cc27001

La baisse du prix du pétrole a un effet très positif pour l'ecologie dans de nombreux pays : ça repousse les velléités d'exploitation du pétrole de schiste. Tant pis pour les américains qui se font polluer leurs nappes phréatiques, nous on est tranquilles tant que le prix du pétrole est bas. Mais avec un baril à 200$, il y aura des forages dans toutes les campagnes françaises..... (et ça ne sauvera pas le rail pour autant)

Vu sur la toile, avec cette légende : La rame TGV 301, tête de série, assure au départ de Lannion le TGV 8758 au départ de Lannion (23 août 2001). Photo Michel Joindot

La solution est toute trouvée : prendre du matériel en leasing qui sera homologué par les CFL. Et d'ici 2020, vu que la technologie ERTMS a été fournie aux chinois, on pourra rapidement trouver sur ali-baba.cn tout le matériel pour équiper les trains européens à prix imbattable. Pourquoi perdre du temps et de l'argent à le développer ?

Pour avoir pratiqué de nombreuses fois les deux-alpes dans ma jeunesse dépravée, le ski sur pistes fermées y était une pratique courante. En fin de journée il arrivait parfois que les pistes fermées soient plus fréquentées que les pistes ouvertes..... D'ailleurs les médias nous parlent d'un groupe d'une douzaine de lycéens, suivi par un groupe d'une quinzaine de touristes roumains, et il y a un ukrainien parmi les victimes. Difficile d'incriminer la responsabilité d'untel ou d'untel, lorsque chacun prend des risques sans en avoir vraiment conscience. Personne n'imagine qu'une simple couche de 10cm de neige peut tuer en 3 minutes lorsqu'elle vient s'accumuler sur les hardis skieurs. Ca passe ou ça casse, et chez les jeunes il y a le frisson de la transgression et de l'aventure. L'avantage par rapport au vrai hors-pistes c'est qu'on sait où on va et qu'on n'aura pas à pousser sur les bâtons (le jeune est un peu fainéant de ce point de vue). Et puis la tentation de faire les premières traces dans la neige immaculée, qui peut y résister ? L'inconvénient par contre c'est de facilement négliger les risques, et de ne pas avoir forcément un ARVA sur soi ni d'être accompagné d'une personne formée aux premiers secours.

C'est pas bon signe pour les dakota

La disparition d'AF a été envisagée plusieurs fois dans l'histoire récente, et pas que par des gouvernements de "droite".

Dans toutes les catastrophes ou accidents de grande ampleur, la justice entend tous les intervenants concernés ou impliqués, et il n'y a rien d'anormal. Ce n'est pas que le ferroviaire, c'est pour tous les domaines. Le "sentiment d'injustice" qu'on sent poindre chez certains, c'est une anticipation sur les éventuelles suites, condamnations, non-lieux et relaxes. (selon que vous serez puissants ou misérables comme dit l'adage). A ce stade ce n'est pas le cas, la justice travaille. Après, est-ce que les vrais coupables seront finalement épargnés, pour telle ou telle raison, ça reste de la spéculation. Les affaires passées ne doivent pas préjuger des affaires à venir.

Je ne suis pas l'inventaire au quotidien, mais je crois que KLM et British Airways en exploitent encore, Aer Lingus aussi peut-etre, et quelques compagnies africaines, on est encore loin de la fin. Il est même possible qu'Air France disparaisse avant les derniers 747.

Je n'ai pas réussi à verser une seule larme, désolé. Des 747 il en reste des centaines en service dans le monde, et chaque jour on peut en voir à CDG. C'est pas encore le chant du cygne, juste une compagnie qui a rationalisé sa flotte.

Toujours droit dans ses charentaises.

On peut comprendre la tentation du groupe de jeunes d'aller skier la seule vraie piste noire du domaine.... Parce que les deux alpes, c'est un peu le royaume des pistes qui montent. Et on se surprend parfois à exploiter l'entre-pistes pour éviter de mourir d'ennui. Ou alors il faut passer du côté de la Meije (hors piste légal).

Ton job c'était de gratter la neige avec un baton de ski pour éviter les avalanches ? Ca doit prendre du temps....

L'échelle des valeurs est assez variable d'une juridiction à une autre. Une photo de primate diffusée sur un "réseau de cas sociaux" avait été sanctionnée en 1ere instance de 9 mois de prison ferme. En comparaison, 9 mois ferme pour une séquestration physique, c'est plutôt clément comme verdict. Habituellement, quand l'affaire passe en appel ou en cassation c'est un peu recadré, la jurisprudence et "l'esprit des lois" sont ajoutés dans la balance de l'aveugle.

Pourtant ça avait l'air simple.... http://www.dailymotion.com/video/x2kusi_cc-72000-demarrage_tech

Argh, à la pompe on s'est repris 5 à 6 centimes sur le litron de gazole, pour cause d'application de la taxe carbone de +3.5centimes au 1er janvier. (au passage, ça fait +2 centimes évaporés, mais pas pour tout le monde)

Oui : les riches dans les trains, les pauvres dans les bus

Et si il venait l'idée saugrenue à un terroriste d'acheter un billet de 1ere classe ?

Vue mer à 180° à Rosa-Parks ? Il doit y avoir émanation de substances suspectes dans la ventilation...

Non Monsieur, la Fiat 124 avait un moteur moderne et des ressorts hélicoïdaux. Tu confonds avec sa cousine la Fiat 125, équipée de ressorts à lames, et qui a été produite longtemps en pologne chez Polski.

Genève Conartin ?

Air France rend hommage à ses deux derniers 747 qui se poseront définitivement (du moins sous les couleurs AF) le 14 janvier après un tour de France. http://www.lefigaro.fr/voyages/2015/12/08/30003-20151208ARTFIG00234-dernier-vol-du-747-air-france-en-tenue-de-gala.php

Dans ce genre de cas, malgré les avis contraires des médecins, l'assistance accepte tout de même la décision de la patiente et programme le rapatriement malgré les risques ? Et si ça se passe mal pendant le trajet ?

Le problème c'est l'hystérésis de la loi de consigne, pour recoller rapidement à la vitesse imposée. Le régulateur ne voit pas arriver les pentes et les virages (il y a eu des essais pour corréler avec une carte GPS, mais peu concluants), et ne peut pas anticiper comme peut le faire un bon conducteur. Tout comme un bon mécano connaissant bien le comportement de sa machine et de la ligne est capable de gérer la traction et le freinage au poil près. Sur mes voitures perso je m'arrange toujours pour le débrancher (parfois c'est compliqué). Deux petits accidents, ça m'a suffi pour comprendre que je devais m'en passer. Quand je conduis des voitures qui ne sont pas à moi (genre loc ou entreprise), je fais avec mais je garde une marge plus importante. De toutes façons, ce n'est pas l'Anti-Blocage de Roue qui fait l'efficacité du freinage, mais la qualité du trio pneus-suspensions-freins, avec la vigilance du conducteur en préambule.

Tu parles de quel genre de voiture ? parce que sur les voitures récentes il n'y a pas de "déclenchement", l'ensemble ABR-ESP est actif en permanence, le conducteur ne s'en rend pas compte.

N'en sois pas si sur. Si tu prends un conducteur lambda, qui n'a pas une connaissance et une maîtrise poussée de la voiture qu'il conduit, l'ABR dans les versions récentes améliore la distance de freinage. Mais dans un certain nombre de cas, on peut voir l'inverse. On peut s'en rendre sur une route enneigée, avec une voiture produite avant les années 2000/2005, l'ABR refuse de freiner. Même un conducteur novice qui écrasera la pédale s'arrêtera moins loin (le tas de neige poussé par la roue bloquée freine). A l'origine, il faut savoir que l'ABR sert à conserver le pouvoir directionnel permettant d'éviter un obstacle même si le conducteur a le réflexe naturel d'écraser la pédale de frein. Mais cela s'est fait au détriment d'une capacité à aller aux limites réelles de l'adhérence du pneu. Les systèmes ont ensuite beaucoup évolué, avec des algorithmes de calcul temps-réel très puissants et des capteurs sophistiqués (accéléromètres, centrale inertielle, capteur de vitesse de braquage, capteur de vitesse d'enfoncement pédale), mais la sureté de fonctionnement leur impose de rester dans une "fenêtre" de conditions très stricte, pour éviter les cas limites où le système fait l'inverse de ce qui est voulu par le conducteur. Le système doit donc rester dans une plage optimale des paramètres, ce qui réduit son efficacité dans les situations extrêmes (forte adhérence ou adhérence fortement variable). Un exemple concret : un conducteur maîtrisant bien son véhicule voit un accident sur l'autoroute 200m devant lui, et perçoit qu'il y a une grosse flaque d'huile sur la chaussée, il va freiner au maximum sur la partie la plus adhérente, et relâchera ensuite en sachant très bien qu'il risque de partir en vrille sur la flaque d'huile. Le système ABR lui ne voit pas la flaque d'huile et va perdre des précieux mètres en n'allant pas au maximum de l'adhérence sur la partie sèche..... Car sa calibration le force à interpréter le début de glissement comme un seuil d'adhérence, ce qui est faux dans cette configuration.