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Le Web des Cheminots

Cyril83

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Tout ce qui a été posté par Cyril83

  1. À ne pas dire trop fort, voire à ne pas dire du tout... ne serait-ce que pour ménager les lecteurs de ce forum, déjà durement éprouvés (les dirigeants de la SNCF n'ont quant à eux besoin de personne pour avoir de mauvaises idées).
  2. Si l'on y songe, c'est assez curieux d'employer des pratiques purement commerciales (le yield management) pour un service public. Les régions qui ont du mal à boucler le financement des TER pourraient d'ailleurs imposer à leur tour la réservation obligatoire.
  3. Par contre, ce tableau n'existe pas pour les Intercités à réservation obligatoire.
  4. Ne t'inquiète pas, il est clair qu'on va y venir...
  5. Ma question devait plutôt être comprise comme "qui serait prêt à passer par Mende plutôt que Montpellier pour aller de Lyon à Toulouse". Cela dit, c'est vrai qu'aujourd'hui, faire Séverac - Lyon via Mende relèverait sûrement de l'exploit. D'ailleurs, plutôt que de vouloir ressusciter des relations dont l'intérêt est tout de même discutable, avoir un vrai réseau secondaire avec une bonne desserte et des correspondances adaptées serait déjà bien.
  6. Il y a une clientèle entre Toulouse et Clermont-Fd en plus du cabotage, car avec le jeu des correspondances à Brive et à Lyon, ça n'est pas plus rapide d'effectuer le trajet Clermont-Fd - Toulouse par le POLT ou la LGV Méditerranée. Ce n'est donc en rien comparable avec le Lyon - Toulouse via Mende.
  7. Oui, évidemment, mais enfin Lyon - Toulouse via Mende, ça s'est fait il y a une trentaine d'années en autorail, et apparemment ça n'a pas déchaîné les foules. J'aimerais d'ailleurs savoir qui, même sur ce forum, serait prêt à prendre un tel train...
  8. Tu as presque raison, mais je pense que l'expression "chemin de fer" est de trop...
  9. 1,50 euros pour un menu Quick, je trouve que c'est déjà cher payé : je n’appellerais donc pas ça un "avantage".
  10. ça existait encore à la veille de Noël 2004, où une voiture UIC ou USI avait été rajoutée à une rame Corail+ sur Paris - Clermont-Fd. Comme dit Gomen :
  11. Enfin l'article est quand même plus objectif que ce que le titre peut annoncer. On y lit notamment, stupeur, que la prime de charbon n'existerait plus depuis 40 ans. ça alors !
  12. Fabr usait une fois de plus de son humour caustique. Oui, bien sûr, on voyage assis dans les IDbus, pour les conditions d'achat, renseigne-toi sur le site internet.
  13. PN407 est de retour ! Et magistral, comme toujours. :Smiley_20:
  14. Bon, d'abord il faudrait voir à ne pas me faire dire ce que je n'ai pas dit : je n'ai jamais dit qu'avant tout était formidable, de toute façon, à l'époque dont je parle, je n'étais pas né, donc je n'étais pas là pour compter les voyageurs qui étaient dans les soufflets et sur les marchepieds. J'ai retrouvé la photo en question, dans un bouquin intitulé Les plus belles années des trains français (titre qui s'inscrit bien dans la philosophie "c'était mieux avant"...), d'un dénommé Yves Broncard. Voilà la légende : Vendredi 28 mai 1971, 5 TEE à 200 km/h dont 4 Capitole quittèrent la gare d'Austerlitz entre 17 h 40 et 18 h 2. On voit, de droite à gauche : - voie 1 : le premier Capitole TEE 14477, CC 6515, départ 17 h 40 ; - voie 2 : le deuxième Capitole TEE 10477, CC 6525, départ 17 h 50 ; - voie 3 : le troisième Capitole régulier TEE 77, départ 18 h, rame de voitures Grand Confort, la locomotive n'est pas encore en tête ; - voie 4 : le quatrième Capitole TEE 4477, CC 6531 arrivant en tête, départ 18 h 2 ; - voie 5 : l'Aquitaine, TEE 1 pour Bordeaux, CC 6526, départ 17 h 55 ; - voie 6 : la rame du 505 Puerta del Sol pour Irun et Madrid. Une journée mémorable pour cette gare parisienne qui a assuré avec exactitude ce trafic de pointe de Pentecôte. Commentaires : - Deux Capitole qui partent à 2 minutes d'intervalle, est-ce vraiment possible ? - Pour répondre à la question "comment faisait-on ?", une première piste est sans doute que le trafic banlieue était sûrement moins développé qu'aujourd'hui.
  15. Cela se fait déjà en partie : sur VSC (mais pas sur le billet ni par d'autres canaux d'achat) il y a une mention du style "avec votre carte vous économisez X euros".
  16. Et Bécassine, tu en fais quoi ?
  17. Mais comment on faisait, avant ? J'ai en tête cette photo d'un bouquin de Clive Lamming où on voit 5 ou 6 Capitole côte à côte à la gare d'Austerlitz...
  18. Le terme "supposer" est mal choisi. Je dirais plutôt qu'on peut toujours rêver.
  19. Sur les sites de covoiturage, des systèmes de notation permettent aux habitués (conducteurs et passagers) de construire leur réputation. J'ai tenté deux fois l'expérience, je n'ai pas été déçu. À l'inverse, se retrouver dans un train avec des gens bruyants et insupportables, je ne vais pas t'apprendre que cela arrive également. En ce qui me concerne, pour 30 euros de plus sur un aller-retour, je choisis généralement le train : un peu plus rapide, plus confortable, et finalement plus pratique que l'offre limitée et aléatoire du covoiturage. Mais je raisonne en tant que passionné, pas en tant que personne cherchant simplement à se déplacer. C'est intéressant. Ce discours qui revient régulièrement ici ("pourquoi ne pas réinventer le bon vieux train Corail") ne serait donc pas complètement irréaliste d'un point de vue financier ?
  20. Pourquoi, d'ailleurs ?
  21. À la même époque, je ne prenais pas le train non plus, mais j'ai collectionné pendant un an ou deux tous les guides horaires des TGV. J'ai malheureusement tout jeté depuis fort longtemps. Je ne sais pas quand ce système a disparu, sans doute à la fin des années 1990 ou au tout début des années 2000.
  22. C'est bien vrai, et d'ailleurs, pour avoir regarder quelques fois ce qui est proposé sur Paris - Clermont-Fd (400 000 habitants, sur le trajet Paris - Montpellier) autant l'offre est généralement abondante (hors vacances) le vendredi après-midi et le dimanche après-midi, autant c'est plus difficile de trouver un conducteur en milieu de semaine à l'heure de son choix...
  23. Oui mais il y a aussi une partie des conducteurs pour qui l'existence du covoiturage permet de rentabiliser le recours à la voiture. Exemple sur Paris - Clermont-Ferrand : - Coût estimé par viamichelin.fr pour un véhicule "familial" (essence + péage) : 100 euros - Plein tarif 2nde : > 50 euros Si le conducteur arrive à vendre 4 places à 25 euros, ses seules dépenses sont l'effort de conduire (mais peut-être aime-t-il ça) et l'amortissement du véhicule (mais qui n'entre pas vraiment en ligne de compte s'il possède de toute manière une voiture), donc un voyage quasiment gratuit, au lieu de 50 euros avec la SNCF membre de Railteam. Sans covoiturage, la voiture est largement 2 fois plus chère. On ne me fera pas croire que personne ne raisonne de cette manière.
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