je lui fait un signe amicale en guise de remerciement (car ça ne coute pas cher de dire merci de nos temps), bien entendu, le controleur m'a renvoyer un signe. Mais en générale, je n'ai jamais eu d'accroche avec les controleurs (les hommes comme les femmes) car au moment des différents controles, il m'arrive de plaisanté et de discuter avec eux. Mais tout doit dépendre des lignes que font les controleurs, certaines lignes doivent être plus calme que d'autres et que sur les lignes calmes, cela doit être un plaisirs de faire son travail. PS : Michael02, désolé, une erreur de frappe, j'ai ripper sur la touche "entrée"
  12. Remarque ! A la SNCF, les "Caté"TASER sont largement plus puissant et il ne pardonne pas en générale
  13. Source : Le parisien Date : 21/10/2008 Une jeune femme de 23 ans a tenté de mettre fin à ses jours hier après-midi, à la gare centrale d’Argenteuil. C’est son conjoint qui a prévenu les pompiers, alors que la jeune femme se trouvait sur un quai de la gare. Elle s’était entaillée elle-même avec un couteau et des tessons de bouteilles. Légèrement blessée, notamment à la gorge, Charlène menaçait aussi de se suicider en sautant sous le train. Pour éviter le drame, la SNCF a interrompu le trafic ferroviaire. Les policiers qui sont intervenus ont finalement utilisé leur Taser pour maîtriser la désespérée et l’empêcher de se blesser davantage. Elle a été conduite à l’hôpital Lariboisière, à Paris.
  14. Source : Lyon Capitale Date : 21/10/2008 Lundi 20 octobre, s'est déroulé devant le conseil de prud'hommes de Lyon, le procès de Koffi (prénom d'emprunt) contre la Compagnie des Wagons-Lits. Cet employé de 43 ans d'origine togolaise accuse son employeur de discrimination raciale pour l'avoir maintenu au rang d'employé alors que des collègues d'origine européenne, arrivés en même temps que lui et à un niveau comparable, sont désormais cadres. Depuis son embauche en 1990, Koffi a passé plusieurs diplômes d'études comptables mais rien n'y a fait (lire notre précédent article sur le sujet). L'association SOS Racisme, “intervenant volontaire” (c'est-à-dire, partie civile dans le langage des prud'hommes) estime par la voix de son directeur Loïc Rigaud que “l'analyse de l'organigramme de la Compagnie, a pu amener des éléments qui mettent en avant la ségrégation qui existe au sein de l'entreprise : 80% de l'effectif manutentionnaire est d'origine étrangère, alors qu'il n'est que de 11% au sein des vendeurs a qualification nulle ou égale. (...) Une seule personne manutentionnaire, d'origine étrangère, est devenu responsable”. A la barre, l'avocate de la Compagnie des Wagons-Lits a précisé que la suppression du service comptabilité expliquait la situation actuelle de Koffi. Ce dernier demande 155 000 euros de dommages et intérêts ainsi que sa promotion au rang de cadre. Verdict le 26 janvier.
  15. Source ; L'Union Date : 21/10/2008 Les pépins s'accumulent sur la ligne à grande vitesse. Après un problème d'aiguillage qui a provoqué mercredi soir des retards de 45 minutes pour cinq TGV à destination de la gare de Bezannes, c'est le TGV de 20 h 57 parti hier de Paris pour Reims-Centre qui n'est pas allé au-delà de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Vers 23 h 15, après deux heures d'attente, les passagers ont été invités à descendre sur le quai dans l'attente d'un autre TGV promis par la SNCF. D'après les explications données, une « panne moteur » serait à l'origine du problème.
  16. Salut ! Je ne voit pas le rapport avec les infos ferroviaires, cela aurait plus sa place dans "Le café "la rotonde" de Cheminots.Net "
  17. En cherchant dans mes vieilleries qui traine à la maison, voici une petite trouvaille qui date de 1962 Little Eva The Loco-motion Si vous avez des pochettes de disques avec des engins français, n'hesitez pas à poster à la suite.
  18. Des trains plus rapides, plus confortables, plus faciles d'accès, plus économiques pour vous grâce à une gamme tarifaire simplifiée : "avec le TER Nord-Pas de Calais, ma région accélère" ! Découvrez le spot réalisé pour la promotion du TER. Vous le retrouverez sur les écrans de France 3 Nord-Pas de Calais, où il sera diffusé 25 fois entre le 24 octobre et le 10 novembre, avant et après le journal télévisé régional. Vous pourrez aussi l'apprécier sur grand écran, dans 191 salles de cinéma de la région, entre le 29 octobre et le 4 novembre. Si vous êtes pas dans le Nord, France3 Nord-Pas de Calais est disponible sur Freebox TV et sur Canalsat (Satellite et ADSL) Comme je ne suis pas parvenu à intégré une vidéo "windows media" sur le forum, je vous la met à disposition sur mon site Internet, LA VIDEO CLIQUEZ ICI
  19. Source : Metro Date : 20/10/2008 Bonne nouvelle pour quelque 3 300 voyageurs : la ligne de TER entre Arènes et Colomiers rouvre samedi, après un mois de travaux. En piteux état, trois kilomètres de voies ont été entièrement renouvelés, et huit passages à niveau ont été remis à neuf. “C’était la phase du chantier la plus sensible car située en zone ur­baine”, note Sté­phane Cour­sier, directeur ré­gional de la SNCF. Le reste des travaux concerne le tronçon Colo­miers-Auch, qui n’ou­vrira définitivement que fin janvier. D’ici là, des cars de substitution sont mis en place pour les usagers. “On va achever la réfection de cette ligne alors qu’on débattait de sa fermeture il y a encore quelques années", se réjouit Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, qui a précisé que le montant des investissements s’élevait à 32 millions d’euros. Aujourd’hui, c’est l’une des lignes les plus fréquentées du réseau régional.”Son trafic a en effet été multiplié par trois en quatre ans, ce qui engendre des problèmes de capacité. A l’issue du renouvellement de la ligne, le rallongement des rames pourrait bien devenir une option pour la SNCF". “Il faudrait aussi ajouter plus de moyens humains afin que les absents soient remplacés par exemple", propose pour sa part Guil­laume Cohen, président de l’association d’usagers "Il y a une vie après Colo­miers". "Cela permettrait également d’éviter les nombreux retards.”
  20. Source : La gazette des communes Date : 20/10/2008 Dans le cadre de sa politique de développement des transports en commun, la région Basse-Normandie va lancer avec la SNCF, le 14 décembre 2008, le cadencement des trains. Objectif global : plus 15% de trains en moyenne sur l'ensemble du territoire régional. Et quelques performances telles le Caen-Paris en 1h30 avec un train toutes les soixante minutes aux heures de pointe. «Un vrai défit à relever puisque ce changement fondamental va devoir se réaliser sur des infrastructures inchangées pour commencer», souligne Roland Bonnepart, directeur de la région et des lignes Normandie de la SNCF. De son côté Laurent Beauvais, le président de la région, préfère ne pas évoquer le coût à terme des travaux qu'il faudra engager, après négociations avec Réseau ferré de France (RFF), gestionnaire des infrastructures, et la SNCF, pour moderniser les lignes. Le président préfère souligner la volonté politique des élus «qui ont fait du développement du transport ferroviaire une priorité, pour la préservation de l'environnement, pour lutter contre le coût de plus en plus élevé des transports individuels et pour un aménagement équilibré du territoire». Il rêve même avec l'intensification généralisée des dessertes régionales associée au cadencement, à une baisse de 20% à terme de la circulation sur les périphériques de Caen, la capitale bas-normande. En attendant, après avoir engagé ces dernières années 110 millions d'euros pour le renouvellement du parc matériel des trains express régionaux ou TER, il négocie avec la SNCF le co-financement d'un investissement de 150 millions d'euros. Ce dernier sera consacré, dans le cadre du cadencement à l'achat de matériels roulants de nouvelle génération, des trains bi-modes et bi-courant pour les liaisons intercités. Pour en svoir plus Consultez la rubrique du site de la Basse Normandie consacrée au réseau TER bas-normand
  21. Teoz, Lunea.... peu importe, je ne sais pas qui à pensez à ses noms bizarre qui ne sonne pas comme un train, elles peuvent disparaitre pour un nom identique à tous comme genre "corail", qui est plus connu depuis l'entrée en service des voitures du même nom en 1976 (soit 32 ans). En ce qui concerne "Transilien", il serait souhaitable une uniformisation comme les autre région à savoir TER TER pour les trains au départ d'une gare parisienne RER pour les trains traversant Paris Pas grave! cela fait tourner les fabricants et prestataire, et en c'est temps de recession cela ne fait pas de mal à l'économie Pour le moment, je trouve idéal l'identification des TGV, comme pour l'internationale Eurostar (France=>GB) Thalys (France=>Belgique et Allemagne Ouest), Mais pas respecté puisque des Eurostar vont en Belgique ou des Thalys en GB, donc même nous on s'y perd dans les repères. Pourquoi pas, puisque finalement le budget des régions est grandement mangé dans les investissements ferroviaire (Gare, voies, rames), il est normal que les régions s'affiche sur les rames qu'elles achètent Le logo actuel n'est vraiment pas une réussite, il ne se sont pas cassé la tête dessus cette fois. Je le trouve moins parlant que les précédents.
  22. Un récit sur le site "Vivre à Chalons" qui à attirait mon attention et que je souhaite partager avec vous tous. Un récit qui donne vraiment une autre image des controleurs de la SNCF et à mon avis, qui pourra faire plaisirs à lire à ceux qui doute de leur perception auprès des clients.
  23. Et pour terminer la série @+ Thierry
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