Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Lettre d'un ex Militant
ou peut être quelqu'un de tout simplement honnête ?
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Lettre d'un ex Militant
Et surtout le Medef et l'UMP que l'on mérite... ...53% en 2007 après les 82% de chirac en 2002...
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Lettre d'un ex Militant
Vive le capitalisme... Travailler plus...
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grève sncf 19mars
Déjà plus de 180 manifestations et rassemblements recensés sur le territoire national.
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Lettre d'un ex Militant
Reçu par liste de diffusion e-mail aujourd'hui Je vous laisse l'adresse e-mail vous pourrez ainsi vérifier vous-même la véracité de cette lettre. De : Vincent Frileux [mailto:macfrile@hotmail.fr] Envoyé : lundi 2 mars 2009 15:34 À : dominique hertz; federation@fgaac.org; fede cgt Objet : J'ai constaté que la FGAAC communiquait sur le fait que M. POUPAT serait l'auteur de mon courrier. Vous vous doutez sûrement que je n'ai pas à titre personnel de réseau de diffusion aussi important qu'une OS. J'ai donc envoyé mon courrier à M. POUPAT pour demander à la CGT de l'aide en terme de diffusion. Ceci me paraît logique dans le sens ou j'entend militer dans cette structure. Celà dit je comprend que vous n'aimiez pas être renvoyé à vos responsabilité. Soyez assuré que je ferais le nécéssaire pour dissiper ce malentendu auprès des agents et veuillez agréer l'expression d'aucun sentiment distingué à votre égard. FRILEUX Vincent
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
"Le LKP est un collectif qui regroupe 49 partis, syndicats, associations… Il puise sa force dans ce lien (liyannaj) établi entre les milieux culturels, politiques, syndicaux, associatifs (défense de l’environnement, aide aux plus défavorisés…). Nombre de petits chefs d’entreprise ont aussi soutenu ouvertement le LKP." Manifestement , les 49 organisations ci-dessus ont réussir à s'unir et à mener un mouvement populaire et rassembleur soutenus par une large majorité des Guadeloupéens. Normal qu'il y ait des opposants virulents à ce mouvement (le medef, les békés, l'Ump...)... Maintenant sera-t-on capable en métropole de créer les conditions d'un large rassemblement et de faire vivre cette union pour faire avancer les revendications ? Le 19 mars peut être ?
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Grève générale reconductible en Guadeloupe
Le surprenant succès du LKP, objet politique non identifié Outre-mer. Comment le collectif guadeloupéen est devenu un acteur incoutournable. Libération ÉRIC FAVEREAU et ANTOINE GUIRAL Trois lettres qui ont changé la Guadeloupe et donné des sueurs froides à Paris depuis six semaines. LKP pour Liyannaj kont pwofitasyon («union contre l’exploitation outrancière») est un collectif qui regroupe 49 partis, syndicats, associations… Il puise sa force dans ce lien (liyannaj) établi entre les milieux culturels, politiques, syndicaux, associatifs (défense de l’environnement, aide aux plus défavorisés…). Nombre de petits chefs d’entreprise ont aussi soutenu ouvertement le LKP. «C’est cela qui a tout changé. Quand on voit les gens du LKP, c’est la Guadeloupe, toute la Guadeloupe. Il y a des professeurs, des gens du bâtiment, des agriculteurs, des employés municipaux, des syndicalistes. On a l’impression de se voir», explique Servais Vilovar, directeur d’un centre de formation à la retraite. Le LKP est-il indépendantiste ? A aucun moment la thématique de l’indépendance n’a été soulevée par le collectif. Elle ne figure pas dans la plateforme en 120 points rédigée par le LKP et remise au préfet de la Guadeloupe. La question de l’indépendance reste un véritable chiffon rouge pour une majorité de Guadeloupéens favorables au maintien du lien avec la métropole et ses subsides. Il n’était donc pas question de se couper d’une partie de la population en évoquant l’indépendance ou même une autonomie élargie de l’archipel. Le LKP compte pourtant en son sein nombre de formations ouvertement indépendantistes ou autonomistes. A commencer par l’UGTG - le premier syndicat de l’île, indépendantiste et considéré comme «dur et radical» par l’Etat. Son secrétaire général, Elie Domota, est directeur général adjoint de l’ANPE et porte-parole du LKP. Pour Rozan Mounien, ex-secrétaire général de l’UGTG et figure du LKP, «il ne faut pas prendre la place des gens. Le LKP est un mouvement démocratique dont la préoccupation du moment n’est pas l’indépendance. Cette question sera peut-être la prochaine. Le cadre juridique et institutionnel, le peuple sait à quel moment le choisir pour assumer son destin». Le LKP veut-il se transformer en parti politique ? C’est la grande crainte des responsables politiques locaux de tous bords. Très discrédités dans la population, ils soupçonnent le LKP de vouloir chercher des débouchés politiques dans les urnes à l’occasion des élections régionales de 2010. Une hypothèse exclue, pour l’heure, par Elie Domota : «Moi, je n’ai aucune intention de faire de la politique, je le dis et je le répète, cela ne m’intéresse pas du tout.» Et ne voit pas comment le LKP pourrait être «récupéré puisqu’il y a toutes les représentations politiques en son sein». Mais il reconnaît que «le LKP a vocation à durer» : «Peut-être d’une autre façon, moins visible, avec des groupes de travail, on verra…» Comment fonctionne le LKP ? «A l’automne, on s’est vus, comme on se voit tous les ans, raconte Elie Domota. Et d’ordinaire, on n’est jamais d’accord. Là, cette fois-là, il y a eu comme un déclic. En trois heures, on est tous tombés d’accord sur la plateforme. C’est que cela devait être le bon matin.» Le visage du LKP est incarné par Elie Domota. Cet homme calme et déterminé a acquis au fil des semaines une aura qui ne lui monte guère à la tête. Le collectif dispose d’un imposant service d’ordre et de militants de choc qui durant six semaines ont contraint les magasins à baisser rideau. Rompus aux conflits longs, les syndicats dominent au sein du LKP. Mais la voix des associatifs est aussi écoutée. Notamment celle de l’ensemble musical Akiyo, très populaire dans l’archipel. Dans les négociations, «Elie Domota a un rôle essentiel, c’est lui qui parle et répond presque tout le temps», assure le préfet. Un des deux médiateurs envoyés par Paris raconte : «En arrivant, on nous disait qu’il fallait contacter des gens qui étaient les conseillers de l’ombre du LKP. C’était bidon. Face à nous, on avait vraiment les vrais négociateurs.»
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Lettre d'un ex Militant - Responsable FGAAC
Lettre d'un ex Militant Fgaac Ex secrétaire du syndicat FGAAC de Montparnasse. Ajout Par rapport aux deux posts ci-dessous : il suffit de faire un copier-coller entre deux documents word par exemple pour modifier les données de référence du document. Ensuite comment ce document a été diffusé ... ? dieu seul le sait mais il fait le tour de France c'est tout donc normal qu'il parvienne sur ce forum... La lettre étant signée, il suffit de demander à son auteur confirmation ou infirmation. 2009_02_28_LettreExMilitantFGAAC.pdf
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La Der des Der ... de Dom
Merci à Toutes et à Tous... ...15 jours sans penser à rien... pas d'horaires, pas d'obligations et ...pas de petits chéfaillons... Le bonheur... et en plus le soleil et pas une goutte de pluie sur le Finistère...
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La Der des Der ... de Dom
Merci à Toutes et à Tous. Biz Dom
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Un dividende de 207 euros versé en février
Et celui de la CFDT-FGAAC : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=17784
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Mobilisation sociale : Jeudi 29 janvier 2009 et ses suites 18 février, 19 mars ...
Cinq pistes pour pousser les ménages à acheter à nouveau LE MONDE | 13.02.09 Comment relancer la consommation ? Comment, dans un climat économique morose et incertain, inciter des ménages à acheter une nouvelle voiture, une machine à laver, des vêtements ? Si les économistes s'accordent de plus en plus sur l'extrême nécessité de donner un coup de fouet à l'économie en stimulant la consommation, les conseils pour y parvenir sont disparates. "Aucune solution n'est magique", admet André Sapir, économiste au centre Bruegel. Distribuer des bons d'achat. Il s'agit de la mesure la plus évidente à mettre en place. L'Etat offre aux citoyens des sortes de "chèques cadeaux" valables pendant une durée déterminée. Taïwan l'a mis en place avec succès en 2008, tandis que les Etats-Unis prévoient d'élargir la distribution de bons d'alimentation (food stamps) aux plus démunis. Ce dispositif est "forcément efficace, car les ménages concernés n'ont d'autres options que de consommer. La mesure est aussi sociale, mais elle ne peut être que transitoire", juge Jean-Louis Mourier, économiste chez Aurel BGC. En outre, le système, faisant intervenir l'administration publique et les acteurs privés, est complexe à mettre en oeuvre. Baisser la TVA. C'est l'option prise par le Royaume-Uni en novembre 2008. En diminuant la taxe sur tout ou partie des produits commercialisés, l'Etat espère provoquer une baisse des prix et inciter le consommateur à acheter. "Si la mesure est temporaire, de six mois à un an, et annoncée comme telle, le consommateur est d'autant plus alléché", estime l'économiste André Sapir. Selon lui, l'effet est mécanique. "Réduire de 2 % la TVA ajoute un point de croissance", calcule-t-il. L'avantage est que la mesure peut être immédiate, générale et coordonnée entre les Etats. Le risque est que cette baisse ne se traduise pas par une diminution des prix, mais soit utilisée par les distributeurs pour améliorer leurs marges. Réduire les impôts directs. Aux Etats-Unis, où ce débat est le plus vif, Barack Obama a promis des baisses d'impôts de l'ordre de 500 dollars par contribuable (387 euros), et de 1 000 dollars pour un couple. Avant lui, en janvier 2008, George Bush avait employé la même méthode pour stimuler la demande en offrant 800 à 1 600 dollars de réduction d'impôt. Mais, compte tenu des craintes des consommateurs, ce bonus fiscal peut inciter les contribuables à épargner plutôt qu'à dépenser. Les trois quarts des sommes rendues aux contribuables américains en 2008 ont ainsi été mises de côté et l'efficacité de la mesure n'a duré qu'un trimestre. Le dispositif est recommandé par le Fonds monétaire international (FMI), mais pour être optimal, il doit "être vaste, généralisé, opportun, durable et soutenable", indique l'organisation dans un rapport publié en décembre 2008. "Vaste, car le déclin de la demande est généralisé, opportun, car il faut une action immédiate, durable, car la crise va durer quelque temps, contenu car, pour apaiser les craintes de voir s'installer une grande dépression, il faut être en mesure de faire plus, et tenable pour ne pas provoquer d'explosion des déficits publics", précise le FMI. Améliorer l'assurance-chômage. La plupart des économistes estiment que l'atonie de la consommation est décuplée par la progression du chômage. La perte d'emploi se traduit par une réduction brutale des revenus et une montée de l'inquiétude des ménages, en particulier dans les pays anglo-saxons, où les assurances-chômage sont réduites et très limitées dans le temps. La réduction de la consommation est d'autant plus radicale que le chômage touche d'abord les salariés peu qualifiés qui disposent de peu d'épargne. Améliorer la couverture du chômage, en augmentant les sommes reçues et en allongeant les durées d'indemnisations, endigue ce cercle vicieux. "Pour relancer la consommation, il est impératif de soutenir en priorité les victimes du chômage", estime Christian Menegatti, économiste chez RGE Monitor à New York. En France, Jacques Attali est lui aussi favorable à une telle mesure, "plus juste socialement" qu'une relance de la consommation qu'il juge inefficace. Augmenter les salaires. Il s'agit du cheval de bataille des syndicats. En France, notamment. Fin janvier, La CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA ont ainsi "appelé l'Etat à ses responsabilités" pour améliorer le pouvoir d'achat des salariés. La CGT réclame une hausse du salaire minimum de 1 300 euros brut à 1 600 euros brut. "Il s'agit non seulement de relancer la consommation, mais aussi d'assainir le système en rééquilibrant le partage des revenus", estime Maryse Dumas, déléguée CGT. Reste que les entreprises, en difficulté, n'ont pas toujours les moyens de le faire et la plupart ont, au contraire, tendance à réduire leurs coûts salariaux. Claire Gatinois
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Mobilisation sociale : Jeudi 29 janvier 2009 et ses suites 18 février, 19 mars ...
Deux syndicats de police (FO et UNSA) dénoncent une discrimination Deux syndicats de police déjà en conflit avec le ministère de l'Intérieur sur la question des effectifs annoncent leur intention de saisir la Halde pour "discrimination syndicale." Dans un communiqué, le SGP-FO et l'Unsa police reprochent à la direction d'avoir convoqué un seul syndicat, Alliance, proche de la droite, pour débattre de la question de la fidélisation des policiers en zone difficile. Les deux organisations, qui disent représenter 60% des effectifs, estiment que le choix par l'administration de son seul "syndicat favori" relève de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité. "Il semble que l'administration recherche le 'clash' pour liquider les droits démocratiques", écrivent les dirigeants des deux syndicats, Nicolas Comte et Henri Martini. Le SGP-FO et l'Unsa-police, classée à gauche, avaient déjà reproché au ministère de s'être appuyé sur Alliance pour faire passer la suppression de 4.829 emplois dans la police d'ici 2011. Ils dénoncent également la "course aux chiffres et aux résultats" voulue par Nicolas Sarkozy. "C'est un passage en force car une majorité de policiers ne veut pas d'une réduction d'effectifs et de la perte d'une semaine de congés", avait alors déclaré Nicolas Comte. En conséquence, les deux syndicats prévoient d'organiser une "manifestation monstre" de plusieurs dizaines de milliers de policiers le 21 mars à Paris. Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser
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Un dividende de 207 euros versé en février
Dividende ou prime exceptionnelle Au sujet des salaires... http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=17841&hl=
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La Prime... (ex Gexci...)
Au sujet des salaires, de la GEXCI, de la Prime et du dividende ... CGT http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=17841&hl= CFDT-FGAAC http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=17784
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Information Salaires - Après la prime exceptionnelle
Information CGT Après la prime exceptionnelle Parlons salaires 13 février 2009 2009_02_13_CGT_fede_13_02_09_Tract_Apres_la_prime_exceptionnelle__si_on_parlait_salaire_DL.NG.pdf
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La Der des Der ... de Dom
Et hop Dom a fait le grand bon (en avant bien entendu...) Dernière journée de boulot dans un poste d'aiguillages (j'vous passe les péripéties parce que ça aura quand même duré jusqu'à la fin les emm...) Merci à tous les potes qui sont venus m'accompagner dans l'effort...HiHiHi à toutes celles et tous ceux qui m'ont appelé (le standart a explosé...) ou qui m'ont adressé un message merci A Mon Amvette du jour qui a joué la petite téléphoniste Merci pour vos messages votre gentillesse et votre amitié. et maintenant vive la retraite, le cidre et le Chouchen quelque part dans un trou perdu du Finistère... Dom Heureux
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Yves JEGO "le mépris total"
Gardons les avantages et supprimons les inconvénients...
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Yves JEGO "le mépris total"
Pour 2008 je viens de calculer les dépenses de santé à la maison : pour ma femme : 10.000 euros (trois interventions chirurgicales - maladie prise en charge à 100%- , suivi médical par spécialistes, médecins et médicaments...) Pour moi : 1000 euros (dentiste, médecin, médicaments...) Au total : 9.500 euros pris en charge par la CP et la CPAM 1.400 euros par la mutuelle 100 euros à notre charge Pour 2008 mes cotisations sociales (ma femme ne travaille plus vue sa maladie...mais elle est prise en charge par la sécu et non par la CP au titre d'ayant droit)) part ouvrière 3000 euros / an part entreprise :3600 euros /an (salaire différé : fruit de MON/NOTRE travail collectif) Heureusement que nous sommes dans un système solidaire... (Liberté, égalité, fraternité...) Alors oui j'ai sûrement cotisé quand j'étais plus jeune, largement plus que je n'ai touché à l'époque mais aujourd'hui je suis bien content de ce système de sécurité sociale solidaire et j'espère vieillir heureux et ma femme aussi malgré ses soucis de santé.
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Yves JEGO "le mépris total"
Yves Jego présente 39 propositions pour la Martinique LEMONDE.FR 13.02.09 Le comité LKP a rompu les négociations en Guadeloupe jeudi 12 février, après vingt-trois jours de grève générale. Il appelle à manifester samedi. La crise aux Antilles menace de s'étendre. En Guadeloupe, le comité LKP a rompu les négociations dans la soirée de jeudi 12 février. Yves Jégo, le secrétaire d'Etat à l'outre-mer avait installé la veille les deux médiateurs dépêchés mardi par le premier ministre, François Fillon. Mais après quelques heures, les négociateurs du LKP ont affirmé qu'ils ne reprendraient pas la discussion avant que l'Etat co-signe le pré-accord élaboré dimanche avec le patronat. Ils "ne reprendront les discussions que sur la base du pré-accord" prévoyant 200 euros d'augmentations salariales et 108 millions d'allègement de charges pour les entreprises. Une manifestation est en préparation pour samedi à l'appel du LKP. De son côté, le Mouvement des entrepreneurs de Guadeloupe (MEG) a rendu publiques jeudi soir cinq propositions dont "une prime trimestrielle de pouvoir d'achat" de 150 euros nets, "non soumise à cotisations salariales et patronales". Cette proposition requiert l'accord de l'Etat, qui devrait en assumer le coût. Mais elle risque de se heurter à un refus du gouvernement qui a maintes fois répété que ce n'était pas à lui de "financer les hausses de salaire" du privé. 39 PROPOSITIONS POUR LA MARTINIQUE En visite éclair en Martinique, où la grève dure depuis huit jours, M. Jégo a présenté trente-neuf propositions qu'il a soumis au collectif intersyndical "du 5 février", qui proteste "contre la vie chère et pour l'emploi". Parmi celles-ci, il propose une baisse "immédiate" des prix du carburant de 8 centimes pour l'essence et de 10 centimes pour le gazole. Il a confirmé la baisse de 20 % "avant la fin du mois de février" des prix de cent produits de première nécessité, comme l'avait obtenu le collectif mardi lors de négociations en préfecture. Autre mesure "pour répondre aux attentes en matière de pouvoir d'achat": le versement d'une prime exceptionnelle de 200 euros "dès le mois d'avril" aux cinquante mille50 000 foyers martiniquais aux plus bas revenus, soit une enveloppe de 10 millions d'euros. En revanche concernant l'augmentation de tous les bas salaires réclamée par le collectif, M. Jégo a renvoyé la balle aux partenaires sociaux. A la Réunion, un collectif a appelé jeudi à à la grève générale. Les principales revendications s'inspirent du mouvement aux Antilles : augmentation de 200 euros des bas salaires et des minima sociaux, baisse de 20 % sur les prix des produits de consommation courante, gel des loyers sociaux et baisse de 5 euros du prix de la bouteille de gaz. "Une grève générale ne se décrète pas, elle se construit", a déclaré vendredi matin à Radio Réunion, Eric Soret, porte-parole du collectif.
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Yves JEGO "le mépris total"
Ne serait-ce pas un certain OBAMA aux USA qui a promit d'instaurer une "sécurité sociale" obligatoire pour tous les salariés américains ? ET oui elle existe pas la bas... pourtant le salaire moyen net est bien plus élevé aux USA qu'en France... Allez comprendre
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Yves JEGO "le mépris total"
Les négociations avec les médiateurs débutent mal en Guadeloupe Reuters Les discussions entre le Collectif contre l'exploitation (LKP), à l'origine de la grève générale affectant la Guadeloupe, et les deux médiateurs désignés par le gouvernement ont été interrompues jeudi après quelques minutes, a-t-on appris de source syndicale. Les deux médiateurs, Jean Bessière et Serge Lopez, devaient rencontrer séparément le LKP et le patronat local. Mais le collectif est arrivé à la table des négociations mécontent, en contestant l'existence d'un document diffusé par le gouvernement comportant "131 points d'accord". "On ne peut pas parler de rupture de négociations, il n'y a pas eu de négociations. La rencontre avec les deux médiateurs a duré à peine cinq minutes", a dit jeudi par téléphone à Reuters Jean-Marie Nomertin, secrétaire général de la CGTG (Confédération générale du travail de la Guadeloupe), l'une des 49 organisations syndicales qui composent le LKP. "Nous sommes arrivés pour discuter, nous ne sommes pas restés, ils ne connaissent pas le dossier. Ils ne sont même pas au courant du nombre de points d'accord ni de leur contenu", a-t-il précisé. "Ici, il y a des gens davantage compétents, des spécialistes de la Guadeloupe. Ce n'est pas la peine de faire venir des Parisiens pour régler le conflit", a-t-il ajouté. Les organisations réunies au sein du LPK en sont à leur 23e jour de grève contre la vie chère dans l'île. Le gouvernement a refusé de céder sur la principale revendication des grévistes, la garantie d'une augmentation salariale. Gérard Bon et Marine Pennetier, édité par Sophie Louet
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Votre Up Et Votre Down
Merci à tous Vendredi 13 De la neige ...
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Les différents taux horaires
Pour les nuits il y a aussi une indemnité et une allocation. De plus pour le calcul de l'allocation pour travail de nuit : il faut sortir de polytechnique Il y avait un fil consacré à ce sujet sur le forum. Bonne recherche.
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Votre Up Et Votre Down
Up : plus qu'une, la der des der ... demain vendredi 13 HiHiHi Down : encore une à tirer... Dur Dur