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Sécurité publique. L'absurde politique du chiffre http://www.letelegra...011-1483392.php Atteindre les objectifs ou se faire taper sur les doigts. Préfets, patrons de la police et de la gendarmerie n'ont pas le choix. D'où une course effrénée, parfois absurde ou à la frontière de la légalité, pour faire du chiffre. Bref, les statistiques de la délinquance ont-elles encore un sens? Les chiffres de la délinquance fournis par le ministère de l'Intérieur sont-ils le reflet de la réalité? «Non! tranche Laurent Mucchielli, sociologue, spécialiste des questions de délinquance et directeur de recherche au CNRS. Ces chiffres correspondent peu ou prou aux objectifs fixés par le ministère en début d'année! Tout est biaisé». La preuve, avec les enquêtes de victimation désormais intégrées par l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Celles-ci ont, notamment, démontré que le nombre de vols ou tentatives de vols subis en 2009 aurait été trois fois plus élevé que celui déclaré aux forces de police et de gendarmerie. Autres exemples: une violence physique sur quatre (26%) déboucherait sur un dépôt de plainte. Ce taux n'excéderait pas un sur dix (9%) pour les violences sexuelles, et un sur quatorze (7%) pour les violences intra-familiales! «Passer au Sarkomètre»... Si les chiffres du ministère sont si éloignés de la réalité, c'est aussi «à cause de la politique du chiffre instaurée par Nicolas Sarkozy lors de ses passages au ministère de l'Intérieur, estime Laurent Mucchielli. Cette politique a tout perverti. Elle ne consiste pas à faire baisser la délinquance mais à ne pas déplaire au ministre...». Préfets et policiers ont la trouille de passer au «sarkomètre». C'était du temps où Nicolas Sarkozy convoquait les préfets et directeurs de la sécurité publique des cinq départements aux résultats les moins bons... Pratique qui, selon nos sources, aurait toujours cours. ... ou «passer la raclette»? On tape sur les doigts des mauvais élèves? Ce n'est pas bien grave: ce sont eux qui s'auto-évaluent et livrent leurs propres résultats! Du coup, tous tentent de minimiser les mauvais chiffres. Comme il y a quelques années, dans les Côtes-d'Armor, où décision avait été prise de ne plus comptabiliser dans les délits tous les actes de délinquance de proximité dont le préjudice était inférieur à 400 €! En langage policier, on appelle cela «la raclette». Tout le monde s'était réjoui de la providentielle «baisse» qui avait suivi! Les combines ne manquent pas. Comment faire, par exemple, pour remonter un mauvais taux d'élucidation? Facile: il suffit d'interpeller des proies faciles: les fumeurs de shit et les clandestins, comme l'a récemment confirmé une conversation téléphonique piratée (arrivée sur le bureau d'un juge d'instruction parisien) entre un brigadier-chef «pas fier» de ces méthodes frôlant parfois l'illégalité et un commandant de police. Un interpellé égale 100% d'élucidation! Problème: en faire trop fait augmenter les taux de délinquance... Policier: un vrai job d'équilibriste! Ordres absurdes, policiers ulcérés Les objectifs aussi sont chiffrés. Jusqu'à l'absurde. Le ministère liste ainsi le nombre d'infractions routières que les forces de l'ordre devront réprimer: excès de vitesse, alcoolémies, etc. Y compris les «refus d'obtempérer»! Pour la ville de Pau, les policiers devront en fournir 51 en 2011, ont fait savoir, en février dernier, des policiers ulcérés. «Comment fait-on? s'agaçait l'un d'eux. On provoque les automobilistes? On les laisse partir et on les course ensuite? C'est n'importe quoi et surtout, ce n'est pas ça notre boulot». Des aveux de flics, le député PS Jean-Jacques Urvoas en recueille à la pelle. Exemple avec cette confession d'un gradé d'une CRS de la région: on l'avait envoyé, lui et son équipe, patrouiller dans une cité sensible. Une mission à partager avec une autre, beaucoup plus importante: faire 50 timbres amendes dans la journée. L'équipe s'est alors installée sur un rond-point, hors de la cité en question, et a fait ses 50 timbres amendes dans la journée. Comme prévu. «On n'a pas patrouillé et ce sont des honnêtes gens qu'on a emmerdés...». Autre exemple recueilli, toujours dans la région, avec cet officier qui explique que les cinq premiers jours du mois sont exclusivement consacrés... à la réalisation des objectifs mensuels. «Comme ça, après, les équipes peuvent vraiment faire leur vrai boulot de policier...». Encore plus délirant: même les SDIG (anciens RG) sont mis à contribution. On leur demande de produire «plus de notes». Les équipes obtempèrent. En fait, elles se sont adaptées. «Au lieu de faire une note de quatre pages, on en fait deux de deux pages...». Bilan favorable: mode d'emploi Tout cela est tu. Mais parfois, une pépite apparaît. Comme cette note du directeur général de la gendarmerie, rendue publique par Jean-Jacques Urvoas, qui donne de très claires instructions pour «viser un bilan favorable de l'évolution de la délinquance en 2011», malgré «la tendance haussière actuelle». Avant les élections, il faut faire place nette! Le général en chef sonne la charge: «Ne pas procéder à l'enregistrement infondé d'agressions», promouvoir le dispositif «voisins vigilants», mobiliser les escadrons de sécurité routière dans la lutte contre les cambriolages, les escadrons de gendarmes mobiles, les élèves-gendarmes, les réservistes (...) «Cela va super pipeauter», pronostique Jean-Jacques Urvoas. Hervé Chambonnière La grande (dés)illusion Un peu de recul. Quelles sont les tendances de la délinquance? Après un pic en 1993, le nombre des atteintes aux biens est en baisse quasi constante (1,85million en 2009 contre 2,64millions en1993) en France. Grâce à la police? Non, plutôt grâce aux nouvelles techniques de protection (systèmes anti-intrusion, alarmes) qui ont fait chuter, par exemple, le nombre de vols liés aux voitures (et bientôt les vols de téléphones mobiles). Autre preuve: le nombre de vols de voitures a chuté de 293.500 en 1990 à 196.100 en 2004... alors que le taux d'élucidation de ces affaires n'a pas augmenté. Il a même baissé (9,1% contre 10,8% en 1990)! Cette importante baisse du nombre de véhicules volés a, par ailleurs, masqué certaines hausses. Parce que les biens sont mieux protégés, le recours à la violence aurait augmenté. Hérault: un policier sur 16 sur le terrain Au sujet des violences, la moitié se déroulerait à l'intérieur du cercle familial. «Même avec la meilleure police au monde, difficile d'empêcher cela», convient Jean-Jacques Urvoas, député finistérien et spécialiste des questions de sécurité au PS. Il estime d'ailleurs qu'augmenter le nombre de policiers et de gendarmes n'est «pas forcément la solution». Sa priorité irait d'abord aux infrastructures - «Certains bâtiments sont exigus et insalubres: à quoi cela servirait-il de vouloir mettre davantage de fonctionnaires à l'intérieur?» - et au recrutement de personnels administratifs. Ceux-ci sont plus rapidement formés et coûtent moins chers que des policiers ou des gendarmes. Ils ont surtout un autre atout: ils permettraient aux policiers, libérés des tâches administratives, d'aller sur le terrain. Dans l'Hérault, le taux de présence policière sur le terrain n'excéderait pas, selon le député, 6%! Pas de nouvelles voitures avant... 28 ans Avec les investissements actuellement engagés pour la sécurité, la police sait, par exemple, qu'elle ne pourra pas remplacer ses voitures, qui fonctionnent déjà sept jours sur sept... avant 28 ans! Il y a quelques jours, Claude Guéant reconnaissait qu'en matière d'économies, son ministère «arrive à la corde». Dans l'un des articles publiés sur son blog, le sociologue Sébastian Roché commente cette politique du chiffre: «C'est une vision naïve de croire que les politiques peuvent réellement influencer à court terme et lourdement les tendances de la délinquance. Mais eux ont besoin de faire croire qu'ils "peuvent" faire la différence...». H.C.
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La population mondiale est de - Population of the world is 7 000 191 736 personnes lundi 31 octobre 2011 à 4 h 17 min et 31 s (heure du pôle nord - north pole time ) Le compteur a été mis à jour
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Où est-ce que ça en est sur le terrain : limitation de vitesse observée par les conducteurs ? -
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Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans Le site www.cheminots.net
J'aimais bien quand la liste des anniversaires du jour était en haut de la colonne à droite... C'est vrai que je suis un peu fan... (quand j'y pense...) serait-il possible de la faire remonter d'un étage au moins... sous la liste des nouveaux sujets ce serait pas je trouve -
Le texte de l'article du lien ci-dessus Photo sur le lien... Le TGV pulvérise l'avant d'une voiture à Boucau (64) : l'automobiliste miraculeusement indemne "J'ai entendu un grand boum au moment où je me suis engagé", raconte le conducteur de la Clio. Le TGV Hendaye-Paris est entré collision avec son véhicule au passage à niveau de la Cale à Boucau. Vers 15 heures ce dimanche, le TGV 1558 Hendaye-Paris est entré collision avec un véhicule Renault Clio au passage à niveau de la Cale à Boucau. Anthony, le conducteur témoigne : "Je passe souvent par ce passage à niveau. J'ai entendu un grand boum au moment où je me suis engagé, car la barrière de sécurité a percuté mon pare-brise'', et au même instant, la motrice du TGV a heurté l'avant du véhicule, qui a été littéralement pulvérisé par le choc. Le conducteur âgé de 26 ans et résidant à Tarnos n'a pas une égratignure. ''Si le train avait circulé sur la voie 1 ou lieu de la voie 2, il se faisait couper en deux'' , assure un cheminot. L'alcootest effectué par les services de la police s'est révélé négatif. Après un examen de la motrice, le TGV devait repartir.
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Je ne suis pas sur Facebook : je n'y trouve personnellement aucun intérêt (j'ai regardé chez un pote) Y'a Breizhbook maintenant mais j'ai l'impression que c'est du même tonneau... Encore moins sur twitter (d'ailleurs faudrait déjà que j'ai du réseau de téléphone portable dans mon village et la campagne environnante...) ici nous sommes encore au 20ème siècle...et bien loin de Brest Bon y'a des crèpes, du cidre, du chouchenn et du lambig... on ne peut pas tout avoir ! Le traditionnel, ça a du bon surtout si on y ajoute la musique bretonne, les Fest-Noz et les Bagads
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Appel à la manifestation des retraites 15 novembre 2011 - cgt Cheminots
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
Appel à la manifestation des retraites 15 novembre 2011 CGT CFDT SUD UNSA FGRCF Appel cgt Cheminots 12h30 : Rassemblement rue du Cdt Mouchotte -Montparnasse départ manifestation 14h 2011-10-30-CGT-Cheminots-APPELMANIFESTATIONRETRAITES.doc -
P... de fonctionnaires ! 70 000 passagers bloqués par l'annulation de l'ensemble des vols Qantas http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/30/70-000-passagers-bloques-par-l-annulation-de-l-ensemble-des-vols-qantas_1596173_3224.html
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sécurité sociale Quand la retraite tourne au cauchemar... Accusés, sans preuve, de «fraude», des centaines de retraités partis avec le dispositif «carrière longue» sont sommés par la Sécu, plusieurs années après, de restituer les pensions qu’ils ont touchées. Un an que celui-ci «ne dort plus que quatre heures par nuit» et vit «comme un zombie». Tel autre, «la peur au ventre», s’est résolu à «vendre sa maison», confie une syndicaliste qui le défend, avant d’évoquer un troisième cas, celui d’un homme «au bord du suicide», contraint de retourner, à plus de soixante ans, «vivre chez sa mère» … Comme eux, elles et ils sont des dizaines, peut-être des centaines, de retraités à vivre un véritable cauchemar depuis que la Sécurité sociale leur a annoncé qu’elle leur réclamait… la restitution des pensions perçues depuis leur départ en retraite, il y a deux, trois, voire quatre ans. Motif : pour la Sécu, ils n’y avaient, en réalité, pas droit ! enquête serrée pour des «carrières longues» Cette affaire, révélée hier par la CGT, remonte à 2003. Voyant sa réforme des retraites massivement contestée, le gouvernement concède à la CFDT –qui en tirera argument pour finalement approuver le projet Fillon– la mise en place d’un dispositif de départ anticipé pour les carrières longues : un salarié ayant commencé à travailler tôt peut prétendre partir avant soixante ans, à condition d’avoir cotisé quelques trimestres de plus que la durée normalement exigée. D’emblée, les candidats affluent. D’autant que la loi leur permet, afin de remplir les conditions, de faire valider très aisément des périodes travaillées dans leur prime jeunesse (emplois saisonniers, etc.), pour lesquelles ils n’ont pas de justificatif, bulletin de paie ou autre. Une attestation sur l’honneur signée par deux témoins suffit. Jusqu’en 2008 où le gouvernement, trouvant la mesure trop coûteuse, change les règles du jeu en se montrant beaucoup plus exigeant pour la validation de ces périodes. La Sécu multiplie alors les contrôles, des centaines de dossiers déjà liquidés sont rouverts, de nombreux retraités «carrière longue» sont soumis à une enquête serrée. Et au final, à ce jour, 600 se voient notifier, au motif de «données non fiables», sans plus de précision, l’annulation pure et simple de leur droit à pension, alors qu’ils sont en retraite depuis plusieurs années. Ils sont sommés de restituer les sommes «indues», soit jusqu’à 70 000 euros, et subissent, parfois même, la suspension de leur retraite. Avec, à la clé, les conséquences dramatiques qu’on imagine. la CGT dénonce le piétinement du droit Si la CGT ne veut pas défendre les éventuels réels fraudeurs, dit Éric Aubin, en charge des retraites, il n’est pas question non plus de laisser stigmatiser le plus grand nombre de ces retraités qui, «au pire, pour certains», ont été conduits par la Sécurité sociale elle-même à «optimiser le dispositif», comme l’a admis son directeur lors d’une récente rencontre avec le syndicat. Surtout, la CGT dénonce le piétinement de principes essentiels de droit, avec l’application rétroactive des consignes de 2008 aux dossiers liquidés auparavant, et le lancement de l’accusation de fraude sans en apporter de preuve ni démontrer une intention frauduleuse. Alors que les tribunaux des affaires de Sécurité sociale (Tass) commencent à rendre, sur ces bases, des jugements favorables aux victimes qui les ont saisis, le syndicat a interpellé le ministre du Travail et demandé «la fin d’un acharnement injustifié» Premier recul de la Sécu Recevant une délégation de la CGT, le 12 octobre, le directeur de la Sécurité sociale a reconnu «la légitimité de notre démarche», indique Éric Aubin, mais il a refusé de s’engager à ne pas faire appel des décisions des tribunaux favorables aux retraités à carrière longue ayant déposé des recours. Il a toutefois promis qu’il n’y aurait pas, désormais, d’application rétroactive de la circulaire de 2008, ce qui devrait conduire au classement de nombreux dossiers. À suivre.
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Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans Le site www.cheminots.net
Avec Safari quand je voulais envoyer un MP à un membre un bandeau de pub venait recouvrir une partie de la fenêtre du message à envoyer. Il suffit de jouer de la molette de la souris pour faire descendre la fenêtre et pouvoir écrire son message. Merci à Nipou pour l'astruce. Ne pas oublier de mettre à jour son logiciel à jour pour ceux qui utilise SAFARI : version 5.1.1 Merci à Katamiaw pour l'information. -
Réaction de la CGT au sommet européen et au discours de Nicolas Sarkozy 28 octobre 2011 Les rodomontades du Président ne trompent personne. Les décisions du Sommet du 26 octobre, loin de sauver l’Europe et la France, enfoncent un peu plus le continent dans l’impasse. On ne desserre pas l’étau de la dette. On continue d’alimenter les marchés financiers, on les alimente par de nouveaux endettements. Le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) au lieu de servir de pare-feu va nourrir l’incendie. Tout le continent est mis à l’heure de l’austérité au risque d’aggraver la récession qui s’annonce. Les pays seront de moins en moins à même de faire face au poids de la dette. La crise financière va être relancée par les perspectives de faible croissance. Aucun moyen nouveau n’est dégagé pour soutenir l’activité. La recapitalisation des banques n’est pas le problème. Les gouvernements demandent aux banques d’enregistrer une partie des pertes sur la dette grecque. Mais on ne leur demande pas de financer l’activité économique, ce qui serait leur rôle. Ainsi, le jour même où les chiffres du chômage battent un nouveau record les cours de la Bourse s’envolent ! Le Président de la République annonce un nouveau plan d’austérité de l’ordre de 8 milliards. Sa mise en œuvre est confiée à François Fillon qui répète sans arrêt au mépris de la réalité, que « les Français vivent au dessus de leurs moyens ». De nouvelles amputations du pouvoir d’achat sont à l’ordre du jour concernant les allocations, minima sociaux et remboursements de la Sécurité sociale. Une augmentation de la TVA est clairement à l’ordre du jour. C’est pourtant l’impôt le plus injuste puisqu’il est identique sur la consommation des riches et des pauvres. Les fonctionnaires continuent d’être présentés comme des « budgétivores ». C’est l’austérité au goutte à goutte. D’abord la réforme des retraites, ensuite la mise au régime sec des services publics, puis la réduction des indemnités journalières, le prélèvement sur les mutuelles, l’augmentation de la CSG sur les salaires… Faute de pouvoir présenter l’addition en une seule fois, le gouvernement la découpe en tranches qui se succèdent de plus en plus vite. Nicolas Sarkozy ne masque pas son intention de relayer la revendication du patronat de bouleverser les modalités de financement de la Sécurité sociale au nom de la compétitivité des entreprises et pour mettre un terme "à l’assistanat". C’est un pilier essentiel du contrat social qui est menacé. Dans la philosophie présidentielle les entreprises sont exonérées de toutes responsabilités, ce qui est un comble. Cerise sur le gâteau, les gouvernements prétendent imposer la fameuse « règle d’or » qui privera tous les pays, en corsetant les dépenses publiques, d’un levier décisif de politique économique. Au lieu « d’encadrer les marchés financiers », les gouvernements européens sont en train de « limiter la démocratie » ! La CGT réaffirme ses dix exigences pour une autre répartition des richesses créées : 1 - Revaloriser les salaires, les pensions et les minima sociaux. 2 - Contrôler les aides publiques aux entreprises 3 - Contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements 4 - Supprimer des exonérations fiscales et sociales sur les heures supplémentaires 5 - Stopper les suppressions d’emplois 6 - Développer les politiques publiques et les moyens des services publics 7 - Réformer la fiscalité en profondeur 8 - Créer un pôle financier public et établir un mécanisme de crédits à taux réduits pour 9 - Taxer les mouvements spéculatifs de capitaux et éradiquer les paradis fiscaux. 10 - Mettre en place un fond européen de solidarité sociale et de développement économique Plus que jamais, la CGT appelle l’ensemble des salariés, retraités et demandeurs d’emploi à s’organiser dans la CGT et à se mobiliser pour faire prendre en compte leurs revendications légitimes. Communiqué de la CGT Montreuil, le 28 octobre 2011
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Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans Le site www.cheminots.net
Sur la page accueil du forum colonne de droite rubrique "anniversaires" si on clique sur "afficher tous les anniversaires" on tombe sur une page "évènements"... -
Accident à un PN à St Macaire (33)
Dom Le Trappeur a répondu à nicopasta situé dans Actualité ferroviaire générale
http://www.sudouest.fr/2011/10/29/le-drame-a-ete-evite-de-justesse-539648-2932.php Le drame a été évité de justesse On a frôlé la catastrophe, jeudi soir, en constant qu'un train venait de percuter une voiture immobilisée au milieu de la voie ferrée. Il était 21 h 45 lorsqu'un automobiliste circulant sur la RD 1113 décida de changer de direction, avec l'intention de traverser le passage à niveau 62, pour rejoindre une voie située de l'autre côté de la ligne de chemin de fer Bordeaux-Toulouse.Coincés sur les rails Selon les éléments recueillis sur place, il apparait que le conducteur aurait été ébloui par un autre véhicule arrivant en face. Il a par conséquent tourné trop tôt, une dizaine de mètres avant le passage à niveau. Engagé au milieu de la voie ferrée, le malheureux automobiliste se trouva rapidement coincé, les roues bloquées par la hauteur des rails. Lui et sa passagère ont dû se résoudre à abandonner leur véhicule sur place. Quelques minutes plus tard, survenait un train TER Marmande-Bordeaux. Le conducteur de la motrice ne pouvait éviter la voiture, une berline BMW litéralement broyée. Des voisins affirment avoir entendu un coup de klaxon, puis un bruit sourd correspondant à l'onde de choc. Le train s'immobilisa quelques centaines de mètres plus loin, alors que la motrice venait de dérailler. « Fort heureusement, cet accident n'a fait aucune victime », relayait le capitaine Yves Bédènes de la compagnie de gendarmerie de Langon, présent sur les lieux.Dégâts matériels Le conducteur et sa passagère ont eu la présence d'esprit de quitter la voiture à temps. Quant au train, à l'exception du conducteur et des deux contrôleurs, aucun passager ne se trouvait à l'intérieur. Pour les gendarmes et les pompiers présents sur place, l es dégâts ne sont donc que matériels et ont entraîné une interruption du trafic ferroviaire une partie de la nuit, le temps nécessaire pour un dépanneur de dégager l'épave et pour les agents de la SNCF de nettoyer et sécuriser la voie.Circulation sur une voie Mais, le déraillement de la motrice du train express régional a entraîné des dégâts sur les traverses et le ballast. « Par conséquent, la voie 2 sera neutralisée pendant plusieurs jours », indiquait-on hier à la SNCF. Pour autant, le plan de transports est bien maintenu et l'on fait circuler les trains par alternance sur une seule voie. Aucun train ne sera annulé. La SNCF invite seulement les voyageurs à prendre leurs précautions : « Il faudra s'attendre à quelques retards pouvant aller jusqu'à une vingtaine de minutes par rapport aux horaires prévus ». Pierre Lascourrèges -
Dépannage PC en tous genres, et à distance!
Dom Le Trappeur a répondu à Rail cassé situé dans Informatique
remarque qu'il est moins cher que le dépanneur du FAI... J'espère que c'est déductible des impôts... -
Dépannage PC en tous genres, et à distance!
Dom Le Trappeur a répondu à Rail cassé situé dans Informatique
Tant qu'il ne pose rien sur la chaise... -
Brest - Réparation Navale - Les salariés de la SOBRENA en lutte. L'Espoir II. Un baptême et deux rendez-vous http://brest.leteleg...011-1481974.php
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5 Anniversaire(s) Aujourd'hui Pontgalou99 ( 64) 2D2 ( 53) DEDE71 ( 60) ForzaMontpellier ( 28) Amummachefe ( 26) J'ai trouvé l'astuce... P'tit Vieux et ex-blond c'est normal... Il me faut du temps... Merci Pascal J'aime bien que la liste des anniversaires soit en haut de page...
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5 anniversaires ce jour dont 2D2 Bon Anniversaire à Toutes et Tous... (Désolé on ne peut plus copier-coller la liste des heureux élus du jour...)
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Bon je ne retrouve plus le fil de discussion sur Facebook mais ce message ira très bien ici... On saura toujours tout de vous surtout si vous payez chez nous... Facebook : le Web à crédits http://www.ecrans.fr/Facebook-le-Web-a-credits,13455.html
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Le petit monde des HLM expliqué à Wauquiez Parc social. Contrairement à ce qu’insinue le ministre, seuls 17% des locataires sont chômeurs. http://www.liberation.fr/societe/01012368284-le-petit-monde-des-hlm-explique-a-wauquiez On a envie de coller un 0/20 à l’énarque Laurent Wauquiez, tant sa méconnaissance du fonctionnement des HLM est surprenante. Mercredi, le ministre chargé de l’Enseignement supérieur est parvenu à susciter un nouveau buzz autour de sa personne, en affirmant qu’il faut«réserver une partie des HLM à ceux qui travaillent». Surprenante déclaration de la part d’un ministre, ex-parlementaire et maire d’une ville moyenne - le Puy-en-Velay -, qui normalement ne devrait rien ignorer des rouages relatifs aux attributions de HLM. «Faire du social dans notre pays ne peut pas consister à le faire en oubliant ceux qui travaillent», a pourtant expliqué Laurent Wauquiez lors d’une conférence de presse à l’Assemblée, entouré de députés de la Droite sociale, dont il est le chef de file. 1% logement. La réalité est tout autre. On compte en France 4,2 millions de HLM, occupés dans leur majorité par des salariés d’entreprises privées, publiques ou des fonctionnaires d’Etat, hospitaliers ou territoriaux. Selon, l’USH (l’Union sociale de l’habitat qui regroupe les organismes de HLM), 58% des chefs famille parmi les occupants de logements sociaux sont en activité, 17% sont au chômage ou bénéficient d’allocations (RSA, allocation aux adultes handicapés…) et 25% sont retraités ou préretraités (1). D’ailleurs un tiers des habitations du parc HLM relèvent du contingent du 1% logement : elles sont attribuées aux salariés des entreprises privées ou publiques cotisantes. Un autre tiers relève des préfets qui s’en servent pour loger des fonctionnaires d’Etat et les personnes en difficulté, notamment les familles éligibles au Dalo (droit au logement opposable) ou les personnes sortant des dispositifs d’hébergement. Enfin le dernier tiers du contingent relève des maires, qui y logent leurs administrés actifs ou inactifs. Voilà pour le panorama complexe du monde HLM. «A mon avis, Laurent Wauquiez n’ignore rien de tout cela. Il sait que les HLM logent une large majorité de gens qui travaillent dans les secteurs privés ou publics»,analyse Jean-Yves Mano, adjoint (PS) au maire de Paris, en charge du logement. «Mais les délais d’attente sont très longs parce qu’on croule sous des demandes émanant de tout le monde. La cherté des loyers du privé pousse de plus en plus de gens à demander un HLM, analyse encore Jean-Yves Mano. Avec son air de premier de la classe, M. Wauquiez monte les Français les uns contre les autres, en opposant les salariés aux chômeurs, ou les couches moyennes au plus précaires.» Télescopage. On compte en France 1,2 million de demandeurs de HLM dont près de 350 000 dans la seule Ile-de-France. Or, dans la région capitale, seulement 90 000 HLM sont attribués chaque année, avec une multitude de priorités qui se télescopent. Il faut loger les démunis, qui sont dans les centres d’hébergement. Il faut loger les familles Dalo, qui parfois vivent dans des chambres de bonne. Il faut aussi loger les petits fonctionnaires, les personnels hospitaliers, les salariés précaires, modestes et moyens du secteur public ou privé qui n’ont pas des revenus suffisants pour louer dans le parc privé où les loyers sont au zénith. Les priorités sont toutes légitimes. Mais les logements manquent. «M. Wauquiez semble découvrir qu’on a une grave crise du logement dans notre pays, ironise Thierry Repentin, sénateur (PS) de Savoie et président de l’USH. Il devrait se concerter avec son collègue du gouvernement Benoist Apparu, qui demande aux HLM de loger en priorité les personnes modestes ou démunies.» (1) Lire la revue «Habitat et société», n° 51, datée de septembre 2008 (page 11).
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Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans Le site www.cheminots.net
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