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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Est-ce qu'on peut faire de la politique si on est en arrêt de travail ? Besancenot veut porter plainte contre la gendarmerie L'Express Le porte-parole du NPA, hospitalisé pour une fracture au doigt suite à une interpellation devant l'Assemblée, envisage "sérieusement" de porter plainte contre les forces de l'ordre. Il ne laissera pas faire. Mardi 15 décembre, Oliver Besancenot a été interpellé par la gendarmerie alors qu'il venait d'escalader les grilles de l'Assemblée nationale. Avec les syndicalistes de Sud PTT, il voulait protester contre la réforme du statut de la Poste. Vite relâché, le porte-parole du NPA affirme toutefois victime de violences de la part des gendarmes. "Plusieurs personnes ont été interpellées, mais trois, dont moi, avons été emmenées dans des locaux, à l'intérieur de l'Assemblée par des gendarmes qui nous ont pris de manière musclée", a-t-il déclaré à l'AFP. Un gendarme "particulièrement zélé" "Des gendarmes nous ont emmenés avec une clé de bras en prenant la moitié d'un bras et en remontant très très fort, il y en avait un qui était particulièrement zélé avec moi, - je le lui ai fait remarquer d'ailleurs", a-t-il poursuivi. C'est là qu'Olivier Besancenot aurait entendu "un petit craquemement" de son doigt. Ensuite, a poursuivi le postier, "malgré le fait que j'avais mal, [le gendarme] m'a descendu avec la clé de bras au sous-sol". Puis "un gradé est descendu et l'a appelé à la retenue", a ajouté le porte-parole du NPA. Le postier de Neuilly-sur-Seine sorti mercredi de l'hôpital, s'est vu signifier 45 jours d'arrêt de travail. "C'est beaucoup. On se pose sérieusement la question de porter plainte pour violence au moment de l'interpellation", a-t-il dit.
  2. Et j'étais passé à côté de cette fonction... Toujours aussi nul en informatique le Dom... Merci Kata J'me coucherai moins bête ce soir... lotrela
  3. Salut Kata. Une nouvelle fois merci et félicitations pour mettre à disposition ce forum. Une idée : Faire en sorte que la date de création d'un fil apparaisse systématiquement à côté du titre, par exemple quand on utilise la fonction "Voir les nouveaux messages" ce qui nous permettrait de faire une recherche sur une date ou une période ? Sinon améliorer la fonction "recherche" que je trouve un peu limite. Serait-il possible techniquement d'avoir une fonction recherche qui se positionne sur un membre soit au niveau des titres de ses fils de discussions, soit au niveau du corps de ses messages. ( exemple je recherche dans les fils de Dom-Trappeur si l'un de ses fils de discussion ou l'un de ses messages comporte le mot "xxxxx") Bon courage Dom
  4. Le titre semble être en adéquation avec la première ligne qui cite une déclaration de L'Agence Française... "Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps)."
  5. Reçu par e-mail ce jour... A faire circuler. Objet : une information à faire circuler Mon fils Léo (18 ans) et trois de ses camarades ont été interpellés jeudi, placés 24 heures en garde à vue et condamnés à trois mois de prison avec sursis pour avoir participé à la manifestation devant le lycée Roosevelt Jeudi 19., lors de la visite de F. Fillion, venu présenter la réforme des lycées. Ci dessous un lien vers le site de FR3 qui donne l'info avec un premier commentaire laissé par le père de Léo . http://lorraine-champagne-ardenne.france3....s-59049714.html Si vous souhaitez soutenir Léo et ses camarades , sans aucune obligation bien sûr, rien d'autre à faire que faire circuler à votre tour ce message à votre carnet d'adresses. Mardi matin à 10 heures a lieu à Reims devant la maison des syndicats une manifestation organisée pour le jour de grève dans l'éduc nationale. les étudiants que nous avons rencontrés hier vont s'y joindre pour protester contre la répression policière dont les 4 jeunes innocents ont été victimes, c'est pour ceux qui le souhaitent et le peuvent une autre manière de montrer sa solidarité... Merci à tous , amitiés Marie-Paule et Georges Belenguier Récit d’une bavure policière. bonjour j'apporte ce jour le témoignage d'un père de famille dont le fils est passé en comparution immédiate suite à cette manifestation et a été condamné à 3 mois de prison avec sursis après avoir passé 24h en garde à vue. Mon fils Léo Belenguier a 18 ans donc majeur et il est étudiant en fac d'histoire à Reims. Il n'est pas inscrit à un parti politique et s'est rendu à la manif par solidarité avec ses camarades et amis du lycée Roosevelt. Il a un casier judiciaire vierge, un attachement profond aux valeurs de justice et de solidarité doublé d'un tempérament doux et pacifiste. Il s'intéresse à l'actualité politique en tant que personne majeure porteur d'un droit de vote particulièrement en ce qui concerne ses pairs. Mon fils a déjà participé à des manifestations et n'a jamais commis aucune violence ni exaction d'aucune sorte allant même jusqu'à redresser des containers de poubelles en déplorant ces actes susceptibles selon lui de discréditer les actions menées. C'est ce même jeune garçon qui s'est fait interpeler et menotter jeudi après la manifestation au cours d'une rafle commise par la BAC alors qu'il attendait assis sur un plot pour reprendre son vélo garé devant le lycée, alors que la manifestation était terminée et qu'il avait demandé aux CRS à quel moment son vélo serait accessible. Cette arrestation brutale est motivée par l' accusation d'avoir jeté des pierres sur les policiers pendant la manifestation avec soi disant pour preuve une vidéo le montrant distinctement. Mon fils fort de son innocence a demandé aussitôt à voir la vidéo qui le mettait en cause. Il a été placé en garde à vue pour 24 heures, sans jamais pouvoir visionner ce document qui était sensé l'accabler. La raison en était, d'après la police que la vidéo était sous scellés pour le tribunal. Après 24 heures de garde à vue traumatisantes (refus de l'informer de notre connaissance de sa situation, annonce que sa garde à vue pouvait être prolongée s'il niait, refus de nous contacter pour que nous communiquions aux forces de l'ordre les coordonnées de notre avocat...),il a été jugé en comparution immédiate qu'il a acceptée pour éviter de se retrouver en "préventive" chantage odieux qui ne lui laissait d'autres choix que le procès expéditif ou la prison. Il n'a rencontré son avocat commis d'office que quelques minutes avant d'entrer dans le prétoire ce qui laisse perplexe sur le temps accordé pour préparer sa défense . Malgré la demande des avocats et des inculpés, malgré l'absence complète de preuves (le seul témoignage écrit est celui du policier blessé qui disait n'avoir reconnu personne et expliquait que les jets de pierre venant de l'arrière de la manifestation ne leur étaient pas imputables puisqu'ils étaient sur l'avant )et malgré les dénégations des quatre inculpés, cette bande vidéo n'a jamais été présentée à quiconque et le procès s'est conclu par une peine de sursis de trois mois pour chacun alors même qu'aucun témoin n'avait été entendu et qu'aucune preuve n'existait. La conclusion de tout cela dépasse ce qu'un citoyen français peut imaginer: la condamnation sans preuve d'un innocent pour l'exemple, un traumatisme psychologique évident provoqué par une garde à vue visant prioritairement à faire d'un innocent un coupable à coup d'intimidation et de brimades de toutes sortes : autorisation d'aller aux toilettes plus d' une demie heure après la demande, nuit passée dans des conditions d'hygiène épouvantables , refus d'appeler les parents pour le choix de l'avocat, refus des policiers du commissariat de Reims alors que je me suis rendu sur place sur leur conseil ,de me donner les informations sur les suites de la garde à vue jusqu'à la comparution immédiate après avoir soufflé le chaud et le froid et m'avoir donné des informations erronées ou contradictoires, refus du tribunal de prendre en compte l'absence de preuves et au final une condamnation avec sursis mettant directement en péril l'accès à la vie professionnelle de mon fils au terme de ses études. J'espère que beaucoup de parents auront accès à cette information pour s'alarmer des conséquences désastreuses d'une politique sécuritaire et paranoïaque capables de briser la vie d'un jeune homme jusque là libre et heureux. Georges Belenguier lien direct pour la vérification de l'information : http://lorraine-champagne-ardenne.france3....s-59049714.html
  6. Tu devrais recevoir un papier administratif à signer (on appelait ça un 621 ...) pour ta mutation et ta nouvelle affectation administrative Attention à la date d'application figurant sur ce formulaire surtout si c'est avec effet rétroactif... Avant de signer regardes y à deux fois (Évite de le signer et de le rendre immédiatement si il t'est présenté par ton Dpx) et n'oublie pas de faire une photocopie de ce document avant de le retourner et de conserver cette photocopie dans tes archives perso... Les paroles s'envolent, les écrits restent...
  7. Avenir de la Ligne Paris Bâle et du Fret en Haute Saône Usagers – Citoyens -Tous Concernés Tract et Pétition en ligne CGT Dijon http://www.cheminotcgtbfc.fr/petitions/?petition=4
  8. Les 4 cheminots : en ou hors service ? Bravo à eux et à leur courage...
  9. Le Français est un peu bordélique... donc vive la diversité... Après les goûts et les couleurs...
  10. ...et fusillés sans autre procès...
  11. Ouai mais y'a des risques dans le militantisme ... et des crapules partout... Ouest france aujourd'hui ... Il escroquait le comité d'entreprise samedi 12 décembre 2009 L'argent a été remboursé, mais la CFDT, qui s'estime atteinte dans son image, a porté plainte au tribunal de Rennes. Le pot aux roses a été découvert fin 2005, lors de la liquidation de Transpac installée à Rennes. Les liquidateurs relèvent des anomalies dans les comptes du comité d'entreprise. En décembre 2008, l'expert rend son rapport : il manque 230 747 € dans les caisses. Des investigations bancaires permettent de désigner un cadre de l'entreprise qui assurait la fonction de trésorier du CE. Les détournements auraient eu lieu sur plusieurs années et permis à son auteur de mener un joli train de vie. Des investissements importants ont eu lieu dans la propriété de ce dernier, dans la région de Rennes. Le parquet de Rennes est informé des malversations par la section financière de la police judiciaire de Rennes. Contre toute attente, le procureur ne poursuit pas. Le magistrat privilégie un règlement en interne. Il faudra attendre juin 2009 avant que la personne suspectée des détournements rembourse l'argent au comité d'entreprise et les frais occasionnés par la procédure. En octobre, nouveau rebondissement. La CFDT, majoritaire au CE, décide de porte plainte au pénal pour « détournements de fonds et atteinte à l'image du syndicat ». Le cadre soupçonné s'était présenté sous l'étiquette de la CFDT aux élections des représentants du personnel. « Nous avons porté plainte pour que la justice statue sur cette affaire, explique un responsable de la CFDT. Pas pour provoquer des ennuis supplémentaires à la personne concernée. » Le salarié, qui aurait reconnu les vols, a été exclu de l'entreprise sans indemnités pour faute lourde.
  12. Mort d'un enfant après une vaccination contre la grippe A Reuters Un enfant de neuf ans est mort mardi, quatre jours après avoir été vacciné contre la grippe A(H1N1), déclare samedi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). "Les éléments disponibles à ce jour ne permettent pas d'établir l'origine du décès", ni un lien éventuel avec la vaccination, écrit l'Afssaps dans un communiqué. Une autopsie a été pratiquée jeudi à la demande du parquet du Puy-en-Velay (Haute-Loire), poursuit l'agence, ainsi que des analyses virologiques et bactériennes, dont les résultats ne sont pas encore disponibles. L'enfant a été vacciné le 4 décembre avec le Panenza, vaccin sans adjuvant produit par Sanofi-Pasteur. La France a commandé 28 millions de doses au laboratoire. Selon l'Afssaps, l'enfant a présenté "48 heures après la vaccination de la fièvre et des troubles digestifs importants". Il a été victime d'un "malaise sévère", mardi, et il est décédé deux heures après sa prise en charge par le Samu. Au 11 décembre, l'épidémie de grippe A a causé 139 décès, selon le bulletin de l'Institut de veille sanitaire. Près de quatre millions de personnes ont été infectées depuis début août et plus de 2,5 millions ont été vaccinées. Selon la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, l'épidémie est en phase de stabilisation mais la campagne de vaccination s'accélère dans tout le pays, où 834 centres sont ouverts ce samedi, soit 69 de plus que samedi dernier. Dimanche, ce sont 229 centres de vaccination qui devraient accueillir le public sur tout le territoire, un nombre également en hausse, a annoncé le ministère de l'Intérieur. Grégory Blachier, édité par Jean-Philippe Lefief
  13. En CM1, elle veut "botter les fesses" de Nicolas Sarkozy sur le blog de sa classe http://www.lepost.fr/article/2009/12/11/18...as-sarkozy.html
  14. Brown et Sarkozy bientôt adhérents d’Attac ? On croirait un scénario de politique-fiction. Gordon Brown, depuis treize ans gardien de l’orthodoxie financière au Royaume-Uni, et Nicolas Sarkozy, le président le plus à droite que la France ait jamais connu, décident de taxer les bonus des banquiers. Ils se prononcent pour une taxation des transactions financières, et les vingt-sept chefs d’État ou de gouvernement européens demandent au FMI « d’examiner toutes les options disponibles », y compris « une taxe globale sur les transactions financières ». L’invraisemblable décalage n’est donc plus tenable entre les discours creux sur la « moralisation » et la « régulation » du capitalisme, et l’exaspération populaire devant les nouveaux records de profits bancaires. Effrayés devant l’ampleur abyssale des déficits publics provoqués par le sauvetage des banques et la récession, et les craquements qui annoncent de nouvelles catastrophes (Dubaï, Grèce…), nos dirigeants s’interrogent : comment faire accepter aux populations, dans ces conditions, de nouvelles réductions des dépenses publiques ? Attac ne peut évidemment que se réjouir de la taxation annoncée des bonus bancaires, et surtout de la montée en puissance du débat sur la taxation des transactions financières. Pourtant les vrais responsables de la crise financière ne sont pas les traders : ce sont les gros actionnaires des banques, qui leur ont fixé des objectifs de rentabilité absurdes et insoutenables. C’est la rémunération des actionnaires (et de tous les très riches) qu’il faut en priorité plafonner par la fiscalité directe, si on veut leur retirer la tentation de trop payer leurs traders. Le vrai problème n’est pas dans les bonus, mais dans les profits des banques, de l’ensemble de l’industrie financière et aussi des principales multinationales. C’est pourquoi une taxe Tobin sur les transactions financières est indispensable : elle permettrait de dissuader les opérations les plus spéculatives, qui se jouent à très court terme et font appel à un fort endettement (« effet de levier »). Elle réduirait ainsi l’instabilité de la finance ainsi que son pouvoir social. Elle permettrait en outre de trouver des fonds pour éviter l’échec dramatique qui se profile à l’horizon, aussi bien pour les objectifs du Millénaire pour le développement que pour la lutte contre le réchauffement climatique. Au taux extrêmement modéré de 0,1%, la taxe rapporterait plus de 400 milliards de dollars par an. L’Union européenne peut parfaitement la mettre en place sans les États-Unis, et cela rapporterait encore 180 milliards. Après les paroles, il faut des actes. Nous demandons la mise en place par l’Union européenne d’une taxe sur l’ensemble des transactions financières, y compris les produits dérivés, à un taux significatif. Nous demandons la hausse du taux marginal de l’impôt direct à 90% - comme l’avait fait Roosevelt - sur les revenus les plus élevés. Alors seulement nous accepterons les adhésions de MM. Brown et Sarkozy. Attac France, Montreuil, le 11 décembre 2009 http://www.france.attac.org/spip.php?article10580
  15. Les routiers lèvent leur menace de blocus après un accord Reuters 12-12-2009 La signature d'un accord vendredi entre les syndicats des chauffeurs routiers et une organisation patronale a levé la menace d'une grève et de blocus d'entrepôts en France à partir de dimanche. Deux jours de négociations sous l'égide de médiateurs désignés par le gouvernement ont été nécessaires pour éviter un conflit qui aurait eu de lourdes conséquences pour l'économie et aurait perturbé les fêtes de fin d'année des Français. Pour y parvenir, le gouvernement a mis dans la balance un allègement des charges des entreprises du secteur de 100 millions d'euros, grâce à une disposition législative votée dans la nuit de jeudi à vendredi par les députés. Les syndicats ont obtenu du syndicat patronal TLF (Transport et logistique de France), seul signataire de l'accord, une revalorisation salariale moyenne de 3,56% (4% pour le bas de grille, 2,9% sur le haut de grille) et une augmentation de 3% des frais des salariés du secteur des transports, notamment. Le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau, qui a assisté à la signature de l'accord au ministère devant les caméras, s'est réjoui de ce dénouement devant la presse. "Le gouvernement a souhaité que ce conflit soit évité à tout prix", en raison des conséquences qu'il pouvait avoir sur l'économie et les fêtes de fin d'année, a-t-il dit. Bien que signé par une seule organisation patronale, l'accord a vocation à s'étendre à l'ensemble de la profession au terme d'une procédure mise en oeuvre par les pouvoirs publics. "Le gouvernement veillera à ce que son extension se fasse dans les plus brefs délais", a assuré Dominique Bussereau. APPLICATION EN JANVIER 2010 Il suffirait que deux des quatre syndicats patronaux fassent opposition pour bloquer l'extension pendant près de six mois. Une hypothèse que les syndicats de salariés refusaient d'envisager vendredi soir. TLF représente 40% de la profession et 60% des salariés de la branche, selon les syndicats. Dans un communiqué, le syndicat patronal a annoncé que l'accord ferait l'objet d'un avenant conventionnel dès la semaine prochaine. "Il s'appliquera à l'ensemble des entreprises après la parution de l'arrêté d'extension, en janvier 2010." L'intersyndicale des chauffeurs (CGT, CFDT, CFE-CGC, FO et CFTC), qui avait montré depuis le début des discussions une forte détermination, s'est également félicitée de cet accord, qui apparaît comme un compromis. Sur les salaires, les syndicats réclamaient une revalorisation de 4% en moyenne. Ils ont finalement obtenu 3,56%. "C'est un compromis qui nous semble acceptable dans la situation où se trouve la profession", a déclaré Richard Jaubert, secrétaire général de la CGT Transports. Maxime Dumont, le chef de file de la CFDT, a estimé qu'il s'agissait d'un "accord du bons sens et du respect des salariés". "Grâce à l'implication d'une seule organisation patronale, nous avons pu sortir de l'impasse", a-t-il dit. Le bras de fer entre l'intersyndicale et une partie du patronat s'était poursuivi jusqu'au bout de la nuit de jeudi à vendredi, trois organisations patronales ayant quitté la table des négociations. Sur lepoint.fr, Nicolas Paulissen, délégué général adjoint de l'une des trois organisations, de la FNTR, a dénoncé "un accord unilatéral". "Nous dénonçons cet accord signé avec une organisation qui ne représente que des grands groupes", a-t-il dit. Interrompus à 06h00 (05h00 GMT) ce vendredi, les pourparlers ont repris vers 11h00 (10h00 GMT) avec la seule organisation TLF. Elles ont longuement buté sur une revalorisation des plus hauts salaires, ceux des chauffeurs qui effectuent de longs trajets, qui ont obtenu une revalorisation de 2,9%. Mais en restant à la table des négociations, "TLF a réussi l'exercice difficile de défendre les intérêts des entreprises tout en maintenant un dialogue social valorisant pour le secteur", a dit son président, Philippe Grillot. Gérard Bon, édité par Yves Clarisse
  16. Dans ce sujet il y a plusieurs questions : j'en pointe au moins deux : droits et devoirs d'un militant syndical (mais plus largement militant politique, associatif...) les droits Ceux-ci ont fortement évolué à la SNCF en quelques décennies en particulier depuis 68: rémunération, déroulement de carrière, reclassement au retour dans la vie professionnelle etc... Il fut un temps où un cheminot qui acceptait son détachement en partant sur la qualif A n'évoluait pas du tout. (demandez à Georges Séguy par exemple) Aujourd'hui il s'agit d'un déroulement de carrière moyen et de primes de travail moyennes... De plus la loi commence à prendre en compte les compétences acquises dans l'activité syndicale. Après la rémunération dépend aussi de la politique propre du syndicat en la matière (système de compensation financière pour les bas salaires...). Les devoirs Il est évident que les syndicats ont des comptes à rendre sur ce sujet d'abord à leurs adhérents ensuite à l'ensemble des cheminots. mais cela renvoie aux questions sur la démocratie. Le problème c'est qu'on vit dans un système où la délégation de pouvoir est de règle, système qui ouvre la porte à toutes les dérives possibles. "la base" ne se préoccupe pas suffisamment de ces sujets (mais il en est tout autant des finances par exemple...) Personnellement j'estime qu'il devrait y avoir des règles plus contraignantes sur les détachements : durée, cumul, responsabilités, pour les mettre en corrélation avec l'engagement militant (défense des intérêts des salariés) Mais sur ce sujet c'est d'abord au (x) syndicat(s) concerné(s) de les fixer en faisant le ménage chez lui et en précisant des règles transparentes. Le problème c'est que nous vivons dans un système de cooptation pour accéder aux responsabilités (que ce soit dans l'entreprise ou dans un syndicat) ce sont ceux qui sont en haut qui désigne ceux qui vont accéder aux responsabilités (même si il existe un système d'examen dans l'entreprise...mais je ne vais pas vous faire un cours sur les notations...)
  17. Ben y'a de l'amélioration Peut être quelqu'un pourrait-il le mettre sur le forum pour notre science personnelle...
  18. En Recommandé avec Accusé de Réception... Via la voie hiérarchique si c'est un courrier perso...
  19. Le tract sud http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=22062&hl=
  20. La loi prévoit que la direction doit porter à la connaissance des cheminots concernés le document, elle doit le diffuser ... ce qu'elle ne fait jamais... Pour autant la ou les Syndicat (s) concernés par la DCI pourrait très bien diffuser le dit document aux cheminots sauf qu'il y en a qui aime bien faire de la rétention d'information malgré l'existence de l'informatisation (scanners, internet, e-mails, forum et sites internet etc...
  21. Les donateurs de l'UMP enflamment l'Assemblée LE MONDE | 10.12.09 | Ministre du budget et trésorier de l'UMP : aux termes de la Constitution, il n'y a certes pas d'incompatibilité formelle. Est-il pour autant "stupide", comme l'a qualifié le ministre du budget, Eric Woerth, de demander, comme l'avait fait Christian Eckert (PS, Meurthe-et-Moselle), s'il n'y a pas là, "sinon conflit d'intérêts, pour le moins confusion des genres" ? La question a été posée, mercredi 9 décembre, à l'Assemblée nationale. S'en est suivi un vif échange, ponctué d'exclamations et de claquements de pupitres, et, au final, les députés de l'opposition ont quitté l'Hémicycle. M. Eckert s'interrogeait au vu du compte rendu paru dans Le Parisien du 9 décembre du "cocktail du premier cercle", lundi soir, à l'hôtel Bristol de Paris, à proximité de l'Elysée. "Pas n'importe quelle gargote !", a relevé le député. Un "premier cercle" qui réunit les gros donateurs de l'UMP : une centaine de "VIP" qui versent chaque année au parti présidentiel un minimum de 3 000 euros. Le don annuel peut aller jusqu'à 7 500 euros, plafond légal autorisé. Les membres du club en recrutent d'autres, par cercles concentriques : une recette importée des Etats-Unis. Ainsi, en 2007, l'UMP - qui perçoit par ailleurs une subvention annuelle de près de 33,5 millions d'euros au titre du financement des partis politiques - a-t-elle récolté plus de 9,1 millions d'euros de dons de personnes physiques. "Aucune incompatibilité" L'UMP dispose en la personne de Nicolas Sarkozy d'un "super-collecteur de fonds". Celui-ci, n'hésitant pas à payer de sa personne, jouait également, lundi soir, les agents d'ambiance à l'occasion du cocktail du Bristol. Accompagné de M. Woerth, il s'est ainsi engagé face à ses généreux donateurs, rapporte le quotidien, à ne "jamais" revenir sur le bouclier fiscal. "Les 9 millions d'euros collectés par le trésorier de l'UMP sont le meilleur placement du monde : ils rapportent les 13 milliards d'euros du bouclier fiscal", s'est indigné M. Eckert, se demandant si la fonction de ministre du budget était "compatible avec la fonction d'animateur du club des financeurs de l'UMP". "Il n'y a pas de problème, il n'y a pas de confusion des genres. (...) Je ne sais pas ce que vous essayez de démontrer au travers de votre question stupide", a répondu M. Woerth, provoquant la colère des élus socialistes. Prenant à son tour la parole, le président du groupe socialiste, Jean-Marc Ayrault, a demandé au premier ministre de répondre à cette "vraie question qui mérite une vraie réponse" et de "demander au ministre du budget d'exprimer des excuses". "Quand vous allumez le feu, quand vous organisez la polémique, il ne faut pas vous étonner que le gouvernement vous réponde, a répliqué François Fillon, vivement applaudi sur les bancs de l'UMP. Il n'est pas possible, pour le gouvernement, d'accepter sans réagir l'amalgame auquel vous avez tenté de procéder en posant une question qui n'en était pas une. Il n'y a évidemment aucune incompatibilité entre la fonction de trésorier d'un parti et celle de membre du gouvernement." Après avoir quitté l'Hémicycle, les députés du PS ont continué à critiquer ce cumul. "Moi, quand je suis devenu président de la commission des finances de l'Assemblée, j'ai immédiatement démissionné de mon poste de trésorier du PS, a rappelé Henri Emmanuelli (PS, Landes). C'est une question de morale, d'éthique." Dans un communiqué, Delphine Batho dénonce "la mobilisation désormais récurrente des moyens et des fonctions institutionnelles de la République pour le profit particulier d'un parti politique". La députée (PS) des Deux-Sèvres y voit "une grave entorse aux règles élémentaires de la démocratie". Patrick Roger
  22. Sur la forme : La diffusion des relevés de décisions est de la responsabilité de la direction (loi sur le service minimum). Perso je n'ai jamais vu de document sncf issu d'une Demande de Concertation Immédiate DCI au niveau national et au niveau régional c'est pas mieux... La loi est donc bien loin d'être respectée par les directions sncf... malgré les moyens dont elle dispose (intranet-internet-journaux d'entreprise) malheureusement les syndicats ne font pas mieux côté propagande pourtant les scanners ça existe... mais franchement il y a un problème dans la diffusion des informations Cherchez donc un relevé de décisions sur le forum... (oh il sera possible certainement d'en trouver un mais par rapport au nombre de DCI déposées ...et souvent suivies d'un préavis...) Sur le fond : Le compte rendu CGT ci-dessus pointe les différentes avancées... Il pointe aussi les difficultés unitaires... suite à la manif du 8 décembre (15.000 cheminots actifs et retraités dans les rues de Paris...) la fédération CGT a proposé une action d'ampleur nationale tous services en janvier... donc ... la stratégie ...
  23. Sur le site du Figaro... Mais si mais si...J'ei de bonnes et excellentes lectures... Le clip des jeunes UMP enflamme le web http://www.lefigaro.fr/politique/2009/12/1...mme-le-web-.php
  24. Tiens un troll ça faisait longtemps...
  25. Et il avait besoin de l'appeler pour lui dire ça ? Et l'un des deux (sinon les deux) a (ont cru) bon de le faire savoir... lapleunicheuse
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