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Le lobby "routier" est souvent aussi un lobby "ferroviaire", au moins au niveau des entreprises de travaux publics intervenant sur les autoroutes, les routes, les plateformes logistiques et les chantiers sur le réseau ferré national.

Sans oublier leboncoin.fr où l'on déniche pleins d'objets "perdus".

Beaucoup plus rapide que la construction de trois kilomètres de ligne de tramway dans la région parisienne.

Vrai, un exemple n'est pas une démonstration. Et plusieurs non plus.

Pas seulement dans des ex républiques "dites" populaires, parlez-en aussi à DSK ou à Pierucci directeur d'Alstom emprisonnés eux aussi dans la plus grande démocratie du monde.

Ca rappelle ID-TGV qui était low-cost "relatif", embarquement séparé en gare, et baristas et voiture zen ou pas zen, disparu corps et âme dans le monde INOUI, avec des hausses de tarifs vertigineuses. SNCF ferait du SNCF tout court que peut-être ça coûterait moins cher et que voyageurs n'auraient qu'u seul système pour voyager. Trop simple pour les dirigeants qui veulent progresser..il y a plus de places à pourvoir dans la complexité des systèmes.

Il faut attendre le devis de SNCF-Réseau, les projections de trafic par les opérateurs ferroviaires, l'avis de la ministre de la Transition écologique, l'impact carbone, les conclusions du débat public et la signature d'une déclaration d'utilité publique pour permettre les expropriations nécessaires à la réalisation du projet. Disons, si tout va très vite cinq ans ou vingt-cinq ans à moins que la Commission Européenne débloque les crédits en urgence absolue (comme pour les vaccins Pfizer-Van-der-Leyen) et que tout roule comme sur une autoroute.

Le tonnage transporté par fer a diminué, certes le bilan est clair. C'est aussi à relier à la désindustrialisation du pays engagée depuis le traité de Maastricht et, pour ce qui est des céréales à relier aux regroupements des exploitations qui expédient de plus en plus directement des fermes sans passer par les organismes stockeurs, souvent connectés au rail.

Les clients ayant des marchandises à transporter sont des clients, comme les clients de Fauchon ou de Lidl, ils veulent avoir le choix de la qualité et du prix. Pareil dans le transport ferroviaire, le choix est plus limité pour le moment.

Certains hommes politiques français osaient dire que c'étaient les américains qui gouvernaient la construction européenne. Propos en l'air ou vérité?

Suffit d'observer comment sont implantées les plateformes logistiques depuis une bonne vingtaine d'années, au bord des sorties d'autoroutes, à la périphérie des villes et villages, pour arriver à la situation du fret ferroviaire qui " tient pas sérieusement la route" comme expliqué ci-dessus. Après, la compétence des dirigeants, souvent plus politiques qu'il n'y paraît, c'est sur les résultats de l'entreprise qu'il faut se prononcer. Valable pour toutes les entreprises dans un monde où la concurrence est libre et non faussée, principe "constitutionnel" de l'Union européenne accepté sans réserve et mis en oeuvre par les dirigeants politiques français.

Le chantier d'Austerlitz va quand même se terminer un jour ou l'autre et les livraisons seront peut être retardées, c'est très à la mode en ce moment.

V. Pécresse sait probablement que 280 hectares en France est une petite ferme et que les fermes de cette taille commencent à disparaître faute d'être rentables. En Ukraine, les fermes sont souvent bien plus grandes, plusieurs milliers d'hectares couramment.

Quels sont les travaux prévus à Paris Est ou sur les voies vers cette gare pour entraîner tous ces détournements? Au-delà des voies réservées pour le futur CDG-Express?

Au moment de ces fameux emprunts russes, le tsar (de toutes les Russies) administrait un pays sur une quinzaine de fuseaux horaires alors que Railcoop peine à traverser deux régions administratives ou moins de dix départements sur moins d'un fuseau horaire.

Entretien écologique avec un troupeau de moutons?

Il faut aussi prendre en compte l'inflation et la baisse du pouvoir d'achat qui n'est pas terminée si l'on entend les propos de Macron et qui ne va pas faciliter les déplacements des habitants des régions où Railcoop pensait faire son beurre avec quelques trains Diesel d'occasion, pas forcément bien en ligne avec l'urgence de la transition climatio-écologique.

Il faut aussi penser au président successeur qui remettra sur le tapis la norme européenne et la retraite à taux plein à 67 ans. Norme ou réforme que les européistes réclament discrètement et que l'urgence dite climatique replacera en pole position quand les inter-syndicalistes seront calmés et bien alignés derrière les objectifs de l'Union européenne. Avec en ligne de mire, les 3% de déficit, mis au coin pour le moment mais très utiles pour "réformer"!

Excessif, certains sénateurs font de belle carrière, restent influents et se portent bien, comme leur Président, deuxième personnage de l'Etat.

Le MEDEF est toujours dans la recherche de la concorde pour maintenir son activité et ses profits à une époque de compétition et de guerre continentale où, contrairement aux propos de Mme E. Borne, il y aura des vaincus et un ou plusieurs vainqueurs. Les organisations patronales et le MEDEF en particulier se voient maintenant en capacité de faire travailler les salariés deux ans de plus. Comme c'est souvent sur les salaires que les marges sont les plus élevées, les entreprises pourront obtenir des profits augmentés sur un plus grand nombre de travailleurs, avec le plein emploi en ligne de mire. Normalement, c'est tout bénéfice pour le MEDEF y compris avec l'aide des syndicats compréhensifs pour rétablir la concorde nationale après l'agitation de cet hiver que la période des vacances va calmer comme c'est souvent le cas. Aux français de se plier de bonne ou mauvaise grâce, jusqu'à une prochaine "réforme". Avec ou sans l'oreille d'un gouvernement pacifique, sans vainqueur ni vaincu.

Proposer pour calmer de revenir aux 35 heures et de payer les heures au-delà de cette limite sans cotisations sociales, les défiscaliser et pourquoi pas abaisser le seuil à 32 heures pour les seniors ou les travailleurs faisant des tâches pénibles. Immédiatement visible sur toutes les feuilles de paie et les feuilles d'impôts pour ceux qui en payent.

On peut penser qu'après un match nul, ni vainqueur, ni vaincu, selon les paroles de la ministre socialiste agissant pour le compte du président des français, des européens et de l'humanité toute entière, jusqu'à Taiwan en passant par la Syrie, l'Ukraine et l'Afrique, il y aura une nouvelle partie ou un match retour, pourquoi pas pour aller à 65 ans puis 67 ans comme le demande l'ancien premier ministre très en vogue ces derniers jours et nombre de dirigeants préoccupés par la situation financière de l'Etat. Aux opposants de se préparer pour le match retour, comme en Champions League. En faisant mieux que le PSG.

Tant que SNCF n'a pas publié de communiqué officiel, ce ne sont que impressions, plus ou moins objectives selon les articles sur cette opération.

attendons, pas trop longtemps. Plus l'attente est longue, c'est qu'il y a encore à faire et que les objectifs ne sont pas vraiment atteints, et la facture finale sera plus lourde que prévue.

Heureusement, pour l'économie et le social, Macron peut s'appuyer sur la paire E. Borne et B. Le Maire, l'expérience et la durée.