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Quel est le dernier livre que vous ayez lu ?


Invité MarcM

Messages recommandés

Invité loupblanc59

J'aimerais bien connaître ceux qui lisent le Capital en entier. J'ai jamais pu l'appréhender ce truc. revoltages

audrey bonjour je crois que si tu arrive à appréhender capital sait vitale

audrey j'ai vu le block de la louve c'est qui c'est toi?car j'ai toujour pas eu la réponse lotrela

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audrey bonjour je crois que si tu arrive à appréhender capital sait vitale

audrey j'ai vu le block de la louve c'est qui c'est toi?car j'ai toujour pas eu la réponse controleursncf

Salut, je ne suis pas la Louve. Je ne sais pas qui c'est.

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Alors les pt'its loups ...

j'ai les dents qui poussent ...

ne serait ce pas la pleine Lune? controleursncf

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Je viens de finir Une histoire populaire des Etats Unis, de 1492 à nos jours, de Howard Zinn. C'est un pavé impressionnant donc, extrêmement documenté et passionnant qui revient sur l'imagerie d'Epinal que s'est créée l'Amérique sur sa fondation et qui est très loin de la réalité. On y voit les luttes de pouvoir, comment les industriels dès le XVII ème siècle ont eu la main-mise sur la politique...

Passionnant.

Maintenant, j'attaque des lectures plus légères!

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Invité MarcM

J'aimerais bien connaître ceux qui lisent le Capital en entier. J'ai jamais pu l'appréhender ce truc. mdrmdr

En entier ...jamais , mais des condencés assez larges = oui ! ça m'a permi de comprendre qu'entre ce qu'à écrit Marx et ce que certains humains ont tenté de mettre en oeuvre , il y a un goufre inimaginable .Humainement , c'est même le contraire .

Ce dont je me souviens et qui m'avait koiquesse :

" Le capitalisme serait un mal nécéssaire afin d'arriver à un socialisme vrai "

Donc , à ceux qui ont fait autre chose en se revendiquant de son idéal ...!

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Invité MarcM

Le grand retour de Karl Marx et de son « Capital »

Par Zineb Dryef | Rue89 |

*

Le monde relit Marx. Les éditeurs constatent un boom des ventes du « Capital ». La bouée des temps de crise ?

L'automne dernier, les éditeurs allemands enregistraient une progression importante des ventes de « Das Kapital » (Premier livre, 1867).

A la foire de Francfort, un professionnel expliquait que cet ouvrage se vendait mieux depuis la début de la crise financière :

« En 2005, j'en ai vendu 500 exemplaires, puis 800 en 2006, et 1300 en 2007. Sur les neuf premiers mois de l'année 2008, j'en suis déjà à 1500. Les chiffres en valeur absolue ne sont pas impressionnants, mais la progression, si. »

Le ministre des Finances allemand lui-même s'est déclaré nouveau lecteur de Karl Marx. Dans une interview accordée mi-septembre à l'hebdomadaire Der Spiegel, il a reconnu que « certaines parties de sa théorie ne sont pas si fausses ».

En France, après Jacques Attali qui s'est interessé à Marx en 2005, Alain Minc, difficilement soupçonnable de marxisme, s'est proclamé « dernier marxiste français ». Comme beaucoup, il relit « Le Capital » en ces temps de crise.

Le Capital de Marx (DR).Si les chiffres sont loin de placer le pavé de Karl Marx en tête des meilleures ventes, « Le Capital » fait un joli retour en librairies. Gallimard l'a réedité au mois de juin 2008 en poche et considère que les ventes sont « bonnes ». Plus de 6000 exemplaires ont été vendus sur un tirage de 8000.

Ce retour s'est amorcé au début des années 2000. « Les Luttes de classe en France », publié par Gallimard en 2002, a été un succès d'édition : 57 000 livres vendus. « A l'époque, plus personne ne voulait entendre parler de Marx », relève Eric Vigne, directeur littéraire du secteur Essai chez Gallimard. Lorsqu'il décide de lancer une réedition du « Capital » en 2008, c'est d'abord pour combler un manque :

« Cet ouvrage majeur était indisponible en poche. Or, c'est un auteur qui mérite d'être lu. Souvent, ce sont des maisons d'éditions militantes qui le donnent à lire, ça peut être rebutant.

Pour le numéro 500 de la collection Folio, j'ai voulu faire un petit clin d'œil avec Marx. L'important pour moi est de donner à lire ce texte de façon neutre, sans interprétation politique. Le principe de cette collection est un retour au texte. »

Eric Vigne reconnaît que le contexte de crise participe au succès du livre mais il souligne que « Le Capital » est avant tout un classique sûr :

« Nous avons publié “Le Léviathan” d'Hobbes il y a quatre ans. Nous avons vendu 45 000 exemplaires. Le succès s'explique par le besoin pour les lecteurs de revenir aux textes plutôt qu'aux publications critiques. »

Si cet engouement pour Marx est trés médiatisé, l'économiste Yann Moulier-Boutang rappelle que ce retour à Marx remonte à plusieurs années, notamment aux Etats-Unis :

« Dès l'instant où l'on a connu des crises graves, à partir de 1997, beaucoup de gens se sont interessés à Marx. En réalité, ce retour est cyclique comme l'a expliqué Daniel Lindenberg dans “Le marxisme introuvable'. Dès qu'il y a un événement grave, on revient à Marx.

Mais il faut s'interroger : à quel Marx retourne-t-on ? Dans les années 60, on s'intéressait au Marx de la lutte des classes. Là, c'est l'analyste des crises du capitalisme qui intéresse, celui qui a analysé la faillite des banques Pereire en 1857, par exemple. »

Le capitalisme cognitif

Face à cette situation, explique Yann-Moulier Boutang, émerge un troisième capitalisme : le capitalisme cognitif. » Le directeur de la revue Multitudes prépare un ouvrage « Société pollen » relatif à cette question.

Dans un article intitulé « Marx au XXIème sicèle : une histoire triste d'adieu au socialisme ou autre chose ? », publié en 2008, Yann Moulier-Boutang évoque une « situation marxienne ». Se disent « marxiens » ceux qui n'adhérent pas au dogme marxiste-léniniste mais qui se réclament de la méthode de Marx, une méthode qui permet de comprendre ce qui est au cœur du capitalisme :

« Ce que l'on croyait être un régime stable apparaît désormais comme totalement instable. Les règles de la finance, le cœur du capitalisme et la finalité de la production sont totalement remises en cause. Aujourd'hui, les antagonismes sociaux sont forts. La situation est suffisamment grave pour ne plus calculer le futur en calculant les traînes du passé.

Il y a des alternatives. La contestation de la stabilité de ce système se superpose à celle des écologistes, plus radicale. On conteste les finalités de la production et on remet en cause la production tout court. »

'Marx, mode d'emploi' de Daniel Bansaïd (DR).Pour éclairer les néophytes, le philosophe Daniel Bensaïd a, lui, récemment publié un « Marx, mode d'emploi ». Dans son introduction, il explique que sa démarche a été motivée par la crainte que la « banalisation médiatique » ne rende « inoffensif celui qui voulut semer des dragons ».

Dans un entretien accordé à Mediapart, il explique que les grands forums sociaux de ces dernières années ressemblent à une « renaissance utopique », à un grand moment de bouillonnement d'idées.

Autre démarche originale, actuellement exposée au Grand Palais (Paris) à l'occasion de la triennale d'art contemporain, la pièce « Le Capital illustré » de l'artiste Jean-Baptiste Ganne. On parle beaucoup de cette adaptation photographique du livre principal de Karl Marx. Lui s'en amuse :

« Une autre de mes pièces, l'ensemble du “Don Quijote” de Cervantès en code morse lumineux et en espagnol, est exposée. Peut-être qu'on y verra “un retour de Cervantès”. »

Jean-Baptiste Ganne a réalisé cette oeuvre entre 1998 et 2002. Quatre années qu'il a consacré à arpenter différents lieux pour y trouver des correspondances avec les grands thèmes du « Capital » : un défilé de mode pour la spectacularisation de l'industrie du textile, un hippodrome pour la circulation de la monnaie… Le résultat est saisissant. Il précise avoir réalisé sa pièce à la lumière des textes de Guy Debord.

Ancien élève du philosophe Etienne Balibar à Nanterre, Jean-Baptiste Ganne a longtemps été fasciné par « Le Capital » :

« C'est un monde en soi. J'ai travaillé sur Marx à une époque où il n'était plus à la mode. Il était mis de côté alors que son analyse est valable. Les outils marxiens permettent de réflechir. Pas plus aujourd'hui qu'hier d'ailleurs. Il n'est pas d'actualité, sa pensée est actuelle.

Les analystes reviennent à lui pour expliquer la crise actuelle mais dans les réponses apportées, j'ai plutôt l'impression d'un retour à Keynes… »

Ailleurs dans le monde, les ventes du Capital connaissent aussi une progression sensible. Au Japon, une version manga romancée du « Capital » est devenue un best-seller. Une comédie musicale inspirée de Marx est en préparation en Chine. Elle mettra en scène des employés qui découvrent que leur patron les exploite.

Maximilien Rubel, célèbre marxien, semble avoir été entendu. Lui qui répétait, dit-on :

« N'écoutez pas les marxistes : lisez Marx ! »

Précisions , Marx n'a écrit que le tome 1 du "capital " .Le reste a été écrit par Engel tiré des brouillons de K.Marx .Car compte tenu de la misère et des maladies qu'il subissait (lui et ses proches )!

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Précisions , Marx n'a écrit que le tome 1 du "capital " .Le reste a été écrit par Engel tiré des brouillons de K.Marx .Car compte tenu de la misère et des maladies qu'il subissait (lui et ses proches )!

Dans le genre sérieux, déprimant et néanmoins instructif, je faire de me faire "La haine de l'occident" de Jean Ziegler, rapporteur spécial de la Commission des droits de l'Homme de l'ONU pour le droit à l'alimentation.

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  • 3 mois plus tard...

PEUR NOIRE, Harlan COBEN

Toujours efficace ! Myron Bolitar, le "héros" reste égal à lui-même !

Un bon livre !

Le guide du retraité...............;;;;;;;!

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Pétanque, pêche, pédalo ? bigbisouslotrela Heu! j'allais oublier le marché du samedi matin ( la semaine tu n'aura pas le temps.

Sans déc...le temps file (pas je t'enfile ... ! - branche ton sonotone et re )), chez moi le marché a lieu4 jours par semaine .

Le Lundi , je répère

Le mardi , j'achète mais j'en oublie la moitié car un autre retraité m'a dévarié

Le mercredi , repos

Le jeudi , je fais le complément

Le Vendredi , je fais le plein pour le week end

et Samedi : !

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Sans déc...le temps file (pas je t'enfile ... ! - branche ton sonotone et re )), chez moi le marché a lieu4 jours par semaine .

Le Lundi , je répère

Le mardi , j'achète mais j'en oublie la moitié car un autre retraité m'a dévarié

Le mercredi , repos

Le jeudi , je fais le complément

Le Vendredi , je fais le plein pour le week end

et Samedi : !

Pfffffff! même pas le temps pour un petit peu de tricot?

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Pfffffff! même pas le temps pour un petit peu de tricot?

Surement pas, çà lui rappelerait quand il conduisait les 6500.... "Tricoter" pour faire l'heure en roulant au trait..... :Smiley_40:

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  • 1 mois plus tard...

- Miserere de Grangé. Du bon Grangé !

Un Grangé chasse l'autre...

Les thèmes abordés sont intéressants, mais gros bémol : le style (et pourtant je ne pense pas faire partie des exigeants dans ce domaine) ! On a l'impression que le livre a été écrit par un (mauvais) disciple de Grangé !

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Je viens de finir SNCF, la mutation impossible? de François REGNIAULT.

Ben....super bof.

Je ne vois pas l'intérêt de ce livre et franchement le style cestachierkoiquessecestachier

je suis bien d'accord et je me demande qui a commandé ce livre et pour quelle usage.

On dirait un prétexte pour une quelconque future campagne de presse pour déboulonner le mot SNCF au profit de ...

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  • 3 semaines plus tard...

Départs anticipés, de Christopher Buckley.

Puisque ces inconscients de baby boomers soixante huitards mangent tout ce qui a été chèrement acquis par les luttes de leurs parents et que ce sont les trentenaires d'aujourd'hui qui doivent payer leurs retraites et leurs dépenses de santé, pourquoi ne pas proposer une loi sur le transitionnement volontaire, façon politiquement correcte de proposer le suicide à partir de 70 ans...

Voilà en gros l'idée de ce livre, qui montre aussi les rouages de la politique américaine: le congrès, le sénat, les lobbys...

Bien écrit et marrant.

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  • 1 mois plus tard...

"Résister"...des camps nazis à 68

de George séguy

C'est une relecture .Aujourd'hui , on fait figure de "pantin"

Les jeunes générations connaissent-elle Georges Séguy ? Rien n’est moins sûr… Et c’est sûrement bien dommage. Peut-être est-ce la faute à ces manuels scolaires délivrant une "histoire officielle" que dénonce Georges Séguy à la fin de son récit sur son internement dans le camp d’extermination nazi de Mauthausen ? Georges Séguy fait partie de ces personnages qui ont à la fois le mérite de la constance politique mais aussi la particularité d’avoir cumulé les rôles durant une vie indéniablement en prise avec l’Histoire. Précisément, l’objectif de Georges Séguy, dans son ouvrage Résister. De Mauthausen à Mai 68, est de livrer aux lecteurs, à travers une prose très accessible, le témoignage de l’homme qu’il a été, de son adhésion au Parti Communiste Français en 1942 à la création de l’Institut CGT d’histoire sociale qu’il préside encore aujourd’hui.

Mêlant passages narratifs ponctués d’anecdotes historiques et réflexions politiques sur le rôle du parti politique et du syndicat, le témoignage de Georges Séguy retrace plus de soixante ans d’histoire. Mais ce récit autobiographique, s’il insiste bien évidemment sur l’engagement militant de l’homme d’action, a le mérite de présenter plusieurs portraits qui varient selon la période : le jeune Séguy résistant ; le Séguy déporté à Mauthausen ; le Séguy syndicaliste qui est notamment secrétaire général de la CGT de 1967 à 1982 ; le Séguy dans le rôle du sage portant des considérations sur le monde qui l’entoure.

Georges Séguy est né en 1927 dans une famille toulousaine où on lui parle politique dès son plus jeune âge. Son père est un militant de gauche, ancien socialiste qui a rejoint la majorité communiste au Congrès de Tour et qui quitte, en 1922, la CGT, jugée réformiste, pour la nouvelle révolutionnaire CGTU. Il a sept ans lorsqu’il participe avec sa mère à une première manifestation politique : exiger la libération de son instituteur arrêté lors de la marche antifasciste unitaire de la gauche en réponse à l’agitation des Ligues d’extrême droite du 6 février 1934. Déjà membre des Jeunesses Communistes et décidé à rejoindre la Résistance, et ce malgré son jeune âge (il a 15 ans), Georges Séguy entre chez les Francs-tireurs partisans en 1942 où il est embauché par l’imprimeur et résistant Henri Lion. En février 1944, Georges Séguy et tous les occupants de l’imprimerie sont arrêtés par la Gestapo. Torturé, il est envoyé au camp de Mauthausen.

Le récit de son internement dans le camp de Mauthausen, "l’enfer", est clairement la partie la plus émouvante du livre. Son témoignage, les sentiments et les descriptions qu’il rapporte nous sont très précieux et, par moment, notamment lorsque Georges Séguy relate son séjour au Revier, cette infirmerie qui sert de mouroir pour les détenus malades. Georges Séguy reste emprisonné à Mauthausen de mars 1944 à mai 1945 où il connaît toute l’horreur de la barbarie nazie : privations alimentaires, travail forcé, torture, humiliation, exécutions de ses camarades. La description du fonctionnement du camp d’extermination est saisissante et apporte des éléments historiques importants, en particulier lorsque Séguy explique le processus d’administration du camp qui passe des mains des "triangles verts", les détenus de droit commun, aux mains des "triangles rouges" (les détenus politiques organisés à l’intérieur du camp). Pour conclure son récit, Georges Séguy appelle à ne pas oublier le passé, les combats de la Résistance et le fait que la France, sous Vichy, ait collaboré .

Modifié par MarcM
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Un petit résumé ...non? Tu boudes ? ! :Smiley_40:

Dewey est un petit chaton (et non pas le petit frère de François, Malcom et Reese) qu'une bibliothécaire, en l'occurrence, Vikie Myron, a retrouvé dans un carton. Le minou était abandonné. La gentille dame a adopté le minou. Il s'est avéré, par la suite, que le minou devint un symbole dans ce grand pays que sont les Etats Unis. En effet, Dewey a sauvé la vie d'enfants, et j'en passe et des meilleurs.

Bon, allez, comme je suis mauvais en résumés, je fais un copié-collé...

Comment un chat abandonné est-il devenu le symbole de l’Amérique d’aujourd’hui ? Comment a-t-il pu redonner vie à des dizaines d’enfants ? C’est cette histoire émouvante et rocambolesque nous conte l’auteur. Par un matin d’hiver, Vicki Myron, attirée par des cris déchirants, découvre un chaton frigorifié dans la boîte aux lettres de la bibliothèque où elle travaille. Après avoir réchauffé le petit chat, Vicki et ses collègues, conquis, décident de l’adopter. Dewey deviendra vite la mascotte de la bibliothèque et l’emblème de la ville de Spencer. Pendant 19 ans, Dewey, grand amateur de cheeseburgers, d’ailes de poulet et fan de télévision, va révolutionner cette petite ville ! Il va apprendre à sourire aux enfants handicapés, attendrir les hommes d’affaires... et devenir le chouchou des médias, au point que les télés du monde entier viendront le filmer! Vicki Myron, la bibliothécaire qui a partagé sa vie, nous raconte l’aventure extraordinaire de ce chat hors du commun.

Regardez comme il est mignon le petit catoss!

deweyr.png

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  • 2 semaines plus tard...

Deux livres de Shalom Auslander:

Attention Dieu méchant: recueil de nouvelles super marrantes

La malédiction du prépuce: à se tordre de rire!

L'auteur a reçu une éducation orthodoxe et se rebelle contre Dieu, de différentes manières...c'est du super humour juif New-Yorkais.

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Salut, le dernier livre en ma possession a été certainement écrit par un psychopate, c'est le Mémento conduite. Wourf! je sort. lotrela

Excellent , si tu es victime d'insomies........;;;;;; !

Audrey Ecrit hier, 21:27

Deux livres de Shalom Auslander:

Attention Dieu méchant: recueil de nouvelles super marrantes

La malédiction du prépuce: à se tordre de rire!

L'auteur a reçu une éducation orthodoxe et se rebelle contre Dieu, de différentes manières...c'est du super humour juif New-Yorkais.

Mieux vaut se tordre de rire que tordre le prépuce.;déjà sorti..... okok

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