Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Fret SNCF, la fin ?


Invité necroshine

Messages recommandés

Invité necroshine

Je n'en doute pas un seul instant, mais je pensai a un tarif "raisonnable"....

Mais pour la SNCF, les tarifs d'amis sont légion, on multiplie par 10 !!!!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

150 000 lanternes, moi ça me choque pas vous ? Moi, si, c'est du n'inporte quoi, il doit y avoir une erreur sur le chiifre, c'est peut être 150 000 euros de lanterne plutôt, il faudrait vérifier la source de ce chiffre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité necroshine

150 000 lanternes, moi ça me choque pas vous ? Moi, si, c'est du n'inporte quoi, il doit y avoir une erreur sur le chiifre, c'est peut être 150 000 euros de lanterne plutôt, il faudrait vérifier la source de ce chiffre.

Ben si evidemment,

surtout comme je l'ai mentionné, si c'est juste pour l'entité "Infrarail".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ben si evidemment,

surtout comme je l'ai mentionné, si c'est juste pour l'entité "Infrarail".

J'avais oublié de lire la dernière page.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pfffffffff, même pas cap, si on fait la revoyure à PMP, je te paierai une soupe comme pénitence avec mon porte-clé à café. okok

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Avec des croutons ????

Je n'oserai dire : des vieux croutons !!!!

Frottés à l'ail, contre les vampires. Certes, je suis vieux mais de là à être traité de vieux crouton, il y a de la marge.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les élus du comité central d'entreprise de la SNCF ont voté un droit d'alerte sur Fret SNCF

Les élus du comité central d'entreprise de la SNCF ont voté un droit d'alerte sur Fret SNCF

Une procédure de droit d'alerte économique sur la situation de Fret SNCF a été initiée le 22 mai 2012 au comité central d'entreprise de la SNCF, indique la CGT Cheminots dans un communiqué. La direction doit désormais répondre à une série de question "précises".

La situation est désormais telle que la pérennité de l'activité est en cause", estime la CGT Cheminots en faisant référence à la situation de Fret SNCF, dans un communiqué publié le 23 mai 2012.

La veille, les élus du Comité central d'entreprise (CCE) ont voté à l'unanimité le déclenchement d'une procédure de droit d'alerte économique. Objectif : "obliger la direction à justifier sa gestion".

Des attentes vis-à-vis du nouveau gouvernement

"Des questions précises ont été posées, portant sur la dette, la stratégie commerciale, les conditions de production et d'exploitation, la situation sociale... La direction a obligation de répondre 15 jours avant la prochaine réunion du CCE, qui aura lieu les 20 et 21 juin", précise la CGT Cheminots.

À l'issue de cette réunion, "si la gravité de la situation est confirmée, le droit d'alerte sera effectif et les élus pourront se faire assister par un expert", précise le syndicat. L'expert en question serait alors chargé de rédiger un rapport, "comportant aussi des propositions alternatives" et qui sera "présenté au conseil d'administration où siègeront les représentants du nouveau gouvernement".

Des pertes avoisinant 450 M€

Les chiffres donnent en tout cas une idée assez précise du déclin. Selon la CGT Cheminots, Fret SNCF a transporté 15 milliards de tonnes kilomètres et enregistré un déficit avoisinant les 450 millions d'euros en 2011, contre un trafic de 55 milliards de tonnes kilomètres et un déficit de 50 M€ en 2000.

Interrogé par l'AFP, Fabien Tosolini, porte-parole de la CFDT Cheminots, précise quant à lui qu'entre 2009 et 2011, les parts de marché de Fret SNCF sont passées de 83 à 71%, tandis que les filiales de la SNCF passaient de 2 à 11% et les concurrents de la SNCF de 16 à 18%. Parallèlement, l'effectif aurait chuté de 12 850 à 8 500 personnes prévues fin 2012.

La CGT Cheminots estime par ailleurs que depuis 10 ans, "les dirigeants et les plans se sont succédés, accélérant la spirale du déclin en sabordant les capacité productives et en dégradant les conditons sociales".

  • J'adore 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

....mais depuis, la logique de ceux qui nous gouvernent à changé: de notions de service, ils sont passés aux notions de marché...

Tant que des changements majeurs politiques ne seront pas engagés, nous devrons composer "avec"....

Fabrice

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et encore pas mal de moins d'ici fin 2012 sur sol & rail (activité agri)......va falloir s'attaquer a l'os pour les trouver car y'a longtemps que y'a plus de viande.

A present je m"aperçois que non seulement nos marchés dits historiques sont ronges par ECR, COLAS et nos "amis" de VFLI mais nous ne sommes capable de recuperer que le trafic supplementaire qu'ils ne sont pas en mesures d'assurer comme le marché des carrieres mazieres / thouars dont l'essentiel est réalisé en partie par logistra ......les roles sont inverses !

Modifié par Titouz
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité necroshine

On en revient à ce qu'on dit ici depuis des années: la politique de volume avait une certaine pertinence.......

Evidemment,

le volume était la, il ne restait plus qu'a travailler sur la rentabilité,

c'est ce qu'on apprend dans toute entreprise commerciale....

Faut pas sortir de Saint Cyr !!!

Salopard de "vais-rond"

Je rajouterai "quel gachi!!"

J'étais bien moi au Fret c'était le bon temps.

Olihqt

Mes plus belles année SNCF étaient chez Fret,

je faisais le plus beau métier du monde, j'avais l'impression de bosser, de servir a quelque chose !!!

  • J'adore 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mes plus belles année SNCF étaient chez Fret,

je faisais le plus beau métier du monde, j'avais l'impression de bosser, de servir a quelque chose !!!

Je dirais pareil pour moi au présent, à l'INFRA ... je mange mon pain blanc, tout comme un collègue de Trappes, présent sur ce forum, mais qui en a vu bien d'autres par rapport à moi ... j'espère que la misère ne viendra pas trop vite pour nous.

Christophe

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

la sncf ne veut pas du fret : une fois qu'on a compris ça

encore un ex : les TA, mis en place parce que coûtant moins cher qu'un TB

mais un TA qui fait 130 bornes Ev (ou même taxi) pour faire un train, pendant qu'un autre fait exactement l'inverse (train + EV ou taxi)

tu crois pas que ça plombe plus le prix de revient qu'un TB en RHR ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité necroshine

Je discutait avec un collègue hier, du PAC, il me disait que chaque technicentre était spécialisé sans un domaine de compétences,

a savoir, une Z2N ayant un problème de distributeur, on l'enverra a SPDC... Il faut donc :

- Trouver un CRL,

- Trouver un sillon, et, la ils s'arrachent les cheveux, avec les circulation déja prévues, les travaux, les "déviations"

- Immobilisation de la rame.

Alors que la rame a son dépot d'affectation, et, il serait bien plus simple de faire parvenir les pièces dans etablissement d'attache....

On a du missionner un guignol encore qui a pris une méga prime pour réfléchir a casser tous les jours un peu plus la boite....

Ils n'ont pas encore compris que, la rigidité n'apporte rien de bon.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ils n'ont pas encore compris que, la rigidité n'apporte rien de bon.

t'es sûr ?

:Smiley_32:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bah si les privés sont aussi réactifs c'est en partie grâce à leur souplesse. Maintenance mobile par exemple. Il n'y a que pour les grosses interventions que les machines vont a l'atelier tel que profilage ou révision. Bon on ne parlera pas de la souplesse des conditions de travail car çà va fâcher. Je pense que c'est un tout qui a fait que les privés ont pris rapidement des parts de marché et pas seulement les conditions différentes de travail ou les prix.

  • J'adore 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bah si les privés sont aussi réactifs c'est en partie grâce à leur souplesse. Maintenance mobile par exemple. Il n'y a que pour les grosses interventions que les machines vont a l'atelier tel que profilage ou révision. Bon on ne parlera pas de la souplesse des conditions de travail car çà va fâcher. Je pense que c'est un tout qui a fait que les privés ont pris rapidement des parts de marché et pas seulement les conditions différentes de travail ou les prix.

Certes mais en grossissant, ces opérateurs risquent de perdre de leur souplesse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bah si les privés sont aussi réactifs c'est en partie grâce à leur souplesse. Maintenance mobile par exemple. Il n'y a que pour les grosses interventions que les machines vont a l'atelier tel que profilage ou révision. Bon on ne parlera pas de la souplesse des conditions de travail car çà va fâcher. Je pense que c'est un tout qui a fait que les privés ont pris rapidement des parts de marché et pas seulement les conditions différentes de travail ou les prix.

Souplesse de maintenance, tu diras ça aux clients sur la région de Chartres qui viennent de subir quelques pannes...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certes mais en grossissant, ces opérateurs risquent de perdre de leur souplesse.

Tu sais ce qu'on dit : c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes. :Smiley_63:

Les locomotives sont toujours utilisées à flux tendues. En plus ayant des locomotives électriques aptes aussi bien Allemagne, Suisse (Bale), Belgique et France. Ca permet de ne pas se casser la tête à savoir si telle machine va pouvoir aller à Hendaye ou si telle machine peut aller en Allemagne (BB37001 à 30) ou si telle machine peut aller en Suisse (BB37031 à 60). Quand tu regarde les privés n'utilisent que une ou deux séries de machines au maximum. Pour l'exemple d'ECR on a choisi de prendre des machines puissantes de traction diesel (Class 66 et 77) et au niveau électrique une locomotive quadricourant (Traxx MS F140) qui a certes mis du temps à être mise au point mais qui au bout de 2 ans donne de mon côté pleine satisfaction.

Alsthom se concentrait beaucoup au niveau des locomotives sur un marché plus français alors que Siemens et Bombardier étaient déjà sur le quadricourant. La CC40100 était un formidable opportunité. Certes le contexte n'était pas celui d'aujourd'hui mais la France avait de l'avance et s'est faite bouffer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Souplesse de maintenance, tu diras ça aux clients sur la région de Chartres qui viennent de subir quelques pannes...

Ce qui explique la présence de la verrue ECR (euh, pardon : de la motrice ECR) sur un garage en gare de Chartres, et surtout, le bordel mercredi en fin d'après midi à Saint Piat.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Souplesse de maintenance, tu diras ça aux clients sur la région de Chartres qui viennent de subir quelques pannes...

Justement je trouve aussi qu'en ce moment c'est un peu trop souple. Les machines (en tout cas diesel) on souvent des problèmes. Je trouve que les machines sont de moins en moins bien entretenues. Qu'on se dit que tant que ça roule c'est bon.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.