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Yiwu (Est Chine)-Madrid en 21 jours
Tatayet a répondu à TintinGV situé dans Actualité ferroviaire générale
J'ai lu quelques part que le train ramènera des voitures. -
Dans ma réponse précédente j'ai bien dit "on peut garder" [...] Pour faire simple, les normes recommandent de toujours poser ces supports béton aux PN et imposent de les poser lorsque le trafic de PL dépasse un certain seuil. Après ça dépend de la taille du porte-monnaie de RFF sur les projets... Dernier cas possible, on est obligé de les poser sur certains types de platelages bien particuliers qui ne sont pas supportés par les traverses de voie courante. Je pense que maintenant on a été bien complet sur le sujet.
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Dans l'allier ?
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On peut poser les platelages de PN sur une majorité de traverses de voie courante ainsi que sur le support béton que l'on voit en photo. Après c'est le trafic routier supporté qui va dicter le choix. Si le nombre de PL est faible on peut garder la traverse de voie courante sinon on passe aux supports béton avec attache indirecte. Le type de rail intervient également dans le choix dans une moindre mesure (par ex. on ne peut pas poser ce support béton sur du rail 46kg...).
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Il ne s'agit pas de débris de béton mais des particules fines du ballast qui sont collées au support béton (souvent après une bonne pluie...). A gauche on voit des restes d'enrobés à froid surement issus de raccords de chaussée provisoire en phase travaux. Pour revenir aux supports béton (qui ne sont pas classés comme des traverses), ces derniers ne sont jamais percés sur chantier ni même en usine, c'est au moment où l'on "coule" la traverse en usine que l'on insère une gaine isolante en plastique (gaine Plastirail) qui permettra par la suite de venir fixer la selle avec les tirefonds repérés 23-130-6. Ci-dessous petite photo de la gaine dans le support béton...
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Bonjour, En France on utilise deux types de montage pour les fixer le rail sur les traverses : - soit par attache directe: le rail est fixé sur la traverses directement (en interposant une semelle caoutchouc), c'est le cas des traverses de voie courante - soir par attache indirecte ; on vient tirefonner une selle sur laquelle on viendra par la suite fixer le rail (système d'attache à double niveau). Ce système est généralement utilisé pour les points particuliers de la voie (PN, appareils de voie, pose de DBC, pose de contre-rails, etc...). Ce système d'attache est plus performant que l'attache directe mais il coûte par contre beaucoup plus cher d'où son usage limité. A notre que l'on sait faire de l'attache indirecte aussi bien sur traverses bois que béton.
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Il ne faut pas oublier que dans ces chantiers lignes fermées le GID ne récupère la ligne qu'au dernier moment et c'est lui qui prononce la réouverture (ou pas).
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http://www.leprogres.fr/societe/2014/08/22/au-moins-un-mois-de-galere-en-plus-pour-les-usagers-de-la-ligne-le-puy-firminy-tbbm Un début d'explication...
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On voit quand même pas trop mal depuis l'extérieur dans les cabines de Z6400.
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Il m'arrive parfois de voir des mécanicien pianoter sur leurs téléphones au freinage en arrivant à quai (vu en Idf). Ça me fait toujours bizarre quand même.
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Bourgogne ?
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Moselle ?
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Dépôt d'Achères.
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Il peut être intéressant de préciser les conditions dans lesquels ces chantiers se déroulent (avec la bénédiction de RFF): - maîtrise d'oeuvre censée assurer le suivi des travaux réduite au minimum - entreprise de travaux sélectionnée en grande partie sur la partie financière de l'offre (quand on paie pour 1€ on en a pour 1€) - planning des travaux hyper tendus ne laissant la place à aucun aléas (donc on camoufle si on a des surprises...) Entre autres...