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Le Web des Cheminots

Pour ou contre ?


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C'est ahurrissant de lire cela, pourquoi lutte les OS? Pour la défense du salarié ou pour se pavaner avec des tracts qui enffoncent les stratégies des "concurents"

Je suis de plus en plus désepérer en voyant que l'individualisme touche même les stratégies des OS koiquesse

Pour ce qui est des notations, encore de l'individualisme. Qu'est-ce qui est le plus important en ce moment?

Prend pas cela pour argent comptant ce n'est que supputation de ma part, mais perso j'ai pas fait 9 jours de grève pour avoir des négos en compensation, alors je me sens fort peu concerné par le problème puisque je n'attend rien de ces négos.

Hé oui, les notations sont pour les cheminots le moment le plus important de l'année et aussi c'est le travail de base des élus DP titulaires membres des commissions. Traiter par dessus la jambe les notations et c'est une gamelle asurée aux élections suivantes.

Regarde l'UNSA c'est leur activité principale mais dans les notations maitrise et cadre ils assurent un max, résultat ils sont troisième OS avec seulement cela.

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Je suis un nouvel embauché donc je suis encore en période d'essai. Je ne ferais donc pas grève mais je soutiendrai à fond mes collègues grévistes et j'espère que la journée proposée par la CGT sera un succès! Espérons que d'autres confédérations syndicales, comme par exemple SUD et FO, se rallieront à cette proposition.

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quand je lis ce que viens de lire j'hésite entre rigoler et pleurer ..

la cgt QUI FAIT LA MORALE aux autres Os ...

Cette meme CGT qui la veille du mouvemnt sur les retraites envoyait thibault et sa velsaltis (+ chauffeurs ) négocier avant meme que le conflit commence ...;

Cette meme CGT qui alors qu'en Octobre il y avait 75 % de gréviste soit plus fort que n'importe quel jour en 95 fesait tout pour casser le mouvement

Cette meme CGT qui téléphonais a Bertrand pour qu'il lache qq miettes a la FGAAC afin quelle ne rentre pas ds le mouvement

Cette meme CGT qui appelait a suspendre le mouvement et qui se s'étonne aujourd'hui qu'il n'y a rien ds les négos

Cette meme CGT qui lors de son dernier congres a CLAIREMENT FAIS LE CHOIX DES 40 ANS

Cette meme CGT qui décidait de déposer un préavis de 24 h seule ( ah non avec la CGC !) pour l'enlever 48 h avant consciente de la déblace qu'elle aurait pris !

Maintenant je comprends que les mlitants ( il y en a encore des bons ) en ont marre d'en prendre plein la geule et souhaite redorer un peu leurs blason

mais le temps ou la CGT decidait et du calendrier et des revendications pour les autres OS est finit

Le jour ou la CGT fera preuve d'un peu de modestie et sera assumer un partie de ses érreures peut etre que l'unité reviendra

koiquesse Dissolvons le tout dans un verre d'eau pour chasser la migraine qui nous prend... :cool:

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La CGT, fidèle à sa démarche totalitaire a fait tout ce qui lui était possible pour essayer d'imposer aux autres OS ce qu'elle avait décidé toute seule une fois de plus. Malheureusement, la CGT blessée dans son orgueil d'être lâchée, en est réduite à diffuser des tracts pour baver sur les soit-disantes réponses qui lui ont été faites par les autres OS.

Allez on dissous toutes les OS et on n'en parle plus...

Quel archaïsme...

Tiens vous êtes pas un peu en décalage par rapport aux évènements :

Les retraités dans la rue pour défendre leur pouvoir d'achat

Par Par Cédric SIMON AFP - PARIS (AFP) -

L'ensemble des syndicats appellent les retraités à descendre dans la rue jeudi pour défendre leur pouvoir d'achat, qui se dégrade selon eux, mais qui est surtout marqué par de fortes inégalités.

)

Les unions confédérales de retraités CGT, CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC et la fédération des retraités de la fonction publique (FGR-FP), rejoints notamment par l'Unsa Retraités et la FSU, ont appelé à "une journée nationale d'action", pour une revalorisation immédiate et "significative" des retraites.

Pour cette journée, qui, selon les syndicats, devrait donner lieu à "une grande mobilisation", des manifestations et rassemblements sont prévus à Paris, en direction de Matignon, et dans la plupart des départements.

Le relèvement de 1,1% des retraites au 1er janvier, alors que l'inflation a été de 2,6%, cristallise d'autant plus le mécontentement que Nicolas Sarkozy avait fait du pouvoir d'achat des retraités un thème de campagne. Le gouvernement a annoncé qu'une nouvelle revalorisation interviendrait en 2008 et que le minimum vieillesse (garantie de ressources) serait relevé de 25% durant le quinquennat. En attendant, 200 euros doivent être versés fin mars à ses bénéficiaires.

Mais les syndicats veulent également une hausse du minimum contributif (destiné aux retraites de base à taux plein d'un faible niveau), et soulignent plus généralement une dégradation du pouvoir d'achat des plus de 14 millions de retraités.

Globalement, en incluant le patrimoine, "la situation moyenne" des retraités "n'est pas très loin de la parité de niveau de vie" avec les actifs, constatait en novembre le Conseil d'Orientation des Retraites (COR). Selon la direction des études du ministère de la Solidarité (Drees), en 2004, la pension totale d'un retraité de droit direct ayant effectué une carrière complète s'élevait à 1.512 euros par mois en moyenne, la moitié des retraités concernés recevant moins de 1.334 euros.

Mais il y a de grandes disparités dans les montants perçus, particulièrement au détriment des retraités, souvent des femmes, ayant connu des parcours professionnels en dent de scie. Quelque 17% des retraités de droit direct perçoivent une retraite totale inférieure à 600 euros par mois et les femmes touchent des pensions sensiblement moins élevées. Si "des années 1970 jusqu'au milieu des années 1990, le revenu moyen des retraités a constamment progressé plus vite que celui des actifs (...), la tendance s'est ensuite interrompue", relève le COR.

Et les réformes de 1993 et de 2003 ont globalement rendu le calcul des retraites moins favorable, notamment pour les carrières incomplètes.

Parmi les retraités qui ont liquidé leur retraite entre 2001 et 2004, la moitié sont bénéficiaires du minimum contributif. Leur nombre a été multiplié par quinze en 20 ans. Et trois quarts sont des femmes, également majoritaires parmi le million de personnes ne touchant qu'une pension de réversion.

La présidente de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav), Danièle Karniewicz, estime qu'il faut également tenir compte de la "prise en charge de plus en plus fréquente des solidarités familiales" par les retraités et du "problème de la dépendance". "Avec l'évolution de l'assurance maladie, les restes à charge sont de plus en plus importants et ils sont encore plus lourds pour les retraités", ajoute-t-elle, soulignant le coût plus élevé des complémentaires santé pour les personnes âgées.

Jeudi, les syndicats ont prévu de mettre en avant le coût de la protection sociale et afficheront leur opposition aux franchises médicales.

Et je vous parle pas de l'interview de notre Cher Président de la République dans le figaro de ce matin...

http://www.lefigaro.fr/politique/2008/03/0...es-reformes.php

Modifié par Dom-trappeur
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Le Président de la République dans Le Figaro du jour

Nicolas Sarkozy : «Maintenir le cap et accélérer les réformes»

Propos recueillis par Étienne Mougeotte, Paul-Henri du Limbert, Nicolas Barré, Philippe Goulliaud et Charles Jaigu

06/03/2008 |

«Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées depuis tant d'années en France soient conduites à leur terme»,

a réitéré Nicolas Sarkozy devant les journalistes du Figaro.

INTERVIEW EXCLUSIVE - Le président de la République tiendra compte de «la signification politique» des municipales, mais exclut un remaniement «en profondeur» avant la présidence française de l'UE.

LE FIGARO. Nous sommes à trois jours du premier tour des élections municipales, qu'en attendez-vous ?

Nicolas SARKOZY. Les Français vont choisir ceux qui gèrent leur ville et il est bien qu'ils le fassent en pensant d'abord à cette mission. Mais je sais que ce scrutin aura aussi une signification politique que j'entendrai et dont je tiendrai compte. À ce titre, je souhaite que ceux qui veulent que le changement continue, se mobilisent et fassent le choix du candidat qui porte cette stratégie du changement. Je suis élu pour cinq ans. Chaque année, il y aura des élections. Mon devoir est d'envisager les choses dans la durée, avec du recul, du sang-froid. Je n'ai pas l'intention de rythmer mon quinquennat en fonction des scrutins locaux, régionaux ou européens qui nous attendent. J'ai un cap, je tiendrai ce cap.

Le cap, c'est réhabiliter le travail pour donner à chacun la chance de vivre de son activité, assurer l'autorité de l'État pour protéger les plus faibles, bâtir une justice qui protège les victimes, reconstruire des universités fortes qui soient les meilleures au monde, revenir à une école primaire où l'on enseigne à lire, écrire et compter pour mettre un terme à l'échec scolaire. Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées en France depuis tant d'années soient conduites à leur terme ; mon rendez-vous est clair : c'est la fin du quinquennat, et les résultats concrets que les Français en attendent à juste titre. En tout état de cause, pour moi, comme pour tous les Français, le changement est une ardente obligation.

Entendez-vous réformer au même rythme, quel que soit le résultat des élections ?

Je dis à tous ceux qui m'ont fait confiance que je mènerai cette politique du changement avec la même force, la même envie, le même volontarisme tout au long des quatre prochaines années.

Allez-vous poursuivre l'ouverture ?

Le devoir d'un président de la République est de rassembler, de refuser toute forme de sectarisme. La France a grand besoin de tolérance. J'ai souhaité associer tous les talents à notre action au service de la France. Nous avons clairement gagné les élections présidentielle et législatives. J'ai cependant voulu travailler aussi avec ceux qui n'avaient pas voté pour moi. Je ne le regrette pas. Je dois rassembler.

Ne croyez-vous pas que vos électeurs désirent aussi une ouverture à droite et pas seulement à gauche ?

L'ouverture est d'abord un état d'esprit. Cependant, quand nous proposons des quotas pour l'immigration avec une obligation de résultats quant aux reconduites à la frontière, n'est-ce pas une politique voulue par les Français ? La rétention de sûreté, cette nouveauté dans l'univers juridique français, ou la condamnation des multirécidivistes à des peines planchers il y a déjà près de 4 000 décisions rendues ne sont-elles pas des politiques qui rompent avec tant d'années de laxisme ? Quand nous nous réconcilions avec les Américains, n'est-ce pas un changement bienvenu et peut-on penser une minute que le contrat qu'a gagné magnifiquement EADS pour les avions ravitailleurs aurait été signé dans le climat de tension qu'on a connu entre les Américains et les Français ? Quand la France porte l'idée du traité simplifié et contribue à sortir l'Europe de la crise, n'est-ce pas une politique qui satisfait les plus européens et donc le centre ? Nous faisons après l'élection ce que nous avions promis avant. C'est une question de respect, de crédibilité et même de morale.

Comment expliquez-vous votre baisse dans les sondages ?

Pendant six ans, j'ai connu des sondages à leur zénith. Et mes adversaires expliquaient que cela ne signifiait rien. Aujourd'hui, après deux mois de baisse, les mêmes expliquent que la situation est très grave. Bien sûr, les bons sondages facilitent les réformes, et les mauvais les compliquent, mais cela ne change pas mon cap. Je travaille à la modernisation de la France sans me laisser distraire par les péripéties, même si je me dois d'être attentif à tout, y compris à l'humeur du moment.

Que répondez-vous à ceux qui attribuent votre baisse dans les sondages à votre nouveau style ?

On porte toujours sa propre part de responsabilité. J'aime l'engagement, j'aime prendre mes responsabilités, je suis quelqu'un qui ne triche pas, alors cela peut surprendre, voire déranger parfois. Pour autant, le rôle du chef de l'État, c'est de garder une certaine distance par rapport au quotidien. Il n'a pas le droit de céder à l'agitation.

Avez-vous commis des erreurs qui expliqueraient cette baisse dans les sondages ?

Qui serais-je si je ne reconnaissais pas mes erreurs ? On en commet, j'en ai commis. Je ne m'exonère de rien, mais je ne crois pas utile de commenter en permanence l'écume des choses ! Ce qui intéresse les Français est de savoir si le pouvoir d'achat va augmenter, si la sécurité va s'améliorer, si le chômage va baisser. Ce qui compte, c'est que, désormais, un demi-million d'entreprises proposent à leurs salariés des heures supplémentaires défiscalisées. Nous étions un pays dans lequel on décourageait les gens de travailler. Nous sommes devenus un pays dans lequel on est de nouveau récompensé lorsqu'on travaille davantage.

Je veux développer massivement l'intéressement et la participation pour que plus de salariés soient associés au partage des bénéfices. J'avais promis aux Français que ceux qui ont tiré sur la police à Villiers-le-Bel seraient arrêtés, ils le sont. J'avais promis aux Français que les multirécidivistes seraient plus fortement condamnés, ils le sont. J'irai jusqu'au bout. Je veux que les criminels dangereux qui ont été condamnés avant l'adoption de la loi créant la rétention de sûreté, ne puissent pas être rendus à la liberté s'ils sont toujours dangereux.

Vous avez saisi le président de la Cour de cassation après la décision du Conseil constitutionnel sur cette loi. Que répondez-vous à ceux qui vous reprochent de vouloir contourner les Sages ?

Le Conseil constitutionnel dit ce qui est conforme à la Constitution ou pas. Il a validé la mesure de rétention, c'est capital. Mon devoir est de veiller à ce que des femmes, des petites filles, des petits garçons ne tombent pas dans les mains d'un violeur ou d'un pédophile qui a déjà été condamné et qu'on va libérer. C'est mon devoir de président de la République de protéger les plus vulnérables. Le principe de précaution ne s'applique pas seulement à l'environnement. Par ailleurs, qu'il me soit permis de poser la question : pourquoi serait-il impossible de faire en France ce que font les autres pays européens ? Cela fait trop longtemps que l'on oublie les victimes. J'avais promis de les mettre au cœur de mon action ; c'est ce que je fais.

La popularité du premier ministre est-elle une cause de tension entre vous ?

Non. Je rappelle à ceux qui spéculent sur ce sujet qu'on ne change pas un premier ministre en fonction des sondages. Le président de la République doit choisir le meilleur pour mettre en œuvre sa politique. C'est le choix que j'ai fait avec François Fillon.

Y aura-t-il un remaniement après les municipales ?

Je voudrais mettre un terme à cette maladie française qui consiste à changer de ministres tous les six mois. Cela donne le tournis et une grande impression de légèreté. Alors que les Anglais ont gardé Gordon Brown dix ans au ministère des Finances, nous avons connu huit ministres à Bercy pendant la même période ! Durant mon quinquennat, il y aura d'autres rendez-vous et d'autres occasions pour marquer un changement politique. Le lendemain de la présidence française de l'Union européenne sera certainement un rendez-vous important. J'ajoute qu'il me paraît peu indiqué de renouveler en profondeur le gouvernement avant la présidence française de l'Union. Les ministres doivent avoir la pleine maîtrise de leurs dossiers.

Vos conseillers et le premier d'entre eux, Claude Guéant, vont-ils continuer à s'exprimer publiquement ?

Qu'il y ait eu quelques erreurs, c'est certain. Je note qu'elles n'ont pas été commises par Claude Guéant. Il a toute ma confiance et mon amitié.

Êtes-vous satisfait de l'UMP ? Voulez-vous lui insuffler un nouveau dynamisme ?

L'UMP est devenue la première formation politique de France. Elle doit s'adapter à un nouveau contexte, ce n'est pas facile. Je souhaite qu'elle reste une force de débat, qu'elle promeuve de nouveaux talents. Après Rama Yade ou Rachida Dati, une nouvelle génération doit émerger. J'ai besoin du dévouement et de l'amitié de ces centaines de milliers de militants qui ont tout fait pour que la pensée unique ne triomphe pas et que le changement qu'ils ont voulu soit mis en œuvre.

Les parlementaires UMP se plaignent de ne pas être suffisamment consultés…

Il faut que nous les associions davantage. Ils sont un soutien indispensable pour mettre en œuvre la politique voulue par les Français. Ils sont la force du changement.

Le rapport Attali a contrarié les élus, comptez-vous le mettre en œuvre intégralement ?

Je sais qu'il a pu choquer certains, qu'il y a eu des maladresses de communication. Mais je compte retenir nombre de ses suggestions. Concernant les taxis, nous devons créer, notamment à Paris, des licences nouvelles afin que nous ne soyons pas la seule capitale au monde où l'on ne puisse trouver facilement un taxi. Cela dit, il est hors de question de spolier ceux qui sont en activité.

Avez-vous l'intention d'aménager la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État ?

Non. Il peut y avoir telle ou telle modification technique sur le statut fiscal de telle ou telle association. J'ai dit ce que j'avais à dire sur le sujet : je suis de ceux qui pensent que la question spirituelle est essentielle, mais je dois veiller à ne ranimer aucune nouvelle guerre dont la France n'a vraiment pas besoin.

Votre projet sur la Shoah est-il abandonné ?

Non. Xavier Darcos a mis en place une commission qui rendra ses conclusions dans deux mois. Ma conviction, au moment où les survivants vont disparaître, est que l'antisémitisme et le racisme ont été sous-estimés en France pendant longtemps et qu'il est très important de transmettre cette mémoire.

Êtes-vous satisfait de la réforme de la carte judiciaire ?

Depuis cinquante ans, rien n'avait été décidé. Rachida Dati l'a fait. La justice de proximité, ce n'est pas un tribunal à quelques kilomètres de chez soi. C'est obtenir rapidement une décision de la justice, étayée par des motifs clairs et compréhensibles par tous. Je considère que le Garde des Sceaux est l'un des ministres les plus courageux. Elle a conduit la réforme de la carte judiciaire là où nombre de ses prédécesseurs avaient renoncé. Elle a mis en place les peines planchers quand tous les spécialistes disaient que c'était impossible.

Quand la réforme des institutions va-t-elle voir le jour ?

Le Parlement sera saisi après les municipales. Cette réforme renforcera le rôle et les prérogatives du Parlement. Cela passe notamment par une meilleure maîtrise de son ordre du jour. Le pouvoir de nomination du président de la République sera encadré afin qu'il n'y ait aucune nomination de connivence ou de complaisance. Les nominations devront être précédées d'auditions garantissant le choix des meilleurs. Je veux aussi que le Parlement puisse se prononcer sur l'engagement des troupes françaises à l'extérieur ou sur la politique étrangère de la France. Je souhaite, enfin, proposer une réforme du Conseil économique et social pour qu'il s'ouvre aux ONG et aux associations de jeunes qui, de façon incompréhensible, en sont aujourd'hui totalement absentes.

Souhaitez-vous toujours que le président puisse s'exprimer devant le Parlement ?

Il me paraît curieux que le Parlement français puisse inviter tous les chefs d'État à s'exprimer devant lui, sauf le président de la République française. Et que ce dernier puisse s'exprimer devant tous les Parlements, sauf le sien.

Votre fils, Jean Sarkozy, est candidat aux cantonales à Neuilly. Ne craignez-vous pas les accusations de népotisme ?

Le népotisme, c'est la nomination, pas l'élection. Mon fils souhaite simplement pouvoir tenter sa chance comme les autres. Je respecte sa liberté, je trouve qu'il mène sa campagne avec beaucoup de courage. C'est un jeune homme qui ne plie pas dans la tempête. Il a du tempérament. Si son bonheur est de faire de la politique j'en suis heureux. Je suis fier de lui.

Peut-on être président de la République et être heureux ?

Il se trouve que je le suis.

Pendant la campagne, vous aviez dit qu'être président de la République, c'était renoncer au bonheur…

Eh bien, il a dû se passer quelque chose de nouveau…

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En effet on est en total décalage avec les évenements. Il est regretable de constater qu' une bonne partie des cheminots de ce site sont plus virulents contre une OS que contre ceux qui s'attaquent à notre statut et nos conditions de travail.

Pour le 12 je suis pour même si le dernier conflit m'a fait mal pécunierement. Merci à ceux qui mettent les communiqués des OS. Celà permet de voir plus clair.

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En effet on est en total décalage avec les évenements. Il est regretable de constater qu' une bonne partie des cheminots de ce site sont plus virulents contre une OS que contre ceux qui s'attaquent à notre statut et nos conditions de travail.

Pour le 12 je suis pour même si le dernier conflit m'a fait mal pécunierement. Merci à ceux qui mettent les communiqués des OS. Celà permet de voir plus clair.

C'était la même chose contre la FGAAC pour la reforme des retraites et pourtant cela ne t"a pas fait réagir .

Modifié par ouragan
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salut

apres le post :sarkophobe------ sarkophile;

pourquoi pas un sujet:cgtophobe --------cgtophile!!!!

pour ma part,ce sera malgres tout cgtophile

___________

a+

article 1: la CGT a toujours raison

article 2 : quand la CGT a tord appliquer l'article 1

:)

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Exact ouragan je n'ai pas réagit mais je n'ai pas critiqué non plus. Je ne suis pas d'accord avec la FGAAC sur les retraites point barre. Au départ le problème de la réforme vient bien du gouvernement et non pas d'une OS quelle quelle soit.

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Exact ouragan je n'ai pas réagit mais je n'ai pas critiqué non plus. Je ne suis pas d'accord avec la FGAAC sur les retraites point barre. Au départ le problème de la réforme vient bien du gouvernement et non pas d'une OS quelle quelle soit.

Tu aurais du réagir ,car une OS était attaquée et non plus la reforme .

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Pour teje qui demande des preuves ...

A PRIORI CA N4AMUSE QUE TOI

Tu nous les ressorts encore ces salades? réveille toi, tout le monde est au courant. Tu ne serais pas membre de la direction pour avoir de l'entêtement dans la bétise?

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Question : « Comment sortir de la guéguerre syndicale ? »

Pour essayer de répondre sans prétention à cette question il faut d'abord déterminer les causes qui conduisent à cet état de fait. Elles sont nombreuses. Je donne ici une liste non exhaustive de ce qui me semble déterminant.

Premièrement : La base politique sur lequel se construisent les syndicats et leurs objectifs in fine.

Deuxièmement : Les moyens qu'ils se donnent pour y parvenir et les besoins qui en découlent.

Troisièmement : Le processus de représentation et la compétition électorale qui en découle.

Quatrièmement : la nature humaine, les rapports de pouvoir et les processus de décision internes.

Cinquièmement : le fond culturel ethnologique.

Premièrement : La base politique sur lequel se construisent les syndicats et leurs objectifs in fine.

Pour bien comprendre le processus interne d'une OS, il faut comprendre qu'il existe deux manière de voir la chose syndicale, ceux qui pensent que pour améliorer durablement les conditions de vie du salarié il faut changer la société (les révolutionnaires) et ceux qui pensent que ce n'est pas le rôle d'une OS d'intervenir dans le champ politique (les réformistes). Les organisations syndicales ont toute une ligne directrice votée soit en préambule, soit dans leurs statuts. Cette ligne directrice définis le ou les objectifs finaux à atteindre, par exemple pour la CGT c'est la socialisation des moyens de production, pour SUD la réappropriation collective des moyens de production et l'autogestion, pour les réformistes je n'ai pas cherché mais cela existe aussi.

Les OS catégorielles peuvent se situer dans les deux champs, cela dépend du choix d'objectif fait pour la catégorie concernée. A la SNCF il me semble que l'on peut considérer la FGAAC comme faisant parti des réformistes car elle ne semble pas souhaiter un changement de société.

Les OS latines à la différence des OS alémanique n'ont pas souhaité créer des partis politiques pour les représenter et prolonger ainsi leurs actions dans un autre champ. Cela vient sans doute à l'époque ( fin du 19ème et début du 20ème ) de la prédominance des idées libertaires, pour qui la démocratie représentative était suspecte. A leur décharge, le comportement des « politiques » n'a pas toujours donné des gages de qualité et de constance et les répressions de la commune avaient marqué la conscience ouvrière. Leur développement c'est donc ensuite naturellement différencié du fait de ce choix, les OS alémanique sont plus des OS organisés par métiers et de service. Les OS latines plus généraliste et très peu de service.

Donc, les OS de la SNCF ont toutes des différences dans leur manière de voir les choses que ce soit dans leurs objectifs politiques et les moyens d'action qui en découlent. C'est la raison de l'existence de 8 OS différentes. En fait, ils reproduisent dans le monde syndical la partition politique que l'on retrouve dans les partis traditionnels, ou plus exactement ils ont suivit la même évolution parallèle.

Deuxièmement : Les moyens qu'ils se donnent pour y parvenir et les besoins qui en découlent

Là encore plusieurs manière de voir les choses, le syndicalisme de masse et de classe et le syndicalisme ciblé, catégoriel ou le syndicalisme simplement généraliste. Le syndicalisme de service ou le syndicalisme d'émancipation, sans oublier le syndrome de l'avant-garde éclairée. En plus, le mixage est possible.

Dans les actions possibles pour obtenir satisfaction il y a la grève, au début elle devait être générale pour initier le processus révolutionnaire. Maintenant elle juste un des éléments constitutif du rapport de force visant à satisfaire les revendications ordinaires.

Les choix ainsi fait conditionnent souvent la capacité d'adhésion et donc la ressource financière. Il faut convaincre pour faire adhérer en masse et avoir les moyens de ses ambitions. L'objectif final étant en général assez lointain, on communique donc plus sur les actions quotidiennes et basiques pour susciter l'adhésion.

En plus des besoins financiers à couvrir et ils ont aussi besoin de temps pour étudier les dossiers, organiser leurs actions. Le temps d'un militant n'étant pas extensible en dehors de ses heures de travail, très rapidement la revendication, pour les plus compétent, d'être dégagé de la situation de travail est devenue prioritaire. Problème que l'on règle au début en rémunérant le militant par les cotisations des syndiqués, puis les besoins augmentant la notion de permanent payé par les patrons mais détaché auprès de l'organisation c'est imposé. Le patronat étant lui aussi soucieux d'avoir la stabilité et de pouvoir négocier avec des représentants reconnus et légitimes, cette demande trouva une solution partagée.

Ensuite, la reconnaissance des syndicats et de la possibilité d'avoir des représentants de salariés par le processus électoral à conduit les OS à phagocyter ces délégations pour récupérer le temps de représentation qui y est attaché.

Troisièmement : Le processus de représentation et la compétition électorale qui en découle.

Comme c'est les résultats aux élections professionnelles qui conditionnent les moyens supplémentaires donnés par l'entreprises ( en plus des obligations légales liés à la représentation CE, DP, CHSCT), il est bien évident que cela devient d'une importance capitale d'avoir de bons résultats aux élections.

Il y a toujours un décalage entre le travail produit par les équipes syndicales de terrain et la perception que peuvent en avoir les cheminots. Un bon travailleur qui serait un mauvais communiquant risque de voir son travail pas reconnu et donc perdre les moyens permettant de la faire.

A l'inverse il n'est pas nécessaire d'être bon quand on possède des adhérents partout, un simple bon travail de relation permet d'assurer le résultat. Il est souvent plus facile d'organiser la sympathie à son profit en tournant sur le terrain, serrer les pognes, boire le coup, écouter les gens et mettre tout sur le dos du patron que d'être réellement pointu sur la réglementation et d'être percutant en réunion, puis d'assurer le suivit des dossiers.

Alors certains cèdent à la facilité du clientélisme, par exemple en commission de notation, oubliant qu'ils là en tant que représentant des salariés et non pas en tant que délégué syndical. C'est aussi une forme de clientélisme qui peut sévir dans les CER quand les adhérents de l'OS qui gère sont bien souvent informé avant les autres des sorties intéressantes, et qui parfois peuvent pré réserver.

Mais cela ne suffit pas pour se tranquilliser alors on prend le risque de juger le travail des autres OS au risque de voir le sien être jugé et de lancer ainsi un cycle de « jugement / contre jugement », « réponses / contres réponses », difficile à juguler.

Mais la faute ne provient pas seulement des OS, une bonne partie des cheminots sont demandeurs de se clientélisme individuel, certains estimant que c'est la contrepartie de l'adhésion, d'autres estimant que justement pour les faire adhérer il faut d'abord leur rendre service.

C'est cette nécessité d'avoir des moyens et donc pour cela d'avoir de bons résultats électoraux, qui conditionne la compétition pour séduire au-delà de ses adhérent et qui induit de fait une partie de cette guéguerre que certains désapprouvent.

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Bon ça suffit pour aujourd'hui il y en a qui ne vont pas lire si c'est trop long j'écrirais la suite plus tard controleursncf

et ce n'est que mon point de vue qui essaie d'être le plus exhaustif et impartial possible mais je ne prétend pas détenir la vérité.

Modifié par Bandaa Bono
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Il me semble également que cette grève sera peu suivie. Sans doute la CGT va retirer son préavis deux jours avant ...

De la à dire que la loi sur le service minimum peut réellement empêcher une grève, faut pas s'emballer. À la RATP sur quelques lignes, une majorité des conducteurs de métro en service le jour en question s'était déclaré grévistes deux jours auparavant auprès de la hiérarchie pour empêcher les sanctions contre certains militants syndicaux s'étant fait remarqués pendant la grève de novembre.

Face à l'ampleur d'une telle mobilisation, la direction a reculé avant même le déclenchement de la grève.

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Prend pas cela pour argent comptant ce n'est que supputation de ma part, mais perso j'ai pas fait 9 jours de grève pour avoir des négos en compensation, alors je me sens fort peu concerné par le problème puisque je n'attend rien de ces négos.

Hé oui, les notations sont pour les cheminots le moment le plus important de l'année et aussi c'est le travail de base des élus DP titulaires membres des commissions. Traiter par dessus la jambe les notations et c'est une gamelle asurée aux élections suivantes.

Regarde l'UNSA c'est leur activité principale mais dans les notations maitrise et cadre ils assurent un max, résultat ils sont troisième OS avec seulement cela.

L' UNSA ne fait pas que dans les notations cadres et maitrises, elle s'occupe également des agents qui ont des difficultés, adhérents ou pas .Elle fait passer le plus d'informations possibles concernant la réforme du Fret et du RH, met en place des questionnaires pour connaitre l'avis des agents concernés. Elle sait aussi se lancer dans des mouvements de grève quand celà s'impose.

L'UNSA ne suivra pas le mouvement du 11 mars parce que ses adhérents et sympathisants ont bien conscience des adaptations nécessaires au FRET si l'on veut garder notre outil de travail afin d'affronter la concurrence. A part bloquer la production pendant 48 heures et continuer d'exaspérer nos clients, à quoi celà va t-il servir ?

Présenter l'UNSA comme un syndicat maitrises et cadres est quelque peu réducteur, aux dernières élections c'est l'OS qui est arrivée première dans mon dépôt.

UNSA 49%, CGT 33%, SUDRAIL 14%, ...Ces résultats ne reflètent pas les scores nationaux j'en conviens mais quand une OS fait bien son boulot, sans essayer de manipuler les foules ou faire dans l'idéologie, et bien ça marche .

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Il me semble également que cette grève sera peu suivie. Sans doute la CGT va retirer son préavis deux jours avant ...

De la à dire que la loi sur le service minimum peut réellement empêcher une grève, faut pas s'emballer. À la RATP sur quelques lignes, une majorité des conducteurs de métro en service le jour en question s'était déclaré grévistes deux jours auparavant auprès de la hiérarchie pour empêcher les sanctions contre certains militants syndicaux s'étant fait remarqués pendant la grève de novembre.

Face à l'ampleur d'une telle mobilisation, la direction a reculé avant même le déclenchement de la grève.

En effet la déclaration d'intention peut aussi jouer en ce sens.

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Je suis un nouvel embauché donc je suis encore en période d'essai. Je ne ferais donc pas grève mais je soutiendrai à fond mes collègues grévistes et j'espère que la journée proposée par la CGT sera un succès! Espérons que d'autres confédérations syndicales, comme par exemple SUD et FO, se rallieront à cette proposition.

je ne ferai pas grève car complètement fasciné et admiratif par le résultat des fameuses tables rondes sur la pénibilité tant voulues par nos syndicats pour contre-balancer la mauvaise réforme de nos retraites.

On allez voir ce qu'on allez voir, qu'il(s) disai(ent).

Et bien c'est tout vu et cela compense toutes ces années à surcotiser de 12% de notre masse salariale: Parfait et bravo les gars !

Le Temps réel du 07/03/08 reprenant les propositions de notre aimable direction (après 1 ères discussions informelles pour prendre le poul) sont impéccables et rassurantes;

Surtout la mesure 2 promettant moyennant au moins 0,5 jour/an mis de coté par l'agent sur un compte-épargne temps de BENEFICIER d'un congé de fin de carrière de 2 mois financé qu'à 60% par l'entreprise au bout de 38 ans de carrière.

Je n'en attendais pas moins et il faudra taire cet avantage au public sinon nous risquons de redevenir des privilégiés indigne abusant d'une rente de situation et de l'argent public !

NB: c'est de l'humour sur le style de la chanson (1974) des Charlots "Merci Patron!" sauf qu'en 2008 on peut rajouter nos syndicats.

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je ne ferai pas grève car complètement fasciné et admiratif par le résultat des fameuses tables rondes sur la pénibilité tant voulues par nos syndicats pour contre-balancer la mauvaise réforme de nos retraites.

On allez voir ce qu'on allez voir, qu'il(s) disai(ent).

Et bien c'est tout vu et cela compense toutes ces années à surcotiser de 12% de notre masse salariale: Parfait et bravo les gars !

Le Temps réel du 07/03/08 reprenant les propositions de notre aimable direction (après 1 ères discussions informelles pour prendre le poul) sont impéccables et rassurantes;

Surtout la mesure 2 promettant moyennant au moins 0,5 jour/an mis de coté par l'agent sur un compte-épargne temps de BENEFICIER d'un congé de fin de carrière de 2 mois financé qu'à 60% par l'entreprise au bout de 38 ans de carrière.

Je n'en attendais pas moins et il faudra taire cet avantage au public sinon nous risquons de redevenir des privilégiés indigne abusant d'une rente de situation et de l'argent public !

NB: c'est de l'humour sur le style de la chanson (1974) des Charlots "Merci Patron!" sauf qu'en 2008 on peut rajouter nos syndicats.

Moi je vous le dirais le 13, je ne déclare pas mes intentions à tout le monde, enfin! okok koiquesse

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Invité MarcM

Moi je vous le dirais le 13, je ne déclare pas mes intentions à tout le monde, enfin! ;)okok

oui mais le 13 , on est de la baise ... koiquesse

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Présenter l'UNSA comme un syndicat maitrises et cadres est quelque peu réducteur, aux dernières élections c'est l'OS qui est arrivée première dans mon dépôt.

UNSA 49%, CGT 33%, SUDRAIL 14%, ...Ces résultats ne reflètent pas les scores nationaux j'en conviens mais quand une OS fait bien son boulot, sans essayer de manipuler les foules ou faire dans l'idéologie, et bien ça marche .

dans mon EVEN pour election CA, l'UNSA a bien sur recolté ses voix dans le collège cadre (bien que la CGT progresse), par contre dans collège "autres salariés" , des bureaux de votes à 0 et de mémoire en totalité une, voire 2 voix ...

et cela correspond assez au reste des établissements dans ma région

Si on pense qu'il y avait les maitrises , c'est surprenant non ?

Cela indiquerait il un rejet de ce collège pour le syndicat de "leurs patrons" ?

Modifié par yabasta62
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