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Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La réunion des fédés (6, 7 ou 8, sud ou pas sud..., fgaac ou pas fgaac ?) a commencé à 16h30 elle a du se terminer vers 18h30/19h Pour moi la reconduction concerne la journée de vendredi car des AG devaient se tenir à cette heure là... -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
En plus il s'agit de la reconduction pour le vendredi 16 déjà décidée en AG du matin ou en soirée... -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
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SNCF et RATP: la base rechigne et la grève se poursuit AFP - PARIS (AFP) - La grève dans les transports, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi, malgré une baisse du taux de grévistes, va se poursuivre vendredi, et jusqu'à samedi à la SNCF, la base rechignant à se contenter d'annonces de négociations tripartites (Etat, syndicats, directions). Evénement Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce du taux de grévistes. Si la participation semblait refluer, la plupart des assemblées générales (AG) à la SNCF et RATP ont reconduit la grève jusqu'à vendredi, Sud-Rail notant une "très forte implication des cheminots dans le mouvement". Sept fédérations syndicales de cheminots ont demandé aux AG de reconduire vendredi le mouvement de grève "pour 24 heures", soit jusqu'à samedi. Plus tôt dans la journée, Didier Le Reste (CGT-cheminots) avait pourtant laissé entrevoir un possible apaisement, expliquant que le gouvernement avait proposé "des éléments nouveaux", et que les salariés devaient "en débattre et décider" de poursuivre ou suspendre la grève. Mais la lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne pouvaient s'en contenter", voulant savoir ce qu'il y aura "dans le panier des négociations", selon FO. Dans sa missive, M. Bertrand a accordé "un mois" aux syndicats pour trouver une issue avec les entreprises, et accepté la participation de l'Etat aux négociations, réclamée par la CGT, tout en exigeant "le respect des principes d'harmonisation". Six syndicats de cheminots, mais pas Sud-Rail, ont demandé à M. Bertrand d'organiser vendredi une réunion tripartite "pour fixer le cadre" des négociations à la SNCF. Mais le ministre a redit jeudi soir que les discussions ne pourraient commencer qu'après la fin de la grève. "Je demande aux organisations syndicales dans les entreprises d'appeler à la reprise du travail", a-t-il déclaré sur France 3, ajoutant: "on ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps". Peu avant l'intervention de M. Bertrand, la CFTC-cheminots avait rappelé que "ce sont les cheminots qui font la loi sur le terrain" et Sud-Rail appelé à rejeter le "cinéma" du ministre. Plusieurs confédérations syndicales penchaient pourtant pour la reprise du travail, comme la CFDT de François Chérèque. Côté trafic , M. Bertrand a dénombré jeudi "deux fois plus" de bus, de trains et plus de rames de métro que la veille, mais a souligné que la "galère" continuait pour les usagers. Le trafic SNCF est resté perturbé, malgré des améliorations, notamment sur les TGV et les Corail. A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% de grévistes, contre 44% mercredi. Vers 18H00, huit lignes de métro et les RER A et B ne fonctionnaient pas ou quasiment pas. A EDF et GDF, où FO et CGT disaient poursuivre le mouvement, le taux de grévistes a chuté à 2,1% et 3,6%). Vendredi, la RATP prévoit un trafic encore "perturbé" avec un métro sur cinq en moyenne, des RER A et B "très perturbés" et 40% des bus et tramways. La SNCF a annoncé une "nouvelle amélioration", mais le trafic restera perturbé vendredi (avec 250 TGV sur 700 en circulation, 60 trains Corail et entre un et quatre Transiliens par heure) et "pas normal" durant le week-end. -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
15 novembre 2007 - 22h LES FEDERATIONS SYNDICALES DES CHEMINOTS CGT – CFDT – FO – CFTC – SUD-Rail – UNSA – CFE/CGC Les fédérations syndicales de cheminots se sont réunies ce jour, jeudi 15 novembre 2007, afin de faire le point sur l’action des cheminots et les suites à lui donner. Après la grève exceptionnelle du 18 octobre, les cheminotes et les cheminots se sont à nouveau fortement mobilisés ces deux derniers jours (63,2 % tous collèges le 14 novembre et 45 % le 15 novembre). C’est une participation massive dans le cadre d’un mouvement reconductible. L’ampleur de cette participation à la grève montre la forte détermination des cheminots à défendre leur régime spécial de retraite. Cette mobilisation porte aussi sur l’exigence du développement du Service Public, du Fret SNCF, de l’Emploi à statut et l’augmentation du pouvoir d’achat. Face à cette mobilisation, le gouvernement a été contraint de concéder des négociations tripartites gouvernement, directions d’entreprises et organisations syndicales, comme demandé par l’ensemble des organisations syndicales de cheminots le 22 octobre dernier. Les fédérations CGT – CFDT – FO – CFTC – UNSA – CFE/CGC considèrent que cette annonce du Ministre du Travail doit maintenant se traduire par un contenu et un calendrier précis à la SNCF. Nos fédérations exigent la pérennité de notre régime spécial de retraite et de ses droits. Dans ce cadre, les fédérations CGT – CFDT – FO – CFTC – UNSA – CFE/CGC demandent par courrier, adressé ce jour au Ministre du Travail, que soit organisée dès demain la première réunion qui aura pour objectif de préciser les points qui seront négociés tout au long du processus ainsi qu’un calendrier précis. En tout état de cause, ce sont les cheminots dans les assemblées générales qui décideront de la suite à donner à l’action et de l’évolution de la situation. Le rapport de forces, l’unité devront être maintenus pour gagner nos revendications. En ce sens, nous devons aussi poursuivre nos échanges avec l’opinion publique sur la justesse de notre action qui va dans le sens de l’intérêt de l’ensemble des salariés de ce pays et du service public. Nos fédérations appellent les cheminots, réunis en assemblées générales, à reconduire la grève pour une nouvelle période de 24 heures. Paris, le 15 novembre 2007 Explications de texte ? -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Sur ce coup là j'espère qu'on va retrouver le chemin d'un syndicalisme rassemblé avec des cheminots unis et mobilisés pour la défense de nos intérêts communs. -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La Fgaac a-t-elle été invitée et participe-t-elle à la réunion interfédérale des fédérations de cheminots à Montreuil ? -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
14 novembre: un engagement fort et unitaire Déclaration de la CGT et des Fédérations des Cheminots, des Transports, de Mines-Energie 14 novembre 22h Dans le prolongement du 18 octobre, la journée de mobilisation unitaire du 14 novembre marque indéniablement l’engagement fort et unitaire des salariés relevant des régimes spéciaux pour la défense de leurs droits en matière de retraite. Fac-similé Lire la lettre envoyée par le ministre du travail, Xavier Bertrand, aux confédérations syndicales en réponse à la proposition de la CGT de négociations tripartites entreprise par entreprise. Les taux de grévistes ont été particulièrement élevés : de l’ordre de 64 % à la Sncf, 65 % à EDF-GDF, 45 % à la Ratp. En l’absence d’éléments nouveaux, la reconduction de la grève pour 24 heures a été votée unitairement dans de nombreux établissements et sites. Par un courrier du Ministre du Travail Xavier Bertrand adressé aux organisations syndicales dans la soirée, le gouvernement indique qu’il accepte désormais l’ouverture de négociations tripartites par entreprises ou branches professionnelles « avec la participation d’un ou de représentant(s) de l’Etat ». Il écrit : « l’objectif d’un mois de négociation peut être retenu ». Après que les autres confédérations aient refusé une réunion tripartite sur le cadre global de la réforme, cette lettre est une réponse à une demande formulée par la Cgt. Elle est le résultat de la puissance de l’action Samedi, le même Ministre faisait de notre désaccord sur la durée de cotisation portée à 40 ans un préalable aux discussions. Bien que nous ayons maintenu nos désaccords, le préalable a disparu. La Cgt considère que l’ouverture de discussions tripartites est incontestablement un cadre nouveau qui permet aux salariés de porter leurs revendications sur l’ensemble des éléments constitutifs des droits à la retraite. Ainsi, la participation de représentants de l’Etat donne un sens et une légitimité nouvelle à des discussions, hier conduites exclusivement par les directions d’entreprises. Le gouvernement précise : « les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant l’amélioration de la situation des agents y seront examinées » Ces négociations permettront d’assurer la transparence des positions et des propositions des uns et des autres. Ce qui n’était pas le cas des discussions bilatérales menées parfois en coulisses par le gouvernement et les directions d’entreprises. Cela permettra donc une information et une intervention régulières des salariés à chacune des étapes des négociations. La Confédération Cgt et ses Fédérations concernées sont totalement lucides sur la situation. Elles ne considèrent pas que les désaccords ont disparu. Elles comptent bien les aborder à nouveau dans les réunions. C’est notamment le cas de la durée des cotisations, des conditions d’application de la décote, de l’indexation des retraites et de l’éventualité d’instaurer un statut dégradé dont les victimes seraient les futurs embauchés. La Cgt sera particulièrement vigilante pour obtenir des engagements se concrétisant par la pérennité de chacun des régimes et des droits correspondants des salariés. La Cgt est naturellement consciente qu’à cette étape de l’action, l’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir pour un déroulement et des résultats conformes aux aspirations des agents. La période qui s’ouvre nécessite une vigilance et une présence massive de tous les personnels qui se sont engagés dans les différentes phases de la lutte. Elle leur demande d’apprécier les avancées constatées et de prendre en assemblées générales les décisions qui préservent leurs forces et l’unité syndicale. Montreuil, le 14 novembre 2007 – 22 H 00 -
14 Novembre : Un Engagement Fort Et Unitaire
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
14 novembre: un engagement fort et unitaire Déclaration de la CGT et des Fédérations des Cheminots, des Transports, de Mines-Energie Dans le prolongement du 18 octobre, la journée de mobilisation unitaire du 14 novembre marque indéniablement l’engagement fort et unitaire des salariés relevant des régimes spéciaux pour la défense de leurs droits en matière de retraite. Fac-similé Lire la lettre envoyée par le ministre du travail, Xavier Bertrand, aux confédérations syndicales en réponse à la proposition de la CGT de négociations tripartites entreprise par entreprise. Les taux de grévistes ont été particulièrement élevés : de l’ordre de 64 % à la Sncf, 65 % à EDF-GDF, 45 % à la Ratp. En l’absence d’éléments nouveaux, la reconduction de la grève pour 24 heures a été votée unitairement dans de nombreux établissements et sites. Par un courrier du Ministre du Travail Xavier Bertrand adressé aux organisations syndicales dans la soirée, le gouvernement indique qu’il accepte désormais l’ouverture de négociations tripartites par entreprises ou branches professionnelles « avec la participation d’un ou de représentant(s) de l’Etat ». Il écrit : « l’objectif d’un mois de négociation peut être retenu ». Après que les autres confédérations aient refusé une réunion tripartite sur le cadre global de la réforme, cette lettre est une réponse à une demande formulée par la Cgt. Elle est le résultat de la puissance de l’action Samedi, le même Ministre faisait de notre désaccord sur la durée de cotisation portée à 40 ans un préalable aux discussions. Bien que nous ayons maintenu nos désaccords, le préalable a disparu. La Cgt considère que l’ouverture de discussions tripartites est incontestablement un cadre nouveau qui permet aux salariés de porter leurs revendications sur l’ensemble des éléments constitutifs des droits à la retraite. Ainsi, la participation de représentants de l’Etat donne un sens et une légitimité nouvelle à des discussions, hier conduites exclusivement par les directions d’entreprises. Le gouvernement précise : « les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant l’amélioration de la situation des agents y seront examinées » Ces négociations permettront d’assurer la transparence des positions et des propositions des uns et des autres. Ce qui n’était pas le cas des discussions bilatérales menées parfois en coulisses par le gouvernement et les directions d’entreprises. Cela permettra donc une information et une intervention régulières des salariés à chacune des étapes des négociations. La Confédération Cgt et ses Fédérations concernées sont totalement lucides sur la situation. Elles ne considèrent pas que les désaccords ont disparu. Elles comptent bien les aborder à nouveau dans les réunions. C’est notamment le cas de la durée des cotisations, des conditions d’application de la décote, de l’indexation des retraites et de l’éventualité d’instaurer un statut dégradé dont les victimes seraient les futurs embauchés. La Cgt sera particulièrement vigilante pour obtenir des engagements se concrétisant par la pérennité de chacun des régimes et des droits correspondants des salariés. La Cgt est naturellement consciente qu’à cette étape de l’action, l’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir pour un déroulement et des résultats conformes aux aspirations des agents. La période qui s’ouvre nécessite une vigilance et une présence massive de tous les personnels qui se sont engagés dans les différentes phases de la lutte. Elle leur demande d’apprécier les avancées constatées et de prendre en assemblées générales les décisions qui préservent leurs forces et l’unité syndicale. Montreuil, le 14 novembre 2007 – 22 H 00 -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La grève va se poursuivre vendredi, malgré l'annonce d'un dialogue Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - PARIS La grève à la SNCF et la RATP, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi malgré moins de grévistes, devrait se poursuivre vendredi avec une ampleur encore inconnue, la base rechignant à se satisfaire de l'annonce de négociations entre syndicats, directions et gouvernement. Evénement Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite était suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi en milieu de journée, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce des taux de grévistes. De son côté, la CGT-Cheminots a fait état de 46% de grévistes contre 64% la veille. Avec sept syndicats sur huit appelant à la grève, le trafic était toujours perturbé jeudi, mais avec quelques améliorations notamment pour les TGV et Corail. A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% d'agents grévistes, contre 44% mercredi. Vers 14H00, 5 lignes de métro ne fonctionnaient pas, de même que les RER A et B. Chez EDF et GDF, où seuls FO et la CGT poursuivaient le mouvement, les pourcentages de grévistes étaient très faibles, selon les directions : respectivement 2,1% et 3,6%. La Comédie-Française a annulé pour le deuxième jour consécutif le spectacle programmé en soirée dans son grand théâtre. Les assemblées générales tenues dans la matinée sur les sites SNCF et RATP ont en majorité reconduit la grève jusqu'à vendredi, selon les syndicats CGT et FO-cheminots. Les cheminots de Nantes, Caen, Le Mans ont ainsi voté jeudi à une large majorité la reconduction, comme ceux de Haute-Normandie et de trois établissements de Paris-Nord. La lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne peuvent s'en contenter" pour qui "il faut maintenir la pression" jusqu'à l'ouverture de négociations. Dans sa missive, M. Bertrand accorde "un mois" aux syndicats pour trouver avec les entreprises une issue, et accepte la participation de représentants de l'Etat aux négociations, comme l'avait réclamée la CGT. Mais il exige "le respect des principes d'harmonisation" : ces discussions "ne sont pas faites pour annuler le passage aux 40 ans" de cotisation, a-t-il prévenu jeudi. D'ores et déjà, la RATP prévoit pour vendredi un trafic encore "perturbé" avec une rame de métro sur 5 en moyenne, sauf sur la 1 et la 14, des lignes A et B du RER "très perturbées" et 40% en moyenne des bus et tramways. La SNCF devait donner ses prévisions en milieu d'après-midi. Les syndicats de cheminots devaient se réunir à 16H30 pour "examiner la situation", selon le secrétaire général de la CGT-cheminots Didier Le Reste. Pour François Chérèque (CFDT), les éléments sont réunis pour "suspendre la grève à la SNCF". Mais selon Jean-Claude Mailly (FO), "tout doit être sur la table" durant les négociations, sans condition "préalable" de la part du gouvernement. Sud-Rail, 2e syndicat de l'entreprise ferroviaire, a jugé sans intérêt "la copie" de M. Bertrand, appelant les cheminots à "rejeter très massivement ce cinéma". Le porte-parole de l'Elysée a déclaré à la mi-journée que l'exécutif n'était "pas pessimiste" sur une issue prochaine de la grève, ajoutant qu'il travaillait à ce que le mouvement "ne dure pas". -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La SNCF "invite à nouveau" les syndicats à rejoindre la table des négociations AP -16h- Paris La direction de la SNCF "invite à nouveau" les syndicats à rejoindre la table des négociations dans l'entreprise, selon un communiqué diffusé jeudi au deuxième jour d'une grève reconductible contre la réforme des régimes spéciaux. Depuis vendredi dernier, la direction de la SNCF propose aux syndicats de négocier un accord notamment des "augmentations salariales d'accompagnement des prolongations de carrière au-delà de 55 ans", ou encore une "meilleure prise en compte de la pénibilité au sein de l'entreprise". La direction de la SNCF confirme qu'une rencontre s'est tenue mercredi 14 novembre avec la CFDT, la CFTC et la CGC sur les propositions formulées par la direction. "Les organisations syndicales ont pris connaissance de ces propositions qu'elles ont souhaité mettre en débat au sein de leurs fédérations respectives avant de pouvoir arrêter leur position dans les délais proposés par la direction", souligne le communiqué. La CGC (0,62% des voix aux dernières élections professionnelles dans l'entreprise) "a d'ores et déjà confirmé son accord sur ces propositions. Ce n'est pas le cas de la CFTC et de la CFDT", rappelle le communiqué. La direction "invite à nouveau l'ensemble des organisations syndicales à rejoindre la table des négociations". Les fédérations syndicales de cheminots se réunissent ce jeudi en fin d'après-midi pour décider des suites à donner au mouvement. AP -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Grève reconduite pour 24h Reuters - PARIS (Reuters) - jeudi 15 novembre 15h30 La grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été reconduite jeudi pour 24 heures à la SNCF et à la RATP dans l'attente de la réponse des syndicats à l'offre gouvernementale d'un délai d'un mois pour négocier par entreprise et par branche. Les assemblées générales qui se sont tenues jeudi matin se sont majoritairement prononcées pour la poursuite du mouvement dans les transports publics, a-t-on appris de sources syndicales. L'intersyndicale des cheminots devait se réunir à 16h30 au siège de la CGT, à Montreuil (Seine-Saint-Denis), pour faire le point, mais la base, plus radicalisée, souligne qu'elle attend toujours des "éléments concrets" du gouvernement et de la direction de la SNCF. Pour Xavier Bertrand, toutefois, "les conditions sont aujourd'hui réunies pour qu'on puisse faire progresser les négociations dans les entreprises". "Je crois sincèrement qu'on a la possibilité de sortir par le haut", a dit le ministre du Travail jeudi matin sur RMC et BFM TV. Quatre fédérations de cheminots (CGT, FO, CFTC, Unsa) militent pour une grève reconductible, de même que Sud-Rail, deuxième syndicat à la SNCF, écarté des discussions avec le gouvernement au motif "juridique que ce n'est pas une confédération", a-t-on expliqué de source gouvernementale. A la RATP, quatre syndicats (CGT, Sud, Unsa, FO) plaident aussi pour une action sur la durée. Le ministre du Travail a adressé mercredi soir une lettre aux dirigeants syndicaux (CGT, CFDT, Fgaac - non gréviste -, Unsa, FO, CFTC, CFE-CGC) pour fixer les modalités de négociations tripartites Etat-syndicats-entreprise sur la réforme de chaque régime spécial. L'EXÉCUTIF MAINTIENT SES "LIGNES ROUGES" Xavier Bertrand donne un mois aux parties pour négocier. "A l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics, puis publiés", précise-t-il dans la lettre. Le secrétaire général de la CDFT, François Chérèque, a jugé que les éléments étaient réunis pour une suspension de la grève. Mais pour le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, "tout doit être sur la table", sans "préalable". L'exécutif a réaffirmé jeudi par la voix du porte-parole de l'Elysée, David Martinon, que ses "lignes rouges" restaient inchangées. A savoir l'allongement progressif de la durée de cotisation de 37,5 à 40 annuités d'ici à 2012, l'indexation des pensions sur les prix et non plus les salaires, le système de la "décote", qui implique qu'un agent travaillant moins de 40 ans voie sa pension amputée. "Nous ne sommes pas pessimistes, car des évolutions importantes se produisent", a souligné David Martinon. Les régimes spéciaux bénéficient à 1,1 million de retraités et 500.000 actifs. Selon la direction de la SNCF, la grève était suivie par 42,8% des agents jeudi contre 61,5% la veille. Le trafic était en légère amélioration sur le réseau ferroviaire, mais les perturbations restaient importantes pour les usagers. Un TGV sur cinq devait circuler - 150 environ sur 700 en temps normal -, contre un sur sept mercredi, et un train Corail sur six, chiffre inchangé, ainsi qu'un TER sur trois. A la RATP, on comptait une rame sur trois ou quatre en moyenne avec un trafic quasi nul sur certaines lignes. Le trafic était inexistant sur les lignes A et B du RER, 30% des bus et tramways circulaient en moyenne. La direction de l'entreprise publique prévoyait un trafic "perturbé" vendredi. -
Des Adhérents De La Fgaac Ont Reçu Des "menaces",
Dom Le Trappeur a répondu à laconi situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Comme quoi j'ai bien fait de demander... -
UP : grève AG merguez et saucisses UP bis : beaujolais nouveau... UP 2 : ordinateur et adsl internet sur place (mais pas sur le barbecue...) UP 3 : Soleil mais ça pêle Down : le DET est au boulot ...il aurait pu venir casser la croûte avec nous
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Grève Historique Du Rail En Allemagne:
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Tenez ça nous changera de notre quotidienne actualité ... Au fait avez-vous une mauvaise opinion de l'Allemagne à cause de cette grève ? Grève historique du rail en Allemagne: trafic perturbé, économie inquiète Par Par Géraldine SCHWARZ AFP - BERLIN (AFP) - Les conducteurs de train ont étendu jeudi leur grève à l'ensemble des lignes, fret et passagers, dans une épreuve de force sans précédent dans l'histoire de la Deutsche Bahn qui perturbait fortement le trafic et inquiétait l'industrie. Si la Bahn ne fait pas d'offre d'ici lundi, le syndicat GDL veut lancer une "grève illimitée" qui "pourrait durer jusqu'à Noël", a menacé un responsable, Hans-Joachim Kernchen. "Si GDL pense nous forcer à la capitulation inconditionnelle, cela ne leur réussira pas", a réagi un haut responsable de la compagnie publique, Karl-Friedrich Rausch. "La plus grande grève de l'histoire de la Deutsche Bahn", selon son propre dire, contraignait des millions de passagers à trouver une alternative pour se déplacer, même si la paralysie était évitée dans la matinée. La situation était très critique dans l'est, où seuls 10% des trains régionaux circulaient, contre 50% pour le reste du pays. Les réseaux urbains étaient aussi particulièrement touchés. A Francfort (ouest) et Stuttgart (sud-ouest), seul un tiers des "S-Bahn" circulaient. A Berlin, Hambourg (nord) et Munich (sud) il fallait patienter entre 20 mn et une heure entre chaque train. Sur les grandes lignes, environ deux tiers des trains circulaient, essentiellement des trains à grande vitesse (ICE). Le trafic était perturbé entre l'Allemagne et l'Autriche. Des compagnies aériennes à bas coût comme Air Berlin et Germanwings bénéficiaient par ricochet du mouvement avec une hausse des réservations de 15 à 30%. Même aubaine pour les agences de covoiturage et les loueurs de voitures tel Sixt. La situation était "de plus en plus tendue" dans le transport de marchandises, où les arrêts de travail touchaient en moyenne jeudi 40% des trains, avec des pics de 90% à Berlin et 70% à Hambourg. Environ 3.070 conducteurs participaient aux grèves jeudi, contre 550 la veille pour le seul fret, selon GDL. Les grèves doivent s'achever dans tous les secteurs samedi à 01H00 GMT. Le gouvernement a demandé un "retour à la table des négociations" et multiplie les appels pour éviter l'"escalade", soutenu par des politiciens de tous bords. Le président du petit syndicat, Manfred Schell, a déclaré n'avoir "aucun indice" que la Bahn prépare une nouvelle offre "acceptable". La Fédération du fret et de la logistique a mis en garde contre les conséquences de la grève. "Si les ports maritimes sont bloqués, le coût économique quotidien pourrait dépasser les 500 millions d'euros", a dit son vice-président Adolf Zobel au journal Passauer Neue Presse. Les autorités du port de Hambourg, deuxième d'Europe, ont signalé mercredi des retards dans les livraisons par le rail vers et en provenance du port. Les secteurs les plus touchés sont les insdutries automobile, chimique et sidérurgique. La situation inquiétait d'autant plus l'industrie que les transporteurs privés ont indiqué être dans l'incapacité d'absorber les transports de marchandises de la compagnie publique. Ils ont néanmoins accepté de mettre à disposition des conducteurs. Cette grève est le dernier épisode en date d'un bras de fer qui a déjà occasionné cinq arrêts de travail, toujours plus durs. GDL, qui compte 30.000 adhérents, réclame une hausse de salaires substantielles mais surtout une convention collective séparée, ce que refuse la Bahn au nom de l'unité tarifaire. -
Et Si Tout était à Gagner Dans Un Mois ?
Dom Le Trappeur a répondu à toz59 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
En AG ce matin, les cheminots exigeaient surtout d'en savoir plus non seulement sur le calendrier des négociations tripartites mais aussi sur le contenu des négociations notamment - l'age limite de départ en retraite et conditions - le nombre d'annuités, rejet des 40 annuités - la suppression des décotes - les bonifications pour travail pénible (nuit, décalés, physique...) et la continuité de service - l'alignement pensions/salaires etc... la grève est reconduite dans l'attente de ces éléments. une lettre en ce sens a été remise au DET local En gros la lettre de Bertrand est insuffisante. -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Régimes spéciaux: baisse significative du nombre de grévistes à la SNCF Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - 13h30 PARIS (AFP) - Le nombre de grévistes dans les chemins de fer français a significativement diminué jeudi, au deuxième jour d'un mouvement contre la réforme sur les régimes spéciaux de retraite, ont indiqué la CGT, syndicat majoritaire chez les cheminots, et la présidence française. La grève était suivie jeudi par 46% des salariés de la SNCF, contre 64% la veille, a affirmé à l'AFP Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-Cheminots. Selon le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, elle était suivie par 42,8% des salariés contre 61,5% la veille. Les transports français continuaient néanmoins de connaître de fortes perturbations jeudi, notamment en région parisienne. Les perturbations dans les transports, à la SNCF et la RATP, sont encore fortes jeudi alors que les syndicats doivent se prononcer sur le délai d'un mois accordé mercredi soir par le gouvernement pour négocier. La circulation sur les autoroutes et voies rapides d'Ile-de-France, avec 277 km de bouchons à 7H00, était plus difficile jeudi matin que mercredi, nombre de franciliens ayant repris le volant. Le trafic SNCF était toujours perturbé, mais avec quelques améliorations par rapport à la veille. Quelque 150 TGV doivent circuler dans la journée sur 700 en temps normal, une cinquantaine de Corail sur 300, un TER sur trois, avec le renfort de 2.000 cars de substitution en régions. Le trafic des Eurostar et Thalys est normal. Dans le Nord, des grévistes ont bloqué les aiguillages de la gare de Lille-Flandres et la SNCF a fait appel aux forces de l'ordre. En région parisienne, 2 à 4 Transiliens circulent par heure de pointe, avec 1.000 bus en complément. A la RATP, on comptait au petit matin 1 métro sur 3 ou 4 sur une majorité de lignes, environ 30% de bus et de tramways et le trafic était quasi-nul sur le RER A et nul sur le B.Dans l'énergie, après des actions spectaculaires mercredi à EDF et GDF, seuls FO et la CGT poursuivent le mouvement. Le ministre du Travail Xavier Bertrand, à l'issue de nouvelles rencontres avec les syndicats, leur a accordé mercredi soir "un mois" pour trouver avec les entreprises concernées une issue au conflit, acceptant la participation de représentants de l'Etat aux négociations. Le ministre exige "le respect des principes d'harmonisation", notamment des durées de cotisation à 40 ans, précise sa "lettre de proposition de méthode". Mais pour le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly, "tout doit être sur la table", sans condition "préalable". Pour Sud-Rail, 2e syndicat à la SNCF, "la copie" de M. Bertrand "est à revoir entièrement" et les grévistes sont appelés à "rejeter très massivement ce cinéma", lors des assemblées générales jeudi. Les syndicats de cheminots, dont six (CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa, Sud-Rail) ont reconduit le mouvement mercredi, forts de 61,5% de grévistes à la SNCF, et doivent se réunir jeudi pour prendre position. Mercredi soir, le président Nicolas Sarkozy a estimé, via son porte-parole, que le conflit devait "s'arrêter le plus vite possible" car "les conditions sont réunies" pour "des négociations d'entreprises et de branches". Même son de cloche pour le secrétaire général de la CFDT François Chérèque, qui a jugé les éléments réunis pour "suspendre la grève à la SNCF". A la RATP, où quatre syndicats (CGT, Sud, Unsa et FO) appellent toujours à une grève reconductible, la direction est prête à "reprendre les discussions" dès jeudi matin. Mardi soir, Bernard Thibault avait éloigné la perspective d'un conflit prolongé en demandant des négociations tripartites - Etat, syndicats, directions d'entreprises - pour chaque régime spécial, et non plus une négociation nationale. "La CGT a réussi à se mettre au centre du jeu", salue jeudi La Croix, tandis que La République des Pyrénées juge que M. Thibault "vient de gagner ses galons de stratège". Dans les universités, alors que l'agitation a atteint mercredi son niveau le plus élevé depuis 15 jours, avec 36 sites universitaires perturbés, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, doit recevoir jeudi les organisations étudiantes. -
Grève De Novembre ; Le Point Site Par Site
Dom Le Trappeur a répondu à Phil38 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Nouvelle version du texte très légèrement modifiée. Nombre d'agents rattachés localement : 300 grévistes EEX 60% ADC 75% EVEN 68% ASCT et suge rattachés % sur Paris Montparnasse AG ce matin environ 120 -
Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Régimes spéciaux: poursuite de la grève dans les transports, dialogue entamé AFP - Jeudi 15 novembre, 13h00 PARIS (AFP) - Les perturbations dans les transports, à la SNCF et la RATP, vont se prolonger jeudi avec la poursuite de la grève contre la réforme des régimes spéciaux , alors que les syndicats doivent se prononcer sur le délai d'un mois accordé mercredi soir pour négocier, par le gouvernement. Evénement Le trafic SNCF restera "très perturbé" mais enregistrera quelques "améliorations", avec 150 TGV sur 700 en circulation, 50 trains Corail sur 300, deux à quatre trains par heure sur le Transilien, et davantage de TER. En Ile-de-France, la RATP prévoit en moyenne une rame sur six dans le métro sauf sur les lignes 14, automatique, et 1, où une rame sur deux fonctionnera. Le trafic sera très perturbé sur les lignes A et B du RER, et 30% des bus et tramways rouleront. Après des actions spectaculaires mercredi à EDF et GDF, seuls FO et la CGT se sont prononcés pour un mouvement reconductible, qui prendrait "différentes formes" dans les jours à venir, comme des coupures ou des rassemblements de camions bleus. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a accordé mercredi soir "un mois" aux syndicats et aux entreprises concernées pour trouver une issue, avec l'Etat, en précisant que "les textes réglementaires" de la réforme "seront rendus publics puis publiés" au terme de ce délai. Le président Nicolas Sarkozy a estimé via son porte-parole que le conflit "doit s'arrêter le plus vite possible" car "les conditions sont réunies" pour "des négociations d'entreprises et de branches". A la SNCF, où la direction a compté mercredi 61,5% de grévistes (contre 73,5% le 18 octobre lors de la première grève), CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa et Sud-Rail ont appelé à poursuivre le mouvement. Des assemblées générales se tiendront sur les sites SNCF jeudi dans la journée. Jeudi, les syndicats devraient se prononcer sur les propositions de Xavier Bertrand. A la RATP, où quatre syndicats appellent toujours à une grève reconductible, la direction s'est dite prête à "reprendre les discussions" dès vendredi matin. Mardi soir, Bernard Thibault avait éloigné la perspective d'un conflit prolongé en demandant des négociations tripartites - Etat, syndicats, directions d'entreprises - pour chaque régime spécial, et non plus une négociation nationale, proposition que l'Elysée a acceptée. Dans les universités, alors que l'agitation a atteint mercredi son niveau le plus élevé depuis 15 jours, avec 36 sites universitaires perturbés, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, doit recevoir jeudi les organisations étudiantes. -
Chereque Et La Suspension Du Mouvement
Dom Le Trappeur a répondu à jacquouille69 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
AG ce matin Ce qui revient le plus c'est une exigence sur non seulement le calendrier de négociations mais surtout sur le contenu des négociations tripartites qui doivent rassembler toutes les organisations syndicales. Les cheminots en AG plus nombreux qu'hier ont exigé qu'il y ait un engagement sur le contenu des négociations qui doivent porter notamment sur - l'âge limite de la retraite, - les bonifications pour travail de nuit, décalés, travaux pénibles et la continuité du service, - la durée des cotisations, - les conditions d'application de la décote, - l'indexation des retraites sur les salaires. CGT Sud et FO ont proposé la poursuite du mouvement de grève sur la journée du vendredi 16 dans l'attente d'engagements écrits et concrets de la part du gouvernement et de la direction sur le contenu de la négociations CFDT a proposé la suspension 113 cheminots pour voté pour la poursuite 6 pour la suspension -
Grève De Novembre ; Le Point Site Par Site
Dom Le Trappeur a répondu à Phil38 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Reconduction de la grève par l'AG de Versailles 2007_11_15_ag_cgt_Versailles_2.doc -
saucisses - merguez, camembert et vin rouge (à consommer avec modération) à midi au piquet de grève
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ça sent le réchauffé... lotrela
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Mauvaise Nouvelle Pour Sarko -
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Actualité ferroviaire générale
Pas un mot sur Télé sarko... -
Interview de Didier LE RESTE au journal LE PARISIEN parution du mercredi 14 novembre 2007 à l'issue de la réunion avec Xavier BERTRAND et après l'intervention de François FILLON sur TF1 hier soir (13/11/2007) "C'est au salariés de décider de la suite" Didier LE RESTE, Secrétaire général de la Fédération CGT des Cheminots François FILLON s’est félicité hier soir de la volonté de dialogue de la CGT. Approuvez-vous maintenant le principe de la réforme des régimes spéciaux ? Didier LE RESTE : Que les choses soient claires : la CGT reste opposée au principe de la réforme. Nous avons porté ces dernières semaines la demande d’une table ronde tripartite Etat – Entreprises – Syndicats pour obtenir une vraie négociation. Cette demande, réitérée hier, nous a été refusée. Il y a donc ni inflexion, ni concession de la CGT, mais une continuité dans la démarche. Si le Gouvernement accepte la proposition de la CGT de table ronde tripartite séparée pour chacun des régimes spéciaux, vous appellerez à suspendre la grève ? Didier LE RESTE : Pour l’instant, le Gouvernement réfléchit et consulte. On verra bien ce qu’il en ressortira. Dès que nous aurons sa réponse, on le fera savoir aux salariés et c’est à eux qu’il reviendra de décider des suites du mouvement. Ce qui est sûr, c’est que l’État ne peut être absent des discussions, car la SNCF n’a pas les marges de manœuvre nécessaires pour financer les mesures d’accompagnement de la réforme. D’ailleurs, dans le cas des marins pêcheurs ou des internes en médecine, des rencontres tripartites ont tout de suite été organisées. Pourquoi ça ne serait pas possible sur les régimes spéciaux de retraites ?
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Sarkozy appelle à l'arrêt de la grève, les cheminots la reconduisent Par Par Philippe ALFROY et Nadège PULJAK AFP - Jeudi 15 novembre, PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy a déclaré mercredi soir que le conflit sur la réforme des régimes spéciaux de retraites devait "s'arrêter le plus vite possible", alors que la plupart des syndicats des cheminots et la CGT de la RATP ont appelé à la poursuite de la grève jeudi. Evénement Le président de la République estime que "le conflit doit s'arrêter le plus vite possible dans l'intérêt des usagers", a affirmé le porte-parole de l'Elysée David Martinon. Mais six syndicats de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa d'un côté et Sud Rail d'un autre) ont annoncé la poursuite de la grève jeudi, ainsi que la CGT de la RATP. Le Premier ministre François Fillon et le ministre du travail Xavier Bertrand, qui mène les négociations avec les organisations syndicales, se sont à nouveau rendus à l'Elysée, pendant environ une heure en début de soirée, pour faire le point de la situation avec le chef de l'Etat au soir de la première journée du conflit, selon l'entourage de M. Bertrand. "La proposition d'organiser pour chaque régime spécial une réunion tripartite entre les directions des entreprises, les organisations syndicales en présence d'un représentant de l'Etat est acceptée", a confirmé le porte-parole de l'Elysée. M. Sarkozy estime par conséquent que "les conditions sont donc réunies pour que l'ensemble des organisations syndicales puissent participer aux négociations d'entreprises et de branche", a-t-il rapporté. Cette proposition de réunion tripartite, en présence d'un représentant de l'Etat, avait été faite mardi soir par le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault. Dès le milieu de la matinée, le secrétaire national de la CFDT en charge du dossier des retraites, Jean-Louis Malys, avait vendu la mèche en annonçant, en sortant du bureau de Xavier Bertrand, que des négociations allaient "s'ouvrir dans les entreprises avec la présence de l'Etat". Une information rapidement confirmée par le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant qui, dans les colonnes du Monde, confirmait que l'exécutif avait accepté "des négociations par entreprise dans lesquelles l'Etat serait représenté". "Bernard Thibault a fait en sorte que la crise puisse se dénouer dès le premier jour du conflit", s'était réjoui M. Guéant. Malgré cette ouverture, le président Sarkozy a répété mercredi devant le Conseil des ministres sa ferme volonté de faire aboutir la réforme. Sur la même ligne, le Premier ministre François Fillon s'était félicité à l'Assemblée nationale de l'ouverture de négociations par entreprise, estimant qu'elles permettraient de "faire cesser une grève qui n'est pas utile, qui n'aboutira pas à des résultats pour qui que ce soit, et qui gêne des millions de Français". "Tout est négociable (...) dans les entreprises" en-dehors du passage à 40 annuités de cotisations en 2012, de l'indexation des pensions sur les prix et du principe d'une décote et d'une surcote "pour inciter les salariés à rester plus longtemps dans les entreprises", a ajouté M. Fillon. Toujours aussi embarrassés par ce conflit social, les socialistes, qui ont pour la plupart jugé nécessaire la réforme des régimes spéciaux, ont réagi diversement à l'ouverture de négociations. Si le premier secrétaire du PS François Hollande a reproché au gouvernement d'avoir attendu "le dernier moment pour négocier", le député socialiste des Alpes-de-Haute-Provence Jean-Louis Bianco s'est pour sa part réjoui que "le gouvernement accepte enfin une négociation avec les syndicats".