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Le Web des Cheminots

La Playlist Des Cheminots


Invité _

Messages recommandés

Et ici en moins de 2 minutes! (et ça chante quand même beaucoup moins faux...)

http://fr.youtube.com/watch?v=Tluogv9EGTQ

Le rapport entre les 2 ??? C'est un clip, donc pas la vraie vie ( même si les images ne sont pas joisse, il est vrai... ).

Modifié par Roukmoute
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Évènement !!!( Enfin, façon de causer, vu que ça s'est passé en 2006... )

À l'occasion des 20 ans de l'album " Master of Puppets ", Metallica a joué Orion en concert, et ça donne ça...

( Perso, je considère que c'est un de leurs meilleurs morceaux. ) lotrela

Modifié par Roukmoute
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Le nouvel album de Marie Cherrier,

"Alors Quoi ?", sortira le 14 septembre 2007.

Découvrez " le temps des noyaux", le premier single extrait de ce disque.

http://www.larriereboutique.fr/site/-Marie-Cherrier-.html

N'oubliez pas de mettre le son...

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Dis, quand reviendras-tu ?

Barbara

Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,

Voilà combien de temps que tu es reparti,

Tu m'as dit cette fois, c'est le dernier voyage,

Pour nos cœurs déchirés, c'est le dernier naufrage,

Au printemps, tu verras, je serai de retour,

Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour,

Nous irons voir ensemble les jardins refleuris,

Et déambulerons dans les rues de Paris,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus,

Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà,

Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois,

A voir Paris si beau dans cette fin d'automne,

Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne,

Je tangue, je chavire, et comme la rengaine,

Je vais, je viens, je vire, je me tourne, je me traîne,

Ton image me hante, je te parle tout bas,

Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus,

J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours,

J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour,

Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir,

Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs,

Je reprendrai la route, le monde m'émerveille,

J'irai me réchauffer à un autre soleil,

Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin,

Je n'ai pas la vertu des femmes de marins,

Dis, quand reviendras-tu,

Dis, au moins le sais-tu,

Que tout le temps qui passe,

Ne se rattrape guère,

Que tout le temps perdu,

Ne se rattrape plus...

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Louise Attaque

Tes Yeux Se Moquent

Ce soir je marche beaucoup

ce soir je t'aime à reculons

demain je pars pour Londres

demain il faut croire, je vole

Et je me moque

que tu m'aies pas regardé

ce soir sur moi t'as posé les yeux.

Ce soir je t'aime amer

demain je sens

mes yeux se brouillent

demain ne vient pas très clair

alors ce soir je vadrouille

Et je me moque

que tu m'aies pas regardé

ce soir sur moi t'as posé les yeux.

Ce soir je me raconte une histoire

demain je te vois pour déjeuner

demain je me demande si ce soir

je ne te voudrais pas pour dîner.

Et je me moque

que tu m'aies pas regardé

ce soir sur moi t'as posé les yeux.

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Évènement !!!( Enfin, façon de causer, vu que ça s'est passé en 2006... )

À l'occasion des 20 ans de l'album " Master of Puppets ", Metallica a joué Orion en concert, et ça donne ça...

( Perso, je considère que c'est un de leurs meilleurs morceaux. ) cartonrouge

Merci pour l'info, c'est bien la 1ère fois que je les vois la faire en live......

Excellent............ lotrela

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Découvertes du jour :

Marie-Annick Lépine (ex les cow-boys fringuants)

Michel Bühler : un suisse qui n'a pas sa langue dans sa poche

essayez d'écouter : "mondialisation"

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Entre le Velvet Undergroud et Calvin Russel, un peu d'Yves Jamait (y'a aucun rapport...). J'aime bien ses textes sur un rythme bien jazz okok et puis ça flatte les chauvins du forum lotrela

Dijon

Pour avoir foulé ton pavé

Usé mes s'melles sur tes trottoirs

Je te connais du bout du pied

Du bout du coeur, du bout du r'gard

Depuis le temps que je circule

Que je coule dans tes artères

Cellule parmi tes cellules

C'est ton coeur qui me régénère

Pour ces heures passées dans tes nuits

Ma pudique bourgeoise

Où pour me faire le don d'un lit

Tu fus plus que courtoise

Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde

Je te salue, ma vieille Dijon

Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître

Bien sûr tu as exacerbé

Mes aigreurs de jeunesse

Mais tu es longue à décoincer

À te bouger les fesses

Aussi j'ai voulu te quitter

Pour une autre, plus littorale

Bien que la fille fût dessalée

Me manquait mon canal

Et vois-tu, je suis revenu

Ma précieuse bourgeoise

Et je ne te quitterai jamais plus

Pour une plus grivoise

Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde

Je te salue, ma vieille Dijon

Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître

Moi qui te croyais pudibonde

Tu as rosi, ce n'est pas sage

Voilà que tu te dévergondes

Quand moi je passe l'âge

Je vais vieillir encore un peu

Et cultiver nos différences

Au creux de ton cou capiteux

Jusqu'au dernier silence

J'ai encore quelques heures dans tes nuits

À passer, ma bourgeoise

Et pour me faire le don d'un lit

Tu s'ras toujours courtoise

Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde

Je te salue, ma vieille Dijon

Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître

Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde

Je te salue, ma vieille Dijon

Et nulle part au monde, je n'aurais voulu naître

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Invité ibrahima

Bon, çà oblige à contre-balancer avec du Nougaro çà (j'avais entendu une bourrée auvergnate sur Clermont-Ferrand dans une radio locale une fois dans le même esprit, mais j'ai peu de chance d'y retrouver...).

Qu'il est loin mon pays, qu'il est loin

Parfois au fond de moi se ranime

L'eau verte du canal du Midi

Et la brique rouge des Minimes

Ô mon pays, ô Toulouse, ô Toulouse

Je reprends l'avenue vers l'école

Mon cartable est bourré de coups de poings

Ici, si tu cognes, tu gagnes

Ici, même les mémés aiment la castagne

Ô mon pays, ô Toulouse

Un torrent de cailloux roule dans ton accent

Ta violence bouillone jusque dans tes violettes

On se traite de con à peine qu'on se traite

Il y a de l'orage dans l'air et pourtant

L'église Saint-Sernin illumine le soir

Une fleur de corail que le soleil arrose

C'est peut-être pour ça malgré ton rouge et noir

C'est peut-être pour ça qu'on te dit Ville Rose

Je revois ton pavé, ô ma cité gasconne

Ton trottoir éventré sur les tuyaux du gaz

Est-ce l'Espagne en toi qui pousse un peu sa corne

Ou serait-ce dans tes tripes une bulle de jazz ?

Voici le Capitole, j'y arrête mes pas

Les ténors enrhumés tremblent sous leurs ventouses

J'entends encore l'écho de la voix de papa

C'était en ce temps-là mon seul chanteur de blues

Aujourd'hui, tes buildings grimpent haut

A Blagnac, tes avions ronflent gros

Si l'un me ramène sur cette ville

Pourrai-je encore y revoir ma pincée de tuiles

Ô mon pays, ô Toulouse, ô Toulouse

http://www.google.fr/url?q=http://www.yout...4whMiMc2FQvnUqw

Modifié par ibrahima
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Georges Brassens

Je me suis fait tout petit

Je n'avais jamais ôté mon chapeau

Devant personne

Maintenant je rampe et je fait le beau

Quand ell' me sonne

J'étais chien méchant, ell' me fait manger

Dans sa menotte

J'avais des dents d'loup, je les ai changées

Pour des quenottes

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui ferm' les yeux quand on la couche

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui fait Maman quand on la touche

J'était dur à cuire, ell' m'a converti

La fine bouche

Et je suis tombé tout chaud, tout rôti

Contre sa bouche

Qui a des dents de lait quand elle sourit

Quand elle chante

Et des dents de loup quand elle est furie

Qu'elle est méchante

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui ferm' les yeux quand on la couche

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui fait Maman quand on la touche

Je subis sa loi, je file tout doux

Sous son empire

Bien qu'ell' soit jalouse au-delà de tout

Et même pire

Un' jolie pervenche qui m'avait paru

Plus jolie qu'elle

Un' jolie pervenche un jour en mourut

A coup d'ombrelle

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui ferm' les yeux quand on la couche

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui fait Maman quand on la touche

Tous les somnambules, tous les mages m'ont

Dit sans malice

Qu'en ses bras en croix, je subirais mon

Dernier supplice

Il en est de pir's il en est d'meilleures

Mais à tout prendre

Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs

S'il faut se pendre

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui ferm' les yeux quand on la couche

Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée

Qui fait Maman quand on la touche

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Georges Brassens

Haha, Audrey sort l'artillerie lourde bigbisousbigbisousbigbisous

Dans les morceaux rares: les Radis. brassens l'a écrite mais il est mort avant de l'avoir enregistrée. Mais ça vaut le coup :)

Les radis

Chacun sait qu'autrefois les femmes convaincues d'adultère, Se voyaient enfoncer dans un endroit qu'il me faut taire

Par modestie, Un énorme radis.

Or quand j'étais tout gosse, un jour de foire en mon village, J'eus la douleur de voir punir d'une épouse volage

La perfidie, Au moyen du radis.

La malheureuse fut traînée sur la place publique, Par le cruel cornard armé du radis symbolique,

Ah ! Sapristi, Mes aïeux quel radis !

Vers la pauvre martyre on vit courir les bonnes épouses Qui, soit dit entre nous, de sa débauche étaient jalouses.

Je n'ai pas dit : Jalouses du radis.

Si j'étais dans les rangs de cette avide et basse troupe, C'est qu'à cette époque-là j'n'avais encore pas vu de croupe

Ni de radis, Ça m'était interdit.

Le cornard attendit que le forum fût noir de monde, Pour se mettre en devoir d'accomplir l'empalement immonde,

Lors il brandit, Le colossal radis.

La victime acceptait le châtiment avec noblesse, Mais il faut convenir qu'elle serrait bien fort les fesses

Qui, du radis, Allaient être nanties.

Le cornard mit l'radis dans cet endroit qu'il me faut taire, Où les honnêtes gens ne laissent entrer que des clystères.

On applaudit, Les progrès du radis.

La pampre du légume était seule à présent visible, La plante était allée jusqu'aux limites du possible,

On attendit, Les effets du radis.

Or, à l'étonnement du cornard et des grosses pécores L'empalée enchantée criait : « Encore, encore, encore,

Hardi hardi, Pousse le radis, dis ! »

Elle dit à pleine voix : « J'n'aurais pas cru qu'un tel supplice, Pût en si peu de temps me procurer un tel délice !

Mais les radis, Mènent en paradis ! »

Elle n'avait pas fini de chanter le panégyrique, Du légume en question que toutes les pécores lubriques

Avaient bondi, Vers les champs de radis.

L'œil fou, l'écume aux dents, ces furies se jetèrent en meute, Dans les champs de radis qui devinrent des champs d'émeute.

Y en aura-t-y, Pour toutes, des radis ?

Ell's firent un désastre et laissèrent loin derrière elles, Les ravages causés par les nuées de sauterelles.

Dans le pays, Plus l'ombre d'un radis.

Beaucoup de maraîchers constatèrent qu'en certain nombre, Il leur manquait aussi des betteraves et des concombres

Raflés pardi, Comme de vils radis.

Tout le temps que dura cette manie contre nature, Les innocents radis en virent de vertes et de pas mûres,

Pauvres radis, Héros de tragédie.

Lassés d'être enfoncés dans cet endroit qu'il me faut taire, Les plus intelligents de ces légumes méditèrent.

Ils se sont dit : « Cessons d'être radis ! »

Alors les maraîchers semant des radis récoltèrent, Des melons, des choux-fleurs, des artichauts, des pommes de terre

Et des orties, Mais pas un seul radis.

A partir de ce jour, la bonne plante potagère, Devint dans le village une des denrées les plus chères

Plus de radis, Pour les gagne-petit.

Certaines pécores futées dirent sans façons : « Nous, on s'en fiche, De cette pénurie, on emploie le radis postiche

Qui garantit, Du manque de radis. »

La mode du radis réduisant le nombre de mères, Qui donnaient au village une postérité, le maire,

Dans un édit, Prohiba le radis.

Un crieur annonça : « Toute femme prise à se mettre, Dans l'endroit réservé au clystère et au thermomètre

Même posti- Che un semblant de radis

Sera livrée aux mains d'une maîtresse couturière, Qui, sans aucun délai, lui faufilera le derrière

Pour interdi- Re l'accès du radis. »

Cette loi draconienne eut raison de l'usage louche, D'absorber le radis par d'autres voies que par la bouche,

Et le radis, Le légume maudit,

Ne fut plus désormais l'instrument de basses manœuvres, Et n'entra plus que dans la composition des hors-d'œuvre

Qui, à midi, Aiguisent l'appétit.

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haemorrhage, cliteater, kreator, dying fetus etc tout un we bigbisousokok okok

sans compter les voisins du camping à l'arrache fans de grindcore qui faisaient gueuler leur sono toute la journée et les autres autour idem en version plus variée okok

sinon le reveil en sursaut d'une sieste à l'arrache au son d'un énorme coup de basse d'un groupe de brutal black restera un souvenir très :)bigbisous bigbisous

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Et puis tant qu'on y est: :)

Le Blason

Ayant avecques lui toujours fait bon ménage, J'eusse aimé célébrer sans être inconvenant

Tendre corps féminin ton plus bel apanage, Que tous ceux qui l'ont vu disent hallucinant.

C'eût été mon ultime chant mon chant du cygne, Mon dernier billet doux mon message d'adieu

Or malheureusement les mots qui le désignent, Le disputent à l'exécrable à l'odieux.

C'est la grande pitié de la langue française, C'est son talon d'Achille et c'est son déshonneur

De n'offrir que des mots entachés de bassesse, A cette incomparable instrument de bonheur.

Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques, Tendre corps féminin c'est fort malencontreux

Que ta fleur la plus douce, et la plus érotique, Et la plus enivrante, en ait de si scabreux.

Mais le pire de tous est un petit vocable, De trois lettres pas plus, familier, coutumier

Il est inexplicable, il est irrévocable, Honte à celui-là qui l'employa le premier.

Honte à celui-là qui par dépit par gageure, Dota du même terme en son fiel venimeux

Ce grand ami de l'homme et la cinglante injure, Celui-là c'est probable en était un fameux.

Misogyne à coup sûr asexué sans doute, Aux charmes de Vénus absolument rétif

Était ce bougre qui toute honte bue toute, Fit ce rapprochement d'ailleurs intempestif.

La male peste soit de cette homonymie, C'est injuste madame et c'est désobligeant

Que ce morceau de roi de votre anatomie, Porte le même nom qu'une foule de gens.

Fasse le ciel qu'un jour, dans un trait de génie, Un poète inspiré que Pégase soutient

Donne, effaçant d'un coup des siècles d'avanie, A cette vraie merveille, un joli nom chrétien.

En attendant madame, il semblerait dommage, Et vos adorateurs en seraient tous peinés

D'aller perdre de vue que pour lui rendre hommage, Il est d'autres moyens et que je les connais

Et que je les connais.

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Depuis quelques temps, cette chanson me trotte de nouveau dans la tête...et je repense à cette personne si chère que j'admire. Dure épreuve à vivre ensemble, je n'ai pas été à la hauteur, il l'a été pour deux...il me manque.

Mano Solo

Au creux de ton bras

Ça fait des heures que tu l'attends

T'as mal aux os, t'as mal au dos

Tu transpires, c'est pas parce qu'il fait chaud

Et tu trembles, c'est pas parce que t'as froid

Et tu l'attends le salaud

Il prend son temps

Il sait qu'il aura ton argent

Tu ferais n'importe quoi

Pour l'avoir ton petit képa1

Tu voudrais la sentir déjà au creux de ton bras

La femme de ceux qui n'en ont pas

Tu le vois venir de loin

C'est ton soleil qui revient

Avec sa sale petite gueule d'enculé

C'est sûr que, ce mec-là, il va t'arnaquer

Mais, déjà tu flippes2 comme un chien

De peur qu'il te dise qu'il n'a rien

Et quand il tend sa merde avec mépris

Tu vas même jusqu'à lui dire merci

Tu cours dans une sanisette

Et là pour toi c'est la fête

Et là avec l'eau de la cuvette

Tu prépares ta petite dinette

Et quand enfin tu plantes ton pieu

Dans ton bras devenu noueux

Et que le rouge se mêle au blanc

C'est la fin du tourment

Tu la sens maintenant au creux de ton bras

La femme de ceux qui n'en ont pas

Et tu piques du zen3 dans la rue

Et déjà tu te souviens même plus

Qui t'étais avant, du temps où t'avais des couilles

Où t'étais fier, du temps où t'avais même

T'avais même des rêves

Et tu piques du zen dans la rue

J'ai comme envie de te botter le cul

Mais j'ai bien trop peur de te casser en deux

Tellement que t'as l'air d'un petit vieux

Emmène-la au creux de ton bras

La femme de ceux qui n'en ont pas

Elle est vieille ta femme

Elle est trop vieille pour toi

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En ce moment c'est à fond les manettes sur Monsieur Laurent Garnier

avec son dernier album: Public out burst

De l'électronique et du jazz dans des lieux atypiques : tel est le programme que nous propose le Français au parcours atypique. Pour ce faire, il a réuni quelques-uns de ses amis artistes.

Le nom de Laurent Garnier est souvent évoqué lorsqu'il s'agit de citer un artiste de la scène électronique hexagonale. Le dj est en effet un activiste dont l'énergie n'a jamais réussi à être canalisée au fil des années. Sa carrière est tellement riche (en mixes, rencontres, événements...) qu'il serait probablement impossible de la résumer en quelques lignes. Il faut dire que le Français a déjà deux décennies de travaux au compteur et qu'il ne compte visiblement pas prendre sa retraite de si tôt. Son dernier projet en date vient graver dans le marbre ses différentes rencontres avec des artistes de talent, désormais amis.

Les cuivres de Philippe Nadaud et les claviers de Benjamin Rippert et de Bugge Wesseltoft viennent agrémenter les sons électroniques de Laurent Garnier, sur fond de musiques plutôt surprenantes. Si vous étiez resté(e) à l'esprit techno exalté de l'artiste, vous pouvez tout oublier pour découvrir cette mixture mêlant vieille ambiance free jazz et modernité des machines. Entre l'Allemagne, l'Irlande et la France, la bande a enregistré ses répétitions et ses apparitions live pour réaliser cet album court (de sept titres) mais très intense. Écoutez plutôt le superbe "Barbiturik Blues" et imaginez un set féerique capté sur le Pont du Gard... Intense et saisissant !

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pour zoreglube:

je sais pas si tu connais mais le groupe à un vrai frontman qui fait toujours le con sur scène dans une version très humour noir, le tout agrémenté d'un sourire de psychopathe:

http://fr.youtube.com/watch?v=xKDryDwPc9Q&NR=1 :Smiley_62:

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  • 1 mois plus tard...

Tryo

Pour un flirt avec la crise

Elle est plus forte que toi la crise !

Usée, laminée la populace se hisse

On est lourd de cernes mais la foule se glisse

Dans un couloir de métro

Les yeux rivés sur l'aiguille à regarder

passer le temps

Qui se faufile comme une anguille

Et ne cesse

De te mettre dans le vent ...

Tu finiras cul et chemise

Dans ton flirt avec la crise ! {2x}

Abattu et crevé, le dos courbé par ton horaire

Tu ne sais plus quoi faire pour te distraire

Grincement du métro le train est à l'approche

C'est le mouvement de foule

Qui te noie comme la houle

Tu cours sans y penser le temps t'est compté

Chaque minute de gagner est comme un chèque

Bien encaissé !

Tu finiras par lâcher prise

Dans ton flirt avec la crise ! {2x}

Envolé d'un courant d'air

Ecrasé la gueule par terre

On est toujours à bout de souffle

A bout de nerfs

Dans sa multinationale blindée mondialisée

L'homme actif de nos tendres années

C'est le technocrate de son métier

Qui a écrasé ses millions de partenaires

Qui a écrasé nos vendeurs de réverbères

Qui fait du gringue à sa secrétaire

Et qui se retient pendant la prière ...

Qui pratiquera son art de la maîtrise

Comment profiter de la crise

Comment profiter des petites entreprises

Dans son flirt avec la crise

Elle est plus forte que toi la crise ...

Modifié par Jay17
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En ces temps qui s'annoncent difficiles...

NUTTEA - Unité (2000)

[Refrain:]

Laissons place à l'unité

Devant nous se lève un jour nouveau

Et si l'enjeu est de taille

Sache que nous n'aurons pas de faille

Marchons car unis nul ne nous fera taire

La voie des bas fonds passe au-delà des frontières

Le son résonne du Paradis jusqu'aux Enfers

Ayons les pieds sur terre et surtout l'esprit ouvert

La route tourne pour tous du pasteur au gangster

La route est longue donc l'union salutaire

Dieu sait, qu'à la fin, les premiers seront derniers

[au Refrain]

Unis jusqu'à la fin, riches ou dans la misère

Soudés par la passion, quelles que soient les galères

Ici chacun est le gardien de son frère

Marchons, levons la tête, tout sera plus clair

Demain sera nôtre à nous de changer d'air

L'union est l'arme du prochain millénaire

Je prie pour le futur et pour des jours plus clairs

Sachant que des ténèbres jaillira la lumière

Laisse-moi prêcher, l'unité pour frères

[au Refrain]

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Tiens sympa comme topik!

Pour moi c'est le plus souvent (en ce moment):

- The Who : Baba O'Riley

- Get-Far : Shining Star

- Blink 182 : un peu de tout

- Enya : Adiemus

- Matt Nathanson : Laid

- Renan Luce : La Lettre

- Wallen : l'Olivier

- Ridan : Ulysse

- Daft Punk : la total nonmais

Ah et Koxie : Gare au con

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Lio

Amoureux solitaires

Eh toi dis-moi que tu m'aimes

Même si c'est un mensonge et qu'on n'a pas une chance

La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes

Tous les jours sont les mêmes, j'ai besoin de romance

Un peu de beauté plastique pour effacer nos cernes

De plaisir chimique pour nos cerveaux trop ternes

Que nos vies aient l'air d'un film parfait

Eh toi dis-moi que tu m'aimes

Même si c'est un mensonge puisque je sais que tu mens

La vie est si triste, dis-moi que tu m'aimes

Oublions tout nous-mêmes, ce que nous sommes vraiment

Amoureux solitaires dans une ville morte

Amoureux imaginaires après tout qu'importe!

Que nos vies aient l'air d'un film parfait...

La la la la la...

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