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Quand la retraite tourne au cauchemar...

Accusés, 
sans preuve, 
de «fraude», 
des centaines 
de retraités partis avec le dispositif «carrière longue» sont sommés par la Sécu, plusieurs années après, de restituer les pensions qu’ils ont touchées.

Un an que celui-ci «ne dort plus que quatre heures par nuit» et vit «comme un zombie». Tel autre, «la peur au ventre», s’est résolu à «vendre sa maison», confie une syndicaliste qui le défend, avant d’évoquer un troisième cas, celui d’un homme «au bord du suicide», contraint de retourner, à plus de soixante ans, «vivre chez sa mère» … Comme eux, elles et ils sont des dizaines, peut-être des centaines, de retraités à vivre un véritable cauchemar depuis que la Sécurité sociale leur a annoncé qu’elle leur réclamait… la restitution des pensions perçues depuis leur départ en retraite, il y a deux, trois, voire quatre ans. Motif : pour la Sécu, ils n’y avaient, en réalité, pas droit !

enquête serrée pour des «carrières longues»

Cette affaire, révélée hier par la CGT, remonte à 2003. Voyant sa réforme des retraites massivement contestée, le gouvernement concède à la CFDT –qui en tirera argument pour finalement approuver le projet Fillon– la mise en place d’un dispositif de départ anticipé pour les carrières longues : un salarié ayant commencé à travailler tôt peut prétendre partir avant soixante ans, à condition d’avoir cotisé quelques trimestres de plus que la durée normalement exigée. D’emblée, les candidats affluent. D’autant que la loi leur permet, afin de remplir les conditions, de faire valider très aisément des périodes travaillées dans leur prime jeunesse (emplois saisonniers, etc.), pour lesquelles ils n’ont pas de justificatif, bulletin de paie ou autre. Une attestation sur l’honneur signée par deux témoins suffit. Jusqu’en 2008 où le gouvernement, trouvant la mesure trop coûteuse, change les règles du jeu en se montrant beaucoup plus exigeant pour la validation de ces périodes. La Sécu multiplie alors les contrôles, des centaines de dossiers déjà liquidés sont rouverts, de nombreux retraités «carrière longue» sont soumis à une enquête serrée. Et au final, à ce jour, 600 se voient notifier, au motif de «données non fiables», sans plus de précision, l’annulation pure et simple de leur droit à pension, alors qu’ils sont en retraite depuis plusieurs années. Ils sont sommés de restituer les sommes «indues», soit jusqu’à 70 000 euros, et subissent, parfois même, la suspension de leur retraite. Avec, à la clé, les conséquences dramatiques qu’on imagine.

la CGT dénonce le piétinement du droit

Si la CGT ne veut pas défendre les éventuels réels fraudeurs, dit Éric Aubin, en charge des retraites, il n’est pas question non plus de laisser stigmatiser le plus grand nombre de ces retraités qui, «au pire, pour certains», ont été conduits par la Sécurité sociale elle-même à «optimiser le dispositif», comme l’a admis son directeur lors d’une récente rencontre avec le syndicat. Surtout, la CGT dénonce le piétinement de principes essentiels de droit, avec l’application rétroactive des consignes de 2008 aux dossiers liquidés auparavant, et le lancement de l’accusation de fraude sans en apporter de preuve ni démontrer une intention frauduleuse. Alors que les tribunaux des affaires de Sécurité sociale (Tass) commencent à rendre, sur ces bases, des jugements favorables aux victimes qui les ont saisis, le syndicat a interpellé le ministre du Travail et demandé «la fin d’un acharnement injustifié»

Premier recul de la Sécu Recevant une délégation de la CGT, le 12 octobre, le directeur de la Sécurité sociale a reconnu «la légitimité de notre démarche», indique Éric Aubin, mais il a refusé de s’engager 
à ne pas faire appel des décisions des tribunaux favorables aux retraités à carrière longue ayant déposé des recours. Il a toutefois promis qu’il n’y aurait pas, désormais, d’application rétroactive 
de la circulaire de 2008, ce qui devrait conduire au classement 
de nombreux dossiers. À suivre.

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Invité Gnafron 1er

La grève sans fin des caissières du dimanche

A Albertville, six employées d'un supermarché ED-Dia débrayent chaque dimanche depuis deux ans contre une décision de la direction.

http://www.liberatio...res-du-dimanche

Un air d'accordéon suinte d'une sono fatiguée. Sous un soleil de plomb, le curé entraîne une des filles pour quelques pas de danse sur le parking du supermarché. On rigole, on applaudit avec la cinquantaine de personnes réunies sous les quatre bâches tendues face à la station essence.

Zone commerciale d'Albertville (Savoie), dimanche matin : le petit groupe - plutôt âgé - s'est donné rendez-vous ce 26 juin pour célébrer la date anniversaire d'un mouvement inédit : le 90e dimanche de grève des caissières d'ED-Dia contre le travail dominical. Bientôt deux ans de lutte pour ces six femmes «têtues comme des Savoyardes», dixit un supporteur, devenues au fil des mois un symbole de résistance dans la région.

Bientôt deux ans que Corinne, Peggy, Valérie et les autres - qu'il vente, qu'il pleuve ou qu'il neige - se lèvent chaque septième jour de la semaine pour venir perdre une journée de repos, pour la plupart d'entre elles , et le salaire d'une matinée de travail, pour la caissière planifiée ce jour-là.

Deux ans à se faire traiter de «feignasse», «pétasse» ou «petite pute»par de nombreux clients pour un combat qui a fini par dépasser le périmètre du parking commercial.

La décision d'ouvrir le dimanche ? «Elle est tombée d'un coup, en septembre 2009, du siège régional de la société, se souvient Corinne Pointet, 46 ans, l'une des six caissières grévistes. Même le directeur du magasin était contre, sauf qu'il n'avait pas le choix.» Les plannings du mois sont déjà arrêtés. Toutes, «à l'exception d'une collègue», refusent l'injonction de la direction. La majorité des filles, seules avec leurs enfants, rechignent à sacrifier l'un des rares moments d'intimité familiale dans un emploi du temps en perpétuelle mutation. «Je n'ai que le mercredi comme jour fixe en semaine pour m'occuper de ma fille de 9 ans,raconte Valérie Franciosi, 38 ans. Pas question, dans ces conditions, de remettre en question le dimanche, alors que je bosse déjà le samedi.» Le bilan financier est également vite fait, pour ces salariées payées 1 100 euros net par mois : «La prime de 30%, généreusement accordée par la direction, reviendrait à gagner 8 euros de plus par dimanche travaillé,explique Corinne Pointet. Venir ce jour-là me coûterait plus cher en nounou.»

«Se protéger». Problème : les commerces alimentaires peuvent depuis longtemps ouvrir le jour du Seigneur, jusqu'en mi-journée, sans majoration obligatoire ni système de volontariat. Dire non, c'est risquer d'être licenciée, comme l'ont été deux mois plus tôt leurs collègues du ED-Dia d'Oyonnax (Ain). Et, à défaut de candidates, le directeur procède à un tirage au sort pour désigner la première des salariées qui accompagnera, chaque fin de semaine, les deux étudiantes recrutées pour tenir les caisses. «On a réfléchi, et la meilleure solution qui s'est imposée, pour se protéger, c'était de se mettre en grève», raconte Peggy Schiltz, agent de maîtrise du magasin. Toutes vont également imiter Corinne en se syndiquant à la CGT. Le groupe se forme, qui ne va plus se défaire.

La première ouverture, en novembre 2009, est chaotique, assurée par un responsable dépêché par la direction régionale. Le manager du magasin, opposé à la mesure, s'installe en rechignant à la caisse, les grévistes manifestent devant le supermarché. C'est le lancement de 89 autres journées de ce type, avec des moments de joie, d'espoir, mais aussi de doutes et de dérapages. «C'est vrai qu'on s'est parfois énervées quand on voyait que rien n'avançait, reconnaît Peggy. Il nous est arrivé plusieurs fois de prendre les chariots pour bloquer le parking.» Quitte à s'engueuler copieusement avec le responsable de l'Intermarché voisin qui partage la même parcelle, et donc la même entrée. Il y a aussi les hivers rigoureux, l'intimidation des huissiers, les recours en justice, les visites de la police…

Ange gardien. En deux ans, les occasions de craquer ne manquent pas. C'est dans ces moments-là qu'intervient un autre personnage de cette saga savoyarde, aventure humaine autant que sociale : le prêtre-ouvrier Bernard Anxionnaz, 74 ans, véritable ange gardien des caissières. «C'est lui qui sent quand les filles ont un coup de blues, qui sait les remotiver, raconte une sympathisante habituée des lieux. Elles sont très fortes, mais sans lui, le mouvement se serait peut-être essoufflé.»L'ecclésiastique, syndiqué à la CGT, relativise son rôle, préférant embrayer sur un sermon antilibéral : «Le dimanche est le seul moment qui permet de se retrouver en dehors du travail, en dehors de la surconsommation. Mais même cet instant, les marchands et les financiers sont en train de le détruire.» Et de prévenir que «chaque magasin aux alentours attend de voir le résultat de cette lutte avant de décider ou non d'ouvrir le dimanche».

A la sortie du ED, dont les allées sont presque vides, les clients ne sont pas loin de partager les revendications des grévistes. Non sans une pointe d'hypocrisie. «Elles ont bien raison, tout le monde a le droit à un week-end de repos, explique Xavier, 22 ans. Quant à moi, franchement, je viens rarement, mais mon frigo était vide…» Bekir, 30 ans, accompagné de sa femme voilée, est tout aussi d'accord : «Le jour du Seigneur n'existe plus pour personne. Et je sais que le travail le dimanche, ça commence par elles, et ça finira par nous, qui bossons dans la construction.» Le naturel, cependant, n'est jamais très loin : «Il y a beaucoup de gens au chômage, si elles ne veulent pas bosser, qu'elles laissent les autres travailler»,explique Eliseu, un cuistot de 37 ans qui sort du magasin en vélo.

La plupart pensent d'ailleurs que les caissières ont le choix, sur la base de la loi votée il y a deux ans (lire ci-dessus). «Ce n'est pas uniquement si elles sont volontaires, comme ils ont dit à la télé ?» Non, il ne s'agit pas de la même législation. «Alors dans ce cas, je ne suis pas d'accord», entend-on à la sortie du supermarché. Mais tous ont de bonnes raisons de faire leurs courses le dimanche, même si leur venue ce jour-là ne sert pas la cause des grévistes.

«Grain de sable». A l'autre bout du parking, la petite troupe est toujours là, à ripailler sur l'air du Chiffon rouge. Au micro, le curé reprend son prêche anticapitaliste, entre deux jingles de caisse de supermarché préenregistrés sur sa sono bricolée. Sous les bâches, on continue à défendre les caissières, érigées en héroïnes de la lutte sociale. «Si ces filles font grève, ce n'est pas uniquement pour se mettre les doigts de pieds en éventail le dimanche matin, insiste Yves Meunier, Faucheur volontaire d'OGM venu les soutenir. Elles ont une vision plus large de la société, une approche globale qui fait sens.» Et mènent un combat qui enthousiasme Lucette, 62 ans, ancienne ouvrière syndiquée à la CFDT : «Je les trouve admirables. Ces femmes représentent les résistantes de demain, des petites qui feront bouger les choses en grand.» Le «grain de sable qui grippe la machine», ajoute Michel.

Le curé, le Faucheur volontaire, Lucette… la lutte des six caissières d'Albertville semble redonner un nouveau souffle à l'engagement de tous ces sympathisants, impressionnés par leur détermination. Même Flora, 9 ans, la fille de Peggy, l'agent de maîtrise, accompagne sa mère chaque dimanche sur le parking du supermarché, visiblement avec bonheur. Et, pour elle, la cause est entendue : «Si maman travaille le dimanche, elle ne pourra pas venir l'année prochaine à ma petite communion.»

Ce qui est incompréhensible de la part de ces magasins "discount " c'est que ce n'est pas forcément moins cher (ce fut le cas avant ) et ce ne sont pas les frais de personnels (pas mieux payé(e)s , ni plus d'avantages que les autres grandes surfaces) qui

posent problème

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P... de fonctionnaires !

70 000 passagers bloqués par l'annulation de l'ensemble des vols Qantas

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/10/30/70-000-passagers-bloques-par-l-annulation-de-l-ensemble-des-vols-qantas_1596173_3224.html

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Sobrena. L'État en contact avec de possibles repreneurs

http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/sobrena-l-etat-en-contact-avec-de-possibles-repreneurs-03-11-2011-1486562.php

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Angers. Comme au bac, Annovo affiche la liste des salariés licenciés

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Angers.-Comme-au-bac-Annovo-affiche-la-liste-des-salaries-licencies_39382-2007663_actu.Htm

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Réparation navale à Brest : la Sobrena sous administration provisoire

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Reparation-navale-a-Brest-la-Sobrena-sous-administration-provisoire_40771-2007401-pere-bre_filDMA.Htm

Sobrena : « On a eu raison de se mobiliser »

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Sobrena-On-a-eu-raison-de-se-mobiliser-_40843-2007131------29019-aud_actu.Htm

Sobrena : l’Etat s’engage à monter un « projet industriel pérenne »

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Sobrena-l-Etat-s-engage-a-monter-un-projet-industriel-perenne-_40779-2007001------29019-aud_actu.Htm

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Le SMIC sera revalorisé automatiquement de 2,1 % au 01/12/2011, en raison d'une augmentation de l'inflation de 2,1 % sur un an, a annoncé la direction générale du travail (DGT).

Infos reprises du site web du journal "Le Parisien" :

http://www.leparisie...011-1712197.php (11h38)

http://www.leparisie...011-1712197.php (17h03)

Modifié par Pascal 45
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+2,1 %

1365,00 euros bruts = 1072,07 euros net soit 78,54%

1393,82 eurosbruts = 1094,70 euros net à cotisations sociales égales (?)

..............................soit + 22,63 euros

Il faudra que Sarkozy, Fillon, et consorts ump

et quelques autres (n'est-ce pas Mr Hollande...)

nous expliquent comment quelqu'un peut vivre avec 1094,70 euros par mois pour un temps complet à 35h

parceque beaucoup vivent avec moins quand ils sont à temps partiel

sans compter de nombreux retraités et veuves de retraités...

Beaucoup (dont moi) revendiquent 1.700 euros bruts pour aller vers 1.700 euros net !

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité Gnafron 1er

J'adhère au post de Dom , sans aucun problème .Mais , en parallèle , d'une augmentation très conséquente des salaires , je revendique IMPERATIVEMENT un contrôle des prix , voir dans certains cas un blocage :

-de certains produits:

pain , lait , riz , pomme de terre , pâtes etc.....

- des loyers...., blocage des tarifs du parc public

- contrôle des loyers ...parc privé [effet allocation logement auquel nous contribuons tous à enrichir les proprios malhonnêtes] ]

- de l'énergie.....

- l'encadrement du crédit (taux) ,

- la suppression des crédits révolvings.

- retour à une indéxation des salaires sur les prix

-.......par exemple !

Car , sans cela , toute augmentation sera illusoire à moyen terme .Certe , il y aurait une période d'euphorie (exemple : après 68) , les gens auraient une impression immédiate "d'aisance " mais l'effet de cette hausse de salaire serait vite estompée dans les 2 ans .......

-

Modifié par Gnafron 1er
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+2,1 %

1365,00 euros bruts = 1072,07 euros net soit 78,54%

1393,82 eurosbruts = 1094,70 euros net à cotisations sociales égales (?)

..............................soit + 22,63 euros

Il faudra que Sarkozy, Fillon, et consorts ump

et quelques autres (n'est-ce pas Mr Hollande...)

nous expliquent comment quelqu'un peut vivre avec 1094,70 euros par mois pour un temps complet à 35h

parceque beaucoup vivent avec moins quand ils sont à temps partiel

sans compter de nombreux retraités et veuves de retraités...

Beaucoup (dont moi) revendiquent 1.700 euros bruts pour aller vers 1.700 euros net !

Oui, c'est dur. C'est vrai. Et pourtant, pendant 2 ans avant de bosser à la SNCF, on vivait mon ex et moi, à 2 sur un SMIC. Avec un plein d'essence (Ss plomb 95, pas du gasoil !) par semaine et un studio moisi à 370€/mois. Ben ouais, c'était pas la joie, mais on arrivait à vivre, et même à mettre de l'argent de côté. Fallait pas d'imprévu, mais c'était faisable. C'était entre 2005 et 2007. Ah oui, les prix ont augmenté depuis. Le SMIC aussi.

C'est sûr, pas de resto, peu de sorties, pas de télé écran plat dernière génération, etc...

Gom

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+2,1 % au 1/12/2011...

1365,00 euros bruts = 1072,07 euros net soit 78,54%

1393,82 eurosbruts = 1094,70 euros net à cotisations sociales égales (?)

..............................soit + 22,63 euros

Pour Noël...

En regardant les titres des articles de journaux ce matin

Les milliards d'euros volaient à la pelle...

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Un agenda alternatifs des manifs et rassemblements, des évènements en région parisienne...

http://www.demosphere.eu/events.xml

Modifié par Dom Le Trappeur
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Oui, c'est dur. C'est vrai. Et pourtant, pendant 2 ans avant de bosser à la SNCF, on vivait mon ex et moi, à 2 sur un SMIC. Avec un plein d'essence (Ss plomb 95, pas du gasoil !) par semaine et un studio moisi à 370€/mois. Ben ouais, c'était pas la joie, mais on arrivait à vivre, et même à mettre de l'argent de côté. Fallait pas d'imprévu, mais c'était faisable. C'était entre 2005 et 2007. Ah oui, les prix ont augmenté depuis. Le SMIC aussi.

C'est sûr, pas de resto, peu de sorties, pas de télé écran plat dernière génération, etc...

Gom

MISÈRE, MISÈRE , TU EST LA PROIE DES PETITS

22,63 euros putain y ce gavent ,NON MONSIEUR EST TROP BON ,AVEC CET ARGENT Y VONT CE SOULER AVEC DU MAUVAIS VIN .

au fait le travailler plus pour gagner plus s'était donc ça , je suis rassuré. aller va payez nous avec un bol de riz" vive la mondialisation du prolétariat "

Modifié par mikado43
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Invité Gnafron 1er

Oui, c'est dur. C'est vrai. Et pourtant, pendant 2 ans avant de bosser à la SNCF, on vivait mon ex et moi, à 2 sur un SMIC. Avec un plein d'essence (Ss plomb 95, pas du gasoil !) par semaine et un studio moisi à 370€/mois. Ben ouais, c'était pas la joie, mais on arrivait à vivre, et même à mettre de l'argent de côté. Fallait pas d'imprévu, mais c'était faisable. C'était entre 2005 et 2007. Ah oui, les prix ont augmenté depuis. Le SMIC aussi.

C'est sûr, pas de resto, peu de sorties, pas de télé écran plat dernière génération, etc...

Gom

MISÈRE, MISÈRE , TU EST LA PROIE DES PETITS

22,63 euros putain y ce gavent ,NON MONSIEUR EST TROP BON ,AVEC CET ARGENT Y VONT CE SOULER AVEC DU MAUVAIS VIN .

au fait le travailler plus pour gagner plus s'était donc ça , je suis rassuré. aller va payez nous avec un bol de riz" vive la mondialisation du prolétariat "

Le prolétariat est mondialisé mais pas uni.......et pourtant il en aurait besoin ....###### !Idéologie d'un autre siècle !

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Invité Gnafron 1er

Extrait de ce que je lis :

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<title>Démosphère - agenda alternatif de la région parisienne</title>

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<title>jeudi 17 novembre 2011 - Paris 5e - Festival de cinéma &quot;La fabrique de la peur&quot; - Attac </title>

<link>http://www.demosphere.eu/node/26212</link>

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<dcterms:spatial>Paris 5e</dcterms:spatial>

<pubDate>Sat, 08 Oct 2011 21:40:44 +0200</pubDate>

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<guid isPermaLink="false">26212 at http://www.demosphere.eu</guid>

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</item>

Et ailleurs tous les liens s'ouvrent correctement . :Smiley_61: exemple , les liens de

zoreglube s'ouvrent nickel chrome

Modifié par Gnafron 1er
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Extrait de ce que je lis :

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<title>jeudi 17 novembre 2011 - Paris 5e - Festival de cinéma &quot;La fabrique de la peur&quot; - Attac </title>

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Et ailleurs tous les liens s'ouvrent correctement . :Smiley_61: exemple , les liens de

zoreglube s'ouvrent nickel chrome

J'y suis de nouveau retourné, et il fonctionne !!!

adresse : http://www.demosphere.eu/events.xml

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En fait quand on ouvre la page

la mention http:// est remplacée par feed://

C'est la première fois que je vois ça...

c'est peut être la raison des difficultés de Maître Gnafron et de son navigateur internet ?

feed://www.demosphere.eu/events.xml

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En fait quand on ouvre la page

la mention http:// est remplacée par feed://

C'est la première fois que je vois ça...

c'est peut être la raison des difficultés de Maître Gnafron et de son navigateur internet ?

feed://www.demosphere.eu/events.xml

Je suis sous internet explorer et j'ai bien http à l'ouverture, à son prochain passage il faudra lui demander son navigateur

... c'est bizarre ce truc !

Modifié par Pascal 45
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