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[Grenelle de l'Environnement] - Sujet Officiel


laconi

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Chine: 78'000 tonnes de débris au barrage des Trois Gorges

Quelque 78'000 tonnes de débris ont été repêchés dans les eaux de la retenue du barrage des Trois Gorges, en Chine, depuis octobre. Les déchets sont essentiellement constitués de troncs d'arbres, de branches et de paille, selon les médias publics chinois.

Mais les détritus ménagers posent aussi problème, plus de 150 millions de personnes se débarrassant de leurs déchets dans le fleuve Yangtzé du fait que les municipalités n'ont pas été équipées de décharges appropriées.

Le nettoyage a commencé le 26 octobre à un moment où le niveau de l'eau du réservoir était à son maximum. Il a mobilisé 68'000 travailleurs et près de 21'000 embarcations.

Effets néfastes

La Chine considère que le barrage des Trois Gorges qui lui a coûté 22 milliards de dollars, est une merveille de modernité. Depuis son achèvement en 2008, il lui a fourni une grande partie de l'énergie hydroélectrique dont elle a besoin, augmenté le trafic sur le Yangtzé et limité les inondations.

En août dernier, les pluies diluviennes et les inondations qui ont frappé la région ont déversé une grande quantité de débris dans le Yangtzé, principale voie navigable de la Chine, menaçant de boucher les vannes du barrage.

L'amoncellement des débris a atteint à certains endroits une densité telle que les gens pouvaient s'aventurer à pied sec dans le fleuve.

(ats / 11 décembre 2010 16:00)

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  • 4 semaines plus tard...

Trouvé cette information sur un autre site :

Une étude sur la rentabilité des nouvelles LGV du Grenelle : http://www.mobilicites.com/fr_actualites-une-etude-sur-la-rentabilite-des-nouvelles-lgv-du-grenelle_77_714.html

Une étude sur la rentabilité des nouvelles LGV du Grenelle

Transport développement intermodalité environnement (TDIE), le Think tank du transport et de la mobilité, lance une étude sur la rentabilité des futures lignes à grande vitesse (LGV) inscrites dans le cadre du Grenelle de l'environnement et qui seront ouvertes à la concurrence.

Cela vaut-il la peine de construire des nouvelles lignes à grande vitesse ? TDIE, le Think tank du transport intermodal, lance un pavé dans la mare avec une étude sur la rentabilité de ces futures lignes inscrites dans le cadre du Grenelle de l'environnement.

D'ici à 2020, le réseau ferré à grande vitesse devrait en effet s'étoffer de 2 000 nouveaux kilomètres, pour les projets suivants :

•la ligne Sud‐Europe Atlantique,

•la ligne Bretagne‐Pays de la Loire

•l'arc méditerranéen

•la desserte de l'est de la France

•l'interconnexion sud des lignes à grande vitesse en Ile-de-France

•les accès français au tunnel international de la liaison ferroviaire Lyon‐Turin.

Soit 50 milliards d'euros de besoins de financement, hors liaison ferroviaire Lyon-Turin. "Dans quelle mesure Etat, les collectivités locales, les usagers seront-ils sollicités pour le financement de l'exploitation ? Sont-elles les seules solutions concevables pour répondre valablement à la demande de mobilité des Français ou peut-on

concevoir de la faire par des projets alternatifs, moins coûteux et plus rapidement réalisables ?", s'interroge l'association dans un communiqué du 4 janvier 2011.

Dans cette étude, TDIE prévoit de s'intéresser à des solutions alternatives à la grande vitesse (à 220-250 km/h), qui pourraient "fonctionner à la fois sur le réseau actuel modernisé et adapté, ou sur les infrastructures nouvelles. L'aspect économique coût/km sera bien sûr comparé", indique l'association. La publication des conclusions définitives de l'étude est attendue fin 2011 "au plus tard".

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Le grenelle de l'environnement a été une vaste fumisterie destinée aux gogos qui croyaient aux promesses de Chouchou les talonnettes.

On va assister à une nouvelle approche des problèmes: puisqu'on n'a pas les moyens de ses ambitions, on va avoir les ambitions de ses moyens: des LGV à voie unique limitées à 60 KM/h pour pouvoir tracer des courbes de 100 m de rayon!

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Le grenelle de l'environnement a été une vaste fumisterie destinée aux gogos qui croyaient aux promesses de Chouchou les talonnettes.

On va assister à une nouvelle approche des problèmes: puisqu'on n'a pas les moyens de ses ambitions, on va avoir les ambitions de ses moyens: des LGV à voie unique limitées à 60 KM/h pour pouvoir tracer des courbes de 100 m de rayon!

Ca existe déjà.

Exemple: ligne des causses.

:Smiley_39: :Smiley_39:

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Le grenelle de l'environnement a été une vaste fumisterie destinée aux gogos qui croyaient aux promesses de Chouchou les talonnettes.

On va assister à une nouvelle approche des problèmes: puisqu'on n'a pas les moyens de ses ambitions, on va avoir les ambitions de ses moyens: des LGV à voie unique limitées à 60 KM/h pour pouvoir tracer des courbes de 100 m de rayon!

Dans l'article il est écrit que

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Dans cette étude, TDIE prévoit de s'intéresser à des solutions alternatives à la grande vitesse (à 220-250 km/h), qui pourraient "fonctionner à la fois sur le réseau actuel modernisé et adapté, ou sur les infrastructures nouvelles.

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J'ai le sentiment, mais je peux me tromper :blush: , que dans les conclusions qui seront rendues, il sera question des trains pendulaires ; les trains pendulaires actuels peuvent atteindre les vitesses de 250km/h, il me semble, et l'intérêt c'est que côté infrastructures, les travaux consisteraient à améliorer celles existantes ; ce qui répondrait à l'objectif de l'étude qui doit proposer des "solutions alternatives".

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Exact, mais un train pendulaire c'est fragile et ça coûte la peau des fe***s. Le but du jeu c'est de faire supporter par l'EF(via l'achat du matèriel) les frais économisés par la construction d'une infrastructure moins performante.

Une entreprise intègrée ferait la balance des avantages et des inconvénients. Maintenant avec la partition RFF/EF, c'est du chacun pour soi, au détriment de la performance (et donc du client/usager/voyageur) et de la collectivité.

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Dans l'article il est écrit que

J'ai le sentiment, mais je peux me tromper :blush: , que dans les conclusions qui seront rendues, il sera question des trains pendulaires ; les trains pendulaires actuels peuvent atteindre les vitesses de 250km/h, il me semble, et l'intérêt c'est que côté infrastructures, les travaux consisteraient à améliorer celles existantes ; ce qui répondrait à l'objectif de l'étude qui doit proposer des "solutions alternatives".

Quelques sujets liés à l'utilisation de trains pendulaires sur lignes existantes non encore traitées LGV aujourd'hui, qui font qu'il n'y a pas de miracles :

1) Par définition, le train pendulaire n'a d'intérêt que s'il y a des courbes : le 250km/h est totalement indépendant du pendulaire dans la ligne droite des Landes, mais çà coulerait économiquement tout projet ultérieur de LGV au sud de Bordeaux

2) Sur ligne existante, la courbe est ce qu'elle est (sinon, c'est plus la voie existante, c'est une voie au tracé corrigé là où on peut sans expropriation chère ou "révolution" des riverains, sorte de ligne nouvelle au petit pied avec plein de points singuliers et à construire à petite vitesse avec interférences pendant des mois sur le trafic existant)

3) Sur ligne mixtes voyageurs-fret (le réseau français se prête mal à la différentiation des itinéraires voyageurs et fret), le dévers maxi "sol" est tenu par la valeur d'insufffisance de dévers acceptable pour la hauteur du centre de gravité du "pire" train de fret. L'inclinaison maxi de la rame est tenue :

- en statique, par des considérations liées notamment au gabarit

- en dynamique : au temps de réaction du dispositif de compensation de l'insuffisance de dévers (avec courbes et contrecourbes laissées telles que, on demande assez vite le sac papier si ce point est mal réglé)

4) J'ai la flemme de calculer (ou de rechercher les "polygones de vitesse avant-après" dans des dossiers de projets pendulaires tels que Normandie ou Limousin), mais çà m'étonnerait si on pouvait passer à 250 une courbe donnée aujourd'hui à 145-150 pour les rapides en trains classiques

5) Sur ligne existante, on risque de mettre de l'argent pour rien : l'exemple qui me vient à l'esprit est celui de l'arrêt de Carentan coupant les pattes à tous les trains (sauf les trains transatlantiques le jour où la Cunard s'en offrira de nouveau) sur une section mise à V200 lors de l'électrification Mantes-Cherbourg

Modifié par PN407
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.......................

4) J'ai la flemme de calculer (ou de rechercher les "polygones de vitesse avant-après" dans des dossiers de projets pendulaires tels que Normandie ou Limousin), mais çà m'étonnerait si on pouvait passer à 250 une courbe donnée aujourd'hui à 145-150 pour les rapides en trains classiques

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Evidemment. Mais il est sans doute possible de passer à 200 dans des courbes limitées à 160 et à 250 dans les zones limitées à 200 (en Basse Normandie par exemple sachant que les zones à 200 sont aptes 220 pour les TGV). Bien sûr sous réserves toutefois de travaux assez conséquents.

Comme je l'ai déjà écrit dans un autre sujet , il y a actuellement seulement 12 trains intercités quotidiens Paris Caen et le thème de l'étude du TDIE (Transport développement intermodalité environnement) est justement la rentabilité des LGV du Grenelle de l'Environnement. Avec un trafic aussi faible, j'ai tout de même le sentiment que le projet risque fort de faire partie des fortement déficitaires.

L'étude du TDIE comprend également la proposition de solutions alternatives ; ça sous entend quoi ? :cool:

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L'augmentation de la VL des voyageurs, c'est pas mal, mais qu'en est il des trains fret ? Parce qu'on va se retrouver soit à limiter le voyageur derrière le Fret à 100km/h (chose improbable), soit à supprimer les Frets parce qu'on aura plus de place pour eux, qu'ils encombreront trop longtemps l'infra... (beaucoup plus probable)

Il suffit de voir déjà ce qu'il se passe actuellement sur des trajets où un Fret met 35 min, "on" n'hésite pas à le tauler si par malheur il n'a pas 25min d'avance sur le TGV qui roule à 160...

Gom

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c'est cool poitier-limoges mais pourquoi on mettrait pas des talgo pendular sur le POLT , ce qui ferait gagné un paquet de temps . Pourquoi on quadruplerai pas dijon-lyon pour le fret, pourquoi on ferait pas une "betuwe route à la française" au départ de dunkerque, le havre ou marseille????

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  • 2 semaines plus tard...

Hydroliennes à Paimpol : EDF aux petits soins pour les homards

PAIMPOL (Côtes-d'Armor) - EDF participe au financement d'un programme d'étude sans précédent sur les homards au large de Paimpol avant la mise en service à l'été 2012 de quatre hydroliennes dans une zone que les pêcheurs bretons avaient "sanctuarisée" pour préserver les crustacés.

Le but est d'établir une sorte "d'état zéro" de la ressource, un point de référence pour pouvoir mesurer les éventuels effets des quatre hydroliennes sur les homards, ont expliqué cette semaine à Paimpol les protagonistes de l'étude, EDF et le comité des pêches de Lannion-Paimpol.

"La pêche des homards est emblématique de la région. Elle représente une forte valeur ajoutée", a expliqué Laure Robigo, la jeune ingénieure halieutique de 26 ans recrutée par le comité des pêches pour mener l'étude.

Le travail de Mme Robigo consiste aujourd'hui à marquer des femelles homards achetées aux pêcheurs avant de les relâcher et suivre ainsi leur périple. Chaque femelle aura été marquée par une entaille V sur sa queue et identifiée par un numéro frappé sur une bague jaune insérée dans l'abdomen.

Lorsque les specimens sont recapturés il est demandé aux professionnels et plaisanciers de noter le numéro, la date, la position GPS de capture, la longueur de la carapace et la présence d'oeufs, puis de les ramener pour remise à l'eau.

En 2010, 2.033 homards ont été marqués. "17 ont été recapturés, la plupart plus à l'Ouest dont 6 sur la côte de l'île de Batz et un au phare de l'île Vierge dans le Finistère Nord", soit près de 200 km en moins de 4 mois. "Globalement, ces crustacés vont de l'est vers l'ouest et du large vers la côte", selon Mme Robigo.

"On est encore dans le balbutiement, le début d'un état des lieux", observe la jeune chercheuse, se félicitant que son travail "fédère les énergies de tous les acteurs, EDF, Ifremer, professionnels, plaisanciers, collectivités locales...". "Et tout cela donne une bonne image des pêcheurs", dit-elle.

"On est en plein dans le Grenelle de l'environnement, dans la gestion des pêches durables et responsables et des énergies non polluantes", s'est félicité de son côté Yannick Hémeury, le président du comité des pêches de Lannion Paimpol.

Les hydroliennes - 16 mètres de diamètre, 21 m de haut et poids de 700 tonnes - fourniront environ 3 gigawatts, soit l'équivalent de la consommation de 2.000 foyers. La première sera installée dès cet été. Les 4 seront connectées au réseau à l'été 2012.

EDF

(©AFP / 22 janvier 2011 09h37)

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  • 2 semaines plus tard...

Des élus s'expriment sur les doutes concernant es possibilités de financement des projets des LGV envisagées :

http://www.lavoixeco.com/actualite/Fil_Info/2011/02/05/article_les-ambitieux-projets-de-tgv-du-gouverne.shtml

Les ambitieux projets de TGV du gouvernement restent à financer

L'ambitieux programme de construction de lignes ferroviaires à grande vitesse du gouvernement laisse élus et professionnels perplexes, alors que les caisses sont vides et que le réseau classique montre des signes d'essouflement.

Pour offrir des alternatives à la route et à l'avion, le Grenelle de l'environnement a prévu le lancement de 2.000 km de lignes à grande vitesse (LGV) d?ici 2020, puis de 2.500 km supplémentaires dans les années suivantes.

Le projet de Schéma national des infrastructures de transport (Snit), publié fin janvier, confirme ce choix. Il envisage plus d'une centaine de milliards d'euros d'investissements.

Mais s'il a même ajouté quelques projets à une liste déjà longue, le Snit reste très discret sur les questions d'argent.

"Je pense que c'est finançable", assure la nouvelle ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet.

"Regardez comment on fait sur le Paris-Strasbourg, on y arrive. (...) On demande des participations aux collectivités territoriales, parce que ça leur permet, à elles, de se développer. C'est du partenariat bien compris", affirme-t-elle.

Mais l'exemple de la ligne Tours-Bordeaux donne à réfléchir. Le financement de ce projet de 7,8 milliards d'euros n'est toujours pas bouclé, après des mois de négociations.

Les collectivités locales commencent à dire de plus en plus fort qu'elles ne pourront pas suivre, tandis qu'un appel au privé pour compléter ne va pas forcément de soi pour cause de menace d'une forte hausse du prix des billets.

Quant à Réseau ferré de France (RFF), le gestionnaire public des voies ferrées françaises, il ne peut plus s'endetter que si les investissements sont vraiment rentables. Ce qui ne semble pas le cas de bon nombre de projets...

Du coup, on commence à entendre ici et là qu'une bonne partie des projets du Snit ne seront jamais réalisés.

Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (UMP), a par exemple glissé qu'"il n'y aura peut-être jamais (...) de LGV" entre Marseille, Toulon et Nice (un projet d'au moins 15 milliards d'euros).

Et le débat a pris une nouvelle tournure avec l'avalanche d'incidents qui a perturbé les trains au début de l'hiver. Elle a montré qu'une bonne partie du réseau est en piteux état.

"Ce programme de LGV, c'est comme si on construisait de nouvelles ailes à un château dont on n'aurait pas les moyens de refaire les toitures", note un haut dirigeant de la SNCF.

Un de ses collègues ose une comparaison avec une certaine "aristocratie décadente", ce qui n'empêche pas l'entreprise publique --qui ne paie plus la construction des lignes-- de plaider pour de nouvelles infrastructures dans des réunions sur le terrain.

Le député UMP de la Drôme Hervé Mariton a expliqué à l'AFP qu'il comptait obtenir une réduction des ambitions du Snit, dans lequel "il y a un trop grand linéaire de lignes nouvelles".

Officiellement, le gouvernement veut à la fois construire des LGV et rénover le réseau.

"Qui serions-nous si nous laissions aux générations futures quelques milliers de kilomètres de ligne à grande vitesse, et, à côté, 30.000 km de voies non entretenues à reconstruire?", a ainsi plaidé lundi le Premier ministre François Fillon, sur le chantier de la LGV Rhin-Rhône.

Mais en l'état actuel des choses, RFF n'a pas les moyens de maintenir le réseau existant, ses revenus n'atteignant que 83% de la somme nécessaire.

D'où la remise en cause du choix du TGV par certains élus.

"On ne mettra pas de LGV partout. Or, en ce moment, il n'y a pas de solution alternative. Or, c'est la solution alternative, qui nous intéresse!", lance le député-maire PS de Caen, Philippe Duron.

Il imagine des trains plus rapides que les bons vieux Corail, qui ne seraient pas des TGV mais seraient moins chers et peut-être plus réalistes.

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  • 2 semaines plus tard...
  • 4 semaines plus tard...

Découverte d'un nouveau rongeur dans la forêt atlantique au sud du Brésil

RIO DE JANEIRO - Un nouveau rongeur de 30 cm de long qui vit au sommet des arbres, a été découvert récemment dans la forêt altantique, l'un des écosystèmes les plus dévastés du Brésil, rapporte vendredi le quotidien Folha de Sao Paulo.

Ce rongeur au pelage fourni a reçu le nom de "Drymoreomys albimaculatus" ce qui signifie "rat des montagnes à taches blanches"', car son habitat est la Serra do Mar, à 1.000 m d'altitude, dans les Etats de Sao Paulo (sud-est) et Santa Catarina (sud), a expliqué à Folha le biologiste Alexandre Reis Percequillo de l'Université de Sao Paulo.

"Un mystère évolutif plane sur ce rongeur car l'espèce la plus proche de lui vit dans une vallée aride des Andes péruviennes", a déclaré le chercheur qui a décrit cette nouvelle espèce dans la revue scientifique "Zoological journal of Linnean Society".

"Le fait que les deux espèces appartiennent à des groupes typiques de régions montagneuses explique peut-être leur ressemblance", a précisé le biologiste.

On sait encore peu de choses du nouveau rongeur: la paume des pattes et l'espace entre les doigts par exemple possèdent des "coussinets" qui aident l'animal à manipuler avec plus de sensibilité les branches d'arbre sur lesquelles il se pend.

Il est encore trop tôt pour dire si cette espèce est menacée de disparition, selon le scientifique.

La forêt atlantique, une forêt tropicale humide qui recouvrait 15% de tout le territoire du Brésil à sa découverte en 1500, a déjà disparu à près de 93%.

(©AFP / 18 mars 2011 19h25)

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  • 1 mois plus tard...

le convoi de la peur ---> http://www.centpourc...erser-la-France

Autre source sur ce convoi de la Mort---> http://www.lemonde.f...18175_3224.html

Décret n° 2007-742 du 7 mai 2007 portant publication de l'accord entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République italienne portant sur le traitement de 235 tonnes de combustibles nucléaires usés italiens, signé à Lucques le 24 novembre 2006 (1) ---> http://www.legifranc...49178

Modifié par dom95
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HUBERT du Mesnil et sa langue de bois...---> http://ptutoy.over-blog.net/article-nucleaire-de-la-langue-de-bois-de-l-etat-rff-et-la-sncf-73407083.html

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  • 3 semaines plus tard...

En Midi-Pyrénées, jusqu'à 50% de récoltes perdues à cause de la sécheresse

SAMATAN (Gers) - La sécheresse exceptionnelle frappant depuis plusieurs mois Midi-Pyrénées a déjà causé des dégâts irrémédiables aux céréales d'hiver (blé, orge...), dont la moisson prochaine pourrait révéler des pertes de rendement allant jusqu'à 50% dans certains départements.

Midi-Pyrénées, l'une des principales régions céréalières de France avec 240.000 hectares, est particulièrement affecté dans certaines parties du Lot et du Tarn-et-Garonne, ainsi que dans des zones plus limitées du Gers et de la Haute-Garonne, a indiqué à l'AFP Jean-Gabriel Chevrier, responsable du service céréales de FranceAgriMer.

On constate les dégâts jour après jour, se désespère le président des Jeunes agriculteurs du Gers, Stéphane Zanchetta, qui exploite 240 hectares à Montaut-les-Créneaux, près d'Auch.

Dans le meilleur des cas, on pense qu'on va faire des rendements en baisse de 40% sur les céréales à paille (blé), de 50% sur le colza, de 30% sur l'orge, précise-t-il.

Outre les céréales, pour les protéagineux (petits pois et féveroles), la baisse serait, selon lui, de l'ordre de 70 à 80%.

La moisson du blé se fera avec au moins 15 jours d'avance, ce qui a un impact sur la qualité et la quantité, souligne FranceAgriMer (établissement public d'échanges dans les secteurs de l'agriculture et la pêche). En effet, il y aura peu d'épis, peu de grains à l'hectare et des grains mal remplis.

La quantité n'est pas au rendez-vous, confirme Alain Labedan, agriculteur à Samatan (Gers) sur une exploitation de 150 hectares où il cultive blé, colza, tournesol et maïs. Le blé est en train de crever, constate-t-il en montrant des épis secs dans un champ.

On sait qu'on va faire une mauvaise année parce qu'en plus les prix sont fixés au niveau mondial. Donc, même si on a peu de quantité ici, les prix de vente pourraient être au plus bas s'il y en a beaucoup ailleurs, explique Alain Labedan.

La région a été particulièrement malmenée par la météorologie ces derniers mois: elle a subi le plus important déficit de pluviométrie depuis 1949, avec un excédent de températures de 5 à 10 degrés sur mars, avril et mai.

Le département du Gers, le plus céréalier de la région, a été particulièrement sec avec, du 1er au 25 mai, seulement sept millimètres de pluie relevés contre pratiquement 65 mm en année moyenne, note Denis Capdegelle, responsable départemental de Météo France à Auch.

Pour le moment, 2011 est l'année la plus sèche jamais enregistrée dans le Gers, ajoute-t-il, avec une continuité des mois secs depuis le mois de janvier.

D'où les plans sécheresse avec restrictions des prélèvements d'eau qui se multiplient dans la région et qui affectent l'irrigation des céréales.

On manque d'eau, la situation est plutôt alarmante, reconnaît un responsable de l'Agence de l'eau Adour-Garonne. Depuis novembre 2010, selon lui, le déficit de pluviométrie sur le bassin a été de 25 à 30%, atteignant même en avril 50 à 90%. Et la neige, peu abondante, a fini de fondre, avec un mois d'avance.

En Midi-Pyrénées, souligne l'Agence, l'irrigation est sur le point de démarrer avec quasiment deux mois d'avance. Or le débit d'un fleuve comme la Garonne était déjà au 18 mai à Toulouse la moitié de la normale à cette époque-là.

On espère se rattraper avec les cultures de printemps (maïs, tournesol...), confie Alain Labedan. Mais, selon FranceAgriMer, ces deux céréales, fraîchement semées, ont déjà du mal à se développer. Et les prévisions météorologiques sur la région marquent plutôt une tendance à la sécheresse pour les deux prochains mois.

(©AFP / 28 mai 2011 08h01)

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