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cc27001

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  1. D'après les archives militaires, Georges Voboré a été mobilisé dans le 21e régiment d’Artillerie de Campagne, faisant partie de la 23e Division d'Infanterie et du 12e Corps d'Armée. D'après l'organisation militaire de 1914 : https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche:Mobilisation_de_1914 le 21e RAC a embarqué à Angoulême le 5 Aout, et le convoi a emprunté la ligne militaire "E". Mais cette ligne ne passait pas par Paris : ligne E (12e et 17e CA) : Toulouse, Montauban, Périgueux et Angoulême → Limoges, Bourges, Cosne-sur-Loire, Clamecy, Auxerre, Brienne-le-Château, Wassy, Joinville, Gondreville, Commercy ; Le soldat Voboré a peut-etre cité un lieu qu'il pensait proche de Paris sans que ce soit Paris même ? Il y aurait la gare d'Etang (sur Arroux) qui pourrait correspondre, à proximité de clamecy, mais pas sur la ligne E. ça pourrait être aussi lors d'un autre transport, après les premières batailles. Il y a l'Etang la ville près de Marly-le-Roi, donc de saint-germain en laye, mais difficile d'y relier le parcours de Voboré.
  2. Ah oui, on voit un petit patelin nommé cherbourg au-dessus de la ligne verte
  3. Ce topic est dédié aux électrisations et électrocutions accidentelles :
  4. Elle est repartie avec sa convocation judiciaire. C'est un impitoyable "rappel à la loi républicaine" qui lui pend au nez
  5. Pour le boulot je ne sais pas, ça fait très longtemps que je ne fréquente plus ce domaine
  6. bataille de Domokos, 17 mai 1897, pendant la guerre greco-turque : https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_gréco-turque_(1897) je passe.
  7. C'est à la Gar Dinar, une 050 Nohab de 1928 https://www.google.com/maps/@38.0658308,30.156614,3a,90y,271.98h,82.84t/data=!3m6!1e1!3m4!1slvfbNqTvjdav_tj8FIl1vg!2e0!7i13312!8i6656 je passe
  8. Bonjour, c'est une très bonne initiative de s'y prendre tôt. Mais la réforme est passée par là. Il n'y a plus d'ECT en PACA, mais un ESV (Etablissement Service Voyageurs) qui regroupe un ensemble d'activités. Du coup, déposer une candidature en gare n'est pas si illogique que ça. Après si tu veux mettre les chances de ton côté il faudrait prendre des contacts dans la branche gestion du personnel ASCT, par exemple en fouinant sur le réseau professionnel Linkedin, ou pourquoi pas demander à un ASCT sympa dans un train . Il y a.... longtemps, ces emplois saisonniers étaient réservés aux enfants d'agents. Je crois que maintenant c'est beaucoup plus ouvert.
  9. Ne pas oublier que le rapport du BEA n'est pas l’enquête judiciaire. C'est toujours rappelé en préambule : Cette enquête a pour seul objet de prévenir de futurs accidents, en déterminant les circonstances et les causes de l’événement analysé et en établissant les recommandations de sécurité utiles. Elle ne vise pas à déterminer des responsabilités. En conséquence, l’utilisation de ce rapport à d’autres fins que la prévention pourrait conduire à des interprétations erronées. D'ailleurs, même le BEA peut avoir parfois produire des conclusions erronées, de ce genre : En première conclusion, il ressort de cette analyse les éléments suivants : le train accidenté a échappé à une collision avec un train croiseur. Ce train croiseur s’est arrêtée en gare de Nangis moins de 7 minutes avant la collision. Si l’ensemble routier s’était bloqué sur le passage à niveau juste avant l’arrivée du train croiseur, ce train n’aurait pu repartir. Il se serait alors trouvé sur la trajectoire du train accidenté et des débris de la collision. Au contraire, si le camion avait bloqué le PN avant l'arrivée du TER croiseur qui s'arrêtait à Nangis, le conducteur aurait déclenché le SAR et avisé l'agent circulation 7mn avant : il n'y aurait pas eu de collision.
  10. Tout à fait, il s'agit de ce PN du GTIF, sur la zone du lavoir des Chavannes, un ancien site minier reconverti. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lavoir_des_Chavannes Un ensemble de voies "école" a été construit, d'où la présence de différentes caténaires. https://www.lejsl.com/edition-montceau/2014/09/22/le-mecateam-se-rend-a-berlin
  11. pas forcément au nord-est géographique, pour Laroche on se rapproche beaucoup, mais c'est pas là.
  12. Avec un des réseaux les plus développés et les plus anciens, il est forcément couteux d'élargir le gabarit. De nombreux tunnels en France datent du 19e siècle, alors que l'UIC n'existait pas encore, et que la convention de Berne n'a défini le PPI qu'en 1914.
  13. Il peut s'agir du "bataillon scolaire" de Lantenay, à une époque où la formation militaire des enfants était intégrée à l'école. http://laretraitedejacky.com/histoire-meconnue-des-bataillons-scolaires/
  14. Tout à fait, et c'est la grosse différence avec Millas. Chaque procès concerne UN accident particulier et pas l'ensemble des accidents. De plus, dans le cas de Millas le PN n'a jamais été considéré comme "dangereux", et les circonstances sont différentes : ce n'est pas un véhicule bloqué sur les voies, mais un véhicule qui traverse le PN quand le train arrive. C'est pour ça que toute l’enquête porte sur l'état de fonctionnement du PN. Si elle conclut que le PN a bien fonctionné normalement, il sera impossible d'engager la responsabilité de la SNCF (ou alors je ne vois pas comment) comme à St Médard.
  15. Bon on résume.... PN pour la formation des agents, dans le quart nord-est (carte ADC01)
  16. Il était une époque où une écolière pouvait tranquillement prendre le train à Lantenay avec un fusil. Aujourd'hui ça choquerait beaucoup de monde
  17. Comme nous ne sommes pas (encore) dans une dictature totalitaire, c'est assez logique d'arriver à ces conclusions "dans l'intérêt général". C'est aussi une analyse du risque, dans laquelle sont pris en compte la fréquence et la criticité. En développant ce raisonnement, le gouvernement américain avait imposé un système automatique de ceintures de sécurité dans les voitures des années 80/90 (voir le système sur une peugeot 405 USA : https://www.youtube.com/watch?v=ND34pJwaifI ) Plus récemment, on a imposé des éthylomètres anti-démarrage pour s'assurer que ceux qui ne respectent pas le code de la route (alcoolémie) ne puissent pas utiliser le véhicule équipé. Les sociétés de transport et les fabricants de matériel ont une responsabilité directe dans la sécurité des utilisateurs. C'est cette part de responsabilité qui est discutée devant les tribunaux à chaque accident. Dans le cas de Millas, contrairement à St Médard, il n'y eut ni morts ni blessés graves dans le train, ça fait une grosse différence dans l'analyse du contexte.
  18. Non, quart nord-est
  19. Je crois que tu mélanges un peu tout, et ça décrédibilise tes arguments.
  20. Il manque beaucoup d'infos dans cet article, on en vient à faire des hypothèses. On imagine que l'attelage s'est rompu au niveau de l'avant-dernier wagon du train. On imagine qu'il y a eu d'autres problèmes d'ordre technique rendant impossible la résolution de l'incident sur place par le personnel de conduite. On n'imagine pas que la SNCF ne sache plus gérer correctement un incident de ce type. " Du matériel a dû être envoyé sur place pour tracter le train de marchandise, « une manœuvre qui prend forcément beaucoup de temps », explique la SNCF." Euh... ils ont envoyé un EM de secours pour les 2 wagons détachés ou pour le train complet ?
  21. Pas IDF, pas les Aubrais.
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