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Affaire Mohamed Merah : Parachutistes et Ecole Ozar-Hatorah de Toulouse


Pascal 45

Messages recommandés

C’est évidemment totalement démagogique. De toute manière n’importe qui peut consulter n’importe quoi au travers des anonymisateurs…

C’est un peu vouloir soigner la tuberculose avec des pastilles Vichy.

Modifié par Arlanda express
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On peut poser des questions sans être persuadé que la police et la gouvernement ont monté l'affaire de toutes pièces.

on ma mal compris il est mort donc pas de reponse a quel parcours,quelle rencontre et ou , comment a t'il eu ses armes etc.

par contre je pense que l'on pouvait le prendre vivant , affaire d'état , non quand même ça serai gros

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Il ne s'est pas laisser prendre vivant, a t'il fait en sorte de se faire tuer les armes à la main? il l'avait dit il l'a fait.

Je n'admire pas ce genre de combatant, mais en attendant il a réussi son coup, attendons quelques jours, on comprendra la zizanie voulue par ces mouvances terroristes dans cette période électorale.

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Invité Gnafron 1er

pour en parler avec autant d'autorité, tu as été toi-même formé "djihadiste" ???

Non ......................mais j'ai une idée du salafisme (je ne m'étendrai pas )

Et comme bon nombre de gens , j'ai une petite idée de comment sont formés les extrémistes , l'embrigadement qu'ils subissent etc...l'histoire en est pleine .

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Non ......................mais j'ai une idée du salafisme (je ne m'étendrai pas )

Et comme bon nombre de gens , j'ai une petite idée de comment sont formés les extrémistes , l'embrigadement qu'ils subissent etc...l'histoire en est pleine .

L'histoire en est pleine et il paraît que même le Boukistan n'est pas épargné.

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Invité Gnafron 1er

L'histoire en est pleine et il paraît que même le Boukistan n'est pas épargné.

On en est qu'à la catapulte ....et à la sarbacane en os de bison ...w o u a r f !

Donc , terrorisé avec une sarbacane relève de la science fiction .

Pas de scooter , juste des pédalos et des vélos .

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Invité Gnafron 1er

Mohamed Merah : les services de renseignement ont-ils failli ?

Par Le Nouvel Observateur

Les critiques pleuvent sur la DCRI - notamment - qui n'a pas réussi à empêcher Mohamed Merah de commettre des attentats alors qu'il était recherché.

La surveillance des réseaux islamistes radicaux exercée par le renseignement français a été critiquée –notamment par

Marine Le Pen

et Jean-Pierre Chevènement- après la révélation que Mohamed Merah suspecté de sept meurtres était suivi par ces services depuis plusieurs années.

Sévère, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a estimé qu'il fallait faire la lumière sur une "éventuelle faille des services de renseignements dans la surveillance de Mohamed Merah", même s'il a défendu l'administration. La DCRI, fusion de la DST (direction de la surveillance du territoire) et des RG (renseignements généraux) en prend pour son grade. Alors qu'elle dispose de tous les moyens nécessaires pour enquêter dans les meilleures conditions, elle n'a pas réussi à empêcher les tueries. Est-elle responsable ? Pourquoi Mohamed Merah n'a-t-il pas été arrêté alors qu'il était surveillé depuis 2011 ?

Mohamed Merah avait déjà été repéré par les services

Condamné à quinze reprises, Mohamed Merah présentait un "profil violent", des "troubles du comportement quand il était mineur, compatibles avec l'extrême violence".

Le Toulousain a été détenu deux ans de 2007 à 2009, condamné à un mois de prison ferme pour conduite sans permis, et effectué deux voyages suspects en Afghanistan et au Pakistan... le moins que l'on puisse dire c'est que le CV de Mohamed Merah ne passe pas inaperçu.

Le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a assuré que la poignée de djihadistes français recensés par les services de renseignements étaient "tous surveillés".

En effet, Mohamed Merah avait attiré l'attention des services. Après ses deux voyages en 2010 et 2011, - dont l'Afghanistan, le Pakistan, les forces américaines et de l'Otan disent n'avoir aucune trace - le jeune homme est fiché par les renseignements en 2011. Il est alors soupçonné d'appartenir à l'islamisme radical. Son frère Abdelkader, 29 ans, a lui aussi été inquiété dans une filière de djihadistes en Irak sans avoir été mis en examen. Mohamed Merah est alors convoqué en novembre 2011 par un service régional de renseignement intérieur pour connaitre le motif de ses voyages. Il explique alors y être allé pour faire du tourisme.

Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a admis que le jeune homme était, comme les quelques dizaines de "djihadistes" de retour, surveillé depuis quelques années. Il a expliqué que c'était la procédure normale pour beaucoup de personnes qui se sont "engagées dans le radicalisme islamiste".

De plus, depuis les attentats du 11 septembre, les services de renseignements ont redoublé d'effort pour prévenir le terrorisme. "Jusqu'en 2001, les services secrets étaient dans une méconnaissance des structures djihadistes. Après il y a un resserrement et il y a eu une vaste surveillance des mosquées et des imams", rappelle Samir Amghar, auteur de "Le salafisme aujourd'hui. Mouvements secteurs en Occident" (Ed.Michalon 2011).

En effet, la France a mis en place une surveillance des imams et prédicateurs islamistes radicaux, qui risquent des poursuites s'ils sont français, et l'expulsion s'ils sont étrangers. Depuis 2005, des pôles régionaux, sous l'autorité des préfets, contrôlent salles de prière, commerces, cafés susceptibles de servir de lieux de financement ou de prosélytisme.

Si rien ne permet encore de savoir comment Mohamed Merah a basculé dans la violence, les moyens mis en oeuvre pour éviter les attentats auraient dû pousser la DCRI a plus de vigilance face au cas Mohamed Merah.

"Notre mission est de repérer les fanatisés et de les purger"

Claude Guéant a aussitôt pris la défense de la DCRI, notant que rien ne permettait de "penser qu'il préparait une action criminelle". Il a expliqué qu'"arrêter quelqu'un qui professe des idées salafistes, c'est absolument impossible. Il n'y a aucune base juridique (...) En France, il n'y a pas de flagrant délit d'opinion et c'est tant mieux".

Pourtant, Bernard Squarcini, le chef de la DCRI, avait dans une interview au "Figaro" affirmé que "avec la DGSE, la DCRI [pêchait] à la fois de manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, mais aussi au harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, n'appartenant à aucune cellule.

Notre mission est de les repérer et de les "purger" au plus vite, avant qu'ils ne commettent l'irréparable." Dans cette interview, il explique en détail l'interpellation préventive de deux personnes, dont l'une au moment où elle se procurait des armes sur Internet.

Pourquoi les service de renseignements n'ont-il pas détecter que Mohamed Merah se procurait des armes ? Un arsenal important a été retrouvé dans l'appartement où il s'est retranché.

Une cellule dormante à lui tout seul, donc plus difficile à repérer

"Nous n'avons aucun élément" permettant de rattacher Mohamed Merah "à une organisation quelconque sur le territoire", a dit aussi le procureur de la République de Paris François Molins, parlant de son "profil d'autoradicalisation salafiste atypique". "Il est allé en Afghanistan sans passer par les filières connues, par ses propres moyens, sans passer par les facilitateurs et les pays surveillés", a expliqué le procureur.

Pourtant le profil de Mohamed Merah est certes "atypique" mais pas méconnu. Il est ce qu'on peut considéré comme une "cellule terroriste dormante" autonome. A cet égard, il aurait dû être une cible prioritaire de surveillance. Gilles Kepel explique que depuis la mort de Ben Laden, Al-Qaïda est encore moins centralisé. "Un militant islamiste post-Al Qaïda, Abou Moussab al-Souri, qui a écrit "Appel à la résistance islamique mondiale", 1.500 pages publiés sur Internet, considère que le djihad peut être 'individuel avec de toutes petites cellules terroristes'.

L'idée c'est que des cas endoctrinés vont pouvoir fonctionner de manière quasi-autonome. Les attaques dispersées sont alors une phase initiale qui vise à déstabiliser l'ennemi." Des cellules qui ont aussi l'avantage d'être plus difficilement détectables.

En 2010, on comptabilisait 14 Français dans la zone pakistano-afghane

Les moyens d'action de Mohamed Merah s'inscrivent parfaitement dans cette approche et difficile d'imaginer que les services de renseignements ignoraient ce type d'actions. En février 2011, le "Figaro" publie des notes confidentielles de la DCRI qui révèlent que la zone pakistano-afghane, est la "première pourvoyeuse de menaces" contre l'Europe, continue d'attirer "les volontaires au combat, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d'une centaine d'individus". Selon la DCRI, "la présence de 14 Français a été signalée en 2010" dans les camps jihadistes de la région.

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On en est qu'à la catapulte ....et à la sarbacane en os de bison ...w o u a r f !

Donc , terrorisé avec une sarbacane relève de la science fiction .

Pas de scooter , juste des pédalos et des vélos .

François (H ! pas B !))

sors de ce corps !!!!

C’est un peu vouloir soigner la tuberculose avec des pastilles Vichy.

ah bon ça marche pas ? fallait leur dire en 40

:jesuisdehors:

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dernière nouvelles il aurait pris une balle dans la tête !!!! l'emploi de gaz paralysant fait mal a la tête mais ne tue pas !!!!

  • J'adore 1
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Invité Gnafron 1er

Rappel :

Quand les policiers sont arrivé le 1er jour , vers 3/4 h du matin .....qui a tiré le 1er ?

Légitime défense (définition)

Est en état de légitime défense une personne qui riposte à une atteinte immédiate et injustifiée à sa personne, à autrui ou à ses biens, à condition que les moyens de défense soient proportionnels à la gravité de l'atteinte. Dans ce cas, sa responsabilité pénale n'est pas retenue pour les atteintes qu'elle a pu elle-même causer en état de légitime défense.

Source : Minist. de la Justice

Je crois que la prochaine fois , il va falloir que la police fournisse :

- sandwich , boisson et bon de saillie ....avant toute intervention

Modifié par Gnafron 1er
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L'avis d'une magistrate

22/03/2012 à 16:28

Assaut contre Merah : "une violation du code de procédure pénale", selon Joly

La candidate écologiste à la présidentielle Eva Joly a dénoncé jeudi le rôle du ministre de l'Intérieur Claude Guéant dans l'assaut contre le tueur Mohamed Merah à Toulouse, y voyant "une violation du code de procédure pénale".

"Qu'a fait le ministre sur place en commentant en permanence, heure par heure, ce qui se passait ? Il a créé de la confusion. Quel est son rôle ? Ce n'est pas lui qui dirige les opérations ! C'est une violation du code de procédure pénale !", a lancé l'ancienne juge d'instruction dans une interview à Radio Orient. Selon elle, "ces opérations auraient dû être dirigées par un juge, à l'extrême limite par le Parquet".

"J'ai été magistrate pendant plus de vingt ans (...) J'ai eu à faire face à des prises d'otage. Et j'ai appelé le Raid ou le GIGN. Je connais leur pertinence, je sais qu'on peut leur faire confiance, mais c'était moi qui dirigeais les opérations et non pas le ministre", a argumenté Mme Joly.

"En matière criminelle, l'instruction est obligatoire. Le premier meurtre remonte au 11 mars. Le délai raisonnable pour ouvrir l'instruction est déjà fini. En tout état de cause, le ministre n'y a pas sa place", a-t-elle également jugé.L'enquête a été menée sous le régime de la flagrance qui donne, tout au long des 16 jours qui suivent la commission des faits, des pouvoirs élargis à la police, notamment en matière de perquisition.

Pour la candidate d'EELV le rôle du ministre "créé la suspicion sur le mode d'interpellation choisie". "Les citoyens peuvent se demander pourquoi est-ce qu'ils n'ont pas choisi d'interpeller Mohamed Merah lorsqu'il sortait de son immeuble et qu'il prenait son scooter ? On aurait peut-être pu le faire avec beaucoup moins de déploiement de moyens. Est-ce qu'il n'y avait pas là une arrière-pensée politique ?", a-t-elle demandé.

Si M. Guéant "était resté Place Beauveau, on aurait laissé le Procureur de Paris, M. Molins, agir ou le juge en charge de l'enquête. Parce que le ministre était là, on peut se dire peut-être qu'il y a eu une forme de mise en scène", estime Mme Joly.

Modifié par BB4100
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Invité Gnafron 1er

Les Gaz anésthésiants sont illégaux en France

FRANCETV info

Toulouse : "La décision d'intervention est d'abord politique"

De 2000 à 2011, Christophe Caupenne a été négociateur au Raid, une unité d'élite de la police nationale. Il est titulaire d'un Master 2 professionnel d'expert en négociation et en situation de crise. Il est aussi diplômé en criminologie appliquée à l'expertise mentale. Auteur du livre intitulé
Négociateur au Raid
(éditions du Cherche-Midi), il décrypte pour FTVi les opérations toujours en cours, jeudi 22 mars, pour interpeller Mohamed Merah, l'auteur présumé des tueries de Toulouse et Montauban,
.

FTVi : Pour un ancien du Raid, interrogé par Le Monde, le verdict est sans appel : l'opération "a merdé." Etes-vous de cet avis ?

Christophe Caupenne : Non, je ne vois pas de quel point de vue on pourrait dire cela. Pour moi, les choses suivent leur cours. Cela dure parce qu'on le veut vivant. Or, on le sait, l'homme est particulièrement déterminé, lourdement armé et dit maintenant qu'il veut "mourir les armes à la main".

Les lieux n'offrent pas de complexité d'intervention particulière : il s'agit d'un faux rez-de-chaussée [un entresol] et non pas d'un appartement situé par exemple au 10e étage, ce qui rendrait l'opération plus complexe. On pourrait donner l'assaut mais la décision d'intervention est d'abord politique. Elle sera lourde de conséquences si l'homme est tué.

FTVi : Pourquoi la police n'a-t-elle pas cueilli le suspect à la sortie de son appartement ?

C. C. : Je pense que, dans l'esprit des responsables, les conditions de sécurité que les forces de l'ordre souhaitaient mettre en place les ont conduites à une stratégie de l'encerclement et non pas d'une interpellation dans la rue avec tous les risques que cela comporte, à savoir une possible fuite du suspect ou une fusillade qui aurait pu faire des victimes parmi les civils ou les policiers.

FTVi : Pourquoi les policiers n'ont-ils pas recours à un gaz neutralisant ?

C. C. : Parce que c'est d'un emploi compliqué. D'abord en France, c'est illégal. Il existe toute une jurisprudence à ce sujet et elle ne nous permet pas d'utiliser ce type d'arme, car en fait, c'en est bien une. Il faut savoir en effet qu'utiliser ce qu'on peut appeler un anesthésiant revient en réalité à prendre le risque de tuer la personne. Car, en fait, on doit contrebalancer, dans le même instant, l'effet neutralisant du produit utilisé par l'ajout de substances chimiques qui donnent un surcroît d'énergie à la personne visée. Et là encore, imaginez qu'on n'y parvienne pas et que Merah décède...

FTVi : Pourquoi le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) n'intervient-il pas ?

C. C. : En fait, le GIGN et le Raid utilisent les mêmes savoir-faire, les mêmes techniques d'intervention. Nos confrères de la gendarmerie feraient la même chose que nous.

FTVi : Pourquoi ne procède-t-on pas de la même manière qu'aux Etats-Unis, où les interventions sont en général plus "musclées" ?

C. C. : Tout tient à la procédure d'intervention. Là-bas, les négociateurs reçoivent un mandat qui est, le plus souvent, limité dans le temps. C'est une procédure linéaire où, pendant un délai donné, le négociateur fait son travail tant qu'il semble utile de le faire. Mais si les revirements sont nombreux ou si des éléments nouveaux et imprévus surgissent, le chef des opérations, d'un commun accord avec le négociateur, lève ce mandat et passe la main au groupe d'assaut. Dans ce cas, il n'est plus question de négociation mais de neutralisation rapide de la personne visée.

En France, nous cherchons à épuiser le forcené, à le déconditionner mentalement, à le faire "atterrir" peu à peu et cela peut prendre beaucoup de temps. Rappelons que la prise d'otages à la maternelle de Neuilly-sur-Seine, en 1993, avait duré 46 heures. Et le record s'élève à 48 heures de négociation, dans un établissement pénitentiaire.

Propos recueillis par Hervé Brusini

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Peut-on clore le sujet puisque la mort a surpris le justicier casqué et débile.

J'ai peur de débordements dans un avenir proche.

Le ministère de l'Intérieur est intervenu pour faire fermer une «fan page» sur Facebook d'«hommage» à Mohamed Merah, ouverte peu après la mort de l'auteur des sept meurtres à Toulouse et Montauban.

http://www.tdg.ch/monde/europe/fermeture-page-facebook-hommage-mohamed-merah/story/29356090

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en dehors de toute cette technique, une question :

comment un jeune homme de 23 ans en est arrivé à préférer se faire tirer comme un lapin plutôt que de se rendre, et pourquoi il a commis ces crimes ?

Quand j'avais 23 ans, j'avais plein de projets, trop même, entre cheminot, pilote, chercheur, partir en coopération etc .. etc ...

Quelle société peut amener quelqu'un à cette impasse, au bout de laquelle sa vie s'est terminée ?

Ce n'était pas inscrit dans ses gênes, ni dans ceux de sa mère, pas plus qu'il y n'avait la réussite dans les miens !

de petit larcins en gros larcins, de petite violence en grosse violence, la prison, où il a fait des rencontres dont on ne peut admettre qu'elles puissent être tolérées .

beau résultat de cette politique d'emprisonnement que de transformer un simple voyou en disciple du néant !

beaux alliés que ce Pakistan et cet Afghanistan, pays de misère où l'action des occidentaux n'a conduit qu'à laisser leurs peuples dans une crasse séculaire !

M ...... !

Modifié par 5121
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Invité Gnafron 1er

en dehors de toute cette technique, une question :

comment un jeune homme de 23 ans en est arrivé à préférer se faire tirer comme un lapin plutôt que de se rendre, et pourquoi il a commis ces crimes ?

Quand j'avais 23 ans, j'avais plein de projets, trop même, entre cheminot, pilote, chercheur, partir en coopération etc .. etc ...

Quelle société peut amener quelqu'un à cette impasse, au bout de laquelle sa vie s'est terminée ?

Ce n'était pas inscrit dans ses gênes, ni dans ceux de sa mère, pas plus qu'il y n'avait la réussite dans les miens !

de petit larcins en gros larcins, de petite violence en grosse violence, la prison, où il a fait des rencontres dont on ne peut admettre qu'elles puissent être tolérées .

beau résultat de cette politique d'emprisonnement que de transformer un simple voyou en disciple du néant !

beaux alliés que ce Pakistan et cet Afghanistan, pays de misère où l'action des occidentaux n'a conduit qu'à laisser leurs peuples dans une crasse séculaire !

M ...... !

Oui mais bon .......ça n'excuse rien .

Du terrorisme , il y en avait si on se souvient bien et pas forcément venant de gens "miséreux " ......

Oussama B.L n'était issu des cités pauvres .

Modifié par Gnafron 1er
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Oui mais bon .......ça n'excuse rien .

Du terrorisme , il y en avait si on se souvient bien et pas forcément venant de gens "miséreux " ......

ai-je parlé d'excuses ?

est-ce du terrorisme (organisé) ou bien du déraillement (inorganisé) ?

Modifié par 5121
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le tuer c’était en faire un martyr BINGO c'est gagné!j'ai peur que la précipitation policière ait pris le pas sur le temps certes souvent long mais nécessaire de la justice

C'EST LA GRANDEUR DES DÉMOCRATIES DE METTRE LA JUSTICE AU DESSUS DE TOUTES LES VALEURS

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Invité Gnafron 1er

ai-je parlé d'excuses ?

HEUREUSEMENT QUE NON bigbisous

est-ce du terrorisme (organisé) ou bien du déraillement (inorganisé) ?

Les 2 .....................à mes yeux

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le tuer c’était en faire un martyr BINGO c'est gagné!j'ai peur que la précipitation policière ait pris le pas sur le temps certes souvent long mais nécessaire de la justice

C'EST LA GRANDEUR DES DÉMOCRATIES DE METTRE LA JUSTICE AU DESSUS DE TOUTES LES VALEURS

Ils n'attendais que cela! ce soir, c'est une grande défaites de la lutte anti terroriste, il est rare que ses gens là se laissent prendre vivants, ils savent beaucoups trop de choses et ne doivent pas tomber aux mains des services de renseignement.

mais notre GVT et son président en tête se sont encore positionnés en " sauveurs " en mettant hors de nuire l'assasin ! hic!

Il est à craindre des représailles futurs. Ces terroristes là agissent de plus en plus souvent seul car ils sont plus facilement " oubliable " qu'un groupe en se fondant dans la société et en agissant par surprise ( pas facile de monter un 11 sseptembre bis ). La france à pourtant des exemples avec ce qui se passe en afghanistant au seins de la police ou l'ANA.

mais bon, les raisons politiques notament en périodes électorales me dépassent complètement.

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Mohamed Merah, homonyme du tueur, 23 ans, d'origine algérienne, comme le tueur.

Lui et ses proches sont harcelés par internet et au téléphone depuis que l'identité du tueur a été diffusée :

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_--Je-m-appelle-comme-le-tueur-de-Toulouse.-Ma-vie-est-devenue-un-enfer-_39382-2058188_actu.Htm

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Invité Gnafron 1er

«Merah n’a pas été adéquatement surveillé»

INTERVIEWFrançois Heisbourg, expert des questions de sécurité, analyse le renseignement en France :

Recueilli par ALEXANDRA SCHWARTZBROD (Libération)

Spécialiste reconnu des questions de défense, François Heisbourg vient de publier Espionnage et Renseignement (Odile Jacob), un livre dans lequel il détaille les enjeux auxquels le renseignement doit faire face, dont le terrorisme. Pour lui, le danger que représentait Merah «n’était pas déterminé par sa croyance mais par son errance».

Quel enseignement tirez-vous de l’affaire Merah sur le renseignement français ?

Deux éléments m’ont fait réagir. D’abord la lecture d’un article très détaillé, dans un quotidien, sur les errances du tueur aux confins de l’Afghanistan et du Pakistan, alors qu’on ne savait rien sur lui, un récit qui semblait nourri aux meilleures sources du renseignement. Je me suis dit : voilà un type qui a le profil du jihadiste et on ne s’est pas davantage intéressé à lui… Ensuite, je m’interroge quand j’entends les procureurs de Paris et Toulouse dérouler l’enquête en expliquant qu’ils n’avaient pas l’adresse du suspect. Or il semble que la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) l’a interrogé à l’automne et en a conclu qu’il n’était pas dangereux… Comment a-t-il été contacté si on n’avait pas son adresse ?

Ses voyages en Afghanistan et au Pakistan auraient-ils dû alerter ?

Ce profil est très rare. Il n’y a que quelques petites dizaines de Français à avoir fait le voyage en Afghanistan, et pas plus de quelques unités en Midi-Pyrénées. On se demande donc pourquoi on ne s’est pas davantage préoccupé de lui ! On peut à la limite le comprendre avant les meurtres de Toulouse et Montauban - ça me surprend mais ne me choque pas. Mais après ? Cela signifie soit que les services concernés sont dans une misère noire, soit qu’ils n’ont pas fait leur boulot ! Le premier assassinat pouvait certes passer pour un fait divers mais quand il apparaît que c’est le même mode opératoire, le même calibre et sans doute le même homme, cela signifie qu’on est dans une affaire hors norme qui implique qu’on dégage des moyens hors norme !

De plus, deux présumés jihadistes solitaires pouvaient servir d’exemple : un chercheur du Cern qui avait travaillé en Afghanistan et voulait s’en prendre - avec son frère, similitude troublante - à la 27e brigade de chasseurs alpins à Chambéry, en 2009 ; et un type de Nancy, «révélé» par les Libyens du temps de Kadhafi, qui voulait s’en prendre au 13erégiment de parachutistes de Dieuze en Lorraine, en 2007. Deux cas dûment répertoriés et médiatisés, ciblant des militaires ! Et là, on a quatre militaires révolvérisés dans deux opérations distinctes et on ne s’intéresse pas au profil ?

On ne peut pas surveiller les gens sur leur croyance, mais Mohamed Merah ne semble avoir été surveillé ni en amont ni, surtout, en aval. D’autant que son profil n’était pas déterminé par sa croyance, mais par son errance.

Il semble avoir été très bien formé…

C’est une autre interrogation. Dans les opérations terroristes récentes, le seul événement où je trouve un niveau de compétence aussi terrifiant, ce sont les commandos de Bombay qui avaient reçu une formation d’élite au Pakistan. Là, notre «loup solitaire» fait ce que les pires mafieux n’oseraient pas faire, il garde seul la maîtrise de son engin, et conduit ses expéditions avec un calcul, une absence d’hystérie jamais vue. Même les terroristes du 11 Septembre étaient plus énervés ! Il a donc reçu une formation de premier ordre ! Qui l’a formé et dans quelles circonstances ? C’est pour avoir la réponse qu’il le fallait vivant, pour connaître le niveau et la qualité de dangerosité de ceux qui ont fait la même formation !

La réforme du renseignement français opéré ces dernières années est un échec ?

A ce niveau-là, je ne me lancerai pas dans la spéculation. Mais je reprends à mon compte l’idée qu’il faut créer une «DGSI» (Direction générale de la sécurité intérieure) sur le mode de la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure), qui dépendrait directement du ministre de l’Intérieur. Alors qu’aujourd’hui la DCRI - fruit de la fusion des Renseignements généraux et de la DST - dépend de la Direction générale de la police nationale. La logique voudrait qu’une DGSI ait des relations de même type avec la gendarmerie d’un côté et la police de l’autre. Cela dit, la fusion des RG et de la DST au sein de la DCRI, malgré leurs cultures différentes, a permis de rationaliser le système et d’établir des passerelles entre les services. Je ne pense pas qu’il faille la défaire, mais plutôt élargir le spectre pour avoir une DGSI qui inclurait la DCRI, les RG de la préfecture de police et qui aurait son autonomie budgétaire comme la DGSE.

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