Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Collision mortelle de Saint-Médard. « Ce n’est pas un passage classé comme préoccupant » http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Collision-mortelle-de-Saint-Medard.-Ce-n-est-pas-un-passage-classe-comme-preoccupant-_39382-1999795_actu.Htm Une collision entre un camion et un TER (Rennes-St-Malo) s’est produite ce mercredi à 17 h 17 à la gare de Saint-Médard-sur-Ille, en Ille-et-Vilaine. Un premier bilan fait état de deux passagères tuées et six blessés graves. Le ministre des Transports et le directeur de la SNCF sont sur place. Arrivé sur place vers 21h30, le ministre des Transports Thierry Mariani est accompagné du directeur de la SNCF, Guillaume Pépy. Alors que le passage à niveau de Saint-Médard est classé parmi les plus dangereux de Bretagne, l'ancien député du Vaucluse s'est fendu d'une première déclaration plutôt étonnante. « Ce n’est pas un passage classé comme préoccupant. Je vais demander au bureau enquête accident de diligenter une enquête pour savoir comment classer ce passage à niveaux. Je rappelle que 90 % des accidents sont dû à une imprudence », a expliqué le ministre. Le ministre a par ailleurs rendu visite aux blessés au poste médical avancé, situé dans une salle communale, place de l’église à Saint-Médard-sur-Ille. Il va se rendre sur les lieux de l’accident. Le bilan provisoire de la collision, survenu entre un TER et un camion à 17 h 17, est de 2 morts, 6 blessés graves et 39 blessés légers.
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Deux morts et six blessés graves dans une collision train-camion près de Rennes Libération 21h36 http://www.liberation.fr/societe/01012365370-deux-morts-et-six-blesses-grave-dans-une-collision-train-camion-pres-de-rennes Une collision entre un poids lourd et un train régional a fait mercredi deux morts, six blessés graves et 39 blessés légers, à un passage à niveau près de Rennes, déjà marqué par un accident identique il y a quelques années, selon le dernier bilan des autorités. Les deux personnes sont décédées après un arrêt cardio-ventilatoire malgré les soins intensifs prodigués sur place, après l'accident survenu vers 17H30 au passage à niveau de Saint-Médard-sur-Ille, à une vingtaine de kilomètres au nord de Rennes. "C'est une collision avec un camion qui transportait un engin de levage et qui est resté coincé sur la voie entre les barrières du passage à niveau", a expliqué Michel Cadot, le préfet de la région Bretagne à la presse. Selon Jean-Claude Lebreton, un automobiliste qui se trouvait derrière le poids-lourd, "le camion est arrivé au feu rouge, les barrières n'étaient pas baissées... il a décidé de passer" alors que selon lui, "il aurait pu freiner". Lui-même s'est éloigné: "Je me suis dit, quand ça va cogner, ça faire des éclaboussures", a-t-il expliqué. Selon un élu local qui a rencontré plusieurs victimes, une fois le véhicule engagé sur la voie, le chauffeur aurait tenté de faire une marche arrière, puis une marche avant tandis que le train le percutait dans un choc violent. "Le conducteur du train est sorti de sa cabine, il s'est jeté à terre", raconte Valérie, une passagère qui voyageait dans le wagon de tête. "On a tous été projetés, on a rien compris", a-t-elle raconté, enroulée dans une couverture de survie. Emile, un sexagénaire qui se trouvait également à l'avant du train au moment de l'accident s'est cramponné, a glissé sous le siège et s'en est tiré avec quelques contusions. Il a dit avoir lui aussi vu le conducteur du train se jeter au sol. "On a de la chance d'être là", a estimé Stéphanie, qui se trouvait dans le dernier wagon où, selon elle, les vitres ont éclaté. Témoin de la violence du choc, le tracteur du camion a été coupé de sa remorque, projetée à une vingtaine de mètres de là. Selon des informations collectées sur place, il semble que le chauffeur du camion soit indemne. Le président de la SNCF, Guillaume Pepy, qui était attendu sur place dans la soirée avec le ministre des transports, Thierry Mariani, a exprimé "sa compassion et son soutien aux victimes", dans un communiqué publié avant son arrivée. Plus de 200 personnes, ainsi que deux hélicoptères et seize ambulances ont été mobilisés pour secourir les 170 passagers du train express régional (TER) Rennes-Montreuil-sur-Ille (Ille-et-Vilaine). Les blessés ont été soignés sur place, dans une salle municipale située au centre du bourg de Saint-Médard-sur-Ille. Une cellule de crise a été activée à la préfecture qui a déclenché le plan rouge. En novembre 2007, un poids-lourd chargé de gravier avait percuté un train régional au même passage à niveau, faisant une quarantaine de blessés. Suite à cet accident, des feux avaient été rajoutés devant les barrières pour en améliorer la visibilité, a indiqué mercredi soir une porte-parole du gestionnaire du réseau ferré RFF. Le passage à niveau de Saint-Médard est situé dans le virage d'une route et après une courbe de la voie ferrée, a constaté l'AFP sur place. La circulation ferroviaire entre Rennes et Saint-Malo a été interrompue dans les deux sens mercredi et le trafic local sera suspendu jeudi au moins jusqu'à 17 heures, a indiqué la SNCF. (Source AFP)
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Saint-Médard (35). Collision mortelle camion-train, deux passagères tuées http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Saint-Medard-35-.-Collision-mortelle-entre-un-camion-et-un-train-%5Bvideo%5D_6346-1999709-fils-tous_filDMA.Htm 22h10. Deux passagères tuées Selon nos informations les deux victimes de la collision mortelle de Saint-Médard seraient deux passagères du TER-Saint-Malo.
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
L'un des articles de presse parle d'un contrôleur qui a fait évacuer la rame et recherchait un médecin. Pas lu d'informations sur le conducteur.
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Train exceptionnel de matière radioactive
Quand je te dis que les journalistes ne vérifient rien... Donc Sallaumines se trouve à côté de Lens... comme indiqué sur la carte, point rouge... A moins qu'il y ait un autre Sallaumines mais géoportail n'en trouve pas... Mais c'est sûrement Sotteville...
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Saint-Médard (35). Le passage à niveau le plus dangereux de Bretagne http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Saint-Medard-35-.-Le-passage-a-niveau-le-plus-dangereux-de-Bretagne_39382-1999741_actu.Htm L'accident qui vient de survenir à Saint-Médard-sur-Ille près de Rennes, ne va pas manquer de relancer le débat sur les passages à niveau. D'autant que celui de Saint-Médard est le plus dangereux de Bretagne selon une source préfectorale datant de 2008. Plusieurs accidents dramatiques se sont produits depuis les dix dernières années. 12 février 2010. Une camionnette percutée par un TER Vers 7 h 35, une camionnette s’était présentée au passage à niveau. L’employé de l’entreprise avait perdu le contrôle de son véhicule qui avait heurté une 205 avant de traverser les voies de chemin de fer pour finir contre la façade de la salle d’attente des voyageurs. Les barrières étaient alors levées. Le véhicule s’était immobilisé avec sa partie arrière sur les voies. Venant de Montreuil-sur-Ille, le TER, qui ne marquait pas à cette heure-là un arrêt en gare locale, n’avait pas pu éviter le choc. 26 novembre 2007. Collision TER-camion Vingt-sept passagers avaient été blessés et treize hospitalisés après une collision entre un TER et un camion transportant 16 tonnes de graviers au passage à niveau de Saint-Médard-sur-Ille. Le chauffeur du camion transportant 16 tonnes de gravier s’était engagé sur la voie sans apercevoir les feux clignotants, ni entendre le signal sonore annonçant l’arrivée du TER. C’était notamment la version qu’il avait donnée au tribunal correctionnel de Rennes. Le chauffeur, âgé de 52 ans, a été condamné le 7 juin 2011 à trois mois de prison avec sursis. 11 juillet 2006. Un piéton tué en traversant Un homme de 80 ans avait traversé la voie près de Saint-Médard-sur-Ille, au moment où roulait un train sur la ligne Rennes - Saint-Malo vers 17 h 20. Il avait été tué sur le coup. La gendarmerie avait ouvert une enquête sur les causes de l’accident et le trafic interrompu sur la voie durant une heure et demie. Bilan en France ces dix dernières années A côté du terrible accident survenu ce soir, depuis 10 ans, le nombre de victimes aux passages à niveau a considérablement diminué ces dernières années. 25 personnes ont perdu la vie en 2010, contre 36 en 2009 et 51, en 2000. En 2010, 110 collisions ont été dénombrées, comparées à 128 en 2009. Pour RFF (Réseau ferré de France) «98% de ces accidents sont le résultat de non-respect du code de la route par des automobilistes, conducteurs de deux-roues ou piétons.»
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Deux morts dans un accident de train en Ille-et-Vilaine http://fr.news.yahoo...Y3Rpb25z;_ylv=3 RENNES (Reuters) - Une violente collision entre un train et un camion a fait deux morts et huit blessés graves, mercredi en fin d'après midi dans la gare de Saint-Médard sur Ille (Ille-et-Vilaine), a-t-on appris auprès de la préfecture départementale. La collision, qui a également fait une dizaine de blessés légers, est intervenue vers 17h20 entre un TER reliant Rennes à Saint-Malo et un poids lourd, sur un passage à niveau de la gare SNCF de Saint-Médard. Le train transportait 170 passagers, dont la plupart étaient encore bloqués dans les wagons en début de soirée. Le plan rouge a été déclenché et une cellule de crise a été mise en place à la préfecture. D'importants effectifs de secours ont été dépêchés sur place. Au moins deux morts dans une collision entre un camion et un TER près de Rennes http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/12/au-moins-deux-morts-apres-une-collision-entre-un-camion-et-un-ter-pres-de-rennes_1586471_3224.html Saint-Médard-sur-Ille (35). Collision entre un TER et un camion : 2 morts, une vingtaine de blessés http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/saint-medard-sur-ille-35-collision-entre-un-ter-et-un-camion-2-morts-une-vingtaine-de-blesses-12-10-2011-1462517.php
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Ouest-France http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Saint-Medard-35-.-Collision-mortelle-entre-un-camion-et-un-train-_39382-1999709_actu.Htm Une collision entre un camion et un TER (Rennes-St-Malo) s’est produite ce mercredi à 17 h 17 à la gare de Saint-Médard-sur-Ille, en Ille-et-Vilaine. Un premier bilan fait état de deux morts et huit blessés graves. Le préfet est attendu sur place. 20 h 42. Un numéro vert mis en place. Un numéro vert 0 800 130 130 vient d’être mis en place après la collision mortelle camion-train de ce mercredi à Saint-Médard. Cette ligne téléphonique permet aux familles de prendre des nouvelles de leurs proches. À noter que de nombreux passagers ont été accueillis dans une salle, située sur la place de l’église de Saint-Médard-sur-Ille. Actuellement, des boissons chaudes leur sont servies et des couvertures sont distribuées. 20h.La gare de Saint-Malo déserte Les quais de la gare sont déserts à Saint-Malo. Les panneaux d’information indiquent que plus aucun train ne circule entre Rennes et Dol-de-Bretagne, et invitent les usagers à joindre un numéro de téléphone d’urgence mis en place par la SNCF. Les rares passagers empruntent des taxis ou bien des cars afin de rejoindre Rennes. 19h58. Le ministre des Transports attendu ce soir Le préfet Michel Cadot, vient d’annoncer lors d’une conférence de presse, que le ministre des Transports, Thierry Mariani, était attendu sur place en soirée. 19 h 39. Aurore : «Les vitres ont explosé» Aurore, de Combourg, était passagère du TER Rennes Saint-Malo. Elle témoigne : « J’étais dans l’un des derniers wagons. D’un coup j’ai senti une grosse secousse. J’ai d’abord pensé que le train avait touché un animal ou une voiture. Puis les vitres ont explosé. La ferraille nous est tombée dessus. Des sièges ont été arrachés. J’ai pris des éclats de verre dans la figure. Dans le wagon, des gens criaient. Deux personnes gravement blessées étaient coincées sous leur siège. Le contrôleur de la SNCF était près de nous. Il nous a dit d’évacuer et demandait si parmi les passagers il y avait des médecins. Je prends ce train tous les jours pour rentrer chez moi. Je ne sais pas si je pourrai remonter… » 19 h 38 Selon un communiqué de la préfecture, un premier blessé est arrivé au CHU de Rennes par hélicoptère. 19 h 15. Les 170 voyageurs encore bloqués Des rails tordus, des débris de verres et des éclats de béton sur toute la voie, la petite gare offre un bien triste spectacle ce soir. Les 170 voyageurs encore bloqués dans le train en provenance de Rennes et à destination de Saint-Malo sont sous le choc. Un camion d’une société de levage, spécialisée dans la manutention industrielle, a traversé la voie au moment où le TER arrivait en gare. Le choc, terrible, a coupé le poids lourd en deux. La cabine s’est retrouvée sur un quai et la remorque, au moins 200 mètres plus loin. Le conducteur est légèrement blessé. Selon nos informations, lorsque le TER a déraillé, plusieurs personnes ont chuté à l’intérieur du train.
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Accident sur le même pN 26 Novembre 2007 - Collision Camion-train Source http://www.forum-pom...sujet15558.html <sur le forum !
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Suite Ouest-France Il y a des photos et une vidéo sur le site (voir lien sur le post N°1 de ce fil.) 18 h 49 Le secteur autour du passage à niveau est bloqué à la circulation sur un rayon d'1 km. Environ 200 pompiers, gendarmes, personnels de la SNCF et du Samu sont sur place. Il s'agit bien d'une collision entre un TER et un poids lourd. Le camion a été coupé en deux dans le choc. Une cellule médicale a été créée sur place. Des personnes sont encore évacuées du train par les sapeurs-pompiers. Le camion circulait sur la départementale 106 lorsqu'il a percuté le train. La collision s'est produite au lieu-dit la Halte. La circulation est en ce moment coupée dans les deux sens. Le Télégramme 19h30 Dramatique collision entre un train et un camion, à un passage à niveau de Saint-Médard-sur-Ille : un bilan provisoire fait état de deux morts, de huit blessés graves et d'une quinzaine de personnes atteintes plus légèrement. Le TER Rennes-Saint-Malo aurait déraillé après le choc. Une collision s'est produite vers 17 h 30 entre un TER assurant la liaison Rennes-Saint-Malo et un camion, à un passage à niveau à Saint-Médard-sur-Ille, à une vingtaine de kilomètres au nord de Rennes. Selon les premières informations, le poids-lourd était immobilisé sur les voies quand le train l'a percuté. Le choc aurait provoqué le déraillement du TER. Quelque 170 personnes étaient à bord du train. Dans un premier temps, la préfecture a annoncé une dizaine de blessés. Un nouveau bilan de la préfecture fait état de 2 morts, et d'une vingtaine de blessés, dont huit graves. Le plan rouge a été déclenché par le préfet de la Région Bretagne, qui s'est rendu sur place. Une cellule de crise a été activée. Une cellule d'urgence médico-psychologique doit être mise en place sur les lieux de l'accident. Par ailleurs, la route départementale 106 serait totalement coupée. La SNCF annonce aussi que l'ensemble des circulations entre Rennes et Saint-Malo est interrompue dans les deux sens.
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Saint-Médard-sur-Ille (35). Collision entre un TER et un camion : une dizaine de blessés http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/saint-medard-sur-ille-35-collision-entre-un-ter-et-un-camion-une-dizaine-de-blesses-12-10-2011-1462517.php Une collision s'est produite vers 17 h 30 entre un TER assurant la liaison Rennes-Saint-Malo et un camion, à un passage à niveau à Saint-Médard-sur-Ille (Ille-et-Vilaine). Selon les premières informations, le poids-lourd était immobilisé sur les voies quand le train l'a percuté. Le choc aurait provoqué le déraillement du TER. Quelque 170 personnes étaient à bord du train, et il y aurait une dizaine de blessés, selon la préfecture. D'importants secours sont sur place. Selon Le Mensuel de Rennes , outre une dizaine d'ambulances dépêchées sur place, deux hélicoptères (gendarmerie et Samu) évacuent les blessés. La route départementale 106 serait coupée dans les deux sens. La SNCF annonce aussi que l'ensemble des circulations entre Rennes et Saint-Malo est interrompue dans les deux sens. Les secours sont sur place.
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Collision camion-train à Saint-Médard (35)
Au nord de Rennes - Ligne de Rennes à Dol de Bretagne Collision camion-train à Saint-Médard (35) : un mort, huit blessés dont deux graves http://www.ouest-fra...999709_actu.Htm Une collision entre un camion et un TER (Rennes-St-Malo) s'est produite à 17 h 17 à la gare de Saint-Médard-sur-Ille, en Ille-et-Vilaine. Un premier bilan fait état d'un mort et deux blessés graves. 18 h 29 Le bilan de la collision entre un camion et un train au passage à niveau de la Halle à Saint-Médard-sur-Ille s'alourdit. Selon nos informations, il y a un mort, huit blessés dont deux grièvement. Un important périmètre de sécurité vient d'être mis en place dans le secteur. Il y aurait plus de 170 passagers bloqués dans le train en provenance de Rennes et à destination de Saint-Malo. Les pompiers, l'hélicoptère de la gendarmerie et de nombreux secours sont sur place. D'autre part, la SNCF annonce que de nombreux TER ont été supprimés et que des TGV ont du retard. 17 h 17 Une collision entre un camion et un train s'est produite à 17 h 17 à la gare de Saint-Médard-sur-Ille, en Ille-et-Vilaine. Le premier bilan fait état de 15 personnes blessées dont huit grièvement. Les pompiers ont dépêché des gros moyens. Ils utilisent toujours leur matériel de désincarcération pour libérer les personnes encore actuellement bloquées dans le train. Le plan rouge a été déclenché et une cellule de crise a été créée à la SNCF. Plus d'infos à suivre.
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Un contrôleur poignardé à huit reprises dans un TGV
Merci pour cette nouvelle. J'espère qu'il pourra se remettre physiquement et psychologiquement. Il aura besoin de beaucoup de soutien, d'amour et d'amitiés de la part de ses proches, famille, amis et collègues.
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Actualités Politiques
On n'est jamais mieux servi que par soi-même Bon je suis mauvaise langue...
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Train exceptionnel de matière radioactive
Pourquoi refuser des mesures de radioactivité ? C'est beau la transparence... Un train de déchets nucléaires arrive en région parisienne http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/10/12/un-train-de-dechets-nucleaires-arrive-en-region-parisienne_1586204_3244.html Selon une porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, un train transportant du combustible radioactif usagé en provenance des Pays-Bas et à destination de La Hague (Manche) est entré en région parisienne mercredi 12 octobre en fin de matinée. "Il arrive au triage du Bourget où on va tenter de prendre des mesures de radioactivité", a précisé Laure Hameau, ajoutant que des rassemblements de militants anti-nucléaires ont eu lieu à plusieurs points du passage du train notamment à Aulnay-sous-Bois et Villeparisis dans la région parisienne. "Il n'y a pas eu de débordement. Des élus, comme le maire d'Aulnay-sous-Bois, étaient présents et ont demandé à être informés de ces passages de convois de déchets nucléaires", a-t-elle indiqué. e convoi composé de trois conteneurs de 21 barres de combustible usé, issu de la centrale nucléaire de Borssele (Pays-Bas) a quitté la ville mardi après-midi et franchi la frontière belgo-française peu avant minuit, toujours selon le réseau. "Le train devrait stationner toute l'après-midi au grand triage du Bourget pour reprendresa route vers 19 heures, passer par Argenteuil et poursuivre vers l'Eure et la Seine-Maritime", a ajouté la militante. "UNE RADIATION COMPARABLE À TCHERNOBYL" Une nouvelle immobilisation du convoi est normalement prévue à Sallaumines, près de Rouen, pendant la nuit avant de repartir vers 7 heures. Selon les informations disponibles mercredi à la mi-journée, le train de déchets est attendu jeudi vers 9 heures au terminal d'Areva à La Hague. Des demandes de mesures de la radioactivité lors des immobilisations du convoi dans les gares de triage en France, déposées par les ONG et le syndicat de cheminots Sud-Rail, ont été refusées. Selon Sortir du nucléaire, ce convoi "pourraittransporter jusqu'à 1 953 petabecquerels de radioactivité, ce qui, en termes de quantité de radioactivité, est comparable à la radiation totale libérée lors de la catastrophe de Tchernobyl."
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Actualités Politiques
mode humour On Au hasard ..."Le Fouquet's" que Les Bolchéviks vont nationaliser ... Au secours Montebourg arrive ! Mode humour Off
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Actualités Politiques
La dernière de Copé ! Copé : Montebourg veut faire "ce qu'ont fait les bolcheviks en 1917" http://www.lemonde.fr/primaire-parti-socialiste/article/2011/10/12/cope-montebourg-veut-faire-ce-qu-ont-fait-les-bolcheviks-en-1917_1586023_1471072.html#ens_id=1402952
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Actualité sociale
Y'a du monde dans les rues en ce moment Hier Brest 2.500 Quimper 1.000 Morlaix 500 Quimperlé 300 Aujourd'hui Handicap en Finistère. Un millier de manifestants à Quimper pour plus de places d'accueil en foyers http://www.ouest-fra...999579_actu.Htm http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/etablissements-specialises-plus-d-un-millier-de-manifestants-a-quimper-12-10-2011-1462414.php
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Actualités Politiques
J'ai modifié le lien après une petite recherche sur le site de Libération et ajouté un lien vers l'article de Libération qui présente la lettre de Montebourg "Vous aimez Montebourg ? Vous aimerez Mélenchon !" http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/10/12/vous-aimez-montebourg-vous-aimerez-melenchon_1586152_823448.html
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Actualités Politiques
Arnaud écrit à Martine et François... et c'est Jean-Luc qui lui répond... http://www.liberation.fr/politiques/01012365118-la-reponse-de-cheminots.net-a-arnaud-montebourg La Lettre d'Arnaud Montebourg http://www.liberation.fr/politiques/01012365057-la-lettre-de-montebourg-a-hollande-et-aubry
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Actualités Politiques
2 millions et demi de votants à la primaire socialiste. La politique intéresse les français quoi qu'on dise... Pour mémoire : 9 millions de voix pour royal au premier tour des présidentielles 2007 et 17 millions au second tour. La percée de Montebourg (17%) avec un discours plus ancré à gauche : démodialisation, protection industrielle, 6ème république, anti-corrution... Un positionnement très fort : j'écris aux deux "impétrants" (plutôt socio-libéraux surtout Hollande) et leur demande de s'engager par écrit sur ses propositions... (le PS a récolté 3,5 millions d'euros quand même... je sens que l'ump va organiser sa primaire... Mamy Lili pourra déposer son enveloppe dans ...l'urne !)
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Actualités Politiques
Alain Hayot. « On peut prendre le Front national à contre-pied » http://www.humanite....e-pied-»-481053 L'élu régional Paca (PCF-Front de gauche) a observé de près l'ascension du FN à Vitrolles à la fin des années 1990, et au-delà. À l'heure où les sondages semblent permettre à Marine Le Pen de troubler le second tour de la présidentielle, Alain Hayot pose les jalons d'une lutte renouvelée contre le FN, qui interpelle d'abord la gauche. Ethnologue, professeur à l'université d'Aix-Marseille, président de la commission Aménagement et Développement des territoires du conseil régional de Paca, Alain Hayot a vécu de près l'ascension du Front national dans le Sud-Est, et particulièrement Vitrolles. À l'heure où Marine Le Pen s'installe dans le paysage à la suite de son père, il décrit ce que pourrait être, pour la gauche, une posture de combat. Entretien. Listons d'abord ce qui a échoué dans la lutte contre le FN, et les écueils qui menacent, à quelques mois désormais d'une élection présidentielle où, il n'y a pas si longtemps, le FN a joué les trouble-fête. Alain Hayot. Premier écueil à éviter, c'est de considérer que le FN est une excroissance monstrueuse du système républicain, indépendant de la crise politique que nous vivons, alors qu'il en fait partie intégrante. Ce n'est pas une maladie honteuse de notre système mais un des révélateurs de ce que j'appelle la fracture démocratique : le décalage énorme entre le politique et le peuple. Un second élément de cette crise est la crise de la droite française, crise au sens gramscien, car elle est en pleine recomposition. Il y a quelque chose qui est en train de mourir dans cette droite chiraquienne, quasiment radicale-socialiste… On pourrait en fait reprendre et réinterpréter la classification de la droite opérée par René Rémond ; la droite «orléaniste» – on dirait centriste aujourd'hui – est en train de céder le pas à la droite «bonapartiste». Laquelle prépare une alliance avec la droite «légitimiste» – en réalité l'extrême de la droite. Le sarkozysme est la tentative d'allier les trois. Il a du mal avec la droite centriste, qui tente de se reconstituer autour de Morin, Bayrou ou Borloo. Mais l'alliance avec la droite populiste, elle, est en cours. Le troisième élément à considérer, c'est bien sûr la crise de la gauche elle-même. Alain Hayot. Crise du communisme, de la social-démocratie également. La gauche, qu'est-ce qu'elle dit en termes d'alternative ? L'absence de projet a contribué à l'émergence de cette droite populiste et qui se droitise encore. Si l'on veut comprendre le Front national, il faut entendre cela, car autrement la lutte contre le FN revient à opposer le seul front républicain. Alors que l'on sait que ça ne fonctionne plus… À Hénin-Beaumont, le FN seul réalise au second tour 48% face à six autres formations… Alain Hayot. La digue en effet a cédé. Le second écueil, qui découle du premier, c'est la théorie du cordon sanitaire qui là aussi ne fonctionne pas. Ça a marché un temps de jeter à la face du FN «nazis», «fachos». Mais très vite, ces références ne parlent plus à la jeunesse. De votre expérience à Vitrolles, quand les mégrétistes s'implantent et jettent leur dévolu sur la ville, que tirez-vous avec le recul ? Alain Hayot. J'avais constaté que l'émergence du FN s'effectuait sur la base d'une double fracture, une fracture sociale et politique. Pour que le FN émerge, il faut une crise sociale profonde entre ceux qui la subissent ou ceux qui en ont peur, et une crise politique grave. Vitrolles, Marignane, Toulon vivaient ces deux crises, avec un pouvoir local déconsidéré. Troisième écueil, selon moi, l'approche sociologiste à l'égard du FN. Pourquoi passe-t-on notre vie à essayer de comprendre qui vote pour eux, pourquoi on vote pour eux ? Est-ce qu'on le fait à ce point pour l'UMP ou le PS ? Non ! On ne se pose pas autant de questions, on les combat, on fait de la politique. Or, avec le FN, on substitue la sociologie à la politique. La question n'est pas de culpabiliser l'électeur FN, c'est de combattre le projet du Front lui-même. Argument contre argument. S'occuper du parti plutôt que de l'électeur. Bien sûr qu'il est intéressant de savoir qui vote pour eux, encore faut-il dire des choses vraies… "Le vote Front de national est un vote de la peur du pauvre. Au lieu de lutter contre le système, on lutte contre la victime" Et là justement le «gaucho-lepénisme», vous en avez soupé… Alain Hayot. Ce trop-plein de sociologie à l'égard du FN s'est traduit par beaucoup d'études, pas innocentes politiquement. Cela a consisté à imposer l'idée fausse d'une responsabilité forte de la gauche, et des communistes en particulier, dans l'émergence du vote FN. Henri Guaino, par exemple, rabâche cette idée. La thèse de Pascal Perrineau est que l'électorat FN serait majoritairement ouvrier et issu des classes populaires, et majoritairement issu des transferts de voix communistes, et pour une part aussi socialistes. Cette thèse a culpabilisé les militants de gauche, au point qu'ils l'ont même intériorisée. Quelque part, cela nous enferme dans l'idée de l'irréversible ascension : il n'y a rien de plus faux. La corrélation établie par Pascal Perrineau est biaisée car il voit les choses globalement. Quand on s'attache à l'échelon local, je l'ai fait sur Marseille ou Cavaillon, on s'aperçoit que, dans les grandes conurbations, le vote FN se fait, majoritairement encore une fois, dans des zones de lotissement, souvent occupées par d'anciens fils d'ouvriers qui ont connu l'ascenseur social. Et qui habitent des zones pavillonnaires, en propriété. Le vote FN n'est pas un vote émis par désespérance sociale, c'est un vote émis par des gens qui ont peur du déclassement. Les vrais désespérés sont dans l'abstention, et depuis fort longtemps. Prenez à Marseille la cité de la Cayolle : le FN fait 10%, le Front de gauche y fait son meilleur score du canton, le PS réalise 30%… Et l'abstention est à 70%. Au fond le Front national est un vote de la peur du pauvre, au lieu de lutter contre le système, on lutte contre la victime. Cette thèse s'est assise sur deux courbes : celle du déclin du PCF, celle de la montée du FN. Alain Hayot. Il n'y a pas de corrélation directe entre les deux votes. D'abord parce que le déclin du PCF est antérieur à l'émergence du Front national en 1984. Entre 1984 et 1990, le vote FN est un vote de radicalisation d'une partie de la droite. C'est à partir de 1995 qu'on voit apparaître une corrélation nette entre le vote FN et le vote populaire. Le vote FN est manifestement beaucoup plus ouvrier en 2002, c'est ce vote – s'ajoutant à la radicalisation d'une partie de la droite française – qui permet à Jean-Marie Le Pen de réaliser son opération spectaculaire. Mais cette corrélation se fait sur la base d'ouvriers qui, de manière prévalente, ont déjà voté à droite auparavant. Il serait stupide de nier des transferts, il y a toujours eu, en tout état de cause, un vote populaire et ouvrier en faveur de la droite ; le gaullisme en fut un exemple récent. La partie de la classe ouvrière dont Marx disait qu'elle était «en déshérence». Il y a un ouvrier sur deux qui a voté Sarkozy en 2007. Il y a effectivement 19% de l'électorat FN qui est ouvrier. Mais il y en a 27% au PS ! La majorité de l'électorat FN est issue en réalité de la classe moyenne et intermédiaire. Comment lutter plus efficacement contre le FN, alors ? Alain Hayot. Commençons par regarder ce que nous dit la société française de trois phénomènes : d'abord l'essor d'une droite populiste qui cogne à la porte du pouvoir, puis la radicalisation plus générale de la droite, enfin l'abstention. Premièrement, la société française nous dit l'ampleur des peurs à combattre. Si, comme André Gerin le suggère, on dit que l'on «comprend les électeurs du FN», je crois que l'on se trompe. Si l'on entretient la guerre sociale, ce n'est pas la peine de parler de transformation sociale, voire de société nouvelle. C'est légitimer le vote FN que de faire cela. Au PS, Manuel Valls, lorsqu'il parle à sa manière de sécurité et d'immigration, ne fait pas autre chose. Ce que nous dit le vote frontiste, c'est en somme l'ampleur des replis. Or c'est l'inverse, je pense, que l'on doit travailler, c'est effectuer ce que nos aînés dans les années 1930 ont fait : organiser la solidarité entre les victimes du système. Et non dresser les immigrés anciens contre les immigrés récents, les propriétaires contre les locataires, les moins pauvres contre plus pauvres encore. "Dire comme le fait le FN, que l'immigration est à l'origine de la crise est un des plus grands mensonges du moment" Dernier élément à prendre en compte, le vote FN est, dites-vous, un vote «pour», un vote sur un projet. Alain Hayot. La thèse qui a consisté à penser le vote FN uniquement en termes de vote protestataire, tribunicien, est stupide. Jamais le vote communiste n'a été qu'un vote tribunicien, il a toujours été un vote pour un projet de société, on peut en dire tout ce que l'on veut, mais c'était une cohérence politique. On prend vraiment là le peuple pour des idiots culturels, avec cette vision élitiste. Un type qui vote FN, croit-on vraiment que c'est le «soupir de la créature opprimée» ? Il vote parce qu'il est convaincu que les projets du FN sont ceux que doit porter la société française tout entière. Et Sarkozy l'a bien compris, ça, en intégrant les grands axes de la proposition frontiste dans sa pratique politique. La gauche se doit donc d'être porteuse d'un projet de société radicalement différent. C'est vrai que le PCF a été un peu gêné aux entournures par le passé parce que l'on tenait un discours antimondialisation. «Produisons français», ce n'est pas la bonne formule si on nourrit le sentiment que la France peut s'en sortir toute seule, alors qu'on sait qu'il faut une bataille au moins à l'échelle européenne. Le FN dispose d'un levier puissant, il propose un «récit», un imaginaire politique. Alain Hayot. Pour moi, l'aggiornamento à l'œuvre au FN est plus sur la démarche et l'orientation que sur le fond. Je ne crois pas à un rideau de fumée au FN, je crois qu'il se passe quelque chose de réel. La préférence nationale, Marine Le Pen ne la pose pas comme son père à travers la défense de la France éternelle, mais elle la met au service des Français pauvres : logement (même si ce n'est pas du logement social), école, santé. L'antimondialisme est mis au service d'une politique de repli, avec le retrait de l'euro. Réfuter les arguments du Front national, ça se travaille ? Alain Hayot. On me dit : «Tu devrais aller chercher dans le programme du FN tout ce qui montre qu'il est favorable au capitalisme» ; on ne trouvera pas, ils sont plus malins que ce que l'on croit ! Mais nous ne sommes pas démunis pour autant. Dire par exemple, comme le fait le FN, que l'immigration est à l'origine de la crise est un des plus grands mensonges du moment. Des pays dépourvus d'immigration comme l'Islande, ou à faible immigration encore, comme l'Espagne, ont pris la crise de plein fouet. La crise est aussi forte dans les pays d'immigration que dans les pays d'émigration. La crise, en Afrique, est-elle due à l'immigration ? Non, nous devons donc répéter que la migration est un phénomène qui a toujours existé, qui est appelé à se développer avec la multiplication des échanges, que tous les pays vont devenir à la fois des pays d'émigration et d'immigration. Un projet politique authentiquement de gauche aujourd'hui me semble devoir remettre en avant la question du vivre ensemble. On pourrait ainsi dérouler tous les thèmes chers au Front national et avancer sur la construction d'un projet. Un élu communiste qui accepte des caméras de surveillance ne mène pas selon moi le combat des idées ; veut-on vraiment une société où tout le monde se surveille, ou construire une société de solidarité ? La contre-offensive doit être sur le terrain des idées, des valeurs, des arguments. Je note que la CGT a repris l'offensive, Bernard Thibault a écrit récemment que «la démarche du Front national divise les classes populaires, divise le monde du salariat, et laisse les classes populaires en grande fragilité face aux dominants, aux oligarchies qui gouvernent le monde». Alain Hayot. Il faut partir de l'idée que le FN a un projet politique, que ce projet fait des petits, qu'il essaime, il devient le projet de toute la droite, et devient le lieu où s'articulent des problématiques tout à la fois ultralibérales et ultraconservatrices. La question n'est plus de savoir si une alliance entre ces droites aura lieu, mais qui, à l'intérieur de cette alliance, aura l'hégémonie. Nous sommes face à ce danger considérable, tandis que le FN tisse son réseau dans l'appareil d'État. Si on s'imagine que l'on va s'en sortir en épousant les thèses de ceux qui creusent la désespérance sociale, comme le FMI, on se trompe. Nous avons évidemment une difficulté à nommer ce que l'on veut comme alternative au capitalisme. On dit anticapitalisme, altermondialisme, antilibéral ; on est dans «l'anti», mais quel est le système que l'on appelle, nous ? Détourner les regards Même s'il se rencontre dans toutes les couches sociales, le vote FN conserve des constantes fortes, dont il cherche à se débarrasser pour progresser. Vote particulièrement masculin (aux deux tiers) il est, note Alain Hayot, « concentré sur une classe d'âge particulière, celle des 35-49 ans ». Pas les plus jeunes, pas les personnes âgées donc, mais la classe d'âge «la plus inquiète pour son avenir». La classe d'âge des actifs, qui voit l'ascenseur social fonctionner seulement dans les étages les plus élevés. Le cœur de cible du FN se résumerait donc à un agrégat de classes moyennes et couches supérieures, d'artisans ou commerçants, et, plus récemment, de paysans propriétaires. Ce qui fait dire à Alain Hayot que «le Front national pointe du doigt la victime, et fait de la victime le responsable du système. Il décale le regard ; au lieu de regarder vers le haut, vers les riches, comme ceux que décrivent les Pinçon-Charlot, il regarde vers le bas». Détournant ainsi l'attention envers le processus de régression démocratique à l'œuvre, qu'a pu dépeindre par exemple Jacques Rancière, au profit des oligarchies financière et politique.