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Le Web des Cheminots

Pourquoi aime-t'on les trains des années 50-60-70 ?


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mais quand les 9200 sont sorties, elles enfonçaient bien bas les 5500, 8100, 9100 et même les 7100. Quelle élégance quand les enjoliveurs brillaient encore !

pour rehausser la caisse, déjà d'un très beau vert bleuté avec une pointe de gris, il y avait : la moustache avec le macaron, l'entourage des phares, un jonc autour des vitres, un autre sur la ceinture de caisse . :tongue:

Juste pour illustrer:

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Merci pour ces superbes photos (et celles de la 22200). Mais je persiste et signe: les Jacquemin sont des parrallélipipèdes (c'est comme ça qu'on dit ?) rectangles arrondis aux angles. Pour les nez cassés, 6500 en particulier, il y a eu une recherche de formes et de couleurs plus poussée. Ceci dit, les livrées contemporaines ont donné aux 9200 (etc...) un look plus flatteur. En tout cas c'est mon avis et je le partage, à mon insu de mon plein gré.

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Merci pour ces superbes photos (et celles de la 22200). Mais je persiste et signe: les Jacquemin sont des parrallélipipèdes (c'est comme ça qu'on dit ?) rectangles arrondis aux angles. Pour les nez cassés, 6500 en particulier, il y a eu une recherche de formes et de couleurs plus poussée. Ceci dit, les livrées contemporaines ont donné aux 9200 (etc...) un look plus flatteur. En tout cas c'est mon avis et je le partage, à mon insu de mon plein gré.

tu peux préférer telle ou telle, mais tu ne peux pas dire ça ! Remets toi en situation en 1955 et pense juste un instant aux formes et couleurs existantes à ce moment là , tu verras qu'il y a eu une recherche de nouvelles formes et couleurs au moins aussi poussée que pour les 6500 et suivantes. Tout est relatif comme disait A.E

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Merci pour ces superbes photos (et celles de la 22200). Mais je persiste et signe: les Jacquemin sont des parrallélipipèdes (c'est comme ça qu'on dit ?) rectangles arrondis aux angles. Pour les nez cassés, 6500 en particulier, il y a eu une recherche de formes et de couleurs plus poussée. Ceci dit, les livrées contemporaines ont donné aux 9200 (etc...) un look plus flatteur. En tout cas c'est mon avis et je le partage, à mon insu de mon plein gré.

Les 9200 vertes d'origine sont bien plus jolies que les 26000, 27000 et autres dernières générations de TER.... Tout est une question de gout, mais comme dit Cyril, une 9200 Capitole, c'est presque aussi beau qu'une 6500.....

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Après les gouts et les couleurs, je pense aussi qu'il faut vivre avec son époque ! à l'époque des première machines électrique, je suis sur que certain disaient ca a pas de geule les machines a vapeur ya que ca de vrai .... et dans 30 ans nos gosses voir nos petits enfants diront, les 36000 , les 4700 c'était trop beau je regrette trop de pas avoir connu cette époque .... on évolue tous, c'est comme pour la musique, l'arrivée rock'n'roll, le rap, la techno etc etc ..... le monde évolue c'est tout, contentons nous d'admirer ce qui se fît en sauvegardant ce patrimoine

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Après les gouts et les couleurs, je pense aussi qu'il faut vivre avec son époque ! à l'époque des première machines électrique, je suis sur que certain disaient ca a pas de geule les machines a vapeur ya que ca de vrai .... et dans 30 ans nos gosses voir nos petits enfants diront, les 36000 , les 4700 c'était trop beau je regrette trop de pas avoir connu cette époque .... on évolue tous, c'est comme pour la musique, l'arrivée rock'n'roll, le rap, la techno etc etc ..... le monde évolue c'est tout, contentons nous d'admirer ce qui se fît en sauvegardant ce patrimoine

Je ne sais plus en quelle année (dans les années 50), mais la CC7100 a reçu le prix du design industriel.

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le 28 mars 1955, la CC7107 passa le record de 326 Km/h. La cabine du conducteur est protégée par une grille métallique qui le protège des sauts de pierres du ballast. En effet, la vitesse, le poids et les vibrations de la machine à cette vitesse provoquaient des sauts de pierres jusqu'aux fenêtres de la cabine.

Les conducteurs de l'époque étaient aussi un peu kamikazes !

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Sa représante aussi la solidité. Les trains actuels donnent une impression de fragilité.

Le développement des autorails (y compris les autorails légers, Michelines, Bugatti ou "autocars sur rail") datent des années 1930, les unifiés SNCF des années 1950 pour faire vite. Les X3800 "Picasso" grand bout en tête offraient une très belle vue aux voyageurs du rang avant, mais au prix de leur vie (29 morts à Chantonnay en 1957 quand, lors d'un nez à nez, une loc vapeur a ouvert un autorail en 2 sur une bonne longueur). Les automoteurs TER d'aujourd'hui snt bien plus solides, et je ne parle pas seulement de la "bulle-bouclier" du conducteur

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au centre d'essais peut-être ... sinon aux Ardoines

Je sais je réside juste à coté, je passe devant le centre d'essais plusieurs fois par jour.c'est par soucis de précision uniquement.

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  • 1 année plus tard...

Bonjour,

La teneur et le thème de ce sujet ne pouvaient que m'inviter à remonter ce "topic".

C'est connu, le virus de la ferrovipathie aiguë vous atteint généralement dès la plus tendre enfance. Pour ma part, je l'ai contracté au tout début des années 60's par faute de mon père et de la gare de Lille (baptisée Flandres aujourd'hui) En ces lieux se déroula la fascination naissante d'un tout jeune enfant pour une certain "ésotérisme" technique devant les dessous d'une voiture, d'un bogie qui me fit agacer toute ma famille avec mon "je te dis qu'y a un moteur" et qui enjoignit mon père exaspéré à m'emmener questionner un cheminot sur le quai… afin qu'il m'apprenne ce qu'était une dynamo! Cette même fascination qui me faisait boire les paroles de mon oncle mineur et ses anecdotes sur la mine, ce même oncle qui devait me faire le plus beau cadeau de ma tendre enfance : des vieux réveils mécaniques à démonter. Fascination alors pour la mécanique, les pignons et roues dentées, le même genre d'engouement hypnotique qui me fit apprécier la poésie haute en couleur des composants électroniques, découverte qui m'apportera plus tard mon métier: électronicien.

Cependant, l'occasion de prendre le train fut assez exceptionnelle dans mes jeunes années, au point d'avoir subi une véritable frustration de n'avoir pas profité de la vision des quelques vapeur encore pourtant actives à l'époque. Du coup, je considère l'avoir réellement "rencontré" plus tard… lors d'une venue en gare de Lille d'un train spécial avec la 230G553! Et il m'est difficile de décrire le niveau extrême de mon émotion ce jour-là (1977, 1978, je ne sais plus trop) Bien plus tard, ce sera la splendide 231G558 en ces mêmes lieux. Rien que pour les odeurs : c'était un tout autre monde!

Alors, l'émerveillement pour les matériels et technologies contemporains de notre jeunesse avec lesquels nous vieillirons ensemble et qui feront que nous aimons ce qui fut moderne en son temps mais ne l'est plus… certes, mais pas que!

Etant également passionné par le monde industriel (usines, mines) et le fluvial (batellerie) j'y constate les mêmes maux et les mêmes travers, à mon entendement, que dans le ferroviaire : du délabrement, des friches, des disparitions et de la simplification par faute essentiellement de délocalisations à outrance, délires gestionnaires et financiers, jusqu'à une certaine politique de Tout-En-Camion (le néo-régime autoritaire du Phare à Ons). Désolé!

J'ai déjà eu l'occasion, >ici même dans ce forum, de publier des images aériennes "pointant" sur de telles mutations. Ailleurs, j'en ai cité bien d'autres. Et plutôt que la gare de Saint-André-lez-Lille, donnez vous la peine de comparer avec les mêmes outils l'allure des installations ferroviaires et industrielles de la gare de La Madeleine et de ses embranchés proximaux de Marquette et autre. C'est ainsi pour moi : lorsque j'observe ce qu'est devenue cette gare, son faisceau, ce qu'il y a désormais en lieu et place des installations du PCUK… je ressens une profonde émotion qui le dispute à une certaine colère. Et le temps que je rédige tout ceci, combien y-a-t-il eu d'inscriptions au Pôle Emploi? That's the question!

L'usage d'Internet (intensif, addictif) me permet également de me régaler des nombreuses vidéos partagées du type "en cabine". J'ai spécialement apprécié, ch'ti oblige, celles des lignes TER NPdC, pour la plupart au départ de Lille Flandres (avec même Mouscron comme destination, où j'ai vécu quelques années et fréquenté l'Athénée) Mais avant cette disponibilité, j'ai longuement entassé des films "in fahrt" sur le réseau allemand… Et là, à moins d'être aveugle ou de vouloir à tout prix l'ignorer, force est de comparer, que dis-je, constater ceci sur un peu plus d'une heure de trajet lambda:

- Fr : Un ou deux croiseurs TER, nécessité de visionner plusieurs films avant d'observer le croisement d'un marchandise. Faisceaux vides de rames quelconques mais non d'herbes folles. Matériels disparates rares et dispersés en des établissements pourtant de taille raisonnable.

- De : Complexité phénoménale de la plate-forme et des installations. Densité proprement hallucinante du trafic, des trains croiseurs, des rames stationnées (spécialement marchandises) où diversité et variété des matériels, même voyageur, laissent sans voix!

Or, il me semble que cette absence de diversité dans les matériels roulants soit bien le point crucial qui fait que les passionnés "d'un autre age" n'ont plus la joie et le plaisir de regarder passer les trains! Comme dénoncé un peu partout, nous relevons aujourd'hui trop d'uniformité, tant dans les formes que dans les livrées, et je m'abstiendrais de "développer" plus avant sur un certain "logo" polychromasse. Dans le même esprit, la "banalisation" généralisée des rames bloc nous laisse de marbre.

Voilà donc ce que l'on entend par "asepsie"… C'est à dire précisément le contraire de ce que l'on pouvait admirer de 1938 jusqu'au tout début (maximum) des années nonante. Quel dommage alors de pouvoir disposer inutilement aujourd'hui de l'illimité gratuit des clichés avec un APN quand était si onéreux l'argentique à l'époque des splendeurs à mitrailler!

Par ailleurs, du côté des cheminots eux-mêmes, quelle chance et quel bonheur d'avoir côtoyer ces "grandes gueules" prolixes et passionnés, dès lors que l'on abordait leur domaine, leur métier, leur chemin de fer, leur propriété pour tout dire. Ils ne savaient pas quoi faire pour être sympathiques:

-"Et que je te narre des histoires en pagaille, et que je t'offre plein de bouquins, de plans, de notices, de conseils, d'autorisations, d'infos techniques, d'anecdotes en tout genre... et t'en reprendra bien un p' tit!"

Tout ceci dans la plus chaleureuse atmosphère d'une camaraderie fort communicative (et sonore aussi!) Je me suis vraiment régalé et en garde un souvenir ému… Mais certains déjà ne sont plus de ce monde.

Force communicante à l'instar d'ailleurs de la grande maison, de son service de com' et jusqu'au moindre ingénieur de toute entreprise fabricant du chemin de fer, tout ce grand monde ayant généré et distribué pléthore de documents papier et films cinématographiques où raisonnait à l'évidence une très grande fierté, fierté qu'il aurait été inconvenant de dissimuler! Qu'importe si l'illustration musicale comme les commentaires de ces films paraissent bien surannés de nos jours, ce sont de véritables bijoux que l'on savoure sans retenue. A ce propos, côté éditions papier, comparez donc "Les Chemins de Fer" de Pierre Weil préfacé par Louis Armand aux éditions Larousse - 1964 avec la chose improbable des mêmes éditions paru récemment où l'approximation trop largement illustrée d'image couleur et pauvre en texte se justifie soi-disant par la nécessité de la vulgarisation! Fadaises de malhonnêtes à l'endroit d'incultes satisfaits à qui l'on force la digestion : exit les données chiffrées, les équations, les plans côtés, les formules chimiques des herbicides... Tous ces détails techniques sont importuns et épuisants et ne s'adressent qu'à l'élite diplomée, voyons!

Maintenant, qu'il y ait aujourd'hui encore des "gamins" de 15 à 25 ans tout autant passionnés par les TGV's, Traxx et autres rames Bombardier ou Flirt, c'est bien évident et même rassurant.

Je constate toutefois une proportion non négligeable, parmi ces jeunes, de "branchés" 6500's ou 72000's, quand leur dévolu ne se jette pas plutôt sur de vénérables rames inox de banlieue… Et si d'aventure quelques-unes de ces jeunes recrues ferroviphiles rencontrent la vapeur lors d'une manifestation ou un train spécial quelconque, il est alors émouvant d'observer comme leur degré d'émoi et tout à fait comparable au notre…

En outre, étant assidu à la lecture mensuelle de Ferrovissime, je ne manque jamais le moindre "scoop" sur l'évolution de la technologie et spécialement de la sortie de nouveaux matériels, comme récemment les productions wagons de l'ex Arbel Fauvet Rail. Je suis alors trop content de vérifier qu'il y a encore quelque emploi français dans ce domaine! Je ne peux toutefois m'empêcher de comparer les effectifs des ateliers industriels d'aujourd'hui à ce qu'ils furent dans un passé récent. Lorsque je lis les "papiers" de la revue L'Usine Nouvelle, en moyenne, ce sont des chiffres de l'ordre de 200 à 450 employés là où l'on dépassait allègrement les 800 à 1200 il y a trente ans! Données à comparer, un : aux disparitions massives de sites de production, deux : aux 50 devenus 65 millions de citoyens! Il y a comme qui dirait un "malaise" évident dans cette contradiction flagrante qui nous fait généralement conclure : "il n'est plus du tout concevable d'aller ailleurs que dans le mur!"

Avec le temps tout change, c'est normal, c'est le "progrès" dit-on. Ouais!

Entre mes oreilles raisonnent aussi les mots de Léo Ferré:

-"Avec le temps, avec le temps va…"

Gageons alors que je ne puisse jamais chanter Jacques Brel:

- "Adieu le train je t'aimais bien, adieu le train je t'aimais bien tu sais…"

Cordialement, Jean-Michel

Modifié par Jimidi
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J'avais depuis quelques jours l'idée d'ouvrir un sujet sur les premiers contacts avec le rail de notre enfance...Ce sujet m'en dispense.

Un de mes premiers souvenirs est d'être dans un autorail, un Bugatti je crois, on voyait derrière la voie à travers de larges baies, et j'y crevais de chaud!

En train de Dijon à Is-sur-Tille dans une voiture en bois, banquettes du même métal et couloir latéral(?) ou simplement deux compartiments desservis par la même porte.

Un peu plus tard de Is à Marey sur Tille débarqué d'un autorail ressemblant furieusement à un autocar et avec une remorque (à un seul essieu?) pour les bagages...

Habitant près de la gare de Lyon-Perrache, ma mère m'y emmenait souvent achetait un billet de quai et nous allions admirer les locomotives à vapeur 141 P et R, 241P mes souvenirs sont flous.

En revanche grâce à l'amabilité du mécanicien d'un X3800 j'ai pu visiter le poste de conduite et bénéficier du chahut de son moteur (il ne vaut pas celui de l'X2800), je pense qu'il avait succombé au charme de ma mère.

Autres voyages en direction des Hautes-Alpes dans des B10myfi, cette plaque me fascinait par son mystère dans le train poste Paris-Briançon aux arrêts interminables à Valence, à Livron, à Veynes qui n'était pas encore Devoluy mais arrêt buffet.

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Bonjour,

...

En train de Dijon à Is-sur-Tille dans une voiture en bois, banquettes du même métal et couloir latéral(?) ou simplement deux compartiments desservis par la même porte.

Un peu plus tard de Is à Marey sur Tille débarqué d'un autorail ressemblant furieusement à un autocar et avec une remorque (à un seul essieu?) pour les bagages...

Habitant près de la gare de Lyon-Perrache, ma mère m'y emmenait souvent achetait un billet de quai et nous allions admirer les locomotives à vapeur 141 P et R, 241P mes souvenirs sont flous. ...

Merci Black5 de partager ces souvenirs. Souvenirs qui illustrent effectivement le "pourquoi l'on aime ces trains là plutôt que d'autres". De bien beaux souvenirs que ceux que tu décris.

Mais voilà, comme tu le dis si bien, les souvenirs sont flous...

C'est bien mon cas, concernant la tendre enfance : j'ai quand même pris le train à l'occasion de vacances avec ma très chère Grand-mère. C'était essentiellement pour nous rendre chez mon Oncle mineur et ma Marraine à Calonne-Ricouart ou encore plus rarement à Bray-Dunes. Et là, j'ai bien souvenir de panaches impressionnants, limite terrorisant vu d'un petit, à l'instar de la cloche d'annonce sur le quai de Calonne qui pour moi faisait un vacarme effrayant! De même, j'ai le souvenir un peu plus net d'avoir admirer un ABJ3 "bigouden" avec son énorme radiateur en gare de Lille avant d'y monter ou encore des célèbres voitures Nord à portières latérales et leurs drôles de poignées. L'attente du départ dans ces voitures où l'on attendait aussi impatiemment que la machine soit mise en tête et fournisse la vapeur pour le chauffage! C'étaient de vraies glacières ces voitures, en décembre, à Lille... heureusement, je m'asseyai face à ma Grand-mère qui me prenait tendrement mes petits pieds déchaussés sous ses jupes. Et quelle était la locomotive débouchant de la courbe en provenance de Saint-Pol à Calonne? Aucune idée si ce n'est des suppositions alimentées plus tard par la documentation: très probablement une des fameuses et corvéables 2-230D qui assuraient encore à l'époque ce type d'omnibus et cette ligne en voie unique de Béthune à Saint-Pol.

Et c'est bien "ce flou" qui est frustrant…

Jean-Michel

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Invité duraille

... et le matin du jeudi 19 avril 1990, ... un lama en gare de Toury (28) ...

Les clients qui attendaient les omnibus, courraient sur les quais pour attraper le lama échappé d'un cirque ... et finalement, ils l'ont attrapé et attaché à un lampadaire de la voie 1bis, par la corde qu'il avait encore ! ... du grand spectacle !

J'étais chef de service en gare ce matin là, ... souvenir, souvenir ... :Smiley_15: !

(message modifié, car j'ai retrouvé la date dans mes archives)

Nous avec les vaches qu'on a de temps à autre sur nos quais (à Ancenis encore il y a quelques jours) on se sent plus modestes, d'un coup ! :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

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