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SeaFrance. La SNCF prête à reclasser le personnel

http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/seafrance-la-sncf-prete-a-reclasser-le-personnel-05-01-2012-1555874.php#go_reagissez

C'est le président de la SNCF Guillaume Pepy qui l'affirme : les 880 salariés de SeaFrance, menacés de perdre leur emploi en cas de cessation d'activité pourraient retrouver un emploi à la SNCF "sans une journée de chômage". Ce matin à 10H, le ministre des Transports Thierry Mariani recevra les représentants du projet de coopérative ouvrière (Scop) et ceux de la SNCF.

Le patron de la compagnie ferroviaire, maison-mère de SeaFrance, a toutefois précisé que, dans un tel cas de figure, seul "un petit nombre" de salariés pourraient retrouver un emploi "sur place". Il a également souligné que les emplois proposés ne seraient "pas dans les mêmes métiers", évoquant notamment la possibilité pour les salariés de SeaFrance de devenir chauffeurs d'autocars, alors que la SNCF entend développer prochainement une offre dans le transport longues distances par autocar.

Hier, les porteurs de Scop de SeaFrance estimant les propositions du chef de l'Etat "irréalisables" ont rejeté l'offre de reprise. Ce matin, le ministre des Transports Thierry Mariani recevra donc au ministère les représentants du projet de coopérative ouvrière (Scop) pour SeaFrance et ceux de la SNCF pour une réunion de travail après le rejet par les salariés des propositions du gouvernement. Autre échéance en vue : le dossier de la Scop, pour laquelle il manque 50 millions d'euros, doit être rendu vendredi soir, avant une audience lundi devant le tribunal de commerce de Paris.

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Des salariés de SeaFrance dénoncent le «système CFDT»

http://www.lefigaro.fr/social/2012/01/05/09010-20120105ARTFIG00641-des-salaries-de-seafrance-denoncent-le-systeme-cfdt.php

Des témoignages recueillis au sein de la compagnie de ferries par Europe 1 relatent des pressions parfois violentes. La CFDT nous précise qu'elle entend faire le ménage dans ses rangs «le moment venu».

La CFDT maritime SeaFrance, qui porte le projet de reprise de la compagnie par la société coopérative (Scop), se serait bien passée de cette polémique. Selon Europe 1, certains salariés osent braver le syndicat majoritaire en pointant du doigt ses «pratiques douteuses». Intimidations, violences, passe-droits, plusieurs salariés non-syndiqués témoignent, sous couvert d'anonymat, des moyens de pression, parfois violents, utilisés par les leaders syndicaux. Europe 1 cite plusieurs exemples qui lui ont été rapportés: «une voiture vandalisée devant le domicile d'un salarié, des salariés victimes de harcèlement verbal ou d'agressions physiques». Certains représentants syndicaux auraient même déjà été condamnés par la justice.

Concrètement, ces témoignages relèvent qu'un véritable «système CFDT» s'est mis en place au sein de l'entreprise basée à Calais ces dernières années. Et ce, sous les yeux de la direction qui aurait préféré ignorer ces faits afin de préserver la «paix sociale» au sein de SeaFrance. Europe 1 cite un compte-rendu de CE datant de 2009, dans lequel la nouvelle direction du groupe dénonce certaines pratiques de la CFDT, comme celle d'accorder des «passe-droits» à certains salariés. Un rapport de la Cour des comptes aurait également pointé certains dysfonctionnements. Philippe Hénon, le rédacteur en chef de Nord Littoral, raconte à la radio que «c'est la CFDT qui embauchait, c'est elle qui accordait les promotions, les congés. (...) Certains salariés avaient le droit à 100 ou 120 jours de congés négatifs», c'est-à-dire en bonus de leur solde légal.

Enfin, selon Europe 1, une enquête de justice est en cours sur des vols à bord des ferries de la compagnie. Les noms des deux principaux chefs de la CFDT - Éric Vercoutre et Didier Capelle - apparaissent dans ce dossier. En réaction à ces accusations, la CFDT dénonce un «complot». «Je ne peux pas mettre un revolver sur la tempe de chaque salarié qui sont adhérents à la CFDT pour leur dire: fais comme je te dis», répond Éric Vercoutre, en rappelant qu'il a remporté près de «80% des suffrages» aux dernières élections.

«On règlera nos comptes le moment venu», promet l'état major CFDT

Malgré tout, les pratiques pointées du doigt chez SeaFrance ne surprennent pas certains membres de l'état major de la CFDT à Paris, régulièrement informés des dérapages de leurs élus de l'entreprise. «On ne sait pas ce à quoi ils jouent, explique un dirigeant de la centrale de Belleville: défendent-ils l'intérêt des salariés ou les leurs, c'est difficile à dire.» Un autre les traite même volontiers de «boulets» et reporte la quasi-faillite de SeaFrance sur leurs épaules. «Ils n'ont pas voulu étudier les offres de reprise d'autres compagnies par simple idéologie, considérant que leur activité ne devait pas tomber entre les mains du privé», avoue-t-il.

Ce haut responsable de la CFDT ne croit pas non plus au projet de scop développé par les élus de l'entreprise. «A titre personnel, je déconseillerais aux salariés d'investir leurs indemnités de licenciement ou leurs économies dans la coopérative, je n'y crois pas», tranche-t-il, en partie à cause de l'inconsistance des porteurs du projet. Soit des élus de son propre syndicat. «On ne peut pas s'exprimer tant que le dossier n'est pas réglé et parce qu'il y a des vies en jeu, mais on réglera nos comptes le moment venu», conclut-il.

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Invité Gnafron 1er

Scop ou pas scop , ce n'est pas un scoop , ils vont se faire farcir......

Comment peux t-on imaginer une scop dans le système actuel ?C'est juste de l'électoralisme du côté du GVT....La scop se fera étrangler par les banques et autres créditeurs ....qlq temps après les élections ....wohaurf !Qu'ils prennent leurs pognons et qu'ils "naviguent " vers d'autres cieux .Voir qu'ils se battent pour augmenter leurs primes de licenciement......

Modifié par Gnafron 1er
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Scop ou pas scop , ce n'est pas un scoop , ils vont se faire farcir......

Comment peux t-on imaginer une scop dans le système actuel ?C'est juste de l'électoralisme du côté du GVT....La scop se fera étrangler par les banques et autres créditeurs ....qlq temps après les élections ....wohaurf !Qu'ils prennent leurs pognons et qu'ils "naviguent " vers d'autres cieux .Voir qu'ils se battent pour augmenter leurs primes de licenciement......

je ne vais pas cliquer sur j'aime, mais c'est malheureusement bien probable

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Invité Gnafron 1er

http://www.rue89.com...oui-mais-228084

Sur Rue 89

La SNCF propose de reclasser les salariés de SeaFrance, oui mais...

Alors que la CFDT de SeaFrance a refusé la solution proposée par Nicolas Sarkozy, le président de la SNCF, Guillaume Pépy, maison-mère de SeaFrance, propose, lui, de reprendre les 880 salariés de la compagnie transmanche « sans une seule journée de chômage ».

Lors d'une rencontre avec la presse, il a réitéré une proposition qu'il dit avoir déjà faite plusieurs fois, mais qui comporte plusieurs bémols :

  • Seuls un « petit nombre » pourront retrouver un emploi dans la région de Calais,
  • Les emplois proposés ne seront « pas dans les mêmes métiers »,
  • Certains pourraient devenir chauffeurs d'autocar puisque la compagnie ferroviaire prévoit de développer des trajets longue distance.

Les centaines d'emplois induits par la société dans la région risquent donc, eux, de disparaître.

« Du grand n'importe quoi »

Sur France Info, le secrétaire du comité d'entreprise de SeaFrance, Eric Vercoutre a déjà qualifié cette proposition de « grand n'importe quoi » :

Sur le premier plan social, il rappelle que « trois cents personne sont aux prud'hommes » avec la SNCF, et il voit mal des salariés âgés déménager pour démarrer une autre carrière.

La solution de Guillaume Pépy est plus économique que celle qui était envisagée depuis le début de la semaine : le versement d'indemnités de licenciement exceptionnelles de 50 ou 60 000 euros censées permettre le lancement de la société coopérative ouvrière de production (Scop).

La CFDT de SeaFrance a de toutes façon rejeté lundi l'offre du président (les salariés auraient loué les bateaux à la SNCF), qui comportait selon eux une « insécurité juridique ».

Hé bien que Mr Pepy fasse ces offres par courriers à chaque personnel .....de toute manière la loi l'y oblige.Le "Grand n'importe quoi " est dans quel camp ?

Sans connaitre le contenu , la CFDT réfute ces propositions ...j'hallucine .

Les médias vont -ils mettre cela en avant ?

L'attitude aurait été inverse de la part de Mr Pepy , qu'aurait-on dit ?

Modifié par Gnafron 1er
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J'avais entendu ça hier à la radio. Petit commentaire :

  • Seuls un « petit nombre » pourront retrouver un emploi dans la région de Calais,

Je vois mal comment il pourrait en être autrement dans une région où il faut déjà trouver du boulot pour les anciens agents fret.

  • Les emplois proposés ne seront « pas dans les mêmes métiers »,

Là encore, bien que le groupe soit vaste, les métiers de seafrance ne sont bien entendu pas tous compatibles avec les autres activités du groupe.

  • Certains pourraient devenir chauffeurs d'autocar puisque la compagnie ferroviaire prévoit de développer des trajets longue distance.

Là c'est un exemple parmi d'autres ... une piste.

Alors le grand n'importe quoi est peut être plus à chercher du côté d'une OS locale, lâchée par son OS nationale, et qui donne du grain à moudre pour les anti-syndicats qui en profites pour déblatérer sur le thème "tous pourris".

Il va falloir que cette histoire se termine vite car sinon tout le monde syndical va manger.

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Partie de Monopoly ou de Poker menteurs ?

SeaFrance : l'offre de reclassement de la SNCF jugée "incorrecte"

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/05/la-sncf-prete-a-reclasser-tous-les-salaries-de-seafrance_1625726_3224.html#ens_id=1593764

Après être restée silencieuse ces derniers mois, la SNCF, la maison mère de la compagnie de ferries SeaFrance, est officiellement entrée dans le débat, mercredi 4 janvier. Guillaume Pepy, le président de la SNCF, s'est dit prêt à reprendre au sein de la SNCF "l'ensemble des salariés" de SeaFrance en cas d'échec du projet de reprise des activités de la compagnie liquidée par une société coopérative et participative (SCOP), portée par la CFDT maritime Nord.

Interrogé lors d'une rencontre avec la presse sur la possibilité d'une reprise des 880 salariés de SeaFrance, menacés de perdre leur emploi en cas de cessation d'activité, fixée par le tribunal de commerce de Paris au 28 janvier, M. Pepy a déclaré que tous pourraient retrouver un emploi à la SNCF "sans une journée de chômage". Cependant, "tous ne pourront pas être chef de gare à Calais…" Ils devront accepter de quitter la région et changer de métier. La société nationale, qui prépare une offre de bus longue distance, pourrait proposer à certains de devenirchauffeurs d'autocars.

"C'est du grand n'importe quoi", s'insurge Eric Vercoutre, le secrétaire du comité d'entreprise de SeaFrance, et délégué syndical CFDT. "Lors du premier plan social, la SNCF avait promis le reclassement de 450 personnels de SeaFrance au sein de la SNCF. Trois cent vingt-cinq sont aujourd'hui aux Prud'hommes", ajoute-t-il. L'offre est jugée d'autant plus "incorrecte" pour le syndicat majoritaire de SeaFrance que "les 880 salariés ne veulent pas aller conduire des bus à l'autre bout du territoire, reprend M. Vercoutre. Nous voulons avant tout conserver des emplois à Calais." Et c'est là tout le problème. Car, mercredi après-midi, les artisans du projet de coopérative pour SeaFrance ont officiellement répondu, par lettre ouverte interposée, à la proposition que Nicolas Sarkozy leur a faite, lundi 2 janvier (Le Monde du 4 janvier).

Dans cette missive, ces promoteurs de la SCOP estiment inapplicable la "solution esquissée" par le président de la République, à savoir le financement de la SCOP grâce au versement d'indemnités de licenciement majorées de 20 % aux personnels de SeaFrance par la SNCF. En parallèle, la compagnie ferroviaire rachèterait les bateaux et les louerait, au prix du marché, à la SCOP.

INSÉCURITÉ JURIDIQUE

Ce montage, détaille cette lettre ouverte, "ne peut être envisagé en raison de l'insécurité juridique qu'il engendre, de l'incertitude pour la SNCF de récupérer les navires, de la perte du fonds de commerce, du nom commercial, des systèmes de réservation fret et passager, et donc de l'accès à la clientèle ainsi que les logiciels nécessaires au fonctionnement de la société." Pour David Azema, dirigeant de la SNCF et président du conseil de surveillance de SeaFrance, cette solution est en revanche possible, puisque "la SNCF, l'actionnaire de référence a donné son accord pour le rachat des bateaux".

Les artisans de la SCOP promeuvent aujourd'hui un scénario alternatif. "Nous voulons que le tribunal de commerce de Paris décide, le 9 janvier, de céder à la SCOP pour 1 euro la société SeaFrance, avec ses trois navires, explique M.Vercoutre. La SCOP revendrait un des navires à une société d'économie mixte, financée par les collectivités publiques, qui nous soutiennent déjà à hauteur de 20 à 25millions d'euros. La somme ainsi récupérée permettrait d'avoir le fond de roulement nécessaire pour relancer la compagnie la première année." Et en cas d'échec des activités de la SCOP, les deux derniers navires seraient cédés pourpayer l'éventuel plan social des salariés.

Ce nouveau plan n'est applicable que si la SCOP convainc, grâce à un plan d'affaire solide à déposer vendredi à 18 heures, de la viabilité d'une telle reprise. Si le tribunal acte la liquidation de la société, il vendra les actifs au plus offrant. En novembre, DFDS et Louis-Dreyfus armateurs avaient proposé la reprise de la société, dont les navires, pour 5 millions d'euros. "Ce serait la pire solution, juge M.Vercoutre. Ce serait la fin du pavillon français sur le détroit."

Jeudi matin, avant une dernière réunion au ministère du transport, le gouvernement restait sur sa position : seule la proposition de M.Sarkozy est valable. Le ministre des transports, Thierry Mariani, devait recevoir, à partir de 10 heures, les représentants du projet de SCOP et ceux de la SNCF.

Philippe Jacqué

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Mais bon restons positif...

La coopérative est l'avenir de l'entreprise

par Clémentine Autain, gérante de la société coopératice de production (SCOP) du mensuel "Regards"

http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/6999-actualite-politique/page__pid__417490__st__5125#entry417490

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SeaFrance, et voilà que le syndicalisme devient le bouc émissaire

http://www.humanite.fr/social-eco/seafrance-et-voila-que-le-syndicalisme-devient-le-bouc-emissaire-487200

Le projet de coopérative ouvrière, défendu par la CFDT de SeaFrance et les responsables syndicaux qui le portent, est dans une posture délicate. Depuis l’intervention du président de la République dans ce dossier, les événements semblent précipiter l’entreprise vers la liquidation. Le piège était grossier, mais il est en train de se refermer sur les salariés.

En leur proposant d’investir leurs indemnités de licenciement dans l’aventure, sans aucune garantie, puisque la coopérative ouvrière aurait du louer les bateaux « au prix du marché » pour faire fonctionner l’entreprise, Nicolas Sarkozy a posé sur la table un deal « perdant perdant » pour les marins. Comprenant la menace, les salariés, qui risquaient de perdre leur boulot et leurs indemnités, n’avaient d’autres choix que de refuser. Et de se retrouver sur la défensive.

Restait alors à dégainer l’arme du discrédit. Le Figaro s’est est chargé, titrant son édition du vendredi 6 janvier : « La faillite de SeaFrance : un sabotage syndical ». Les marins deviennent des « pirates » dont « on ne souhaite pas la victoire ». Les syndicalistes développent des « méthodes qui relèvent de la voyoutocratie ».

La situation économique de SeaFrance est difficile depuis 10 ans sans que le propriétaire de la compagnie maritime, la SNCF, ni le propriétaire de la SNCF, l’Etat, ne s’agitent pour son redressement. Quand ils se sont inquiétés de la situation, le feu brûlait déjà ! Maintenant que la compagnie touche le fond, ce sont les syndicats qui sont montrés du doigt ! La ficelle est grosse. Surtout quand certains s’empressent de déterrer de vielles histoires pour alimenter leur thèse. La CFDT, majoritaire sur le port, est accusée de se livrer à des pratiques d’intimidation. Elle est l’objet de plaintes pour agression sur d’autres syndicalistes (CGT notamment). Elle est aussi sous le coup d’une enquête judiciaire pour « abus de confiance », plainte déposée par la direction de l’entreprise de ferries il y a deux ans et « personne depuis n’a été entendu par la police », a répliqué hier Didier Capelle, un des responsables du syndicat, qui dénonce « une campagne de calomnie.»

Le problème, c’est que d’un cas particulier, certains en arrivent vite aux généralités pour faire peser sur le syndicalisme les soupçons les plus sombres de pratiques mafieuses. Malheureusement, les épisodes en la matière se multiplient. Début décembre, à la suite du rapport Perruchot jamais publié, que n’a-t-on entendu sur « l’argent caché des syndicats », ces organisations qui vivraient aux crochets des contribuables etc. Sans compter les assauts réguliers contre les comités d’entreprises accusés de malversations ! Alors que le chômage explose et que des échéances électorales majeures se profilent à l’horizon, le futur candidat de l’UMP n’a pas envie de traîner le fardeau du crash des 880 emplois de la compagnie de ferries. Il faut détourner le débat, déplacer les responsabilités. Quoi de mieux pour cela que de trouver un bouc émissaire.

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C'est ce que je disais craindre il y a peu.

Mais il faut dire que l'OS locale fait son possible pour que toute cette affaire se termine mal.

Sauf qu'il y a encore une direction d'entreprise rattachée au groupe SNCF...

et que ce ne sont pas encore les " syndicalistes" ou les "salariés" qui gèrent SeaFrance voir une scop qui n'est qu'en projet...

et que ce projet de scop n'est porté pour l'instant que par "quelques personnes" soutenus par une partie des salariés...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité Gnafron 1er

Qu'ils fassent le forcing pour être re'classé comme il faut au sein du groupe et empôchent leurs indemnités

Modifié par Gnafron 1er
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Pas de commentaire ....encore une marrante wohaurf !

Tu n'as pas tort...

c'est aussi comme si deux gugusses type le Boukistanais et le Trappeur déposaient un projet de scop pour sauver la sncf de la faillite...

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Invité Gnafron 1er

Tu n'as pas tort...

c'est aussi comme si deux gugusses type le Boukistanais et le Trappeur déposaient un projet de scop pour sauver la sncf de la faillite...

ça me rappelle un pote quand la sncf avait lançé les départs volontaires dans les années 80.......il avait lançé un club échangiste.....

Effectivement , tout s'échangeait sauf que lui étant déjà bringeur de nature .....était bourré comme un coin à 21h....il a fini les bourse vides !

Avec ce qu'il a récupéré , il a monté un bistrot ........pour tenter un retour made in sncf ....wohaurf !

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Qu'ils fassent le forcing pour être re'classé comme il faut au sein du groupe et empôchent leurs indemnités

C'est bien ce que je me dis aussi mais certains doivent encore boire les paroles de ceux qui expliquent que ces propositions sont "n'importe quoi".

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