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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/06/06/retour-partiel-de-la-retraite-a-60-ans-le-gouvernement-devoile-son-dispositif_1713339_3224.html#ens_id=1305816&xtor=RSS-3208

Retour partiel de la retraite à 60 ans : le gouvernement dévoile son dispositif

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Invité necroshine

Retraites : les syndicats, plutôt satisfaits, émettent des réserves

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/06/06/retraites-les-syndicats-plutot-satisfaits-emettent-des-reserves_1713626_823448.html#ens_id=1305816&xtor=RSS-3208

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Patron de Gauche ? tendance Gauche vraiment molle alors...

J'ai rencontré quelquefois Gallois et il tournait toujours du pot... mauvais souvenirs...

Gallois (EADS): "On peut quand même vivre avec 600.000 euros !"

http://www.challenges.fr/entreprise/20120530.CHA6884/avant-de-quitter-eads-louis-gallois-se-confie-a-challenges.html

Après 6 années à la tête d’EADS, Louis Gallois laisse à Tom Enders un groupe aux caisses pleines. Ce patron de gauche revient sur sa mission, mais aussi sur l’alternance, la fiscalité, la rémunération des dirigeants. Une voix à part.

Une page se tourne à EADS. Jeudi 31 mai, lors de l’assemblée générale des actionnaires du groupe à Amsterdam, LouisGallois, président exécutif du champion européen, passera le relais à son successeur, Tom Enders, avec le sentiment du devoir accompli. Appelé en 2006 à la tête d’un groupe miné par la lutte fratricide entre dirigeants français et allemands ainsi que par les retards de l’A380, "Loulou", comme l’appelaient les salariés de la SNCF, a mené à bien sa mission de pacification. Il laisse surtout un groupe en pleine santé, qui croule sous près de 11 milliards d’euros de cash. Symbole d’immobilisme, disent ses contempteurs. Garantie pour l’avenir, répond Gallois.

"Grand commis de l’Etat", "moine-soldat", "pacificateur": le caractère ascétique de ce patron de gauche, trois fois à la tête d’entreprises publiques (Snecma, Aérospatiale, SNCF) après avoir dirigé les cabinets successifs de Jean-Pierre Chevènement, ne rend pas justice à la complexité du personnage, féru de rugby et de polars: chaleureux mais parfois cassant, humble mais attentif à son image, dont le discours sur les rémunérations des dirigeants tranche avec la doxa patronale, sans jamais vouloir donner de leçons. A la veille de lâcher les rênes d’EADS, Louis Gallois n’a rien perdu de sa verve, ni de son humour. Comme en témoigne les réponses aux questions que nous lui avons posés.

Challenges. La gauche revient au pouvoir en France. Y voyez-vous, comme certains patrons, un risque pour les entreprises?

Louis Gallois. Je ne vois pas pourquoi des ministres de gauche seraient moins conscients que les autres des enjeux actuels: l’environnement économique très volatil sur la zone euro, l’équilibre entre discipline budgétaire et croissanc ; et, plus fondamentalement, la question de la compétitivité, comme en témoigne la chute de la part de l’industrie dans le PIB, plus forte en France que dans les autres pays européens.

Vous prônez un choc de compétitivité de 25 à 30 milliards d’euros, transférés des charges sociales vers la fiscalité. Or le Medef évoque un choc fiscal du même montant, mais qui s’abattrait, lui, sur les entreprises…

Je ne connais pas le paquet fiscal qui va être annoncé, mais il faudra y regarder à deux fois avant d’augmenter la pression fiscale sur les entreprises. Une des explications de nos difficultés par rapport à l’Allemagne, c’est la baisse des marges des entreprises françaises, qui se traduit par une baisse de l’autofinancement des groupes industriels: il a chuté d’un tiers en dix ans.

François Hollande a-t-il tort de revenir sur la TVA sociale?

Je n’ai pas dit qu’il fallait transférer cette somme sur la TVA. On peut aussi le faire sur la CSG, l’impôt sur le revenu, ou en supprimant une partie des 30 à 35 milliards de niches fiscales reconnues comme inefficaces. Je connais la difficulté extrême de transférer des sommes aussi considérables vers la fiscalité. Ce qui est certain, c’est qu’il faudrait accompagner ce choc de compétitivité d’une réforme très forte de justice fiscale, car le projet ne sera pas accepté s’il est ressenti comme injuste.

Exemple de mesure de justice, l’écart salarial maximal de 1 à 20 des salaires dans les entreprises publiques. EADS, dont 15 % du capital est public, est-il concerné?

EADS est une entreprise privée de droit néerlandais, je ne pense pas qu’elle entre dans le cadre des entreprises publiques françaises!

Que vous inspire cet écart de 1 à 20?

C’est raide pour certains. Mais avec les 5 % de salaires les plus bas à 30.000 euros annuels dans un groupe comme le nôtre, ça ferait 600.000 euros. On peut quand même vivre avec 600.000 euros!

Vous êtes donc trop payé [2,98 millions d’euros, ndlr]!

Je constate que je gagne dix fois plus qu’à la SNCF. Y a-t-il une telle différence de responsabilité? Je ne le ressens pas comme tel. Ma position personnelle, que je n’impose à personne, est qu’une rémunération comme la mienne est inexplicable à l’extérieur. A personne. Je règle ça avec ma conscience en faisant un usage socialement utile de ma part variable. Il me reste très largement de quoi vivre!

Et l’argument avancé par certains patrons de l’existence d’un marché international des dirigeants?

Ce marché existe. Si vous proposez une rémunération divisée par deux, ce qui ne nous mettrait pas dans la misère, vous auriez un problème pour recruter des patrons d’entreprise. L’autre argument, c’est que les patrons sont à la tête de la pyramide des rémunérations, et qu’en baissant celle du chef on embarque toute la hiérarchie. Or ce sont avant tout des choix personnels.

Pourquoi avez-vous renoncé à être rémunéré pour votre clause de non-concurrence?

Pour une raison simple: pour moi, ce serait un supplément de rémunération caché. Il est ridicule de penser qu’à mon âge [68 ans, ndlr] je vais aller me faire payer par la concurrence pour la conseiller! Déjà que ma vue baisse… J’ai une retraite très confortable, à peu près 10% de ce que je gagne aujourd’hui, soit mon salaire à la SNCF!

Que pensez-vous du taux d’imposition à 75% des revenus de plus de 1 million par an?

C’est une mesure de crise, où il faut que la solidarité s’exprime. Je ne suis pas sûr que ça doive être une mesure de long terme.

Quel bilan laissez-vous à EADS?

Je n’aime pas parler de bilan, c’est comme fermer son cercueil… Plus sérieusement, EADS est un miracle. La meilleure preuve, c’est que ce groupe est resté le seul exemple d’intégration industrielle européenne. Qui aurait pensé qu’on arriverait à créer, à partir de quatre entreprises de taille moyenne purement nationales, un champion mondial intégré qui, en termes de produits, de performances et de chiffre d’affaires, challenge Boeing.

Mais pas sa rentabilité…

Boeing ne calcule pas comme nous. S’ils le faisaient, avec les déboires du B787, je demande à voir quelle serait leur marge aujourd’hui. Ils amortissent les surcoûts sur plus d’un millier d’avions, soit plus que leur nombre de commandes. De notre côté, les surcoûts tombent dans nos comptes dans l’année! Une autre différence est, bien sûr, qu’ils travaillent en dollars.

Le succès d’EADS aurait-il été possible sans le soutien des Etats?

Les Etats européens ont soutenu EADS comme tous les Etats soutiennent leurs industries aéronautiques. Aux Etats-Unis, Boeing est en train de se faire condamner par l’OMC pour des aides illégales massives sous forme de subventions. Nous, nous n’avons pas de subventions, mais des avances remboursables. Je rappelle que nous avons totalement remboursé les avances de l’A320 et de l’A330, et que nous payons même des royalties à certains Etats.

Alors comment expliquer qu’EADS ne parvienne pas à trouver d’actionnaire industriel ?

Si on mettait les actions sur le marché, elles trouveraient immédiatement acquéreur! Le marché est demandeur de nos actions, qui ont plus progressé depuis un an que toutes celles du CAC 40. Le problème est qu’il faut trouver un industriel sans aucune synergie avec nous, qui immobilise 1,5 ou 2 milliards d’euros. Vous ne trouverez jamais! Pourquoi voulez-vous que ThyssenKrupp ou Siemens investissent dans EADS? Tous les grands groupes ont été sondés. Lagardère et Daimler sont là à titre historique.

Les frasques récentes d’Arnaud Lagardère vous ont-elles gêné?

Arnaud Lagardère est parfaitement légitime à être président du conseil d’administration. C’est prévu depuis 2007. Il a toujours soutenu le management et moi en particulier. Il a juste bloqué une acquisition aux Etats-Unis en 2007 avec l’argument, tout à fait recevable, qu’il y avait un risque que la société visée soit une boîte noire à laquelle nous n’aurions pas vraiment accès.

Qu’avez-vous apporté au groupe?

Je dirais trois choses: d’abord, en 2006, la volonté d’un "back to business", après l’épisode des querelles nationales exacerbées par les problèmes de l’A380. Ensuite, l’intégration de la société, les synergies entre les activités. Et, troisièmement, un plan de long terme, Vision 2020. Mon successeur, Tom Enders, va peut-être l’infléchir, ce serait parfaitement légitime, mais ce cap a permis à tous, dans et hors de l’entreprise, de comprendre ce qu’on faisait.

L’image de "Gallois pacificateur", cela vous agace-t-il ?

Oui, ça m’agace, parce qu’il y a un fond de vrai, mais je n’ai pas fait que ça. On a lancé l’A350, fait Power 8, sauvé l’A400M, intégré l’entreprise. On dit: "C’est un diplomate." Cela m’agace encore plus, un patron ne doit pas être un diplomate!

Et celle de "Gallois trop favorable aux Allemands"?

Je me suis attaché, en dehors de mon accent, à ne pas être le Français d’EADS mais son patron. Je suis parfois vu en France comme celui qui a tout donné aux Allemands, Tom Enders est vu en Allemagne comme celui qui a tout donné aux Français. Cela veut dire que nous ne sommes pas loin de la vérité!

Actionnaire à 46 % de Dassault Aviation, EADS n’a quasiment aucun pouvoir sur la société. Avez-vous été trop coulant?

Nos droits chez Dassault sont limités à ceux d’un actionnaire minoritaire à 46 %. Il n’y a jamais eu de décision nécessitant les deux tiers des droits de vote, nous sommes plutôt un sleeping partner. Mais la valeur de Dassault s’est accrue, les dividendes ne sont pas négligeables, la société est très bien gérée, c’est donc un bon investissement.

Mais les dirigeants de Dassault cognent sur EADS à bras raccourcis…

Je dois dire que je ne comprends pas cette agressivité permanente vis-à-vis d’un actionnaire à 46% qui, à mon avis, n’en mérite pas tant.

Le refus de l’Etat actionnaire de vous permettre de faire une offre pour Thales, et donc le champ libre laissé à Dassault, vous a beaucoup irrité. Qu’aurait donné ce projet?

Cela aurait permis de créer un ensemble plus équilibré, au sein d’EADS, entre la défense et le civil, entre les plateformes, les équipements et l’électronique de défense. Cela aurait donné naissance à un leader européen de taille considérable, plus gros que Boeing, un champion mondial absolument incontesté. Cela dit, on vit sans…

Avez-vous pensé à démissionner à ce moment-là?

Non, on ne peut pas démissionner à chaque sujet de désaccord avec ses actionnaires, sinon on risque de passer sa vie à démissionner!

Les 11 milliards de cash d’EADS sont parfois perçus comme le résultat d’un excès de prudence. N’auriez-vous pas pu mener à bien une grosse acquisition, une OPA sur BAE, par exemple?

Ce serait très cher, et avant d’acheter quelque chose, il faut que ce soit à vendre! Il y a une golden share sur BAE, et je ne vois pas le gouvernement britannique se séparer d’un des joyaux de la Couronne. Nous allons consommer une partie de ce cash avec la montée des stocks de l’A350. D’autre part, nous sommes une entreprise qui a besoin de cash. Nos clients veulent être sûrs que nous aurons une situation financière qui nous permettra de tenir nos engagements, qui vont jusqu’à 2022 pour certaines ventes d’avions. Ceci dit, nous avons fait pour pres-que 2 milliards d’euros d’acquisitions l’an dernier. Il y a de la marge pour en faire d’autres.

Y a-t-il eu des avions ratés à Airbus?

Nous avons fait une erreur de diagnostic sur l’A340, et j’y ai participé. On a pensé que l’A330, bimoteur, serait un avion de niche, et que la version quadrimoteur A340 serait le best-seller, car, au début des années 1990, il était impossible de survoler les océans avec un bimoteur. La réglementation ETOPS, qui autorise les bimoteurs à traverser le Pacifique ou l’Atlantique, a fait de l’A340 l’avion de niche, plus coûteux à exploiter du fait de ses quatre réacteurs. L’A330 est devenu le cheval de trait des compagnies, que nous vendons encore beaucoup du fait de son extraordinaire fiabilité, malgré l’arrivée du B787 et de l’A350.

Partagez-vous cet avis du consultant Roland Berger quand il dit qu’un des atouts de l’Allemagne est que "les syndicats n’exagèrent pas"?

Ce n’est pas mon vocabulaire. Le syndicat allemand, syndicat unique chez nous, est dans la négociation, et il veut qu’elle aboutisse, car un syndicat allemand qui ne trouve pas un accord a failli. Mais il a des moyens de pression très forts. Quand on a fait le plan Power 8, ils nous ont fait grimper au cocotier en nous disant que, faute d’accord rapide (et ce fut plus long qu’en France), ils iraient au tribunal et qu’on en aurait pour trois ou quatre ans. Alors, quand on me dit qu’il est plus facile de supprimer des emplois en Allemagne qu’en France, je souris! Il faut faire avec notre culture.

On vous a beaucoup reproché d’avoir fait de la cogestion à la SNCF…

Cogestion? Je ne suis pas sûr que le mot soit approprié. J’ai malheureusement été amené à réduire l’emploi de manière significative, et j’ai été confronté pour cela à des conflits sociaux très durs! Cela dit, je respecte les syndicats.

Est-il plus difficile de diriger la SNCF qu’EADS?

Les deux postes sont incomparables. Il y a plus de stress quotidien à la SNCF, le stress de l’actualité: les accidents de personnes, le train qui reste trois heures dans un tunnel, les intempéries, les grèves, les engueulades de clients sur les quais lors des coups durs… Guillaume Pepy fait ça à merveille, moi, j’ai fait ma part. A EADS, nous avons le stress des programmes et l’adrénaline de compétitions commerciales extrêmement dures.

L’Europe est-elle trop ouverte aux quatre vents, trop naïve dans la mondialisation?

Cela mérite d’être regardé de près. Il faut pratiquer la réciprocité: être ouvert avec les pays ouverts, et l’être moins avec ceux qui ne laissent pas pénétrer leurs marchés. L’épisode des ravitailleurs –où l’A 330 MRTT a été écarté par le Pentagone alors qu’il est le meilleur, personne ne le conteste– n’est pas insignifian : dans la défense, il faut dire aux Américains les choses de manière assez claire. Mais l’Europe est désunie sur ces sujets: il n’y a qu’à voir le nombre de pays qui ont acheté le F-35[chasseur de l’américain Lockheed Martin, ndlr].

Comment expliquer qu’un tiers des Français reste hostile à l’économie de marché?

C’est vrai qu’un tiers de l’électorat marque sa rébellion par rapport au "système". Il n’y croit plus. Il y a en France une demande d’égalité et de justice plus forte qu’ailleurs. Il faut la prendre en compte. Nous ne sommes pas un pays anglo-saxon. La mondialisation est un phénomène irréversible. Il faut mener la guerre économique, sans naïveté.

Etes-vous pessimiste pour la France?

Absolument pas. Prenons le pays tel qu’il est. Il ne sert à rien de rêver d’un pays idéal, avec les qualités du Royaume-Uni pour la finance, de l’Allemagne pour l’industrie et de la Suède pour le social. Il y a un potentiel énorme, le pays est riche. A nous de le mettre en valeur.

Propos recueillis par Vincent Beaufils et Vincent Lamigeon

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Louis Gallois succède à René Ricol au Grand Emprunt

http://www.challenges.fr/top-news/20120606.REU8025/louis-gallois-succede-a-rene-ricol-au-grand-emprunt.html

Louis Gallois va gérer le grand emprunt

http://www.challenges.fr/economie/20120606.CHA7131/louis-gallois-pour-gerer-le-grand-emprunt.html

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  • 2 semaines plus tard...

Salut ,

Deux millions de poulets en grève de la faim :

http://www.letelegramme.com/ig/generales/economie/doux-le-drian-propose-une-garantie-de-la-region-bretagne-a-un-pool-bancaire-15-06-2012-1739687.php

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Invité silvio_de_nice

http://www.boursier.com/actualites/economie/l-agence-egan-jones-est-tres-pessimiste-pour-la-france-15417.html

Plus petite et moins influente que ses consoeurs Moody's, Standard & Poor's ou Fitch, l'agence de notation financière américaine Egan-Jones vient de tailler dans la note de la dette française ! La France ne mérite ainsi même plus de figurer dans les pays notés "A" (la meilleure catégorie d'investissement), mais est désormais considérée comme un placement de qualité moyenne, à "BBB+" par Egan-Jones qui a, de plus, assorti sa note d'une perspective négative... L'agence de notation justifie sa décision en expliquant qu'elle anticipe dans les prochains mois la fin de l'indulgence des marchés financiers vis-à-vis de la France.
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Quelques nouvelles de Seafrance

Le tribunal de commerce de Paris a décidé le 11 juin 2012 d'attribuer à Eurotunnel les trois navires de la compagnie de ferries SeaFrance placée en liquidation judiciaire.

http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/54768/le-tribunal-de-commerce-attribue-les-navires-de-seafrance-a-eurotunnel.html

La reprise des actifs de SeaFrance par Eurotunnel, pour 65 millions d'euros, change la donne sur le détroit. Eurotunnel annonce une reprise de service pour deux navires dès août 2012, mais plusieurs problèmes restent posés.

http://www.wk-transp...ransmanche.html

Modifié par Class66220
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La pensée du jour... :Smiley_32:

Quand j'entends les éditorialistes patentés (Aphatie, FOG, GG de RMC, et autres économistes larbins)

dire qu'on va tous être ruinés parce qu'on va taxer quelques très gros revenus à 75%

(mais Aphatie doit se faire au moins 20 SMIC)

j'ai l'impression que la philosophie fortement marqué d'humanisme de ces mecs là

peut se résumer à la formule suivante :

"quand on est pauvre, mieux vaut habiter à côté des riches

parce que les poubelles sont pleines."

  • J'adore 4
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CGT: la succession de Thibault reportée à septembre 2012

Mardi 19 juin 2012, la direction de la CGT a décidé "par consensus", de reporter à la rentrée de septembre le débat sur la succession de Bernard Thibault et en fixera alors "le calendrier" et "les procédures", a indiqué la CGT.

Aucun candidat consensuel n'a émergé pour prendre la suite de Bernard Thibault, qui dirige la CGT depuis 13 ans.

A lire ici :

http://www.lefigaro....a-septembre.php

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/06/19/le-debat-sur-la-succession-de-thibault-a-la-tete-de-la-cgt-reporte-a-la-rentree_1721402_3234.html

Modifié par Pascal 45
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La pensée du jour... :Smiley_32:

Quand j'entends les éditorialistes patentés (Aphatie, FOG, GG de RMC, et autres économistes larbins)

Je crois que le "chien de garde" champion du monde actuellement est sans conteste Frantz Olivier Gisbert ...A vomir ..

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Je crois que le "chien de garde" champion du monde actuellement est sans conteste Frantz Olivier Gisbert ...A vomir ..

Voir le billet de Bruno Masure a ce sujet :

Bruno Masure : "Quelqu'un peut-il abattre ce tocard de FOG ?"

http://fr.tv.yahoo.com/news/bruno-masure-quelquun-peut-abattre-tocard-fog-082400058.html

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D'ailleur voiçi son avis sur les journalistes de TF1 et France 2 (il a travaillé pour ces 2 chaines au JT)

http://www.dhnet.be/...ournalisme.html

Bruno Masure : “Pernaut est la honte du journalisme”

Nous avons demandé à Bruno Masure de juger les présentateurs de JT français…

PARIS Bruno Masure n’est pas spécialement tendre avec ses anciens confrères du 20 h. Dans son livre, il fait dire à Sarkozy, au lendemain d’une interview avec David Pujadas, que le présentateur du JT de France 2 est un “journaliste de coopération” . L’occasion était trop belle : nous en avons profité pour passer le Paf en revue avec Masure ! Et il n’a pas sa langue en poche.

David Pujadas : “Je trouve qu’il fait un peu trop de place à mon goût au fait divers sordide. On sent qu’il y a une course aux télé-spectateurs. Mais il fait un JT correct.”

Laurent Delahousse : “J’aime beaucoup. C’est mon préféré. Il fait des efforts pour renouveler le JT, avec de nouvelles séquences.”

Marie Drucker : “Elle est un peu trop sérieuse. Elle se la pète comme on dit, même si les gens qui la connaissent disent qu’elle peut être une déconneuse. Mais sur le plan journalistique, c’est très propre. Il n’y a rien à redire.”

Jean-Pierre Pernaut : “C’est la honte de la profession. Il est tout sauf un journaliste. Je donne parfois des conférences et j’explique que pour faire un vrai JT, il suffit de faire exactement l’inverse de Pernaut et ça sera à peu près correct. Il ne traite absolument pas l’info.”

Laurence Ferrari : “Je ne suis pas fan. Elle gagne très bien sa vie. Mais le rapport qualité/prix n’y est pas. Je la trouve transparente.”

Claire Chazal : “Je la préfère largement à Ferrari. Claire Chazal a un passé de journaliste économique. Là où j’ai le sentiment que Ferrari ne comprend pas toujours de quoi elle parle, ce n’est pas le cas avec Chazal, même si son interview de DSK était très mauvaise.”

D'ailleurs vous pouvez chercher sur Google, FOG, Apathe, il les tacle aussi sec.

Modifié par Class66220
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Le Smic augmentera de 2% le 01/07/2012

Le Smic sera revalorisé de 2% au 1er juillet, en tenant compte d'un taux d'inflation de 1,4 % calculé entre novembre 2011 et mai 2012, auquel s'ajoute un "coup de pouce" de 0,6 %, a-t-on appris mardi de source proche du dossier ...

A lire ici :

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/06/26/97002-20120626FILWWW00402-le-smic-augmentera-de-2-au-1er-juillet.php

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C'est pas bon pour l'emploi ça, on va en perdre des dizaines de milliers nonmais

:jesuisdehors: :Smiley_39:

Modifié par bougie
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Et là on en avait gagné des emplois avec le bouclier fiscal en 2011 ? ...

Dépêche de presse de ce matin...

Le ministre délégué au Budget a confirmé mardi que le "bouclier fiscal" avait encore coûté à l'Etat français près de 800 millions d'euros en 2011, année de sa suppression en contrepartie d'un allègement de l'impôt sur la fortune (ISF).

C'est même l'année où ce plafonnement du montant des impôts payés par un contribuable a coûté le plus cher selon une note de Bercy, qui précise que 13.000 personnes en ont bénéficié l'an dernier, pour un montant restitué moyen de 56.400 euros, lui aussi nettement en hausse.

Selon le document et remis en avril à la ministre du Budget d'alors, Valérie Pécresse, par un haut responsable de Bercy, l'Etat a restitué en 2011 735 millions d'euros aux Français les plus fortunés, dont une part sous forme de déductions d'ISF, soit 100 millions de plus qu'en 2010.

56.400 euros : 21,50 = 2623 augmentation de smic... *13.000 = 34.099.000 augmentations de smic mensuel : 12 = 2.841.583 augmentations annuelles du smic...

J'ai refait deux fois mes calculs, j'croyais m'être planté...

56.400 ça correspond à 4.700 euros par mois...

Tout est relatif quoi...

ça dépend de quel bout de la lorgnette on regarde...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Commentaires après l'annonce d'une augmentation du smic à 2% dont 0,6% de coup de pouce...

"C'est une augmentation qui ne va pas dans le sens que nous préconisions mais c'est une hausse raisonnable", a estimé Benoît Roger-Vasselin, président de la commission sociale du Medef. "Nous avons le sentiment que le gouvernement a tenu compte de nos inquiétudes sur la situation des entreprises.""La seule chose qui nous préoccupe c'est l'impact sur l'emploi." "Nous nous inclinons devant cette décision, c'est le respect de la démocratie", a-t-il dit.

Le représentant de la CGT, Paul Fourier, a lui évoqué "une très forte déception" et "un très mauvais signe envoyé aux salariés qui se sont notamment exprimés en faveur de François Hollande". "Le chiffre qu'il faut retenir, c'est 0,6 % et ça représente une baguette de pain par semaine."

Pour lui, l'argument du risque de perte de compétitivité, engendrée par une hausse du smic (défendu par l'UMP Bernard Accoyer) doit être balayé car "75 % des salariés au smic ne sont pas sur des secteurs exposés à la concurrence internationale." "On a l'impression qu'il y a eu ces derniers jours de fortes pressions du patronat", "les attentes sociales n'ont pas trouvé de réponse avec cette annonce du jour".

Pour Marie-Alice Medeuf-Andrieu, représentante de Force ouvrière, cette décision "va engendrer frustration et mécontentement chez les salariés qui attendaient une mesure plus significative". "Nous considérons, en plus, que le reste est un à valoir sur janvier 2013, ce qui veut dire qu'en janvier, la revalorisation sera 'peanuts'." "C'est une déception et nous sommes persuadés qu'une revalorisation significative permettrait de relancer la croissance."

Elle a indiqué que FO proposera à la conférence sociale de juillet de "revoir le calcul de revalorisation du smic en introduisant un indice de mesure du pouvoird'achat", plus juste, selon elle, que l'indice d'inflation "qui ne correspond pas aupouvoir d'achat".

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Je ne suis pas économiste aussi au delà du simple effet mécanique, j'ai bien du mal à savoir si oui ou c'est positif d'augmenter le smic.

Ce que je constate en revanche c'est que le retour à la réalité est brutal après une campagne ou certains ont espéré des miracles.

Et ce n'est qu'un début car quand un gouvernement annonce qu'il va se serrer la ceinture ça veut dire qu'il se prépare à nous demander un gros effort.

La différence c'est qu'avant on nous demandait l'effort sans pour autant montrer l'exemple. Là ça fera aussi mal financièrement mais moralement, ça passera (peut être) un peu mieux.

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La différence c'est qu'avant on nous demandait l'effort sans pour autant montrer l'exemple. Là ça fera aussi mal financièrement mais moralement, ça passera (peut être) un peu mieux.

La politique , c'est aussi beaucoup de com'

Ce n'est pas pour rien si Hollande a commencé son quinquénat en communicant sur "l'exemplarité" notamment avec des diminutions sur les revenus des membres du gouvernement .

On a pas fini d'en chi.r avec un parti de gauche à droite ( voir ce qui s'est fait en Allemagne , Grèce , Espagne ......)

Pour ceux qui seraient étonnés , déçus , je ne comprends pas , je les avais prévenu :Smiley_04:

Mais fallait voter utile .

Aujourd'hui , on nous parle d'austérité .

Cela signifie qu'ils n'ont pas l'intention de nous sortir de cette spirale infernale .

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Pas d'augmentation salariale = moins d'argent dans le porte-monnaie (les prix augmentants) = moins de dépenses = moins de fabrications = plus de chomage ... :Smiley_63:

Sur le principe; oui.

Le probleme est qu'on ne fabrique plus grand chose ne France regarde les rayons des produits bruns (TV - HIFI - Informatique), les produits blancs (lave-linge, lave vaisselle, refrigerateurs ...) l'habillement et tu me dira quel est la proportion de produits fabriqués en France, ça ne doit pas etre lourd. Ce n'est pas ce genre de mesure qui va relancer la consommation et la production. Car le probleme serait d'abord de faire revenir une partie de la production en France.

De plus on s'éloigne de plus en plus de ce qu'il a laissé croire aux électeurs et nous ne somme qu'au debut du quinquénat .....

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Finalement avec tout ça, c'est le discours de Bayrou qui est en train de passer. Vous savez ce qu'on dit et c'est un verset biblique d'ailleurs : "Nul n'est prophète en son pays". Finalement on pourrait rapprocher François Bayrou à Jésus de Nazareth qui deviendrait François du Bearn. Une chose est sure, le peuple dit vouloir un changement radical mais au moment de mettre le bulletin dans l'urne, il a peur du changement. C'est toujours la même histoire, on est pas à accepter que quelqu'un nous dise une vérité qui dérange ou que quelqu'un mette en oeuvre quelque chose de complètement différent.

Voici un petit billet trouvé sur Mediapart :

http://blogs.mediapa...rou-l-incompris

Modifié par Class66220
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Invité
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