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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Communiqué CGT au sujet des exactions commises à Nancy et l'arrestations de plusieurs personnes. http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=10421&hl=
  2. Mélenchon: le silence des leaders PS "pose problème" et favorise Besancenot AFP - 17h PARIS (AFP) - Le sénateur socialiste de l'Essonne Jean-Luc Mélenchon a estimé vendredi que le silence des leaders du PS dans le mouvement social contre la réforme des retraites "posait problème" et favorisait la popularité d'Olivier Besancenot. Evènement "Pourquoi ne disent-ils rien, alors que leur devoir est d'être solidaires? Franchement, cela me pose un problème", a déclaré M. Mélenchon, interrogé par RTL sur le silence de deux présidentiables du PS, Ségolène Royal et Bertrand Delanoë. "M. Sarkozy est un stratège politique, il a décidé une offensive politique", a poursuivi M. Mélenchon, présent dans les manifestations ces derniers jours. "En face, on aurait dû avoir un dispositif de combat avec des argumentaires et une présence physique et médiatique. Au moment de la bataille, quand les généraux ne sont pas là et le matériel non plus, on est en droit de dire qu'il y a un problème". "On dit après que M. Besancenot est très populaire. Comment le lui reprocher? Il a gagné ses galons dans la solidarité", a-t-il ajouté. Interrogé sur le parti anticapitaliste que le porte-parole de la LCR veut fonder, M. Mélenchon a commenté: "je regretterai que la gauche arrive à une coupure où on aurait d'un côté la gauche radicale condamnée à la protestation, et de l'autre côté, une soi-disant gauche gouvernementale d'accord avec la moitié des choses que fait la droite et faisant des critiques de forme". "Je suis pour un bon équilibre entre la radicalité et la logique gouvernementale", a poursuivi M. Mélenchon. Il y a deux mois, le sénateur avait envisagé de créer une force politique nouvelle avec des minorités du PS, des Verts et de la LCR.
  3. Tract du même genre dès 95 entre les mains d'un dépité RPR de l'épôque lors d'une manif de cheminots à sa permanence...
  4. Trois personnes poursuivies pour des incidents lors des grèves Reuters - 17h STRASBOURG (Reuters) - Deux cheminots et un chauffeur routier font l'objet de poursuites judiciaires en Lorraine après des incidents survenus sur des lignes de la SNCF, en marge de la grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. Un cheminot a été déféré vendredi au parquet de Thionville (Moselle) pour avoir brisé des carreaux, dont celui d'un visiophone, sur un poste d'aiguillage mercredi soir, a-t-on appris auprès du parquet. Cet homme d'une quarantaine d'années, "très bien noté et apprécié de ses collègues", selon la CGT, devait être jugé dans la soirée en comparution immédiate. "Cette affaire a été montée en épingle. C'était la fin de la journée qu'il avait passée sur un piquet de grève. Il a vu des collègues au boulot, il s'est énervé et il a balancé deux cailloux", a déclaré Jean-Marc Léon, secrétaire fédéral de la CGT de Lorraine. Un cheminot et un jeune routier (et non deux cheminots comme indiqué précédemment) ont, par ailleurs, été déférés jeudi devant le parquet de Nancy (Meurthe-et-Moselle) pour un incident provoqué le 16 novembre en gare de Blainville-sur-l'eau. Ils sont soupçonnés d'avoir vidé l'air de la conduite générale de freinage d'un train de fret, ce qui a provoqué son immobilisation, a expliqué la CGT. "Il ne s'agit ni d'adhérents, ni de délégués, ni de militants de la CGT", précise le syndicat. Les deux hommes sont convoqués devant le tribunal correctionnel de Nancy le 17 décembre pour répondre d'entrave à la circulation des trains, écrit le journal L'Est Républicain. Dans les deux cas, les poursuites ont été engagées après une plainte de la SNCF. "Chaque fois qu'il y a des exactions sur le territoire de la SNCF, nous portons plainte, y compris hors période de grève", a dit un porte-parole de l'entreprise.
  5. Les perles de l'UIMM... http://www.leparisien.com/home/info/faitjo...cleid=291380762
  6. Les abonnés SNCF et RATP seront dédommagés en janvier Reuters - 15h PARIS (Reuters) - La SNCF et la RATP ont confirmé leur décision de dédommager en janvier les abonnés pour compenser les effets de la grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. A la SNCF, pour le Transilien, la réduction du prix de la carte orange de janvier sera de 20 à 30% en fonction de la zone concernée - soit 15 à 35 euros - pour les cartes Orange, cartes Intégrale et cartes Imagine'R étudiants. Pour les TER, le prix des abonnements mensuels, de travail et étudiant fera l'objet d'une réduction définie pour chaque région en fonction des services réalisés pendant la période de grève. Ainsi, pour le TER Aquitaine, le dédommagement est de 40% car le trafic a été extrêmement faible pendant les jours de grève, précise l'entreprise publique dans un communiqué. Concernant le TER Bourgogne, où des trains ont roulé aux heures de pointe, le dédommagement sera de 10%. Pour les TGV et les trains Corail, les abonnements Fréquence et Forfait des grandes lignes seront prolongés de cinq jours. Chaque client en sera informé par courrier. Les billets non utilisés pendant la grève pourront tous être échangés ou remboursés. A la RATP, une réduction du prix de vente de la carte Orange de janvier est proposée. Elle ira de 10 euros pour les zones 1-2 à 35 euros pour les zones 1-6. Le remboursement sera calculé selon les mêmes principes pour les détenteurs de la carte Intégrale et des titres annuels. Pour les détenteurs de la carte hebdomadaire, une réduction de 75% sur la deuxième semaine de janvier est proposée.
  7. Il manque pas mal de choses quand même... Régimes spéciaux: les grandes dates du mouvement social AP - 15h PARIS - Voici la chronologie du mouvement social de l'automne 2007 dans les transports publics contre la réforme des régimes spéciaux de retraite: - 9 septembre: le Premier ministre François Fillon annonce que la réforme des régimes spéciaux est "prête", en précisant que le gouvernement "attend le signal" du chef de l'Etat. "Cette réforme est prête, car elle est très simple à faire: il suffit d'aligner les régimes spéciaux sur celui de la Fonction publique, ce qui est une mesure d'équité que tous les Français comprennent", assure-t-il - 18 septembre: Nicolas Sarkozy charge le ministre du Travail Xavier Bertrand d'entamer des consultations avec les syndicats sur cette réforme - 19 septembre: les principales fédérations de cheminots appellent à la grève le 18 octobre. Trois d'entre elles (FO, Sud et FGAAC) annoncent le dépôt de préavis reconductibles - 28 septembre: les principaux syndicats de la RATP appellent à leur tour à la grève le 18 octobre. L'UNSA, FO et Sud déposent des préavis reconductibles - 10 octobre: M. Bertrand remet un document d'orientation aux syndicats. Les bénéficiaires des régimes spéciaux devront cotiser 40 annuités d'ici à 2012; la réforme instaure une décote en cas de départ anticipé et prévoit d'indexer les pensions sur les prix - 18 octobre: la grève connaît des taux records de participation, le trafic étant quasiment paralysé à la SNCF et à la RATP. "Cette réforme, dans ses contours actuels, ne passera pas", lance le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault - 22 octobre: les fédérations de cheminots et les syndicats de la RATP menacent d'une grève reconductible si le gouvernement ne modifie pas son projet - 31 octobre: les principales fédérations de cheminots appellent à une grève reconductible à la SNCF à compter du 13 novembre au soir. Cinq syndicats de la RATP se joignent au mot d'ordre - 12 novembre: "La porte du dialogue reste ouverte, mais ces réformes nous les ferons, parce qu'elles doivent être faites", lance Nicolas Sarkozy - 13 novembre: Bernard Thibault est reçu à sa demande par Xavier Bertrand et réclame l'ouverture de négociations durant au moins un mois dans chaque entreprise concernée avec la participation de l'Etat - 14 novembre: alors que la grève a commencé et perturbe très fortement les transports parisiens et la circulation des trains, M. Bertrand rencontre les autres syndicats et donne son accord aux négociations. Cheminots, agents de la RATP mais également gaziers et électriciens aussi en grève manifestent dans tout le pays. Dans un courrier adressé aux syndicats en soirée, M. Bertrand donne un mois aux négociations et prévient qu'à "l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics puis publiés" - 15 novembre: la base a pris les rênes du mouvement et le reconduit quotidiennement lors des assemblées générales. Les fédérations de cheminots exigent une réunion tripartite sous l'égide du ministère du Travail pour que soit précisé le contenu des négociations à venir. "On ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps", répond Xavier Bertrand - 16 novembre: alors que la majorité des AG a reconduit le mouvement pour le week-end, le front syndical se fissure avec l'appel à la reprise du travail lancé par la CFDT-Cheminots. A la SNCF, certains grévistes se lancent dans des actions radicales avec occupation des voies et, selon la direction, des dépôts de torches et de pétards sur les voies - 17 novembre: François Fillon demande que pour que les négociations s'ouvrent, "il y ait un appel à la reprise du travail". "Cette situation pour les usagers est insupportable", gronde-t-il - 18 novembre: les six fédérations syndicales de cheminots encore engagées dans le mouvement appellent à le poursuivre mais acceptent le principe d'une table ronde proposée par la direction pour le 21 novembre. La même réunion est prévue à la RATP. Tous les syndicats acceptent de s'y rendre sauf Sud-RATP. M. Bertrand salue un "premier pas", mais conditionne la présence d'un représentant de l'Etat à "une dynamique de reprise du travail" à la SNCF et à la RATP - 19 novembre: le gouvernement "ne pourra pas bouger sur les principes" de la réforme, prévient M. Fillon. Parlant d'une "grève minoritaire dans les entreprises et extrêmement minoritaire dans le pays", il appelle à la reprise du travail, faisant appel à la "responsabilité" des syndicats - 20 novembre: cheminots et agents de la RATP se joignent aux manifestations des fonctionnaires qui réclament, de leur côté, l'ouverture de négociations salariales et dénoncent les suppressions de postes et la réforme de la Fonction publique. Le gouvernement lève le préalable d'une reprise du travail quant à la participation de représentants de l'Etat aux discussions qui commencent le lendemain - 21 novembre: au terme de leur première séance de négociations avec les directions de la SNCF et de la RATP et les représentants de l'Etat, les syndicats laissent le soin aux AG de déterminer la suite à donner au conflit, notant des "avancées". Seul Sud appelle ouvertement à poursuivre la grève, avec le renfort de FO à la RATP. Ces négociations doivent durer jusqu'au 13 décembre à la RATP et jusqu'au 18 à la SNCF. Par ailleurs, la journée est marquée par des actes de sabotage perpétrés sur les lignes grande vitesse Nord, Est, Sud-Est et Atlantique. Ils sont unanimement condamnés - 22 novembre: au neuvième jour de grève, les AG se prononcent un peu partout pour la suspension du mouvement, malgré les inévitables points de blocage d'une fin de conflit. Le trafic reprend progressivement. Les principaux syndicats se réservent toutefois le droit d'appeler à nouveau à la grève s'ils jugent que les discussions se passent mal - 23 novembre: "Cette réforme, je l'avais promise, je l'ai tenue", se félicite M. Sarkozy qui ajoute qu'elle "se fait parce que la méthode choisie a été celle de la fermeté et du dialogue". AP
  8. excellent... On peut rire de tout dans ce pays... bon quand est-ce qu'ils passent à la télé ces deux là ? ils le méritent car c'est pas mal du tout.
  9. Comme la vague sensation que l'écriture des dépêches tend à très légèrement évoluer... France: reprise du trafic, Sarkozy n'en a pas fini avec la tension sociale AFP - 15h00 - PARIS (AFP) - Le trafic dans les transports redevenait normal vendredi en France à l'issue d'une grève de neuf jours contre la réforme des régimes spéciaux de retraites du président Nicolas Sarkozy qui, sans avoir cédé sur le fond, n'en a pas fini pour autant avec la contestation sociale. Evénement "Cette réforme, je l'ai promise, je l'ai tenue", s'est félicité vendredi le chef de l'Etat, soulignant qu'il n'avait "pas l'intention d'arrêter le mouvement de réforme". Evoquant les "millions de Français" pris "en otages" par les cheminots grévistes, M. Sarkozy a appelé les syndicats à désormais "toujours préférer la négociation à la confrontation". La situation était redevenue proche de la normale dans les transports à Paris, après ces journées de grève qui ont perturbé fortement les transports et ont été décrites par le patronat comme un "séisme" pour l'économie. La majorité des assemblées générales de cheminots ont voté jeudi la reprise du travail après l'ouverture mercredi soir de négociations tripartites (entreprises, syndicats, Etat) qui devraient durer un mois sur la réforme des régimes spéciaux de retraites, au coeur du conflit. La reprise du travail consacre le "succès de la méthode Sarkozy", titrait vendredi le quotidien de droite Le Figaro. Mais derrière la satisfaction de M. Sarkozy, confronté ces derniers jours à sa première mobilisation sociale massive avec la grève dans les transports, un mouvement dans les universités et une grève des fonctionnaires mardi, le pouvoir se gardait de tout triomphalisme, alors que des syndicats laissent planer la menace de nouvelles grèves avant Noël. Le président Sarkozy s'adressera aux Français quand "le conflit sera vraiment derrière nous", a déclaré vendredi le conseiller social de la présidence Raymond Soubie. Les négociations, prévues jusqu'au 18 décembre à la SNCF, se tiennent "sous le contrôle des cheminots", a en effet prévenu le syndicat CGT, majoritaire. Et le syndicat Sud-RATP, noyau dur de la contestation, débattait vendredi de l'opportunité de déposer de nouveaux préavis de grève "aux alentours des 18 ou 20 décembre". Les fonctionnaires menacent aussi de reprendre la grève en décembre. Pour faire taire la grogne et répondre à leur inquiétude, le chef de l'Etat, dont la cote de popularité s'effrite, a promis de "nouvelles initiatives" la semaine prochaine sur le pouvoir d'achat, principale préoccupation des Français selon tous les sondages. M. Sarkozy et son Premier ministre François Fillon ont perdu entre octobre et novembre cinq points d'indice de satisfaction, respectivement à 58% et 51%, selon un sondage Opinionway publié vendredi. "Des angoisses, des attentes se sont exprimées au cours des dernières semaines sur le pouvoir d'achat et sur l'emploi. Je ne prends pas ces attentes à la légère", a déclaré M. Sarkozy vendredi. Une tâche qui peut devenir un "piège", soulignait le quotidien de gauche Libération, selon lequel la majorité de droite en est à "chercher des idées" pour obtenir des résultats rapides dans un domaine qui a révélé des "inégalités croissantes en riches et pauvres". Or, en faisant passer cet été, en priorité, un "paquet fiscal" limitant les prélèvements sur les hauts revenus et la transmission du patrimoine, M. Sarkozy "est surtout apparu comme le président du pouvoir d'achat... des plus riches", relevait Libération. Un responsable socialiste, Benoît Hamon, a dénoncé la "grossièreté insupportable" de la politique de M. Sarkozy, ajoutant que le président devait "cesser de gesticuler et maintenant agir", notamment par "une négociation globale sur les salaires".
  10. Deux cheminots poursuivis après des incidents en Lorraine Reuters - Vendredi 23 novembre, 10h30 STRASBOURG (Reuters) - Deux cheminots ont été présentés au parquet de Nancy pour répondre de dégradations commises en gare de Blainville-sur-l'eau (Meurthe-et-Moselle), en marge de la grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, apprend-on de source proche de l'enquête. Les deux hommes, qui ont été présentés au parquet jeudi, sont soupçonnés d'avoir ouvert le robinet d'air de la conduite générale de frein sur un train régional et sur un train de fret le 16 novembre afin de les empêcher de repartir, écrit L'Est Républicain. Ils sont convoqués devant le tribunal correctionnel le 17 décembre, précise le quotidien de Nancy. Le procureur de Nancy, Michel Senthille, qui s'est chargé personnellement du dossier, a fait savoir qu'il ne serait pas joignable vendredi.
  11. Age moyen des cheminots actuellement en retraite ainsi que les pensions de réversion Document issu du rapport de la Caisse des Retraites. (je ne sais pas si ce document est consultable sur intranet ou internet peut être sur le site de la CP-CR ? J'ai reçu ce document cet après midi dans ma BAL et comme je sais que la question a déjà été soulevée... Attention ce n'est pas l'espérance de vie moyenne 2007_11_23_age_moyen_cheminots_retraites.pdf
  12. Grève: Sarkozy se réjouit d'avoir "tenu", pouvoir d'achat évoqué au retour de Chine AFP - 13h30 PARIS Nicolas Sarkozy s'est félicité vendredi de la fin de la grève en assurant qu'il avait "tenu" sa promesse de réformer les régimes spéciaux de retraite et a promis de répondre, dès son retour de Chine la semaine prochaine, aux attentes des Français sur le pouvoir d'achat. "Cette réforme, je l'ai promise, je l'ai tenue", a déclaré le président lors d'un discours prononcé à l'Elysée à l'occasion de la signature d'un accord contre le piratage sur l'internet. "La réforme ne pouvait pas être différée (...) cette réforme se fait parce qu'elle est équitable et parce que les efforts doivent être partagés, cette réforme se fait parce qu'elle est nécessaire pour que le pouvoir d'achat des retraites des cheminots, des gaziers, des électriciens, de la RATP puisse être préservé", a poursuivi Nicolas Sarkozy. "Des angoisses, des attentes se sont exprimées au cours des dernières semaines sur le pouvoir d'achat et sur l'emploi", a-t-il également relevé. "Je ne prends pas ces attentes à la légère. Dès mon retour de Chine j'y répondrai et je dirai aux Français ce que sera l'action du gouvernement dans les prochains mois", a ajouté Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat avait annoncé mardi, à la veille de l'ouverture de négociations à la SNCF et à la RATP, qu'il prendrait "dans quelques jours (des) initiatives pour répondre à l'angoissante question du pouvoir d'achat, de la croissance et de l'emploi". "Je n'ai pas l'intention d'arrêter le mouvement de réforme, je n'ai pas l'intention de la ralentir, je n'ai pas l'intention d'oublier des promesses. J'ai pris des engagements, ils seront tenus", a-t-il également insisté. Alors que le trafic revenait lentement à la normale vendredi à la RATP et à la SNCF, Nicolas Sarkozy a tenu à longuement assurer de son soutien les usagers des transports publics "pris en otage" pendant dix jours de grève. "Au moment où la grève s'achève, où la raison l'emporte, ma première pensée va aux millions de Français qui ont besoin du train, du métro, du bus pour aller travailler et qui n'en peuvent plus après dix jours de galère", a assuré le président de la République. "J'ai constamment voulu, avec Xavier Bertrand, avec le Premier ministre, maintenir le fil du dialogue sans remettre en cause le principe de la réforme", a-t-il assuré aux usagers. "La réforme, elle se fait parce que la méthode choisie a été celle de la fermeté et du dialogue", s'est-il félicité. Nicolas Sarkozy a également rendu hommage "au sens des responsabilités dont ont fait preuve les grandes organisations syndicales", espérant qu'à l'avenir "elles sauront toujours préférer la négociation à la confrontation".
  13. PPs infos retraites du 19/11/2007 doc sncf intégrant derniers éléments sncf et "ultimes propositions gouvernementales" pour votre information 2007_11_19_sncf_retraites_kit_infos_pps.pps
  14. A la Mutualité, Besancenot appelle à la résistance sociale et à un nouveau parti Par Par Elahe MEREL PARIS (AFP) - Olivier Besancenot affirmé jeudi soir devant quelque 2.000 militants rassemblés à la Mutualité à Paris que la grève des cheminots ne s'est pas soldée par "une victoire" mais "n'a pas été une défaite", et a lancé deux appels à la "résistance sociale" et à "la construction d'un nouveau parti anticapitaliste". "Nicolas Sarkozy n'a pas réussi à briser le mouvement social, il n'est pas le Thatcher français qu'il voulait être", a affirmé le leader de la LCR dont le meeting parisien de la rentrée intervient au terme d'une semaine sociale mouvementée et coïncide avec la fin de la grève à la SNCF et la RATP. "Ce n'est pas la défaite, ni moralement ni sur le fond du dossier, même si la revendication initiale des cheminots n'a pas été obtenue" sur le maintien des régimes spéciaux de retraite, souligne la figure de proue de la LCR qui se dit "solidaire des décisions des assemblées générales des cheminots". Toutefois, "on ne peut pas parler de victoire", reconnaît-il. "La mobilisation doit continuer", dit-il en appelant à une "deuxième manche", à "une résistance large" à cette "rentrée sociale qui ne fait que commencer". "Il est exclu que le projet de la réforme du système de retraite passe en février" dit-il en égratignant au passage le PS qui "refuse de prendre les pancartes dans les manifestations". A la tribune, Natacha, cheminote et militante de la LCR, abonde dans le même sens: "nous allons vers la reprise, mais nous avons ouvert une brèche dans la politique de Nicolas Sarkozy" dit-elle. "Nous avons marqué des points, nous avons semé des graines d'espoir, on est prêts à repartir", lance-t-elle, sous les ovations de la salle. Mais, souligne Olivier Besancenot, "les luttes ont besoin d'une perspective politique, d'un débouché", "c'est pourquoi je lance un appel à la construction d'un nouveau parti anticapitaliste". "Ce parti féministe, écologiste, internationaliste, pragmatique" sera un regroupement collectif de personnalités anonymes". Son projet il le prendra "dans le meilleur de toutes les traditions du mouvement ouvrier français". Pour ce qui est de son organisation, "il ne sera pas un parti avant-gardiste élitiste" mais "pas non plus un parti d'adhérents passifs qui cliquent sur une souris d'ordinateur", promet-il. Forte de la popularité de Besancenot - qui talonne dans les sondages Ségolène Royal- la LCR entend lancer après les municipales ce nouveau parti qui dépasserait la sphère de l'extrême gauche . Selon Alain Krivine, leader historique de la LCR, depuis le début des mobilisations le 18 octobre, 6 à 10 personnes par jour prennent contact avec la Ligue, en majorité des jeunes. "Ca mord", se réjouit Besancenot. Mais l'organisation trotskiste ne donne aucun chiffre sur ses recrutements depuis la présidentielle.
  15. Villepin adresse un satisfecit à Sarkozy sur les grèves Reuters - PARIS (Reuters) - Dominique de Villepin a adressé vendredi un satisfecit à Nicolas Sarkozy et au gouvernement pour leur gestion de la grève des transports, qui touche à sa fin. "Je crois que chacun a été dans son rôle, pour terminer une grève il faut être deux", a déclaré l'ancien Premier ministre sur France 2. "Je pense que le souci affiché de ne pas politiser, de ne pas chercher à faire en sorte qu'il y ait un vainqueur et un vaincu, c'est la bonne stratégie en matière sociale. Il faut que chacun puisse occuper pleinement sa place, que chacun soit en responsabilité", a-t-il ajouté. Généralement très critique envers le chef de l'Etat, Dominique de Villepin s'est justifié ainsi : "je crois qu'il est important en matière politique de dire quand on est d'accord et quand on l'est moins."
  16. Grève dans les transports: la SNCF et la RATP offriront une indemnité aux usagers, affirme Xavier Bertrand AP - Vendredi 23 novembre, PARIS - Les usagers de la SNCF et de la RATP recevront une "indemnisation" en janvier pour compenser la gêne occasionnée par les mouvements de grève contre la réforme des régimes généraux de retraite, a annoncé jeudi soir le ministre du Travail Xavier Bertrand. "La RATP comme la SNCF indemniseront en janvier les usagers", a déclaré le ministre sur France-3. "Ca n'est qu'un juste retour par rapport à ce qui a été vécu par les usagers." "Le gouvernement a souhaité que ça puisse se faire rapidement, qu'il n'y ait pas de question de savoir qui paie quoi, qui va faire quoi, les usagers auront un remboursement que ce soit sur leur carte orange, leur 'pass Navigo', leurs abonnements, ou même quand les billets n'ont pas été utilisés. (...) Il y aura remboursement", a-t-il précisé. La RATP avait annoncé qu'elle préparait une "compensation financière" pour ses usagers, le PDG Pierre Mongin se disant "très conscient de la gêne occasionnée aux voyageurs du fait de la grève", selon un communiqué. Cette mesure sera "élaborée en liaison avec le secrétaire d'Etat aux Transports", a ajouté la RATP, qui a promis des précisions pour le début de la semaine prochaine. AP
  17. Sabotages à la SNCF: trois suspects en garde à vue en Lorraine, selon "Le Figaro" AP - PARIS - Trois suspects ont été placés en garde à vue en Lorraine après la série de dégradations perpétrées sur le réseau ferré durant la grève, rapporte "Le Figaro" dans son édition de vendredi. Selon le quotidien, un agent de la maintenance de la SNCF, présenté de source proche de l'enquête comme un syndicaliste de la CGT, ce que dément le syndicat, et un jeune chauffeur routier ont été interpellés mercedi soir pour leur présumée participation au blocage des trains à Blainville (Meurthe-et-Moselle). Les suspects, reconnus par des témoins, ont été entendus par les gendarmes de la section de recherches de Nancy. Ils devraient être déférés vendredi matin au parquet, précise "Le Figaro". Entre le 16 et le 19 novembre dernier, du ballast avait été déposé sur des lames d'aiguillages. Des clefs de locomotives ainsi que du matériel de sécurité embarqué dans des trains, dont des torches de détresse, avaient été dérobés. Un troisième homme, employé de la SNCF, a été placé en garde à vue à l'hôtel de police de Thionville (Moselle) pour des dégradations commises en gare, affirme encore "Le Figaro". AP
  18. Retour progressif à la normale après dix jours de grève dans les transports AFP -PARIS (AFP) - Onze jours après le début de la grève, le trafic national de la SNCF connaît un retour progressif à la normale vendredi, tandis que la RATP prévoit "un trafic quasi normal" sur les lignes RER A et B, onze des quatorze lignes de métro fonctionnant normalement ou quasi normalement. Evénement La SNCF prévoit un trafic normal sur les lignes TGV sur les destinations Paris-province et sur les relations internationales, et un TGV sur deux sur les relations province-province. Ce trafic reviendra progressivement à la normale ce week-end. Le trafic des trains Corail sera assuré à hauteur d'un train sur trois. Quant aux TER (trains express régionaux): 2 sur 3 étaient prévus sur l'ensemble du territoire. Le retour à la normale est prévu sur les régions Bretagne et Limousin, alors qu'un train sur deux devrait circuler en Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sur le réseau Transilien, 70% du trafic sera assuré. A l'ouest, la liaison entre Saint-Quentin-en-Yvelines et La Défense sera de nouveau assurée. Au nord, la liaison du RER B entre Mitry-Claye et Paris-Nord sera rouverte. Le service sera normal sur la ligne T4 entre Bondy et Aulnay-sous-Bois. Le trafic sera assuré entre 50 et 60% sur la ligne C, à 70% sur la ligne D nord, 50% sur la ligne D Sud, qui reste le point le plus problèmatique, et entre 60% et 75% sur la ligne E. Onze des quatorze lignes de métro connaissent un trafic quasi normal. Un métro sur trois circule sur les lignes 7 et 10, et deux sur trois sur la ligne 5. Le trafic a repris de façon quasi normale sur les lignes A et B du RER, mais les interconnexions restent suspendues à Nanterre-Préfecture et Gare du Nord. Pour les bus et tramways, le trafic a repris à 80 % en moyenne. La grève à la SNCF et la RATP devrait donc toucher à sa fin vendredi, les deux entreprises tablant sur une reprise progressive, avant un trafic quasi normal ce week-end, une majorité d'assemblées générales de grévistes ayant voté en faveur de la reprise du travail. Le ministre du Travail Xavier Bertrand a affirmé que "la RATP comme la SNCF indemniseront en janvier (2008) les usagers" qui "ont subi" les grèves, car "ce n'est qu'un juste retour des choses" Après neuf jours de conflit, "la suspension du mouvement est quasi unanime chez les cheminots avec 99% de votes des assemblées générales en faveur de la reprise dans l'idée de peser sur les négociations qui se sont ouvertes à la SNCF", a déclaré à l'AFP, Grégory Roux, secrétaire fédéral de la CGT-cheminots. La veille, à l'issue des premières négociations tripartites Etat-direction-syndicats, la CGT avait salué les "premiers points marqués" par les cheminots, en particulier l'intégration des primes dans le calcul des pensions, s'en remettant toutefois aux assemblées générales. La CFTC et la CGC cheminots - minoritaires à la SNCF - avaient dès mercredi soir appelé à la reprise du travail. Sud-Rail, 2e syndicat, avait en revanche réaffirmé son opposition à la reprise, maintenant son exigence d'un retrait pur et simple de la réforme des régimes spéciaux de retraite. Signe de ce déblocage, le vote de la reprise du travail, jeudi, en assemblées générales par les agents des lignes A et B du RER, cette dernière étant bloquée entièrement depuis le 14 novembre. Quelque 1,7 million de voyageurs empruntent quotidiennement ces deux lignes. Xavier Bertrand a affirmé que "la RATP comme la SNCF indemniseront en janvier (2008) les usagers" qui "ont subi" les grèves. Selon lui (...) les usagers auront un remboursement sur leur carte Orange, leur pass Navigo, leurs abonnements, ou quand les billets n'ont pas été utilisés, il y aura remboursement, ça n'est qu'un juste retour" a souligné M. Bertrand. Sud-RATP a prévenu jeudi qu'elle déposerait dès vendredi des nouveaux préavis pour pouvoir reprendre la grève "aux alentours des 18 ou 20 décembre", à la fin des négociations, si elle le jugeait nécessaire. A la SNCF, les négociations doivent reprendre le 29 novembre et durer jusqu'au 18 décembre; à la RATP, elles reprennent lundi et dureront jusqu'au 13 décembre. "Tout est discutable" dans ces tables rondes, mais on ne revient pas sur le principe de la réforme", c'est-à-dire l'allongement de la durée de cotisation à 40 ans, la décote et l'indexation des pensions sur les prix, a prévenu le secrétaire d'Etat aux Transports, Dominique Bussereau. Le porte-parole de l'Elysée a fait savoir jeudi que le président Nicolas Sarkozy attendra "que la situation soit redevenue normale pour les usagers" des transports pour s'exprimer à nouveau" sur le pouvoir d'achat. Enfin, deux personnes ont été interpellées mercredi en Meurthe-et-Moselle dans le cadre d'une des 18 enquêtes ouvertes par la gendarmerie pour des "dégradations" la veille de matériel ferroviaire, selon une source proche de l'enquête.
  19. T'envoies la facture au RH sinon prud'hommes après passage par ton secrétaire de CHSCT
  20. Tu diras ça aux familles de la quinzaine de cheminots qui décèdent au travail chaque année...
  21. Euh je connais des conducteurs qui au 15 du mois sont raides... alors je te dis pas pour les personnels exécution... Bon si on cherchait du côté des cadres mais tu sais bien que la sncf ça paie pas... reste les cadres sup...?
  22. Comment augmenter le salaire moyen - leçon d'économie chez les shadoks - Economie_Shadoks.pdf
  23. et on pourrait peut être rechercher d'autres sources, de nouvelles sources de financement qui ne reposent pas exclusivement sur la rémunération puisque l'effort à réaliser pour les 40 prochaines années en matière de retraite sera inférieur à celui réalisé ces 40 dernières années...
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