Cyril83

Pour ce qui est des Intercités : - Les trains de nuit (hors TGV de nuit) ont définitivement disparu. - Certaines relations (exemple : Bordeaux - Nice) sont devenues TGV. - D'autres (exemple : vers la Normandie et la Picardie) sont progressivement devenues des TER, suivant un mouvement déjà amorcé aujourd'hui (participation des conseils régionaux à la rénovation du matériel). - Seules deux relations restent gérées par l'État, le POLT et Paris - Clermont-Ferrand, en attendant l'hypothétique ouverture des LGV POCL et Poitiers - Limoges. L'État a confié l'exploitation du POLT à ECR et de Paris - Clermont à Keolis. Les dessertes restent assurées par des Corail ex-Téoz hors d'âge, aucun investissement n'étant réalisé du fait de l'"imminence" de la construction des LGV tant attendues.

Exact, c'est d'ailleurs une forme de reconnaissance qu'ils attendent.

Enfin, ça se faisait encore il y a quelques années (donc bien après la création de RFF)... aujourd'hui, je ne sais pas...

Si.

Quelle mauvaise foi que de mettre sur le même plan les conséquences des nouveaux horaires et les problèmes rencontrés dans le Nord du fait de circonstances plus qu'exceptionnelles et indépendantes de la SNCF. Cependant, en voulant être "discret" sur sa visite, Pépy n'a-t-il pas tendu le bâton pour se faire battre ("s'il est discret, c'est qu'il a des choses à cacher") ?

Béton-Bazoche ?

Je pensais qu'avant les Acelio, tous les ASCT avaient ça pour vendre à bord du train des billets pour la France entière (hors trains à résa obligatoire).

Nord-Pas-de-Calais ?

Massif central ? Bort-les-Orgues ?

Ce qui n'est pas forcément lié à la caténaire, ou en tout cas pas seulement...

La plaque de tender en alpax "comme neuve" est à présent à 150 euros. Par contre, toujours aucune enchère pour le maître du chien-chien.

Castres - Albi ?

Il y a un sujet sur ce forum avec la liste des différents STF.

A propos... il me semble que sur les Intercités sans résa obligatoire, on trouve depuis quelques années des billets Prem's. Ces billets sont ni échangeables ni remboursables, d'accord, mais hors circonstances particulières (perturbations), peuvent-ils être utilisés sur un autre train que celui indiqué sur le billet ?

Ni pour les Intercités à résa obligatoire. Pour ces trains à résa obligatoire les conditions d'échange ont été données plus haut.

Billet non composté : - Billet sans résa : valable durant la période de validité indiquée sur le billet (billet échangeable et remboursable avec une retenue de 10 % durant la même période). - Billet avec résa : valable pendant 60 jours à partir de la date du train ayant fait l'objet de la résa (billet non échangeable ni remboursable). (Ces règles sont rappelées sur les pochettes à billet.) Billet composté : valable le jour du compostage, toutefois un ASCT (et le guichet ?) peut annoter le billet pour annuler le compostage.

Des photos sur le site d'un journal de référence tabloïd : http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Photos/Pologne-Mort-a-grande-vitesse/En-plein-coeur-de-la-nuit-380959/

http://www.youtube.com/watch?v=4R11-4uMeSM

La question est sérieuse : le fait d'accepter d'être pris en photo et que cette photo soit publiée est une démarche personnelle. Le chef d'équipe ne peut donc pas répondre au nom de ses subordonnés, qui restent libres de refuser. Y compris si le cliché est réalisé pour le compte ou à la demande de la SNCF.

Ou alors ce sont des personnes qui font ça pour discréditer les opposants (hypothèse peu probable mais pas impossible...). En tout cas, cela relève d'une logique un peu bizarre de demander que le trafic soit acheminé par les infrastructures existantes, et de saboter ensuite ces infrastructures.

C'est également possible dans le compartiment 2nde qui se trouve juste derrière la cabine de conduite (à l'opposé de la rame par rapport à la 1ère, donc).

Au temps pour moi, je n'avais pas fait attention. Massif Central ?

Chacun sa marotte : Figeac, Béton-Bazoches, Vadencourt...

Sauf que : - Dans le cadre d'un appel d'offres, les économies permises par un tel engin devraient conduire à une offre plus avantageuse de la part de l'entreprise utilisatrice, qui peut ainsi récupérer des marchés qu'elle n'aurait pas forcément obtenu dans le cas contraire. - L'entreprise de travaux peut aussi continuer à intégrer le coût de l'acheminement dans ses offres, tout en économisant en réalité cette dépense. Reste à comparer le surcoût à l'achat de l'engin avec le coût de l'acheminement pendant toute la durée d'utilisation. Entre les deux, il y a bien entendu une solution intermédiaire (l'entreprise réduit le coût des travaux tout en gardant pour elle une partie de l'économie réalisée) qui est sans doute la plus probable.

Ce sont tout de même des machines qui ont pour beaucoup atteint 40 ans, la plus jeune a 36 ans. Personnellement je ne suis pas très choqué qu'elles partent à la casse.