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Le Président Est ......


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un président de la république doit aimer tout les Français .....

citation de N.S.

Vous voyez qu'il nous aime...... bigbisous

Non, je ne crois pas. Il nous deteste, c'est gravé sur son visage.

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Meuuuhhhhhhh est le cri que la France entière entend sur ses ondes depuis ce matin.

Meuuhhhh font ceux qui comme à chaque élection rêvent au père noêl en plein mois de mai et à la mère Noêl en String.

Le bovin est un animal respectable, c'est une bête qui mange du foin et produit du lait.

On ne lui en demande pas plus.

Si seulement les bovins sarkozystes pouvaient au moins fournir du lait, la France serait sauvée.

Ils ne le peuvent pas.

Par contre pour la bile, c'est par hectolitres !

Modifié par antoine
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Meuuuhhhhhhh est le cri que la France entière entend sur ses ondes depuis ce matin.

Meuuhhhh font ceux qui comme à chaque élection rêvent au père noêl en plein mois de mai et à la mère Noêl en String.

Le bovin est un animal respectable, c'est une bête qui mange du foin et produit du lait.

On ne lui en demande pas plus.

Si seulement les bovins sarkozystes pouvaient au moins fournir du lait, la France serait sauvée.

Ils ne le peuvent pas.

Par contre pour la bile, c'est par hectolitres !

Vivre dans un pays démocratique, c'est respecter le choix des électeurs.

Les 53 % de "bovins" qui ont voté sarko l'ont fait en leur âme et conscience. Et ne me dit pas qu'il y a 53 % de naifs, de cons, d'imbéciles, etc etc etc....

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Vivre dans un pays démocratique, c'est respecter le choix des électeurs.

Les 53 % de "bovins" qui ont voté sarko l'ont fait en leur âme et conscience. Et ne me dit pas qu'il y a 53 % de naifs, de cons, d'imbéciles, etc etc etc....

Tu as raison Moos

Il faut respecter le choix des électeurs.

Il y aura d'autres élections dès le mois de juin puis l'année prochaine

ça n'empêcheras pas de s'exprimer aussi d'autres façons (légales)

surtout qu'on devrait rapidement retrouver lors de manifestations (légales)

certains des électeurs Sarkozy dans la rue...

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Invité ibrahima

Nous aurons hélas très bientôt l'occasion de vérifier que le nouveau président n'est pas celui de tous les français parcequ'à ma connaissance les cheminots sont élèments du peuple français.

Le modeste TA1 que je suis fera ce qu'il peut dans la limite de ses compétences pour ne pas laisser foutre à poil ses camarades et lui-même.

La clef de Berne est comme l'épée de l'Escrimeur, elle ne se sort pas sans raison, elle ne se range pas sans honneur.

Ibrahima

Modifié par ibrahima
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Vivre dans un pays démocratique, c'est respecter le choix des électeurs.

Les 53 % de "bovins" qui ont voté sarko l'ont fait en leur âme et conscience. Et ne me dit pas qu'il y a 53 % de naifs, de cons, d'imbéciles, etc etc etc....

:Smiley_35:

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367 voitures brûlées,270 interpellations

35 voitures ont brûlé dans la capitale, entre 70 et 100 dans le Nord et environ 200 en Rhône Alpes dans la nuit de dimanche à lundi où des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre ont éclaté dans les grandes villes.

Trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 270 personnes ont été interpellées, a-t-on appris lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN).

Trente-cinq voitures ont été brûlées et soixante-dix-neuf personnes ont été interpellées à Paris lors des incidents qui ont eu lieu dans la soirée du second tour de l'élection présidentielle, selon un bilan communiqué lundi 7 mai en fin de matinée par la préfecture de Police (PP).

<!--[if !supportLineBreakNewLine]-->Selon la PP, trente-cinq véhicules ont été brûlés dans la capitale ainsi que 13 poubelles.

La police a procédé à soixante-dix-neuf interpellations et trente-trois membres des forces de l'ordre ont été blessés lors des incidents.

C'est à Bastille que les échauffourées ont été les plus violents. Les violences ont éclatées au milieu d'un rassemblement de près de 5.000 personnes qui s'étaient réunis spontanément sur la place de la Bastille peu avant 22h00 afin d'exprimer leur déception et leur colère après la victoire du candidat UMP à la présidentielle.

Dans le département du Nord, environ 70 véhicules, selon la police, une centaine, selon les pompiers, ont été incendiés dans la nuit de dimanche à lundi.

60 interpellations dans le Nord

Une soixantaine de personnes a été interpellée, et une quinzaine d'entre eux étaient encore en garde à vue lundi vers 11H30, a précisé la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP).

Les pompiers du Nord ont réalisé -essentiellement à Lille, Roubaix, Tourcoing, Valenciennes et Cambrai- plus de 220 interventions au cours de la nuit, dont une centaine pour des feux de véhicules, selon le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis).

Les autres interventions ont concerné des incendies de mobilier urbain (poubelles, bennes), de granges ou d'écuries désaffectées, toujours selon le Codis. Un incendie a également détruit la bibliothèque d'un centre social à Emmerin.

Des manifestations émaillées de heurts avec les forces de l'ordre ont eu lieu dans plusieurs quartiers de Lille dimanche soir.

52 voitures brûlées à Lyon

En Rhône-Alpes, environ 200 véhicules ont brûlé, dont plusieurs bus et des camions-poubelles, a-t-on appris auprès des pompiers et de la police.

A Lyon, où des échauffourées ont opposé manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre jusqu'à 2h00 du matin, faisant une dizaine de blessés parmi les policiers et trois parmi les manifestants, 52 voitures ont brûlé. Plusieurs vitrines, du mobilier urbain et un bungalow de vente immobilière ont été vandalisés.

Trente-quatre personnes on été interpellées, selon la préfecture.

Les chiffres dans le Rhône correspondent à ceux d'une soirée sensible "mais pas exceptionnelle", a-t-on précisé de même source.

En Isère, 91 véhicules ont été incendiés, et un début d'incendie a été rapidement maîtrisé dans une école d'un quartier dit "sensible" de Grenoble. Environ 500 manifestants ont été repoussés par les forces de l'ordre en centre-ville de Grenoble, près de la préfecture et du siège de l'UMP.

En Savoie, trois bus ont été incendiés et deux dégradés dans l'entrepôt des transports en commun à Aix-les-Bains.A Saint-Etienne, des manifestants ont lancé des pierres sur l'hôtel de ville, brisant des vitres, et une trentaine de véhicules ont brûlé dans la Loire. Cinq camions poubelles ont été détruits par des incendies volontaires à Saint-Vincent Boisset, près de Roanne (Loire).

Cocktail molotov contre un commissariat

Une dizaine de véhicules a brûlé dans l'Ain, 16 dans la Drôme.

En Auvergne, 8 véhicules ont brûlé dans le Puy-de-Dôme, et un cocktail molotov a endommagé un commissariat de Clermont-Ferrand.

En Franche-Comté, les pompiers ont éteint de nombreux feux de poubelles.

En Bourgogne, une trentaine de véhicules a brûlé. A Dijon, plusieurs vitrines ont été vandalisées en marge d'une manifestation anti-Sarkozy. Les pompiers ont été la cible de jets de pierre lors de leur intervention sur deux départs de feu dans une médiathèque en construction du quartier sensible des Grésilles.

A Nevers, les forces de l'ordre ont été visées par cocktails molotov dans le quartier des Courlis. Ces incidents n'ont pas fait de blessés.

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Vivre dans un pays démocratique, c'est respecter le choix des électeurs.

Les 53 % de "bovins" qui ont voté sarko l'ont fait en leur âme et conscience. Et ne me dit pas qu'il y a 53 % de naifs, de cons, d'imbéciles, etc etc etc....

et parmis eux, il y a des cheminots alors respectez le choix de chacun merci !!! c'est ça une démocratie.

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730 voitures brûlées,592 interpellations

La police a revu à la hausse le bilan des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre dans la nuit de dimanche à lundi pendant laquelle 35 voitures ont notamment brûlé dans la capitale.

Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN).

Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l'ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale.

Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle.

Dans un premier temps, la DGPN avait fait état de 367 voitures brûlées et 270 interpellations, ajoutant que 28 policiers et gendarmes avaient été blessés.

Ce bilan, arrêté à 6h00 du matin, ne semblait pas faire état de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales.

La préfecture de police de Paris fait ainsi état à elle seule de 33 policiers blessés. La DGPN n'en recense que trois dans la capitale. D'autres bilans régionaux font état de dégâts matériels supérieurs.

Magasins pillés à Lyon

Le bilan de la DGPN ne fait ainsi pas mention d'attaques de bus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville, attestés de source policière.

Il ne fait pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées.

Dans le département du Nord, une centaine de voitures ont été incendiées, en particulier dans les villes de Lille et de Roubaix, rapportent les pompiers. Des dizaines d'abribus ont été brisés, des feux de poubelles observés. Environ 70 personnes ont été interpellées à Lille, selon la police.

10.000 manifestants

Dans un document interne, dont Reuters a eu connaissance, la DGPN estime que "le second tour des élections présidentielles n'a pas généré de grandes manifestations de violences urbaines dans les quartiers sensibles".

Elle estime le niveau des violences de la nuit "au-dessus de celle d'un 14 juillet, mais inférieures à celles d'un Réveillon de la Saint-Sylvestre".

Selon elle, environ 10.000 personnes ont manifesté dans toute la France contre le résultat de l'élection présidentielle qui a vu Nicolas Sarkozy accéder à l'Elysée.

La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d'extrême gauche, anarchistes ou "autonomes" dans les centres des grandes villes.

Les seconds ont par exemple affronté les forces de l'ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales.

Les manifestants, qui jetaient feux d'artifice et bouteilles, n'ont pu être dispersés que par un véhicule anti-émeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place.

En province, outre Lyon et Lille, des échauffourées similaires se sont déroulées à Bordeaux, Nantes, Rennes et Toulouse notamment.

A Nantes, où une manifestation contre Nicolas Sarkozy a rassemblé un millier de personnes dans la nuit de dimanche à lundi, 26 personnes ont été placées en garde à vue, selon Yves Monard, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique.

Parmi elles figurent trois mineurs accusés d'avoir cassé un abri de bus. Six policiers ont été légèrement blessés et du côté des manifestants, une personne a été touchée par un tir de Flash Ball, mais ses jours ne semblent pas en danger.

Dans des quartiers sensibles de la ville, 33 véhicules ont été incendiés ainsi que de nombreuses poubelles. Par ailleurs, plusieurs vitrines de commerçants ont été endommagées.

"Il ne s'agissait pas d'une manifestation spontanée, mais d'un mouvement préparé par un noyau dur de militants anarchistes et d'extrême gauche", a estimé Yves Monard.

En Normandie, la police a procédé à vingt interpellations à Rouen et à Caen, lors d'incidents survenus en marge de manifestations dans la nuit de dimanche à lundi.

Quatre policiers ont été légèrement blessés à Caen où d'importants dégâts matériels - dégradations, bris de vitrines, voitures endommagées, tentative d'incendie de la permanence UMP - ont été commis, en marge d'une manifestation.

Dans l'agglomération de Rouen, une dizaine de voitures ont été incendiées. (avec Reuters)

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730 voitures brûlées,592 interpellations

La police a revu à la hausse le bilan des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre dans la nuit de dimanche à lundi pendant laquelle 35 voitures ont notamment brûlé dans la capitale.

Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN).

Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l'ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale.

Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle.

Dans un premier temps, la DGPN avait fait état de 367 voitures brûlées et 270 interpellations, ajoutant que 28 policiers et gendarmes avaient été blessés.

Ce bilan, arrêté à 6h00 du matin, ne semblait pas faire état de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales.

La préfecture de police de Paris fait ainsi état à elle seule de 33 policiers blessés. La DGPN n'en recense que trois dans la capitale. D'autres bilans régionaux font état de dégâts matériels supérieurs.

Magasins pillés à Lyon

Le bilan de la DGPN ne fait ainsi pas mention d'attaques de bus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville, attestés de source policière.

Il ne fait pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées.

Dans le département du Nord, une centaine de voitures ont été incendiées, en particulier dans les villes de Lille et de Roubaix, rapportent les pompiers. Des dizaines d'abribus ont été brisés, des feux de poubelles observés. Environ 70 personnes ont été interpellées à Lille, selon la police.

10.000 manifestants

Dans un document interne, dont Reuters a eu connaissance, la DGPN estime que "le second tour des élections présidentielles n'a pas généré de grandes manifestations de violences urbaines dans les quartiers sensibles".

Elle estime le niveau des violences de la nuit "au-dessus de celle d'un 14 juillet, mais inférieures à celles d'un Réveillon de la Saint-Sylvestre".

Selon elle, environ 10.000 personnes ont manifesté dans toute la France contre le résultat de l'élection présidentielle qui a vu Nicolas Sarkozy accéder à l'Elysée.

La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d'extrême gauche, anarchistes ou "autonomes" dans les centres des grandes villes.

Les seconds ont par exemple affronté les forces de l'ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales.

Les manifestants, qui jetaient feux d'artifice et bouteilles, n'ont pu être dispersés que par un véhicule anti-émeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place.

En province, outre Lyon et Lille, des échauffourées similaires se sont déroulées à Bordeaux, Nantes, Rennes et Toulouse notamment.

A Nantes, où une manifestation contre Nicolas Sarkozy a rassemblé un millier de personnes dans la nuit de dimanche à lundi, 26 personnes ont été placées en garde à vue, selon Yves Monard, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique.

Parmi elles figurent trois mineurs accusés d'avoir cassé un abri de bus. Six policiers ont été légèrement blessés et du côté des manifestants, une personne a été touchée par un tir de Flash Ball, mais ses jours ne semblent pas en danger.

Dans des quartiers sensibles de la ville, 33 véhicules ont été incendiés ainsi que de nombreuses poubelles. Par ailleurs, plusieurs vitrines de commerçants ont été endommagées.

"Il ne s'agissait pas d'une manifestation spontanée, mais d'un mouvement préparé par un noyau dur de militants anarchistes et d'extrême gauche", a estimé Yves Monard.

En Normandie, la police a procédé à vingt interpellations à Rouen et à Caen, lors d'incidents survenus en marge de manifestations dans la nuit de dimanche à lundi.

Quatre policiers ont été légèrement blessés à Caen où d'importants dégâts matériels - dégradations, bris de vitrines, voitures endommagées, tentative d'incendie de la permanence UMP - ont été commis, en marge d'une manifestation.

Dans l'agglomération de Rouen, une dizaine de voitures ont été incendiées. (avec Reuters)

vivement que l'on enferme tout ces fauteurs de troubles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :Smiley_19:

A toi de jouer Nicolas :Smiley_14:

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vivement que l'on enferme tout ces fauteurs de troubles !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :Smiley_19:

A toi de jouer Nicolas :Smiley_14:

Il a été à l'Intérieur combien de temps ton petit Nicolas? Et il a fait quoi?

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J'ai honte d'être français :Smiley_19::Smiley_14::Smiley_32::Smiley_03::Smiley_43:bigbisouslapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuselapleunicheuse

Moi j'ai honte de la maniere dont certain réagissent au choix de la population...... cartonrouge

Arretez un peu la parano !

Moi, perso, j'attends de voir. Et il ne faut pas oublier qu'il y a des législatives en juin. Enfin, dernière chose, le choix du peuple est souverain.

Malheureusement on n'est pas nombreux a penser comme ça ici, c'est bien dommage

Faut surtout pas se demonter devant la victoire de la droite et se mobiliser pour les législatives...

Quoi qu'on puisse en dire...c'est un choix du peuple et l'écart est large

Quoi qu'on puisse en dire, Sarko est le seul a maîtriser son sujet sur le bout des doigts

Quoi qu'on puisse en dire, il a fait tout ce qu'il fallait pour être président

Quoi qu'on puisse en dire, son discours est rassembleur, ce qui n'est pas dans ses habitudes et ça a le mérite d'être bien dit...

Même si je ne me retrouve pas du tout dans ses idées, il a gagné et faudra s'y faire, on peut voir que celui qui a vraiment voulu le pouvoir l'a maintenant.

Reste les législatives, mais là encore, le découpage est particulièrement favorable à la droite, notamment dans des Grandes villes comme Lyon, Marseille, Rennes où on trouve beaucoup de petites circonscriptions dans les quartiers marqués à droite, et deux ou trois grandes acquises à la gauche en périphérie de ville. Les urnes parleront à nouveau, mais je ne vois pas la gauche relever la tête en un mois.

Préparez les merguez et les patates :D

Je prefere de loin ce genre de reaction; vous respectez les regles democratiques, on choisi un president et une assemblée dans les urnes pas dans la rue en cassant et pillant....

730 voitures brûlées,592 interpellations

....

Magasins pillés à Lyon

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10.000 manifestants

....

Ceci n'est pas la consequense de l'election d'hier, ceci est la consequence du manque de civisme et du laisser-aller qui s'est installé dans notre pays depuis des années. Une petite partie de la population reclame le respect mais ne respecte rien ni personne. On ne réagit pas a une defaite electorale a foutant le bordel......en tout cas c'est quelque chose je ne ne tolrere ni n'accepte.

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Moi j'ai honte de la maniere dont certain réagissent au choix de la population...... :)

Nuance : la population des héritiers et des propriétaires (ou de ceux qui espèrent peut-être le devenir).

On ne réagit pas a une defaite electorale a foutant le bordel

Ouais là-dessus je suis d'accord.

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Ceci n'est pas la consequense de l'election d'hier, ceci est la consequence du manque de civisme et du laisser-aller qui s'est installé dans notre pays depuis des années. Une petite partie de la population reclame le respect mais ne respecte rien ni personne.

et qui était au pouvoir les dernières années ? :)

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Les 53 % de "bovins" qui ont voté sarko l'ont fait en leur âme et conscience. Et ne me dit pas qu'il y a 53 % de naifs, de cons, d'imbéciles, etc etc etc....

Non, il n'y en a que 3% et quelques uns. Ce qui est plutôt une bonne nouvelle, finalement. :)

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Nuance : la population des héritiers et des propriétaires (ou de ceux qui espèrent peut-être le devenir).

Ouais là-dessus je suis d'accord.

Ben, ça fait tout de même 53%....et tout le monde, du moins une tres grande, partie aspire a etre un jour proprietaire.

et qui était au pouvoir les dernières années ? :)

La gauche et la droite de façon alternative ces 25 dernieres années. Il semble que nous avons enfin un president energique qui j'espere va bousculer pas mal de choses - ceci dit je ne me fait pas trop d'illusion il y en a que j'aprecirais moins que d'autre mais c'était "un lot on ne detail pas".....

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730 voitures brûlées,592 interpellations

La police a revu à la hausse le bilan des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre dans la nuit de dimanche à lundi pendant laquelle 35 voitures ont notamment brûlé dans la capitale.

Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN).

Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l'ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale.

Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle.

Dans un premier temps, la DGPN avait fait état de 367 voitures brûlées et 270 interpellations, ajoutant que 28 policiers et gendarmes avaient été blessés.

Ce bilan, arrêté à 6h00 du matin, ne semblait pas faire état de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales.

La préfecture de police de Paris fait ainsi état à elle seule de 33 policiers blessés. La DGPN n'en recense que trois dans la capitale. D'autres bilans régionaux font état de dégâts matériels supérieurs.

Magasins pillés à Lyon

Le bilan de la DGPN ne fait ainsi pas mention d'attaques de bus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville, attestés de source policière.

Il ne fait pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées.

Dans le département du Nord, une centaine de voitures ont été incendiées, en particulier dans les villes de Lille et de Roubaix, rapportent les pompiers. Des dizaines d'abribus ont été brisés, des feux de poubelles observés. Environ 70 personnes ont été interpellées à Lille, selon la police.

10.000 manifestants

Dans un document interne, dont Reuters a eu connaissance, la DGPN estime que "le second tour des élections présidentielles n'a pas généré de grandes manifestations de violences urbaines dans les quartiers sensibles".

Elle estime le niveau des violences de la nuit "au-dessus de celle d'un 14 juillet, mais inférieures à celles d'un Réveillon de la Saint-Sylvestre".

Selon elle, environ 10.000 personnes ont manifesté dans toute la France contre le résultat de l'élection présidentielle qui a vu Nicolas Sarkozy accéder à l'Elysée.

La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d'extrême gauche, anarchistes ou "autonomes" dans les centres des grandes villes.

Les seconds ont par exemple affronté les forces de l'ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales.

Les manifestants, qui jetaient feux d'artifice et bouteilles, n'ont pu être dispersés que par un véhicule anti-émeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place.

En province, outre Lyon et Lille, des échauffourées similaires se sont déroulées à Bordeaux, Nantes, Rennes et Toulouse notamment.

A Nantes, où une manifestation contre Nicolas Sarkozy a rassemblé un millier de personnes dans la nuit de dimanche à lundi, 26 personnes ont été placées en garde à vue, selon Yves Monard, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique.

Parmi elles figurent trois mineurs accusés d'avoir cassé un abri de bus. Six policiers ont été légèrement blessés et du côté des manifestants, une personne a été touchée par un tir de Flash Ball, mais ses jours ne semblent pas en danger.

Dans des quartiers sensibles de la ville, 33 véhicules ont été incendiés ainsi que de nombreuses poubelles. Par ailleurs, plusieurs vitrines de commerçants ont été endommagées.

"Il ne s'agissait pas d'une manifestation spontanée, mais d'un mouvement préparé par un noyau dur de militants anarchistes et d'extrême gauche", a estimé Yves Monard.

En Normandie, la police a procédé à vingt interpellations à Rouen et à Caen, lors d'incidents survenus en marge de manifestations dans la nuit de dimanche à lundi.

Quatre policiers ont été légèrement blessés à Caen où d'importants dégâts matériels - dégradations, bris de vitrines, voitures endommagées, tentative d'incendie de la permanence UMP - ont été commis, en marge d'une manifestation.

Dans l'agglomération de Rouen, une dizaine de voitures ont été incendiées. (avec Reuters)

C'est surtout la conséquence de la banalisation de la violence de notre société : violence au travail, violence du chomage, violence de certains policiers, violence des propos de Sarkozy... Pas étonnant ( et je le deplore car je serai en premiere ligne) que cette violence soit rejetée dans la rue ou dans le cadre d'evenements comme celui ci.

L'americanisation programmée de la France n'ira pas dans le sens de l'amélioration, bien au contraire...

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L'avis de Nekro est un avis Politique - Il est respectable car faisant parti d'un debat

de mots , et d'idées .

Casser tout pour protester, cela s'appelle la pression par de la violence , et ca , ce n'est

pas respectable et doit etre punis par la lois .

Ca ne vaut pas mieux qu'une dictature ...

A l'arrivée de chaque president , on entend les meme rangaines, en 1981 , les riches vont etre pillés

par les socialistes , et en 2007 , Sarko va instaurer la dictature etc etc ...

A chaque changement des legendes et des epouvantails ...

Pour une fois que les gens sont allés voter en masse , aux deux tours , je trouve que la democratie a

avancé de ce coté la .

Meme si je n'approuve pas forcement celui qui a été elu , je me dis que dans 5 ans , si il a

été mauvais il se fera sortir tout seul ... ou alors on peut aussi faire inflechir un cap par des

manifestations pacifiques mais massives.

C'est cela la France , une democratie ou on a le droit de voter.

Modifié par km315
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