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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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  1. Et un troll un ... de l'UMP sûrement... Et en plus c'est plein d'erreurs, d'ineptie... et illisible... Quand au lien il démontre que le texte en question est un hoax en français "un mensonge"... Y'a déjà un autre fil de discussion sur le même sujet sur le forum donc allez faire un tour la-bas...
  2. Dépêche de presse - Régimes spéciaux: la CGT-cheminots ne veut pas "négocier des mesures d'accompagnement" AP - PARIS - Le secrétaire général de la fédération CGT des cheminots Didier Le Reste a déclaré mercredi à l'Associated Press qu'il n'était "pas là pour négocier des mesures d'accompagnement" à la réforme des régimes spéciaux de retraite, et que son syndicat entendait débattre de "tous les sujets". "Il y a trois sujets qui sont incontournables et qui ne peuvent pas faire l'objet de négociations: c'est 40 annuités de cotisation en 2012, c'est l'indexation des pensions sur les prix comme pour les autres régimes, et c'est le principe d'une décote et d'une surcote pour inciter les salariés à rester plus longtemps dans l'entreprise", a rappelé le Premier ministre François Fillon mercredi lors des questions à l'Assemblée. "Nous avons dit que tout le reste était négociable", a-t-il répété, citant les salaires "en particulier en fin de carrière", les "conditions de travail", la "pénibilité" et "l'aménagement des fins de carrière". Or, "tous ces sujets sont du ressort de la négociation dans l'entreprise, parce que les entreprises sont différentes et les régimes spéciaux ne sont pas les mêmes", a-t-il fait valoir. Il a confirmé que le ministre du Travail Xavier Bertrand adresserait une lettre "cet après-midi à toutes les organisations syndicales" pour "fixer le cadre de ces négociations d'entreprise". "Je n'ai aucun élément matériel écrit qui me permette de changer la donne et c'est pour cette raison que nous avons proposé de reconduire la grève", a indiqué Didier Le Reste quelques heures plus tard à l'Associated Press. "Nous, on veut débattre de tous les sujets. Je ne suis pas là pour négocier des mesures d'accompagnement", a-t-il poursuivi. Quant au fait que le gouvernement donne son accord de principe à des réunions tripartites régime par régime, M. Le Reste estime que "l'Etat ne doit pas se contenter de donner son accord mais doit participer aux discussions". AP
  3. Dépêche de presse à prendre avec du recul... Etat et syndicats travaillent à une issue à la crise Reuters - PARIS (Reuters) - Le Gouvernement et les syndicats travaillent à une sortie de crise alors que le premier round de la grève reconductible contre la réforme des régimes spéciaux de retraite provoque de fortes perturbations dans les transports publics. Celles-ci étaient moins importantes que prévu toutefois, à la RATP notamment. Soucieux d'éviter un mouvement de l'ampleur des grèves de 1995, l'Elysée et le gouvernement ont repris au bond l'offre formulée mardi soir par la CGT, à quelques heures du début de la grève à la SNCF, en acceptant des négociations tripartites Etat-syndicats-entreprises sur chacun des régimes spéciaux de retraite. "On a toujours dit que les négociations devaient désormais avoir lieu par entreprise (entre directions d'entreprise et syndicats). La CGT s'y refusait. Hier elle nous a proposé des négociations par entreprise, dans lesquelles l'Etat serait représenté. Nous avons accepté", déclare Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, dans Le Monde. La CGT, premier syndicat de cheminots et majoritaire dans les entreprises publiques concernées par les régimes spéciaux, réclamait jusqu'ici une négociation tripartite globale. Les régimes spéciaux bénéficient à 1,1 million de retraités et 500.000 actifs. Après avoir reçu mardi la CGT et l'Unsa, Xavier Bertrand s'est entretenu mercredi matin tout à tour avec la CFTC, la CFDT, FO et la CFE-CGC. Seul Sud, l'un des syndicats les plus hostiles à la réforme, n'a pas été reçu.(pourquoi ?) Le ministre du Travail a été chargé par Nicolas Sarkozy d'envoyer une lettre de "proposition de méthode" aux syndicats dans les prochaines heures. Le chef de l'Etat, qui a reçu Xavier Bertrand à la mi-journée à l'Elysée, estime qu'il existe une "opportunité" pour trouver une issue au conflit, a fait savoir son porte-parole, David Martinon. Le mot d'ordre était aussi à l'apaisement et au dialogue au sein des organisations syndicales. "Ne perdons pas de temps, dès aujourd'hui, (...) il faut aller dans ces négociations", a dit le président de la CFTC, Jacques Voisin. "On a le sentiment qu'il y a de plus en plus de gens qui se rendent compte qu'il faut aller vers la négociation et que l'épreuve de force ne sera pas efficace pour les salariés", a renchéri Jean-Louis Malys (CFDT). "Ce que nous souhaitons, c'est que le ministre ouvre certaines portes de façon à ce que des négociations puissent s'ouvrir dans les meilleures conditions possibles", a précisé pour sa part Bernard Devy (FO). TRAFIC TRES PERTURBÉ À LA SNCF ET À LA RATP Après les grèves massives du 18 octobre, la journée de mercredi rimait de nouveau avec "galère" pour les usagers des transports publics, mais la situation était moins catastrophique que prévu à la SNCF et à la RATP. "Les trains qu'on avait promis, ils circulent", a déclaré sur BFM le directeur général exécutif de la SNCF, Guillaume Pépy. Un ou deux trains par heure circulaient en Ile-de-France, 30% des TER étaient assurés, 70 TGV circulaient - sur 700 habituellement -, et trente trains Corail. Quelque 3.000 autobus de remplacement ont été mis en place par la SNCF. La grève était suivie à la mi-journée dans l'entreprise publique par 61,5% des agents, contre 73,5% le 18 octobre, selon la direction. La Fédération générale autonome des agents de conduite (Fgaac), qui représente un conducteur sur trois, ne participait pas cette fois-ci à la grève. A la RATP, où la direction avait annoncé un trafic "quasi nul", une rame circulait toutes les 10 minutes sur les lignes 1 et 2, toutes les trente minutes sur les lignes 3 et 4. Le trafic était très fortement perturbé sur les lignes 6 et 9. Le service n'était pas assuré sur les lignes 3bis, 5, 7, 7bis, 8, 10, 11, 12 et 13. La ligne 14, automatisée, fonctionnait normalement. Le trafic est nul sur les lignes A et B du RER. Quinze pour cent de bus circulaient en moyenne. La direction de la RATP a précisé que le trafic resterait très fortement perturbé jeudi. Conséquence, on a compté mercredi matin, vers 08h30, environ 360 km de bouchons contre 250 km un jour normal sur les routes de France, surtout autour de Paris, selon le Centre national d'informations routières. Le secteur de l'énergie, EDF, GDF et 180 entreprises, était aussi affecté par la grève. La direction d'EDF a fait état de 28% de grévistes à la mi-journée (43% le 18 octobre). Ils étaient 31,2% à GDF (45,5% le 18 octobre). Les salariés de la centrale électrique de Porcheville, près de Rouen, ont interrompu en partie la production, ce qui leur a valu une menace de sanction. Le trafic au terminal méthanier de Fos-sur-mer (Bouches-du-Rhône), opéré par GDF et qui alimente en gaz le sud de la France, était perturbé par des actions des grévistes, selon le port autonome de Marseille. Une manifestation nationale unitaire était prévue à 14h30 dans les rues de Paris, et d'autres en province. La présidente du Medef, Laurence Parisot, a déploré un mouvement qui nuit selon elle à l'image de la France. Elle estime, comme la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, qu'il pourrait amputer la croissance française. (le mouvement des cheminots allemands nuit-il à l'image de l'Allemagne ?) Le premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, a exprimé son soutien à la grève tout en se prononçant en faveur de la réforme sur le principe. Il a dit souhaiter, sur RMC, "qu'on en termine dès ce soir". (La figure en patinage artistique s'appelle le grand écart, c'est un peu casse gueule...)
  4. En france nous avons un système par répartition : les actifs cotisent pour verser les retraites des pensionnés actuels... C'est la solidarité. La capitalisation c'est chacun sa gueule... Tu mets de l'argent de côté (tu capitalises) si tu en as, tu le places, tu joues en bourse ou d'autres jouent pour toi et tant pis si ça se casse la gueule : Hein Eron...!! La question globale essentielle est donc celle du financement des retraites : or ce financement repose actuellement quasi exclusivement sur les rémunérations des salariés, donc il faut trouver d'autres sources de financement : 1 millions d'actifs en plus (y'a des chômeurs...) 12 millions d'euros en plus cotisations positionnées sur la valeur ajoutée des entreprises, modifications des taux des cotisations (part ouvrière, part entreprise) en fonction du niveau de salaires, des effectifs, de l'évolution des effectifs... etc... Taxées la spéculation, les stock-options... dans le même temps il faut regarder les évolutions dans le salariat : durée des études plus longues Niveau des diplomes recul de l'âge moyen d'entrée dans la vie active périodes de chômage ou d'inactivité... réduction de la durée des carrières pénibilité du travail non seulement physique mais aussi psychologique spécificités d'entreprises - services publics 24h/24 - niveau de sécurité et de compétences etc... sans parler du niveau minimum des pensions et pensions de réversion... pour que chaque retraité puisse vivre une retraite digne.
  5. Charpin...Charpin... ça me dit quelque chose le rapport Charpin ? Meric pour ton exposé et tes informations.
  6. ...pour s'évader du sujet ? mdrmdr
  7. Admire, admire... Jusqu'à preuve du contraire c'est bien le gouvernement qui se saisit de la proposition de Thibault... D'ailleurs d'autres OS ont rejoint Thibault dans la démarche. Toujours la fameuse porte de sortie, sûrement. De toute façon ce n'est pas finit puisqu'à priori des négociations tripartites vont s'ouvrir et qu'il faudra rester unis, rassemblés et mobilisés...pour faire pression !
  8. ça pourrait s'apparenter à du harcèlement non ? En as-tu parler au médecin du travail (reclassement) ainsi qu'à un élu du personnel ou miltant syndical de ton établissement (secrétaire du CHSCT par exemple)? Je sais que dans certains cas les tribunaux prud'hommes ont déjà requalifier des démissions en licenciement (sans motif sérieux) et condamner l'employeur. Assure tes arrières (demande à voir ton dossier par exemple et prends des notes sur ce que tu trouveras à l'intérieur)
  9. Je reviens sur l'interview de LeReste. Bon sûr qu'il aurait pu dire autrechose et autrement. mais je me demande si ce n'est pas là une réponse fort diplomatique pour "bloquer" le journaleux et ne pas donner à celui-ci l'occasion de dériver sur un sujet qui n'en vaut pas la peine... Ceci étant si les journaleux ont des exemples... C'est un peu comme les vacances de Sarko... ou nos chers "clients" qui viennent demander un billet de retard même quand les trains sont à l'heure y'aura toujours à dire ...
  10. La fgaac a décidé de négocier avec la seule direction sncf sur l'application de la réforme dans l'entreprise : OK Libre à elle. Les autres syndicats demandaient une négociation tripartite gouvernement-direction-toutes OS pour d'abord discuter du fond de la réforme (la lettre de cadrage gouvernemental et ses conséquences. Bertrand refusait de le faire à son niveau. face à ce blocage, Thibault a proposé des réunions tripartites au niveau des entreprises, par régime spécial. Le gouvernement a besoin d'une porte de sortie vu le rapport de force. Il répond donc favorablement. Maintenons la pression pour que ces négociations nous soient favorables. Les cheminots attendent des OS qu'elles soient unies et rassemblées pas le contraire.
  11. Merci pour ton soutien. Sur la gratuité : il y a déjà plusieurs fils de discussion sur le sujet. C'est non seulement illégal mais utopique...
  12. Toujours fidèle à toi même. Tiens tu as modifier ton profil ?
  13. Parceque les cheminots sont modernes et top techno.... Et oui on a même l'ADSL dans les locaux syndicats et des liaisons wifi pour suivre en direct le net dans les AG... et intervenir dans les AG Dans ma zone entre 65% et 75% de grévistes selon les établissements (EEX, EVEN, ADC, Suge, ASCT) à la prise de service
  14. Garder votre esprit critique en alerte à la lecture de cette dépêche et faites le tri... Régimes spéciaux: après la CGT, Xavier Bertrand reçoit CFTC, CFDT, FO, CFE-CGC PARIS, 13 nov 2007 (AFP) - Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, qui a reçu mardi soir la CGT et l'Unsa, à la veille d'une grève dans les transports publics et l'énergie contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, doit recevoir ce mercredi matin la CFTC, la CFDT, FO et la CFE-CGC. Evènement Selon le calendrier annoncé mardi par le ministère du Travail, la CFTC sera la première reçue, mercredi à 7h45. La CFDT suivra à 8h30, FO à 11h30 et la CFE-CGC à 12h30. Les délégations seront conduites par plusieurs responsables du syndicat des secteurs concernés (SNCF, RATP, Energie). Solidaires (syndicats Sud) a protesté mardi soir contre son "exclusion" de ces rencontres. François Fillon a annoncé mardi soir sur TF1 avoir demandé au ministre du Travail Xavier Bertrand de recevoir, après la CGT et l'Unsa mardi soir "toutes les autres organisations" d'ici mercredi matin "pour recueillir leurs propositions" sur la réforme des régimes spéciaux. "Avec le président de la République, dès que nous avons appris (l'ouverture faite par la CGT), nous avons demandé à Xavier Bertrand de recevoir cette nuit et demain matin, en tous cas d'ici demain matin, toutes les autres organisations", a dit le Premier ministre sur TF1. L'entourage de M. Fillon a ensuite précisé que les rencontres auraient lieu également mercredi matin. Il s'agit de "recueillir leurs propositions et voir comment on peut, dans les meilleurs délais, faire cesser cette grève et rentrer dans ce cycle de négociations dans les entreprises que le gouvernement appelle de ses voeux", a ajouté M. Fillon. Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, avait proposé mardi soir à M. Bertrand d'ouvrir des "cycles de négociation avec les directions d'entreprises et les représentants de l'Etat sur chacun des régimes spéciaux" de retraite, au lieu d'une négociation globale comme il le demandait jusqu'ici. Le chef du gouvernement s'est dit "satisfait" de cette évolution, qui montre selon lui "que tout n'est pas bloqué" et que "le fil du dialogue n'a jamais été rompu". "Le gouvernement fait tout pour éviter qu'il y ait une grève, pour éviter qu'il y ait une crise", a assuré le Premier ministre, insistant sur les propositions soumises "depuis deux mois" aux syndicats. Plus tôt dans la journée, il avait de nouveau souligné à l'Assemblée sa détermination, disant que "le gouvernement (ferait) son devoir". A l'issue d'une réunion mardi soir à l'Elysée avec les dirigeants de la SNCF, de la RATP, de GDF et d'EDF, Nicolas Sarkozy a également souhaité que "les négociations s'ouvrent rapidement entre les directions des entreprises et les organisations syndicales", selon le porte-parole de l'Elysée.
  15. Avec des pincettes comme d'habitude sur le contenu et esprit critique en alerte dépêche AFP 14/11 8h30 Grève forte Par Par Gérard DUBUS PARIS (AFP) - La grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite, s'annonçait forte mercredi matin à la SNCF, mais un peu moins massive que prévu à la RATP, alors que gouvernement et syndicats ont décidé de renouer le dialogue pour tenter d'éviter un conflit dur et prolongé. Evènement A la SNCF, le trafic était très perturbé au plan national, mais "plus important" que lors de la grève du 18 octobre avec 20 à 25% des trains en moyenne, contre 5 à 10%, a indiqué la direction. Sur les huit syndicats de cheminots , seule la Fgaac (agents de conduite autonome, près de 30% des conducteurs), n'est pas dans le mouvement, alors qu'elle y participait il y a un mois. La SNCF avait prévu 90 TGV sur le réseau national, contre 700 en temps normal. Les Eurostar (Paris-Londres) et Thalys (Paris-Bruxelles, Paris-Amsterdam, Paris-Cologne), circulaient normalement mais subissaient des retards pouvant aller jusqu'à 30 minutes. Seuls dix trains Corail (grandes lignes hors TGV) devaient circuler. Le trafic TER était très perturbé dans toutes les régions et plus de 2.000 autocars de substitution étaient proposés. En Ile-de-France, certains RER étaient prévus sur quelques dessertes et aux heures de pointes. Plus de 1.000 bus complètent le dispositif. A la RATP, le trafic, tout en étant très fortement perturbé, était "meilleur que prévu" avec notamment 1 métro sur 5 au lieu de 1 sur 10, environ 15% de bus, mais aucun RER sur la ligne B et très peu sur la ligne A. Ces fortes perturbations ont entraîné une augmentation de la circulation routière aux abords de la capitale où les premiers bouchons ont fait leur apparition dès 6h00 du matin selon le Centre national d'information routière de Rosny-sous-Bois (Cnir). La journée s'annonçait des plus éprouvantes pour des centaines de milliers d'habitants d'Ile-de-France et des grandes agglomérations. Inévitable RTT, bicyclette et deux roues en tous genres, roller, taxi, voiture et covoiturage: toute les ficelles du "système D" ont été mises à profit. Mais, pour le plus grand nombre, peu d'espoir d'échapper à la marche ou aux embouteillages, avec la crainte partagée d'un conflit qui dure. Mais l'espoir d'éviter une très longue grève, comparable au conflit de 1995, est cependant apparu mardi soir. Le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault a proposé au ministre du Travail Xavier Bertrand d'organiser des négociations avec les directions d'entreprises et les représentants de l'Etat sur "chacun" des régimes spéciaux de retraite, au lieu d'une négociation globale, comme la CGT le demandait jusqu'ici. L'Unsa et la CFDT ont également repris au bond cette proposition de Bernard Thibault. Le Premier ministre François Fillon s'est immédiatement déclaré "satisfait d'entendre que Bernard Thibault et la CGT, qui pour le moment ne voulaient pas entrer dans ce cycle de négociation semblent d'accord maintenant pour le faire". M. Bertrand devait recevoir mercredi matin l'ensemble des autres syndicats, sauf Solidaire (syndicats Sud). De son côté, le président Sarkozy qui a reçu mardi soir, les dirigeants de la SNCF, la RATP, d'EDF et de GDF a souhaité que "les négociations s'ouvrent rapidement entre les directions des entreprises et les organisations syndicales". A la RATP, des négociations se sont ouvertes mardi soir avec plusieurs syndicats de l'entreprise et des propositions jugées "intéressantes" par le syndicat indépendant (FSI) seront soumises aux assemblées générales de salariés ce mercredi, a indiqué un responsable du syndicat à l'AFP.
  16. Et bien attendons la source pour nous faire une opinion et éventuellement si il a dit une connerie (surpris par la question, manque d'arguments...) laissons lui une chance de s'expliquer... Qu'elle était l'attitude et la tonalité du journaleux en face de lui ? mais a-t-il dit aussi autre chose Au fait vous êtes en grève ? Pour moi c'est parti depuis hier soir et vu l'évolution des évènements je ne regrette pas. Là Fallait vraiment y aller.
  17. Un troll de l'UMP qui pour une fois s'est levé tôt... ça sent le réchauffé et c'est plein d'arguments erronés Au revoir Monsieur.
  18. Amoureux ? Up : Bonne journée et j'suis gréviste ! Down : y'en a pas...C'est tout c'est comme ça
  19. Demandez leur aussi d'indiquer le temps qu'ils passent sur leurs repos journaliers et repos périodiques ou autres à militer pour défendre vos intérêts ...
  20. Ben moi ... j'ai rien pigé et pourtant j'ai fait un effort... Steackfrites : aucun problème et ce fil n'a je pense, guère d'avenir...
  21. N'oublions pas que l'attaque frontale ne vient pas des cheminots et leurs organisations syndicales mais vient du gouvernement anti-social Sarkozy-Fillon-Bertrand à la botte du Medef, puissamment relayés par la direction dans l'entreprise. La réaction à cette attaque est puissante, la résistance s'organise. Les OS avancent des propositions, les cheminots se mobilisent. Comme toujours attendons d'avoir l'ensemble des informations pour nous faire une opinion. Nous connaissons suffisamment les médias pour savoir ce qu'ils valent réellement et comment ils sont utilisés par le pouvoir. Mener l'action syndicale : c'est aussi anlyser, peser le rapport de force, savoir faire des propositions et négocier. Entre la situation connue mi-septembre, l'action du 18/10, les négociations de la fgaac, les propositions ultimes de Bertrand, les propositions supplémentaires d'Idrac, la réunion Thibault-Bertrand, les réunions programmées avec les autres OS, la grève du 14/11 qui débute... Les choses évoluent ... A écouter Fillon ce soir, le rapport de force pèse sur le décisions du pouvoir.
  22. D'autres témoignages avec ce simulateur ?
  23. Parcequ'il paraît que cela heurterait la sensibilité de quelques ...mamans dixit le dénommé Coignard de chez Monopoly...!!! J'croyais que pour jouer en famille au Monopoly... fallait avoir le sens de l'humour
  24. On constate surtout l'effet double-triple-quadruple peine : le montant de la retraite calculé sur 40 ans l'effet décôte pour les années non effectuées par rapport aux 40 annuités et limite des 60 ans l'effet perte de pouvoir d'achat dans le temps, blocage des augmentations de salaires... l'effet retraite moins longue avec plus d'années au travail d'où des risques médicaux et physiques plus nombreux... allez faire les 3x8 jusqu'à 60 ans parceque venir nous parler d'aménagement de travail pour les agents en fin de carrière, là ils se foutent carrément de nous... Ils sont même pas capables de reclasser les gens médicalement inadptes actuellement... et j'ajouterai d'autres conséquences : déroulements de carrière des + jeunes évolutions technologiques et réglementaires réorganisations et évolutions de l'entreprise et plus largement du système ferroviaire, des transports,...
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