Aller au contenu

Dom Le Trappeur

Membre SNCF
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Lettre unitaire des Organisations Syndicales CGT, CFDT, FO, UNSA, CFTC, Sud-Rail, CGC au Président du CNHSCT (Comité National Hygiène Sécurité et Conditions de Travail) sur Arrêté d'Aptitude (RH1474) en lien avec S9 à l'Equipement et Transport suite audit SPSF... 2009_02_11_101_ArreteAptitude_CNHSCT_LettreUnitaireOSauPresidentCNHSCT.pdf
  2. Certains affirmaient déjà la même chose avant le 29 Janvier ... Fallait-il faire la mobilisation sociale du 29 janvier ? Il me semble que la réponse aujourd'hui est tout simplement oui... Mais prenons les choses dans l'ordre... Il y a des bilatérales actuellement entre le gouvernement et les syndicxats il y aura le 18 février il y aura par la suite peut être le 19 mars... pourquoi le 19 mars ? sûrement un problème de calendrier prévisionnel avec la loi sur le service minimum (DCI, préavis, D2i...) + organisations des manifestations (200 manifs le 29 janvier)
  3. Le gouvernement veut tout mettre sur la table avec les syndicats Reuters Le gouvernement français a entamé des discussions avec les syndicats dans la perspective du sommet social du 18 février en assurant vouloir "tout mettre sur la table" en matière de mesures anti-crise. Le ministre du Travail et des Affaires sociales, Brice Hortefeux, a reçu en compagnie de Christine Lagarde (Economie), Eric Woerth (Budget) et Laurent Wauquiez (Emploi) les représentants de la CFDT et de la CFTC qui, comme les autres syndicats, ont prévu une nouvelle journée d'action le 19 mars. "On met tout sur la table, on examine, on confronte, on dialogue", a-t-il dit à l'issue d'un entretien avec le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque. "On évoque l'agenda social et on puis rajoute les propositions du président de la République qui a esquissé de très nombreuses pistes pour répondre à la crise", a-t-il dit. "Les organisations syndicales mettent aussi sur la table leurs préoccupations et nous examinons comment le 18 février nous pouvons à la fois aboutir à des propositions concrètes et en même temps à des processus de discussion pour l'avenir", a-t-il ajouté. François Chérèque a déclaré n'avoir reçu "aucune assurance pour la réunion du 18 février" dont il souhaite qu'elle apporte "des mesures concrètes" et "pas uniquement un agenda social sur des chantiers à discuter dans l'année". Les discussions avec le ministre ont essentiellement porté sur le fonds d'investissement social de cinq à dix milliards que le syndicat appelle de ses voeux, a-t-il précisé. COUP DE POUCE AU SMIC? "L'investissement, ce n'est pas seulement de construire des autoroutes, de construire des centrales nucléaires (...) L'investissement, c'est aussi investir dans l'humain. Profitons de cette crise pour investir dans l'élévation du niveau de qualification" des salariés français, a-t-il expliqué sur France Inter mardi matin. Les huit confédérations syndicales françaises se sont mises d'accord lundi sur le principe d'une nouvelle journée de mobilisation interprofessionnelle le 19 mars après le mouvement réussi du 29 janvier pour "maintenir la pression". La plupart des syndicats seront reçus avant la fin de la semaine. Le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a appelé de son côté à "un contrôle accru des pouvoirs publics sur les licenciements". "Nous constatons qu'il y a des entreprises qui profitent de la crise. Il n'y aurait pas eu la crise, elles n'auraient pas fait de plans sociaux", a-t-il déclaré sur France 2, réclamant notamment "des engagements précis au niveau des équipementiers". "Le contrôle public des licenciements, j'en parlerai bien entendu (le 18 février)", a-t-il ajouté. Jean-Claude Mailly, qui doit être reçu jeudi matin par les ministres concernés, a réitéré son appel à "un coup de pouce" en faveur du pouvoir d'achat des Français. "On demande un coup de pouce au smic, on voulait une vraie prime transport, elle n'a pas été obtenue, on veut conditionner les exonérations de cotisations patronales à l'existence d'accord sur les salaires", a-t-il étayé. Pour sa part, le ministre chargé de la Relance, Patrick Devedjian, a jugé "incompréhensible" de recourir à des grèves "au moment où la crise frappe si fort". "Ça donne quels résultats ? (...) Ça ne va pas nous faire gagner beaucoup de points de croissance une grève générale, ça ne va pas fournir beaucoup de revenus aux salariés", a-t-il déclaré sur LCI. Clément Dossin et Sophie Louet, édité par Yves Clarisse
  4. Accident à un passage à niveau dans l'Aude: un mort AP Une double collision entre une voiture et deux trains a fait un mort mardi soir, peu après 19h, à un passage à niveau de Bram, dans l'Aude (Languedoc-Roussillon), a-t-on appris auprès de la SNCF Midi-Pyrénées et des sapeurs-pompiers de Bram. La voiture se trouvait sur la voie ferrée, lorsqu'un premier train, le Corail Téoz Nice-Bordeaux, est arrivé. La voiture a de nouveau été percutée par le TER Toulouse-Carcassonne, qui roulait en sens inverse à 150km/h. La voiture s'est alors retrouvée projetée sous la motrice du Téoz. Dans le Téoz se trouvaient 114 passagers, dans le TER, 200. Tous ont été pris en charge par la SNCF, certains durement choqués mais aucun n'étant blessé. Ceux du TER ont été emmenés en bus jusqu'à Carcassonne. Les autres ont été acheminés à Castelnaudary. On ignorait toujours, tôt mercredi matin, combien de personnes se trouvait dans le véhicule, une victime étant d'ores et déjà visible, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers de Bram. Un train de levage est venu de Toulouse, pour dégager le véhicule. Vers 2h30 du matin, mercredi, la voiture avait été désincarcérée. Le trafic SNCF était toujours interrompu tôt mercredi matin à partir de Narbonne. On ignorait encore la raison de la présence de la voiture sur la voie ferrée. L'accident s'est produit sur le passage à niveau qui croise la départementale 33, à l'entrée nord-est de la petite commune, l'un des quatre que compte Bram. AP
  5. L'accompagnement des enfants entre leur point de départ (gare du domicile ou de regroupement) et leur point d'arrivée (gare du centre de vacances) nécessitent des "accompagnateurs". C'est pour cela que le CCE et les CER SNCF font appel au volontariat : cheminots actifs et retraités, famille etc... Il est tout à fait normal que ces volontaires touchent une allocation de remboursement de frais en fonction du temps passé pour assurer le convoyage des enfants. Il ne faut pas confondre accompagnateurs et "animateurs de centres de vacances" : ces derniers sont des "professionnels" diplômés dont le métier est extrêmement encadré et surveillé par l'Administration Publique.
  6. On peut peut être faire des manifs dans les centres commerciaux... Ah ça existe déjà...
  7. Personne ne cracheras sur 207 euros (tiens j'ai du écrire un truc comme ça en 2008 déjà...) Mais peut-on garder son esprit critique ouvert . 200 euros c'est 1% d'une rémunération de 1.500 euros net par mois sur un an (x13 = 19.500) si l'inflation est à 2% ça relativise Pour autant 10 billets de 20 euros dans le porte mùonnaie sans oublier les 7 euros on sais ce que ça représente... On pourrait aussi se poser la question du bénéfice : d'où il vient certes de notre travail au quotidien mais aussi des choix financiers fait par la direction entre autre suppressions d'effectifs, limitation des hausses de salaires, blocages des qualifications... donc limitation de la masse salariale globale de l'entreprise...
  8. Et au cas où la SNCf se retrouve avec un déficit : tu redonnes une partie de ta rémunération ...appelons ça un retour de dividende...?
  9. Communiqué Cheminots ADC CGT Nice 2009_02_10_Communique_syndicatNiceADC60joursgagnants.pdf 2009_02_10_Communique_syndicatNiceADC60joursgagnants.doc
  10. Et oui 20 ans de retards dans les investissements infra et matériel... et des milliers de cheminots en moins... Merci l'Etat... Merci le Figaro...
  11. Blocage de la zone industrielle de Sandouville par des salariés Reuters La zone industrielle de Sandouville en Seine-Maritime, où est implantée une usine Renault, a été bloquée durant quatre heures par des salariés d'une vingtaine d'entreprises. Ludovic Leblanc, secrétaire de l'union locale du syndicat CGT, a indiqué que le blocage de deux accès de la zone industrielle avait pour but de demander "des augmentations de salaire et l'arrêt des licenciements". Selon lui, ce blocage effectué par environ 150 salariés d'une vingtaine d'entreprises, dont Renault, Faurecia, Total, Antolin, Lafarge et Eliokem, a été bien accueilli par les automobilistes de passage. Marc Parrad, édité par Yves Clarisse
  12. J'ai plutôt l'impression d'une grande complicité entre la Direction de la SNCF, celle de RFF et celles des Entreprises Ferroviaires Privées sur le sujet...
  13. Sans parler des points de suspension entre parenthèses (...) juste avant la phrase sur les PN donc sûrement une phrase sortie du contexte dans lequel elle a été prononcée durant l'entretien (et non l'interview) avec le journaliste.
  14. Je ne suis pas sûr qu'il faille rester obnubiler par le passage de l'article sur les PN ou les gares puisque comme il a été dit plus haut, il y a là le filtre du journaliste qui a écrit un peu ce qu'il a compris ou ce qu'il a voulu comprendre ... Ce qui apparait intéressant dans cet article c'est ce qui concerne ECR en terme d'utilisation du personnel et d'organisation des trafics qui amène à l'hypothèse concurrentielle.
  15. Les syndicats annoncent une nouvelle journée d'action le 19 mars LeMonde.fr Les huit organisations syndicales réunies lundi soir 9 février à Paris ont décidé d'appeler les salariés à une nouvelle journée d'action nationale, le jeudi 19 mars, afin de réclamer du gouvernement des mesures sociales contre la crise. Ils entendent ainsi maintenir la pression sur le gouvernement dans l'optique de la rencontre programmée le 18 février avec Nicolas Sarkozy. Réunis au siège du SNES, les syndicats ont préservé l'unité qui leur avait permis de faire de la mobilisation du 29 janvier un succès, avec 1 à 2,5 millions de manifestants qui ont défilé dans les rues des villes françaises. Les syndicats CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC, FSU, UNSA et Solidaires considèrent que le 'sommet social' du 18 février est 'un élément important', mais regrettent que le président de la République maintienne 'pour l'essentiel ses orientations', ont indiqué les huit organisations dans une déclaration commune, lue par le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, à l'issue d'une réunion de près de trois heures. Lors de son intervention radiotélévisée, jeudi dernier, le chef de l'Etat avait convié les partenaires sociaux le 18 février à l'Elysée pour discuter d'une série de propositions : meilleure indemnisation du chômage partiel, meilleure indemnisation pour les fins de contrats à durée déterminée et amélioration de la couverture chômage des jeunes. Pour les classes moyennes, il s'est dit ouvert à la suppression de la première tranche de l'impôt sur le revenu, à une augmentation des allocations familiales et à l'octroi de chèques emploi-service pour les personnes âgées ou les femmes seules qui travaillent. Il a par ailleurs proposé de rediscuter du partage des profits des entreprises selon la règle des trois tiers, un tiers pour les salariés, un tiers pour les actionnaires et un tiers pour les entreprises. Les syndicats avaient fait part de leur 'déception' au lendemain de cette intervention. Lundi soir, dans leur déclaration commune, ils évoquent des réponses qui 'restent loin des attentes et des exigences de la mobilisation du 29 janvier'.
  16. Je crois qu'il ne faut pas confondre les personnels animateurs en centre de vacances pendant toute la durée des séjours des enfants qui sont des "professionnels" (diplômes, contrat de travail...) et les "accompagnateurs" durant les trajets aller-retour "Domicile - centres de vacances" qui sont dans leur quasi totalité des bénévoles / volontaires et qui reçoivent une allocation de remboursement de frais (repas, frais de trajet...) versé par le Comité Central d'entreprise (ou les Comités d'établissement régionaux)
  17. ? Tu peux expliquer ? mdrmdr
  18. On assiste depuis le début du cadencement à une campagne médiatique d'information en interne et en externe de la part de la direction pour tenter de justifier les problèmes d'irrégularité et les difficultés du fonctionnement en Ile de France. la direction de sortir une brochure d'où il ressort qu'en octobre et novembre c'est la faute des feuilles mortes qui tombent en décembre et janvier c'est le froid, la neige, le gel Il y a aussi les signaux d'alarme injustifiés et l'augmentation du nombre de suicides. Mais pas un mot sur - les pannes d'engins moteurs et rames banlieue - les problèmes d'aiguillages, signalisation, PN, caténaires etc... - les manques de personnel de conduite qui engendrent des suppressions de trains - la réorganisation des roulements rames et mécanos avec les crochets courts qui engendrent retards sur retards - le montage des sillons avec un tas d'incompatibilité en particulier sur les nœuds ferroviaires. Et je suis bien placé pour en causer car entre septembre et fin janvier j'ai quasiment eu A CHAQUE SERVICE au moins un incident de ce type avec certains jours des incidents pas piqués des hannetons... il faut donc replacer les propos de Farandou dans ce contexte de tentative de dédouannement de la direction quii renvoie les dysfoinctionnements quasi excusivement sur des causes externes même si il ne faut pas ignorer celles-ci Donc faire fonctionner son esprit critique... Ceci étant dit : il y a un vrai souci avec les suicides et les accidents de personnes non seulement en raison de leur nombre en augmentation mais aussi des difficultés de gestion que cela entraîne puisqu'il y a interruption du trafic et que l'arrêt des circulations est la pire des choses qui puissent arriver au système ferroviaire. A noter que cela fait quand même des années que nous sommes confrontés à la question des suicides avec un nombre élevé à partir d'octobre /novembre jusqu'à la fin de l'hiver. Pour autant à chaque suicide ou accident de personne c'est la même problématique au niveau des conséquences. Et je n'ai personnellement jamais vu l'ombre d'un retour d'expérience sur des mesures à prendre pour assurer au moins une partie des trafics au lieu de tout arrêté... Concernant les suicides, il semble que la France soit le pays européen le plus touché actuellement et c'est un véritable problème de société. Et là il y a qu'on le veuille ou non, une réflexion collective à mener.
  19. Rapproche toi de ton bureau administratif ou CMGA pour faire examiner ta situation.
  20. Un nouveau sondage confirme la défiance envers Nicolas Sarkozy Reuters Un nouveau sondage confirme la chute de la cote de popularité de Nicolas Sarkozy et l'impatience d'une majorité de Français réclamant des résultats concrets face à la crise. Dans une enquête LH2 pour nouvelobs.com, le site du Nouvel Observateur, diffusée lundi, le président français perd quatre points avec 44% de satisfaits, contre 52%. De même, seules 30% des personnes interrogées, contre 56%, disent avoir été convaincues par l'intervention télévisée du président français jeudi dernier. Selon un sondage Viavoice publié le même jour dans Libération, seules 41% des personnes interrogées émettent désormais une opinion positive sur le chef de l'Etat, contre 53% d'un avis contraire, soit un repli de 5 points par rapport au mois dernier, et de 7 points par rapport à novembre. En outre, 53% des Français estiment que le moment est approprié pour lancer des mouvements sociaux. Dans une enquête OpinionWay pour le quotidien Metro, le président français perd cinq points en un mois d'opinions positives à 41%, et dix points, à 31%, concernant son action contre la crise. Pour LH2, si l'activisme dont a fait preuve le président de la République à l'automne, en particulier pour coordonner les réponses face à la crise au niveau international, avait rassuré les Français, "ceux-ci semblent aujourd'hui attendre des résultats concrets." "Or, ils ne semblent pour l'instant pas satisfaits des réponses apportées", ajoute l'institut. La baisse de Nicolas Sarkozy est essentiellement le fait des sympathisants de la droite (78% d'opinions positives ; -8 points). Elle est également marquée chez les bas revenus (38% d'opinions positives), soit huit points de moins par rapport à janvier. Le sondage LH2 a été effectué les 6 et 7 février auprès d'un échantillon de 1.003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Gérard Bon, édité par Sophie Louet
  21. Je préfère garder l'esprit (très) critique et les yeux grands ouverts sur ce sujet ... l'expérience, l'expérience... Sans oublier le passage des socialistes français au pouvoir... (je me souviens du 10 mai 1981... et de ses suites) sans oublier les ministres communistes, les Verts, etc...
  22. Bin ... pas content notre Très Cher Président de la République... Le Parisien a-t-il voulu minimiser la prestation télé de Sarkozy? LePost 1. La couv' du Parisien à l'origine de la polémique Samedi, le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France titre en Une "52% des Français pas convaincus par Sarkozy". Ce titre est tiré d'un sondage CSA, qui a interrogé des Français après l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy de jeudi dernier. 2. Sarkozy s'énerve... Samedi, en revenant de la conférence de Munich, Nicolas Sarkozy se montre agacé par cette fameuse Une du Parisien. Plein d'ironie, il confie au journaliste du JDD, Claude Askolovitch: "Si ce n'est pas de la malhonnêteté, alors, rien n'est malhonnête". Le chef de l'Etat conteste l'interprétation du sondage par le quotidien, selon lequel 52% des Français n'ont pas été convaincus par sa prestation télévisée. Car selon lui, "si on prend les gens qui ont regardé toute l'émission, ils ont été convaincus à 55%, et le journal ne le dit pas!" 3. Lefebvre dégaine! Dimanche, dans un communiqué, le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, annonce la saisine par son parti de la commission des sondages. Il s'indigne de cette Une du Parisien: "L'institut CSA et (ou) Le Parisien ont rendu publique la réponse" à une question "posée y compris aux Français n'ayant pas regardé l'émission". "C'est comme si on demandait aux Français n'ayant pas vu un film de donner leur avis! Cette question ne peut être qu'une indication complémentaire et non principale", selon le député UMP. Frédéric Lefebvre s'interroge: "Est-ce le choix de l'institut ou celui du Parisien de ne pas publier la réponse à la question posée aux Français ayant vu l'émission?" 4. Que disait le sondage en détail? Le sondage du CSA portait sur un échantillon de 960 personnes. Les réponses détaillés non pas été publiées par Le Parisien. Le sondage, en détail, indiquait que 55% des personnes ayant vu l'émission en totalité avaient "trouvé M. Sarkozy convaincant". 41 % de ceux qui ont vue l'émission en partie se disent "convaincus". Et 16% "n'ayant pas vu l'émission" se disent "convaincus". 5. Le Parisien s'explique "Conformément à la méthodologie utilisée en pareil cas depuis 1992 par CSA et notre journal, sont pris en compte ceux qui ont vu l'émission en totalité, ceux qui l'ont vue en partie et ceux qui en ont entendu parler (... ) Depuis 1992, onze grandes émission ont été ainsi testées", précise Le Parisien dans son édition de dimanche. Dominique de Montvalon, directeur adjoint de la rédaction du Parisien a également argumenté dimanche: "Il s'agissait pour nous de vérifier l'impact d'une intervention présidentielle" dans l'opinion publique. Soulignant "le travail indépendant et professionnel" de CSA, il relève que cette "mesure d'impact" est une "technique ancienne et éprouvée". 6. Sarkozy à la télé: c'est selon... La polémique est révélatrice d'un état de fait: après le passage télé de Nicolas Sarkozy, chaque quotidien livre un chiffre différent! Vendredi, Le Figaro titre : "'Face à la crise' : Sarkozy a convaincu" car d'après le quotidien, qui s'appuie sur un sondage OpinionWay (pdf), 53 % des Français l'ont trouvé "convaincant". Mais ce lundi, selon une enquête Viavoice réalisée vendredi pour Libération, 66% des interrogés se disent insatisfaits par le chef de l'Etat, dont la popularité descend à 41%. Selon un autre sondage OpinionWay réalisé pour le quotidien gratuit Metro, 59% des interrogés se déclarent insatisfaits, contre 52% le mois dernier... Alors, les Français sont-ils satisfaits ou non de la prestation télévisée de Nicolas Sarkozy? De votre côté, l'avez-vous trouvé convaincant ou non? Au fait combien de Français ont regardé la prestation médiatique de notre très Cher Président de la République : 15 millions peut être sur disons 50 millions de Français de 18 à 99 ans et plus... Et me semble-t-il, il y en a déjà beaucoup dans ceux-ci qui certes ne l'ont sûrement même pas regardé - 35 millions quand même-, qui n'ont pas eu besoin d'attendre de justement regarder "ses explications pédagogiques" pour ne pas être convaincus du tout par sa sinistre et néfaste politique économique et sociale et s'y opposer depuis le début en mai-juin 2007 qu'il est Président de la République et même pour d'autres depuis mai juin 2002 (ministre de l'Intérieur) ... dans la continuité du mouvement social de novembre-décembre 1995
  23. Certes il se passe beaucoup de chose en Amérique du Sud mais... Je ne suis pas certain que Hugo Chavez au Vénézuela soit un bon exemple sur la question des libertés démocratiques, économiques et sociales ? Et manifestement du côté des actuels dirigeants de Cuba, ils ne semblent toujours pas y avoir ne serait-ce qu'un soupçon d'évolution sur cette question également...
  24. Recomposition de la gauche : c'est une évidence actuellement : Un PS éclaté avec un double discours : - recentrage social-démocrate :ça lorgne vers le centre Modem et la "gauche" de la droite UMP - une volonté de rester hégémonique à Gauche avec un discours plus social qui qu'on le veuille ou pas recueille un soutien dans les urnes aux élections locales même si ce n'est que par défaut Un PCF en déclin (déclin qui s'accélère depuis le début des années 90 mais le PCF a la peau dure) qui se transforme en groupuscule vieillissant avec une perte de dizaines de milliers de militants dans les entreprises et les quartiers. Une gauche traditionnelle qui continue d'évoluer, de s'éclater et de se transformer avec nouveaux partis et associations/mouvements Une extrême gauche éclatée (LO, Parti des Travailleurs transformé en POi, LCR/NPA, mouvements anarchistes et révolutionnaires etc...) en guéguerre perpétuelle sur le "sexe des anges" La nature ayant horreur du vide, on sent un quadruple mouvement : - à l'intérieur du PS de plus en plus marqué par la division entre social-démocratie et discours social pour reconquérir une base électorale nationale à gauche (mais ils pratiqueront une politique réactionnaire capitaliste libérale dès qu'ils reviendront au pouvoir (exépience 81/87 Mitterand, Mauroy, Fabius, Rocard, Bérégovoy... puis Jospin en 97 - Un front de gauche hors PS avec Parti de Gauche Mélenchon et PCF Buffet . Un PCF bloqué par la volonté de conserver ses bastions (moyens et finances) donc de s'allier avec le PS qui en a tout autant besoin... - La transformation de la LCR en NPA ... - la marginalisation du reste de l'extrême gauche Le tout sur un fond de divisions qui restent profondément ancrées dans le paysage politique et social, historique et culturel. Les dirigeants de la LCR (des membres fondateurs àprès 68 à ceux d'aujourd'hui) ont bien saisi dès le début des années 2000 cette situation et la position de blocage qui était la leur à cette époque. Je ne leur donne pas tort : Ils ont eu raison de leur point de vue de jouer "l'ouverture" en particulier vers le milieu social et associatif. Ils surfent sur le déclin du PCF sans pour autant se donner comme objectif de le remplacer dans ses valeurs politiques, culturelles ou organisationnelles. Ils jouent de l'effet Besancenot à qui il faut reconnaître valeurs et persévérance. De toute façon, on est dans la guerre idéologique, psychologique et le marketing médiatique. OK sur le fait qu'ils passent d'une LCR à 3.000 militants à un NPA a 9.000 militants mais j'ajouterais que cet agglomérat est disparate et repose sur du sable ... Mais ils le font dans un esprit de parti de type léniniste-trotskyste dans sa conception de prise du pouvoir politique : On pourra prendre le pouvoir par les urnes autant que par une révolution, par la rue d'où la volonté de s'appuyer sur le mouvement de rue (différence avec le mouvement social)... mais en tout état de cause il faudra le garder ce pouvoir... D'ailleurs dans le discours LCR il y a très peu de référence à la démocratie, aux libertés individuelles et collectives... bien sûr ils peuvent faire référence aux "expériences" des pays socialistes, aux périodes léniniste, stalinienne et suivantes de l'ex URSS Pour autant on ne peut pas dire que le projet brille sur la question des libertés alors que c'est le coeur même de la culture et de l'histoire du peuple français (révolutionnaire j'enteds : liberté, égalité, fraternité, solidarité et résistance...) Et pour se faire il faudra pour les dirigeants de l'ex-LCR garder la ligne en refusant les compromissions en particulier électorale avec le PS considéré comme un ennemi de classe (ce qui se comprend vu le positionnement et l'éclatement en interne du PS entre Royal et Aubry pour faire simple) d'où les pressions exercées vers le PCF, le PG et les autres formations à gauche du PS face à l'optique d'un "front de gauche" pour les prochaines élections européenne de juin 2009. LCR/NPA c'est aussi un fonctionnement en interne autour du "centralisme démocratique", de la "dictature du Prolétariat" c'est à dire le vieux PCF... mais j'aurai garde de les assimiliter et de traiter la LCR/NPA de parti de type stalinien. Toutefois ce type de fonctionnement militant inscrit dans le marbre des statuts commence à provoquer des tiraillements interne en particulier vers les adhérents NPA issue d'ex-mouvements politiques-syndicalistes ou associatifs. L'affaire du nom du NPA (certains voulaient PAR -Parti Anticapitaliste Révolutionnaire) est loin d'être neutre mais il faut cacher le mot révolutionnaire. mais on reste dans un discours contestataire anti... Volonté enfin d'utiliser les syndicats comme courroies de transmission : ça ne vous rappelle rien ? Mais bon comme je le dis souvent : la nature a horreur du vide et il faut que le vide se remplisse pour permettre la reconstruction de perspectives solides. Donc soyons clair : à l'heure actuelle je ne fais confiance et n'apporte mon soutien personnellement à personne. Après je peux me planter complètement dans mon analyse et ma vision des choses... L'avenir sera ce que nous en ferons... Ce qui est sûr c'est que du passé il faudrait faire table rase...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.

Configure browser push notifications

Chrome (Android)
  1. Tap the lock icon next to the address bar.
  2. Tap Permissions → Notifications.
  3. Adjust your preference.
Chrome (Desktop)
  1. Click the padlock icon in the address bar.
  2. Select Site settings.
  3. Find Notifications and adjust your preference.