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Le Web des Cheminots

Régimes Spéciaux: Vers Un Décret ?


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Dans ce cas là il se renie puisque ce n'est pas le régime général qui est proposé comme base mais celui de la fonction publique....

Dans un premier tps et en 2008 ce sera quoi la différence entre la fonction publique et le privé ? si il renégocie à nouveau comme prévue ?

Le gouvernement est malin ,il a retenue certaine leçon et il sais très bien que des gros mouvements sociaux comme 95 ne peuvent pas arriver tout les 6 mois ,voir même tout les ans....

Alors même si il y'a 6 semaines de grèves à partir d'octobre et que la réforme passe ,tu ne referas pas encore à nouveau 4 semaines de grèves en juin suivant pour défendre le régime de la fonction publique au quel tu serais astreint éventuellement...

(enfin la probabilité sera faible ,lassitude aidant...).

Le meilleur exemple c'est RFF après 95 pour transférer la fameuse "dette" de la sncf...(Personne n'a bouger....).

En deux fois ça rentre mieux....oups mdrmdr

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- nous sommes en phase de négociation (la présidente / le ministre) pour - sur les bases ci-dessus - voir ce qui peut se discuter : en l'occurence il est évident (ou alors c'est la guerre et j'en serai) que l'on ne va pas annoncer à des agents à un ou deux ans de la retraite qu'ils en reprennent pour 5 ans ! J'imagine que, comme pour les réformes Balladur puis Fillon, tout cela va être étalé dans le temps ; la logique voudrait que cela soit en fonction de l'année de naissance ou du nombre d'années déjà cotisées

- la pénibilité sera prise en compte : entre les réformes précédentes et les propos du principal instigateur de la chose il n'y a pas ambiguité (enfin je crois)

Il semble acquis que le passage de 37,5 ans a 40 ans de cotisations seras étalé sur 5 ans. (y'en a deux qui suivent!... mdrmdr )

Philippe

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Qui es-tu pour dire que , je te cite, je suis un "refoulé" ? Pour toi, le fait de dire tout haut des vérités ( que nombre de mes collègues tous services confondus ) pensent de la traction, c'est être "refoulé" ??? J'avoue ne pas comprendre ! Peux-être pourras-tu m'expliquer pourquoi un syndicat corporatiste où adhère la 1/2 des ADC ne se mêle pas au mouvement du 18.10.07 ???? Nos dirigeants ne sont pas dupent et savent comment fonctionne ce service de la SNCF : ma gueule d'abord et les autres si j'ai le temps !!!!! Je persiste et je signe !!!!! N'en déplaise aux barons du rail !!!!

Allez je vais t'expliquer pourquoi un syndicat corporatiste où adhère la 1/2 des ADC ne se mêle pas au mouvement du 18.10.07 :

Plutot que d'annoncer dès maintenant qu'elle partira en grève avec les autres OS le 18, la FGAAC a choisi d'attendre d'être reçue par le ministre des transports et par la direction de notre entreprise.

Ou est le mal ? avoir toutes les infos en main pour savoir à quelle sauce ils veulent nous bouffer, est ce une abbération ? Analyser les propositions faites, est ce une stupidité ?

D'autre part , pose toi donc quelques questions :

Pourquoi attendre le 18, soit presque un mois, pour faire grève ? hé bien , comme la FGAAC ,les autres OS attendent aussi d'être reçues par le ministre des transports et par la direction de notre entreprise pour avoir les infos. La seule différence c'est que la FGAAC n'a pas "hurler aux loup" avant de voir la meute.

encore pourquoi un mois d'attente ? peux tu me donner la date de la finale de la coupe du monde de rugby.....................................

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Je confirme c'est bien Bayrou qui l'avait proposé en sous-entendant que c'était le meilleur moyen de réformer le statut en le laissant le statut actuel a celui qui l'on et en en mettant un nouveau en place pour les futurs embauchés...De fait le statut changera (ou disparaitra) de lui-même avec le tps :

1 avantage ,ça limitait de fait le risque de conflit ( essayez de mobiliser une masse sociale avec une grève longue pour des gens qui ne sont encore embauchés...)

1 inconvénient son cout ,et surtout ça plaisait pas au medef et à une certaine droite "conservatrice"...Mais bon avec 15 milliards de cadeaux fiscaux ,y'avais déjà de quoi voir venir...

Faut pas se leurrer Bayrou étant un politique (du milieu en plus...)...Le nouveau statut aurait été certainement le régime général.

C'est le seul qui avait été assez précis sur ce dossier avec Sarkosy...Qui lui la toujours dis suppression à terme pur et simple et tout le monde au régime général...Pour une soit-disante équitée...(qui me fait bien rire...malheureusement...).Ségolène et le PS par contre je cherche encore à savoir ce qu'il avait proposé sur ce sujet ? Mais il mesemble que c'était plus proche de Sarko que de Bayrou...

Malheureusement, comme pour d'autres dossiers importants, elle a toujours été dans le vague ce qui je pense, est une des explications de son échec.

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Bonjours à tous

Ce qui me parait symptomatique à lire les réponses de certains c'est qu'ils ont pour le moins une conception assez bizarre du progrès social.

En gros : "L'on nous demande de faire des efforts, donc nous devons nous adapter puisque c'est l'évolution des choses ! "

Aucune reflexion sur la pertinence du modèle économique qui régit nos vies, aucune analyse sur les rapports de pouvoirs dans la société, aucun avis sur le rôle de chaque citoyen dans une société dite démocratique. Quant a l'histoire de l'évolution de l'humanité, beaucoup semble soit ne pas la connaitre soit l'avoir oublié.

Il ne reste qu'une morne résignation comptable de petits consommateurs qui ne voient que les problèmes sociétaux que sous l'angle individuellement égoiste du : " comment cela va me toucher et comment vais je pouvoir tirer mon épingle du jeu ".

A ce jeu du "penser petit" nous ne pouvons bien évidement que reculer socialement puisque les tenants du pouvoir économique, qui sont aussi les possesseurs du pouvoir médiatique, nous impose ainsi leur vision du monde tel qu'il doit être. leurs stratégies de division et de désinformation des salariés fonctionne puisque l'on trouve une partie du salariat qui approuve leur politique de régression.

Ce qui est triste, c'est de constater ainsi l'incapacité d'une partie du peuple à se projeter dans un avenir différent. De tout temps tout progrès social est venu de ceux qui étaient en capacité de penser l'avenir différement des autres.

Nous sommes certes actuellement en manque d'utopie collective de remplacement et le capitalisme semble dominer la planète. Mais comment ne pas voir que s'il n'y a pas de réaction collective la régression sociale est sans fin. Le capitalisme prédateur ne possède d'autre finalité que le profit pour le profit, et que sans résistance forte de la part des salariés et de leurs représentants, politiques ou syndicaux, la marchandisation de tous et de tout nous conduira à devenir des esclaves consentant des multinationales qui gèreront l'économie mondiale pour le plaisir hégémonique de quelques uns.

Le dossier des retraites est significatif de cette régression. Les premières caisses d'asisstance ouvrières ont précédé la naissance du régime général en 1945, et si le législateur ne les à pas unifié avec le régime général à cet époque, c'est qu'il visait à terme l'alignement du régime général sur ces régimes particuliers.

le capitalisme évoluant et la prédominance de la droite dans le paysage politique français à fait que l'objectif initial d'alignement par le haut à été mis aux oubliettes.

C'est avec une nouvelle évolution du capitalisme et l'apparition du chomage que le problème du financement des retraites apparait. Or, après 1968 le patronat qui à eu peur de la réaction des salariés, mute du CNPF au MEDEF et s'organise différement, plus structuré, porté politiquement par de grosses entreprises tranversales c'est lui qui initie les politiques sociales actuelles.

Alors que la france est de plus en plus riche, l'on redistribue de moins en moins et l'on demande aux salariés de plus en plus d'efforts. Depuis le dernier progrès social mis en place par la gauche de la retraite à 60ans et le premier constat de la problématique du financement des retraites, le Medef à tout fait pour limiter la redistribution sociale des richesses produites au prétexte de la compétitivité des entreprises. Bilan des courses tout ce qui à été pris aux salariés n'a servis qu'a rémunérer le capital ( 160 Milliards € / an ) et se sont les salariés qui ce sont vu imposés des régressions sociales en 1993, 1995, 2003 et 2006.

Et maintenant la régression continue, les seules solutions "raisonnables" que l'on nous propose sont celles qui jouent sur le niveau de la pension et la durée de cotisation. De l'augmentation de la redistribution des richesses produites vers la solidarité générationnelle : que nenni, le Medef s'y oppose vigoureusement.

Face à la faillite des politiques et à la compromission de certains syndicats il convient que le salarié reprenne un peu plus au sérieux son rôle de citoyen et comprenne que c'est sa faiblesse d'engagement qui fait la faiblesse des parti comme des syndicats.

Chaque citoyen doit se battre pour defendre ses convictions sans penser à ce qu'il risque de perdre, car sinon il n'est que l'esclave des besoins qu'on lui à injectés. Il doit retrouver le sens de la reflexion critique envers tout pouvoir économique et politique, dénoncer les mensonges et les fausses équités, réclamer la vraie justice sociale pour tous et pour tout sujets.

Or en la matière, la justice social, ce n'est pas le nivellement vers le bas. Nivellement qui ne vise en fait à terme qu'à réduire les pensions issues de la répartition sur le minimum vieillesse et à ouvrir toute grande la porte à la capitalisation avec tout les risque que cela comporte pour les salariés et tout les bénéfices que cela entraine pour les gestionnaires capitalistes.

Dans toutes les société humaines il y a des rapports de forces qui s'installent, refuser de les voirs et d'y participer c'est donner à ceux qui sont adversaires de vos choix plus de poids. je ne crois pas qu'il y ait en france une majorité de salarié qui soient pour la régression sociale. Par contre je crois qu'il y en a une majorité, aveuglé par la société de consommation, qui à laissé son esprit critique être formaté par la télévision productrice de temps de cerveau disponible pour la publicité politique. Ce qui à permis au conducator de l'élysée d'être élu.

Les salariés ont tort de tout attendre de ceux qui sont censé les représenter ils doivent se prendre en charge en tenant compte de cette phrase de Bertold Brecht : " Ceux qui ne participent pas à la lutte participent à la défaite."

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Bonjours à tous

Ce qui me parait symptomatique à lire les réponses de certains c'est qu'ils ont pour le moins une conception assez bizarre du progrès social.

En gros : "L'on nous demande de faire des efforts, donc nous devons nous adapter puisque c'est l'évolution des choses ! "

Aucune reflexion sur la pertinence du modèle économique qui régit nos vies, aucune analyse sur les rapports de pouvoirs dans la société, aucun avis sur le rôle de chaque citoyen dans une société dite démocratique. Quant a l'histoire de l'évolution de l'humanité, beaucoup semble soit ne pas la connaitre soit l'avoir oublié.

Il ne reste qu'une morne résignation comptable de petits consommateurs qui ne voient que les problèmes sociétaux que sous l'angle individuellement égoiste du : " comment cela va me toucher et comment vais je pouvoir tirer mon épingle du jeu ".

A ce jeu du "penser petit" nous ne pouvons bien évidement que reculer socialement puisque les tenants du pouvoir économique, qui sont aussi les possesseurs du pouvoir médiatique, nous impose ainsi leur vision du monde tel qu'il doit être. leurs stratégies de division et de désinformation des salariés fonctionne puisque l'on trouve une partie du salariat qui approuve leur politique de régression.

Ce qui est triste, c'est de constater ainsi l'incapacité d'une partie du peuple à se projeter dans un avenir différent. De tout temps tout progrès social est venu de ceux qui étaient en capacité de penser l'avenir différement des autres.

Nous sommes certes actuellement en manque d'utopie collective de remplacement et le capitalisme semble dominer la planète. Mais comment ne pas voir que s'il n'y a pas de réaction collective la régression sociale est sans fin. Le capitalisme prédateur ne possède d'autre finalité que le profit pour le profit, et que sans résistance forte de la part des salariés et de leurs représentants, politiques ou syndicaux, la marchandisation de tous et de tout nous conduira à devenir des esclaves consentant des multinationales qui gèreront l'économie mondiale pour le plaisir hégémonique de quelques uns.

Le dossier des retraites est significatif de cette régression. Les premières caisses d'asisstance ouvrières ont précédé la naissance du régime général en 1945, et si le législateur ne les à pas unifié avec le régime général à cet époque, c'est qu'il visait à terme l'alignement du régime général sur ces régimes particuliers.

le capitalisme évoluant et la prédominance de la droite dans le paysage politique français à fait que l'objectif initial d'alignement par le haut à été mis aux oubliettes.

C'est avec une nouvelle évolution du capitalisme et l'apparition du chomage que le problème du financement des retraites apparait. Or, après 1968 le patronat qui à eu peur de la réaction des salariés, mute du CNPF au MEDEF et s'organise différement, plus structuré, porté politiquement par de grosses entreprises tranversales c'est lui qui initie les politiques sociales actuelles.

Alors que la france est de plus en plus riche, l'on redistribue de moins en moins et l'on demande aux salariés de plus en plus d'efforts. Depuis le dernier progrès social mis en place par la gauche de la retraite à 60ans et le premier constat de la problématique du financement des retraites, le Medef à tout fait pour limiter la redistribution sociale des richesses produites au prétexte de la compétitivité des entreprises. Bilan des courses tout ce qui à été pris aux salariés n'a servis qu'a rémunérer le capital ( 160 Milliards € / an ) et se sont les salariés qui ce sont vu imposés des régressions sociales en 1993, 1995, 2003 et 2006.

Et maintenant la régression continue, les seules solutions "raisonnables" que l'on nous propose sont celles qui jouent sur le niveau de la pension et la durée de cotisation. De l'augmentation de la redistribution des richesses produites vers la solidarité générationnelle : que nenni, le Medef s'y oppose vigoureusement.

Face à la faillite des politiques et à la compromission de certains syndicats il convient que le salarié reprenne un peu plus au sérieux son rôle de citoyen et comprenne que c'est sa faiblesse d'engagement qui fait la faiblesse des parti comme des syndicats.

Chaque citoyen doit se battre pour defendre ses convictions sans penser à ce qu'il risque de perdre, car sinon il n'est que l'esclave des besoins qu'on lui à injectés. Il doit retrouver le sens de la reflexion critique envers tout pouvoir économique et politique, dénoncer les mensonges et les fausses équités, réclamer la vraie justice sociale pour tous et pour tout sujets.

Or en la matière, la justice social, ce n'est pas le nivellement vers le bas. Nivellement qui ne vise en fait à terme qu'à réduire les pensions issues de la répartition sur le minimum vieillesse et à ouvrir toute grande la porte à la capitalisation avec tout les risque que cela comporte pour les salariés et tout les bénéfices que cela entraine pour les gestionnaires capitalistes.

Dans toutes les société humaines il y a des rapports de forces qui s'installent, refuser de les voirs et d'y participer c'est donner à ceux qui sont adversaires de vos choix plus de poids. je ne crois pas qu'il y ait en france une majorité de salarié qui soient pour la régression sociale. Par contre je crois qu'il y en a une majorité, aveuglé par la société de consommation, qui à laissé son esprit critique être formaté par la télévision productrice de temps de cerveau disponible pour la publicité politique. Ce qui à permis au conducator de l'élysée d'être élu.

Les salariés ont tort de tout attendre de ceux qui sont censé les représenter ils doivent se prendre en charge en tenant compte de cette phrase de Bertold Brecht : " Ceux qui ne participent pas à la lutte participent à la défaite."

Bonjour

BRAVO vous avez tout dit

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Bonjours à tous

Ce qui me parait symptomatique à lire les réponses de certains c'est qu'ils ont pour le moins une conception assez bizarre du progrès social.

En gros : "L'on nous demande de faire des efforts, donc nous devons nous adapter puisque c'est l'évolution des choses ! "

Aucune reflexion sur la pertinence du modèle économique qui régit nos vies, aucune analyse sur les rapports de pouvoirs dans la société, aucun avis sur le rôle de chaque citoyen dans une société dite démocratique. Quant a l'histoire de l'évolution de l'humanité, beaucoup semble soit ne pas la connaitre soit l'avoir oublié.

Il ne reste qu'une morne résignation comptable de petits consommateurs qui ne voient que les problèmes sociétaux que sous l'angle individuellement égoiste du : " comment cela va me toucher et comment vais je pouvoir tirer mon épingle du jeu ".

A ce jeu du "penser petit" nous ne pouvons bien évidement que reculer socialement puisque les tenants du pouvoir économique, qui sont aussi les possesseurs du pouvoir médiatique, nous impose ainsi leur vision du monde tel qu'il doit être. leurs stratégies de division et de désinformation des salariés fonctionne puisque l'on trouve une partie du salariat qui approuve leur politique de régression.

Ce qui est triste, c'est de constater ainsi l'incapacité d'une partie du peuple à se projeter dans un avenir différent. De tout temps tout progrès social est venu de ceux qui étaient en capacité de penser l'avenir différement des autres.

Nous sommes certes actuellement en manque d'utopie collective de remplacement et le capitalisme semble dominer la planète. Mais comment ne pas voir que s'il n'y a pas de réaction collective la régression sociale est sans fin. Le capitalisme prédateur ne possède d'autre finalité que le profit pour le profit, et que sans résistance forte de la part des salariés et de leurs représentants, politiques ou syndicaux, la marchandisation de tous et de tout nous conduira à devenir des esclaves consentant des multinationales qui gèreront l'économie mondiale pour le plaisir hégémonique de quelques uns.

Le dossier des retraites est significatif de cette régression. Les premières caisses d'asisstance ouvrières ont précédé la naissance du régime général en 1945, et si le législateur ne les à pas unifié avec le régime général à cet époque, c'est qu'il visait à terme l'alignement du régime général sur ces régimes particuliers.

le capitalisme évoluant et la prédominance de la droite dans le paysage politique français à fait que l'objectif initial d'alignement par le haut à été mis aux oubliettes.

C'est avec une nouvelle évolution du capitalisme et l'apparition du chomage que le problème du financement des retraites apparait. Or, après 1968 le patronat qui à eu peur de la réaction des salariés, mute du CNPF au MEDEF et s'organise différement, plus structuré, porté politiquement par de grosses entreprises tranversales c'est lui qui initie les politiques sociales actuelles.

Alors que la france est de plus en plus riche, l'on redistribue de moins en moins et l'on demande aux salariés de plus en plus d'efforts. Depuis le dernier progrès social mis en place par la gauche de la retraite à 60ans et le premier constat de la problématique du financement des retraites, le Medef à tout fait pour limiter la redistribution sociale des richesses produites au prétexte de la compétitivité des entreprises. Bilan des courses tout ce qui à été pris aux salariés n'a servis qu'a rémunérer le capital ( 160 Milliards € / an ) et se sont les salariés qui ce sont vu imposés des régressions sociales en 1993, 1995, 2003 et 2006.

Et maintenant la régression continue, les seules solutions "raisonnables" que l'on nous propose sont celles qui jouent sur le niveau de la pension et la durée de cotisation. De l'augmentation de la redistribution des richesses produites vers la solidarité générationnelle : que nenni, le Medef s'y oppose vigoureusement.

Face à la faillite des politiques et à la compromission de certains syndicats il convient que le salarié reprenne un peu plus au sérieux son rôle de citoyen et comprenne que c'est sa faiblesse d'engagement qui fait la faiblesse des parti comme des syndicats.

Chaque citoyen doit se battre pour defendre ses convictions sans penser à ce qu'il risque de perdre, car sinon il n'est que l'esclave des besoins qu'on lui à injectés. Il doit retrouver le sens de la reflexion critique envers tout pouvoir économique et politique, dénoncer les mensonges et les fausses équités, réclamer la vraie justice sociale pour tous et pour tout sujets.

Or en la matière, la justice social, ce n'est pas le nivellement vers le bas. Nivellement qui ne vise en fait à terme qu'à réduire les pensions issues de la répartition sur le minimum vieillesse et à ouvrir toute grande la porte à la capitalisation avec tout les risque que cela comporte pour les salariés et tout les bénéfices que cela entraine pour les gestionnaires capitalistes.

Dans toutes les société humaines il y a des rapports de forces qui s'installent, refuser de les voirs et d'y participer c'est donner à ceux qui sont adversaires de vos choix plus de poids. je ne crois pas qu'il y ait en france une majorité de salarié qui soient pour la régression sociale. Par contre je crois qu'il y en a une majorité, aveuglé par la société de consommation, qui à laissé son esprit critique être formaté par la télévision productrice de temps de cerveau disponible pour la publicité politique. Ce qui à permis au conducator de l'élysée d'être élu.

Les salariés ont tort de tout attendre de ceux qui sont censé les représenter ils doivent se prendre en charge en tenant compte de cette phrase de Bertold Brecht : " Ceux qui ne participent pas à la lutte participent à la défaite."

Il y a eu cependant une erreur considérable commmise à l'origine du dispositif du financement du système social, c'est d'en asseoir les ressources sur les salaires, ce qui en alourdit la charge et a pénalisé progressivement les entreprises de main d'oeuvre plus que les autres, et les seuls salariés.... mais déjà à cette époque les industriels , les rentiers comme les actionnaires ont préservé leurs profits... Si nous avions une assiette de cotisations beaucoup plus large, type CSG, pour financer les retraites comme le sécu ou la chômage, nous n'en serions pas l

Quelle idée bizarre de taxer une dépense (masse salariale) plutôt que des ressources, comme c'est d'ailleurs le cas pour le salarié.

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Il y a eu cependant une erreur considérable commmise à l'origine du dispositif du financement du système social, c'est d'en asseoir les ressources sur les salaires, ce qui en alourdit la charge et a pénalisé progressivement les entreprises de main d'oeuvre plus que les autres, et les seuls salariés.... mais déjà à cette époque les industriels , les rentiers comme les actionnaires ont préservé leurs profits... Si nous avions une assiette de cotisations beaucoup plus large, type CSG, pour financer les retraites comme le sécu ou la chômage, nous n'en serions pas l

Quelle idée bizarre de taxer une dépense (masse salariale) plutôt que des ressources, comme c'est d'ailleurs le cas pour le salarié.

Ce n'est pas une erreur mais un choix qui à été pris en toute conscience à une époque ou le chomage, la mondialisation, les délocalisations et la financiarisation du capitalisme n'existait pas.

Les salariés et leurs représentants n'envisageaient pas les évolutions négatives futures et ne pensaient pas que le chomage de masse puisse exister.

Et puis dans ta réflexion financière, il faut la pousser plus loin l'analyse sans penser comme un patron. Les cotisations sociales ne sont pas des "charges" mais du salaire différé et que le salaire n'est pas une charge, mais un partage de la valeur ajouté créée par le travail. Le patron n'est pas automatiquement, le propriétaire de la valeur ajouté qui fait preuve d'altruisme, en redistribuant une part de celle-ci sur les cotisations sociales. Demandons plutôt aux salariés quelle type de redistribution ils désirent plutôt que leur dire ce qui est "raisonnable" de ce qui ne l'est pas.

Il s'avère évident que un contexte de financiarisation du capital avec l'évolution de l'automatisation de la production, de la délocalisation de l'emploi non automatisable et la pression à la baisse exercée sur les salaires par les employeurs pratiquant le chantage à l'emploi, l'élargissement de l'assiette de cotisation devrait être à la hune dans un pays qui n'a jamais été ausi riche. La CSG pourrait certe être une piste d'amélioration des comptes sociaux, mais la taxe Tobbin aussi et toutes autres types de taxes qui pourraient porter sur la financiarisation de l'économie de production. Nous pouvons facilement être inventif sur le sujet mais ce serait toutcher aux bénéfices du sacro saint capital et donc opposition forte du patronat et du Medef.

Comme tout n'est finalement que choix politique et que la démocratie représentative sans contrôle fort du citoyen n'est que poudre aux yeux, cela nous renvoi à la prise de conscience individuelle et à l'affirmation de ses propres choix par tout les moyens pacifiques à notre disposition.

La grève par exemple :Smiley_26:

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Bonjour,

quelques lignes pour expliquer le VRAI CONTEXTE ACTUEL :

je rencontre régulièrement des cheminots SNCF avec qui je discute: UNE MAJORITE ACCEPTE DE TRAVAILLER PLUS LONGTEMPS quoiqu'on en pense:CECI EST UN FAIT.

deuxio : l'opinion publique n'est plus celle de 95: elle est volontairement d'acord pour prolonger la durée de cotisations pour les régimes SNCF,RATP,EDF,GDF...

A partir de là, le constat est simple: il n'existe plus de contexte du "tous contre la réforme" mais plutot une ambiance du style : "qu'est ce que je peux sauver dans tout ça ?"

La réforme passera qu'on le veuille ou non: charge à nous de négocier avec l'entreprise des compensations.

Je n'aie pas l'habitude de faire le croque mort mais il faut être réaliste ! :Smiley_26:

Le président actuel est passé par les urnes: la démocratie ne peut être refusée uniquement quand cela nous interesse.

Maintenant, rien ne nous empêche de débattre et d'argumenter nos convictions: INFLECHIR le cours des choses, nous n'aurons pas les moyens de s'y opposer.

L'analyse est bonne car aujourd'hui personne, ni la droite, ni le PS, ni l'opinion publique ne desirent que les regimes spéciaux perdurent. A mon sens ils sont condannés et la meilleurs chose que nous puissions faire est d'accompagner ce changement afin d'avoir une prise dessus plutot que de le subir sans aucun levier.

Et pourquoi donc?

Pourquoi travailler plus? pourquoi ne pas garder notre régime actuel et avoir un mode de calcul avantageux?

Fatiguée du nivellement par le bas, de la médiocratie!

Tout simplement car nous sommes seuls et dans ces conditions nous ne pouvons rien obtenir. Même si ce que tu dit est logique. J'ai en tete l'exemple des pompiers qui partent a 60 ans en ne sont même pas reconnu comme metier a risque....Ils auraient droit plus que tout autres a un regime de retraite spécifique...et pourtant....

Tu sais, on rencontre aussi hélas des personnes méprisantes dans tous les services et cela peut laisser des souvenir cuisants et de grandes blessures. Je ne partage pas les attaques contre les mécanos, ni contre les cadres, ni contre quiconque, mais il est parfois difficile de faire la part des choses.

Maintenant, concernant les régimes spéciaux, j'aimerais vraiment en savoir plus sur ce qui nous attend et j'espère que nous saurons nous souder au bon moment (je compte aussi sur une partie de l'opinion publique qui n'est pas complètement contre nous, contrairement à ce qu'on veut bien nous faire croire)

J'aimerai bien aussi savoir a quel sauce nous serons mangés......pour le second point je crois que tu te fais des illussions, en cas de mouvement long et dur je ne pense pas qu'une partie de l'opinion publique nous soutiendra, je verrais même le contraire; Il me semble qu'en 95 l'opinion comprennait notre mouvement mais nous a laché deavnt la durée du conflit.

Non, elle disait qu'elle modifierait pour les nouveaux arrivants. C'est dans son "pacte présidentiel".

Ce n'est pas forcément du progrès, mais bon, pour moi, il n'y a pas rupture du contrat vis à vis des anciens de l'entreprise.

je ne pense pas que cela soit accepter par nos syndicats. Cela c'est fait chez Air-France, il y a quelques années, et pas sans heurt.

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Tout simplement car nous sommes seuls et dans ces conditions nous ne pouvons rien obtenir. Même si ce que tu dit est logique. J'ai en tete l'exemple des pompiers qui partent a 60 ans en ne sont même pas reconnu comme metier a risque....Ils auraient droit plus que tout autres a un regime de retraite spécifique...et pourtant....

Mais la pénibilité du travail n'a rien à voir avec le fait que le régime spécial de retraite des cheminots existe.

L’existence du régime spécial des cheminots trouve ses fondements dans la spécificité des tâches, les contraintes de continuité du service public, les responsabilités liées à la sécurité des circulations

Modifié par ____
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L'analyse est bonne car aujourd'hui personne, ni la droite, ni le PS, ni l'opinion publique ne desirent que les regimes spéciaux perdurent. A mon sens ils sont condannés et la meilleurs chose que nous puissions faire est d'accompagner ce changement afin d'avoir une prise dessus plutot que de le subir sans aucun levier.

Tout simplement car nous sommes seuls et dans ces conditions nous ne pouvons rien obtenir. Même si ce que tu dit est logique. J'ai en tete l'exemple des pompiers qui partent a 60 ans en ne sont même pas reconnu comme metier a risque....Ils auraient droit plus que tout autres a un regime de retraite spécifique...et pourtant....

J'aimerai bien aussi savoir a quel sauce nous serons mangés......pour le second point je crois que tu te fais des illussions, en cas de mouvement long et dur je ne pense pas qu'une partie de l'opinion publique nous soutiendra, je verrais même le contraire; Il me semble qu'en 95 l'opinion comprennait notre mouvement mais nous a laché deavnt la durée du conflit.

je ne pense pas que cela soit accepter par nos syndicats. Cela c'est fait chez Air-France, il y a quelques années, et pas sans heurt.

Je suis optimiste. Enfin, comptons déjà sur nous mêmes, il y a du boulot pour être unis!

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Peut-être, mais cette fois-ci, l'opinion public (le privé) ne nous donnera pas un blanc seing pour vivre une grève par procuration comme en 1995. D'autant plus que les effets néfastes de la loi Fillon de 2003 ne se fonts pas encore sentir pour eux.

Pas sûr... Pour connaitre l'opinion réelle des français il y a TF1 et les sondages Opinion Way, et la discussion au café d'en face (de la gare)

Les effets dévastateurs de la réforme de 2003 commencent à se faire sentir, et ceux qui sont déja en route vers les 40 (et peut-être 42 annuités) avec la décote et tout ce qui va avec, savent que si les régimes spéciaux sautent, ce sont en 2008 l'ensemble des salariés qui trinqueront, et en premier lieu les SMICard(e)s et les gens qui auront une carrière incomplète, souvent des femmes, avec de longues périodes de temps partiel non choisi...

Ces salariés (du privé) ne pouvant pas se mettre en grève sans craindre pour leur emploi, ils

comprendront aisément que les cheminots se battent aussi indirectement pour eux...

Modifié par NEMO94
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Pas sûr... Pour connaitre l'opinion réelle des français il y a TF1 et les sondages Opinion Way, et la discussion au café d'en face (de la gare)

Les effets dévastateurs de la réforme de 2003 commencent à se faire sentir, et ceux qui sont déja en route vers les 40 (et peut-être 42 annuités) avec la décote et tout ce qui va avec, savent que si les régimes spéciaux sautent, ce sont en 2008 l'ensemble des salariés qui trinqueront, et en premier lieu les SMICard(e)s et les gens qui auront une carrière incomplète, souvent des femmes, avec de longues périodes de temps partiel non choisi...

Ces salariés (du privé) ne pouvant pas se mettre en grève sans craindre pour leur emploi, ils

comprendront aisément que les cheminots se battent aussi indirectement pour eux...

Y a de ça, j'entends plus souvent parler de ça que de nous aligner . Hier encore à l'ecole en réunion de parents

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Ce n'est pas une erreur mais un choix qui à été pris en toute conscience à une époque ou le chomage, la mondialisation, les délocalisations et la financiarisation du capitalisme n'existait pas.

Les salariés et leurs représentants n'envisageaient pas les évolutions négatives futures et ne pensaient pas que le chomage de masse puisse exister.

Et puis dans ta réflexion financière, il faut la pousser plus loin l'analyse sans penser comme un patron. Les cotisations sociales ne sont pas des "charges" mais du salaire différé et que le salaire n'est pas une charge, mais un partage de la valeur ajouté créée par le travail. Le patron n'est pas automatiquement, le propriétaire de la valeur ajouté qui fait preuve d'altruisme, en redistribuant une part de celle-ci sur les cotisations sociales. Demandons plutôt aux salariés quelle type de redistribution ils désirent plutôt que leur dire ce qui est "raisonnable" de ce qui ne l'est pas.

[...]

Les intérêts du capital ont toujours été bien présents dans la réflexion générale... L'histoire des chemins de fer avant 37 en est une fameuse illustration...

Au fait, je suis de culture PO, pardon sud-ouest...

Quand on te déduit une partie de ton salaire si tu es salarié, ou qu'on te met une contribution supplémentaire si tu es employeur, c'est vécu comme une charge de part et d'autre et la reflexion sur le salaire différé ne vient qu'en second plan... En élargissant l'assiette des cotisatiosn sociales aux profits commerciaux, industriels, financiers ou spéculatifs, on pourrait diminuer considérablement la part des contributions sur les salaires et élargir la solidarité. Il est anormal que les entreprises qui créent de la valeur ajoutée sans ou avec peu de salariés ne contribuent pas ou faiblement à la solidarité.

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Cadeau de la maison Sarkosy. Xavier Bertrand annonce même après avoir réformé les régimes spéciaux à 40 ans, on passera à 41 ans de cotisation.

A la demande de Nicolas Sarkozy, Xavier Bertrand s'est attelé sans tarder à la réforme des régimes spéciaux de retraite. Le ministre du Travail engagera cette semaine les concertations avec syndicats et entreprises. S'il n'entend pas "passer en force", il annonce déjà l'allongement de la durée de cotisation à 40 puis 41 années

http://www.lejdd.fr/cmc/economie/200738/be...orce_57844.html

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Je comprends pas pourquoi s'attaquer seulement aux même personnes mdrmdr

Je sais pas si en France il reste un bout de démocratie!

Le peuple (aller pour simplifier) ceux qui bossent se retrouve à galerer pour pouvoir gagner leur vie avec en prime des vacances avec la famille loupé, des jours de fête quasi inexistante...

On dirait qu'on a fait un GRAND pas.........En arrière!

Oui, oui vous avez bien entendu! La noblesse garde les privilège tandis que les paysants trime.

Je ne suis pas dans la famille SNCF (pas encore mdrmdr ) mais avant de s'attaquer a des gens qui rendent service à des millions de Français (SNCF/RATP/EDF...) ça ne serait pas à des boufons beurk OOps pardonez-moi!

A des primates mdrmdr sautillant dans un hémicycle (qu'il soit Rouge ou Vert) de montrer l'exemple???

http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=52737

http://www.assemblee-nationale.fr/connaiss...te.asp#P35_2634

Juste pour info :

Une 607 coûte à l'Etat 50.000 €

Une Vel Satis : 51.750 €

Une C6 : 54.900 €

Un petit tour du parc automobile de l'etat vous donnera une idée de ce qu'ils font avec l'argent des "paysant". mdrmdr

C'etait mon ptit coup de gueule mdrmdr désoler.

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Ce qui est désormais acquis, c'est que le gouvernement fait une fixette sur l'allongement de la durée de cotisation, comme en 2003

Pour assurer la pérennité des régimes de retraite par répartition, il y a pourtant de nombreuses autres pistes qui méritent d'être examinées, plutôt que de faire reposer les efforts en intégralité sur les seuls salariés....

Pour mémoire, le MEDEF propose régulièrement de fixer le taquet à 45 à moyen terme.

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La démocratie de nos jours c'est en gros 80% de personnes non concernées et n'y connaissant rien qui décident du sort des 20% restant...

On le voit ici mais c'est récurent dans tout les domaines, c'est un peu comme si les habitants de la commune voisine venaient par un vote décider à votre place de ce qui est bon pour vous dans votre commune, un peu comme si votre voisin venait décider la couleur de votre papier peint sous prétexte qu'ils sont plus nombreux chez lui et qu'un vote en a décidé ainsi...

C'est effrayant le résultat du sondage (30% prêt à laisser un chèque en blanc aux décideurs) pour une question aussi grave.

Connaissant ce métier j'espère seulement que dans ces 30% ne figure pas trop de tractionnaires !

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François Fillon réticent à une remise à plat des retraites

François Fillon s'est dit "réticent" mardi à la création d'un régime unifié de retraite par points en France, dans la perspective du "rendez-vous" de 2008, et a annoncé que la durée de cotisation pour une retraite à taux plein passerait de 40 à 41 ans entre 2009 et 2012.

http://actualite.aol.fr/france/politique/f...id/article.html

Modifié par ____
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c'est un peu comme si les habitants de la commune voisine venaient par un vote décider à votre place de ce qui est bon pour vous dans votre commune, un peu comme si votre voisin venait décider la couleur de votre papier peint sous prétexte qu'ils sont plus nombreux chez lui et qu'un vote en a décidé ainsi...

C'est inné chez notre cher Président.

Dans un passé pas trés lointain, l'obligation d'avoir un minimum de 20% de logements sociaux dans sa commune, c'était bon pour les autres mais pas à Neuilly-sur-Seine (Maire à l'époque: Sarko) ou le taux était à peine à 7%.

Récemment, lors d'un voyage officiel, notre Président a voulu décidé de la politique intérieur de l'Allemagne.

Voir ICI

En Sarko dans le texte:

"Mais c'est quand même extraordinaire qu'on ne puisse pas s'occuper de ce qui ne nous regarde pas ! "

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Les régimes spéciaux débattus à l'Assemblée le 9 octobre.

http://www.challenges.fr/actualites/busine...mblee_le_9.html

François Fillon confirme les propos de Xavier Bertrand : 41 pour tous en 2012

http://www.france-info.com/spip.php?article14534

Mais avant, il faut faire sauter le dernier verrou des 37,5 dans les régimes spéciaux !

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Bonjour ,

Le retour des gardiens du concensus :

http://www.acrimed.org/article2719.html

L'un des sujet évoqué dans ton message a été traité dans l'émission "L'hebdo du médiateur" sur Fr2.

Cela a suscité des réactions bien fondées sur la comparaison d'activités différentes.

Voir ICI et choisir "Voir l'hebdo du médiateur du 22-09-2007"

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