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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Il est souvent fait référence à une décision du Conseil d'Etat de fin 2006 qui estime que le droit de grève appartient individuellement à chaque salarié qui peut donc l'utiliser comme il l'entend, dans le cadre d'un préavis légalement déposé. Ainsi un salarié peut entrer en grève à tout moment sur un préavis reconductible, reprendre son service, revenir en grève. Il peut faire 8 heures un jour, une heure le lendemain... Il y a un ou deux argumentaire(s) sur le droit de grève dans la partie document du forum.
  2. Il ne faut pas confondre censure et ménage... Les administrateurs et modérateurs ne font qu'épousseter de temps en temps quand le rappel à l'ordre ne suffit pas...
  3. Régimes spéciaux: Sarkozy persiste et appelle à "terminer" la grève AFP - PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy a réaffirmé mardi sa volonté de réformer les régimes spéciaux de retraite et déclaré qu'"il faut savoir terminer une grève", au septième jour du mouvement contre ce projet. Le chef de l'Etat a par ailleurs annoncé qu'il prendrait "dans quelques jours d'autres initiatives pour répondre à l'angoissante question du pouvoir d'achat, de la croissance et de l'emploi", sans autre précision. "On ne cèdera pas et on ne reculera pas", a lancé M. Sarkozy dans un discours de près d'une heure devant les maires de France réunis en congrès à Paris, en évoquant les "réformes" dont la France "a besoin". Dans sa première intervention publique depuis le début du mouvement social, M. Sarkozy a défendu la réforme des régimes spéciaux de retraite, sur laquelle Jacques Chirac et Alain Juppé avaient dû reculer en 1995. La réforme n'est selon lui "pas une attaque contre les cheminots, les employés de la RATP, les électriciens ou les gaziers". "C'est une question d'équité dans la répartition de l'effort face à l'évolution de la démographie, à la vie qui se prolonge, au nombre des retraités qui augmente par rapport au nombre des actifs", a-t-il plaidé. "Jusqu'au bout je resterai déterminé, la réforme se fera, que nul n'en doute, mais jusqu'au bout je resterai ouvert parce que c'est mon devoir", a promis le président. "Mais je dis qu'il faut savoir terminer une grève lorsque s'ouvre le temps de la discussion", a-t-il déclaré, paraphrasant une formule célèbre du leader communiste Maurice Thorez pendant les grèves de 1936. "Il y a des millions de Français qui après une journée de travail, quand il n'y a pas de bus, pas de métro, pas de train, sont exaspérés d'avoir le sentiment justifié d'être pris en otages", a encore affirmé M. Sarkozy. "Ma conception du service public, c'est que le service public est d'abord au service des usagers", a-t-il martelé. Selon lui, "désormais, l'esprit de négociation doit l'emporter sur l'esprit de confrontation", alors que "la grande majorité des salariés de la RATP et de la SNCF et la quasi-totalité de ceux de GDF et d'EDF ont repris le travail". "Une petite minorité ne saurait imposer sa loi à une majorité, ni dans les services publics, ni dans les universités, ce qui est un comble", a-t-il dit, à la veille de l'ouverture de négociations à la RATP et la SNCF. Alors que des manifestations massives de la fonction publique, notamment sur la question des salaires, se sont déroulées en France mardi, M. Sarkozy a pris soin de faire l'éloge des "fonctionnaires qui se dévouent au bien commun" et s'est défendu de proposer "une politique de sacrifice", sans toutefois leur faire aucune annonce concrète. Il a enfin exclu de reculer sur l'autonomie des universités, contestée depuis la semaine dernière dans plusieurs dizaines de facultés. La ministre de l'Enseignement supérieur, "Valérie Pécresse, a conduit cette politique, je n'y reviendrai pas", a-t-il assuré.
  4. Grèves: Fillon dénonce "ceux qui refusent le jugement des urnes" AP - Mardi 20 novembre, PARIS - Le Premier ministre François Fillon s'en est pris mardi à ceux "qui refusent le jugement des urnes" en s'opposant à la réforme des régimes spéciaux. "Ceux qui dressent les Français les uns contre les autres sont ceux qui refusent la démocratie, le jugement des urnes, le jugement qui se manifeste dans les grandes entreprises de transport où une grande majorité des salariés n'est pas en grève", a déclaré le Premier ministre lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale. François Fillon a été longuement applaudi par les députés de la majorité lorsqu'il s'est levé pour répondre au député communiste André Chassaigne. AP
  5. Sur le site de la CGT Régimes spéciaux Une nouvelle étape de la bataille s'engage Note de la Coordination confédérale de la CGT, le 19 novembre 2007 Face à la volonté du gouvernement de faire passer en force sa réforme, la démarche de la CGT a été constante: l'exigence de négociations permettant de peser sur tout ce qui fait les droits à la retraite et la situation salariale des agents des branches et entreprises publiques concernées. Avec l'ouverture des négociations, une nouvelle étape de la bataille s'engage. 1. Projet d’un décret gouvernemental arrêtant le cadre global de la réforme. De tout temps, la Cgt et ses fédérations du secteur public ont considéré que l’évolution des régimes spéciaux relevait de négociations syndicats/gouvernement/entreprises régime par régime pour tenir compte de leur identité. Telle a été la position constante de la Cgt depuis des décennies vis-à-vis des régimes spéciaux. Les régimes spéciaux font partie du système de retraite global. Ils n’échappent pas au principe de solidarité. Mais ils ont leurs spécificités et leur propre histoire liée à celle des entreprises publiques et des services publics. Ils font donc partie de la situation statutaire globale des personnels de ces secteurs. Il est de plus aberrant de vouloir appliquer un cadre unique aux régimes spéciaux compte tenu des différences entre régimes et des spécificités sociales sectorielles. Ils sont, par définition, chacun spécifiques. C’est au mois de septembre que le gouvernement a fait le choix de prédéterminer un cadre global avec l’objectif d’afficher des principes de réforme régressive considérés comme intangibles renvoyant la mise en œuvre au niveau des entreprises. Nous avons dénoncé cette volonté de passer en force. Le gouvernement dans une stratégie de division, a également fait le choix de discussions bilatérales, empêchant toute transparence. La menace était la publication d’un décret mi-octobre censé sceller l’évolution des régimes spéciaux sur tous les points essentiels. 2. La mobilisation du 18 octobre 2007 La présentation du premier cadrage a déclenché une mobilisation exceptionnelle le 18 octobre à l’appel de tous les syndicats des entreprises concernées. Cette journée du 18 octobre a révélé ce à quoi nous étions vraiment confrontés, c’est-à-dire une volonté farouche du gouvernement d’afficher une victoire politique sur ce dossier. Elle a aussi permis de montrer qu’il était possible de faire bouger le cadre général que le gouvernement voulait imposer. Une première concession, certes limitée, est faite en matière d’application de la décote. Celle-ci sera supprimée après 2 ans et demi d’activité au-delà de l’âge d’ouverture des droits au lieu de 5 ans dans le régime général. Mais il est évident que ce recul est insuffisant. Refusant de prendre en compte l’ampleur de la mobilisation du 18 octobre, le gouvernement a cherché à renvoyer à des négociations avec les seules directions d’entreprises. Manière à ses yeux, d’imposer le « cadre global » qu’il a décidé unilatéralement. Malgré les manœuvres de couloirs et les pressions exercées, cette opération a échoué puisque la quasi-totalité des organisations (20 sur 23) est entrée dans l’action le 14 novembre. Par contre, pendant cette période, gouvernement et directions d’entreprises se sont lancées dans des tractations avec certaines organisations syndicales, maniant à cette occasion le double langage et recherchant caution et division entre les syndicats mais aussi entre les régimes et les salariés concernés. 3. La Cgt réclame de véritables négociations Face à cette situation qui consacrait l’exclusion de la Cgt de toute discussion, la Cgt et ses fédérations concernées ont demandé une négociation tripartite globale dans une lettre à Xavier BERTRAND, vendredi 9 novembre. Cette négociation devait à nos yeux garantir une approche transparente sur le cadre global de la réforme et la détermination d’un programme concret de discussion dans chaque entreprise ou branche concernée qui n’exclut aucune revendication des personnels. Nous avons réaffirmé les désaccords de la Cgt sur l’allongement de la durée de cotisation et l’instauration d’une décote. Cette réunion, disions-nous dans la lettre, devait aussi permettre d’examiner plusieurs autres questions. Nous affirmions : « – la pénibilité des métiers et les contraintes liées à l’exercice de mission publique doivent être reconnues par des dispositions applicables à l’ensemble des générations (bonifications, départs anticipés…). La Cgt est opposée à des dispositifs pénalisant les jeunes embauchés ; – les primes et rémunérations complémentaires doivent être intégrées dans la base de calcul des pensions ; – les retraites doivent demeurer indexées sur l’évolution des salaires ; – les périodes d’étude, d’apprentissage, de formation doivent être incluses dans la durée de cotisations ». Le Ministre du Travail a refusé très sèchement le lendemain en évoquant deux problèmes : – l’hostilité de « certaines organisations syndicales » au principe d’une réunion globale tripartite. Le double langage de celles-ci était donc une réalité ; – la confirmation de notre désaccord sur les 40 ans de cotisations, dont il faisait explicitement un motif pour tenir à l’écart la Cgt. 4. L’exigence de négociations tripartites par régime au service des revendications Ce refus gouvernemental réitéré qui bloquait toute perspective a justifié que nous réavancions notre proposition d’origine de « négociations tripartites par régime ». Il fallait mettre en échec le projet de simples discussions destinées à mettre en application un cadre global prédéterminé. Il était donc important d’obtenir l’implication de l’Etat garant des règles applicables comme des moyens financiers indispensables. Il est en effet illusoire de penser que les entreprises et branches pourraient négocier seules alors que la tutelle de l’État est permanente sur tous les sujets. Il fallait mettre en échec la publication imminente des décrets par le gouvernement en prenant l’opinion publique à témoin sur le fait que cette publication allait intervenir sans qu’il y ait eu de négociations. Il s’agissait d’inverser la chronologie : passer de décret puis négociation à négociation, à l’appui du rapport de force puis décret traduisant juridiquement le contenu de la négociation. La lettre de Xavier BERTRAND, datée du jour même du début de la seconde mobilisation, le 14 novembre 2007, acte ces négociations tripartites dans chaque régime et garantit la possibilité pour chaque partie prenante de mettre sur la table toutes ses propositions. Elle prévoit la non-publication des décrets gouvernementaux pendant la période de négociation. La donne n’est plus la même, la logique est inversée. La Cgt, ses fédérations (Cheminots, Transports, Energie), dans une déclaration du 14 novembre 2007 à 22h, ont invité les salariés à « apprécier les avancées constatées… résultat de la puissance de l’action ». La Cgt est toujours animée par la préoccupation de pérenniser et d’améliorer l’ensemble des droits à retraite des salariés et retraités. En conséquence, elle veut : – peser sur le cadre global de la réforme ; – faire en sorte que les personnels ne subissent pas de préjudices. De plus, cette négociation tripartite par régime permet : – la transparence des positions de chacun et la mise sous surveillance par les salariés de ces négociations ; – d’aborder tous les points de la réforme en tenant compte des particularités de chacun des régimes. La solidarité entre salariés des différents régimes doit continuer. Cela passe désormais par la convergence d’exigences qui peut s’exprimer au travers d’un cadre de propositions et revendications communes aux régimes des IEG, des cheminots, de la Ratp. 5. Le contenu des nouvelles négociations régime par régime Vendredi 16 novembre commençait à se préciser le cadre de ces négociations tripartites par régime. Interpellé par la Cgt et d’autres organisations syndicales, le ministre du Travail a choisi de faire adresser par les présidents de la Sncf et de la Ratp aux organisations syndicales de leur secteur une lettre directement validée par le gouvernement et précisant le cadre des négociations qui pourraient s’ouvrir. Il faut noter que si le souci d’« harmonisation des régimes » est mentionné comme dans la lettre de Xavier BERTRAND, il n’est pas fait état explicitement du cadre global comme préalable. Bien sûr, celui-ci demeure en arrière-plan tout comme nos désaccords qui sont explicitement évoqués. Il est clair que c’est le rapport de force qui permet ce déblocage. A la suite de discussions dans la branche IEG, une 1ère rencontre était prévue dès lundi 19 novembre aux Industries électriques et gazières. Le même processus s’engage mercredi à la Sncf et à la Ratp. Les négociations prévues dans le cycle d’un mois porteront sur 3 catégories de questions : – les mesures qui tiennent aux règles mêmes de fonctionnement des régimes avec une série de thématiques qui permettent d’ouvrir la négociation sur des points essentiels : calcul des annuités, préservation du niveau des retraites, prise en compte des primes… ; – les mesures salariales et financières dont le champ est en fin de compte beaucoup plus large que celui proposé initialement par les directions d’entreprise ; – les mesures complémentaires. Il est évident par contre que la Cgt avec les fédérations et syndicats concernés abordent ce cycle de négociations avec ses propres objectifs revendicatifs. Nous devons pousser à la prise en compte concrète des propositions de la Cgt pour améliorer les droits des salariés. Tout comme le gouvernement a son propre cadre pour conduire les négociations, la Cgt travaille avec les organisations concernées à des repères communs à tous pour une harmonisation revendicative. REPERES COMMUNS POUR L’AVENIR DES RETRAITES RELEVANT DES REGIMES SPECIAUX 1. Durée de cotisation/validation du nombre de trimestres ou annuités exigé pour l’acquisition des droits à la retraite. La Cgt est opposée à l’allongement de la durée de cotisation et porte un certain nombre d’exigences pour garantir la retraite pour tous à taux plein à l’âge d’ouverture des droits : a) prise en compte des années d’études, d’apprentissage, de stage b) validation gratuites de différentes périodes (exemple : congés parentaux) c) prise en compte des enfants d) modalités de rachat des périodes e) durée minimale de service f) validation des années passées dans le régime général (pluri-pensionnés). 2. Prise en compte des compléments de rémunération pour le calcul de la retraite. Le taux de remplacement est en moyenne de 10 à 15 points plus bas dans les régimes spéciaux. Nous voulons un élargissement de l’assiette de calcul de la pension par l’intégration de primes et rémunérations complémentaires au salaire principal. 3. Décote et surcote : La Cgt est opposée à la mise en place de toute forme de « double peine ». Le plafonnement de la décote à 2,5 ans a été un premier recul. Il faut obtenir la suppression de ce système notamment en s’appuyant sur la situation insupportable des agents ayant des carrières courtes (agents rentrés tardivement, femmes ayant interrompu leur carrière) 4. Dispositif de reconnaissance de la pénibilité et des contraintes de service public. Maintien des bonifications. La Cgt refuse la mise en place d’un double statut qui pénaliserait les jeunes embauchés. Pénibilités et contraintes ne disparaissent pas. Il faut soit maintenir le système, soit trouver des modalités équivalentes. 5. Préservation du niveau des retraites liquidées. a) bilan et rattrapage de la situation ces dernières années b) indexation sur les salaires. c) clause de rendez-vous périodique. 6. Amélioration des rémunérations en fin de carrière. 7. Amélioration des carrières des agents. 8. Renforcement des régimes de prévoyance et d’action sociale. La Cgt demeure opposée à toute confusion entre retraite, prévoyance et épargne. Il n’en reste pas moins notre souci d’améliorer les régimes de prévoyance existants. a) mesures pour les salariés les plus modestes b) compléments aux dispositifs existants. 9. Meilleure prise en compte du handicap 10. Réexamen des conditions de mises à la retraite d’office. Il s’agit pour nous de porter l’ensemble des exigences sociales, qu’elles recouvrent des aspects statutaires propres à chacun des régimes, des aspects salariaux et bien sûr le niveau des pensions pour l’avenir. Tout acquis sera un point d’appui pour l’avenir des retraites tant des salariés du public que du privé. Mais nous ne pouvons moins que jamais en rester au seul plan d’une catégorie de salariés. La convergence public-privé devra se traduire par notre capacité à créer les conditions de mobilisation interprofessionnelle sur l’avenir des retraites. Face à un gouvernement qui veut allonger sans fin la durée d’assurance (41 ans en 2012 puis 42…), le rapport de force est nécessaire. C’est ce que vise la campagne nationale « Retraites » lancée depuis septembre qui doit prendre une dimension plus importante encore dans l’ensemble de nos organisations. La Commission exécutive de la Cgt a d’ores et déjà retenu le principe d’une mobilisation engageant actifs et retraités lors de la conférence tripartite dite de « garantie des retraites » qui doit se tenir avant le 31 décembre 2007
  6. Régimes spéciaux: Bertrand confirme la présence de l'Etat aux négociations mercredi AP - PARIS - Le ministre du Travail Xavier Bertrand a confirmé mardi que l'Etat enverrait un représentant mercredi aux négociations sur la réforme des régimes spéciaux dans le domaine des transports. "Dans le secteur des transports, demain matin auront lieu des réunions entre la direction de l'entreprise et les organisations syndicales, avec également (...) la participation, la représentation de l'Etat", a-t-il dit lors des questions à l'Assemblée. Pour autant, "nous souhaitons aussi qu'il y ait une dynamique de reprise du trafic", a-t-il répété. "Parce que même s'il y a depuis le début des trains qui circulent, même s'il y a depuis le début des bus qui circulent, il n'y en a pas assez pour que le trafic soit suffisant et pour assurer la bonne desserte", a-t-il jugé. Résolument optimiste au septième jour des grèves dans les transports, Xavier Bertrand a estimé que "les conditions sont réunies comme jamais pour que chacun fasse preuve de la meilleure volonté possible". "Ça va être quasiment demain (mercredi, NDLR) une semaine de galère" pour les usagers et de "gêne" pour la RATP et la SNCF, a regretté le ministre du Travail. "Les sommes perdues, il vaudrait mieux les utiliser notamment dans des négociations d'entreprise", a-t-il relevé. AP
  7. Si tu veux faire un don pense plutôt aux victimes du cyclone au Bengladesh !
  8. Il y a des stratégies syndicales et il y a des stratégies politiques en particulier la montée en puissance des organisations d'extrème-gauche. C'est certain. Les forces oragnisées cheminots sont un enjeu y compris pour la droite. De l'autre côté il y a aussi des affrontements à droite certes plus feutrés mais réel (UMP-MODEM) Il y a aussi "la base" dans toutes ses dimensions : les 75/80% en grève du 18/10 (donc 20/25% non-grévistes dont 15% "politiquement non-grévistes - les 5/10% autres surtout les jeunes non commissionnés - sur la base d'un petit calcul fait sur mon UO) Une forte mobilisation parceque la "retraite" est un enjeu social important (j'allais dire capital ...) 65% le 14/10 : une volonté de peser fort. Environ 30% actuellement surtout à la "production en temps réel". Il y a le fond c'est quand même important : les questions, interrogations, oppositions, revendications concernant la question des retraites. On ne peut pas les oublier dans l'analyse. Il y a aussi la forme : grève ou pas grève, reconductible, illimitée, carrée... je fais je fais pas... La base est difficilemnt contrôlable tant elle est diverse : les irréductibles, les engagés, les suivistes, les jean-foutistes, les béni-ouioui, les anti-syndicaux, les umpistes (peu nombreux mais il y en a...) sans parler de ceux qui sont largués ou ceux qui ne comprendront jamais rien...et la majorité silencieuse y compris dans les AG... Certains sont déterminés quelques soient les conséquences financières D'autres comptent les sous... D'autres espèrent régler quelques comptes au passages... je ne crois pas qu'on puisse réduire les évènements à un seul et unique affrontement. Il y a un jeu complexe. c'est vrai qu'on voit la face émergée de l'Iceberg et qu'il y a beaucoup de choses qu'on ne sait pas. Il y a un gros jeu d'acteurs et en même temps beaucoup de travail en souterrain. Mais pas seulement en haut... en bas aussi. Et puis il ya les rumeurs, les démentis, radio triage (ou autre), sans parler de Pernaut sur TF1 et Pujadas sur France 2... Une fois de plus on constate surtout aussi qu'il y a une minorité agissante avec toutes ses contradictions et les syndicats en font parti.
  9. Mis déjà sur un autre fil mais je pense qu'il a sa place ici... Mon analyse Selon la direction il y a aujourd'hui lundi environ 26 % de grévistes surtout dans les services de production les plus liés au trafic ferroviaire en temps réel (traction, asct, postes aiguillages, entretien matériel, accueil...) Demain manifestations prévues avec effet grève des services publics. Mercredi ouverture des négociations tripartites à la sncf (aussi à la RATP ? également EDF ?) Elles porteront sûrement sur le fond du cadrage d'orientation gouvernemental (déclarations des uns et des autres) et sur la méthodologies et les contenus... Je pense que tout le monde (gouvernement, direction, toutes OS) a intérêt à ce que des négociations s'ouvrent. Pour les 8 OS (CGT CFDT SUD FO CFTC CGC UNSA FGAAC) + l'amicale des cadres supérieurs SNCS ce sera l'occasion de s'exprimer sur le fond face au représentant de l'Etat et de réaffirmer leurs revendications et exigences. On peut à la fois s'opposer au projet gouvernemental et revendiquer. L'Etat ne voulait pas participer aux négociations et voulait renvoyer la balle aux directions d'entreprise pour gérer l'application économique et sociale... on verra comment il se comportera. On verra l'attitude de la direction de la sncf qui a déjà lâcheré beaucoup de choses et qui doit en avoir sous le coude. J'espère tout d'abord que nos 8 Organisations syndicales arriveront souder face à la direction et au représentant du gouvernement. Pour 6 d'entre elles CGT SUD FO CFTC UNSA CGC, le socle de revendications commun devrait être un outil fort face à la direction. La CFDT ne devrait pas en être très éloignée. la FGAAC viendra avec aussi je pense une volonté de défendre encore un peu plus les intérêts des conducteurs, mais peut être aussi j'espère de tous les autres cheminots. Je m'interroge plus sur l'attitude de SUD qui a présenté ce matin en AG une proposition de motion alors qu'il y avait le projet de socle de revendications. De plus les discours de ses secrétaires fédéraux sont ambigus (négociations ou pas de négociations dans l'entreprise, rejet de la réforme point barre mais quid des revendications et des réalités d'aujourd'hui...). La motion présentée par sud était à ce titre assez contradictoire par rapport au contenu du projet de socle de revendications. Ce que j'espère surtout c'est que l'unité des fédérations reste une réalité et se renforce à la sortie de cette réunion. Qu'aucune ne cherche à jouer solo. Qu'elles renvoient vers les cheminots les informations pour que tous les cheminots, chaque cheminot se fasse son opinion et reste mobiliser. On peut penser qu'on aura au moins un mois de négociations, tables rondes. J'espère qu'il n'y aura pas de négociations sous la table en catimini, de coups fourrés et foireux. Enfin à l'issue de ces négociations, je suis partisan que les cheminots s'expriment par référendum sur le contenu des résultats et qu'on recherche en tout état de cause un accord majoritaire sur la base du résultat des élections professionnelles par exemple ce qui obligera les OS à s'engager sur le fond et le contenu pour obtenir un tel accord car il nous faut gagner et faire plier direction et gouvernement sur la question des retraites. Je crois que nous avons démontré notre capacité à imposer un rapport de force réel (18/10, 14/11 et jours suivants). Nous devons aussi savoir regarder lucidement la situation actuelle (nombre de grévistes, etat de la circulation ferroviaire qui est un bon indicateur, état de l'opinion publique, problèmes d'unité, ...) Nous devons nous garder des munitions, des forces car il nous faudra surement, certainement remettre la pression (rassemblements régionaux, manifestations, arrêts de travail si nécessaire). Maintenant je comprends aussi ceux qui pensent qu'il faut au moins aller jusqu'à mercredi 20 pour mettre la pression sur l'ouverture de la phase de négociations. Mais de grâce au delà de nos divergences autant sur le fond que sur la forme, les stratégies syndicales des uns et des autres, les arrières pensées électoralistes ou autres, Sommes nous en capacité d'offrir face à la direction et au gouvernement, face à l'opinion publique, face aux cheminots, un rapport de force, un syndicalisme rassemblé et uni pour défendre nos intérêts professionnels y compris si il y en a qui sont catégoriels (et des revendications catégorielles j'en ai comme aiguilleur, agent de réserve...) ? Moi c'est mon souhait, mon exigence, ma responsabilité du moment. Il s'agit de nos droits, de nos vies. Je ne suis pas non plus sans contradictions moi-même. Je réfléchis. Je sais que je peux me planter dans mon analyse, mes propositions. Mais seul l'avenir me le démontrera.
  10. Dom Le Trappeur

    Otage !

    Ingrid Betancourt, otage en Colombie depuis près de six ans Le sort de Betancourt au coeur de la visite de Chavez à Paris Reuters - PARIS (Reuters) - Le sort d' Ingrid Betancourt, otage en Colombie depuis près de six ans, sera au coeur de l'entretien, mardi à l'Elysée, entre Nicolas Sarkozy et le président vénézuélien Hugo Chavez, qui tente une médiation dans ce dossier. Selon le comité de soutien de la captive franco-colombienne, les deux dirigeants rencontreront après un déjeuner de travail, la famille d'Ingrid Betancourt. Seront présents : ses enfants Mélanie et Lorenzo, son ex-mari Fabrice Delloye, son mari Juan-Carlos Lecompte, sa mère Yolanda et sa soeur Astrid. Alors candidate à la présidence colombienne, Ingrid Betancourt a été enlevée en février 2002 avec sa collaboratrice Clara Rojas par les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), qui n'ont pas fourni depuis plusieurs années la preuve qu'elles étaient encore en vie. Hugo Chavez a dit à plusieurs reprises espérer apporter à Nicolas Sarkozy une telle preuve. "Je ne l'ai pas encore, mais j'espère l'obtenir avant d'arriver à Paris", déclarait-il dans un entretien à la chaîne France 24 diffusé jeudi dernier. Dans un entretien publié lundi dans L'Humanité, Raul Reyes, numéro deux des Farc, déclare : "Bien sûr, il manque ces preuves de vie. Il nous faut les envoyer. Et nous travaillons en ce sens". Mais, ajoute-t-il, donner des preuves de vie "pourrait faire courir un risque" aux otages. "Pour nous l'idéal, c'est une vidéo (...) qui réunit toutes les conditions technologiques pour s'assurer de la survie d'Ingrid Bétancourt", a précisé par téléphone à la presse Hervé Marro, responsable du comité de soutien d'Ingrid Betancourt. Le déjeuner de mardi constituera la première rencontre entre le bouillant président vénézuélien et son homologue français. Hugo Chavez a rencontré au début du mois un haut responsable des Farc, mais son entreprise de médiation en est encore à ses tout débuts. Nicolas Sarkozy, quant à lui, avait reçu les enfants Betancourt peu après son arrivée à l'Elysée et déclaré vouloir donner priorité à la libération de leur mère, qui aura 46 ans le 25 décembre. "Chavez a sa personnalité, mais ne pas le recevoir c'est plomber une chance réelle de parvenir à une solution au problème" des otages, déclarait-on ce week-end dans l'entourage de Nicolas Sarkozy. "La question des preuves de vie d'Ingrid Betancourt sera au centre de cette discussion", affirmait la semaine dernière le porte-parole de l'Elysée, David Martinon. La sénatrice colombienne Piedad Cordoba, qui négocie avec les Farc le sort des otages, est arrivée lundi dans la capitale française, où Hugo Chavez était attendu dans la soirée. Dimanche à Paris, environ 200 personnes se sont rassemblées à l'appel du comité de soutien à Ingrid Betancourt, et un concert a été donné en présence des chanteurs Renaud, Patrick Bruel et Alain Souchon.
  11. La SNCF évoque une légère tendance à l'amélioration du trafic Reuters - Lundi 19 novembre, PARIS (Reuters) - Au sixième jour de grève des cheminots contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, la direction de la SNCF a fait état lundi d'une légère tendance à l'amélioration du trafic ferroviaire. Au total, 26,2% du personnel était en grève lundi matin contre 32,2% vendredi, a précisé un porte-parole. "C'est une légère tendance à l'amélioration par rapport à la semaine dernière", a-t-il souligné. Un TGV sur deux circule contre un sur sept au plus fort de la grève, la semaine dernière, le trafic TER "sera supérieur à celui de vendredi avec 964 trains" et 68% des trains Corail circulent, lit-on dans un communiqué. En revanche, le trafic RER reste fortement perturbé, un seul train circulant aux heures de pointe sur certaines destinations.
  12. Eh oui elle a lâché sous la pression, beaucoup de choses et de promesses en particulier début novembre...mais bon pour l'instant ça ne fait pas le joint avec la situation antérieure et les réalités actuelles.
  13. Selon la direction il y a aujourd'hui lundi environ 26 % de grévistes surtout dans les services de production les plus liés au trafic ferroviaire en temps réel (traction, asct, postes aiguillages, entretien matériel, accueil...) Demain manifestations prévues avec effet grève des services publics. Mercredi ouverture des négociations tripartites à la sncf (aussi à la RATP ? également EDF ?) Elles porteront sûrement sur le fond du cadrage d'orientation gouvernemental (déclarations des uns et des autres) et sur la méthodologies et les contenus... Je pense que tout le monde (gouvernement, direction, toutes OS) a intérêt à ce que des négociations s'ouvrent. Pour les 8 OS (CGT CFDT SUD FO CFTC CGC UNSA FGAAC) + l'amicale des cadres supérieurs SNCS ce sera l'occasion de s'exprimer sur le fond face au représentant de l'Etat et de réaffirmer leurs revendications et exigences. On peut à la fois s'opposer au projet gouvernemental et revendiquer. L'Etat ne voulait pas participer aux négociations et voulait renvoyer la balle aux directions d'entreprise pour gérer l'application économique et sociale... on verra comment il se comportera. On verra l'attitude de la direction de la sncf qui a déjà lâcheré beaucoup de choses et qui doit en avoir sous le coude. J'espère tout d'abord que nos 8 Organisations syndicales arriveront souder face à la direction et au représentant du gouvernement. Pour 6 d'entre elles CGT SUD FO CFTC UNSA CGC, le socle de revendications commun devrait être un outil fort face à la direction. La CFDT ne devrait pas en être très éloignée. la FGAAC viendra avec aussi je pense une volonté de défendre encore un peu plus les intérêts des conducteurs, mais peut être aussi j'espère de tous les autres cheminots. Je m'interroge plus sur l'attitude de SUD qui a présenté ce matin en AG une proposition de motion alors qu'il y avait le projet de socle de revendications. De plus les discours de ses secrétaires fédéraux sont ambigus (négociations ou pas de négociations dans l'entreprise, rejet de la réforme point barre mais quid des revendications et des réalités d'aujourd'hui...). La motion présentée par sud était à ce titre assez contradictoire par rapport au contenu du projet de socle de revendications. Ce que j'espère surtout c'est que l'unité des fédérations reste une réalité et se renforce à la sortie de cette réunion. Qu'aucune ne cherche à jouer solo. Qu'elles renvoient vers les cheminots les informations pour que tous les cheminots, chaque cheminot se fasse son opinion et reste mobiliser. On peut penser qu'on aura au moins un mois de négociations, tables rondes. J'espère qu'il n'y aura pas de négociations sous la table en catimini, de coups fourrés et foireux. Enfin à l'issue de ces négociations, je suis partisan que les cheminots s'expriment par référendum sur le contenu des résultats et qu'on recherche en tout état de cause un accord majoritaire sur la base du résultat des élections professionnelles par exemple ce qui obligera les OS à s'engager sur le fond et le contenu pour obtenir un tel accord car il nous faut gagner et faire plier direction et gouvernement sur la question des retraites. Je crois que nous avons démontré notre capacité à imposer un rapport de force réel (18/10, 14/11 et jours suivants). Nous devons aussi savoir regarder lucidement la situation actuelle (nombre de grévistes, etat de la circulation ferroviaire qui est un bon indicateur, état de l'opinion publique, problèmes d'unité, ...) Nous devons nous garder des munitions, des forces car il nous faudra surement, certainement remettre la pression (rassemblements régionaux, manifestations, arrêts de travail si nécessaire). Maintenant je comprends aussi ceux qui pensent qu'il faut au moins aller jusqu'à mercredi 20 pour mettre la pression sur l'ouverture de la phase de négociations. Mais de grâce au delà de nos divergences autant sur le fond que sur la forme, les stratégies syndicales des uns et des autres, les arrières pensées électoralistes ou autres, Sommes nous en capacité d'offrir face à la direction et au gouvernement, face à l'opinion publique, face aux cheminots, un rapport de force, un syndicalisme rassemblé et uni pour défendre nos intérêts professionnels y compris si il y en a qui sont catégoriels (et des revendications catégorielles j'en ai comme aiguilleur, agent de réserve...) ? Moi c'est mon souhait, mon exigence, ma responsabilité du moment. Il s'agit de nos droits, de nos vies. je ne suis pas non plus sans contradictions moi-même. J eréfléchis. Je sais que je peux me planter dans mon analyse, mes propositions. Mais seul l'avenir me le démontrera.
  14. Selon la direction il y a aujourd'hui lundi environ 26 % de grévistes surtout dans les services de production les plus liés au trafic ferroviaire en temps réel (traction, asct, postes aiguillages, entretien matériel, accueil...) Demain manifestations prévues avec effet grève des services publics. Mercredi ouverture des négociations tripartites à la sncf (aussi à la RATP ? également EDF ?) Elles porteront sûrement sur le fond du cadrage d'orientation gouvernemental (déclarations des uns et des autres) et sur la méthodologies et les contenus... Je pense que tout le monde (gouvernement, direction, toutes OS) a intérêt à ce que des négociations s'ouvrent. Pour les 8 OS (CGT CFDT SUD FO CFTC CGC UNSA FGAAC) + l'amicale des cadres supérieurs SNCS ce sera l'occasion de s'exprimer sur le fond face au représentant de l'Etat et de réaffirmer leurs revendications et exigences. On peut à la fois s'opposer au projet gouvernemental et revendiquer. L'Etat ne voulait pas participer aux négociations et voulait renvoyer la balle aux directions d'entreprise pour gérer l'application économique et sociale... on verra comment il se comportera. On verra l'attitude de la direction de la sncf qui a déjà lâcheré beaucoup de choses et qui doit en avoir sous le coude. J'espère tout d'abord que nos 8 Organisations syndicales arriveront souder face à la direction et au représentant du gouvernement. Pour 6 d'entre elles CGT SUD FO CFTC UNSA CGC, le socle de revendications commun devrait être un outil fort face à la direction. La CFDT ne devrait pas en être très éloignée. la FGAAC viendra avec aussi je pense une volonté de défendre encore un peu plus les intérêts des conducteurs, mais peut être aussi j'espère de tous les autres cheminots. Je m'interroge plus sur l'attitude de SUD qui a présenté ce matin en AG une proposition de motion alors qu'il y avait le projet de socle de revendications. De plus les discours de ses secrétaires fédéraux sont ambigus (négociations ou pas de négociations dans l'entreprise, rejet de la réforme point barre mais quid des revendications et des réalités d'aujourd'hui...). La motion présentée par sud était à ce titre assez contradictoire par rapport au contenu du projet de socle de revendications. Ce que j'espère surtout c'est que l'unité des fédérations reste une réalité et se renforce à la sortie de cette réunion. Qu'aucune ne cherche à jouer solo. Qu'elles renvoient vers les cheminots les informations pour que tous les cheminots, chaque cheminot se fasse son opinion et reste mobiliser. On peut penser qu'on aura au moins un mois de négociations, tables rondes. J'espère qu'il n'y aura pas de négociations sous la table en catimini, de coups fourrés et foireux. Enfin à l'issue de ces négociations, je suis partisan que les cheminots s'expriment par référendum sur le contenu des résultats et qu'on recherche en tout état de cause un accord majoritaire sur la base du résultat des élections professionnelles par exemple ce qui obligera les OS à s'engager sur le fond et le contenu pour obtenir un tel accord car il nous faut gagner et faire plier direction et gouvernement sur la question des retraites. Je crois que nous avons démontré notre capacité à imposer un rapport de force réel (18/10, 14/11 et jours suivants). Nous devons aussi savoir regarder lucidement la situation actuelle (nombre de grévistes, etat de la circulation ferroviaire qui est un bon indicateur, état de l'opinion publique, problèmes d'unité, ...) Nous devons nous garder des munitions, des forces car il nous faudra surement, certainement remettre la pression (rassemblements régionaux, manifestations, arrêts de travail si nécessaire). Maintenant je comprends aussi ceux qui pensent qu'il faut au moins aller jusqu'à mercredi 20 pour mettre la pression sur l'ouverture de la phase de négociations. Mais de grâce au delà de nos divergences autant sur le fond que sur la forme, les stratégies syndicales des uns et des autres, les arrières pensées électoralistes ou autres, Sommes nous en capacité d'offrir face à la direction et au gouvernement, face à l'opinion publique, face aux cheminots, un rapport de force, un syndicalisme rassemblé et uni pour défendre nos intérêts professionnels y compris si il y en a qui sont catégoriels (et des revendications catégorielles j'en ai comme aiguilleur, agent de réserve...) ? Moi c'est mon souhait, mon exigence, ma responsabilité du moment. Il s'agit de nos droits, de nos vies. je ne suis pas non plus sans contradictions moi-même. J eréfléchis. Je sais que je peux me planter dans mon analyse, mes propositions. Mais seul l'avenir me le démontrera.
  15. Vous avez pensé à faire voter les morts pour vos statistiques ...?
  16. Donc notre grève est utile, elle fera repartir l'achat de véhicules automobiles, donc la production automobile donc le transport ferroviaire de trains d'automobiles... Elle est pas belle la vie... et je suis sûr que la direction nous offrira un petit bonus pour avoir bien travailler au développement de notre entreprise et à ses bons résultats économiques et financiers... ça c'est ce qui s'appelle une bonne rentabilité systémique...
  17. mdrmdr)--> CITATION(Leprivé @ 19/11/2007 13:21) Bon, je tiens à préciser que les voyaguers "raleurs" représentent qu'une minorité des passagers d'un train. Il y'a pas mal de personnes compréhensives. D'ailleurs, je tiens à remercier ces derniéres. Bon courage à tous et à demain pour une nouvelle journée de gréve (je devais être en congés! ) Il est clair que moi le premier je ne vais pas râler contre les agents comme toi qui travaille. Merci à toi de montrer l'exemple. Donc quand les cheminots seront au boulot j'espère que tu les féliciteras... Moi je peux tenter de faire grève, je pense que dans la 1/2 heure qui suit j'ai recu un petit courrier du patron pour me remercier. Un peu méchant ton patron là non ? je croyais que la grève ou plus simplement l'activité syndicale étaient des droits constitutionnels tu sais Liberté égalité fraternité, la république...
  18. Olivier Besancenot: "la vraie rentrée sociale, c'est cette semaine" AP - Lundi 19 novembre, PARIS - Le porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) Olivier Besancenot prévient lundi que "la vraie rentrée sociale, c'est cette semaine avec la convergence du conflit des transports, des universités et l'entrée en scène des services publics". "Demain ce sera une journée-test", avec la mobilisation des fonctionnaires, estime Olivier Besancenot dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France". "J'y crois car les régimes spéciaux, c'est l'apéro. Le plat principal viendra avec le recul de l'âge de la retraite à 62, 63 voire 65 ans". "Le gouvernement fait de la gonflette sur le thème 'c'est nous les plus forts'. Résultat, le mouvement se radicalise", souligne le porte-parole de la LCR . "Le duo Sarkozy/Fillon mise sur le pourrissement du conflit en tentant d'isoler les grévistes et de diviser les syndicats", mais "c'est la méthode Thatcher d'il y a 30 ans". "Aujourd'hui la base maîtrise et contrôle. Elle n'est pas prête à obéir au doigt et à l'oeil à des ordres venus d'en haut et c'est tant mieux", assure Olivier Besancenot. AP
  19. La grève SNCF reconduite en région PACA Marseille Reuters Plusieurs assemblées générales de cheminots en région Provence-Alpes-Côte d'Azur ont reconduit lundi pour au moins 24 heures la grève contre la réforme des régimes spéciaux, apprend-on de source syndicale. "La tendance est à la reconduite pour 24 heures du mouvement", a déclaré le délégué CGT-Cheminots Daniel Tourlan. Les assemblées ont également voté pour mandater les fédérations à négocier mercredi prochain lors d'une table ronde tripartite prévue à la direction de la SNCF, a-t-il précisé. Peu avant midi, une dizaine d'assemblées générales s'étaient déjà tenues dans la région.
  20. Les cheminots de Bordeaux reconduisent la grève Les cheminots bordelais ont reconduit lundi pour 24 heures la grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite lors d'un vote en assemblée générale, apprend-on de source syndicale. Les agents d'exploitation du site de Bordeaux se sont prononcés à bulletin secret. Sur 102 votants, 97 se sont prononcés pour maintenir la grève et cinq se sont abstenus. Par ailleurs, 99 ont validé le socle commun de revendications rédigé par les six syndicats de cheminots poursuivant le mouvement lancé mercredi dernier. Selon Christian Gonzales, responsable CGT Aquitaine, "les cheminots veulent peser dans les débats qui vont s'ouvrir au niveau national". Une table ronde entre syndicats et direction de la SNCF est prévue mercredi, en présence d'un représentant de l'Etat. "Les assemblées générales sont représentatives de la situation", a-t-il dit. "Selon nos informations, les grévistes étaient
  21. Régimes spéciaux: les syndicats "disponibles" pour négocier avant mercredi Plusieurs fédérations syndicales ont annoncé lundi être prêtes à ouvrir les négociations tripartites avec les entreprises concernées "sans attendre mercredi", date prévue pour la rencontre entre les syndicats, les entreprises concernées et le gouvernement. "Si la direction de la SNCF et le gouvernement veulent avancer cette réunion, les cheminots sont prêts", a affirmé le secrétaire fédéral de Sud-Rail Christian Mahieux. la CGT demandait dès vendredi l'ouverture de négociations pendant le week-end dernier Dans un communiqué, FO-Cheminots déclare rester "disponible à toute sollicitation de l'entreprise et du gouvernement qui permettrait d'entamer sans délai des négociations". Le secrétaire de la CFDT François Chérèque a lui aussi estimé que les négociations pourraient s'ouvrir "dès ce (lundi) matin", une suggestion déjà émise dimanche par le premier secrétaire du PS François Hollande. "Il m'a semblé que la majorité des organisations syndicales qui souhaitaient que ce soit mercredi", a répondu sur France-Inter Raymond Soubie, conseiller social de Nicolas Sarkozy. "Le gouvernement était prêt à négocier hier, avant-hier, ce matin, ce soir, cet après-midi", a-t-il lui aussi assuré. A la SNCF, on précisait simplement que la réunion restait fixée à mercredi
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