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Elles avaient pourtant belle allure en tête des beaux trains partant ou arrivant à Paris Est, leur fin de vie en TER a été une déchéance, c'est aussi le progrès brûler ce qui a été adoré.

Hexafret va bientôt demander à SNCF Réseau de créer une sous filiale spécialisée dans le débroussaillage.

"Diminuer les "frais de structure" de la maison mère" tout le monde est d'accord sauf le personnel de la maison mère (ceux d'en haut) chargé de préparer la politique de l'entreprise et constamment débordé faute de personnes en nombre et compétences suffisantes pour l'appliquer dans les filiales à ceux -d'en bas.

Toutes les OS? Ce n'est pas ce que présentaient les médias au moment des grèves et des réformes y compris sous les gouvernements socialo-communistes de la période Jospin.

Les syndicats "compréhensifs" ne disent rien, cette disposition est conforme à la concurrence et la libre circulation des personnes et des marchandises au sein des pays membres de l'Union européenne. Dispositions acceptées par la majorité des français au travers des votes et référendums sur les sujets de l'organisation de l'Union européenne, référendum de 2005 excepté, habilement corrigé en Congrès à Versailles.

Faudra soumettre cette situation au prochain PDG de SNCF, il s'y connaît en train et avec le dialogue social ça va le faire.

Si on comprend bien les arguments de SNCF Réseau, faire circuler une poignée de trains de fret le nuit souvent opérés par des concurrents privés de SNCF est prioritaire par rapport aux usagers des trains Rémi de la région Centre Val-de-Loire et des trains de la ligne POLT au sud d'Orléans. Cette ligne entre Etampes et les Aubrais est un corridor fret européen, les usagers des trains de jour n'ont vraiment plus beaucoup d'occasions de croiser ou dépasser des trains de marchandises sur les 3 voies de la ligne en travaux.

C'est quoi le gri-gri vert sur la porte de la cabine?

L'ancien Directeur Général de La Caisse des Dépôts et Consignations, actuellement ministre de l'Economie et des Finances, doit avoir une idée des raisons ayant conduit à la vente de Transdev. Forcement pour la bonne cause et pour le développement international de Transdev. Ce qui éloigne des TER ZOU! préoccupation majeure de R. Muselier et des usagers partageant les conditions de transport dans la région Sud.

Et quelques euros des contribuables de la région qui empliront les caisses des actionnaires allemands de Transdev. On peut faire confiance aux dirigeants allemands de Transdev pour défendre la qualité allemande et leurs intérêts.

Un jour arrivera où un train Transdev Zou mettra bien en retard d'autres trains Transdev Zou, ça va finir par devenir compliqué cette exploitation et l'imputation des désordres et des retards aux opérateurs responsables. Du boulot pour des avocats et des cabinets d'experts du ferroviaire, finalement des emplois créés à haute valeur ajoutée invisible par les voyageurs des trains Zou.

Ce n'est pas une bataille du rail, Trenitalia est un client de SNCF Réseau et fait valoir ses droits dans le cadre de la concurrence libre et non faussée. À SNCF Voyageurs de concurrencer Trenitalia et les opérateurs qui interviennent en France, SNCF Voyageurs dispose du potentiel et bénéficie de remises si elle se lance sur de nouveaux réseaux. Tout cela dans l'intérêt des voyageurs toujours plus nombreux pour voyager aux meilleurs prix, un des objectifs de la concurrence.

Si c'est utile pour les voyageurs, c'est une bonne nouvelle. Pour ma part, j'ai toujours préféré les petits numéros, réservés aux trains Express, Rapides devenus au fil du temps des TER à cinq chiffres proches des numéros réservés aux derniers trains de fret.

Ce qui est rassurant c'est que la Commission Européenne et sa présidente veillent à la concurrence libre et non faussée comme cela a été fait pour normaliser la situation du fret ferroviaire en France. Les services issus des entreprises publiques n'ont qu'à bien se tenir, Ursula et ses fonctionnaires y veillent.

Tout à fait d'accord. "Quand tout le monde pense pareil, il est grand temps de commencer à réfléchir".

Avant c'était la SNCF. Maintenant c'est Rémi, la région Centre - Val-de-France qui commande les trains et a préféré, en accord avec SNCF Réseau, laisser passer une poignée de trains de fret la nuit dans un couloir européen (d'Etampes aux Aubrais) et remplacer les TER-Rémi avec des trains à deux niveaux entre 9 heures et 17-heures par des autocars de Paris Austerlitz à Orléans, sans réservation. Des vrais professionnels du transport régional les fonctionnaires de la Région, qui au passage va faire de belles économies et contribuer au sauvetage de la planète en laissant circuler la nuit des trains de fret Diesel sous lignes électrifiées, comme on en voit régulièrement tirés par des Class 66 ou Euro 4000 fumantes et trépidantes. La SNCF justifiait dans les années 1970 la construction de la troisième voie entre les Aubrais et Etampes pour permettre des travaux et assurer la régularité des trains, encore une promesse évaporée dans la réalité des faits.

Je ne fais pas de théorie, j'observe comment fonctionne une entreprise avec des actionnaires (la famille Rethmann majoritaire) qui attendent des dividendes, les dirigeants de Transdev ne le disent pas trop et préfèrent communiquer sur "le développement économique des territoires". Pour les affaires sous contrôle de l'Etat, chacun peut se reporter aux dernières déclarations du Premier Ministre le 18 juillet 2025 concernant les chiffres de la dette et des déficits publics.

Finalement ça ne change rien, sauf pour les actionnaires de Transdev qui vont se mettre des dividendes dans la poche sur le dos de la Région et de l'Etat qui paieront tout en bons défenseurs des services publics.

Tout à fait. Comme en mathématiques, dans un ensemble E de n éléments distincts, il existe une partie de l'ensemble E qui n'a pas d'éléments.

Les actionnaires majoritaires de Transdev savent faire leurs comptes et ont rédigé le contrat avec les fonctionnaires de la Région Sud et R. Muselier pour s'assurer des profits réguliers et sûrs et verser des dividendes à leurs actionnaires. Les transports et faire des profits, c'est leur métier, et ils ne le font pas depuis les dernières élections mais depuis bientôt un siècle, avec plus ou moins de succès suivant les événements traversés mais toujours l'innovation et la qualité comme guide de gouvernance. Pas de raison de s'inquiéter, en mettant au pot, les trains ZOU! circuleront et les problèmes seront bien un jour ou l'autre réglés, une promesse de R. Muselier grand chef de la Région.

Vu le trafic fret actuel et les perspectives d'évolution, ce pont ferroviaire est parti pour avoir une longue et belle carrière. Un bon point pour le futur de SNCF réseau.

Prévoir une personne de la Communication.

Va falloir expliquer au Ministre des Finances la rentabilité sociale d'un projet LGV et le convaincre de le financer en augmentant la dette qu'il doit réduire pour satisfaire les règles européennes. C'est dans le domaine du possible, et l'impact sur la dette est sans doute faible, peut-être même négligeable.

Dans ces projets récents de LGV, les entreprises de Travaux Publics sont les premières à profiter, les régions, l'Etat et les européens paient "comptant" la construction et ces entreprises ne perdent pas d'argent sur leurs chantiers. C'est tout bon pour les actionnaires et le PIB national. Après pendant 40 ou 50 ans, c'est une autre affaire. On peut penser que si c'était vraiment rentable, au sens taux de profit et retour aux actionnaires, il y aurait des concurrents nombreux pour grignoter le fonds de commerce historique de SNCF. Pour le moment, la concurrence privée est prudente et laisse SNCF Voyageurs annoncer avec ses résultats, sans manifester trop d'envie.

Les Grandes Entreprises des Travaux Publics vivent aussi de la construction et des prolongations des lignes LGV, il y a des milliers ou des millions de tonnes de matériaux à remuer et plusieurs mois ou années de travail pour leurs compagnons et leurs matériels. Des affaires et des marges à la clé! Le Gouvernement va rapidement les entendre pleurer à grosses larmes si SNCF ne commande pas de travaux sur ces nouvelles lignes.