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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Désolé si le fil dérive de son sujet initial mais franchement ce monde est rongé jusqu'à la moëlle ...
  2. La bouteille d'alcool s'est transformée en canette de bière ... (sans rire...) Selon des témoins, il n'y aurait pas eu vol... La Direction de Carrefour continue d'affirmer que les agents de cette entreprise de sécurité ont agit avec un grand professionnalisme... Le procureur de la République parle d'une vidéo accablante pour les agents de sécurité... 2 ou 4 agents de sécurité (selon les sources ) qui doivent être rémunérés aux alentours de 1.200 euros par mois, sont mis en examen... Que de vies gâchées...
  3. Bloavezh Mat (en Breton des Monts d'Arrée dans le texte...)
  4. Ils finiront peut être aussi la cage thoracique écrasée dans le local de surveillance d'une grande surface de banlieue après avoir voler une bouteille ...
  5. Opposition et syndicats pour une fiscalité verte ambitieuse Reuters Les Verts, la gauche et les syndicats réclament une fiscalité écologique ambitieuse et juste après l'annulation de la taxe carbone par le Conseil constitutionnel. Pour le Parti socialiste, ce "revers majeur" pour Nicolas Sarkozy doit se traduire par une réforme fiscale d'ampleur et non un impôt supplémentaire isolé "insupportable" pour les Français frappés par la crise. Le gouvernement présentera un nouveau projet le 20 janvier. "Il est à craindre que cet amateurisme en matière de fiscalité écologique du gouvernement ne rende plus difficile encore l'instauration pourtant nécessaire d'une taxation des pollutions", regrette la député socialiste Aurélie Filippetti dans un communiqué. Pour le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, "les Français attendent maintenant des réponses claires et opérationnelles" du gouvernement. Il faut taxer toutes les entreprises, créer une "compensation ciblée en direction des ménages les plus vulnérables", instaurer une "redistribution totale" du produit de la taxe vers des projets de défense de l'environnement et "promouvoir la mesure à l'échelon européen", dit-il dans un communiqué. Aux yeux de Jean-Marc Ayrault, chef de file des députés socialistes, "pour avoir une bonne réforme, il faut s'inspirer des autres pays qui ont instauré une fiscalité écologique et pas seulement une taxe carbone". Si la droite avait supprimé le bouclier fiscal, comme le réclament les socialistes depuis deux ans, "cela aurait fait une vraie réforme", a-t-il expliqué sur France Info. "Je comprends très bien que personne n'ait envie d'une taxe supplémentaire dont on ne voit pas l'intérêt si ce n'est pour boucher les trous qui auraient pu être créés par le bouclier fiscal", a estimé de son côté la dirigeante des Verts Cécile Duflot. BONNE NOUVELLE POUR LE POUVOIR D'ACHAT La décision du Conseil constitutionnel donne au gouvernement l'occasion de se "ressaisir" et de créer une "véritable contribution climat énergie", a-t-elle déclaré sur Europe 1. Les Verts réclament que le montant de cette future contribution repasse des 17 euros de la taxe carbone aux 32 euros recommandés par la commission Rocard et que l'électricité soit taxée. "Les changements de comportements ne peuvent pas être le seul fait des particuliers. Les entreprises doivent aussi s'y engager", souligne le député Vert François de Rugy dans un communiqué. "Alors que le sommet de Copenhague sur les changements climatiques a été un échec, il n'y aurait rien de pire que d'abandonner le principe d'une contribution climat-énergie comme levier des changements de comportement", prévient-il. A l'instar de Ségolène Royal pour qui l'annulation de la taxe carbone est une "bonne nouvelle pour le pouvoir d'achat", la CGT se félicite de voir "reportée une imposition supplémentaire qui aurait pesé sur la consommation des plus modestes". La lutte contre le réchauffement climatique "implique de faire payer les vrais pollueurs, de favoriser la mise au point de technologies alternatives et d'organiser une transition juste vers une économie à bas carbone", plaide le syndicat. Pour Force ouvrière, le gouvernement doit s'accorder "le temps de la réflexion au lieu de la précipitation avec laquelle le mauvais feuilleton de la taxe carbone est mis en oeuvre depuis l'été 2009". "Plutôt que de créer des taxes à vocation de communication venant pénaliser les salariés et les ménages", le syndicat prône "une réforme globale de la fiscalité, fondée sur le renforcement de la progressivité de l'impôt sur le revenu pour garantir une politique de redistribution conforme au principe républicain d'égalité". De même, le Parti de Gauche, par la voix de la député Martine Billard, demande la fin du "bricolage politicien" et réclame une "planification écologique et démocratique qui permette de sortir de la civilisation du tout pétrole". Service France, édité par Sophie Louet
  6. symptômes grippaux : grippe saisonnière et grippe H1N1... Merci pour le lien...
  7. Les grands mouvements sociaux* n'ont jamais rassemblé la majorité et en moins la quasi-totalité des salariés ... mais bel et bien des minorités déterminées... * et plus largement les mouvements de résistance ou révolutionnaires...
  8. Transports en commun gratuits toute la nuit en Ile-de-France pour le réveillon AP Les transports d'Ile-de-France seront gratuits de jeudi 17h à vendredi midi à l'occasion de la Saint-Sylvestre, alors qu'un service de métros, bus, trains et RER sera assuré toute la nuit. L'ensemble du réseau métro fonctionnera jusqu'à 2h15, comme toutes les veilles de fête. Les lignes 1, 2, 4, 6, 9 et 14 fonctionneront toute la nuit entre 2h15 et 5h30. Toutes les stations ne seront toutefois pas ouvertes. Les autres lignes fermeront aux heures habituelles - trains et RER: ils seront omnibus. Selon les destinations, les intervalles entre deux trains alterneront entre un quart d'heure et deux heures. - Noctilien: le réseau fonctionnera entre 0h30 et 5h30, mais sera adapté en raison des contraintes de circulation, des périmètres de sécurité et également pour venir en complément du réseau ferré (RER et métro). - Bus: une desserte sera mise en place au départ des gares suivantes: Argenteuil, Aulnay-sous-Bois, Chatou-Croissy, Chelles-Gournay, Chessy/Marne-la-Vallée, Enghien-les-bains, Houilles/Carrière-sur-Seine, Lagny-Thorigny, Le Raincy, Le Vésinet-Le Pecq, Marly-le-Roi, Saint-Germain-en-Laye, Sartrouville, Torcy, Val d'Europe. AP Sur le Net: http://www.ratp.fr http://www.noctilien.fr http://www.transilien.com http://www.transport-idf.com http://www.stif.info
  9. En sarkozie, le boniment ne connaît pas la crise Libération http://www.liberation.fr/politiques/010161...it-pas-la-crise Pour célébrer le premier anniversaire de sa rubrique Desintox, le quotidien a dressé un palmarès des plus beaux bobards de l'année 2009. Un florilège où Nicolas Sarkozy est à l'honneur. Mais pas que lui....
  10. J'ai bien regardé le calendrier, nous ne sommes pas le 1er Avril... Sarkozy a-t-il dit: "Eric Besson, c'est l'épouvantail parfait. Au lieu de me taper dessus, on tape sur lui"? LePost D'après Le Canard Enchaîné de ce mercredi, Nicolas Sarkozy se serait "amusé" à décerner bons et mauvais points à ses ministres, avant de partir en vacances au Maroc. Le chef de l'Etat se serait laissé aller "devant quelques dirigeants de la majorité", précise le journal satirique. Florilège de ces petites phrases... à travers un classement. Les bons élèves: 1. Luc Chatel, ministre de l'Education: "Celui en qui je vois le plus d'avenir." 2. Christine Lagarde, ministre de l'Economie: "Elle est solide, respectée au niveau international, elle a gagné ses galons pendant la crise." 3. Xavier Darcos, ministre du Travail: "Un papi gentil et cultivé qui m'avait déçu à l'Education mais fait son job au Travail." 4. Michèle Alliot-Marie, ministre de la Justice: "Elle ne m'emmerde pas à la Justice, et Oliier (son compagnon) joue le jeu au Parlement." 5. Eric Besson, ministre de l'Immigration: "C'est l'épouvantail parfait. Au lieu de me taper dessus, on tape sur lui. Il fait parfaitement le boulot qu'il doit faire." Les mauvais élèves: 1. Patrick Devedjian, ministre de la Relance: "Un désastre. Son bilan est catastrophique. Je ne sais pas quoi en faire. Dans les Hauts-de-Seine, il s'est mis tout le monde à dos." 2. Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et tête de liste de l'UMP aux régionales en Ile-de-France: "Même Karoutchi aurait été meilleur qu'elle. Sa campagne est nulle. Elle est inexistante dans les médias. Elle n'écoute personne, sauf Copé." Les "hors catégories": 1. Hervé Morin, ministre de la Défense: "Il n'est pas au niveau à la Défense. Mais il est malléable et, dans ma stratégie de premier tour pour 2012, il est indispensable." 2. Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères: "Il est insupportable et souvent maladroit, heureusement qu'il est totalement borduré par Guéant et Levitte, sinon on aurait de gros problèmes." 3. Jean-Louis Borloo, ministre de l'Environnement: "Il est hors classe, il fait de la mousse, on ne comprend rien à ce qu'il dit, mais il est quand même populaire, c'est une énigme."
  11. C'est fou comme d'un coup on se met à y comprendre quelque chose... (au delà des aspects politiciens sectaires comme de coutume...) Les tribulations de la "contribution climat-énergie " LE MONDE | 30.12.09 Mise en avant par le Pacte écologique proposé par Nicolas Hulot lors de la campagne présidentielle de 2007, puis inscrite dans les engagements du Grenelle de l'environnement, la taxe carbone a connu de multiples tribulations, avant d'être annulée par le Conseil constitutionnel. Destinée à limiter les émissions de gaz à effet de serre, pour lutter contre le réchauffement climatique, la "contribution climat-énergie" consistait à taxer, sur le principe pollueur-payeur, la consommation d'énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) émettrices de CO2, dans les secteurs du transport et de l'habitat. Elle devait s'appliquer à la fois aux ménages, en contrepartie d'une compensation financière, et aux entreprises. Mais les grandes installations industrielles, déjà soumises au système européen d'échanges de quotas, n'étaient pas concernées. Nommé à la présidence d'une conférence d'experts sur la faisabilité de cette taxe, l'ancien premier ministre socialiste Michel Rocard avait remis au gouvernement, fin juillet 2009, un rapport qui préconisait de fixer la contribution énergie-climat à 32 euros par tonne de CO2 rejetée, pour 2010. Ce montant devait augmenter de 5 % par an, pour atteindre 100 euros la tonne en 2030. EFFICACITÉ ÉCOLOGIQUE ÉCORNÉE Pour les experts, le coût initial de 32 euros était celui qui permettait au dispositif d'être à la fois "crédible" et "acceptable". Crédible, en regard des objectifs que se sont donnés la France et l'Europe en matière de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre, à savoir une baisse de 20 % d'ici à 2020 et une division par quatre d'ici à 2050. Acceptable, aux yeux des partenaires économiques et sociaux et de l'opinion. Mais, devant le tollé de critiques soulevé par ce projet, perçu comme un impôt supplémentaire, Nicolas Sarkozy avait annoncé, le 10septembre, que le montant de la taxe carbone serait limité à 17 euros la tonne pour 2010. Sans trancher sur le taux d'augmentation à appliquer au cours des prochaines années. Une commission indépendante formée de cinq collèges (Etat, collectivités locales, entreprises, syndicats, organisations non gouvernementales) étant chargée de déterminer ce paramètre. Dès lors – indépendamment des aspects inégalitaires qui ont conduit à son invalidation par le Conseil constitutionnel –, l'efficacité écologique de la contribution climat-énergie était sérieusement écornée. L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) avait ainsi calculé qu'à 32euros la tonne de CO2, la taxe inciterait à la rénovation de 366 000 logements par an. A 17 euros la tonne, l'impact était réduit de moitié. Pour le gouvernement, le montant de 17 euros était calqué sur le prix moyen, depuis janvier 2008, du marché européen des quotas des émissions de CO2, régulant les émissions polluantes des grandes installations industrielles et énergétiques. Un argument qui ne tenait pas compte de la mission première de la taxe carbone : celui d'être un réel levier financier de changement des modes de consommation énergétique. Pierre Le Hir
  12. Tu oublies les cantines gratuites ouvertes 24h sur 24 aux retraités...
  13. Duflot invite le gouvernement à se ressaisir sur la taxe carbone Reuters Le gouvernement doit désormais créer une contribution climat énergie écologiquement ambitieuse et socialement juste, déclare la dirigeante des Verts, Cécile Duflot. Le Conseil constitutionnel a décidé mardi soir d'annuler la taxe carbone intégrée au projet de budget 2010. Le gouvernement a aussitôt annoncé un nouveau texte, qui doit être présenté en conseil des ministres le 20 janvier. "On ne peut pas voir les choses se dégrader (...) après l'échec de Copenhague et dire qu'on n'a pas les moyens d'agir autrement. Ce serait un gâchis phénoménal. Soit le gouvernement laisse faire ce gâchis absolu, soit il en profite pour se ressaisir et être à la hauteur de l'enjeu", a expliqué Cécile Duflot sur Europe 1. "On ne peut pas avoir les discours qu'a le président de la République et ne pas avoir les actes qui vont avec", a insisté la dirigeante écologiste. "Je comprends très bien que personne n'ait envie d'une taxe supplémentaire dont on ne voit pas l'intérêt si ce n'est pour boucher les trous qui auraient pu être créés par le bouclier fiscal (...) mais une mesure écologique et utile pour tous et utile pour la planète, je pense que c'est le bon sens", a estimé Cécile Duflot. A trois mois des élections régionales, où les Verts et Europe Ecologie espèrent confirmer leur percée électorale des européennes de juin 2009, la décision du Conseil constitutionnel "rend encore plus vive notre détermination", a-t-elle expliqué. Cela signifie à ses yeux "qu'à un moment il faut des écologistes aux responsabilités parce qu'il n'y a pas le courage de passer aux actes". Saisi par les socialistes, le Conseil constitutionnel a annulé la taxe carbone, mesure phare du projet de budget 2010 qui devait entrer en vigueur le 1er janvier, au motif que les exemptions trop nombreuses étaient "contraires à l'objectif de lutte contre le réchauffement climatique" et créaient une "rupture d'égalité" devant l'impôt. Pour Cécile Duflot, qui avait parlé de "fumisterie" lors de la création de la taxe carbone en septembre dernier, "c'est presque logique". "La somme d'exonérations faisait que la taxe carbone n'avait plus qu'un nom mais plus aucun sens et absolument pas l'utilité de la fiscalité écologique", a-t-elle déploré. Cécile Duflot a réclamé que le montant de la future contribution climat énergie passe des 17 euros prévus aux 32 euros recommandés par la commission Rocard, que l'ensemble des sources d'énergie soient taxées, dont l'électricité, et que les entreprises soient visées par la taxe. Il faut également que "l'intégralité du montant collecté soit réaffecté à des dépenses d'économies d'énergie (isolation, chauffage, transports en commun) pour être socialement juste et bénéficier aux ménages qui en ont le plus besoin", a-t-elle souligné. Laure Bretton, édité par Véronique Tison ******************************************************************************** *********** Ayrault pointe l'échec de la méthode Sarkozy sur la taxe carbone Reuters L'annulation de la taxe carbone est un échec personnel pour le président de la République, estime le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault. La décision du Conseil constitutionnel, "ça veut dire que la méthode Sarkozy, une fois de plus, n'a pas marché. On annonce une réforme et finalement on s'y prend tellement mal qu'on n'écoute personne et qu'on fait du mauvais travail, c'est un vrai gâchis", a-t-il déploré sur France Info. "Il ne suffit pas de faire des effets d'annonce, de partir comme ça la fleur au fusil (au sommet mondial sur le climat de) Copenhague comme l'a fait Nicolas Sarkozy (...) et arriver à un échec. Avec la taxe carbone, c'est un peu la même chose, c'est de la 'com'. Quand on fait trop de 'com', on ne fait pas de bonne politique", a insisté le dirigeant socialiste. Saisi par les députés et les sénateurs PS, le Conseil constitutionnel a annulé mardi soir la taxe carbone, mesure phare du projet de budget 2010 qui devait entrer en vigueur le 1er janvier. Les Sages ont considéré que le projet du gouvernement comportait trop d'exemptions qui sont "contraires à l'objectif de lutte contre le réchauffement climatique" et créaient une "rupture d'égalité" devant l'impôt. Pour Jean-Marc Ayrault, le Conseil constitutionnel s'est rendu aux arguments des socialistes selon qui "la loi ne peut créer des inégalités flagrantes entre les citoyens". "Il faut repartir à zéro, faire une réforme fiscale qui soit plus écologique, plus protectrice de l'environnement" et fiscalement juste, a-t-il plaidé. Le PS souhaite que la nouvelle contribution climat énergie soit accompagnée d'une "vraie" réforme fiscale. "Pour avoir une bonne réforme, il faut s'inspirer des autres pays qui ont instauré une fiscalité écologique et pas seulement une taxe carbone", a expliqué le président des députés PS, qui a cité la Suède et l'Allemagne en exemple. En France, "comme c'était une taxe de plus, ça a été mal perçu", a-t-il fait valoir. Laure Bretton
  14. La dette de la France à 1.457 milliards d'euros au 3e trimestre Reuters La dette publique de la France a augmenté de 29,4 milliards d'euros au troisième trimestre 2009 pour atteindre 1.457,4 milliards, soit environ 75,8% du PIB, selon les données publiées mercredi par l'Insee. Ce pourcentage représente une hausse de 1,9 point par rapport à la fin du deuxième trimestre quand la dette au sens de Maastricht s'élevait à 1.428,0 milliards d'euros ou 74% du PIB (73,9% en première estimation). Sous l'effet de la hausse de l'endettement, la dette de l'Etat a augmenté de 23,4 milliards d'euros au troisième trimestre pour s'élever à 1.158,8 milliards, précise l'Insee dans un communiqué. Outre la dette de l'Etat, la dette publique au sens du traité de Maastricht prend en compte celle des administrations de sécurité sociale (47,6 milliards), des administrations publiques locales (141,6 milliards) et des organismes divers d'administrations centrales (Odac, 109,4 milliards). La dette des administrations de sécurité sociale a augmenté de 5,9 milliards d'euros et celle des administrations publiques de 0,5 milliard, "un mouvement comparable à ceux observés lors des troisièmes trimestres des années précédentes", précise l'Insee. Dans la loi de finances 2010, le gouvernement prévoit que la dette publique passera de 67,4% du PIB en 2008 à 77,1% en 2009, 84,0% en 2010, 88% en 2011, 90% en 2012 et 91% en 2013. Le seul déficit public, lui, devrait représenter 116 milliards d'euros en 2009 ou 8,2% du PIB. Le traité de Maastricht, mis en veilleuse par la crise, plafonne le déficit public à 3% du PIB et la dette à 60%. La Commission européenne a donné à la France jusqu'à 2013 pour ramener son déficit sous les 3% mais Paris ne juge cet objectif réalisable que si la croissance revient à un niveau de 2,5% ou 3% à partir de 2011, bien au-dessus de la prévision de +0,75% retenue pour 2010. Dans son communiqué, l'Insee souligne que le profil de la dette trimestrielle demeure révisable pendant plusieurs trimestres et que sa seule observation ne permet pas de présager celle du déficit public. Véronique Tison
  15. Le communiqué du conseil constitutionnel et l'accès à tous les textes et documents... http://www.conseil-constitutionnel.fr/cons...esse.46805.html
  16. Le Conseil constitutionnel annule la taxe carbone Reuters Le Conseil constitutionnel a annulé mardi la taxe carbone, une mesure phare du projet de budget 2010 qui devait entrer en vigueur le 1er janvier, mais le gouvernement a aussitôt décidé de présenter un nouveau texte. Les juges constitutionnels ont considéré que l'importance des exemptions de contribution carbone étaient "contraires à l'objectif de lutte contre le réchauffement climatique" et créaient une "rupture d'égalité" devant l'impôt. Ils ont validé, en revanche, la loi supprimant la taxe professionnelle, autre grand projet du président Nicolas Sarkozy. Sur la taxe carbone, le Premier ministre, François Fillon a annoncé qu'un nouveau texte tenant "pleinement compte" des observations des "Sages" serait proposé dans le cadre de la loi de finances rectificative relative aux investissements d'avenir. Celle-ci sera présentée en Conseil des ministres du 20 janvier, a-t-il précisé dans un communiqué. François Fillon a souligné que la mise en place d'une contribution carbone était "une priorité du président de la République et du gouvernement". "Cette contribution est nécessaire pour orienter les comportements des entreprises et des ménages en matière de consommation d'énergie et pour réduire les émissions de gaz à effet de serre", a-t-il insisté. Mais les juges constitutionnels, saisis le 22 décembre par les parlementaires socialistes, ont mis à mal le dispositif imaginé par le gouvernement. TROP D'EXEMPTIONS Selon eux, le texte prévoit trop d'exemptions, s'avère contraire à l'objectif affiché de lutte contre le réchauffement climatique et entraîne une inégalité des citoyens face à l'impôt. "Moins de la moitié des émissions de gaz à effet de serre aurait été soumise à la contribution carbone", en raison de multiples exemptions, soulignent les sages du Palais Royal dans leur décision. Ils notent que cette contribution devait porter essentiellement sur les carburants et les produits de chauffage, "qui ne sont que l'une des sources d'émission de dioxyde de carbone". En étaient totalement exonérées "les émissions des centrales thermiques produisant de l'électricité, les émissions des 1.018 sites industriels les plus polluants" et "les émissions du transport aérien et celles du transport public routier de voyageurs", souligne le Conseil constitutionnel. "Ces exemptions auraient conduit à ce que 93 % des émissions d'origine industrielle, hors carburant, soient exonérées de contribution carbone", écrit-il. Le groupe socialiste de l'Assemblée nationale avait saisi le Conseil constitutionnel sur le projet de loi de finances pour 2010 adopté définitivement par le Parlement le 18 décembre, en particulier sur la taxe carbone. Pour le PS, la compensation de la taxe carbone constituait une "rupture caractérisée du principe d'égalité des citoyens devant les charges publiques". Gérard Bon
  17. Un coup de gomme malheureux ...? Mais que fait Sarko ? il surveille le forum en direct...
  18. Tu vois...même toi, tu es formaté ... :)
  19. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    + 5 % d'augmentation pour les mutuelles en moyenne...
  20. Langue française L'anglais, langue unique ? « Il y a plus de mots anglais sur les murs de Paris qu’il n’y avait de mots allemands sous l’Occupation » a dit Michel Serres : contre un anglais, langue unique, des associations s’insurgent et lancent un appel. "Conscientes de la grave menace qui pèse sur l’avenir de la langue française, non seulement dans tous les pays francophones et partout où elle était traditionnellement enseignée et pratiquée, mais aussi et avant tout en France même, plusieurs associations de défense et de promotion de la langue française (liste ci-dessous) lancent cet appel au sursaut et à la lutte commune contre un déclin évitable. Issus de toutes les courants politiques démocratiques, nous faisons tous ce constat : langue de la République (art. 2 de la Constitution) et de la population, support de notre culture et base évidente de notre « vivre ensemble », premier socle de notre « identité nationale » pour 80 % des personnes récemment sondées, le français est méthodiquement évincé au profit de cet anglais simplifié que promeut avec zèle l’oligarchie internationale des affaires. Le fait ne doit rien à l’air du temps, ni ne procède d’on ne sait quel darwinisme linguistique comme d’aucuns voudraient le faire accroire pour occulter sa vraie cause dont la nature est politique. Politique, comme en témoigne, par exemple, la récente ratification du protocole de Londres qui donne valeur juridique en France aux brevets rédigés en anglais, ou l’abandon de nos prérogatives linguistiques dans les organismes européens et internationaux. Conçue en premier lieu par de puissants groupes internationaux, cette politique est complaisamment relayée par des élus hexagonaux, plus sensibles aux aspirations des financiers qu’à celles de notre société. Voici longtemps, en effet, qu’est dépassé le stade de l’emprunt naturel d’une langue à une autre. Au-delà de la liste interminable des « coach », « manager », « discount », « trekking , « yes ! » et autres anglicismes … qui hachent notre vocabulaire quotidien, chacun peut aussi constater l’acharnement de maintes grandes entreprises à nous angliciser de manière insidieuse ou brutale. Empruntant d’abord quelques mots « techniques » à l’anglais, elles basculent désormais leurs produits et leurs enseignes commerciales du français au tout-anglais (« Carrefour Market », « Simply Market », « TGV Family » …) ; puis, en phrases entières, celles de leurs slogans publicitaires, de leurs serveurs téléphoniques, de leurs devises managériales qui rythment ironiquement la souffrance de leurs salariés (France Telecom, dorénavant sans accent, n’a-t-il pas inventé le « time to move ! » au risque de susciter la « mood » des suicides ?), suivant en cela le MEDEF qui donne le ton par sa devise « Ready for the future ! » ; celles aussi des conseils d’administration et des réunions de travail, y compris dans certains ministères de la République « française » ; et, finalement, celles de l’annonce de leur licenciement aux ouvriers de Continental-Clairoix, auxquels on a quand même concédé un traducteur : quel privilège ! Ce n’est pas tout : nos chercheurs, après avoir été à l’origine de tant d’avancées majeures et bien que prenant toute leur part aux avancées de la technologie actuelle, sont systématiquement sommés de publier en anglais. L’actuel gouvernement projette de faire enseigner certaines matières en anglais au lycées et à l’université. Histoire sans doute de se rapprocher du peuple qu’elles sont censées représenter, nos élites politiques se forment désormais en anglais, voire en « tout-anglais » à Sciences-Po (notamment dans la nouvelle antenne rémoise de l’École) ; quant à Mme Pecresse, est-il exact qu’elle souhaite exempter l’Université des très humbles exigences de la loi Toubon ? Pis : le refus de tout débat public accompagne cette politique linguistique inavouée portée par une élite dé-territorialisée qui, à droite comme à « gauche », méprise ouvertement ses origines et rêve d’un monde uniformisé dans lequel elle pourra enfin ressembler parfaitement à ses maîtres. La première victime de ce rêve indécent sera la « France d’en bas », celle qui ne fera pas ses classes à Oxford ni ne passera ses vacances à Los Angeles, et qui devra éternellement s’adapter, dans sa vie privée et professionnelle, aux exigences d’une autre langue. Ont également tout à perdre à ce basculement linguistique les Francophones d’Afrique et d’ailleurs, que l’on discrimine honteusement pour tenter d’assimiler la défense du français à un purisme aux relents d’exclusion ; sans oublier le cadre moyen, dont les efforts prenants pour changer de langue et de mode de pensée ne feront jamais le poids face aux « English mother tongue » d’ores et déjà recrutés, de manière discriminatoire, pour certains postes clés. Le débat citoyen que nous exigeons sur la place de la langue dans notre société est d’autant plus pressant que la construction européenne bruxelloise, au mépris de ses textes officiels, impose un libéralisme linguistique agressif : pour accompagner l’ultra-libéralisme économique, pour détruire ce bien commun par excellence et ce service public gratuit que constituent les langues nationales, les protections juridiques nationales faisant obstacle aux campagnes d’anglophonisation unilatérales qui sévissent partout en Europe, sont froidement démantelées. Ce déracinement linguistique ne doit plus pouvoir s’accomplir dans l’ombre et le silence : le peuple doit prendre conscience de l’ampleur de l’agression dont il est l’objet, et faire entendre sa voix encore souveraine. Cet appel s’adresse donc à tout citoyen soucieux de défendre sa culture et, à travers elle, toutes les cultures du monde dont la diversité est indispensable à un véritable internationalisme et au respect mutuel et multilatéral des cultures, à l’opposé d’un nivellement mondialiste insidieusement pré-totalitaire. Cet appel dénonce aussi la glose « identitaire » de gouvernants qui accompagnent la destruction de notre langue commune ; il revient aux citoyens d’exiger une politique claire en faveur de notre langue maternelle et nationale, et plus généralement en faveur du multilinguisme : au collège et au lycée, renforcer l’enseignement du français, apprendre les bases communes des langues européennes, puis apprendre deux langues étrangères, dont la première serait autre que l’anglais ; défendre l’usage de la langue française dans les institutions internationales et européennes, réaffirmer clairement le français comme langue de l’enseignement et de la Recherche, mettre fin à l’invasion des enseignes et des publicités en anglais. Cet appel s’adresse aux espérantistes ; aux défenseurs des langues régionales – car lorsque le français n’aura plus qu’un statut domestique (à tous les sens de ce terme !), de quelle place pourront-ils se prévaloir ? – , aux citoyens des DOM, aux travailleurs immigrés qui pensent que l’on peut vivre sereinement en français sans renier ses origines. Il s’adresse aussi aux amoureux de l’anglais, qui ne doit pas se laisser réduire à cette « langue des affaires et de l’entreprise » dont E.-A. Seillères, alors président du syndicat patronal européen, entendait promouvoir l’usage quasi-exclusif. Il s’adresse enfin aux chercheurs, aux écrivains, aux poètes, philosophes, enseignants, traducteurs, à tous ceux, ici et ailleurs, dont le français est la langue de création et de réflexion, l’outil de formalisation ou d’expression d’une sensibilité. Tous ceux qui savent ce que l’Histoire, ou leur histoire personnelle, doit à la langue française, à tous ceux qui sentent qu’une langue est plus qu’un simple code de communication parce qu’elle porte des valeurs et une vision du monde autant que des données et des informations. À tous ceux qui ont compris qu’une langue unique c’est une pensée unique, et que si l’on soumet les hommes d’abord par le verbe et par la pensée, c’est aussi par eux, que les hommes résistent et se relèvent. * Alliance Champlain – Association francophonie et avenir (AFRAV) – Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (ASSELAF) – Avenir de la langue française (ALF) – Cercle littéraire des écrivains cheminots (CLEC) – CO.U.R.R.I.E.L. (Collectif Unitaire Républicain pour la Résistance, l’Initiative et l’Emancipation Linguisitique) – Défense de la langue française - Paris-Île-de-France (DLF Paris-IdF) – www.langue-francaise.org Forum francophone international – France (F.F.I.-France) Le Droit de comprendre (DDC) Se portent garants de la signature de leur association : Pour l’Alliance Champlain, Daniel Miroux Pour l’AFRAV, M. Régis Ravat Pour l’ASSELAF, MM. Philippe de Saint Robert et Philippe Loubière Pour A.L.F. et F.F.I.-France, M. Albert Salon Pour le C.L.E.C., M. Raymond Besson Pour le COURRIEL, M. Georges Gastaud Pour D.L.F.-Paris-Î.d.F., M. Marc Favre d’Échallens Pour D.D.C., M. Thierry Priestley
  21. Notre monde tel qu'il va... Une série d'articles intéressants sur Libération http://www.liberation.fr/societe/010161074...-qui-s-ignorent Société 28/12/2009 Education "Privé, public : des mondes qui s’ignorent» Interview Bernard Toulemonde, inspecteur général, analyse les effets du texte du 31 décembre 1959. Par CATHERINE COROLLER Bernard Toulemonde est inspecteur général honoraire de l’Éducation nationale. Il est l’auteur du chapitre sur «Les nouveaux enseignements confessionnels» dans la troisième édition de l’ouvrage le Système éducatif en France (1). Il analyse les effets de la loi Debré du 31 décembre 1959 «sur les rapports entre l’État et les établissements d’enseignement privé». La loi Debré a-t-elle mis fin à la guerre scolaire entre public et privé ? Elle a permis une coexistence à peu près pacifique entre ces deux systèmes. Le public a piqué des idées au privé : par exemple, les projets d’établissement ou le concept de communauté éducative. En dehors de ça, ces deux mondes s’ignorent avec, de temps en temps, des escarmouches comme lors du débat sur la loi Carle sur le financement des écoles privées par les communes. Regrettez-vous ce manque de coopération ? Le projet Savary du début des années 80 était de créer un «grand service public unifié et laïc de l’éducation nationale» mettant en réseau les établissements publics et privés. On voulait que les parents puissent choisir librement l’école de leur enfant en fonction de son projet, qu’il soit confessionnel ou pédagogique (sportif, lié aux langues vivantes, culturel). Les partisans de l’école privée et les milieux laïcs n’en ont pas voulu. Du coup, il a échoué. Vous faites néanmoins un bilan «très positif» de la loi Debré. Pourquoi ? Je pense qu’on peut dire, honnêtement, que cette loi est profondément républicaine. Elle a imposé à l’enseignement privé des règles de service public, elle l’a obligé à accueillir tous les enfants quelle que soit leur confession, à respecter les programmes de l’enseignement public, à avoir des maîtres qui sont des agents publics. En 1959, 40 % des enseignants étaient des prêtres et des religieuses, aujourd’hui, il n’y en a plus un seul. Cette loi a permis une sécularisation de l’enseignement privé. Par ailleurs, on n’a pas constaté de marchandisation de ce secteur. A part quelques exceptions, rarissimes, de boîtes à bac ou de soutien scolaire, il n’y a pas d’enseignement privé lucratif. Cette sécularisation n’a-t-elle pas incité, paradoxalement, des parents à inscrire leurs enfants dans le privé pour échapper à la carte scolaire ? En partie sans doute. Aujourd’hui, les parents ne mettent plus leurs enfants dans le privé pour des raisons religieuses mais pour des raisons diverses et variées ! Pour les classes moyennes diplômées, l’enseignement privé est un peu l’enseignement public dont ils rêveraient. Avec moins de grèves, une volonté d’encadrement, de bonnes fréquentations - on est dans une société de l’entre-soi social - une volonté d’éduquer plus forte que dans le public. Dans le public, les enseignants font une distinction entre enseigner et éduquer, ils estiment qu’ils sont là uniquement pour enseigner. Or, on ne peut plus séparer les deux. Dans le privé, ils ne l’ont jamais fait et ils sont très en avance là-dessus. Le contournement de la carte scolaire est effectivement un problème mais il ne concerne pas que l’enseignement privé. Il concerne aussi l’enseignement public. Vous notez un développement des nouveaux enseignements confessionnels, à quoi répond-il ? Depuis une dizaine d’années, on constate effectivement un essor des nouveaux enseignements confessionnels, même si pour l’instant ils ne représentent pas grand-chose en termes de chiffres. Je vois deux raisons à ce développement : une affirmation identitaire, c’est vrai pour les écoles juives qui sont en plein boom. C’est un peu la même chose pour la communauté musulmane. Aux franges de l’enseignement catholique, ou chez les protestants évangéliques, on assiste aussi à la création d’écoles à caractère confessionnel hors contrat. Les motivations des parents, pour le coup, sont purement religieuses. Ce phénomène ne témoigne-t-il pas d’un échec de l’école publique ? La deuxième raison, évidente, de l’essor de ces écoles est la dégradation de la qualité de l’enseignement public en banlieue. C’est clair pour les écoles juives. S’ajoutent pour ces dernières, un climat de violence et le développement d’un certain antisémitisme. C’est la même chose pour les musulmans : pourquoi créent-ils leurs propres établissements ? Parce qu’ils veulent la réussite de leurs enfants. Le seul moyen qu’ils trouvent est de les mettre dans l’enseignement catholique, ou de créer leurs propres écoles. Certains établissements sous contrat demandent un certificat religieux aux parents pour inscrire leur enfant. Pourquoi l’Etat laisse-t-il faire ? C’est complètement illégal. L’Etat exerce deux types de contrôle sur ces établissements. L’un, d’ordre pédagogique, est fait par les inspecteurs pédagogiques, ils vont voir si le professeur fait bien ses cours mais ne contrôlent pas le reste. C’est à l’inspection générale que revient la responsabilité de vérifier que les établissements privés respectent les contrats d’association. Dans la réalité, ça n’est pas fait. (1) La Documentation française, novembre 2009.
  22. A partir du moment où une DCI est déposé un calendrier de 21 jours se déclenche : La Direction doit engager obligatoirement une première concertation dans les trois jours cette réunion donne lieu à un relevé de conclusions portés à la connaissance des salariés concernés par la direction (l'Os concernée pouvant évidemment le relayer et faire son propre compte-rendu) si il y a désaccord lors de cette première réunion, il peut y avoir une ou plusieurs autres réunions dans le délai des 21 jours. Ce n'est qu'au bout de cette période de 21 jours que le syndicat concerné par la DCI peut déposer un préavis de grève en observant un délai de 5 jours francs. Dans cette période la direction doit à nouveau engager des discussions en vue d'éviter le conflit. L'appel à la grève doit être lancer avant la fin de la période de préavis. En comptant bien cela fait donc un délai d'au moins 27 jours minimum entre le dépôt de la DCI et le début d'un arrêt de travail ... Maintenant reste à connaître l'ensemble des éléments (DCI, relevé de conclusion, compte-rendu, préavis, appel etc...) De mémoire il y avait un forum sur internet des Cheminots de St Lazare mais je ne le retrouve pas... Désolé
  23. Il est toujours possible d'aller devant un tribunal prud'hommes pour faire transformer la démission en licenciement et faire condamner l'employeur. Il faudra un dossier en béton avec des preuves écrites... et beaucoup de patience, de détermination et de forces.
  24. ouai y'en a qui ont la mémoire courte...
  25. Les Français continuent à se dire catholiques, mais vont moins à la messe AP Près des deux tiers des Français continuent à se considérer comme catholiques, mais seuls 4,5% d'entre eux disent fréquenter une église tous les dimanches, contre 27% en 1952, selon un sondage Ifop publié mardi dans "La Croix". Au total, 64% des Français se reconnaissaient comme catholiques en 2009, contre 80% en 1966. L'enquête révèle un repli du catholicisme au profit principalement des "sans religion". Ainsi, 28% des personnes interrogées se disaient sans religion en 2009, contre 21% en 1987. Ce sondage montre aussi que les catholiques pratiquants sont plus âgés: 43% d'entre eux ont 65 ans et plus, alors que cette tranche d'âge ne représente que 21% de la population française totale. Par ailleurs, les catholiques pratiquants votent plus à droite (38,9% pour l'UMP) que leurs concitoyens (25,1%). - Enquête, constituée de données cumulées sur la période 2005-2009, réalisée auprès d'échantillons représentatifs de 960 personnes, selon la méthode des quotas. AP

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