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aprés la Grece ?


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Invité jackv

Syrysa devient la deuxieme force (on peut le comparer au front de gauche)... les socialiste sont 3eme, les premiers sont la Nd , ceux qui ont mis la gréce en deficit... va comprendre et l'un des anciens parti communiste est 5eme(1er chiffre nb d’élus puis %)

07-05-2012 14:56 Γραμμένοι 9.943.435 Ενσωμάτωση 99,92 % Ψήφισαν (votant) 65,09 % Ακυρα/Λευκά (nul,blanc) 2,36 % Εκτός Βουλής 19,03 % 108 18,85 % 52 16,78 % 41 13,18 % 33 10,60 % 26 8,48 % 21 6,97 % 19 6,10 % 2,93 % 2,90 % 2,55 %

http://ekloges.ypes....ic/index.html#{

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Invité jackv

Séisme politique en Grèce, l'austérité rejetée, les néonazis au parlement

Écrit par AFP

La politique d'austérité menée en Grèce depuis deux ans sous la pression des bailleurs de fonds internationaux du pays a été massivement censurée dimanche aux législatives par les électeurs qui ont pulvérisé les positions des deux partis tenants de la rigueur et envoyé des néonazis au parlement.

La Nouvelle Démocratie (droite), l'un des deux partis avec le Pasok socialiste ayant signé avec l'Union européenne un engagement à poursuivre la politique de rigueur et de réformes, est devenue, comme prévu, premier parti de Grèce.

Mais son score historiquement bas, compris entre 17 et 20% des voix, devrait rendre la constitution d'un gouvernement stable presque impossible, selon les premiers commentaires.

Le Pasok (socialiste), dont l'ancien patron Georges Papandréou avait sollicité un prêt de l'Union européenne et du Fonds Monétaire International en mai 2010, sort du scrutin laminé, avec un score compris entre 14 et 17% contre 43,9% en 2009, puni pour avoir accepté les conditions d'austérité drastique attachées à l'aide.

Au total, les deux partis qui constituaient les piliers du bipartisme grec depuis la chute de la dictature des colonels en 1974, ne parviennent même pas aux 37% nécessaires pour obtenir une majorité de sièges au parlement (151), ce qui augure mal de la possibilité de poursuivre la politique actuelle.

"C'est un séisme politique qui frappe les partis gouvernementaux", a estimé sur la chaîne Mega, Panos Panagiotopoulos, un ténor de la Nouvelle Démocratie, le parti conservateur qui revendique la première place.

Le leader du Pasok, Evangélos Vénizélos, qui a négocié au cours des mois passés l'accord d'effacement de dette et le deuxième plan d'aide internationale au pays, a reconnu dimanche soir que la formation d'un gouvernement d'union nationale pro-européen, qu'il a appelé de ses voeux pour sortir le pays de l'impasse, serait "difficile".

Grand gagnant du scrutin, le petit parti d'extrême gauche radicale, Syriza, dirigé par Alexis Tspiras, devient le deuxième parti de Grèce, avec un score compris entre 15,5% et 17,5, au lieu de 4,6% en 2009.

Premiers surpris par ce ras-de marée, les militants réunis au siège du parti n'ont pas affiché une joie trop bruyante, la perplexité et les interrogations sur l'avenir du pays semblant passer au premier plan des préoccupations des militants, selon un photographe présent sur les lieux.

Ce parti demande la suspension du service de la dette, l'effacement d'une partie de la dette publique, l'ajout d'une clause pro-croissance dans le memorandum. Officiellement il ne demande pas la sortie de la Grèce de l'euro, mais le Pasok durant la campagne l'a souvent accusé d'être le parti de la sortie de l'euro.

En terme de sièges, la Nouvelle-démocratie conservatrice remporterait 108 sièges, et le Pasok 38, face à deux blocs hétéroclites de gauche et de droite rejetant l'austérité. Le parti de la gauche radicale Syriza obtiendrait 47 sièges.

La campagne a été dominée par la contestation de la politique d'austérité menée sous l'impulsion des bailleurs de fonds du pays.

Environ 9,8 millions d'électeurs grecs ont voté dimanche pour renouveler le Parlement dans un scrutin dominé par l'implosion du vieux système politique et du bipartisme, au risque de remettre en cause les efforts de redressement du pays au sein de la zone euro.

Aux termes de la Constitution, le mandat pour trouver un gouvernement d'alliance est d'abord confié au parti arrivé en tête, avant de passer en cas d'échec aux deux suivants, dans un délai d'une dizaine de jours.

Illustrant le climat d'exception qui a régné pendant toute la campagne, une trentaine de néonazis ont fait irruption dans six bureaux de vote athéniens durant la journée, où ils se sont livrés à des intimidations contre des militants de gauche, selon le petit parti d'extrême gauche Antarsya.

La police a confirmé deux incidents, attribués au groupuscule Chryssi Avghi (Aube dorée) qui fait son entrée au Parlement pour la première fois de l'histoire moderne du pays, après avoir obtenu entre 6 et 8% des voix selon le sondage sortie des urnes.

Ce parti néonazi, longtemps semi-clandestin et réputé pour ses agressions contre les migrants, dénonce le mémorandum d'accord signé par la Grèce avec ses créanciers, et refuse le remboursement de la dette publique. Son entrée au parlement constitue un choc dans un pays qui a subi durement le joug de l'occupation nazie et une dictature militaire de 1967 à 1974

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A priori retour à la case "nouvelles élections"

La parole au Peuple...

Le Pasok échoue à son tour à former un gouvernement en Grèce

ATHENES (Reuters) - Evangelos Venizelos, chef de file du Pasok arrivé en troisième position aux élections législatives du 6 mai en Grèce, n'est pas parvenu à former un gouvernement et remettra samedi son mandat au chef de l'Etat, a-t-on appris de sources proches de ce parti social-démocrate.

Peu auparavant, son homologue de la Coalition de la gauche radicale (Syriza), Alexis Tsipras, qui a devancé le Pasok dimanche, avait exclu sa participation à un gouvernement dirigé par Evangelos Venizelos.

"Ce n'est pas Syriza qui rejette cette proposition, c'est le peuple grec qui l'a fait en votant dimanche", a-t-il expliqué à l'issue d'un entretien avec le chef de file du Pasok.

Renée Maltezou, Jean-Loup Fiévet pour le service français

le système électoral Grec est différent du notre et il semble y avaoir une dose de proportionnelle et un bonus pour le parti arrivant en tête aux élections des députés.

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Invité JLChauvin

Je plains sincèrement le peuple grec, ... ils sont mal "barrés" ! :sad:

Pas pire que nous si nous ne nous décidons pas à secouer pour de bon le cocotier.

Nous sommes tous dans la même merde, le peuple allemand compris: http://fr.euronews.com/2011/10/15/francfort-plus-de-5000-indignes-devant-la-bce/

Nos élites perdent les pédales, et bien sûr nos élites rejettent la faute sur ce salaud de peuple irresponsable qui ne comprends rien.

Même le peuple britannique s'y mets: http://info.france2.fr/europe/londres-manifestation-contre-l-austerite-68050335.html

Et faites gaffe, les Grands-Bretons sont des teignes quand la colère leur prends, c'est quand même eux qui ont tué leur roi avant que nous ne décapitions le notre!

La colère gronde partout en Europe devant l'injustice et l'arrogance des exploiteurs et autres financiers, vous ne l'entendez pas? Vous ne vouliez déjà pas entendre les cris des exploités du monde, mais votre tour de vous faire traiter comme des sous-humains est venu.

"Rien n'est à eux, tout est à nous, tout ce qu'ils ont ils l'ont volé..." la petite chanson commence à faire son chemin dans l'esprit des peuples, attention au raz de marrée parce que là, personne ne pourra plus rien maitriser! C'est qui les assistés, c'est qui ceux qui sont incapables de survivre sans une armée de larbins pour leur torcher le derrière? C'est qui qui nous suce la moelle?

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Je continue cette douce musique que tu m'as rappelé chez JC lorsqu'on a manifesté alors que j'étais encore lycée contre le traité constitutionnel de 2005 "Partage des richesses, partage du temps d'travail ou alors ca va peter, ca va peter". On avait manifesté pour une Europe sociale. D'ailleurs ce cher Giscard avait refusé d'instaurer un traité social dans cet traité (anti)constitutionnel. Lui ce vendu qui nous a foutu dans la merde il y a 30 ans et qui a institutionnalisé en Europe ce qui a provoqué notre perte de souveraineté et nos droits régaliens. L'humain d'abord pas l'économie et plus de démocratie. Voilà ce qu'on demande. Car le soi-disant pays des droits de l'Homme et du citoyen n'a plus rien à voir avec une grande démocratie.

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Invité JLChauvin

J'applaudis des deux mains, on attend tous le Grand Soir :ph34r: Merci JL Chauvin tu m'as remonté le moral okok

Il ne sert à rien "d'attendre le Grand Soir", il n'y auras pas de "Grand Soir"...

Tout ce qu'il faut, au contraire, c'est un matin, un matin où on ouvre enfin les yeux. Un matin pour se secouer d'une gueule de bois si savamment entretenue par ces "élites", "élites" si peu pressées de voir leur gabegies orgiaques mises au jour. On ne s'endort pas, on se réveille au contraire.

Modifié par JLChauvin
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Il ne sert à rien "d'attendre le Grand Soir", il n'y auras pas de "Grand Soir"...

Tout ce qu'il faut, au contraire, c'est un matin, un matin où on ouvre enfin les yeux. Un matin pour se secouer d'une gueule de bois si savamment entretenue par ces "élites", "élites" si peu pressées de voir leur gabegies orgiaques mises au jour. On ne s'endort pas, on se réveille au contraire.

Ce soir , invitée : Clémentine Autain .

Entendu dans l'émission de Ruquier : (présence de FOG)

"mais vous voyez que votre parti frère en Grèce ne peut rien faire ; ce que vous proposez ne peut pas fonctionner ; ils sont incapables de mettre en place leur programme ."

Les chiens de garde sont là , toujours près à aboyer .

Mais désolé de leur dire que l'intelligence du plus grand nombre va se réveiller .

Hollande va avoir rapidement le cul entre 2 chaises .

Autre chose :

Entendu à la radio : Merkel "serait" populaire en Allemagne , car la 1ere préoccupation des Allemands "seraient" de combattre la dette .

Sauf que cela est vraie pour 1 région riche de l'Allemagne .

Pour le pays entier , je demande à voir !

Tentative de manipulation du citoyen français par rapport à ce qui se passe là-bas ?

Modifié par dav1077
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Percée des néonazis en Grèce, Vénizélos appelle à l'union nationale

http://www.lemonde.f...96537_3214.html

je sais pas vous , ben moi quand j'ai pelle les unions sa me fait pleurer (avec mes excuses du matin)

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Salut ,

La crise oui , mais pas pour tout le monde :

Au Portugal , un ancien haut cadre de la banque UBS , vient d'être placé en détention provisoire , avec une mise

en examen pour détournements de fonds , fraude fiscale et blanchiment d'argent .

Ce banquier , avec deux autres associés , aurait détourné près de 1 milliards d'euros , au travers du montage

de diverses sociétés écran basées en Suisse ayant pour activité la gestion de fortunes .

Question , pour une personne de " coincée " , combien d'autres passent au travers des mailles du filet ...

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Ah UBS !!!

on la retrouve partout où il y a scandale. :Smiley_74:

mais qui donc lui en veut autant ? :Smiley_16: :Smiley_54:

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Invité jackv

le système électoral Grec est différent du notre et il semble y avaoir une dose de proportionnelle et un bonus pour le parti arrivant en tête aux élections des députés.

c'est un bonus de 50 siéges au premier parti

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Invité jackv

le dirigeant de syrisa rencontre melenchon en ce moment..ils vont avoir de quoi parler,

le probléme est si syrisa reste sur la même ligne: adieu l'euro pour la gréce et se sera 50% ou plus de dévaluation vu que le pays exporte peu mais importe beaucoup c'est un pouvoir d'achat qui sera amputer de 50% pour les grec sans compter que la dette restera en € et que les grecs auront toujours besoin d'emprunter , les recettes seront toujours inférieures aux dépenses s'il n'y a pas une reforme de leur organisation..

en plus actuellement il y a un retrait massif dans les banques,

Depuis les élections du 6 mai, les retraits des dépôts dans les banques se situeraient entre 2,5 et 3 milliards d'euros

Ces nouvelles fuites surviennent alors que les banques grecques sont dans un état critique, après avoir participé à l'effacement d'une partie de la dette grecque. D'autant qu'elles n'ont toujours pas été recapitalisées.

Les événements pourraient être plus brutaux dans l'hypothèse d'une crise bancaire d'ampleur. Si le mouvement de panique des épargnants grecs, constaté ces derniers jours, devait s'amplifier, l'ensemble du système bancaire, déjà très fragile, risque de s'effondrer.

La BCE dispose des instruments pour faire face à la situation. Mais sa patience, et ses marges de manoeuvre, pourrait avoir des limites. Si elle devait décider d'interrompre ses interventions, le pays pourrait assez rapidement s'écrouler, tout en étant, là aussi, poussé contre son gré hors de l'union monétaire

Modifié par jackv
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Invité
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