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Avec cette équipe, quel est le coût d'une minute de réunion de Comité de Direction? En hausse ou en baisse par rapport aux comités antérieurs?

C'est le prix de la sécurité à flux détendu. Honte aux dirigeants de SNCF Réseau et de SNCF Mobilités. Peut-être une conséquence de la crise du COVID-19 qui n'a été prise en compte pour assurer la sécurité des voyageurs. Pour les clients, on attendra demain qu'un haut cadre de SNCF s'exprime.

Pour les céréaliers, la part des camions augmente régulièrement, seule solution permettant de faire de transfert direct de la ferme aux usines en évitant de passer par les coopératives et négociants qui augmentent les coûts sans apporter de réelle valeur aux quintaux déplacés.

Il y a peut-être des économies à faire, faire durer les matériels encore en service quelques années de plus, contrôler les titres de transport pour réduire la fraude, arrêter les travaux non prioritaires comme le CDG Express et faire des aménagements modestes moins chers.

Pas grave pour SNCF. De toute façon Geodis ramassera une partie de la mise, avec des salariés hors statut, y compris des travailleurs détachés venus des pays de l'Est.

Super! Ce qui serait motivant c'est de connaître le résultat net de ce contrat et de voir les prévisions de profit pour les cinq années à venir. Aux Etats-Unis, c'est le pays du profit, et rarement celui du partage du profit.

TGV est une marque de SNCF, inoui que Thello puisse l'utiliser; à moins que Thello paye un max, OUI c'est possible.

"Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent (J. Chirac)", certainement pas les ministres et sous ministres trop affairés à gérer les crises qui se répètent.

Un projet "gouffre financier" pour les actionnaires qui auront oublié trop vite le cours de bourse des actions Eurotunnel.

V 160 km/h : Pour faire de la banlieue en tunnel ou à l'air libre, je doute de l'intérêt de ce niveau de performances. Même le 140 km/h n'est pas souvent atteint avec des arrêts rapprochés et les appareils de voie en grand nombre en proche banlieue.

Même sans connaissance du monde ferroviaire...

Ni Clermont-Ferrand Michelin, ni Sarcelles - St-Denis dans le 9-3. Sans oublier le 92 avec le Chatillon - Velizy...

Pourquoi ne pas solliciter Keolis ou vfli, les filiales low-cost de SNCF?

Vu la crise sanitaire et ses conséquences sur les trafics aériens qui vont dégringoler pendant plusieurs années, V. Pecresse ferait preuve de bon sens en faisant arrêter immédiatement les travaux du CDG Express et en demandant l'affectation des budgets aux transports du quotidien ou au Grand Paris Express. Quand le trafic aérien aura repris, et que les prévisions de trafic établiront clairement le besoin d'un nouveau système de transport entre CDG et Paris, il sera bien temps de réaliser les aménagements que la crise actuelle mérite de retarder, au moins le temps de la réflexion.

La France c'est trop petit, le gouvernement actuel et, depuis au moins 39 ans avec l'arrivée des socialo-communistes au pouvoir, les gouvernements français visent l'Europe et le monde au minimum. Les projets interplanétaires commencent même à sortir des têtes des chercheurs de l'industrie spatiale. La Terre est devenue trop petite pour ceux d'en haut qui dirigent les affaires de ceux d'en bas. Alors, le ferroviaire...

SNCF profite de l'expérience Italo pour se lancer dans ce nouveau développement international. Le sens des affaires.

Utiliser cette couleur en ce moment est un choix risqué avec ce qui se passe dans le monde...

On se demande pour quelles raisons ces rames ne sont pas des Remi?

La priorité doit être de remettre les comptes de Keolis en ordre, et de penser développement et international sur des bases saines. Quel crédit accorderaient des autorités organisatrices à des propositions d'une société perdant de l'argent dont l'existence semble précaire vu les résultats? D'abord de l'ordre et des profits, après suivant la situation internationale, se développer en élargissant son périmètre d'intervention.

JP. Farandou, qui a quelques connaissances dans le dossier Keolis et en particulier des pertes de l'exercice 2018, a finalement bien manœuvré. Il a quitté le bateau à temps et l'a refilé, comme une patate chaude, à P. Jeantet pour le couler au premier coup de vent. De l'art. Quant à l'histoire de la rentabilité de Keolis, ça n’intéresse pas grand monde vu la crise sanitaire qui se profile dans le secteur où excelle cette entreprise.

Alors, il faut soutenir les EF - lobbying à Bruxelles Commission Européenne - dans le cadre de la concurrence libre et non faussée pour faire baisser les coûts du transport ferroviaire et tout le monde sera gagnant et content.

Sûr qu'hériter d'une boîte, "fleuron du savoir faire", qui vient de perdre quand même 72 millions d'euros en 2019 avec des pertes en 2020 pour cause virale, n'était pas autre chose qu'un cadeau empoisonné. Partir avec un bon chèque et retrouver dans quelques mois un poste confortable pour exprimer ses talents est un "challenge" à la portée de ce cadre dirigeant très expérimenté.

À quand une filiale "Paturages" au sein de SNCF dans le cadre de la Transition écologique?

Ces machines étaient très réussies et ont travaillé plus de 40 ans. Assez rare de nos jours.

Pas trop de risque de le croiser sur les files d'attente des guichets de Pôle Emploi. Il pourra faire valoir son expérience, y compris chez des concurrents de SNCF ou dans les cabinets de conseil. Bonne route.