E.T.G.

Quid du X4391? On ne voit plus rien à son sujet mais il figure toujours aux effectifs.

Décision de rénover 44 trains de la ligne 8: https://twitter.com/Asso_usagersidf/status/1598379789865390114 Il restera donc (du moins pour l'instant) quinze trains non rénovés, mais qui avaient bénéficié d'un renforcement plancher (aménagements intérieurs restés sur le modèle originel sauf le tapis de sol) pour donner du boulot aux A.C.C. avant que la noria de rénovation des trains de la 7 commence.

Beau paysage vu du train à Villefranche-sur-Mer (06) en mai 1997.

Ma mère m'a demandé si ses fichets de voyage papier à seize cases seraient encore valables pour voyager. J'ignore comment sont les F.C. des ayants-droits depuis la dématérialisation (carte genre format carte de crédit avec une puce contenant des informations?), dont il me semble qu'elle est apparue après le décès de mon père, qui était son ouvrant-droit. Il me semble que ma mère n'a pas reçu les F.C. dématérialisées, je vais essayer de voir ce qu'elle a lors de ma prochaine rentrée au Mans. Qu'en est-il?

Donc toutes seraient foutues? Puisqu'il n'y en a que cinq d'arrivées sur l'est, je crois?

Et rappelons que ces travaux sont une suite de la première étape, qui a consisté en le remplacement d'un point de conflit de circulation aux Saules par la création de nouveaux terriers et sauts de mouton entre cette dernière gare et Orly-Ville. Des travaux qui ont aussi été conséquents.

L'E.M.T. ne ferme pas, il arrête juste la maintenance de locomotives et se consacre uniquement à la maintenance des automoteurs et automotrices.

Quand on voit la fraude qu'il y a et qui rentre dans le métro, ça ne serait pas mal...

Surement un truc qui a été fait sur un coin de table, entre la poire et le fromage lors d'un dîner. Un peu comme la carte des nouvelles Régions faite par un ancien Président de la République.

Justement ADC, j'ai un cadeau pour toi!🤣😉

Des remorques dites Decauville radiées sont garées dans le dépôt de Nevers (58) en 1991. Elle proviennent très probablement de Clermont-Ferrand où elles ont cessé tout service quelques petites années auparavant.

Le Y8200 est vu ici au triage d'Outreau (62) en avril 1995.

Manoeuvre de changement de voie pour l'élément automoteur X4596-XR8625 en gare de Breil-sur-Roya (06) en avril 1998.

Symphonie des couleurs, seconde partie. Les X2222, 92104 et 92203 sont vus en train de rentrer dans le dépôt de Toulouse (31) en août 1995 après qu'ils aient assuré un seul et même train. Observons ici les bout à bout de différentes couleurs. Quatrième photo, le X2125 (reconnaissable à ses caractères gris anthracite sur fond bleu anglais, compliquant leur lecture) est également vu tandis qu'il précédait notre trio sur les voies de rentrée.

Que du beau monde sur le pont sur le Rhône en sortie de Lyon-Perrache (69) en mai 1997.

L'élément automoteur X4521-XR8614 dessert Peillon-Sainte-Thècle (06) en septembre 1996 tandis qu'il assure le train Breil-sur-Roya - Nice du midi.

Les BB63967 et 63405 sont garées au triage du Mans (72) en attente d'une prochaine utilisation en mars 1995.

La BB25235, pénultième BB25200 demeurée en livrée d'origine, est vue en juillet 1995 en gare du Mans (72) avec un train Corail saisonnier à destination de la Bretagne. Pour circuler en plein milieu de journée, il n'en comporte pas moins des U.I.C. couchettes.

Symphonie des couleurs, partie 1. En août 1995, les X2222 de Limoges en livrée rouge vermillon et les X92104 bleu Anglais et 92203 jaune Lithos, ces deux derniers d'ici, rentrent au dépôt de Toulouse (31) alors qu'ils ont assuré tous trois le même train peu avant. Le X2222 a probablement été réutilisé au pied levé car la présence à Toulouse de X2200 de Limoges n'était pas très fréquente, tandis que le 92104 est originaire de Lyon-Vaise où il circulait sous le numéro 2133 (il a aussi circulé sous la bannière de Toulouse sous ce numéro, mais très brièvement). Le 92202 provient également de Lyon-Vaise, mais la dissolution du parc de X2100/2200 justement initiée avec l'envoi à Toulouse du 2133 a conduit à regrouper cet engin avec les toulousains afin de lui éviter les parcours d'approche en W afin d'assurer sa desserte spécifique Montpellier - Mende et n'y maintenir que le minimum de X2100/2200. Son affectation à Toulouse fut réalisée à la suite d'un réexamen de sa situation, celle initiale n'ayant pas été jugée avantageuse. Cette nouvelle résidence lui permettra de temps à autre de sortir des sentiers battus en allant circuler sur d'autres lignes, comme vous pourrez bientôt le voir. Lyon-Vaise n'a finalement conservé que le 2202 qui était judicieusement placé en tête de ligne pour ses rotations habituelles sur Le-Puy-en-Velay, sa réserve étant assurée par un X2800, avant de s'en séparer après qu'il ait bénéficié de son O.P.C.E. (Opération Périodique Confort Esthétique).

En juillet 1996, la BB7270 avec à son crochet une rame de voitures italiennes est prête au départ de la gare de Lyon-Perrache (69) et va assurer le train Lyon - Milan jusqu'à Modane, où il sera repris par une locomotive des F.S. Deux mois plus tard, ce train passait au compte des ETR460 des F.S.

De ce que je sais, ce qui va fermer, c'est la maintenance de locomotives dans l'ancien E.M.T. (le dépôt). Ce site continuera à faire de l'entretien et des pleins d'automoteurs et d'automotrices. Et l'ancien E.I.M.M. n'est pas prévu à fermer, même s'il a existé des zones d'ombres il y a quelques années.

Présence simultanée et tout à fait au hasard des roulements des deux derniers éléments automoteurs diésels encore équipés des anciennes portes de fourgon en tôle cannelée, avec une vitre un peu plus grande que sur les modèles plus récents et sans main -montoir, X4325-XR8315 et X4326-XR8316, en gare de Haguenau (67) en avril 1995. Ces portes qui équipaient d'origine les numéros existants X4301 à 4733, 4743, 4797 à 4803, 4901/02 à 09/10, furent remplacées par des modèles à face lisse, d'abord avec des lamelles métalliques horizontales puis verticales, sur les engins qui étaient équipées des glissières d'origine (en haut et en bas). Ces nouvelles portes en alliage d'aluminium étaient plus légères et comportaient une main-montoir, permettant une meilleure sécurité aux personnels les utilisant, puisqu'ils pouvaient désormais se tenir avec deux mains-montoir: une de chaque côté de l'ouverture, sur la caisse et sur la poste. Ces portes n'empêchaient néanmoins pas parfois leur déraillement. Les engins équipés d'origine de portes à glissières renforcées (glissières en bas uniquement, sur la caisse), X4911/12 prototype, et les X4900 suivants ainsi que les numéros X4734 à 42 et 50 à 96, 94630 devenu 4744, avaient déjà ces caractéristiques de construction, avec un unique panneau aluminium comportant la vitre plus grande et la main-montoir. Un élément X4750 dont je n'ai plus le numéro en tête reçut par voie de modification les portes à glissières simples, en haut et en bas. Pour en revenir aux X4325, il reçurent le nouveau modèle de portes dans le courant de l"année 1995 à la faveur de leur prise en Opération Périodique, le premier aux Ateliers du Mans, avec sortie fin juillet, le second aux Ateliers de Nevers-Machines. Ils n'étaient sur ces photos plus très loin d'y rentrer.

Vestiges du viaduc de l'aérotrain, vus du côté d'Artenay (45) en juillet 1996.

En avril 1998, première photo, X2204 en tête et comportant un autre X2200 avec lequel il encadre deux XR6100, le train Nice - Cunéo quotidien est en gare de l'Escarène (06) en attente des opérations de croisement avec un train de sens inverse. Seconde photo, une autre composition comportant deux autorails encadrant une seule XR6100 monte courageusement la dure rampe (26/1000) en aval de Peille.

La BB67552, très belle avec ses flèches, est en coupure en gare d'Argentan (61) en août 1994. Elle sera attelée à la rame Corail garée derrière afin d'assurer un train pour Paris.