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zoreglube

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Et si,

les grands patrons, nos décideurs,

les Zôms politiques,

sortent de L'ENA, des Ecoles de Commerce, de X-Polytechniques,

et pourtant, ils leur manquent une seule chose:

le bon sens.

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Et si,

les grands patrons, nos décideurs,

les Zôms politiques,

sortent de L'ENA, des Ecoles de Commerce, de X-Polytechniques,

et pourtant, ils leur manquent une seule chose:

le bon sens.

sans oublier qu'en France ceux qui sont en place de "décideurs" ont de gros problémes d'égo et qu'il existe toujours une lutte des classes pour le medef et autres syndicats de petits patrons...ce sont eux qui décident , qui imposent aux salariées même et surtout si ce sont des conneries... et en plus maintenant ils ont l'appui du PS

Modifié par jackv
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Et si,

les grands patrons, nos décideurs,

les Zôms politiques,

sortent de L'ENA, des Ecoles de Commerce, de X-Polytechniques,

et pourtant, ils leur manquent une seule chose:

le bon sens.

Si le bon sens ne faisait défaut qu'aux grands patrons, décideurs et politiciens, le monde serait (presque) sauvé.

Car si tous ces gens là sont là ou ils sont, c'est bien parce que la majorité silencieuse ou la France d'en bas les y a placés...ou laissés s'y installer. :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

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Si le bon sens ne faisait défaut qu'aux grands patrons, décideurs et politiciens, le monde serait (presque) sauvé.

Car si tous ces gens là sont là ou ils sont, c'est bien parce que la majorité silencieuse ou la France d'en bas les y a placés...ou laissés s'y installer. :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

+10000

et qui va refaire de même avec sarko

Modifié par jackv
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Invité JLChauvin

La majorité silencieuse, celle qui râle toujours quand ça ne risque rien et qui se dégonfle toujours quand il faut se mouiller... elle retourne toujours sa veste, la majorité silencieuse, toujours du bon côté... bientôt le retournement du pantalon (merci JD...)

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Il n'était pas nécessaire de sortir de polytechnique pour savoir que les possibilités d'achat des consommateurs sont les mêmes quelles que soient les durées et fréquences d'ouverture des magasins.

Ceux qui dépensent maintenant le dimanche ne dépensent plus en semaine. Tout simplement.

En outre l'ouverture du dimanche entraine une augmentation des coûts et de la masse salariale puisque les salariés sont (légèrement) mieux payés.

Et comme les patrons ne sont pas idiots cette augmentation des coûts n'est pas compensée par une diminution des profits mais par une augmentation des prix.

Le client de la semaine paye donc pour que des individus incapables d'occuper intelligemment leurs dimanches puissent trainer dans les magasins ces jours là.

Et quand le MEDEF prétend que l'ouverture nocturne ou dominicale provoquera des créations d'emploi, il se fout du monde. Le personnel en place verra ses heures de travail décalées ou reportées de la semaine sur le dimanche. Et rien d'autre.

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Déjà avant ces derniers saccages, la facture était lourde pour l’état ( les contribuables) en bretagne... que dirait on si lmes cheminots , les pilotes avaient le même comportement sur les biens publics et vis a vis des services de securité que sont les pompiers...la facture de ces derniers mois

extraits

"Deux nouveaux radars ont été dégradés cette nuit en Bretagne, malgré l'envoi des renforts annoncés par le ministre de l'Intérieur. Chaque appareil coûte 30.000 euros.

Les équipements publics en Bretagne font durement les frais du mouvement de protestation contre l'écotaxe. Outre les cinq portiques détruits ou démontés, pas moins de 46 radars sur les 109 que compte la région ont été vandalisés depuis le début du mois de novembre, selon la préfecture. «Nous avons constaté une augmentation des dégradations commises contre les radars qui contrôlent la vitesse», déplore ce lundi le préfet de Bretagne,. Rien que dans la nuit de samedi à dimanche, cinq radars ont fait les frais de la colère de manifestants, et deux ont à nouveau été pris pour cibles dans la nuit de dimanche à lundi.

La moitié de ces 46 radars vandalisés est aujourd'hui hors d'usage. Ils seront certes remplacés le plus rapidement possible, fait savoir le préfet, «mais ceci aura un coût pour la collectivité: le prix moyen d'un radar est de 30.000 euros».

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/11/01016-20131111ARTFIG00254-pres-de-50-radars-vandalises-dans-toute-la-france.php

La facture des Bonnets rouges : entre 3,8 M€ et 6,3 M€

Avec 5 portiques écotaxe détruits en Bretagne ces dernières semaines, le coût des dégradations se chiffre déjà à quelques millions.

Les choses se corsent concernant les portiques de l'écotaxe, dont le coût varierait de 500 000 € à 1 M€, selon Michel Cornil, le vice-président d'Ecomouv'. Une fourchette qui correspond à celle déjà avancée par le ministère des Transports. Le remplacement des 5 portiques aujourd'hui à terre coûterait donc entre 2,5 M€ et 5 M€. Au total, la facture des violentes manifestations ces dernières semaines en Bretagne pourrait donc osciller entre 3,8 M€ et 6,3 M€. Sans compter le coût de la réparation des glissières de sécurité endommagées…

http://www.leparisien.fr/economie/la-facture-des-bonnets-rouges-entre-3-8-meur-et-6-3-meur-12-11-2013-3308725.php#xtref=http%3A%2F%2Fwww.google.fr%2Furl%3Fsa%3Dt%24rct%3Dj%24q%3D%24esrc%3Ds%24source%3Dweb%24cd%3D3%24ved%3D0CC4QFjAC%24url%3Dhttp%253A%252F%252Fwww.leparisien.fr%252Feconomie%252Fla-facture-des-bonnets-rouges-entre-3-8-meur-et-6-3-meur-12-11-2013-3308725.php%24ei%3DQG8gVJWvHue07Qb45YDICw%24usg%3DAFQjCNGj9JMXC-8lj1meJwdMkzifjSHV7A%24bvm%3Dbv.75775273%2Cd.ZGU

et devant ce comportement de personne qui manifestent saccagent et ne respectent pas les lois ni les biens communs,il ne semble pas qu'il y ait beaucoup de sanctions, ils faut dire qu'en Bretagne il semble que l'on oublie souvent les lois et depuis pas mal de temps...exemple..normes et nombres de cochons dans les élevages ...déversement des lisiers et des nitrates etc...

le facture va encore augmenter avec les derniers incendie et autres destructions..ils ont même incendié leur caisse d'assurance maladie et retraite (MSA) surement pour ne plus payer de cotisations..

Modifié par jackv
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Les parisiens n'aiment pas les bretons qui sont des cons.

A quand un article aussi bien documenté sur les émeutes rituelles dans les banlieues parisiennes dans Le Parisien?

Peut-être que le Télégramme de Brest peut s'en charger.

Tiens à propos, les aides de l'Europe pour compenser l'embargo russe ont été de 0,66€ par producteur de St Pol de Léon ce qui pose un problème de redistribution des fonds puisque le prix du timbre est plus important que la somme à distribuer à chaque producteur.

C'est pas dans Le Parisien.

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Cohue au "Paris pour l'Emploi" à la Concorde - Des milliers de visiteurs, des files d'attente, les stands d'entreprises étouffés ...

http://www.carrefoursemploi.org/minisites4/paris2014/presentation.php

Un signe de plus que la question de l'emploi est aigüe ....

Modifié par michael02
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Cohue au "Paris pour l'Emploi" à la Concorde - Des milliers de visiteurs, des files d'attente, les stands d'entreprises étouffés ...

http://www.carrefoursemploi.org/minisites4/paris2014/presentation.php

Un signe de plus que la question de l'emploi est aigüe ....

que les gens cherchent du boulot et ne veulent pas rester des assistés

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que les gens cherchent du boulot et ne veulent pas rester des assistés

10 000 offres proposées et .... plus de 50 000 visiteurs attendus ... ca va pas faire ...

http://www.leparisien.fr/espace-premium/paris-75/10-000-offres-d-emploi-a-saisir-a-la-concorde-02-10-2014-4180271.php

Une notice de presque 150 pages - SNCF recrutement et SNCF handicap page 131 (se décrivant en 5 branches, ça fera collector l'an prochain !!)

http://www.carrefouremploi.org/telechargement/guideForumparis2014.pdf

Modifié par michael02
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Marché du travail : Valls et Renzi bousculent leur gauche pour amadouer Bruxelles

Seuils sociaux, assurance chômage, flexibilité : le premier ministre français ouvre les dossiers brûlants pour les syndicats Valls prend le risque d'une rupture avec la CFDT et affronte de nouvelles revendications du PS sur les allocations familiales

A Rome, Matteo Renzi veut obtenir du Sénat un vote de confiance pour faire adopter sa réforme du marché du travail

La France et l'Italie veulent montrer aux Européens qu'ils réforment, afin de faire accepter leur dérive budgétaire

http://www.lemonde.fr/journalelectronique/donnees/libre/20141009/index.html?cahier=QUO

extraits le monde pages 1 et 9

"Les déclarations du premier ministre, lors de ses déplacements à Berlin, le 23 septembre, puis à Londres, lundi 6 octobre, peuvent le laisser penser. En vantant les réussites de nos voisins, le premier ministre a critiqué en creux l'échec de la France à faire baisser le chômage.

A Berlin, il a ainsi semblé regretter que " la France - ait - fait le choix de longue date d'un chômage de masse bien indemnisé ".

A Londres, il s'est demandé s'il ne fallait pas " aller plus loin " que l'accord sur l'emploi du 11 janvier 2013 concernant la flexibilité du marché du travail. Il a même glissé que la question de l'assurance-chômage " doit être reposée ", y compris dans son montant et dans sa durée d'indemnisation."

Ouf c'est la "gauche" qui demande cela , pas la droite

Modifié par jackv
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Pour amadouer Bruxelles, l'Italie réforme son droit du travail
Matteo Renzi devait présider, mercredi 8 octobre, le sommet européen sur l'emploi, à Milan
extraits page 5 supplément eco
Une partie compliquée ? Pour la remporter, M. Renzi doit rompre avec un des totems et tabous de la gauche italienne : l'article 18 du code du travail italien qui permet aux salariés en CDI des entreprises de plus de 15 employés de saisir les juridictions compétentes en cas de licenciement " sans cause juste " ou pour " discrimination ".
Considéré comme un frein à l'embauche par ses détracteurs, il serait à l'origine de la multiplication des emplois précaires, notamment pour les jeunes dont le taux de chômage culmine à 44,2 %.
Le chef du gouvernement espère que cette réforme, avant tout symbolique – moins de 3 000 licenciés sont réintégrés chaque année dans leur entreprise sur ordre des tribunaux –, suffira à elle seule à faire la preuve que Rome applique avec sérieux les consignes de réformes structurelles édictées par Bruxelles. Six mois après la nomination de M. Renzi au palais Chigi, les résultats se font attendre et son étoile pâlit. L'Italie est entrée dans une nouvelle récession (– 4 % de croissance attendue en 2014) et le chômage reste élevé (12,3 %).
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A Berlin, il a ainsi semblé regretter que " la France - ait - fait le choix de longue date d'un chômage de masse bien indemnisé ".

Mieux vaut lire celà, qu'être aveugle.....

Et qui donc a decidé de la desindustrialisation de la France, si ce n'est le milieu économique ???...Ces choix ne sont pas assumés par ceux qui les ont erigés en doctrine de "concurrence"...et ça voudrait donner des leçons de tenue ..!!!!

En gros, laissons crever un peu plus le Peuple, c'est comme celà que je saisi les propos de valls....

Fabrice

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Mardi dernier, pendant que le service public déraillait à propos de la SNCF, Arte diffusait en 2 parties: "Des patrons et des hommes".

En fait, le titre le plus approprié aurait plus plutôt été "Des patrons et des hommes d'état ". Ces reportages décrivent les mutations qui ont mené au triomphe du néolibéralsme financier et les compromissions qui ont partcipé à ce mouvement.

1ère partie

Un peu longue à démarrer, elle plante le décor à la fin de la 2nde guerrre mondiale et fait de nombreux parallèles entre les économies française et allemande. Où l'on voit comment de grand patrons ont arrosé les partis politiques de droite comme de gauche et comment LIP a été assassinée. Dans les 10 dernières minutes, arrivée des fonds d'investissement qui "traient la vache" et le remplacement de l'homme par l'argent au coeur des grosses entreprises.

2nde partie

La plus édifiante, elle démarre en 1981. Elle décrit les déréglementations qui ont eu lieu à partir 1986, la montée de la financiarisation, tout ceci dans un bain d'incompétence, de corruption et de prise du pouvoir par les intérêts privés.

A voir !

Modifié par tomtit
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ne pas hésiter à revoir l'excellent film sur les traders passé il y a 15 jours sur Arte aussi

les mécanismes des excès bancaires y sont bien démont®és et simplement

et le laisser faire aussi

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La majorité silencieuse, celle qui râle toujours quand ça ne risque rien et qui se dégonfle toujours quand il faut se mouiller... elle retourne toujours sa veste, la majorité silencieuse, toujours du bon côté... bientôt le retournement du pantalon (merci JD...)

Quand on à mal au cul on ne s'en vente jamais! hic!!!!!

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Non, le code du travail n'est pas le problème !

Les responsables politiques ont pris pour habitude de s'en prendre au code du travail pour expliquer les difficultés économiques en France. Un argument fallacieux, qui, de surcroît, s'en prend aux droits des plus faibles
extraits
"Il y a peu, sur les plateaux de France 2, François Bayrou s'est livré à un numéro qui n'honore pas le débat politique. Pour illustrer le fait que, selon lui, tous les malheurs de la France viennent de son incapacité à se réformer, il a sorti un mince opuscule présenté commele code du travail suisse.
Puis il en a sorti un gros volume présenté comme le code du travail français, qu'il a jeté sur la table sous les applaudissements d'un public conquis par cette démonstration.
Le pavé français exhibé était le Code du travail annoté (Groupe revue fiduciaire, 2 945 p., 64 euros), recueil commenté et enrichi de la jurisprudence.
On distinguait mal le fascicule que M. Bayrou a présenté, mais la vérité est que la Suisse n'a pas de code du travail. Le droit du travail y est régi par des lois éparses.

Le courage, ce serait de réformer l'eurozone dans un sens qui prenne en compte le sort des peuples. Ce serait de remettre les banques au service de l'économie. Ce serait d'interdire ou de taxer les opérations financières spéculatives. Ce serait d'établir une police sociale et fiscale de la concurrence au sein de l'Union européenne. Et, concernant la France, de réformer nos institutions pour combler le gouffre qui s'est creusé entre la population et la classe politico-médiatique.

De cesser de traiter le travail comme la variable d'ajustement, pour lui reconnaître la place centrale qui a toujours été la sienne dans la création des richesses et la cohésion de la société."

Par Alain Supiot

Alain Supiot est professeur au Collège de France, chaire " Etat social et mondialisation : analyse juridique des solidarités "

http://www.lemonde.fr/journalelectronique/donnees/libre/20141015/index.html?cahier=QUO

page 13

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