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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/02/09/automobile-surcapacite-de-production-en-europe-creation-d-usines-a-la-peripherie_1640818_3234.html#ens_id=1567435&xtor=RSS-3208

Automobile : surcapacité de production en Europe, création d'usines à la périphérie

C'est un symbole cruel pour l'Europe. Renault inaugure, jeudi 9 février, à Tanger, au Maroc, une usine capable de produire, avec 6 000 ouvriers, 40 0000 véhicules destinés essentiellement au marché européen. Au même moment, le constructeur automobile japonais Mitsubishi vient d'annoncer la fermeture de son usine de Born, au Pays-Bas, qui emploie 1 500 personnes.

Depuis la fermeture de Vilvorde (Belgique) par Renault en 1997, il s'agit de la cinquième usine à mettre la clé sous la porte en Europe : PSA avait fermé son site de Ryton (Grande-Bretagne) en 2007, Opel celui d'Anvers (Belgique) en 2010, et Fiat celui de Palerme (Italie) en 2011. Cette vague ne devrait pas s'arrêter. Selon le Wall Street Journal, General Motors (GM) souhaiterait fermer deux usines de sa filiale Opel, en Allemagne et au Royaume-Uni. Plus de 5 000 salariés seraient licenciés.

Tous les patrons de constructeurs européens sont convaincus que d'autres suivront, car les comptes sont pratiquement partout affectés par la crise européenne. Début janvier, Sergio Marchionne, le patron de Fiat, a estimé qu'il fallait réduire de "10 %, 15 %, voire 20 %" les capacités de production en Europe.

Devant le Sénat, mardi 7 février, Denis Martin, le directeur industriel de PSA Peugeot Citroën, a assuré que "l'on ne peut pas imaginer que toutes les usines restent". Avant d'ajouter : "Je ne veux pas fermer d'usine, mais quand il n'y a pas de clients, les usines ne peuvent tourner." "Entre 2007 et 2011, le marché européen s'est contracté de manière très importante. En quatre ans, le nombre de voitures vendues a chuté de 16 à 13,5 millions, rappelle Yann Lacroix, responsable des études sectorielles chez Euler Hermes. En 2012, le marché pourrait baisser à 13 millions de véhicules. A ces niveaux de vente, la question des surcapacités se pose."

Pour Carlos Tavares, le directeur général de Renault, également interrogé le 7 février par le Sénat, "il existe en Europe entre 3 et 11 millions de surcapacité de production de véhicules, selon les calculs". Avant d'ajouter : "Contrairement à d'autres, nous n'avons toujours pas traité cette question." Aux Etats-Unis, GM a fermé, à lui seul, quinze usines au plus fort de la crise, en 2008 et 2009. Depuis le rebond du marché, il en rouvre progressivement. Reste que les méthodes expéditives américaines n'ont pas bonne presse en Europe. Tout le monde conserve le souvenir cuisant de la fermeture de Vilvorde. Et la perspective de la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay a provoqué un tollé en juin 2011.

CHÔMAGE PARTIEL

Les constructeurs européens mobilisent tous les autres leviers. Outre le chômage partiel, pour préserver temporairement leurs équipes, ils ont décidé de réduire la voilure, en supprimant des lignes de production afin de supporter les pertes de volumes vendus. Pour rendre plus compétitives leurs usines, les industriels les "compactent". C'est grâce à une réorganisation physique de ses lignes de production, que l'usine PSA de Poissy a gagné le droit de produire la nouvelle 208, qui sera lancée au printemps.

Enfin, tous les constructeurs, qu'ils soient allemands, français ou italiens, ont transféré la production des plus petits modèles dans les pays de la périphérie de l'Europe, de l'Europe orientale à la Turquie. Et, au lieu d'exporter vers les pays émergents, les européens s'y installent afin d'offrir des produits meilleur marché.

Ce phénomène explique le paradoxe des constructeurs tricolores. Alors que leur production globale au niveau mondial n'a jamais été aussi importante, leur production sur le sol français décline. Seuls les véhicules à plus forte valeur ajoutée restent, pour l'instant, produits dans les usines de la Vieille Europe. Pour la 208, les modèles d'entrée de gamme sont produits à Trnava, en Slovaquie, tandis que les modèles les plus haut de gamme sont produits à Poissy (Yvelines) et Mulhouse (Haut-Rhin). Selon un cadre de PSA, "la différence de coût de la main-d'œuvre est de 1 à 3 entre la France et la Slovaquie". Une 208 slovaque coûte 500 à 1 000 euros de moins qu'une française.

Chez Renault, calcule M. Tavares, "l'écart de coût de production d'une Clio de Flins, en France, et de Bursa, en Turquie, est de 1 300 euros". Fort de ce constat, le constructeur, qui ne produit plus en France que le quart des voitures qu'il vend, veut concentrer, à terme, ses usines hexagonales sur le haut de gamme.

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Citation texte et photo du site web :

http://www.leparisien.fr/economie/le-salaire-des-patrons-du-cac-40-a-augmente-de-34-en-2010-14-02-2012-1861036.php

" Le salaire des patrons du CAC 40 a augmenté de 34% en 2010

Dix grands patrons français ont touché une rémunération* représentant plus de 240 Smic annuel, soit 4,6 millions d’euros, en 2010 ! C’est l’un des constats de l’étude annuelle de la société de conseil aux investisseurs Proxinvest, qui porte sur les salaires des dirigeants de 250 entreprises (SBF 250).

Le président du géant des cosmétiques L’Oréal, Jean-Paul Agon, a touché cette année-là 10,7 M€, Bernard Arnault (LVMH) et Carlos Ghosn (Renault) 9,7 M€, Bernard Charlès (Dassault Systèmes) 9,5 M€, Franck Riboud (Danone) 7,7 M€, Maurice Lévy (Publicis) 6,2 M€, Christophe Viehbacher (Sanofi-Aventis) 6,1 M€, Arnaud Lagardère (groupe Lagardère) et Henri de Castries (Axa) 4,9 M€ et Lars Olofsson (Carrefour) 4,8 M€.

Et, comme le fait remarquer Pierre-Henri Leroy, président de Proxinvest, dont l’étude repose sur les documents publiées par les entreprises pour l’année 2010, «ces chiffres sous-évaluent la rémunération totale puisqu’ils n’incluent pas le complément de retraite dont ils bénéficient presque tous sans informer sur leur coût pour l’entreprise».

Crise financière oblige, les présidents des quarante plus grosses sociétés cotées à Paris (CAC 40) avaient vu leurs rémunérations baisser ces dernières années (de 17 % en 2007, 25 % en 2008 et de 14 % en 2009). Mais le rattrapage n’a pas tardé.

Ainsi, avec une rémunération moyenne de 4,11 millions d’euros, la hausse en 2010 a été de 34 %. Soit, là encore, beaucoup plus que la progression du salaire moyen des Français (+ 2,10 % cette même année avec primes et heures supplémentaires). Une rémunération moyenne qui est par ailleurs supérieure à celle de leurs homologues européens (3,9 M€), selon une autre étude de la société de conseil ECGS. Les dirigeants les mieux payés sont les Britanniques (6,08 M€), devant les Italiens (5,48 M€) et les Espagnols (4,04 M€), bien loin des managers norvégiens et portugais avec respectivement 0,93 et 0,96 M€.

Constatant certaines hausses de rémunérations fixes «non négligeables» et parfois sans rapport avec les performances des entreprises, Pierre-Henri Leroy déplore toujours le manque de transparence, notamment pour le calcul des bonus en fonction des performances. Afin de rétablir la confiance entre actionnaires et dirigeants, le président de Proxinvest estime «plus que jamais indispensable, un vote annuel sur la rémunération, une information sur le coût individuel des retraites sur-complémentaires et des critères de performances vérifiables de plus long terme».

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Invité Gnafron 1er

Des sapeurs-pompiers dans l'enceinte du Palais-Bourbon

afp.png

Une cinquantaine de sapeurs-pompiers professionnels se sont introduits mercredi matin dans la cour d'honneur de l'Assemblée nationale, où ils sont restés une heure, pour manifester contre une réforme de leur statut.

Les sapeurs-pompiers, militants CGT, Fédération autonome, CFDT et SUD, qui avaient réussi à pénétrer dans l'enceinte, pourtant bien gardée, du Palais-Bourbon, sont sortis accompagnés de Roland Muzeau et Martine Billard, députés du Front de Gauche.

A leur sortie, des représentants syndicaux ont expliqué que, par cette intrusion, ils souhaitaient "médiatiser leurs actions" programmées pour ce mercredi, notamment une manifestation dans l'après-midi à Paris.

Les quatre syndicats s'opposent à un protocole d'accord sur leur profession signé par le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, et d'autres organisations syndicales. Pour eux, cette réforme constitue "une régression sociale et un recul social pour les personnels".

"Le gouvernement fait bloc pour nous étouffer. On est perdus. On ne sait plus quoi faire comme action pour être entendus par les élus et la population", ont expliqué Cyril Grandpré (Fédération autonome) et Jean-Philippe Parellat (CGT) pour expliquer cette intrusion.

Une fois dans la place, les manifestants ont demandé en vain à être reçus par le président de l'Assemblée ou des parlementaires, et n'ont vu que les deux députés du Front de Gauche.

"C'est vrai que, normalement, on n'envahit pas l'Assemblée nationale... Mais nous, on a vu ça comme un geste de désespoir", a déclaré Mme Billard. "Quand on les a vus dans l'Assemblée, nous y sommes allés pour comprendre pourquoi ils avaient fait ça", a ajouté la députée FG.

"Aucun député UMP n'a eu le courage de les recevoir ou de venir discuter avec eux. Ensuite, il ne faut pas venir se lamenter sur la montée des extrêmes, de l'abstention. Le mépris du peuple, ça a des conséquences!", a-t-elle poursuivi.

Solidement encadrés par les gardes mobiles, les manifestants ont été raccompagnés en bon ordre vers le boulevard Saint-Germain.

Les portes d'accès extérieur au Palais-Bourbon avaient été auparavant fermées. Une bonne vingtaine de cars de gardes mobiles cernaient le bâtiment. A l'intérieur du Palais-Bourbon même, le périmètre immédiat autour de l'hémicycle, appelé "périmètre sacré", avait également été verrouillé.

Les opposants à la réforme avaient déjà manifesté le 3 novembre à Paris, réunissant selon les syndicats 8.000 pompiers professionnels, 3.200 selon la police.817-grey.gif

Modifié par Gnafron 1er
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Invité necroshine

Imaginez pour 2011 ?????

N'empeche que si on baissait le salaire de ces guignols, ca ferait une prime pour les effectifs des personnels en France....

Carlos Ghosn par exemple, 1,7 millions d'euros par an lui suffirait a le rémunérer, sachant que le groupe dévisse, et, qu'il n'atteint aucun de ses objectifs, a part saborder le groupe en lui même....

Il resterait donc : 9,7 - 1.7 millions d'euros, reste 8 millions d'euros a distribuer aux salariés...

8.000.000 : 54263 salariés = 147 euros....

Une prime qui leur ferait un peu de bien.....

Sachant, les vagues de suicides dans le groupe, ce patron ne mérite pas son salaire !!!!

Source effectifs : http://www.renault.c...s-cles-isr.aspx

Modifié par necroshine
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Assez surprenante cette dépêche de Reuters

elle cite nommément les syndicats patronaux et agricole

mais pas les syndicats ouvriers ...

mais dans un savant mélange (amalgame...)

Le rapport épinglant les syndicats diffusé en ligne

http://fr.news.yahoo.com/le-rapport-épinglant-les-syndicats-diffusé-en-ligne-203940218.html

avec une belle photo qui colle drôlement bien à l'article...

PARIS (Reuters) - Le rapport Perruchot sur les finances des syndicats reproche aux organisations patronales de puiser dans les fonds des organismes paritaires et aux centrales syndicales de trop vivre aux crochets de l'Etat, selon Le Point.

Le rapport Perruchot du nom du député Nouveau Centre rapporteur de la commission d'enquête, a été enterré en novembre 2011 par les élus, sans autre forme de procès, à quelques mois de l'élection présidentielle.

Mais Le Point a décidé jeudi de le mettre intégralement en ligne.

Selon l'hebdomadaire, le rapport Perruchot "dresse, entre les lignes, un rapport consternant de la vie syndicale en France. A base de combines et de faux-semblants".

Les syndicats patronaux, Medef, CGPME et UPA sont visés pour la part importante des sommes liées à la gestion des organismes paritaires dans leurs ressources.

"Force est de constater que ces financements représentent une part très importante des ressources de certaines organisations d'employeurs, en particulier des confédérations représentatives au niveau national", dit le texte.

Ces financements sont "en principe affectés à des objectifs spécifiques", mais "ils peuvent aussi couvrir des dépenses sans rapport évident", et servir au fonctionnement courant et à la promotion des organisations patronales, ajoute le texte.

Outre les syndicat patronaux et ouvriers, il épingle le syndicat agricole dominant, la FNSEA, qui aurait un art éprouvé pour confondre fonds publics et militantisme.

Le document rappelle que la France compte seulement 8% de syndiqués et huit "grands" syndicats.

Gérard Bon, édité par Jean-Philippe Lefief

Allez j'essaie de trouver un lien vers le dit rapport...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Le dit rapport...

http://www.lepoint2.com/pdf/rapport-perruchot.pdf

que j'ai parcouru en diagonale

fait quand même 65 pages le bougre...

avec l'article du point

http://www.lepoint.fr/economie/argent-des-syndicats-le-rapport-interdit-16-02-2012-1431943_28.php

Vous Apprécirez la photo mise en ligne ...très objective

quand au contenu de l'article n'en parlons pas...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Les ouvriers boudés par la fiction

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2012/02/17/les-ouvriers-boudes-par-la-fiction_1644840_3236.html

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avec l'article du point

http://www.lepoint.f...-1431943_28.php

Vous Apprécirez la photo mise en ligne ...très objective

quand au contenu de l'article n'en parlons pas...

Tu aurais préféré celle-là?

On va dire qu'aux yeux du public, c'est la CGT qui représente le plus le syndicalisme en France.... Taper dessus, c'est comme pour la SNCF, c'est "ché-bran", c'est vendeur et racoleur.....

Je n'ai pas toujours été d'accord avec certains de leurs délégués (Salut VSD!!!), ni même toutes les décisions nationales ou les divers préavis et leur éventuelle reconduction, mais on ne peut pas retirer que cette OS est de tous les combats depuis des décennies.

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Invité Gnafron 1er

Tu aurais préféré celle-là?

On va dire qu'aux yeux du public, c'est la CGT qui représente le plus le syndicalisme en France.... Taper dessus, c'est comme pour la SNCF, c'est "ché-bran", c'est vendeur et racoleur.....

Je n'ai pas toujours été d'accord avec certains de leurs délégués (Salut VSD!!!), ni même toutes les décisions nationales ou les divers préavis et leur éventuelle reconduction, mais on ne peut pas retirer que cette OS est de tous les combats depuis des décennies.

Même si j'ai eu des divergences .....

ELLE EST l'histoire sociale de notre pays ...qu'on l'aime ou pas ! Ce n'est qu'une réalité historique incontournable avant même l'existence des partis de gauche en France (même du PC .....).Tout cela n'est pas pour rien .

Modifié par Gnafron 1er
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  • 2 semaines plus tard...

La loi sur le droit de grève dans l'aérien adoptée.

plusieurs navettes parlementaires, la loi encadrant le droit de grève dans le transport aérien a été adoptée hier soir, après un ultime vote des députés. Les socialistes envisagent un recours au Conseil constitutionnel.

Après plusieurs navettes entre le Sénat et l'Assemblée nationale, la loi encadrant le droit de grève dans les transports aériens a été votée hier soir par le Parlement, à l'issue d'un dernier vote par les députés, en dépit d'un vif débat parlementaire et d'un mouvement de contestation sociale. Cette nouvelle loi, proposée à l'initiative de l'UMP avec le soutien du gouvernement, vise à «apaiser le dialogue social sans pénaliser des milliers de passagers», selon le ministre des Transports Thierry Mariani. A l'inverse, les syndicats et la gauche ont vivement contesté le texte qui «porte atteinte au droit de grève». La proposition de loi avait ainsi d'abord été rejetée par le Sénat à majorité socialiste puis, après plusieurs navettes entre les deux chambres, le dernier mot est revenu hier soir aux députés qui ont voté le texte à main levée.

La loi calque le dispositif en vigueur à la SNCF et la RATP depuis 2007 au domaine aérien. Il impose ainsi aux grévistes, sous peine de sanction, de se déclarer individuellement 48 heures avant chaque jour de grève afin que les compagnies puissent informer les voyageurs des perturbations à venir 24 heures avant leur départ. Par ailleurs, les salariés non grévistes ou ceux qui décident de reprendre leur service devront également, sous peine de sanctions disciplinaires, en informer leur employeur au plus tard 24 heures avant leur participation ou reprise prévue.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là puisque la gauche entend déposer un recours au Conseil constitutionnel. Autre pomme de discorde politique majeure, la TVA sociale a également été entérinée cette nuit par le Parlement, dans le cadre du vote du budget rectificatif 2012. La majorité au pouvoir prévoit que cette TVA sociale dopera la compétitivité de la France, en revanche les socialistes dénoncent une mesure «injuste» et François Hollande promet d'abroger ce texte s'il remporte l'élection présidentielle

http://www.lefigaro....ien-adoptee.php

Modifié par ADC01
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Invité Gnafron 1er

La loi sur le droit de grève dans l'aérien adoptée.

Par ailleurs, les salariés non grévistes ou ceux qui décident de reprendre leur service devront également, sous peine de sanctions disciplinaires, en informer leur employeur au plus tard 24 heures avant leur participation ou reprise prévue.

http://www.lefigaro....ien-adoptee.php

Donc , on oblige les gens à faire 24 h ......de plus.

Supposons , l'AG , ça ne me plait pas .Impossible de reprendre , donc , je fais de nouveau 24 h (avant de prendre) même si je ne veux pas !Sinon , je serai sanctionné .Faut-il pas être un peu c.n pour pondre une ânerie pareille ?

Génial .....

Modifié par Gnafron 1er
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Donc , on oblige les gens à faire 24 h ......de plus.

Supposons , l'AG , ça ne me plait pas .Impossible de reprendre , donc , je fais de nouveau 24 h (avant de prendre) même si je ne veux pas !Sinon , je serai sanctionné .Faut-il pas être un peu c.n pour pondre une ânerie pareille ?

Génial .....

Au départ , ils ont fait cela suite à une grêve où les agents déposaient une D2I , et finalement se remettaient dispo au dernier moment . Comme les services réduits étaient programmés , .....

Ils se sont dit : il y a une faille , et donc von va y remédier ; sauf que cela entraine une faille autre ;)

Modifié par dav1077
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Hello ,

Souriez , vous êtes fichés :

http://www.letelegra...012-1622632.php

Sans vouloir être parano, on ne me fera pas croire que notre grande famille "Hassan Cehef" est irréprochable concernant les libertés individuelles.

Enregistrements des conversations radio avec le régu, bientôt enregistrement des annonces commerciales et des conversations téléphoniques avec les GM (c'est dans les cartons dans mon UO)

Mise en place du pass carmillon: J'imagine que techniquement il est possible de suivre à la trace un agent (quand a-t'il accédé à tel local, il a pris le train dans telle gare, il a pris une DS pour prendre tel TGV, etc...)

La SNCF fait quand même grandement penser à l'armée dans son fonctionnement, parfois...

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J'imagine que techniquement il est possible de suivre à la trace un agent

La Direction ne s'en est jamais vraiment caché, sans pour autant s'en vanter.

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Hello ,

Question de solde ( sans "s" ) :

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/paris-des-femmes-de-militaires-manifestent-pour-le-paiement-des-soldes-10-03-2012-1628111.php

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Le contrat de travail ne peut empêcher d'habiter où l'on veut

Justice

dimanche 11 mars 2012

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-contrat-de-travail-ne-peut-empecher-d-habiter-ou-l-on-veut_39382-2053758_actu.Htm

Toute personne a le droit de fixer son domicile où elle l'entend et, pour la justice, les nécessités du travail ne peuvent pas porter atteinte à ce principe de libre choix posé par la Convention européenne des droits de l'Homme.

La loi prévoit cependant, dans le Code du travail, que les droits des personnes et les libertés individuelles peuvent subir des restrictions justifiées par la nature de la tâche à accomplir mais qui doivent demeurer "proportionnées au but recherché".

Même si l'obligation est mentionnée dans le contrat de travail, elle n'a pas à être respectée

La Cour de cassation se montre très stricte sur ces restrictions possibles. Elle vient de juger anormale, car non nécessaire, dans la mesure où aucune astreinte n'était prévue, l'obligation faite à l'employée d'un établissement de soins de demeurer à proximité immédiate.

Même si l'obligation est mentionnée dans le contrat de travail, elle n'a pas à être respectée.

L'établissement invoquait la nécessité de conserver une proximité entre le personnel et les patients, mais pour les juges, l'argument n'était pas sérieux.

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