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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. SNCF: 26% de grévistes, selon la direction AP - il y a 1 heure 17 minutesPARIS - Au sixième jour de la grève contre la réforme des régimes spéciaux, le mouvement était suivi lundi par 26,2% des cheminots, selon la direction de la SNCF, contre 32,2% vendredi. Ces arrêts de travail se traduisaient par un trafic à nouveau fortement perturbé, avec environ un TER sur deux et un peu plus de 40% des TGV en circulation. Mercredi, au premier jour du mouvement, la direction avait recensé 61,5% de grévistes. AP Notons que la direction se refuse à communiquer les chiffres de samedi et dilmanche, journées qui ne touchaient que les services de production
  2. Interfédérale CGT SUD CFTC FO UNSA CGC Projet socle revendicatf soumis aux AG du 19/11/2007 2007_11_19_socle_revendicatif_DocInterfederale_18_11_2007.doc
  3. Et j'espère que mercredi il y aura un front syndical unitaire et rassemblé - sur un socle commun de revendications - face à la direction et au représentant de l'Etat, pour défendre les intérêts de l'ensemble de la profession. (j'ai dit "face à" et non "contre")
  4. Les syndicats acceptent de discuter avec la direction de la SNCF Reuters - PARIS (Reuters) - Les six fédérations de cheminots encore engagées dans le mouvement de grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraites ont accepté dimanche la proposition de la SNCF de participer à une réunion tripartite mercredi dans l'entreprise, a annoncé Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots. Les fédérations ont pris acte de la décision des assemblées générales de reconduire le mouvement pour 24 heures lundi. "La présidente de la SNCF (Anne-Marie Idrac) vient de nous adresser un courrier invitant les fédérations syndicales à participer à la première réunion tripartite qui se tiendra mercredi 21 novembre", a dit Didier Le Reste, qui s'exprimait au nom des six fédérations. "Il a été convenu que les confédérations syndicales s'y rendent en portant un socle revendicatif commun intégrant bien naturellement les revendications et les exigences" de la base et des syndicats, a-t-il ajouté. Didier Le Reste a précisé que cette plate-forme de revendications serait soumise lundi matin aux cheminots. Il a souligné que les fédérations syndicales demandaient aux cheminots de faire preuve de "responsabilité" et de ne pas se livrer à des opérations "qui nuiraient à leurs propres intérêts". ******************* 6 OS : cgt, cftc, sud, fo, unsa, cgc
  5. Pour quelle raison un agent dans sa première année de chemin de fer donc dans sa période dite d'essai, donc non commissionné a-t-il ce sentiment qu'il ne doit pas faire grève ?
  6. Sujet sérieux juste comme ça : tracteur - locotracteurs - Diésel - pollution - gasoil - Cancer de la vessie: mieux prendre en compte l'exposition professionnelle AFP - Samedi 17 novembre, PARIS (AFP) - Des études présentées lors du congrès de l'Association française d'urologie (AFU), samedi à Paris, confirment l'importance des expositions professionnelles dans la survenue du cancer de la vessie, d'où, selon les urologues, la nécessité de mieux repérer ce facteur. Parmi 155 cas de tumeurs de la vessie déclarés de 1991 à 2004 à la Mutualité sociale agricole (MSA) de la Somme, 63% concernaient des exploitants agricoles alors que les agriculteurs ne représentent qu'un peu plus de 30% des affiliés au régime de sécurité sociale MSA, souligne le Pr Fabien Saint (service d'urologie transplantation, Amiens). En outre, 45% des cas observés chez les salariés concernaient des "tractoristes, travailleurs exposés aux substances contenant des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP)", relèvent le Pr Saint et les autres auteurs de l'étude. Cependant "aucune demande de reconnaissance au titre de maladie professionnelle n'a été enregistrée durant la période étudiée", ajoutent-ils. Les résultats préliminaires -portant sur 44 patients seulement- d'une autre étude font apparaître 12 cas liés à des expositions professionnelles, soit un taux de 30%. Dans la moitié de ces 12 cas, le tabagisme est un facteur de risque s'ajoutant à l'exposition professionnelle. Cette "étude prospective confirme l'importance des expositions professionnelles dans l'étiologie des cancers de la vessie (30%) si elle est recherchée, en plus de l'implication du tabagisme associé", concluent Jean-Christophe Fantoni et ses collègues du CHRU de Lille. "La sous-déclaration (NDLR comme maladie professionnelle) des tumeurs de la vessie peut être expliquée en partie par l'absence de recherche systématique d'une origine professionnelle par les urologues, la tumeur de la vessie étant le plus souvent attribuée au tabagisme", relèvent le Pr Saint et d'autres urologues d'Amiens et Creil. Ils ont présenté à leurs collègues un questionnaire de repérage des expositions professionnelles des patients atteints de tumeurs de la vessie qui, après une étude d'évaluation, leur "paraît utilisable en routine par l'urologue".
  7. demandes lui de te donner la source officielle de cette information pour pouvoir vérifier... rien entendu ou lu de tel pour l'instant...
  8. Il nous faut en permanence travailler pour l'unité et le rassemblement de tous les cheminots et c'est vrai qu'il faudra bien un jour que les cheminots et particulièrement parmi eux ceux qui sont syndiqués, militants, responsables syndicaux, se posent la question de la division syndicale qui est aujourd'hui un vrai problème si on veut être forts et efficaces par rapport à ceux qui détiennent le pouvoir. Bon ceci dit et en toute amitié là tu étais quand même tombé sur Pasdid84... bigbisous
  9. Selon le rapport de force il y a des établissements où des préavis quotidiens sont déposés (expérience de 2003 / 2005...) A voir également la décision du conseil d'Etat qui a déclaré que le droit de grève appartient à l'agent qui peut se mettre en grève à sa convenance, sa seule obligation étant de s'inscrire dans un préavis déposé légalement... Tout dépend 1/ de la durée du conflit et 2/ de la situation individuelle de l'agent Lire avec attention le texte mis en ligne ci-dessus par Jay... Pur un décompte réel des retenues, celui-ci ne pourra se faire qu'à la fin du conflit...
  10. Pour les samedis et dimanches les seuls services en activité sont ceux liés à la production et la circulation des trains (traction - transport CRO et postes d'aiguillages, manoeuvres, - entretien matériel, service énergie (régulation sous-sta - astreinte equipement - commercial voyageurs type billets, accueil, informations, ASCT, équipes suge, CNO et autres entités opérationnelles avec agents postés) A partir de là tous les autres sont fermés en particulier les directions régionales et services centraux nationaux, les directions d'Etablissement, les Dpx sont en repos dominicaux... donc le chiffres de grévistes augmentent en fonction... Dès la reprise de lundi retour des ronds de cuir et donc des stats... sans parler des stats elles -mêmes : je suis dans un établissement de 800 agents et la stat porte sur "1200 postes de travail" sur des périodes de 34 heures (jour A 20h au jour C 8h...)... alors qu'un jour de semaine il n'y a que 500 agents maxi à bosser avec les roulements et services décalés, congés, maladie sans parler des agents en formation, en école... C'est complètement irréaliste... même le DET n'y comprend rien...
  11. Continuer à mener la pression sous toutes les formes possibles : - en particulier journée du mardi 20 avec manifs et rassemblements : il faut donc REmobiliser sur cette journée. (Il faut aussi veiller à garder des munitions: beaucoup de gars reprennent le boulot de manière épisodique puis se remette en grève, ou font 1h de grève à la PS... pour limiter la casse financière, il y a beaucoup de discussions et une grosse réflexion stratégique sur cet aspect...expérience des deux grandes grèves 86 et 95 et des mouvements de 2001, 2003 et 2005. - Je pense qu'il faut que TOUTES les OS soient présentes mercredi à la réunion de négociations tripartites convoquée par la direction * exigent que toutes les questions sans préalable figurent à l'ordre du jour * et ce dans la transparence : pourquoi pas des négociations ouvertes et relayées en vidéo-conférence pour que tous les cheminots puissent suivre les discussions (sur intranet, internet) + utilisations du journal Les infos dont les colonnes seraient ouvertes aux OS. C'est de nature à permettre "une suspension collective et unitaire de la forme grève de l'action" pendant les négociations tout en conservant l'état de mobilisation sur cette période et en s'organisant pour remettre la pression à tout moment sans attendre la fin de la période d'un mois signifié par Bertrand parce que le 20 décembre c'est un peu gros comme une maison surtout venant de la CFDT... qui a déjà suspendu le mouvement... En tout cas sur le terrain, je peux vous dire que l'encadrement joue profil bas : ils sont loin de relayer le discours de l'Etat major de la Direction SNCF même si dans le même temps ils ne sont pas en grève et tentent de boucher les trous pour tenir les postes.
  12. sais-tu qu'une grande grève des chemins de fer est en cours en Allemagne ?
  13. Loin d'être isolés et cramponnés à des acquis d'un autre âge, les cheminots en greve sont soutenus dans ce texte par plus de 200 intellectuels et chercheurs qui montrent que c'est un modèle de société global qui est en jeu... d'ou la journée importante du 20 novembre... Pour les grèves solidaires Les grèves de 1995, les mobilisations sociales de 2003, le non de 2005 au traité constitutionnel européen ont contribué à freiner en France la contre-réforme libérale qui l’a emporté partout en Europe. Aujourd’hui, Nicolas Sarkozy et son gouvernement veulent faire de la grève des cheminots et du mouvement dans les universités un test. S’ils parviennent à les briser, ils espèrent avoir les mains libres pour faire passer au pas de charge le train de réformes annoncé sur le droit du travail, sur le système de santé, sur la protection sociale. Ils engagent pour cela une bataille d’opinion visant à diviser et à opposer ceux qui se lèvent tôt à ceux qui sont supposés se prélasser sur le mol oreiller de l’assistanat, le secteur privé au secteur public, les méritants aux récalcitrants, les étudiants studieux aux insoumis. La suite ici : http://www.liberation.fr/rebonds/291731.FR.php Pour les grèves solidaires Par plus de 200 signataires dontEtienne Balibar, professeur émérite à l’université Paris-X ; Françoise Balibar, professeur émérite à Paris-VII ; Daniel Bensaïd, professeur de philosophie à Paris-VIII ; Luc Boltanski, directeur d’études à l’EHESS ; Dominique Cabrera,cinéaste ; Alex Callinicos, professeur d’études européennes, King’s College, Londres ;Michel Onfray, philosophe, université populaire de Caen ; Roland Pfefferkorn, professeur de sociologie, université Marc-Bloch-Strasbourg-II ;lavoj Zizek, chercheur à l’International Center for Humanities, université de Londres.
  14. Libération du samedi 17 novembre 2007 Les JT cassent la grève Télé. Les 13 heures et 20 heures sont sur le pied de guerre contre le mouvement social. A chaque grève son héros. En 1968, ce fut Daniel Cohn-Bendit. En novembre 2007, c’est dit, ce sera Jean-Pierre Pernaut, présentateur du 13 heures de TF1 et farouche défenseur de la veuve et de l’usager torturés par les grévistes privilégiés. Depuis lundi, Pernaut bout. Il grommelle, fait des mines et lève les sourcils. Certes, il est comme ça, Pernaut, mais tous les JT sont de la partie, accumulant les poncifs, balayant la pédagogie, relayant sans barguigner la parole gouvernementale. Au point que, chez les grévistes, on se met à virer des AG télés et journalistes. Récit d’une semaine de JT de grève. La suite ici : http://www.liberation.fr/actualite/ecrans/291977.FR.php
  15. Ingrid Betancourt dans la semaine, arrivée de Chavez en France avec une preuve de vie d'Ingrid Betancourt...
  16. Dans les boutiques cheminots du Cadre permanent... La queue en ce moment c'est pour les remboursements de billets achetés surtout par Internet... les voyageurs ne peuvent se faire rembourser qu'en gare.
  17. Hum J'imagine que dans cette ambiance feutrée-tamisée la présence syndicale doit être infinitésimale... Voir peut être les représentants syndicaux auprès du comité d'Etablissement auquel tu es rattaché... Il faudrait peut être même te rapprocher des Fédérations nationales pour trouver des contacts donc voir sur internet...
  18. 1/ y'a-t-il des militants syndicaux sur ton lieu de travail (dans quel type d'Etablissement travailles-tu ? trouver une liste des élus DP, CHSCT, CER..., syndicats locaux si tu travailles dans un gros centre ferroviaire tu devrais trouver facilement sinon syndicats au siège de la région ?) 2/ prendre contact avec eux pour qu'ils t'envoient ou mieux t'amènent tracts et infos régulièrement. 3/ Ils peuvent également peut être te transmettre ou te faire envoyer par quelqu'un, des tracts et infos par intranet si cela est autorisé ?
  19. Si tu bosses dans un BA : tu dois avoir un ordi, intranet donc une Boite à courriel ? Prendre contact avec les syndicats et te faire adresser les tracts et documents . Possible sur Intranet ?
  20. Y-z-ont même pas cité Kata... une honte faut faire une pétition, une manif, une grève... lotrela
  21. - Lettre Présidente IDRAC aux OS 17/11/2007 - Document de méthode (sncf) 2007_11_17_sncf_document_de_methode.doc 2007_11_17_sncf_lettrePresidenteOS_171107.doc
  22. Grève : l'unité syndicale à la SNCF mise à mal par le retrait de la CFDT Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - PARIS (AFP) - L'union affichée par la quasi-totalité des syndicats à la SNCF dans la grève contre la réforme des régimes spéciaux a été mise à mal vendredi par le retrait de la CFDT et pourrait encore souffrir de divergences entre organisations et de tentatives de séduction de la part de la direction. La CFDT-cheminots, 4e syndicat à la SNCF (11,6% des voix aux élections des représentants du personnel) a "suspendu" vendredi son mouvement et "exige en contrepartie du gouvernement le lancement immédiat de négociations". Arnaud Morvan, son secrétaire général, se trouvait pris en étau entre sa base et sa confédération, dont le numéro un François Chérèque, favorable à la réforme mais avec des aménagements, estimait avoir obtenu "les éléments pour suspendre la grève". D'un autre côté, soulignait M. Morvan, "nous ne voulons pas revivre 2003 qui nous a coûté plus de la moitié de nos adhérents", lorsque la CFDT avait accepté la réforme Fillon des retraites. Le syndicat avait d'ailleurs, avec six autres fédérations de cheminots (CGT, Sud-Rail, CFTC, FO, Unsa, CFE-CGC), demandé jeudi aux assemblées générales de reconduire la grève. Cette position commune était apparue comme un tour de force alors que la plupart des fédérations ont "quelques états d'âme" et "tiraillements" vis-à-vis de leurs confédérations, plutôt conciliantes sur la réforme, analyse un syndicaliste fin connaisseur des conflits cheminots. "Tout syndicat SNCF qui prend le risque d'appeler à la reprise du travail en pâtira aux prochaines élections professionnelles", prévient-il. La réunion intersyndicale se tenait au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis), la fédération cégétiste des cheminots, première à la SNCF (40,1% des voix) ayant une incontestable suprématie. Didier Le Reste, son secrétaire général, avait tenté de sortir du dialogue de sourds avec le gouvernement, en plaidant pour une "première réunion" de cadrage avec Etat et direction dès vendredi. Six fédérations ont écrit jeudi au ministre du Travail dans ce sens mais la demande est restée lettre morte, Xavier Bertrand exigeant d'abord que les organisations syndicales appellent à la fin de la grève, ce qu'a finalement fait vendredi la CFDT. Sud-Rail, 2e syndicat à la SNCF (15% des voix), né après le long conflit sur les régimes spéciaux de 1995, n'a pas signé le courrier au ministre. Le syndicat réclame "le retrait pur et simple" de la réforme. A l'opposé de la CFDT, mais aussi la CFTC (8,1%) et la CFE-CGC (1%), qui ont discrètement négocié un accord avec la direction dans la nuit de mardi à mercredi, au moment où la grève débutait à la SNCF. Il prévoit la suppression rapide des mises à la retraite d'office, préalable à l'ouverture de négociations pour ces syndicats. Un accord conclu trop vite et devenu embarrassant pour la direction, selon la CFE-CGC, qui veut désormais "voir reconnaître (sa) prise en compte intégrale" pour retirer son préavis. La direction de la SNCF a déjà réussi à arracher la Fgaac du front syndical en négociant des avantages pour les agents de conduite tout au long de la journée de grève du 18 octobre, à laquelle participait ce syndicat catégoriel (3% des voix mais 2e syndicat chez les conducteurs). Selon plusieurs sources syndicales, la Fgaac est "bonne élève" car elle cherche à obtenir la reconnaissance de sa représentativité au niveau de la branche ferroviaire. "Unité syndicale, ne pas faiblir", martèle l'Unsa-cheminots (14,5% des voix, 3e) qui dénonce les tentatives de "divisions" orchestrées selon elle par le gouvernement et la direction.
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