Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Paris-Nord

Membre
  • Compteur de contenus

    238
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Paris-Nord

  1. COMPTE RENDUE DE LA 2ème TABLE RONDE RETRAITE DU 04 DÉCEMBRE 2007 FO FONET_2007_0412_04_CR__FO_TABLE_RONDE_04122007.doc
  2. Paris-Nord

    DÉCLARATION FO

    DÉCLARATION LIMINAIRE FO Table Ronde Thématique n°2 du 4 décembre 2007 FONET_2007_0412_01_d_claration_liminaire_Table_th_matique_2_04122007_definitive.pdf FONET_2007_0412_02_C_de_presse_decote_indexation_aucune__volution.pdf
  3. Il faut que les pouvoir public remplacent rapidement ces passages par des souterrains ou des ponts mais il faut du courage politique pour mettre l'argent qui va avec
  4. Spécial ASCT Ceux qui vivent avec alliance: ils en pensent quoi? Ils le vivent comment? C’est vraiment aussi pourri qu'on le dit?
  5. FO cheminot fait partie d'une confédération, on ne peux pas parler d'extrémiste ce sont des gens raisonnables qui ont de véritables revendications pour les cheminots
  6. Beaucoup d'entre nous étaient dans la rue pour défendre cette idée "révolutionnaire" Si 37.5ans pour tous c’est révolutionnaire Vive la révolution http://fo-cheminots.com/publications/rail-...combat-890.html?
  7. Paris-Nord

    COMMUNIQUE FO

    FO COMMUNIQUE FONET_2007_1127_83_communiqu_.pdf
  8. Qui a dit: " personne ne demande le retrait de la reforme ? voir la vidéo http://www.cgt.fr
  9. A voir absolument La vidéo qui tue http://www.cgt.fr/internet/
  10. Paris-Nord

    Declaration

    FO cheminots rappelle l’essentiel DeclaFEDEretraite23nov2007.pdf
  11. Rêve, ça fait du bien pour ton info voila une partie de la resolution de la conf http://www.force-ouvriere.fr/page_principa...mp;id=2100#2100 "Pour le Congrès, le droit à la retraite à 60 ans doit demeurer la règle et toutes les mesures en faveur de l'emploi des seniors ne peuvent relever que du seul volontariat même si tout doit être mis en œuvre afin de permettre aux salariés de poursuivre leur activité jusqu'à ce qu'ils puissent justifier du taux plein. Bruxelles et le gouvernement prétendent imposer de nouvelles mesures inadmissibles concernant les retraites. Pour Force Ouvrière, l'objectif d'un retour aux 37,5 ans de cotisations pour tous, public-privé, demeure la revendication pour l'obtention : - d'une retraite à taux plein, - de l'indexation des pensions sur les salaires, - et du retour au calcul sur les dix meilleures années pour les salariés du secteur privé, - du maintien du calcul sur le traitement indiciaire brut des six derniers mois pour le secteur public. Dans l'immédiat, le Congrès rappelle qu'il est inenvisageable et inacceptable de prolonger la durée d'assurance au-delà de 160 trimestres et mandate la Confédération afin qu'elle exige du Gouvernement l'abrogation de cette mesure inscrite dans la réforme de 2003. " Et tu veux vraiment rêver: http://fo-cheminots.com/publications/rail-...mbery-2648.html? "Le Congrès réaffirme son attachement indéfectible au système par répartition et sa volonté de lutter dans un cadre solidaire avec les salariés du privé pour obtenir le retour aux 37,5 années de cotisation pour tous. " Que vous ayez rêvé d'un autre monde, ou que vous ayez rêvé de vous... c'est mieux que de ne pas rêver du tout !
  12. FO ne poursuit personne La fédération des cheminots porte le mandat des résolutions de congès à savoir 37.5 ans pour tous !
  13. FO n'a pas peur d'un vote des cheminots, simplement on a vu à l'EDF et pour le referundum sur l'europe ce que le gouvernement peut en faire...
  14. FO, à dans sa résolution de congrès indiqué clairement sa volonté de revenir à 37.5 ans pour tous Pourquoi manifestez vous systématiquement un tel acharnement, "cher VOV", à l'encontre de ce petit syndicat ? Je ne sais pas comment fonctionne votre syndicat, mais à Force Ouvrière les représentants nationaux on le mandat de porter les résolutions, donc pour FO de porter, entre autre, les 37.5 ans pour tous
  15. Communiqué commun FONET_2007_1117_50__communiqu__commun_du_17.11.2007.doc
  16. GRÈVES RECONDUITES À LA SNCF ET LA RATP Les agents sont toujours aussi déterminés dans les assemblées générales qui décident depuis mercredi des suites du mouvement alors que le gouvernement parie sur un essoufflement. lien Rechercher lien Inscription lettre lien Désinscription lettre lienEnvoyez à un ami Si le gouvernement mise sur un essoufflement de la grève pour la défense des retraites dans les transports publics, c’est plutôt mal parti. Les assemblées générales (AG) à la SNCF et à la RATP ont reconduit vendredi leur mouvement. Et cette fois jusqu’à lundi. Outre les bons vieux sondages d’opinion, le pari du gouvernement repose sur les taux de grévistes des directions des deux réseaux de transport, qui semblent minimiser la participation à la mobilisation. Selon la direction SNCF, la grève à la SNCF était suivie vendredi par 32,2% des salariés contre 42,8% jeudi. Et selon la direction de la RATP, elle l’était par 23,3% des agents vendredi contre 27,2% jeudi. Eric Falempin (FO-cheminots) doute sérieusement de la fiabilité de ces chiffres. «Dans le cadre d’arrêts de travail reconductibles chaque jour, les taux de grévistes oscillent toujours à la hausse comme à la baisse. Mais, les chiffres avancés par la direction et repris tels quels par le gouvernement paraissent pour le moins fantaisistes. Car, ils sont loin de refléter l’état réel du trafic à la SNCF. La circulation des quelques trains sur l’ensemble des régions est là pour en témoigner. Et sur le terrain, plus d’une centaine d’AG ont voté à plus de 95 % la poursuite de la grève. Il est clair que le travail n’a pas repris!», a-t-il expliqué. Vendredi, les usagers n’avaient effectivement pas l’impression que ça roulait mieux que la veille. Et ce n’est pas en faisant un tour sur les sites internet des deux entreprises destinés à les informer qu’ils pouvaient avoir une information fiable. Sur le web de la RATP, quand le trafic n’était «pas nul» ou «quasi nul» sur une bonne partie du réseau, il fallait compter entre «cinq minutes» et «une heure» entre chaque rame. Et seul un tiers des bus circulait. Sur les quais, il fallait être au bon endroit au bon moment. Actualisé régulièrement, ce site affichait des temps d’attentes pouvant varier sensiblement d’une heure à l’autre. Sur le web de la SNCF, c’était encore plus compliqué puisque il était impossible d’avoir une estimation nationale de l’état du trafic à un instant donné. A part quelques trains annulés, signalés, au compte goute, la SNCF se contentait le plus souvent d’afficher des prévisions optimistes par régions (Nord, Ouest, Est, Sud-est) réalisées la veille. Ou d'inviter les voyageurs à effectuer «une recherche par villes de départ et d’arrivée» et à se renseigner directement auprès des gares. Quitte à pousser les usagers à se déplacer pour trouver des stations fermées. Rien de mieux pour exaspérer le voyageur, érigé en VRP de l’opinion publique. En revanche pour le fret, la SNCF a été on ne peut plus précise. «La situation du fret est catastrophique, avec une circulation de 95 trains contre 700 habituellement», a déclaré un porte-parole de la direction qui s’est notamment inquiété qu’«aucun train fret ne circule dans des régions comme l'Atlantique et le Nord y compris des trains vitaux pour nos clients et qui pourrait entrainer des arrêts de production» dans leur entreprise. Etant liée par contrat avec les professionnels, la SNCF est contrainte de donner des informations fiables et vérifiables. Qui plus est, les entreprises se plagnent déjà. L’un de ces clients ArcelorMittal (acier), qui revendique le titre de «premier client de la SNCF», avait auparavant déclaré que la grève commençait à peser sérieusement «sur son dispositif industriel». Sur le fond, c’est le statu quo. Le gouvernement conditionne toujours l'ouverture «immédiate» de négociations à un appel des syndicats à la reprise du travail. «On ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps», a réaffirmé le ministre du Travail Xavier Bertrand. Avant de s’installer devant une table de négociations, les syndicats de cheminots, eux, réclament d’abord qu’on leur précise ce qu’il y aura menu (voir notre article du vendredi 16 novembre). Un contenu, un calendrier et une méthode dans le cadre d’une réunion préparatoire à ces négociations tripartites (Etat-entreprise-syndicats), a indiqué Didier Le Reste (CGT) qui attend toujours des «réponses» du gouvernement. Pour Eric Falempin (FO), «le gouvernement doit faire maintenant faire preuve de responsabilité et ouvrir de réelles négociations sur les principes fondamentaux de la réforme avec les organisations syndicales».
  17. Des grévistes s'expriment. Tract_gr_ve_FO_du_17_nov_2007.pdf
  18. Des grévistes s’expriment… Tract FO Tract_gr_ve_FO_du_17_nov_2007.pdf
  19. Pleurer pourquoi? Celui qui combat peut pleurer, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu.
  20. Tu as raison chante avec nous: Tous bourré dés 8 heures soutien aux viticulteurs...
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.