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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Pujadas Sarko même combat Un peu mieux sur Arte mais sans plus...
  2. Salut je remonte ton nombre d'étoiles car il y en a un avant moi qui t'a pas raté...LoL

    Amitiés

    Dom

  3. helpsoso Personne d'autre n'a été jeté un coup d'oeil sur le simulateur de ... vol :rolleyes:
  4. Régimes spéciaux: dialogue de sourds entre le gouvernement et les syndicats Par Nathalie Schuck AP - PARIS - D'accord sur la forme, mais pas sur le fond: au premier jour des grèves contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, le gouvernement a saisi la perche tendue par la CGT, à savoir organiser des discussions dans chaque entreprise concernée, pour sortir au plus vite de la crise. Mais les choses sérieuses ne font que commencer, le gouvernement refusant catégoriquement de revoir sa copie et les syndicats décidant de poursuivre la grève. Chaque camp a certes fait un pas. Dès mardi soir, Bernard Thibault avait esquissé une sortie de crise en proposant des négociations entreprise par entreprise (SNCF, RATP, EDF et GDF) sur chaque régime spécial, à la condition sine qua non que l'Etat y participe. Jusqu'alors, le patron de la CGT réclamait une négociation globale avec l'Etat. Banco, a répondu mercredi le gouvernement, qui enverra donc un représentant à ces négociations. Les conditions sont "réunies pour que l'ensemble des organisations syndicales puissent participer aux négociations d'entreprise et de branche", a estimé dans la soirée Nicolas Sarkozy, selon son porte-parole David Martinon. Par conséquent, le conflit social "doit s'arrêter le plus vite possible dans l'intérêt des usagers", a fermement averti le président. A la mi-journée, le ministre du Travail Xavier Bertrand était venu rendre compte à l'Elysée de ses entretiens avec la CGT et l'UNSA mardi soir, puis avec la CFTC, la CFDT, FO et la CGC mercredi. "Les choses progressent", s'est-il félicité. "Ça avance", a également assuré François Fillon. Xavier Bertrand est ressorti de l'Elysée avec la mission d'écrire aux syndicats pour fixer le cadre des négociations dans les entreprises. En début de soirée, François Fillon et Xavier Bertrand se sont de nouveau rendus à l'Elysée pour s'entretenir avec Nicolas Sarkozy. Dans ce courrier envoyé aux syndicats en milieu de soirée, Xavier Bertrand prévient que les négociations doivent se dérouler "rapidement" dans les entreprises -en présence d'un représentant de l'Etat- et progresser "à un rythme soutenu". Répondant à une revendication de la CGT, il indique que "l'objectif d'un mois de négociation dans l'entreprise ou la branche peut être retenu". Un délai compatible avec le souhait du gouvernement d'aboutir avant la fin de l'année. Mais le ministre prévient aussitôt: "A l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics puis publiés". Pour le reste, pas question de plier sur le contenu de la réforme. D'accord sur la forme -des négociations à trois dans chaque entreprise- le gouvernement et les syndicats ne le sont pas du tout sur le fond. Alors que les principales fédérations de la SNCF ou de la RATP exigent une modification des principes mêmes de la réforme, le gouvernement a redit niet toute la journée. Nicolas Sarkozy a ainsi souligné que "bien des sujets pourront être discutés pour chaque régime spécial" lors des négociations d'entreprise. Mais il a précisé aussitôt que ces discussions devront se faire "dans le respect des principes d'harmonisation" des régimes de retraite de la fonction publique et des régimes spéciaux. "Il y a trois sujets qui (...) ne peuvent pas faire l'objet de négociations: c'est 40 annuités de cotisation en 2012; c'est l'indexation des pensions sur les prix comme pour les autres régimes; et c'est le principe d'une décote et d'une surcote", avait déjà dit dans l'après-midi François Fillon, au risque de souffler sur des braises encore chaudes. "Tout le reste" est "négociable" au niveau des entreprises, a poursuivi M. Fillon, répétant ce qu'il dit depuis plusieurs jours. Il a de nouveau cité les salaires, les conditions de travail, la pénibilité et l'aménagement des fins de carrière. Reçu mardi à l'Elysée, le président de la RATP Pierre Mongin a ainsi proposé d'"adapter la grille des salaires" et "de rajouter un échelon de rémunération supplémentaire pour les salariés" en fin de carrière. Pas de quoi satisfaire les syndicats, loin s'en faut. "Je ne suis pas là pour négocier des mesures d'accompagnement", a sèchement répliqué Didier Le Reste, patron de la fédération CGT-cheminots, pour qui "tous les sujets doivent être sur la table". Dans ces conditions, les préavis de grève ont été reconduits à la RATP et à la SNCF pour la journée de jeudi, après une première journée fortement suivie, mais moins que celle du 18 octobre. AP
  5. PARIS (Reuters) - Le ministre du Travail a fixé mercredi soir à un mois la durée de négociations tripartites (syndicats-direction-Etat) dans les entreprises et les branches sur la réforme des régimes spéciaux de retraite. "L'objectif d'un mois de négociation dans l'entreprise ou la branche peut être retenu", écrit Xavier Bertrand dans une lettre adressé aux dirigeants de la CGT, de la CFDT, de la Fgaac, de l'Unsa, de Force ouvrière, de la CFTC et de la CFE-CGC. "A l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics, puis publiés", ajoute-t-il. Xavier Bertrand accepte que ces négociations se tiennent avec la participation de représentants de l'Etat, comme l'a proposé mardi la CGT. Selon un proche du secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, cette lettre annoncée en fin de matinée a été envoyée vers 21h45. Elle n'a pas été adressée au syndicat Sud, qui a pris la position la plus dure contre la réforme des régimes spéciaux de retraite. Voici le texte de cette lettre : "Monsieur le Secrétaire général, "Plusieurs organisations, dont la vôtre, que j'ai reçues hier et aujourd'hui, m'ont fait part de leurs propositions pour l'organisation des négociations sur la réforme des régimes spéciaux de retraite. "Comme le Gouvernement l'a toujours indiqué, il est plus que jamais indispensable que les négociations d'entreprises et de branches, dont certaines ont déjà débuté, réunissent désormais l'ensemble des organisations qui en ont exprimé le souhait. J'accepte que ces négociations se tiennent avec la participation d'un ou (de) représentant(s) de l'Etat. "Il conviendrait que ces négociations se déroulent rapidement et progressent à un rythme soutenu. Dans chaque régime spécial et dans le respect des principes d'harmonisation, les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant d'améliorer la situation des agents y seront naturellement examinées. "L'objectif d'un mois de négociation dans l'entreprise ou la branche peut être retenu. "A l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics puis publiés. "Je souhaite que la méthode ainsi proposée permette à votre organisation de s'engager pleinement dans la discussion et soit de nature à mettre fin au conflit actuel."
  6. Régimes spéciaux: la négociation peut "rapporter plus" que la grève aux cheminots, selon Guillaume Pepy AP -PARIS - Le directeur général exécutif de la SNCF Guillaume Pepy a souhaité mercredi qu'une issue rapide soit trouvée au conflit sur la réforme des régimes spéciaux de retraite, arguant que la négociation pouvait "rapporter plus" que la grève aux cheminots. "A la SNCF, la négociation avait démarré il y a 15 jours avec le syndicat des conducteurs", a-t-il déclaré à France Info. "Hier, ça a bougé puisque la CGT a manifesté son intention d'entrer dans la négociation et aujourd'hui même, nous avons eu des contacts avec trois syndicats, la CFTC, la CGC et la CFDT, qui nous ont demandé des précisions sur nos propositions". "Elles vont sans doute dans les heures qui viennent s'exprimer et nous, ce qu'on souhaite, c'est que ça va bouger vraiment, pour qu'on puisse dire aux usagers, les négociations commencent, c'est bien parti et par conséquent, on va pouvoir sortir de la grève au plus vite", a ajouté Guillaume Pepy. "On a envoyé à chaque cheminot une lettre avec 14 propositions très concrètes sur la carrière des cheminots après 55 ans, sur les salaires après 55 ans, sur les conditions de travail après 55 ans. Je pense qu'il y a beaucoup de cheminots, qui se sont dit: 'mais alors, la négociation peut rapporter autant que la grève'. Et moi, je leur réponds: 'oui, elle peut même rapporter plus'. Parce que si on veut que le dialogue social paie, il faut que toutes les propositions sur la table permettent d'éviter la grève", a-t-il dit, précisant que la SNCF était ouverte à la négociation. AP
  7. Communiqué interfédérale 14 novembre 2007 CGT CFDT FO CFTC CGC 2007_11_14_communique_interfederal.doc
  8. Tiens au fait , il a rien dit le facteur aujourd'hui ? cestachier
  9. L'Organisation internationale du travail signe l'arrêt de mort du CNE Par Par Denis ROUSSEAU AFP - GENEVE (AFP) - L'Organisation internationale du travail (OIT) a signé mercredi à Genève l'arrêt de mort du Contrat nouvelles embauches (CNE), censé libérer le marché du travail français mais très contesté par les syndicats. Créé en août 2005 malgré l'opposition des syndicats, le CNE est un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) destiné aux entreprises de moins de 20 salariés. Il débute par une période de deux ans, dite "période de consolidation", pendant laquelle l'employeur peut licencier le salarié sans avoir à fournir de justification. Dans un rapport adopté par le Conseil d'administration de l'OIT, réuni à Genève jusqu'à vendredi, le Comité chargé d'examiner une réclamation présentée par le syndicat Force Ouvrière (FO) soutenu par la CGT et la CFDT, a déclaré être "dans l'incapacité de conclure (...) qu'une durée aussi longue que deux ans soit raisonnable". En outre, un contrat de travail ne peut être rompu "en l'absence d'un motif valable", a tranché le Comité de l'OIT. Le revers subi devant l'OIT réduit à néant la stratégie de négociation du patronat français, qui a proposé récemment de troquer le CNE, désormais caduc, contre la signature d'un accord sur la modernisation du marché du travail. Le gouvernement français avait pris ses distances, quoique tardivement, cet été avec ce contrat créé sous le gouvernement du Premier ministre Dominique de Villepin. Il n'a cependant pas renoncé à faire sauter certaines protections entourant le contrat de travail. Le représentant de la France auprès de l'OIT, M. Gilles de Robien, a d'ailleurs demandé à l'organisation de laisser "un espace pour dynamiser la création d'emplois" par la négociation d'une "plus grande flexibilité pour faire face au défi de compétitivité". Le patronat et les syndicats français ont engagé à ce sujet en septembre des négociations à un rythme inhabituellement soutenu. Celles-ci doivent aboutir d'ici la fin de l'année, sous peine de voir le gouvernement reprendre la main. Le patronat souhaite obtenir des assouplissements au contrat de travail, qui passeraient notamment par un allongement de la période d'essai et la possibilité pour un employeur de se séparer à l'"amiable" d'un salarié. La période d'essai proposée pourrait atteindre six mois, voire un an pour les cadres. L'OIT a "laissé une porte ouverte" a jugé un diplomate français en soulignant que l'organisation a indiqué "ne pas exclure la possibilité que se justifie une période plus longue" que six mois de période d'essai. Le collège des employeurs auprès de l'OIT a cependant déploré "l'interprétation rigide" des conventions internationales de l'OIT "en réponse à une politique tournée vers l'amélioration de l'emploi". "C'est une mauvaise nouvelle que nous attendions avec anxiété", a déclaré le vice-président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises françaises, M. Jean-François Veysset. "Il faut continuer à mettre en place des dispositifs simplifiés, aussi bien en matière d'embauches et que de licenciements", a souligné M. Veysset. Le CNE, une des premières mesures phare du gouvernement Villepin, avait été validé par le Conseil d'Etat, aujourd'hui désavoué par l'OIT. Le gouvernement aurait voulu en rester là, mais il a dû faire face à des jugements aux prud'hommes estimant que ce dispositif était contraire à une convention (158) de l'Organisation internationale du travail (OIT) datant de 1982. La Convention précise qu'il est permis de licencier sans justification durant une période d'essai, mais à condition que celle-ci soit d'une durée "raisonnable". Le Comité de l'OIT relève que la justice française a apprécié de manière contrastée la durée d'une période "raisonnable". Tandis que le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative, a jugée raisonnable une durée de deux ans, la Chambre sociale de la Cour de cassation (plus haute instance judiciaire) a elle estimé qu'une période supérieure à six mois était excessive, rappelle le rapport du Comité.
  10. Vendredi et samedi, j'ai remplacé un pote qui était malade comme un chien... et ça se voyait sur son visage mais il ne voulait pas se faire arrêter parceque la grève commençait mercredi et qu'il était de service après ses repos de lundi et mardi Dimanche quand je suis arrivé au taf, c'était le Dpx qui tenait le poste le collègue est en arrêt de maladie 8 jours depuis Dimanche soigné aux antibiotiques... J'ai eu sa femme au téléphone ce soir, il est resté coucher toute la journée complètement HS. Malade aujourd'hui c'est malade. Les médecins sont hyper surveillés ma doctoresse a déjà été convoquée plusieurs fois à la sécu...
  11. C'est pas une oreillette c'est une perfuseuse automatique grand modèle... revoltages
  12. [Mode rire...] A moins qu'il cherche un découcher... Je suis presque sorti Vinces ...Je plaisante, ne frappe pas sur Dom... Je suis sorti
  13. quand est-ce qu'il comprendra que c'est pas lui qui décide...
  14. J'ai bien dit "assurez tes arrières " si tu avais besoin d'aller devant un tribunal de prud'hommes par exemple ça pourrait te servir.
  15. je répondais à votre question sur les PME
  16. Sur Yahoo PARIS - Plusieurs milliers de personnes défilaient mercredi en milieu d'après-midi à Paris contre les modalités de réforme des régimes spéciaux, alors que la grève dans les transports parisiens et à la SNCF a été reconduite pour la journée de jeudi. Les manifestants, en tête desquels le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault, ont commencé à defiler vers 15h depuis les abords de la gare Montparnasse et doivent se rendre jusqu'à la gare d'Austerlitz. Les cheminots sont présents en très grand nombre. Des gaziers et des électriciens, eux aussi en grève, des agents de la RATP, et des étudiants sont présents dans le cortège. "Pour le moment, il n'y a pas de tournant pour moi. Il n'y a ni virage à droite ni à gauche. Pour le moment il y a le statu quo. Je n'ai aucun élément qui a modifié la donne, à tel point que la CGT a proposé que le mouvement de grève soit reconduit jusqu'à demain", a déclaré le secrétaire général de la fédération CGT des Cheminots Didier Le Reste, qui participe au défilé. "Je reste opposé à l'allongement de la durée de cotisation", a-t-il ajouté, alors que le gouvernement estime que cette question n'est pas négociable. Il a également expliqué que "la négociation qui n'a pas eu lieu doit s'engager" aussi "sur le système de décote, sur la question des bonifications, sur l'indexation des retraites", des points que le gouvernement juge non-négociables. Des défilés similaires ont lieu dans plusieurs villes de France, dont Lyon, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Grenoble, Saint-Etienne et Roanne. AP
  17. Si je fais 35h en moyenne hebdo sur l'année ça m'arrive aussi de faire 48h d'affilée en 6 journées de service successives... Les Agents De Conduite le font parfois sur 6 journées de service en 5 jours calendaires... Un boulanger (patron ou salarié) mérite-t-il la retraite à 55 ans : oui ! Et si on revoyait les taux de cotisations (sociales, professionnelles, patronales, syndicales -UIMM ?) en fonction de la valeur ajoutée de l'entreprise, du nombre de salariés, ... et pas seulement sur la masse salariale. On pourrait aussi parler des exonérations de cotisations sociales pour les entreprises, enfin surtout les grosses : 25 milliards d'euros en 2007 30 milliards en 2008 mais faut être compétitif et systémiquement rentable (c'est la nouvelle formule utilisée par nos Directeurs d'Etablissement...)
  18. axe diagonale ? Une gauche... Une droite... oups je sors
  19. le choix t'appartient mais assures tes arrières par une lettre de démission bien pesée et argumentée. Bon courage Dom
  20. En parlant d'égalité : tu travailles la nuit ? parce que la majorité des 25 millions de salariés de ce pays passent leur nuit dans leur lit la preuve c'est que les heures de pointe dans les trains, les bus, les métros, sans parler des embouiteillages, c'est le matin vers 8h et le soir vers 17h... donc pour moi l'égalité ce serait aussi que je les passe dans mon lit mes nuits... mais comme je suis un bon serviteur du service public 24h sur 24, 365 jours sur 365 j'accepte de travailler dans mon poste d'aiguillages la nuit, les samedis dimanches et fêtes, à la noël et au jour de l'an (histoire de transporter les joyeux fêtards car les trains de voyageurs circulent toute la nuit...ces jours là) ainsi que tout le mois d'Août, car je prends mes congés en juin, septembre voir octobre... faut bien que les trains roulent en août pour transporter les vacanciers...
  21. Autres sources de financement possible : Les exonérations de cotisations patronales : 3 milliards d'euros en 1993 25 milliards d'euros en 2007 30 millirads d'euros en 2008 : nouveaux dispositifs de la loi sur le travail, l'emploi et le pouvoir d'acaht loi TEPA et notamment le dispositif d'exonération des heures supplémentaires. L'intéressement, la participation, les dispositifs d'épargne salariale et stock-options ne contribuent pas au financement de la protection sociale. la cour des comptes après d'autres : rapport chadelat 2003, rapport de juillet 2007 du Haut Conseil pour l'avenir de l'assurance maladie) vient de souligner l'importance du manque à gagner pour la sécurité sociale : 25 milliards d'euros en 2006 3 milliards pour les seules stocks-options - On estime que 5 millions de personnes sont durablement exclues du marché du travail en france - qu'un salarié sur 3 (25.000.000 de salariés en france) est en situation d eprécarité et que la moitié des salariés du privé sont exclus de l'emploi avant l'âge de 58 ans... et donc n'atteignent pas les 40 annuités pour la majorité d'entre eux...
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